Prénom : Keiko
Age : 12 ans
Sexe : féminin
Description : Keiko mesure 151cm (pour l’instant !^^) et pèse plus ou moins 40kg. Elle a les cheveux noirs, mi-longs arrangés en dreadlocks. Ses yeux sont d’un bleu très clair, sans pupilles et sans iris, tel un miroir sans fin. Keiko aime généralement s’habiller en rouge et\ou en noir (mais pas toujours^^ d'ailleurs en ce moment, elle vient d'acheter une veste verte qu'elle apprécie particulièrement>>cf illustration^^).
Histoire : La famille de Keiko est une famille modeste de Konoha, faisant partie de la branche Sôke du clan Hyûga. Hyûga Hiroshi (le père) est un jounin modeste et Yoshida Reiko (la mère) est gérante d'un restaurant où sont servis yakuniku, sukiyaki, shabushabu et ramen à toutes heures.
Très vite, alors que Keiko n’avait que 4 ans, elle se rendit compte qu’elle était différente des autres enfants. En effet, les autres bambins la montraient du doigt, pleuraient à son approche, ou courraient se réfugier dans les jupons de leur mère. Pourquoi n’avait elle pas d’iris, ni de pupilles ? Un jour, en rentrant de la maternelle, Keiko fila pleurer dans sa chambre. Voyant sa fille troublée, Hiroshi vint la voir un soir dans sa chambre.
« Qu’est ce qui te tracasse mon bébé ? »
« Oto-san, pourquoi mes yeux sont ils presque tout blanc ? Pourquoi ils n’ont pas de couleurs comme ceux des autres enfants ? Mes yeux sont moches… C’est pas juste, les autres enfants ne veulent jamais jouer avec moi ! Ils ne font que pleurer et me montrer du doigt… »
« Tu te trompes mon bébé, tes yeux sont l’héritage de notre famille. Tu devrais en être fière. Sur toi, ces yeux sont les plus jolis qu’il me soit été donné de voir dans ma vie ! »
« Oto-san ! Je t’aime ! »
Depuis ce jour, Keiko n’eut plus honte de ses yeux.
*Tout le monde a besoin d’amis* pensa Hiroshi. Il alla donc en ville et acheta un chaton qu’il ramena à la maison. Quand Keiko rentra, il le lui offrit. Quelle ne fut pas sa joie quand elle vit le petit chat !
« Oh ! Oto-san ! Il est magnifique ! Je l’appellerais Niki ! Merci ! Oh, merci ! »
« Prend bien soin de lui, car lui sera toujours ton ami. »
« Hai ! Aller, viens Niki, on va jouer dans le jardin ! »
« Miaou ! »
Depuis ce jour, Niki devint son premier ami et ils furent inséparables.
Elevée en période de trouble, Keiko fut amenée très jeune à côtoyer la violence. En effet elle aidait pour le ravitaillement des troupes de konoha pendant la guerre.
Un après midi la marqua en particulier : sa mission était simple, il fallait qu'elle amène une trousse de soins de toute urgence, car son oncle Hyûga Futsuki, était grièvement blessé. Mais la trousse était lourde et la distance longue. Keiko arriva sur les lieux, mais son oncle venait de mourir, même les shinobis médicaux de Konoha, pourtant si réputés, ne pouvait plus rien faire...
Keiko se maudit, méprisant son impuissance, rageant de ne pouvoir être utile! Quand son désarroi et sa fureur furent retombés, il ne lui restait que la froide certitude que cela ne lui arriverait plus jamais, plus jamais.
Elle commença à poser des questions à son père sur la voie du ninja, et s'entraînait durement pour forger son physique et son mental. Elle se levait tôt le matin pour apprendre au près de son père : chien, rat, tigre, oiseau, dragon, singe, cheval… Elle commençait à apprendre les signes. Une réelle complicité commençait à naître entre une fille et un père qui ne pouvait avoir de fils suite à un accident. Hiroshi lui prêtait de temps à autre son kunai, et lui avait préparé des cibles dans le jardin pour qu’elle puisse s’entraîner. Reiko (maman) ne voyait pas ça d’un bon œil, petit à petit, elle avait l’impression qu’on lui enlevait sa fille, mais devant la détermination de Keiko, elle ne pouvait que lui souhaiter que son rêve se concrétise.
Un jour, alors que Keiko s’entraînait au lancé de kunai, elle rata sa cible et tua son chat. Keiko se mit à pleurer, et son père vint vers elle.
« Keiko ! Un shinobi ne montre jamais ses sentiments ! Ne pleure pas. Si tu as tué ton chat avec ton kunai, c’est que tu es faible, si tu continues comme ça, tu ne pourras pas aider tes compagnons, tu ne feras que les blesser ! ».
*C’est vrai… il n’a pas tord… mais c’est si dur. NON ! J’y arriverais, je redoublerais d’efforts !*
« Oui, Oto-san ! Je me remets immédiatement à l’entraînement ! »
Elle sécha ses larmes et se remit au travail. Depuis ce jour, on ne la revit plus pleurer, mais l’on dit que le soir, de temps en temps, on entend des sanglots près de la tombe de Hyûga Futsuki et du petit chat…
Un incident permis à Keiko d’en savoir plus sur sa famille. Un soir, alors que Keiko faisait ses devoirs dans sa chambre, un cousin de son père, Hyûga Tetsuo, vint rendre visite. Keiko n’y fit pas particulièrement attention, car elle ne l’aimait pas beaucoup. A chaque fois qu’elle le voyait, il lui lançait des regards presque haineux qui lui faisaient peur. Mais elle entendit du vacarme qui venait du salon, alors elle descendit voir ce qu’il se passait et quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit Tetsuo en train de secouer sa mère violement en hurlant des choses incompréhensible. Puis elle vit quelque chose qu’elle ne comprenait pas : Hiroshi cria un « STOP ! » et Tetsuo s’effondra sur le sol, se tenant la tête en hurlant de douleur. Un motif vert brillait sur son front. Hiroshi prit Tetsuo par le col et le jeta dehors, lui intimant de ne pas revenir. Lorsqu’il revint à l’intérieur, il aperçu Keiko, toute tremblotante et s’approcha d’elle.
« Oto-san… J’ai peur… Qu’est-ce qui s’est passé ? »
« Mon cousin et moi avions un différent au sujet de ta mère… Mais il ne nous embêtera plus. »
« Mais… Pourquoi est il tombé en hurlant ? C’était quoi ce dessin sur son front qui brillait ? »
« Bien… Je vais tout t’expliquer. Tu sais nos yeux ? Et bien leur couleur n’est pas leur seule particularité. En fait, ils nous servent à développer un puissant Doujutsu, appelé Byakugan. Toi aussi tu apprendras à le maîtriser quand l’heure sera venue. Il y a autre chose que tu dois savoir. Notre clan se sépare en deux branches : la Sôke et la Bunke. La première étant la branche principale. Seul le premier né d’un père appartenant à la Sôke rentre dans la Sôke, tous les autres font partis de la Bunke. Ce qui fait de toi un membre de la Sôke, te donnant des droits, mais aussi beaucoup de responsabilités. »
« Oto-san… Je ne comprends pas très bien. En quoi sommes nous différent des autres ? »
Et Hiroshi lui expliqua l’histoire de sa famille, la Sôke et la Bunke, leur doujutsu héréditaire et son utilisation jusqu’à tard dans la nuit.
Alors que Keiko flânait dans le centre ville, elle aperçu Tetsuo.
*Zut ! Je devrais essayer de me faire discrète…*
Mais Tetsuo l’avait déjà remarquée et se dirigeait vers elle. Quand il fut à son niveau, il lui lança en ricanant :
« Alors, comment ça va la mioche ? »
« Tais toi, méchant ! Un être de la Bunke tel que toi ne devrais même pas m’adresser la parole ! Va-t-en sinon… »
« Sinon quoi ? Tu ne maîtrises pas encore tes privilèges ! Je devrais peut être t’amocher un peu pour faire payer ton père ! »
« Si tu t’approches encore, je le dirais à mon père et il te tuera ! »
« Mais oui, c’est ça. Je vais te dire pourquoi je ne vous aime pas ton père et toi ! Tu aurais du être ma fille ! J’aimais Reiko de tout mon cœur, mais ton père me la vola ! Je ne lui pardonnerais jamais, malgré toutes mes tentatives, je ne pouvais jamais rien faire car ton père était toujours supérieur à moi ! Mais maintenant la providence m’offre une chance de me venger… »
Keiko vit Hiroshi s’approcher.
« Keiko ! Rentre à la maison tout de suite ! »
Keiko s’exécuta immédiatement, trop ravie de pouvoir s’en aller. Elle entendit son père dire à Tetsuo :
« Si tu t’approches encore de ma fille, je te tue… »
Une semaine plus tard, Keiko trouva une missive sur la table du salon. Saisie de curiosité, Keiko s’empara de la lettre.
*Tiens, c’est étrange, mon père a du l’oublier en sortant.*
Keiko se mit à lire, et voilà ce que disait la lettre :
*C’est triste que cela finisse comme ça… Il était donc incapable d’accepter sa situation, et surmonter son chagrin d’amour. Peut être que si les choses eussent étées différentes on aurait pu bien s’entendre…*Hiroshi-sama,
Votre cousin Hyûga Tetsuo a déserté il y a trois jours. Il sera poursuivi et exécuté quand nous le rattraperons. Toutes nos condoléances,
L’escouade des Anbu
Keiko reposa la lettre à sa place et remonta dans sa chambre. Elle fit une prière pour le repos de l’âme de Tetsuo et remercia le destin de l’avoir fait naître dans la Sôke. Elle fut cependant profondément bouleversée par cette histoire et ne reparla jamais de Hyûga Tetsuo.
Aujourd'hui, elle vient d'avoir 12 ans, elle embrassa son père le matin, et lui annonça "Oto-san, aujourd'hui je vais m'inscrire à l'académie, ma voie sera celle du Shinobi!". Son père hocha la tête, il ne dit rien, mais il était très fier...
Nindo : "Je n'abandonnerai jamais! La reconnaissance est au bout du chemin."
Caractère : Keiko, de nature, aime les choses bien faites, elle est studieuse et ne laisse jamais tomber. Habituée à être traitée comme une princesse et faisant partie de la Sôke, il lui arrive d’être arrogante. Elle se jette toujours à fond dans ce qu’elle fait et devient vite passionnée par les choses qui l’intéressent et pour les gens qu’elle apprécie.
Ce qu'elle aime : Les bons repas de maman, les nouvelles techniques, les nouveaux habits, le Ninja-Cola, Uchiwa Eikô et Tanaka Akane^^
Ce qu'elle n'aime pas : Les bonbons amers, les dragueurs, les pervers et les machos!
Ciel elle a plein de soeur,je suis au paradis :twisted:
je plaisante mais je croix aussi que keiko faisait juste de l'humour
