Prénom : Mangetsu
Age : 15 ans
Sexe : féminin
Description physique : Mangetsu est une jeune fille mesurant 1 mètre 60 pour 48 kilogrammes. Fidèle à sa lignée, elle a les yeux bleus et les cheveux noirs. Ses cheveux sont la plupart du temps rassemblés en une queue de cheval sur l’arrière de la tête mais elle laisse toujours quelques mèches libres, dans un souci d’esthétisme.
Ces mèches encadrent un bien joli visage au teint halé sur lequel semble peint un éternel air de malice. Ses yeux pétillent en permanence et son sourire est la plupart du temps légèrement moqueur, ce qui laisse à supposer que Mangetsu est une jeune fille espiègle et c’est bien le cas.
D’un point de vue vestimentaire, notre jeune fille s’habille la plupart du temps en noir et blanc. Sa tenue favorite consiste en une veste et un pantalon, retenu sur ses hanches fines par une ceinture de cuir noir, tous deux blancs et à la coupe simple. Sous sa veste, elle porte un t-shirt noir qui vient contraster avec le reste de sa tenue et sur lequel est imprimé un motif dont elle seule connaît la signification puisque c’est elle qui l’y a dessiné. Et enfin elle porte des chaussures de sport, blanches elles aussi.
Bien proportionnée, Mangetsu a une silhouette agréable à regarder et on voit tout de suite que c’est une jeune fille sportive. Elle n’a pas non plus une carrure de nageuse mais on ne lui voit pas les côtes si je puis dire. Pour son âge, elle possède des formes plutôt bien développées et il n’est pas rare que quelques garçons se retournent sur son passage afin d’admirer la jeune fille.
Caractère : Comme le laissait supposer son expression, Mangetsu est une jeune fille assez espiègle, ce qui lui attire parfois des ennuis mais sa gentillesse et sa bonne humeur finissent toujours pas la tirer de ces faux pas. Ses plaisanteries peuvent parfois être mal interprétée mais on se rend rapidement compte qu’elle ne pensait pas à mal et alors on finit par lui pardonner, après tout que peut-on refuser à une fille aussi mignonne ?
Parfois rêveuse, elle peut aussi rester des heures sans rien dire à contempler une chose qu’elle seule verra. Dans ces moments là, vous aurez beau lui parler, gesticuler autour d’elle, elle ne vous répondra que par une alternance de oui et de non pour vous donner l’impression qu’elle vous écoute mais en réalité elle vous entend seulement. Absorbée qu’elle est par ses rêves, elle ne prêtera aucune attention à ce que vous pourrez bien lui dire.
Comme dit un peu plus haut, c’est également une jeune fille d’une grande gentillesse et qui est la plupart du temps de bonne humeur. Elle n’est pas du genre à se prendre la tête pour rien, préférant positiver que de se morfondre dans son coin. Un jour un homme lui a dit que la vie n’était pas drôle mais qu’il ne fallait pas le dire aux enfants, elle s’est contentée de lui répondre qu’elle en était une, d’enfant, et qu’elle ne l’avait donc pas entendu.
Il y a également une chose importante à savoir sur son caractère, Mangetsu ne se considère pas comme une héroïne et face à un danger trop grand, elle n’aura aucune honte à faire demi-tour. Elle n’a que 15 ans et ne tient absolument pas à écourter sa vie. Ça ne fait pas d’elle quelqu’un de lâche mais elle se considère comme étant réaliste et il est certains dangers contre lesquels on ne peut rien faire.
Histoire :
Ne perdant pas de temps, nous deux jeunes époux consommèrent leur nuit de noce dès qu’ils furent seuls dans leur chambre mais laissons leur un peu d’intimité et retrouvons les quelques années plus tard. Pour être précis, retrouvons les par une nuit de pleine lune, celle de la naissance de leur fille unique, Mangetsu. La petite arriva sans douleur, ce dont sa mère pouvait lui savoir gré et ce qui fut le cas.
Les deux époux avaient longuement réfléchi à un prénom mais n’avaient pas réussi à se décider si bien que le jour de la naissance, ni Hi, ni Tsuki ne savaient comment appeler cette enfant qui dormait paisiblement dans les bras de sa mère. Ce fut Hi qui trouva en regardant par la fenêtre et dont le regard croisa l’astre lunaire qui était déjà bien haut dans le ciel. Mangetsu, ce mot il le murmura tout d’abord avant de le répéter plus fort et d’éclater d’un petit rire. Il venait de trouver comment ils appelleraient leur fille chérie. Tsuki approuva ce nom et ainsi la petite fut baptisée.
À nouveau les années passèrent. Mangetsu grandit dans un environnement des plus sains, entourée de l’amour de ses deux parents. Ceux-ci étaient toujours là pour elle, que ce soit pour l’amener à l’école, ou ailleurs, la consoler lorsqu’elle avait fait un mauvais rêve et qu’elle s’était réveillée en pleurant, ou pour répondre aux multiples questions qu’on se pose sur la vie à son âge.
Comme tous les enfants de son âge, la petite Mangetsu fréquenta l’école du village et s’y fit de nombreux amis, peut-être que son nom aida car la famille Kukan bien que n’ayant pas l’importance des autres clans était quand même un nom respecté. Ces années, elle les traversa en courant et en riant et encore aujourd’hui, elle s’en souvient comme la plus belle période de sa vie.
À l’âge de 5 ans, elle vit sa mère quitter le domicile avec à la taille un objet long, tranchant et pourvu d’un manche. Une épée. D’abord surprise de voir sa fille levée si tôt, Tsuki s’approcha et lui passa la main dans les cheveux. Son enfant lui demanda alors ce qu’elle faisait avec une arme. Tsuki lui expliqua que c’était pour son travail. En tant que membre du clan Kukan elle avait choisi de devenir une kunoichi. Elle ajouta qu’elle pourraient en parler plus longuement ce soir si elle le souhaitait mais que là, elle devait partir travailler, sans quoi elle serait en retard pour sa mission.
Comme promis, le soir, la mère et la fille s’entretinrent longuement au sujet du clan et de la fameuse épée. Tsuki lui expliqua que comme elle avait choisi de devenir une maman, le clan et le village faisaient moins souvent appel à ses services mais qu’il arrivait encore qu’on lui confie une mission et que pour ces missions, il lui fallait s’armer et que cette arme était une épée. Elle lui expliqua également ce qu’était au juste son clan, qu’elle faisait partie d’une lignée d’épéistes et que si Mangetsu le souhaitait, cela pourrait être son futur.
Tsuki ne faisait pas partie de ces fanatiques qui voulaient à tout prix que leurs enfants passent pour de véritables surdoués dès leur inscription à l’académie en leur enseignant quantité de choses. Elle considérait que Suna était un bon village et que s’il y avait des professeurs pour enseigner les arts shinobi, ce n’était pas pour rien. Mangetsu était son héritière, son orgueil, mais elle ne lui prendrait pas son enfant pour faire d’elle une Kukan avant l’heure. De même qu’elle ne la forcerait pas à devenir une kunoichi, même si de ce point de vue là Mangetsu ne semblait guère avoir besoin d’être contrainte.
Hi de son côté voyait cette attirance pour le monde des ninja d’un assez bon œil puisque, à voir le physique de son enfant, elle tenait de sa mère et donc du clan Kukan. Et lui-même avait toujours voulu devenir un shinobi mais en raison d’une faible constitution, il lui avait fallu renoncer, ou plutôt son père avait renoncé pour lui. Mangetsu réussirait pour eux deux si tel était son choix. Il serait son plus grand fan.
Mangetsu grandit donc bercée par les récits de sa mère et s’entraîna à sa façon pour se préparer à devenir une grande kunoichi. Ses entraînements n’avaient rien d’exceptionnel, elle se contentait de courir régulièrement, de faire des pompes et des abdominaux mais pour elle c’était déjà beaucoup. Au moins ça la maintenait en forme, comme ces cocktails multi vitamines et les massages auxquels elle était accroc. À cette époque elle passait donc beaucoup de temps aux bains pour profiter des services de la masseuse. Le plus souvent elle y allait après son entraînement quotidien afin de se délasser et d’éliminer la sueur qui résultait de son footing.
Bien sûr elle n’avait pas commencé ces entraînements dès l’âge de 5 ans mais plutôt vers les 12 ans lorsqu’une amie à elle avait décidé de perdre du poids, ce qui n’était pas nécessaire selon Mangetsu, et que comme courir seule c’était ennuyeux, elle avait demandé à son amie de l’accompagner. Ce jour là, ça avait été le déclic puisque la petite s’était rendue compte que c’était en commençant dès maintenant à préparer son corps qu’elle pourrait devenir une grande kunoichi.
À 12 ans, elle aurait déjà pu s’inscrire à l’académie mais sa mère réussit à la convaincre d’attendre encore quelques années, de profiter encore un peu de son enfance car devenir une kunoichi signifiait quitter le monde des enfants et les mères veulent toujours protéger leur petit bébé.
Bien que l’envie d’entrer dans la cour des grands tenaillât Mangetsu, elle accepta de retarder son inscription pour faire plaisir à sa mère. Toutes deux convinrent qu’elle attendrait ses 15 ans pour s’inscrire mais qu’en contre partie, sa mère superviserait désormais ses entraînements. 3 ans, ce serait long mais Mangetsu voyait bien que ne pas accepter la proposition ferait de la peine à sa mère et ça elle s’y refusait. Son père se proposa également de l’aider dans ses entraînements. La mère s’occuperait de tout ce qui était physique et le père de la théorie.
Mens sana in corpore sano. Pour le corpore, Tsuki ne changea rien aux habitudes de sa fille bien aimée et continua avec elle les tours du quartier et les exercices de musculation mais elle ajoutait parfois quelques autres exercices de son cru tels qu’éviter des projectiles, travailler sa souplesse et même quelques acrobaties. Et de son côté, Hi lisait à sa fille des ouvrages traitant de stratégie ou relatant de grandes batailles afin que sa fille dispose déjà d’un certain bagage lorsqu’elle s’inscrirait enfin à l’académie. Il aimait également lui soumettre des problèmes afin d’éveiller son esprit, pour cela il se servait le plus souvent d’un jeu de go et la confrontait à différentes situations pour voir comment elle s’en sortirait.
Mangetsu appréciait beaucoup les efforts de ses parents et ne ratait jamais un entraînement. Un jour sur deux, elle travaillait avec son père et le jour suivant avec sa mère.
Se rendant compte du désastre, elle prit peur, songeant que Tsuki allait sûrement être furieuse de voir ses efforts ruinés parce que sa fille avait voulu faire son intéressante en rentrant non pas par la porte mais par la fenêtre. Déjà des bruits de pas se dirigeaient vers la cuisine. Apeurée, la petite sortit de la pièce à toute vitesse et descendit les escaliers jusqu’à la cave pour aller s’y cacher et attendre que les choses se calment.
Elle eut juste le temps de descendre avant que sa mère n’arrive et ne la voie faire. Quelques instants plus tard, elle entendit un juron et une porte qui claquait. Ça y était, sa mère savait pour la tarte et maintenant si elle la trouvait, Mangetsu était bonne pour une paire de gifles.
Elle avait beau se trouver dans la cave, sa mère finirait pas l’y trouver, aussi devait-elle trouver une meilleure cachette. N’étant guère habituée à fuir ses parents, Mangetsu n’avait pas une grande expérience du cache-cache et elle perdit du temps à chercher un endroit approprié si bien que sa mère descendait déjà à la cave lorsqu’elle trouva enfin un refuge. Une armoire, une belle armoire qui avait appartenu à ses grands-parents et qui servait à présent à ranger du linge. Sans hésiter, Mangetsu s’engouffra dans le meuble et referma la porte derrière elle. Plongée dans le noir, elle ne put voir sa mère s’approcher mais de toute façon toute son attention était focalisée sur autre chose.
Elle se trouvait à présent enfermée dans un petit espace et comme les portes étaient closes, l’air allait se raréfier et si sa mère ne partait pas très vite, elle allait mourir asphyxiée. Elle commença à trembler, tâtonnant discrètement autour d’elle pour voir de combien d’espace elle disposait mais ça ne serait jamais assez. Elle avait l’impression que les murs se resserraient autour d’elle. Tout dans le meuble semblait vouloir l’oppresser, et sa mère qui ne partait pas.
La tête commença à lui tourner et des larmes coulèrent le long de ses joues. Elle n’en pouvait plus de cette boîte. Elle n’en pouvait plus d’être enfermée. Passant outre la crainte des gifles de sa mère, elle ouvrit la porte et se précipita à l’extérieur car de deux maux il faut toujours choisir le moindre.
De l’air enfin. Sa mère la vit alors sortir et déjà elle se dirigeait vers elle, pourtant son visage n’exprimait pas la colère, plutôt une sorte d’inquiétude mais ça Mangetsu ne le vit pas car elle chuta brutalement en direction du sol, rattrapée in extremis par Tsuki. La petite parvint seulement à murmurer qu’elle était désolée et que c’était un accident avant de tourner la tête et de vomir. Plus jamais elle ne voulait vivre ça, plus jamais elle ne voulait être enfermée. Sa mère lui caressa affectueusement la tête, lui disait qu’elle savait bien que c’était un accident, qu’elle ne l’avait cherchée que pour la rassurer et éviter qu’elle ne fasse une bêtise en pensant qu’elle était en colère.
Nul n’ignore la peur et aujourd’hui Mangetsu venait de découvrir la sienne. Elle avait peur des espaces confinés, ce qu’on nommait couramment claustrophobie. Après ça, plus que jamais elle apprécia ses footings, pressant sa mère de l’emmener toujours plus loin autour du village, dans le désert, là où il y avait des espaces immenses. Là où l’œil ne percevait d’autre limite que celle de l’horizon.
Tsuki, qui connaissait le vieillard, poussa doucement son époux vers la sortie afin que l’homme reste seul avec Mangetsu. C’était ainsi que fonctionnait le forgeron. Chaque lame étant unique, il voulait s’entretenir seul à seul avec le futur porteur de sa création afin d’en apprendre le plus possible sur lui et forger une lame qui lui serait adaptée.
Il posa donc de nombreuses questions à Mangetsu allant du trivial, quelle est ta couleur préférée ? à des questions bien plus sérieuses comme : quelle sera ta voie de shinobi ? L’entretien se prolongea plusieurs heures autour d’une bonne tasse de thé. L’homme ne se contenta d’ailleurs pas de lui poser des questions puisqu’il lui expliqua également ce qu’étaient les lames Kukan, que ça n’était pas de simples épées mais qu’elles étaient une extension de l’âme de leur porteur, une partie d’eux-mêmes.
Une fois que le forgeron sut à qui il avait à faire il rendit sa liberté à Mangetsu mais celle-ci, à sa grande surprise, lui demanda si elle pouvait rester encore un peu afin de voir comment il allait procéder. Généralement les enfants ne se faisaient pas prier pour quitter la forge une fois qu’ils avaient répondu aux questions de l’homme car c’était assez ennuyeux, bien que nécessaire. Il accepta avec joie que la petite reste, ça lui ferait de la compagnie et puis, il était toujours agréable de voir que quelqu’un s’intéressait à son art.
Le spectacle qui suivit, Mangetsu n’en perdit pas une miette. Elle s’était installée en tailleur sur une table un peu à l’écart afin de ne pas gêner l’homme et l’avait regardé faire. Pour commencer, il avait prit une barre de métal qu’il avait chauffée au blanc à l’aide d’un gigantesque soufflet, tellement grand que la jeune fille aurait pu glisser son poing dans le trou de sortie d’air sans le moindre problème. Cela fait il avait commencé à marteler la barre puis lorsque celle-ci redevint rouge et donc trop froide, il la porta une nouvelle fois au blanc et ainsi de suite. Une fois la barre bien plate, il la posa de côté et recommença avec une autre barre faite d’un métal différent. Quand celle-ci aussi fut plate, il assembla les deux morceaux de métal puis les replia, les chauffa, les replia encore une fois et ainsi de suite des heures durant. Plus il replierait le métal et meilleure serait la qualité. Le soir, il n’avait pas fini et Mangetsu rentra chez elle, impatiente que son épée soit terminée.
Le lendemain, le vieux forgeron découvrit la petite fille devant sa porte et il reprit son travail sous le regard captivé de Mangetsu. Elle passa la semaine à le regarder faire, sans jamais se lasser car à chaque coup de marteau, le métal semblait vivre révélant des taches sombres à travers le rougeoiement provoqué par la chaleur. Il lui expliqua que ces taches sombres étaient des impuretés qui s’éliminaient ainsi. Elle se repaissait aussi de l’odeur du métal chaud, du charbon qui brûlait, de la vue de la vapeur qui s’échappait à chaque fois que le forgeron trempait son œuvre dans l’eau, du bruit du marteau qui, deux fois sur trois frappait l’enclume à vide. Au bout d’une semaine, la lame était terminée et il ne restait plus qu’à mettre la garde, le pommeau et à réaliser les décorations dessus.
Ce n’est qu’une fois l’arme totalement terminée que le vieil homme se rendit compte avec horreur d’un détail, l’arme qu’il avait forgée présentait un léger déséquilibre. Peut-être que lui et Mangetsu avaient trop parlé pendant qu’il forgeait mais toujours est-il que cette lame n’irait pas. Pour le moment, ça ne poserait pas de problème puisque la jeune fille débuterait seulement avec les lames mais plus tard lorsqu’elle serait passée maître dans l’art d’utiliser le sabre, ce petit défaut pourrait devenir un réel handicap puisqu’il l’empêcherait d’utiliser les meilleures techniques de sabre. Ainsi donc il se remit au travail, confus de son inattention. Il prit davantage de temps cette fois-ci et si Mangetsu était toujours présente pour voir la réalisation de sa future compagne, elle ne pipa mot cette fois.
À la fin elle avait deux épées sensiblement identiques mais l’une était l’ébauche de l’autre. Lorsque le forgeron parla de détruire la première des deux lames, la jeune fille se raidit, ne lui avait-il pas dit qu’une lame Kukan était le prolongement de l’âme de son porteur ? Elle ne pouvait donc pas le laisser faire. L’homme eut beau lui expliquer que l’épée ne deviendrait une partie d’elle-même qu’à force d’entraînement, la jeune fille ne voulut rien entendre. Ces deux lames faisaient déjà partie d’elle. Elle commencerait avec celle qui était considérée comme ratée et lorsqu’elle aurait un niveau suffisant pour être digne d’utiliser sa petite sœur, elle userait des deux simultanément. Ces épées étaient son âme, ou plutôt ses âmes et elle comptait bien transformer ces mots en une réalité.
Nindo : Papa, maman, c’est pour vous que je réussirai. Nous ne vous décevrons pas, moi et mes l’âmes.
Qualités : Gentille, généreuse et attentionnée. On pourrait aussi dire patiente si le temps qu’elle passe à rêver est considéré comme tel.
Défauts : Elle se montre parfois un peu peureuse. Il lui arrive également d’être assez agaçante entre son air espiègle et ses rêveries sans fin.
Ce qu’elle aime : Ses parents évidement mais aussi ses deux "l’âmes". Elle aime également son pays qu’elle considère comme le plus beau de la terre avec ses grandes étendues de sable fin et ses oasis. Mangetsu a aussi un faible pour tout ce qui est sucré ou épicé.
Ce qu’elle n’aime pas : Les choses amères, les gens méchants et qu’on essaye de la ridiculiser. Elle n’aime pas non plus la viande, eh oui la demoiselle est végétarienne, et plus que tout elle a horreur des espaces confinés. À ce niveau, cela tient d’ailleurs plus de la peur que du dégoût, notre héroïne étant claustrophobe.