Pendant que le ninja le plus honorable de Suna faisait un discours sur la magnificence de Suna et sur plein d’autres choses, comme tout le monde le fait quand il faut annoncer quelque chose d’important. Le petit problème était qu’Aoshi et Shinshi n’écoutaient pas trop. On va dire que leur attention était portée sur la bouteille de Saké/jus de pomme, et les étudiantes qui étaient montées sur l’estrade. Plus la bouteille se vidait, plus Aoshi se sentait complètement en accord avec la nature, plus il oubliait les menaces de mort que les Kukan prononçaient quand on regardait de trop près leur jeunes filles. De toute façons, il était un Tsukyo, spécialiste dans l’art de la musique, donc un véritable lover. En plus, il avait appris des anciens de son clan comment s’évader par la fenêtre quand le mari de la femme qui est dans le lit avec toi, rentre dans la chambre. Avec cet entraînement, il était prêt pour toutes les faire craquer. Alors, Kukan, Renraku, ou n’importe quelle autre fille, Aoshi s’en moquait puisqu’il avait déjà au moins un gramme sept dans le sang.
Le genin écouta d’une oreille distraite l’annonce des nouveaux promu, il était plus concentré sur sa vue qui avait récemment augmenter pour observer toutes les formes de la belle Maï Kukan, genin nouvellement promue. En plus, c’était trop trop bien, elle allait être dans la même équipe que lui avec trois autres filles. Ca allait être vraiment trop bien. En plus, c’était cool, y’avait une Sakyuu dans l’équipe, et elles étaient très habilles de leur jambes. Au delà de leur physique de nageuses ou d’anciennes sportives d’URSS, elles faisaient penser à des Suédoises, car elles étaient grandes, blondes, et souvent à forme poitrine. Par contre, au même titre que les Tsukyo ont la descente rapide, elles ont le coup de pied dans le ventre et même plus bas rapide. Aoshi allait devoir mettre tout ses réflexes de lover en éveil total pour la faire tomber dans l’emprise si douce de son amour.
Quelque chose qui serait bien aussi était que Hitashiro était devenu co-leader de cette double team. Les missions de plus en plus dures allaient s’enchaîner, et donc de plus en plus d’argent et de notoriété ! Hahaha, bientôt argent pouvoir et femmes seraient à lui !
Le Kazekage avait enfin fini son discours, et il fallait applaudir. Dommage pour Aoshi, il n’était déjà plus en état. Pas grave de toute façon, l’appel de la nourriture était trop fort et le genin s’était déjà levé pour avancer doucement, à grands pas comme un cosmonaute sur la Lune, et souriant sans trop savoir pourquoi. Le spacionaute Aoshi Tsukyo se posa enfin sur la planète Buffet, et commença en bon colon à en piller les ressources. Les premiers prélavages se passèrent bien quand une autochtone, sûrement déjà installée ici avant lui, commença à lui piquer les petits fours qu’il allait prendre. D’abord, Aoshi se demanda simplement [color=green"Bhin, où qu’il est le p’tit four ?"[/color]. Puis, après une petite minute d’observation, il s’aperçut que le truc blond à côté de lui était entrain de lui piquer tout les petits fours qu’il essayait de manger.
"Gnééééé mon pitit fouuuuuuuuur ! T___T HooooOOOoo, c’est pas trèèès trèèès gentil de me voler mes pitits fours… " Le genin commença alors à faire un truc encore plus compliquer qu’avant, c’est à dire faire une feinte pour faire croire qu’il allait prendre un petit four pour en fait reculer la main et reprendre avant la naine blonde le petit four qu’elle allait prendre. C’était trop compliqué pour notre alcoolique qui se faisait tout le temps piquer son petit four, ou qui se tapait la main violemment contre la table, loin du petit four qu’il visait. Au bout d’un moment, Aoshi, fatiguer de jouer à ce petit jeu avec la blonde dit doucement en séparant bien toutes les syllabes comme quelqu’un de fatigué le ferait.
"Whahou, toi t’es un Pj qu’a au moins 200 en vitesse… "
Il devait au moins être monté à deux grammes huit parce qu’en temps normal, il aurait collé un taquet à la petite fille, mais elle avait un lapin rose dans les mains et Aoshi se doutait qu’elle devait être ptêtre plus forte que lui.
Le genin changea alors de stratégie et alla à un endroit loin de la petite fille où il restait encore des petits fours et s’en goinfra. Il fallait bien ça puisqu’une fois, il avait trop bu et pas assez mangé, et vu qu’il n’avait rien eut à vomir, ça avait été traumatisant.
Lorsqu’il eut enfin rempli pour quelques moments le puit sans fond qu’était son estomac, il se dirigea de son pas "lééégérement" chancelant, vers l’attroupement autour de Musashi-senseï, Hitashiro-kun, et de Myu-Myu la dame bizarre au chapeau et au fouet.
"♥_♥" Aoshi fantasmait un peu sur les fouets en fait.
"S’trop bien les fouets quwa ! ♥_♥" Quelques minutes plus tard, la vieille dame avait embarqué tout le monde à un bard super marrant selon ses dires qui s’appelait L’Abattoir.
Aoshi et Shinshi marchaient alors à quelques mètres du gros de la troupe, en tout cas tout derrière tout le monde. Les deux comiques avaient retrouvé une bouteille presque pleine de jus d’orange, et l’avaient complétée avec le Saké restant. Comme ils ne marchaient pas droit tout les deux, ils s’étaient mutuellement épaulés, parce que à deux bourrés, on va plus droit. Pour être sûr de pas partir dans la mauvaise direction, Aoshi avait sa super précision ne quittait pas des yeux les p’tites fesses de Maï Kukan qui se trouvaient quelques dix mètres plus loin. A vrai dire, même si l’obscurité gâchait pas mal du spectacle, c’était ce qu’on pouvait qualifier de vision édénique. Ses deux melons moulaient légèrement sous son kimono. Ses deux pamplemousses se trémoussaient doucement au rythme de sa marche si gracieuse et sensuelle. Aoshi était aux anges, et il y avait de quoi. Il avait devant lui une paire de fesses magnifique.
Vidant une longue gorgée de la bouteille, il dit finalement à Shinshi :
"Shin, est-s’que tu crois que les fesses de Maï sont plus musclées que grasses ?"
Le Shninju frappa le Tsukyo a la tête qui partis sur le côté en chancellent en disant des petits :
"Houla ! Oups ! Pardon madameuh la poubelleuh !", puis revint pour entendre :
"On regarde pas et on touche pas... Parce que si tu touche c'est moi qui vais prendre ~_~"
"Pas grave, je vais goûter ! "
Aoshi se mit alors à courir vers Maï, les mains en avant, et avec la ferme intention lui mordre les fesses pour dire à Shinshi-kun si elles était musclée ou grasses. Bien sûr, le genin n’avait pas de doutes sur le résultat, mais décida de vérifier. Il fit deux mètres en courant en zigzague sous prétexte que
"Heuu, le sol il est pas droit du tout ! >_< ".
"Mmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaaa… Aieuuuuuh ! xD Bwodel ! S’pas cool ça ! Pardon madame la marcheuuuh ! "
Aoshi avait essayé de courir vers Maï, mais pas de chance, il avait trébuché sur une toute petite dune. Déjà, quand il marchait de jour complètement sobre (hum hum) dans les rues de Suna, il se cassait tout le temps la figure, mais là, vu qu’il était bourré comme un serre joint, qu’il faisait nuit, et que le sol était pas droit, c’était plutôt catastrophique, et s’était pris son pied droit dans son pied gauche, et le pied gauche dans un trou où il n’y avait pas beaucoup de sable. Bha ouais, faut pas essayer de courir comme dans Alerte à Malibu.
Aoshi se retourna vers Shinshi. Hola, il allait beaucoup trop vite, et pas trop droit. En temps normal, le Shinju aurait pu passer par dessus la poubelle renversée qu’était le Tsukyo, mais là, il avait bu !
Son temps de réaction avait augmenté, il allait entrer en collision avec le pilier de bistrot. Le choc allait être beaucoup trop violent.
Le grand blond qui courait pour une raison inconnue lui aussi vers Maï Kukan, sûrement pour lui toucher aussi les fesses, marcha sur le ventre d’Aoshi, mais celui-ci était trop mout ! Shinshi avait dut imaginer que ce sur quoi il allait marcher allait être aussi dur que du béton, mais non ! Le Tsukyo depuis l’âge de ses neufs ans buvait des quantités industrielles de bières pour avoir un ventre d’alcoolique comme son papa !
Résultat des courses, le Shinju s’envola (bha ouais, ça fait comme un trampoline), se dirigeant à toute vitesse, joue en avant vers le derrière de Maï. Il se rapprochait tout doucement, pour finalement se retrouver nez à fesses avec la nouvelle genin.
"Aoshi on se repproche enfin du paradis !" Le choc ne fut pas violent, mais on entendit quand même un joli petit "Spouf !".
Aoshi qui avait essayé de retenir ses envies de vomir parce qu’un pervers lui avait marché sur le ventre, se retourna dans l’autre sens et demanda avec un grand sourire :
"Alors s’comment ?! "
"Je vais encore manger du sable -_-"
"S’répond pas à ma question ! "
"Mais c'est tout doux =D "
"J’m’en doutais ! C’est bien des fesses bien musclées mais avec un poil de graisse pour les arrondir ! Des fesses parfaites qoua ! "
Shinshi, n’admettant pas ce qu’il venait de faire, se releva et recoura plus ou moins bien vers Aoshi tout en disant : "Fuyons nous ne sommes plus en sécurité !" Notre héros se releva lui aussi pour courir dans l’autre sens et ne pas subir les foutres de la belle Maï, mais fut fauché par son collègue qui n’avait pas encore réussi à l’éviter.
Comme quoi, en voiture respectons les limitations de vitesse, les distances de sécurité, et bien sûr, boire ou conduire, il faut choisir !
"Bobo Aoshi… *_* "
Avec un peu de chance, Mai Kukan n’avait rien entendu et les deux genins pourrait reprendre leur chemin tranquillement. Sinon, bha j’éditerai.
Les deux genins se relevèrent alors, Aoshi récupéra la bouteille qui avait roulée dans le caniveau, en bu un peu pouvoir si le goût avait pas trop tourné, et repartirent. Après quelques péripéties avec une poubelle qui ne voulait pas se décaler de leur chemin et que les deux alcooliques avaient dû balancer plus loin, le petit groupe arriva au bar portant le doux nom de L’Abattoir. En regardant la belle enseigne qui représentait un joli petit cochon qui crachait du feu et un couteau à pain, Aoshi dit :
"Heuuuuu, lui j’le connais ! S’Porcinet dans Winnie l’Ourson ! Je savais qu’il avait eut des problèmes de drogues, et qu’il était au chômage, mais je suis content qu’il est retrouvé un travail stable. "
"Ca va ? T’as pas trop chaud là haut ?"
Le bâtiment était très coquet quand même. Il était tout carré comme un maison de poupée et couleur sable comme toutes les habitations à Suna. En plus, il y avait un charmant videur à l’entrée. En quelques gorgées, ils vidèrent cul sec la fin de la bouteille, et entrèrent comme-si-de-rien-n’était dans le bar. Bon, c’était difficile de faire comme si de rien n’était surtout quand on est bourré : Aoshi manqua deux fois la porte pour se manger le mur.
En fait, même si le quartier était un peu sale, le bar était super bien tenu. Ca changeait un peu des bars où son frère l’emmenait, ou le sol était couvert d’alcoolos et les murs de vomis, tandis qu’aux rares endroits non occupés se trouvaient des femmes en tenues un peu légères.
Marchant dans la logique un peu brute que sa mère lui avait rentré de force dans son esprit, Aoshi associa l’idée de se bar à l’idée de propreté, et ses chaussures à celle de saleté. Donc, s’il n’enlevait pas ses chaussures, il allait être grondé par sa maman. En plus, un portier les lui demandait. C’était gentil sa part, mais en échange, il donna à genin un petit papier. Après l’avoir regardé pendant quelques longues minutes pour comprendre à quoi il servait, il le rangea en disant
"Merkiii ! "
La vieille dame avec son grand chapeau et son canari s’assit alors et enjoignit tout le monde à faire de même. Aoshi s’assit de bon cœur à côté de Shinshi, manque de chance, la chaise était à quelques dix centimètres de l’endroit où il projetait de l’asseoir. Pas grave, de toute façon, le sol, c’était son meilleur ami. Et en plus, les tapis étaient super confortables, ça faisait pas mal aux fesses quand on tombait !
Le genin se rassit, et essaya de tenir tant bien que mal sur sa chaise. Myu Myu appela un barman, et annonça qu’elle allait faire boire des Zinfernos aux n’enfants, et des Waytairpaillepeuh.
"Ha non, pas de Wayteurpaïpeuh pour moi, parce que sinon ma maman elle va pas être content. En plus, s’pas bien pour les poumons."
Gérard ; le gros barman apporta une partie de petits verres dont le liquide à l’intérieur était très joli. Marcel craqua une allumette, et la passa au dessus des verres. Aoshi regarda avec admiration les longues flammes qui s’élevaient au dessus des verres et dit
"Hoooo, elles sont belleuh les bougies ! "
Myu Myu attrapa une bougie, et la but.
"Heuu, attention avec le feu, ça brûleuh ! " En fait, elle voulait que les nouveaux promus et les autres boivent le verre avec les flammes. Holala, fallait faire attention, parce que le feu ça brûlait. La mécanique implacable de la logique d’Aoshi se mit alors en marche. Myu Myu remettait en doute le grade de genin de Aoshi, elle voulait savoir si celui-ci était digne d’être genin. En fait, le Tsukyo connaissait un peu cette boisson. Il l’avait déjà vue il y avait quelques années. C’était à une fête Tsukyo, pour fêter encore un évènement inutile et un cousin avait décidé de faire flamber des cocktails comme on fait flamber une banane. Les différents adultes complètement loin de la réalité les avaient avalés d’une traite, et c’étaient retrouvés fort déçus. Au delà du feu qui était très impressionnant, il n’y avait pas une seule goutte d’alcool là dedans. La flamme avait tout consommé. C’était juste histoire de dire qu’on avait bu un truc enflammé, mais après, on était toujours sobre. C’était du toc, et la vieille dame voulait savoir juste si Aoshi avait assez de courage pour le boire. C’était sans compter son ignorance crasse sur la réalité du monde en fait.
Le Tsukyo attrapa alors un verre, se leva difficilement sur sa chaise, et commença à regarder Myu Myu dans les yeux.
"Alors comme ça, Chunin Miyu Renraku, vous remettez en doute mon titre de genin ? Vous voulez savoir si j’ai assez de courage pour boire et pour obéir aux ordres ?! Et bien, c’est mal me connaître !" Le genin passa son verre dans la main gauche, et montra à la chunin son tatouage
"Je suis un Tsukyo, un alcoolique professionnel ! Je suis Aoshi Tsukyo Genin de Suna !" Puis, il avala d’une traite le liquide carmin brûlant.
En fait, c’était pas si mauvais que ça. Le liquide était un peu sucré, très légèrement alcoolisé puisque la flamme consommait tout. Par contre, ça brûlait un peu et Aoshi commençait à avoir la gorge toute sèche. Tout se passait parfaitement quand l’inferno arriva enfin au niveau de l’estomac. Pas de chance pour notre genin, celui-ci était déjà plein d’alcool hautement inflammable. En théorie, la flamme aurait du mourir au fond de son estomac privée d’oxygène et sachant que les petits fours brûlaient très mal. La flamme prit alors connaissance avec le demi litre de saké déjà présent au fond de son ventre et décida de s’en servir comme combustible. La flamme partit alors dans le sens inverse pour ressortir de l’autre côté.
Pendant ce temps là, à la surface, Aoshi avait du mal à tenir en équilibre, et en plus il avait mal au ventre. Pour l’équilibre, c’était normal, c’était qu’il était assis sur un coussin, et pas sur une chaise comme il l’avait cru en premier lieu, mais pour le mal de ventre, s’té pas du tout banal. Alors qu’il essayait de ne pas se casser la figure en oscillant de tout les côtés, en levant une jambe ou en faisant des grands mouvements de bras, une flamme venue d’on ne sait où brisa son faible équilibre. Le tapis tout moux se rapprocha à toute vitesse d’Aoshi, bien que celui-ci avait essayé d’attraper Maï pour la prendre avec lui dans sa chute. C’était un peu inutile, mais au moins, la Kukan était à bonne distance du bras de notre alcoolique. Elle aurait pas de problèmes dans ce sens là.
Aoshi s’écrasa par terre comme une casserole de purée lancée du deuxième étage, et fut, il semblait, un peu plus sonné que d’habitude.
Combien de temps resta il dans cet état ? Une minute, deux ? Trente secondes, voire même cinq ? Impossible de le savoir, il était un peu trop dans les vaps pour cela. Au fond de lui, il venait de comprendre. Quelque chose d’énorme, d’extraordinaire, qui révolutionnerait toute l’humanité entière. La constante cosmologique crée par Einstein pour empêcher l’extension ou la réduction de l’univers ne marchait pas. L’univers était en extension. Ce n’était l’écart entre les atomes qui augmentait, c’était juste à une échelle plus grande moins visible pour les humains normaux. Les galaxies s’éloignaient petit à petit entre elles. Alors, si l’univers était en extension, cela voulait dire qu’autour d’un univers, il y avait de la matière inconnue, différente de toute ce qui était connu, où rien de vivant n’existait. Le vide parfait.
Mais au fond, Aoshi n’en avait tellement rien à foutre.
Quand il rouvrit les yeux, ce qu’il avait devant lui était le fond du verre qu’il venait d’avoir bu. Cette fois, il avait compris quelque chose d’encore plus important, mais il sentait qu’
elle était partie enfin.
Elle avait été avec lui si longtemps.
Elle l’avait aidé,
elle l’avait fait rire,
elle lui avait de temps en temps fait mal.
Elle lui avait dit qu’il pourrait voler s’il le voulait, alors, il avait sauté du haut du premier étage, et il s’était cassé une jambe, alors elle l’avait soigné. ~
note de l’auteur : là, elle, c’est une infirmière blonde~
Elle s’était excusé et
elle lui avait proposé un de jouer à un jeu.
Elle gagné car
elle gagnait toujours.
Elle était beaucoup trop forte pour lui. Alors il s’abandonnait tout le temps à
elle. Mais cette fois, depuis des années,
elle avait disparu, et Aoshi voyait le monde différemment. La cuite était enfin partie.
Aoshi était en fait tombé au dessous du seuil d’alcool normal, celui qui nous fait voir le monde comme il est. Un peu comme le Capitaine Sam Vimaire du Guet d’Ankh-Morpork. Tout lui semblait plus clair. Cette boisson était en fait une hérésie du sens même de l’alcool.
[color=indigo"Aoshi, écoute moi bien, je vais t’apprendre le sens même de l’alcool. Il ne sert pas à ravir les papilles ou à prendre son pied entre amis, ça c’est pour le jus d’orange et les petits biscuits. L’alcool, le vrai, il sert à être complètement torché et à se taper le maximum de filles en un minimum de temps ! En plus, le lendemain matin, tu pourras dire que c’était pas de ta faute, mais que t’étais bourré.
C’est pour ça que le malibu et son goût de fruit, c’est une hérésie. Mon fils, ne boit jamais de Malibu. Par contre, boit ça. C’est du bon alcool, avec ça, tu pourras découvrir la vie et tout ces plaisirs."[/color]
"Merci ! Hooooo mais, c’est pas mauvais du tout, ça brûle un peu beaucoup mais c’est bon ! "
"C’est normal, c’était de l’alcool à 80° sortit tout droit de la distillerie secrète de notre quartier. Bon courage demain matin. Prend un peu à manger, si tu vomis, c’est toujours mieux."
Et bien voilà. La flamme avait consommé tout l’alcool qui se trouvait au fond de son ventre et maintenant, Aoshi était complètement sobre, un peu embrumé par contre. Il ramassa le verre, le posa devant lui, il commanda un petit Heaven parce que le nom était joli, et commença à le siroter doucement. En fait, il était pas trop renseigné sur tout ce qui était cocktails en fait. Il ne savait pas vraiment ce qui allait lui arriver. Autour de lui, le monde tournait un peu rapidement : des oiseaux grandissaient, Shinshi-kun faisait le morse en se mettant des pailles dans le nez, le chevalier servant s’était lancé dans un concours de cul-sec tout seul, et Musashi-senseï avait commencé à danser presque tout nu autour d’une barre verticale.
[HRP] Voili voilou ! Pardon pour le retard et toussah ! Mai kukan, si tu veux faire intervenir ton perso dans notre "délire" tu le peux ! De toute façon, j'éditerai parce qu'il faut que je le relise. Fait avec Shinshi-kun qui postera quand il pourra !
Mici beaucoup à Shinshi ! [/HRP]
Edit du bishûnin (qui n'a rien à faire ici mais qui le fait quand même) : E-N-O-R-M-E XD
Shimone > Je plussoie, excellent. Me en veut encore XD.