Ven 01 Aoû 2008 - Hasura Yumi
Publié : mer. 25 juin 2008, 19:59
Nom : Hasura
Prénom : Yumi
Âge : 13 ans
Histoire : Konoha est un village caché. Pour certains, c'est le joyau militaire que le monde envie au Pays du Feu ; pour d'autres, un ramassis de soi-disant guerriers un peu neuneus sur les bords. Pour le père de Yumi, Konoha représente d'abord une formidable opportunité de faire du business.
Venu des profondeurs du pays du Feu, il avait implanté sa boutique à l'orée de la guerre entre les villages cachés. Sa petite entreprise, Adieu Shinobi, n'a jamais connu la crise. Hasura Kishii s'était spécialisé dans les funérailles en grande pompe des soldats tombés pour des raisons qui, bien entendu, les dépassaient. Cet homme avait un don. Aux familles en pleurs qui frappaient à sa porte, il apportait soutien, réconfort. Puis il suggérait des ornements, une cérémonie un peu plus longue, pourquoi pas des couronnes de fleurs, et une fanfare, c'est joli une fanfare, non ? De fil en aiguille, il devenait pour les familles un ami, et d'exubérances en exagérations leurs torrents de larmes faisaient chanter son tiroir caisse.
"Escroc ? Moi, un escroc ? Vous connaissez un de mes clients qui regrette d'avoir fait appel à moi ?" avait-il rétorqué une fois à un concurrent furieux. C'était vrai. Personne ne s'était jamais plaint. Sans doute parce que renâcler à payer celui qui rend le dernier hommage à votre fils aurait été perçu comme une disgracieuse trahison de la dignité du défunt. En bon croque-mort qu'il était, Kishii jouait les offusqués, portait sa conscience comme une bannière, puis enterrait en sifflotant les hommes tombés au front. Le cours des larmes n'était pas prêt de tomber.
C'est dans cet environnement sain qu'a grandi la petite Yumi, dernière d'un combo de 4 filles. Chouchoutée par une mère légèrement irresponsable, la minuscule benjamine a eu beau jeu d'apprendre à obtenir tout ce qu'elle voulait. Rendre ses soeurs jalouses était devenu un exercice d'art. Les crises de larmes succédaient aux crêpages de chignons, les complots se nouaient, les attentats se fomentaient. Quand les conflits n'éclataient pas au sein de la maison, ils se jouaient dehors, dans les rues de leur quartier, le seul endroit où les soeurs faisaient front commun. Aux yeux d'un adulte, ce n'était que des pécadilles infantiles. Mais pour elles, leurs guerres étaient autrement plus sérieuses que celles que les grands se faisaient entre eux et dont l'écho résonnait jusqu'aux murs d'Adieu Shinobi.
Kishii avait juré qu'il n'arrêterait pas de faire des enfants avant d'avoir un fils. Dépité à l'extrême lors de la naissance de Yumi, son père prit son mal en patience et décida malgré tout de sensibiliser ses filles à son métier. Leur aide s'avéra précieuse : qui de mieux qu'une petite fille dont les yeux adorables s'embuent de larmes pour mettre de son côté une mère de famille éplorée ? Kishii apprit rapidement à utiliser ses mignonnes petites filles pour adoucir l'image de son enseigne. Pour elles, c'était un moyen de se faire de l'argent de poche. Rien de plus. Leur regard sur la mort des autres devenait petit à petit complètement détaché : une chose terriblement banale. Elles n'éprouvaient aucune tristesse, mais leur empathie envers les proches était sincère.
A l'adolescence, les soeurs de Yumi étaient comme toutes les filles de leur âge des rebelles irrécupérables, et cessèrent d'aider leurs parents au magasin. Yumi se frotta les mains : moins de main d'oeuvre égale plus d'argent à distribuer, et elle sentait déjà entre ses doigts le contact froids des ryos qu'elle dépenserait aussitôt en maquillage et autres vêtements. Car Yumi, 10 ans, avait une autre bonne raison de se porter volontaire à la boutique : elle était amoureuse.
On aurait pu objecter que l'objet de ses sentiments changeait toutes les deux semaines. Mais peu lui en importait. Yumi aimait les ninja. C'était autre chose que ses amoureux de l'école, tellement arrogants et pourtant si faibles. Les shinobis qui venaient au magasin étaient grands, forts, parfois parés de cicatrices qui étaient autant de louanges à leur bravoure et leur intrépidité. Accoudée au comptoir, Yumi rêvait en regardant leurs démarches austères, leurs carrures puissantes. Leurs yeux étaient durs et profonds à la fois, et tous avaient dans le regard cette exigence froide qui était celle des militaires. Si ce regard là croisait celui de Yumi, la pauvre rougissait ; si, attendri, il venait à sourire, le coeur de la petite battrait jusqu'à, sûrement, exploser, un jour.
A force de visites, un vieux ninja était devenu l'ami du père de Kishii. Les deux hommes avait en commun un goût prononcé pour l'humour noir et une inimitié certaine au sein de leurs professions respectives. Lorsqu'il l'invitait à diner avec sa famille, le vieux shinobi se faisait un plaisir de raconter dans les détails ses aventures, ses voyages, ses combats. Et Yumi buvait ses paroles, elle voyageait avec lui dans ses souvenirs de batailles et de rencontres. Faisant peu de cas du secret militaire, il parlait parfois de l'envers du décor, des trahisons et manipulations qui agitaient les états-majors. Quelque chose était en train de changer à l'intérieur de Yumi. Fascinée, elle ne manquait jamais une occasion de demander au vieux soldat de lui raconter ses histoires quand il passait au magasin. Il lui montrait ses armes, lui expliquait comment telle technique lui avait un jour sauvé la vie ...
Élève passable, Yumi avait à 13 ans lu tout ce qu'elle pouvait lire sur la profession de shinobi et sur les puissances militaires. Dans ses fantaisies de petite fille, elle se voyait déjà en pleine mission secrète, aux prises avec des ennemis terribles. Et puis il y avait ce beau ninja qui se battrait à ses côtés, bien sûr. Elle surpasserait sans peine des adversaires effrayés par son aura et sa puissance, mais subjugués par sa beauté. Elle serait comme les plus grandes kunoichi la fleur meurtrière des champs de batailles, et tous apprendraient à respecter son nom.
Fatigué de la voir lancer des kunai imaginaires dans toute la maison, le père de Yumi lui demanda simplement si elle voulait devenir ninja. La mère de Yumi étouffa un petit rire, puis, quand Yumi enthousiaste répondit par l'affirmative, éclata en sanglots bruyants. Kishii échangea un regard interloqué avec la fillette puis entreprit de consoler sa femme. Non, ça n'était pas grave ; non, elle n'irait pas au front puisque la guerre était finie ; bien sûr, elle reviendrait à la maison ; et puis (Kishii lui chuchota au creux de l'oreille) après quelques semaines à l'académie elle comprendrait qu'on ne devient pas shinobi sur un coup de tête, et ça lui donnera une leçon. Finalement, après que trop de mouchoirs soient morts en vain, Yumi reçut l'aval de ses deux parents. Elle explosa de joie, les embrassa une bonne dizaine de fois chacun, et alla se coucher en état de surexcitation avancé. Pourtant elle allait avoir besoin d'énergie : le lendemain matin, elle irait s'inscrire à l'Académie de la Feuille.
Apparence : Pour éviter les remarques désagréables sur le jeune âge de ses filles, Kishii les a toujours encouragées à se dire plus âgées devant les clients. Suivant fidèlement son conseil, Yumi prit l'habitude de se maquiller avec sa mère. Elle apprit également à mettre en valeur ses formes naissantes et pourtant étonnamment développées. Yumi est assez grande pour son âge, et quand elle le veut, elle peut facilement passer pour une fille de 17 ans. Ce qui lui attire souvent les regards de garçons plus âgés. Mais son visage rieur encadré de cheveux rouges et son sourire d'enfant trahissent la jeune fille. Elle a des beaux yeux et elle le sait ; c'est pourquoi elle les maquille assez peu. Côté fringues, depuis qu'elle s'est prise de passion pour les shinobis, elle essaye de s'habiller de manière à pouvoir bouger facilement : elle porte des hauts sans manches, des shorts et des tuniques assez courtes. Il n'est pas rare de la voir chercher des yeux une surface réfléchissante pour recoiffer ses cheveux mi-longs. Elle tient beaucoup à leur teinte rouge malgré les moqueries de ses soeurs et de son père.
Caractère : Son expérience dans les pas de son père à la boutique lui a appris à mentir subtilement et à manipuler les âmes en peine. D'un naturel affable, elle est énergique, parfois naïve sur certains sujets. Elle possède une espèce d'égoïsme dur envers les autres : ses notions de bien et de mal sont encore assez floues. Yumi est aussi et surtout très attirée par les garçons. Tant qu'elle le peut, elle fera des pieds et des mains pour se faire remarquer et s'attirer leurs faveurs. Surtout les ninja. Elle est ambitieuse, mais ses rêves sont à elle et pour elle. Le patriotisme la laisse de marbre et la camaraderie est un moyen commode de se faire des amis qui sont aussi des alliés. Elle préfère se battre pour ses objectifs : si ce sont aussi les objectifs du village de Konoha, où est le problème ? La philosophie du "tout-le-monde-est-content" de son père l'inspire beaucoup dans sa vie de tous les jours. En cas de conflit, Yumi ne tient pas rancoeur mais n'oubliera jamais de retenir l'affront ; si on peut rappeler à quelqu'un ses erreurs et raviver sa culpabilité, pourquoi pas ?
Nindô : "J'arrive !"
Qualités : Motivée, énergique, souriante, curieuse.
Défauts : Légèrement intolérante, un peu manipulatrice, égocentrique et parfois vile.
Ce qu'elle aime : les garçons, les shinobi, les armes, les couronnes de fleurs, sa famille et les anchois.
Ce qu'elle déteste : les personnes sans but, les garçons lourds, les filles plus belles, les asperges.
Prénom : Yumi
Âge : 13 ans
Histoire : Konoha est un village caché. Pour certains, c'est le joyau militaire que le monde envie au Pays du Feu ; pour d'autres, un ramassis de soi-disant guerriers un peu neuneus sur les bords. Pour le père de Yumi, Konoha représente d'abord une formidable opportunité de faire du business.
Venu des profondeurs du pays du Feu, il avait implanté sa boutique à l'orée de la guerre entre les villages cachés. Sa petite entreprise, Adieu Shinobi, n'a jamais connu la crise. Hasura Kishii s'était spécialisé dans les funérailles en grande pompe des soldats tombés pour des raisons qui, bien entendu, les dépassaient. Cet homme avait un don. Aux familles en pleurs qui frappaient à sa porte, il apportait soutien, réconfort. Puis il suggérait des ornements, une cérémonie un peu plus longue, pourquoi pas des couronnes de fleurs, et une fanfare, c'est joli une fanfare, non ? De fil en aiguille, il devenait pour les familles un ami, et d'exubérances en exagérations leurs torrents de larmes faisaient chanter son tiroir caisse.
"Escroc ? Moi, un escroc ? Vous connaissez un de mes clients qui regrette d'avoir fait appel à moi ?" avait-il rétorqué une fois à un concurrent furieux. C'était vrai. Personne ne s'était jamais plaint. Sans doute parce que renâcler à payer celui qui rend le dernier hommage à votre fils aurait été perçu comme une disgracieuse trahison de la dignité du défunt. En bon croque-mort qu'il était, Kishii jouait les offusqués, portait sa conscience comme une bannière, puis enterrait en sifflotant les hommes tombés au front. Le cours des larmes n'était pas prêt de tomber.
C'est dans cet environnement sain qu'a grandi la petite Yumi, dernière d'un combo de 4 filles. Chouchoutée par une mère légèrement irresponsable, la minuscule benjamine a eu beau jeu d'apprendre à obtenir tout ce qu'elle voulait. Rendre ses soeurs jalouses était devenu un exercice d'art. Les crises de larmes succédaient aux crêpages de chignons, les complots se nouaient, les attentats se fomentaient. Quand les conflits n'éclataient pas au sein de la maison, ils se jouaient dehors, dans les rues de leur quartier, le seul endroit où les soeurs faisaient front commun. Aux yeux d'un adulte, ce n'était que des pécadilles infantiles. Mais pour elles, leurs guerres étaient autrement plus sérieuses que celles que les grands se faisaient entre eux et dont l'écho résonnait jusqu'aux murs d'Adieu Shinobi.
Kishii avait juré qu'il n'arrêterait pas de faire des enfants avant d'avoir un fils. Dépité à l'extrême lors de la naissance de Yumi, son père prit son mal en patience et décida malgré tout de sensibiliser ses filles à son métier. Leur aide s'avéra précieuse : qui de mieux qu'une petite fille dont les yeux adorables s'embuent de larmes pour mettre de son côté une mère de famille éplorée ? Kishii apprit rapidement à utiliser ses mignonnes petites filles pour adoucir l'image de son enseigne. Pour elles, c'était un moyen de se faire de l'argent de poche. Rien de plus. Leur regard sur la mort des autres devenait petit à petit complètement détaché : une chose terriblement banale. Elles n'éprouvaient aucune tristesse, mais leur empathie envers les proches était sincère.
A l'adolescence, les soeurs de Yumi étaient comme toutes les filles de leur âge des rebelles irrécupérables, et cessèrent d'aider leurs parents au magasin. Yumi se frotta les mains : moins de main d'oeuvre égale plus d'argent à distribuer, et elle sentait déjà entre ses doigts le contact froids des ryos qu'elle dépenserait aussitôt en maquillage et autres vêtements. Car Yumi, 10 ans, avait une autre bonne raison de se porter volontaire à la boutique : elle était amoureuse.
On aurait pu objecter que l'objet de ses sentiments changeait toutes les deux semaines. Mais peu lui en importait. Yumi aimait les ninja. C'était autre chose que ses amoureux de l'école, tellement arrogants et pourtant si faibles. Les shinobis qui venaient au magasin étaient grands, forts, parfois parés de cicatrices qui étaient autant de louanges à leur bravoure et leur intrépidité. Accoudée au comptoir, Yumi rêvait en regardant leurs démarches austères, leurs carrures puissantes. Leurs yeux étaient durs et profonds à la fois, et tous avaient dans le regard cette exigence froide qui était celle des militaires. Si ce regard là croisait celui de Yumi, la pauvre rougissait ; si, attendri, il venait à sourire, le coeur de la petite battrait jusqu'à, sûrement, exploser, un jour.
A force de visites, un vieux ninja était devenu l'ami du père de Kishii. Les deux hommes avait en commun un goût prononcé pour l'humour noir et une inimitié certaine au sein de leurs professions respectives. Lorsqu'il l'invitait à diner avec sa famille, le vieux shinobi se faisait un plaisir de raconter dans les détails ses aventures, ses voyages, ses combats. Et Yumi buvait ses paroles, elle voyageait avec lui dans ses souvenirs de batailles et de rencontres. Faisant peu de cas du secret militaire, il parlait parfois de l'envers du décor, des trahisons et manipulations qui agitaient les états-majors. Quelque chose était en train de changer à l'intérieur de Yumi. Fascinée, elle ne manquait jamais une occasion de demander au vieux soldat de lui raconter ses histoires quand il passait au magasin. Il lui montrait ses armes, lui expliquait comment telle technique lui avait un jour sauvé la vie ...
Élève passable, Yumi avait à 13 ans lu tout ce qu'elle pouvait lire sur la profession de shinobi et sur les puissances militaires. Dans ses fantaisies de petite fille, elle se voyait déjà en pleine mission secrète, aux prises avec des ennemis terribles. Et puis il y avait ce beau ninja qui se battrait à ses côtés, bien sûr. Elle surpasserait sans peine des adversaires effrayés par son aura et sa puissance, mais subjugués par sa beauté. Elle serait comme les plus grandes kunoichi la fleur meurtrière des champs de batailles, et tous apprendraient à respecter son nom.
Fatigué de la voir lancer des kunai imaginaires dans toute la maison, le père de Yumi lui demanda simplement si elle voulait devenir ninja. La mère de Yumi étouffa un petit rire, puis, quand Yumi enthousiaste répondit par l'affirmative, éclata en sanglots bruyants. Kishii échangea un regard interloqué avec la fillette puis entreprit de consoler sa femme. Non, ça n'était pas grave ; non, elle n'irait pas au front puisque la guerre était finie ; bien sûr, elle reviendrait à la maison ; et puis (Kishii lui chuchota au creux de l'oreille) après quelques semaines à l'académie elle comprendrait qu'on ne devient pas shinobi sur un coup de tête, et ça lui donnera une leçon. Finalement, après que trop de mouchoirs soient morts en vain, Yumi reçut l'aval de ses deux parents. Elle explosa de joie, les embrassa une bonne dizaine de fois chacun, et alla se coucher en état de surexcitation avancé. Pourtant elle allait avoir besoin d'énergie : le lendemain matin, elle irait s'inscrire à l'Académie de la Feuille.
Apparence : Pour éviter les remarques désagréables sur le jeune âge de ses filles, Kishii les a toujours encouragées à se dire plus âgées devant les clients. Suivant fidèlement son conseil, Yumi prit l'habitude de se maquiller avec sa mère. Elle apprit également à mettre en valeur ses formes naissantes et pourtant étonnamment développées. Yumi est assez grande pour son âge, et quand elle le veut, elle peut facilement passer pour une fille de 17 ans. Ce qui lui attire souvent les regards de garçons plus âgés. Mais son visage rieur encadré de cheveux rouges et son sourire d'enfant trahissent la jeune fille. Elle a des beaux yeux et elle le sait ; c'est pourquoi elle les maquille assez peu. Côté fringues, depuis qu'elle s'est prise de passion pour les shinobis, elle essaye de s'habiller de manière à pouvoir bouger facilement : elle porte des hauts sans manches, des shorts et des tuniques assez courtes. Il n'est pas rare de la voir chercher des yeux une surface réfléchissante pour recoiffer ses cheveux mi-longs. Elle tient beaucoup à leur teinte rouge malgré les moqueries de ses soeurs et de son père.
Caractère : Son expérience dans les pas de son père à la boutique lui a appris à mentir subtilement et à manipuler les âmes en peine. D'un naturel affable, elle est énergique, parfois naïve sur certains sujets. Elle possède une espèce d'égoïsme dur envers les autres : ses notions de bien et de mal sont encore assez floues. Yumi est aussi et surtout très attirée par les garçons. Tant qu'elle le peut, elle fera des pieds et des mains pour se faire remarquer et s'attirer leurs faveurs. Surtout les ninja. Elle est ambitieuse, mais ses rêves sont à elle et pour elle. Le patriotisme la laisse de marbre et la camaraderie est un moyen commode de se faire des amis qui sont aussi des alliés. Elle préfère se battre pour ses objectifs : si ce sont aussi les objectifs du village de Konoha, où est le problème ? La philosophie du "tout-le-monde-est-content" de son père l'inspire beaucoup dans sa vie de tous les jours. En cas de conflit, Yumi ne tient pas rancoeur mais n'oubliera jamais de retenir l'affront ; si on peut rappeler à quelqu'un ses erreurs et raviver sa culpabilité, pourquoi pas ?
Nindô : "J'arrive !"
Qualités : Motivée, énergique, souriante, curieuse.
Défauts : Légèrement intolérante, un peu manipulatrice, égocentrique et parfois vile.
Ce qu'elle aime : les garçons, les shinobi, les armes, les couronnes de fleurs, sa famille et les anchois.
Ce qu'elle déteste : les personnes sans but, les garçons lourds, les filles plus belles, les asperges.