Urusaki.
Prénom :
Eiki.
Surnom:
Eiki-kun.
Âge:
15 ans.
Sexe:
Masculin.
Description:
Histoire:
- Vivre une vie banale… C’était une utopie pour moi, mais je le voulais. On ne peut vivre une vie normale en étant un membre de clan. J’ai trouvé un autre intérêt, ça me plait bien la vocation de shinobi. Comment s’y rendre? Je ne sais pas, je n’en suis pas encore un… Toutefois je peux vous raconter comme j’en suis rendu a postuler pour l’académie. Dans trois jours, j’aurai la chance d’émettre un postulat. Ensuite on verra pour le reste, selon mon acceptation…
Il regarda par la fenêtre, puis se leva pour se diriger vers la porte arrière.
- Je l’écrirai sur papier, je vous l’envoie par messager ce soir.
- D’accord.
Arrivé à son domicile, sa mère et son père étaient partis, il se dirigea droit dans sa chambre et commença a composer une biographie, il la finit vers sept heures du soir. Le lendemain, comme prévu, l’homme reçut un messager de la part d’Eiki. Il se mit alors aussitôt à la lecture :
Il y a 16 ans de cela, mon père rencontra, dans les bois, une kunoïchi. Selon mon père, qui était bûcheron à l'époque, elle était d'une beauté sans nom. Elle était adossée sur un arbre, à moitié consciente, et elle murmurait quelque chose... Elle disait à l'homme, mon père, de l'aider. Il l'aida alors à se relever mais elle retomba. Il finit par l'emmener dans sa maison, une cabane de bois. Elle dû rester dans la cabane pendant une semaine, car les trois premiers jours elle n'était pas en état de marche, et qu'ensuite, le quatrième jour, une tempête de neige s'était abattu sur la forêt. Ils apprirent a faire plus ample connaissance jusqu'au dernier jour de la tempête. Elle décida de passer une autre journée avec mon père, pour que la neige ait le temps de bien fondre, et que le chemin se dégage. Se fût une fantastique journée, mais la nuit en fût des plus plaisantes, selon mon père... Je vous laisse deviner le reste. Et ce qui en résultat... C'est à dire: moi.
Petite enfance :
Yugo Kyoogeki, c'était le nom de mon père. Et celui de la kunoïchi était Minase Urusaki. Malheureusement, elle n'eut pas la chance de *faire parti* de sa famille... Un triste évènement avait fait qu'elle devait mourir à la naissance. Comme de fait, ses parents ne lui avaient pas donné naissance à l'hôpital, et elle fit mise dans un panier recouvert de couvertures, sur la route d'ou était sa demeure, dans un rang. Ensuite, sûrement dû a une suite d'événements farfelus, elle se fit recueillir par un couple qui étaient très amoureux de la beauté angélique de l'enfant. Son prénom, Minase, vient de cette famille, mais son nom, son nom réel est Urusaki, mais cette famille l'avait nommée Minase Toshiko. Mais bon, vous allez connaître le reste de l'histoire sous peu...
Donc, comme écrit ci-haut, je suis né de l'union d'une kunoïchi et d'un bûcheron, mes deux parents m'ont aussitôt élevé à la manière d'un shinobi, la voie la plus gratifiante des deux. Mais comme j’étais encore jeune, mes parents on plutôt investi dans une meilleure demeure. J'avais deux ans lorsque les rénovations de la cabane ont commencées, elles étaient finies alors que j'en avais 3 et demi... Selon mes parents, j’étais comme n'importe quel petit garçon... Jusqu'as mes 5 ans, j'ai commencé a manifester un intérêt pour les sports de combats, je tapais avec une bonne rapidité sur tout mes jouets, et je m'entraînais sur les sacs d'entraînement de ma mère, ou encore dans le vide.
Enfance :
J'ai gardé plus ou moins le même comportement de 5 à 8 ans, de huit ans ma mère m'as appris les bases du lancer, mais j'e tirais comme si j'avais cinq pouces dans une main... La théorie était beaucoup plus facile que la pratique... Malheureusement pour moi...
J’étais plutôt turbulent à l'époque, mais jamais je ne fessais de tapage devant mes parents, je les respectais, tout comme je les respecte encore aujourd'hui. Mais vers 9 ans, ma vie changea... Définitivement. Je me promenais dans les bois, comme j'avais l'habitude de le faire, jusqu'as ce que j'arrive près d'une petite haie de cèdre, entre quelques branches, je pouvais voir quelque chose bouger. Croyant que c'était un animal, j'ai sauté de l'autre côté de cette haie... Une vue d'horreur me frappa. J'ai vu un homme, blessé mortellement par quelque chose, une arme blanche... Il me suppliait de l'aider mais j’étais congelé sur place, je pouvais l'aider, j’étais persuadé de savoir comment faire cesser son saignement... Mais je ne sais e qui m'as pris, je suis parti a courir vers ma maison, laissant l'homme seul.
Je pleurais, plus de larmes que ce que je n’aurais pus porter. J’ai regagné ma chambre, versant les dernières larmes de mon corps, si jamais il avait lieu qu’il n’en reste… C’est la que ma mère m’enseigna ceci : « Prends ton cœur comme un miroir propre, laisse le refléter les besoins du monde qui t’entourent.»
Cette nuit la m’a fait prendre conscience sur qui j’étais vraiment, pas en tant que membre de la famille des Urusaki, mais en tant que personne, en tant qu’être humain…
J’étais alors âgé de 12 ans, lorsque le sceau c’est brisé, je sais que dans ces lignes se trouvent pas mal de répétitions, et que j’ai sauté quelques années, mais jusque la, ma vie était plutôt banale…
Je suis désolé, mais le contenu de cette nuit la m’est personnel, c’est pourquoi je ne l’ai pas écrit dans cette autobiographie. Je le mentionne seulement car il fut déterminant pour moi, et que j’ai beaucoup changé après cet évènement.
Naturellement, à mes douze ans, mon entrainement commença sérieusement, et j’en étais plutôt heureux. J’étais encore affecté par cette fameuse nuit, alors il arrivait que je saute une cession. Mais en général, mes cessions d’entrainement avec ma mère allaient de bon train. Mon senseï était très gentil, il fessait attention à tout ses élèves. J’écoutais évasivement ses cours, par contre, il avait une théorie plutôt ennuyante. Cependant, il était le meilleur lorsqu’il s’agissait de parcours et de mise en pratique. J’étais aussi l’un des meilleurs pour les faire, mais bon, je hais me venter…
Il faut l’aide du destin pour faire un bon shinobi. Les capacités personnelles ne suffisent pas.
J’ai juré d’en faire mon nindo, et de suivre cette parole jusqu'à ma mort. De ne plus jamais être prétentieux, de ne plus avoir la grosse tête…
La fin de cette biographie approche. Car j’ai maintenant 13 ans, et j’entreprends mes cours normalement. Avec mes nouvelles valeurs, mon nouveau comportement et mes nouvelles habitudes. Mes parents semblent tout deux fiers de mes progrès. Je m’entraine avec ma mère aux stands de tirs et, chose curieuse, je commence a développer des facultés un peu plus poussées pour le taïjutsu et mes coups ont plus d’effets. Ma mère me dit alors que c’est normal, qu’elle aussi a reçu ses dons aux environs de mon âge. Dès lors j’ai droit a un entrainement plus poussé au niveau du corps a corps. Et mon senseï n’a de cesse de m’enseigner les bases du taïjutsu… Et, lors d’un entrainement, il m’entretien au niveau des clans de nôtre village. Puis il me parle de ce clan familial, les Urusaki. Il me dit que je leurs ressemble beaucoup, aussi qu’il aimerais rencontrer mes parents...
C’est cette année que ma mère l’a rencontré, au début de l’année lors d’une rencontre ou les parents étaient invités. Il lui dit les mêmes choses a propos du clan Urusaki que celles qu’il m’avait dites. Leurs spécialités, leurs réputations, leur localisation et même les membres actuels, qui avoisinaient tous plus ou moins mon âge. Mais la pensée suivante m’est alors venu : Je ne m’étais jamais rendu compte de leur existence, malgré leurs popularité.
Cela intrigua beaucoup ma mère, elle se mit aussitôt a faire des recherches sur le clan Urusaki, de mon côté, je commençais à chercher des informations sur les techniques du clan. Ma mère trouva rapidement tout ce qu’il fallait pour rassasier sa grande curiosité. Elle était intriguée, au début, puis elle fut persuadée. Elle et moi fessions parti de ce clan. Puis, elle fit une demande directe au Kage, un test qui permettrait de savoir une bonne fois pour toute la vérité derrière cette histoire.
Puis, il y a quatre jours de cela, les résultats sont arrivés, tous étaient positifs, et le Kage avait même fait la demande que nous emménagions dans la demeure Urusaki, ce qui arrivera dans deux jours… Un, depuis celui ou vous lisez cette biographie. Après l’écriture de cette phrase, il ne restera plus que mon lit dans ma chambre, puis, demain, le nom de Kyoogeki et de Toshiko s’effaceront de nos papiers… Nous voici, Eiki et Minase Urusaki!
Nindô:
Il faut l'aide du destin pour faire un shinobi.
Les capacités personnelles ne suffisent pas.
Caractère :
Défauts :
Il n’est pas près a ce mettre dans le trouble, exception faite d’un sauvetage. Il ne prend aucun plaisir à faire des études ou du travail écrit. Il ne prend pas la critique, et est un peu orgueilleux.
Ce qu’il aime :