Re: Let's get ready ?
Publié : mer. 25 févr. 2009, 19:43
Kiri...
Là-bas tout était trop facile...aucun mérite à tuer. A cause de la brume, la tâche est si aisée que n'importe qui peut prétendre au poste d'assassin. Revendiquez un meurtre et on vous reprochera de ne pas en avoir commis deux. Non vraiment... on ne tire aucun mérite pour verser le sang.
Là-bas, on ne meurt pas en héros. On tue jusqu'à se faire tuer soi-même.
Là-bas, les enfants ne crient pas, car ils savent que s'ils survivent aux sévices qu'on leur fait subir, ils en sortiront plus forts.
Là-bas... autrefois, les examens consistaient à s'entretuer sauvagement et la place allait aux vainqueurs.
C'était le bon vieux temps.
Et puis les méthodes ont changé, jugées trop viles par les autres pays... ah, faiblesse universelle!
Les examens ont pris l'aspect de n'importe quel examen de n'importe quel village...
Alors je suis parti.
Jusqu'à ce jour où il fut décidé de voler à Yuki le privilège de l'examen chuunin...
Le nouveau régime en place jugea qu'il était temps de mettre fin à ces méthodes trop douces qui à la place de faire des guerriers donnaient naissance à des enfants chétifs.
On organisa les épreuves, méticuleusement.
Il ne devait y avoir aucun faux-pas, aucune erreur. Tout le monde reconnaîtrait ainsi la grandeur de Kiri, le village de la brume sanglante.
On dirait que les choses ont changé
Ainsi les gens verraient, non pas la majesté des épreuves d'autrefois, mais la cruauté d'un monde que l'on pensait disparu.
Tremblez, mes chéris, car si vous pensiez Kiri la fin possible de votre triste existence, ce n'est cependant que le début d'un enfer qui vous perdra peu à peu.
Personne ne vous entendra crier.
N'ayez pas peur de mourir,
Craignez plutôt de survivre,
Car alors, insidieusement, inexorablement, c'est la folie qui vous prendra,
Et qui vous fera regretter de n'être pas, en ce temps où vous étiez encore jeunes, déterminés et plein d'espoir, tombés pour la gloire à l'image de tous ces anciens camarades dont les visages s'effacent peu à peu de votre mémoire, comme s'ils n'avaient jamais existé, déformés et hurlant tels des démons, venant hanter vos rêves les plus tendres les quelques nuits où Morphée daignera encore vous accorder sa clémence.
Vous avez peur ? Vous n'avez encore rien vu.
Là-bas tout était trop facile...aucun mérite à tuer. A cause de la brume, la tâche est si aisée que n'importe qui peut prétendre au poste d'assassin. Revendiquez un meurtre et on vous reprochera de ne pas en avoir commis deux. Non vraiment... on ne tire aucun mérite pour verser le sang.
Là-bas, on ne meurt pas en héros. On tue jusqu'à se faire tuer soi-même.
Là-bas, les enfants ne crient pas, car ils savent que s'ils survivent aux sévices qu'on leur fait subir, ils en sortiront plus forts.
Là-bas... autrefois, les examens consistaient à s'entretuer sauvagement et la place allait aux vainqueurs.
C'était le bon vieux temps.
Et puis les méthodes ont changé, jugées trop viles par les autres pays... ah, faiblesse universelle!
Les examens ont pris l'aspect de n'importe quel examen de n'importe quel village...
Alors je suis parti.
Jusqu'à ce jour où il fut décidé de voler à Yuki le privilège de l'examen chuunin...
Le nouveau régime en place jugea qu'il était temps de mettre fin à ces méthodes trop douces qui à la place de faire des guerriers donnaient naissance à des enfants chétifs.
On organisa les épreuves, méticuleusement.
Il ne devait y avoir aucun faux-pas, aucune erreur. Tout le monde reconnaîtrait ainsi la grandeur de Kiri, le village de la brume sanglante.
On dirait que les choses ont changé
Ainsi les gens verraient, non pas la majesté des épreuves d'autrefois, mais la cruauté d'un monde que l'on pensait disparu.
Tremblez, mes chéris, car si vous pensiez Kiri la fin possible de votre triste existence, ce n'est cependant que le début d'un enfer qui vous perdra peu à peu.
Personne ne vous entendra crier.
N'ayez pas peur de mourir,
Craignez plutôt de survivre,
Car alors, insidieusement, inexorablement, c'est la folie qui vous prendra,
Et qui vous fera regretter de n'être pas, en ce temps où vous étiez encore jeunes, déterminés et plein d'espoir, tombés pour la gloire à l'image de tous ces anciens camarades dont les visages s'effacent peu à peu de votre mémoire, comme s'ils n'avaient jamais existé, déformés et hurlant tels des démons, venant hanter vos rêves les plus tendres les quelques nuits où Morphée daignera encore vous accorder sa clémence.
Vous avez peur ? Vous n'avez encore rien vu.