Grata arriva enfin à l'hôpital après moult pérégrination en ville. Il gardait la main sur sa hanche blessée, et la tête basse. Il se déplaça lentement jusqu'a l'accueil.
* . . . j'en ai marre de ces gamins, de ce prof . . . de ces gens dans la rue. Ils bouffent tout l'air. Ils s'installent et prennent le plus de place possible. J'en ai marre . . .*
L'hôtesse salut Grata.
"Tien, vous revoilà vous. Ca fait longtemps qu'on ne vous avez pas vue. Vous pouvez me redonner votre nom? Vous étiez venu pour quoi déjà . . ."
L'hôtesse reprenait d'anciens dossiers et elle les inspectait un à un.
"C'était pour un entorse non? Ou autre chose à la cheville . . ."
Grata restait devant l'hôtesse.
* . . . et ce gros tas qui ne bougeait pas son chariot, il déchargeait ses cagots de fruits abîmés par la chaleur . . . l'odeur était insupportable, lui même puait plus que ces fruit pourris. Et il gênait, au milieu, comme tous les autres . . . *
L'hôtesse remarqua le pansement sur l'oreille.
"Voilà, j'y suis! Vous étiez venus pour cette vilaine blessure . . ."
Il rabattu les dossiers et en sortie un du lot, puis elle l'ouvrit.
"Mhm . . . Grata. Voila, vous étiez venu suite à une blessure de kunai. Le docteur vous avez demandé de repasser le lendemain et . . . et je ne vois nul part la trace de votre visite. Vous avez revu le docteur ?"
*. . . mais ils puent tous autant qu'ils sont. Ils s'amassent comme des mouches et ils restent dans leur puanteur. Ils suffoquent, ils étouffent . . . pourriture.*
"Jeune homme?! Vous m'écoutez? Le docteur, quand l'avez vous vu ?"
Grata releva la tête. Il visita l'hôpital du regard puis il se retourna vers l'hôtesse.
" . . .
J'ai pas vu de docteur."
"Hoo . . .mais ce n'est pas du tout sérieux ça. La plaie s'est peut être infecté. J'espère que vous vous en étiez occupé, il fallait la nettoyer tous les jours pour éviter les risques d'infections. Mais vu la couleur du pansement, j'ai un gros doute quand à la saineté de votre oreille. Vous allez monter directement voir le docteur. je vais l'appeler, il va vous recevoir de suite.
Dirigez vous vers la droite et prenez le second escalier. A l'étage, ce sera la première porte sur votre gauche. Vous verrez un panneau devant l'entrée. Ne tardez pas, allez y de suite!"
D’autres personnes se présentaient à l'accueil. Grata se dirigeât donc vers les escaliers.
*Même ce bâtiment, lieu de repos, est animé par ces mêmes personnes qui prennent la place. Ils sont rangés dans des chambres, ils sont numérotés . . . pour pisser, ils appuis sur un bouton. Ils polluent le calme. Ils s'installent partout. Partout où ils trouvent de la place, partout où ils vont, ils s'installent et . . .
Grata était presque au sommet de l'escalier. Lorsqu'il posât son pied sur la marche, celui ci glissa, comme si le sol se dérobait sous ses pieds.
Il roula sur le coté, et en tentant de se rattraper il passât par dessus la rampe. La chute fut violente.
[HRP: non, il n'est pas mort

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