Publié : dim. 27 mars 2005, 19:11
Nom: Magabaraï
Prénom: Zato
Age: 19 ans
Physique: Taille moyenne, cheveux blonds et courts, yeux bleux-vert , une musculature séche et noueuse, vêtu en général de vêtement noirs et simple.
Impassible en toute circonstances, son visage ne reflete aucune émotions, comme s'il était figé en un masque permanent.
Caractère: Froid, calculateur, manipulateur et sournois...les adjectifs qui qualifie le mieux Magabaraï.
Vide d'émotions et de sentiments, affligé de surcroit d'une amnésie sur sa vie passé, il n'éprouve aucun remord, aucune peine.
Nindo: "Privé de passé, je n'ai aucun futur. Seul le bruit des os et le gout du sang font de moi un être tangible. Je suis le néant, vide mais pourtant plein, seul mes actes résonnent en ce monde. Alors je tuerait pour existé ."
Histoire:
"Alors la mort fondit sur ses malheureux lorsque le glas sonna a la barbe des valeureux"
Ses derniers mots résonnèrent comme les cloches d'une église dans la tête du paysan, qui finit par roulé par terre, détachée de son corp.
Les quelques gouttes de sang qui perlait sur la lame penché au dessus du corp s'égoutaient lentement alors que les cris des femmes et des enfants résonnait dans le village en flamme, les pillards s'en donnaient a coeur joie et tuait a tour de bras, portant la mort sur chaque être qui vivait paisiblement quelques minutes plutot.
Toujours au dessus du corp sans tête, un homme léchait a présent la lame de son katana encore rougit par le sang des ses précédentes victimes :
"Oh nectar divin, tu m'apporte joie et paix alors que dans mon monde le sang coule en vain."
Amateur de poésie et Haïku, le meurtrier ce tenait debout au milieu d'un charnier, des corps brulés et mutilés jonchaient le sol, alors que les flammes du brasier avaient fait de ce petit havre de paix un véritable enfer :
"Hey, Magabaraï, finit de jouer a la poupée, on va rentré maintenant"
L'homme qui venait de parlé etait un véritable colosse, une montagne de muscles, chauve, une superbe barbe qui caressait son torse énorme et pleins de cicatrices.
Monté sur un magnifique cheval noir, il observait l'homme au milieu des morts, Magabaraï le Faucheur, un meurtrier sans aucun scrupules.
Alors qu'il l'avait rencontré a Kiri, le chef des brigands pensait avoir fait une belle affaire en s'attachant les services d'un tueur aussi redouté, mais aujourd'hui, il avait quelques doutes quand a la réel valeur de cet homme...
En effet, a part mutilé, tué, massacré des dizaines de personnes a chaque raide, il n'etait pas vraiment utile...
C'etait un dangereux meurtrier qui prenait un plaisir sadique a découpé un nombre incalculable de pauvres gens en récitant de la poésie, aujourd'hui il etait de son coté, mais qu'est ce qui lui certifiait que ce danger publique ne serait pas son ennemi demain ?
Il etait décidément trop incontrolable...
Zato s'avançait lentement vers la tente du chef des brigands, qui venait de le demandé.
Cela ne l'enchantait guère de se plié aux "ordres" d'un homme aussi peu raffiné, mais il lui permetait de tué autant qu'il voulait...
La toile de la tente s'ecarta légerement et zato pénétra dans la tente du chef, celui ci etait allongé sur des coussins mulitcolors, en train de se gavé de fruits juteux :
"Assied toi Magabaraï"
Zato pencha légerement la tête sur le coté dans une moue d'incompréhension
"Ou reste debout...en faisant apelle a toi j'éspérait que tu te montrerait un peu plus docile, mais en fait je me suis rendu compte a mes dépends que tu n'etait qu'un fauve sauvage, et moi les bêtes sauvages, elles me servent de descente de lit..."
Sur ses dernières paroles les toiles de la tentes se soulvèrent avec fureur et une dizaine d'hommes en armes firent leur entré.
"Tué le"
Le chef des brigands etait toujours assis au milieu de la pièce se déléctant du spéctacle a venir.
Les brigands encerclait maintenant le Faucheur mais semblait hésité a s'approché de lui, quand l'un d'eux se décida a porté le premier coup et finit sa course sur l'un de ses camarades, le coude brisé, l'os a présent saillant etait venu perçé sa chair dans un craquement atroce, profitant de la surprise général, Magabaraï en profita pour se jeté sur le chef des brigands dans le centre de la pièce et le mordit au niveau du coup, avec violence et détérmination, le sang ne tarda pas a jaillir de la plaie.
Le chef se débattait avec violence quand Zato sentit une vive douleur suivit d'un léger courant frais sur son flanc gauche, comme si de l'air pénétrait son ventre...
Il lacha alors prise et se rendit compte qu'une dague était figé dans ses cotes.
Ce fut alors un déluge de coup et de sang, une dizaine d'homme en colère se livrait a une curée violente et sanglante...
Le Marchand se tenait prés de la rivière, son fils péchait prés de lui et il profitait de cette halte pour revoir son livre de compte :
"Regarde papa, il y'a un monsieur dans l'eau."
"Un monsieur dans l'eau ? mais qu'est ce que..."
le petit garçon pointait du doigt une masse flottante suivit d'un halo rouge sang.
Le marchand fit un bond et entreprit d'oté son Kimono afin de porté secours au malheureux :
"tenez bon l'ami !!! j'arrive !!!"
il se jeta a l'eau et aprés quelques secondes regagnait la berge en tirant le corp sanglant de l'homme.
"Ou suis je ?"
Ce furent les premiers mots prononçés par Zato a son réveil, dans la maison du Marchand
"Vous etes chez moi, je vous est transporté jusque ici et ma femme c'est occupé de vos blessures comme elle le pouvait, cela fait 3 jours que vous etes sans connaissance...comment vous sentez vous ?"
"Qui etes vous ?"
Le marchand sourit et s'adressa a lui avec douceur
"Je suis Kenpö Morita, marchand de mon état et...et vous ?"
Magabaraï resta un instant silencieux avant de déclaré
"je ne sait pas..."
Le marchand sourit a nouveau et dit :
"Oh, c'est surement une amnésie temporaire du au AAAARGH...!!??"
La main de Zato venait de se refermé sur la gorge de l'homme et il serrait a présent de toute ses forces la carrotide de l'homme, jusqu'a entendre un léger craquement, plutôt sourd, les yeux de l"homme se révulsèrent et Zato relacha son étreinte, puis regarda sa main, comme si ce geste lui était famillier, sans pour autant comprendre ce qu'il faisait, il se leva avec difficulté, saisit son manteau taché de sang et l'enfila, il ouvrit ensuite la porte de la chambre et sortit dans le couloir ou l'enfant jouait :
"j'ai entendu papa crié, vous jouer a quoi ?"
Magabaraï sourit a l'enfant, un sourir carnassier :
"Ton papa dort, il ne faut pas le déranger..."
L'enfant fit oui de la tête et continua son jeu innocent sans se douté de ce qu'il se tramait.
Zato déscendit lentement les marches de l'escalier et marcha en silence dans la maison, en suivant le son d'une voix qui émanait de la cuisine, une voix douce qui chantait une chanson populaire.
Une fois dans la cuisine il marcha a pas de loup vers la femme qui etait affairé a préparé le repas du soir, tellement affairé qu'elle ne vit pas la lame du couteau s'enfonçé sans son flanc droit, le sang coulait a flots et Zato ota finallement sa main de la bouche de la femme une fois qu'elle avait cessé de geindre...
Il s'accroupit et toucha le fluide vitale du bout des doigts, qu'il porta ensuite a sa bouche...ce gout la...il le connaissait aussi...
Il sortit de la maison, un instant aveuglé par la lumière du soleil et referma soigneusement la porte, il prit ensuite le premier chemin qu'il rencontra et se mit a avançé, un sourire au lèvres, il devait tué pour comprendre, pour se souvenir...il marchait vers l'inconnu, il verrait bien ou ses pas le conduirait, la nuit tombait sur le pays et un cri s'eleva dans l'air, un cri de terreur et de douleur, un cri d'enfant...
Aime :
-La Poésie
-Se sentir vivre a travers la mort d'autrui
-Le Feu
Détèste :
-Qu'on le prenne pour un fou, c'est un artiste.
-Le manque de raffinement
-Lui même
Objectif :
Recouvrer la mémoire et atteindre la rédemption .
Prénom: Zato
Age: 19 ans
Physique: Taille moyenne, cheveux blonds et courts, yeux bleux-vert , une musculature séche et noueuse, vêtu en général de vêtement noirs et simple.
Impassible en toute circonstances, son visage ne reflete aucune émotions, comme s'il était figé en un masque permanent.
Caractère: Froid, calculateur, manipulateur et sournois...les adjectifs qui qualifie le mieux Magabaraï.
Vide d'émotions et de sentiments, affligé de surcroit d'une amnésie sur sa vie passé, il n'éprouve aucun remord, aucune peine.
Nindo: "Privé de passé, je n'ai aucun futur. Seul le bruit des os et le gout du sang font de moi un être tangible. Je suis le néant, vide mais pourtant plein, seul mes actes résonnent en ce monde. Alors je tuerait pour existé ."
Histoire:
"Alors la mort fondit sur ses malheureux lorsque le glas sonna a la barbe des valeureux"
Ses derniers mots résonnèrent comme les cloches d'une église dans la tête du paysan, qui finit par roulé par terre, détachée de son corp.
Les quelques gouttes de sang qui perlait sur la lame penché au dessus du corp s'égoutaient lentement alors que les cris des femmes et des enfants résonnait dans le village en flamme, les pillards s'en donnaient a coeur joie et tuait a tour de bras, portant la mort sur chaque être qui vivait paisiblement quelques minutes plutot.
Toujours au dessus du corp sans tête, un homme léchait a présent la lame de son katana encore rougit par le sang des ses précédentes victimes :
"Oh nectar divin, tu m'apporte joie et paix alors que dans mon monde le sang coule en vain."
Amateur de poésie et Haïku, le meurtrier ce tenait debout au milieu d'un charnier, des corps brulés et mutilés jonchaient le sol, alors que les flammes du brasier avaient fait de ce petit havre de paix un véritable enfer :
"Hey, Magabaraï, finit de jouer a la poupée, on va rentré maintenant"
L'homme qui venait de parlé etait un véritable colosse, une montagne de muscles, chauve, une superbe barbe qui caressait son torse énorme et pleins de cicatrices.
Monté sur un magnifique cheval noir, il observait l'homme au milieu des morts, Magabaraï le Faucheur, un meurtrier sans aucun scrupules.
Alors qu'il l'avait rencontré a Kiri, le chef des brigands pensait avoir fait une belle affaire en s'attachant les services d'un tueur aussi redouté, mais aujourd'hui, il avait quelques doutes quand a la réel valeur de cet homme...
En effet, a part mutilé, tué, massacré des dizaines de personnes a chaque raide, il n'etait pas vraiment utile...
C'etait un dangereux meurtrier qui prenait un plaisir sadique a découpé un nombre incalculable de pauvres gens en récitant de la poésie, aujourd'hui il etait de son coté, mais qu'est ce qui lui certifiait que ce danger publique ne serait pas son ennemi demain ?
Il etait décidément trop incontrolable...
Zato s'avançait lentement vers la tente du chef des brigands, qui venait de le demandé.
Cela ne l'enchantait guère de se plié aux "ordres" d'un homme aussi peu raffiné, mais il lui permetait de tué autant qu'il voulait...
La toile de la tente s'ecarta légerement et zato pénétra dans la tente du chef, celui ci etait allongé sur des coussins mulitcolors, en train de se gavé de fruits juteux :
"Assied toi Magabaraï"
Zato pencha légerement la tête sur le coté dans une moue d'incompréhension
"Ou reste debout...en faisant apelle a toi j'éspérait que tu te montrerait un peu plus docile, mais en fait je me suis rendu compte a mes dépends que tu n'etait qu'un fauve sauvage, et moi les bêtes sauvages, elles me servent de descente de lit..."
Sur ses dernières paroles les toiles de la tentes se soulvèrent avec fureur et une dizaine d'hommes en armes firent leur entré.
"Tué le"
Le chef des brigands etait toujours assis au milieu de la pièce se déléctant du spéctacle a venir.
Les brigands encerclait maintenant le Faucheur mais semblait hésité a s'approché de lui, quand l'un d'eux se décida a porté le premier coup et finit sa course sur l'un de ses camarades, le coude brisé, l'os a présent saillant etait venu perçé sa chair dans un craquement atroce, profitant de la surprise général, Magabaraï en profita pour se jeté sur le chef des brigands dans le centre de la pièce et le mordit au niveau du coup, avec violence et détérmination, le sang ne tarda pas a jaillir de la plaie.
Le chef se débattait avec violence quand Zato sentit une vive douleur suivit d'un léger courant frais sur son flanc gauche, comme si de l'air pénétrait son ventre...
Il lacha alors prise et se rendit compte qu'une dague était figé dans ses cotes.
Ce fut alors un déluge de coup et de sang, une dizaine d'homme en colère se livrait a une curée violente et sanglante...
Le Marchand se tenait prés de la rivière, son fils péchait prés de lui et il profitait de cette halte pour revoir son livre de compte :
"Regarde papa, il y'a un monsieur dans l'eau."
"Un monsieur dans l'eau ? mais qu'est ce que..."
le petit garçon pointait du doigt une masse flottante suivit d'un halo rouge sang.
Le marchand fit un bond et entreprit d'oté son Kimono afin de porté secours au malheureux :
"tenez bon l'ami !!! j'arrive !!!"
il se jeta a l'eau et aprés quelques secondes regagnait la berge en tirant le corp sanglant de l'homme.
"Ou suis je ?"
Ce furent les premiers mots prononçés par Zato a son réveil, dans la maison du Marchand
"Vous etes chez moi, je vous est transporté jusque ici et ma femme c'est occupé de vos blessures comme elle le pouvait, cela fait 3 jours que vous etes sans connaissance...comment vous sentez vous ?"
"Qui etes vous ?"
Le marchand sourit et s'adressa a lui avec douceur
"Je suis Kenpö Morita, marchand de mon état et...et vous ?"
Magabaraï resta un instant silencieux avant de déclaré
"je ne sait pas..."
Le marchand sourit a nouveau et dit :
"Oh, c'est surement une amnésie temporaire du au AAAARGH...!!??"
La main de Zato venait de se refermé sur la gorge de l'homme et il serrait a présent de toute ses forces la carrotide de l'homme, jusqu'a entendre un léger craquement, plutôt sourd, les yeux de l"homme se révulsèrent et Zato relacha son étreinte, puis regarda sa main, comme si ce geste lui était famillier, sans pour autant comprendre ce qu'il faisait, il se leva avec difficulté, saisit son manteau taché de sang et l'enfila, il ouvrit ensuite la porte de la chambre et sortit dans le couloir ou l'enfant jouait :
"j'ai entendu papa crié, vous jouer a quoi ?"
Magabaraï sourit a l'enfant, un sourir carnassier :
"Ton papa dort, il ne faut pas le déranger..."
L'enfant fit oui de la tête et continua son jeu innocent sans se douté de ce qu'il se tramait.
Zato déscendit lentement les marches de l'escalier et marcha en silence dans la maison, en suivant le son d'une voix qui émanait de la cuisine, une voix douce qui chantait une chanson populaire.
Une fois dans la cuisine il marcha a pas de loup vers la femme qui etait affairé a préparé le repas du soir, tellement affairé qu'elle ne vit pas la lame du couteau s'enfonçé sans son flanc droit, le sang coulait a flots et Zato ota finallement sa main de la bouche de la femme une fois qu'elle avait cessé de geindre...
Il s'accroupit et toucha le fluide vitale du bout des doigts, qu'il porta ensuite a sa bouche...ce gout la...il le connaissait aussi...
Il sortit de la maison, un instant aveuglé par la lumière du soleil et referma soigneusement la porte, il prit ensuite le premier chemin qu'il rencontra et se mit a avançé, un sourire au lèvres, il devait tué pour comprendre, pour se souvenir...il marchait vers l'inconnu, il verrait bien ou ses pas le conduirait, la nuit tombait sur le pays et un cri s'eleva dans l'air, un cri de terreur et de douleur, un cri d'enfant...
Aime :
-La Poésie
-Se sentir vivre a travers la mort d'autrui
-Le Feu
Détèste :
-Qu'on le prenne pour un fou, c'est un artiste.
-Le manque de raffinement
-Lui même
Objectif :
Recouvrer la mémoire et atteindre la rédemption .
