[Welcome to konoha ... or not ?][pour shimone]
Publié : lun. 25 févr. 2008, 0:36
Waku se sentait bien, avec ces deux étrangers. Ils étaient gentils avec lui, s'occupaient de lui, et, enfin, lui permirent de s'exprimer grâce à du papier et un stylo. Il commanda timidement quelque chose de pas trop cher et d'assez international, en gros, une valeur sûre, puis entreprit de tout écrire. Il rougit légèrement à la réaction de ses "interlocuteurs". Il avait horreur de mentir, et se sentait déjà assez honteux ainsi, mais s'être, en plus de cela, fait percé à jour avait de quoi beaucoup l'embarasser. Comme si tout son mensonge venait de s'inscrire sur son front.
La jeune femme parla alors. Le visage du jeune étudiant s'empreinta de curiosité. Solidarité entre kiriens.
Cela suscita une réaction à double vitesse.
Tout d'abord, un soulagement intense. Ces gens là étaient kiriens, ils se comprendraient. Il se sentit "chez lui". Il eut alors, comme le suggérait la jeune femme, envie de tout leur confier, de soulager sa conscience avec eux, de leur faire confiance, de les apprécier et de s'en faire des amis. Il se surprit même à rêver d'un calin pour se réconforter. Ces gens là étaient des alliés, il n'avait rien à craindre d'eux.
Et puis, alors qu'il leur sourit en guise de réponse, Shimone en revint à parler de l'épée. La garder. Bien sûr qu'il tenait à son ancien possesseur. Mais en aucun cas il ne pouvait la garder.
Parce que, une autre pensée venait de germer dans son esprit.
Ils venaient de Kiri. Comme lui. Ils venaient de cet endroit qu'il avait fui, et peut-être y étaient-ils toujours rattachés. De plus l'homme était un shinobi. Il ne voulait plus être rattaché à tout ça. L'appréhension l'envahit. Il posa son épée sur la table, avec un sourire d'excuse, faisant mine d'être effrayé et se mit à écrire "Je l'ai volée. Prenez-la, c'est une très belle arme." Il se leva ensuite et posa le papier sur la table, pour filer ensuite vers la porte, avec laf erme intention de sortir de là avant d'être renvoyé à Kiri, ou tout simplement rattaché au passé qu'il avait envie de fuir. Il irait aider les pauvres dans la rue. Ce serait mieux. Il survivrait.
La jeune femme parla alors. Le visage du jeune étudiant s'empreinta de curiosité. Solidarité entre kiriens.
Cela suscita une réaction à double vitesse.
Tout d'abord, un soulagement intense. Ces gens là étaient kiriens, ils se comprendraient. Il se sentit "chez lui". Il eut alors, comme le suggérait la jeune femme, envie de tout leur confier, de soulager sa conscience avec eux, de leur faire confiance, de les apprécier et de s'en faire des amis. Il se surprit même à rêver d'un calin pour se réconforter. Ces gens là étaient des alliés, il n'avait rien à craindre d'eux.
Et puis, alors qu'il leur sourit en guise de réponse, Shimone en revint à parler de l'épée. La garder. Bien sûr qu'il tenait à son ancien possesseur. Mais en aucun cas il ne pouvait la garder.
Parce que, une autre pensée venait de germer dans son esprit.
Ils venaient de Kiri. Comme lui. Ils venaient de cet endroit qu'il avait fui, et peut-être y étaient-ils toujours rattachés. De plus l'homme était un shinobi. Il ne voulait plus être rattaché à tout ça. L'appréhension l'envahit. Il posa son épée sur la table, avec un sourire d'excuse, faisant mine d'être effrayé et se mit à écrire "Je l'ai volée. Prenez-la, c'est une très belle arme." Il se leva ensuite et posa le papier sur la table, pour filer ensuite vers la porte, avec laf erme intention de sortir de là avant d'être renvoyé à Kiri, ou tout simplement rattaché au passé qu'il avait envie de fuir. Il irait aider les pauvres dans la rue. Ce serait mieux. Il survivrait.