Keiko arriva devant chez elle en toute hâte. Une enceinte entourait la maison, et Keiko poussa les doubles battants en bois qui formaient le portique. Elle courra le long du chemin pavé qui menait jusqu’à la maison, passa devant l’étang à carpes et le jardin japonais, devant l’aire d’entraînement aux kunais et atteignit la porte où pendaient toutes sortes de pendentifs et porte-bonheurs. Elle entra, se déchaussa, traversa le couloir de l’entrée et déboula dans le salon. Hiroshi et Reiko étaient assis à table entrain de boire leur thé.
« Oto-san ! Oka-san ! Ca y est ! Je suis inscrite à l’académie!! »
« Hu ! C’est bien Keiko, je compte sur toi pour nous rendre fier. Etudie bien et fait toi des amis. » dit Hiroshi.
« Compris ! D’ailleurs je me suis faite une nouvelle amie aujourd’hui, elle s’appelle Akane du clan Tanaka ! En plus ses parents travaillent dans la restauration comme vous ! Je pourrais l’inviter à la maison dites ? Hein ? ».
« Demande à ton père. » dit Reiko.
« Si ta mère est d’accord… » dit Hiroshi.
« Ouais !! Merci !! »
Keiko enfila ses chaussures et couru chercher Akane.
*Maintenant, direction l’académie !*
La maison familiale du clan Hyûga\Yoshida
Modérateurs : Noriko Asahina, Shimone Ayanami, Haoru Keitjiwa
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Hyûga Keiko
[HRP : temporellement après ma première journée à l'académie et mon entraînement au bunshin no jutsu]
Keiko arriva enfin chez elle après être passée chez le forgeron. Elle traversa le jardin et pénétra dans l’enceinte de la maison. Elle eut à peine le temps de se déchausser, que sa mère l’appela :
« Keiko ? C’est toi ? Tu tombes à pic, on allait commencer à dîner ! »
*Ca tombe bien, je crève la dalle !* se dit Keiko en filant vers la cuisine.
« J’arrive Oka-san !! »
Keiko passa par la salle de bain pour se laver les mains, et arriva dans la cuisine. Elle était assez spacieuse et servait également de salle à manger quand il n’y avait pas d’invités. Hiroshi et Reiko étaient déjà à table et un bol de miso fumant attendait Keiko devant sa chaise. Keiko salua son père et sa mère puis vint s’asseoir à table. Tout me monde attrapa ses baguettes et un « Itadakimasu !! » se fit entendre.
« Oto-san ! Oka-san ! J’ai plein de choses à vous raconter ! » dit Keiko.
« Alors vas-y ma chérie, raconte nous ta journée. » fit Reiko.
« Et bien, pour commencer, je suis allée m’inscrire à l’académie, et je me suis retrouvée sans la classe de Eishi-sensei. On est très peu nombreux, donc ça fait presque un cours particulier ! Dans ma classe il y a deux personnes très sympas qui sont devenues mes nouveaux amis, Tanaka Akane-sempai et Hisôka Eikô-kun. Le cours en lui-même était très sympa, je suis allée faire un exposé sur le chakra pour la classe et Eishi-sensei nous a montré le Bunshin no jutsu. Personne n’a réussi à le faire pendant le cours. Mais après Eikô et moi on est parti s’entraîner sous Jomuko et on y est tous les deux parvenus ! *Même si il y est arrivé avant moi le gredin.* Sur le chemin du retour, je suis passée par chez le forgeron afin de m’acheter mes propres kunai avec ma première bourse d’étudiante et voilà ! Vous avez devant vous la toute nouvelle apprentie shinobi. »
Le dîner continua et Keiko raconta toute sa journée en n’omettant aucun petit détail et répondant à toutes les questions de ses parents. A la fin du dîner, Hiroshi s’adressa à Keiko :
« Keiko, tu devrais filer au lit. Tu as bien travaillé aujourd’hui, mais tu dois te reposer pour récupérer après tant d’efforts. Promet moi aussi de ne pas t’entraîner à faire de bunshin demain. »
« Oui, Oto-san, je te promet. »
Keiko sortit de table et fila se brosser les dents. Elle enfila son pyjama et détacha ses locks, puis glissa sous sa couette.
*Hum, je suis épuisée ! Je sens que je vais bien dor…*
Keiko était déjà en route pour le pays des rêves, Yume no Kuni.
Le lendemain matin, Keiko se réveilla toute fraîche comme une rose. Elle se leva et se dirigea vers les volets qu’elle ouvrit en grand. Elle laissa le soleil inonder sa chambre et se délecta de la sensation des rayons qui réchauffaient son visage.
*Encore une journée qui promet d’être agréable !* pensa Keiko. Elle s’habilla et descendit prendre son petit déjeuner. Elle était seule dans la cuisine car son père était parti de bonne heure et sa mère travaillait au restaurant.
*Ah oui, j’avais promis à maman de l’aider un peu au restaurant ce matin ! Bon je me dépêche.*
Keiko arriva enfin chez elle après être passée chez le forgeron. Elle traversa le jardin et pénétra dans l’enceinte de la maison. Elle eut à peine le temps de se déchausser, que sa mère l’appela :
« Keiko ? C’est toi ? Tu tombes à pic, on allait commencer à dîner ! »
*Ca tombe bien, je crève la dalle !* se dit Keiko en filant vers la cuisine.
« J’arrive Oka-san !! »
Keiko passa par la salle de bain pour se laver les mains, et arriva dans la cuisine. Elle était assez spacieuse et servait également de salle à manger quand il n’y avait pas d’invités. Hiroshi et Reiko étaient déjà à table et un bol de miso fumant attendait Keiko devant sa chaise. Keiko salua son père et sa mère puis vint s’asseoir à table. Tout me monde attrapa ses baguettes et un « Itadakimasu !! » se fit entendre.
« Oto-san ! Oka-san ! J’ai plein de choses à vous raconter ! » dit Keiko.
« Alors vas-y ma chérie, raconte nous ta journée. » fit Reiko.
« Et bien, pour commencer, je suis allée m’inscrire à l’académie, et je me suis retrouvée sans la classe de Eishi-sensei. On est très peu nombreux, donc ça fait presque un cours particulier ! Dans ma classe il y a deux personnes très sympas qui sont devenues mes nouveaux amis, Tanaka Akane-sempai et Hisôka Eikô-kun. Le cours en lui-même était très sympa, je suis allée faire un exposé sur le chakra pour la classe et Eishi-sensei nous a montré le Bunshin no jutsu. Personne n’a réussi à le faire pendant le cours. Mais après Eikô et moi on est parti s’entraîner sous Jomuko et on y est tous les deux parvenus ! *Même si il y est arrivé avant moi le gredin.* Sur le chemin du retour, je suis passée par chez le forgeron afin de m’acheter mes propres kunai avec ma première bourse d’étudiante et voilà ! Vous avez devant vous la toute nouvelle apprentie shinobi. »
Le dîner continua et Keiko raconta toute sa journée en n’omettant aucun petit détail et répondant à toutes les questions de ses parents. A la fin du dîner, Hiroshi s’adressa à Keiko :
« Keiko, tu devrais filer au lit. Tu as bien travaillé aujourd’hui, mais tu dois te reposer pour récupérer après tant d’efforts. Promet moi aussi de ne pas t’entraîner à faire de bunshin demain. »
« Oui, Oto-san, je te promet. »
Keiko sortit de table et fila se brosser les dents. Elle enfila son pyjama et détacha ses locks, puis glissa sous sa couette.
*Hum, je suis épuisée ! Je sens que je vais bien dor…*
Keiko était déjà en route pour le pays des rêves, Yume no Kuni.
Le lendemain matin, Keiko se réveilla toute fraîche comme une rose. Elle se leva et se dirigea vers les volets qu’elle ouvrit en grand. Elle laissa le soleil inonder sa chambre et se délecta de la sensation des rayons qui réchauffaient son visage.
*Encore une journée qui promet d’être agréable !* pensa Keiko. Elle s’habilla et descendit prendre son petit déjeuner. Elle était seule dans la cuisine car son père était parti de bonne heure et sa mère travaillait au restaurant.
*Ah oui, j’avais promis à maman de l’aider un peu au restaurant ce matin ! Bon je me dépêche.*
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Tanaka Akane
Akane prit son courage à deux mains et frappa à la porte des parents de Keiko.
Une femme vint lui ouvrir, assez âgée mais cependant, avec quelques rides en moins et quelques locks en plus, c'était son amie, tout craché.
"Madame, Yoshida, du clan Hyuga?"
La femme parut étonnée, puis s'inscrit sur son visage, la douleur et l'inquiétude de ceux à qui l'on annonce une terrible nouvelle.
Akane réalisa alors qu'elle avait pleuré sur le chemin et que son comportement était la source d'un affreux qui proquo.
"C'est ma petite fille?!"
-"Non, non, madame, rassurez-vous, Kei-chan va bien! Je suis navrée de vous avoir fait peur. Keiko m'a demandé de passer vous voir afin de vous avertir de son retard. Un de nos amis de constitution un peu fragile, s'est un peu trop dépensé en s'entraînant et il s'est effondré de fatigue. Je crois que son corps n'a pas pu suivre le rythme... Keiko l'a emmené à l'hopital, et du coup, rentrera plutôt tard.
Oh, gomenasai," elle s'inclina respectueusement, "je suis passée pour éviter que vous n'ayez à vous inquiéter et je n'ai fait que vous affoler..."
La mère de Keiko, qui avait instinctivement posé une main sur son coeur, se remit à respirer avant de se rendre compte qu'elle avait retenu pendant tout ce temps sa respiration.
"Ne t'en fait pas, ma petite, la frayeur est passée. Il a bien dû te faire peur ton ami quand il s'est évanoui!"
Akane, toute honteuse, acquiéça de la tête, mal à l'aise.
"Pardon encore de vous avoir inquiété, je dois vous laisser maintenant.
-Mais non! Reste prendre un peu de thé bien chaud, tu es encore toute chamboulée!"
Akane, rougit un peu plus. Elle avait l'air bien plus jeune que Keiko en ces circonstances et ressentait fortement la grande maturité de son amie, avec envie.
"Je ne peux vraiment pas, je dois aider mes parents à la fermeture du magasin!"
Elle s'inclina à nouveau et s'apprétait à se retirer quand la mère d'Akane la rappela:
"Et tu ne m'as même pas dit ton nom!
Rougissant un peu plus, si cela était possible, Akane répondit:
"Je suis désolée, c'est l'émotion! Je m'appelle Akane, de la famille Tanaka.
La femme lui prit la main en souriant, puis à son tour, s'inclina profondément:
"Et bien, arigato gosaimasu, Tanaka Akane-chan. Sans ton message, nous nous serions inquiétés bien plus son père et moi!"
Akane fut apaisée par ces paroles réconfortantes. Elle sourit à son tour, hocha la tête, et partit, soulagée d'un énorme poids.
*Elle est vraiment cool, ta maman, Kei-chan!!* elle sourit tout en courant vers l'échope. *Vraiment trop cool!*
Une femme vint lui ouvrir, assez âgée mais cependant, avec quelques rides en moins et quelques locks en plus, c'était son amie, tout craché.
"Madame, Yoshida, du clan Hyuga?"
La femme parut étonnée, puis s'inscrit sur son visage, la douleur et l'inquiétude de ceux à qui l'on annonce une terrible nouvelle.
Akane réalisa alors qu'elle avait pleuré sur le chemin et que son comportement était la source d'un affreux qui proquo.
"C'est ma petite fille?!"
-"Non, non, madame, rassurez-vous, Kei-chan va bien! Je suis navrée de vous avoir fait peur. Keiko m'a demandé de passer vous voir afin de vous avertir de son retard. Un de nos amis de constitution un peu fragile, s'est un peu trop dépensé en s'entraînant et il s'est effondré de fatigue. Je crois que son corps n'a pas pu suivre le rythme... Keiko l'a emmené à l'hopital, et du coup, rentrera plutôt tard.
Oh, gomenasai," elle s'inclina respectueusement, "je suis passée pour éviter que vous n'ayez à vous inquiéter et je n'ai fait que vous affoler..."
La mère de Keiko, qui avait instinctivement posé une main sur son coeur, se remit à respirer avant de se rendre compte qu'elle avait retenu pendant tout ce temps sa respiration.
"Ne t'en fait pas, ma petite, la frayeur est passée. Il a bien dû te faire peur ton ami quand il s'est évanoui!"
Akane, toute honteuse, acquiéça de la tête, mal à l'aise.
"Pardon encore de vous avoir inquiété, je dois vous laisser maintenant.
-Mais non! Reste prendre un peu de thé bien chaud, tu es encore toute chamboulée!"
Akane, rougit un peu plus. Elle avait l'air bien plus jeune que Keiko en ces circonstances et ressentait fortement la grande maturité de son amie, avec envie.
"Je ne peux vraiment pas, je dois aider mes parents à la fermeture du magasin!"
Elle s'inclina à nouveau et s'apprétait à se retirer quand la mère d'Akane la rappela:
"Et tu ne m'as même pas dit ton nom!
Rougissant un peu plus, si cela était possible, Akane répondit:
"Je suis désolée, c'est l'émotion! Je m'appelle Akane, de la famille Tanaka.
La femme lui prit la main en souriant, puis à son tour, s'inclina profondément:
"Et bien, arigato gosaimasu, Tanaka Akane-chan. Sans ton message, nous nous serions inquiétés bien plus son père et moi!"
Akane fut apaisée par ces paroles réconfortantes. Elle sourit à son tour, hocha la tête, et partit, soulagée d'un énorme poids.
*Elle est vraiment cool, ta maman, Kei-chan!!* elle sourit tout en courant vers l'échope. *Vraiment trop cool!*
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Hyûga Keiko
Après cette longue et tumultueuse journée, Keiko arrivait enfin chez elle. Elle se déchaussa et fit son entrée dans la demeure. Elle aperçu tout de suite que la lumière était allumée dans le salon, et s’y rendit directement. Hiroshi et Reiko l’attendait.
« Bienvenue à la maison Keiko. » dit Reiko quand elle vit Keiko entrer dans le salon.
Keiko s’agenouilla devant ses parents.
*Arf, les ennuies commencent…*
« Je suis désolée de rentrer si tard, je peux tout expliquer… »
Mais Reiko l’interrompit : « C’est inutile, ton amie Akane-chan est passée à la maison plus tôt dans la soirée, et elle m’a tout expliquée. Tu as fait ton devoir, c’est dingue ce que tu as pu grandir c’est dernier temps ! »
« Je suis très fière de toi ! » renchérit Hiroshi.
*Bah qu’est-ce qu’il leur arrive ?*
Sur la table, le service à thé était sorti, et Reiko remplie une tasse pour la déposer à deux mains devant Keiko, comme le veux la coutume.
« Viens donc t’asseoir avec nous pour partager le thé, tu dois en avoir besoin après ta journée ! Profites en pour nous raconter tout en détails
»
*C’est vrai que j’en ai bien besoin !*
Keiko rejoignit donc ses parents à table et leur raconta sa journée en détails, elle finit par aller se coucher, lessiver par une journée riche en évènements !
« Bienvenue à la maison Keiko. » dit Reiko quand elle vit Keiko entrer dans le salon.
Keiko s’agenouilla devant ses parents.
*Arf, les ennuies commencent…*
« Je suis désolée de rentrer si tard, je peux tout expliquer… »
Mais Reiko l’interrompit : « C’est inutile, ton amie Akane-chan est passée à la maison plus tôt dans la soirée, et elle m’a tout expliquée. Tu as fait ton devoir, c’est dingue ce que tu as pu grandir c’est dernier temps ! »
« Je suis très fière de toi ! » renchérit Hiroshi.
*Bah qu’est-ce qu’il leur arrive ?*
Sur la table, le service à thé était sorti, et Reiko remplie une tasse pour la déposer à deux mains devant Keiko, comme le veux la coutume.
« Viens donc t’asseoir avec nous pour partager le thé, tu dois en avoir besoin après ta journée ! Profites en pour nous raconter tout en détails
»*C’est vrai que j’en ai bien besoin !*
Keiko rejoignit donc ses parents à table et leur raconta sa journée en détails, elle finit par aller se coucher, lessiver par une journée riche en évènements !