Nom : Nahako.
Description morale :
Naho. C’est ainsi que s’appelle celle qui est née un soir d’été dans l’hôpital de Konoha et qui fera l’objet d’étude avant d’être acceptée dans une académie regroupant les déserteurs. Il y a déjà 18 ans de cela qu’elle est née et je me dois de vous rappeler son passé qui influera bien évidemment sur son avenir.
« Et bien la voilà, c’est une fille, toutes mes félicitations ! »s’exprima à voix haute le médecin qui se chargea de faire sortir le nouveau-né.
-Merci, énormément. Elle est si belle.
* Dommage que son père ne soit pas là. *
-Mais, votre mari, comment se fait-il qu’il…
-Il, il est en mission, vous savez…
-Je vois, inutile de m’en dire plus. Elle s’appelle comment ?
-Naho, oui, Nahako Naho !
…Comme tous les jours, les rayons du soleil brillaient de milles feu sur le village de Konoha. L’habitat de la jeune Naho –qui venait tout juste d’avoir 5 ans- était implantée sur une petite parcelle de terrain campagnard, face à une rivière surmontée d’un petit pont. A l’abri de tout bruits, hors mis celui du chant des oiseaux, elle avait pour habitude à cet âge là de s’échapper de la maison pour aller jusqu’au bord de cette rivière. Le quotidien ne se faisait pas difficile chez elle. Sa mère travaillait les besoins de la famille et son père n’était jamais là. A vrai dire, celui-ci faisait partit d’un groupe de ninja et était au service de l’Hokage.
Des médecins rendaient souvent visite à sa mère, qui parfois se piquait des crises de nerfs sans aucune raison. Ceux-ci en avaient déduit une seule cause, celle de la naissance. Comment une naissance a pu déclencher un tel symptôme ? Le niveau actuel de la médecine ne permettait pas encore d’y remédier. En tout cas, sa fille était encore trop jeune pour être mis au courant. Pour le peu qu’elle vît son père, il était toujours en train de s’entraîner au bord de la rivière. Tellement était-il occupé qu’il ne lui répondait jamais lorsqu’elle tentait d’aborder une conversation. Naho commençait à perdre son amour pour lui. Quelques fois, Naho observait sa mère en secret. Celle-ci se coupait les cheveux et s’entaillait les veines. Naho ne pouvait s’empêcher de pleurer dès qu’elle vît le premier jet de sang jaillir du bras de sa mère. Ce que j’ai oublié de mentionner aussi, c’est que la famille Nahako possédait une sorte de grange à côté de leur habitation. Des porcs étaient élevés par sa mère et elle prenait plaisir à les abattre. Lorsque Naho atteignit ses 6 ans, sa mère décida qu’elle était en âge d’apprendre comment abattre les porcs, pensa-t-elle aussi que ca l’occuperait un peu. Naho pleurait à chaque fois que sa mère l’obligeait à en tuer. Elle portait dans ses bras pleins de sang les morceaux de cadavre du cochon abattu à sa mère pour qu’elle le cuisine. Plus Naho grandissait et plus elle découvrait l’étrange caractère de sa mère.
Celle-ci avait quelques connaissances de Konoha, qui vinrent de moins en moins lui rendre visite. Des rumeurs se faisaient concernant sa mère. Jusqu’à ce que plus personne ne leur rendit visite. Encore trop jeune pour comprendre, elle ne se soucia guère de son avenir. Elle portait son temps libre à l’étude du village en lisant des livres appartenant à son père. Discrètement le soir lorsque sa mère dormait, Naho en profitait pour fuguer. Elle aimait bien se réfugier le haut d’une colline, contempler la lueur éclatante de la lune et le reflet du ciel dans une rivière qui continuait son cour. Malgré sa jeunesse, elle trouva toujours le chemin pour rentrer chez elle.
Avec l’âge, elle prit l’habitude d’abattre les cochons et de faire la cuisine avec. Sa mère pendant ce temps partait sans dire ou elle allait, jusqu’au jour ou elle rentra pleine de sang. Les premiers soupçons firent surface dans la tête de Naho.
*Hier, elle était avec lui... aujourd’hui, elle a sûrement du aller le voir. Mais, qu’est-ce qu’il s’est passé ?*
« Qu’est-ce que tu as fait, MAMAN ?! »
-Je.. j’en ai finit avec lui, AHAHAHAHAHAHAHAHA…
Naho ne comprit pas sa réaction et elle se soucia du pire. Elle l’a tué. Son premier réflexe fut celui d’appeler des secours, en vain lorsque sa mère s’interposa entre elle et la sortie.
-Ou tu va ma petite, tu restes là !
Hurla-t-elle laissant sa main partir se coller sur la joue de sa fille.
SLASH !
Naho, allongée à terre, se demanda comment devait-elle réagir dans une situation pareille.
« Pa..pa.. »
Ce fut bien la première fois qu’elle employa ce mot et il tomba à pic car a ce moment-là la porte s’ouvrit. Son père était de retour. Naho tenta de se relever sous l’épuisement, mais son père était déjà face à sa mère.
SLASH !
Une autre gifle était partie, il l’avait giflé, et il avait eût raison de le faire.
« Qu’espérais-tu ? Que je ne revienne pas ? Je l’ai vu, il m’a tout dit, tu me trompes ! »
Il tenta de s’enfuir, puis elle apparût devant lui, visage baissé, la joue rouge marquée par la gifle. Elle avait en main un couteau, qu’elle enfonça sans hésitation dans la poitrine de son mari, dont le corps tomba instantanément à terre à côté de Naho. Le sang coulait jusqu’à former une flaque, après qu’il s’adressa à Naho :
« Enfuis-toi maintenant, ma fille, c’est ta seule chance… »
-PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !cria-t-elle sans verser une larme, les poings serrés.
-C’est ton tour, ma fille !
Cracha sa mère, les vêtements tachés après l’éclaboussement du sang de l’attaque précédente portée à son mari. Dans l’élan, Naho réussit avec chance à esquiver son coup, sa mère trébucha sur le corps de son mari. Les battements de cœur de Naho se firent de plus en plus accélérés. Sa mère pivota et prît la marmite bouillante derrière elle. Elle tenta de la verser sur Naho, mais elle s’écroula et la versa sur elle-même ainsi que sur le cadavre de son mari. L’intérieur était si chaud que le bois qui faisait office de sol de la maison commença à prendre feu. Le cadavre de son mari s’en suivit, et une partie de son corps avec. Naho se releva en vitesse et sortit de la maison, prenant les pieds à son cou. Les cris de douleurs de sa mère se propagèrent dehors, celle-ci tentant tout de même de poursuivre Naho.
Tout le village de Konoha fut alarmé par l’arrivée de cette folle meurtrière et les gardes se mirent à exécution, abattant leur cible sous l’autorisation de l’Hokage encore éveillé. Naho fut soulagé et elle fut directement dirigée vers la clinique pour une analyse de soins rapides. Elle n’avait pas été touchée, c’était le plus important. Mais ce dont elle hérita fut bien plus grave qu’une petite brûlure. Naho ne savait plus ce qu’elle faisait, le moindre objet qu’elle trouva elle le balança sur les médecins, et elle ne cessa pas de les « taper » avant qu’on ne la pique d’un calmant.
*Mais, ou je suis ?*se questionna-t-elle regardant à droite et à gauche.
Lorsqu’elle se dirigea vers la cuisine, elle put remarquer un mot déposé récemment sur la table.
Avec déception, elle déchira la lettre avant de la balancer par terre.Naho,
Nous sommes désolés, ta mère est morte hier. Nous avons dû l’abattre, il semblerait qu’elle soit devenue totalement folle et qu’elle n’a pas pu supporter nos soins. Son enterrement sera fait cet après-midi. Pour ce qui est de votre demeure, elle est actuellement en ruine, c’est pourquoi nous te dédomageons avec cet appartement en espérant que ca puisse compenser tes pertes. Je suis vraiment désolé pour ton père. Par contre, avec le temps, je voudrais que tu viennes me faire part de ce qui s’est produit. Tu es qualifié comme suspecte et dangereuse, tâche de faire attention.
L’Hokage.
Naho trouva tout de même un travail pour se payer de quoi vivre. Avec le temps, elle s’accomoda à cette vie déplorable et elle réussit malgré tout à faire deux-trois connaissances. Elle allait souvent se promener dans le village mais les gens s’écartaient de son chemin avec un regard d’effroi. Elle ne se sentait pas gêner et elle ne souriait pas avec tous ces chuchotements…
« T’a vu, c’est elle. »
-Ouais, elle est folle.
-Viens, on s’en va.
Chaque nuit, elle arpentait le toit de son immeuble et comme elle était totalement dépendante, profita pour faire quelques fugues. Elle aimait se promener dans la sombre forêt qui entourait le village. Naho n’était pas à l’abri du danger et elle commençait à apprécier la prise de risques.
Tout ce qui devait lui être remis selon les règles de l'héritage était brûlé. Seul l'Hokage put lui confier la liste des personnes que son père fréquentait souvent hors mission. Parmis elles, une sembla bien mystérieuse. Il était écrit sur cette liste que lui aussi était devenu fou et avait déserté le village. Par simple curiosité elle demanda sa localisation et on lui répondît assez loin de Konoha, près d'un village inconnu. Son instinct lui dit que son père devait bien le connaître. Naho porta des recherches avancées dans la grande bibliothèque du village et trouva la localisation exacte de son habitat. Son nom n'était pas donné mais il y avait son portrait. Discrètement elle arracha la page et la blotit dans sa poche. Le soir même Naho n'hésita pas à s'élancer à sa poursuite. Elle traversait la forêt, à la recherche d'un grand cabanon marron implanté à côté d'une rivière au nord. D'arbre en arbres elle avança à son rythme, lorsque soudainement quelque chose l'intrigua. C'était le son de l'eau. Elle s'en approcha très lentement par précaution. La forme d’un homme se dessina dans la nuit, un bruit de bois se scindant en deux retentissait de plus en plus. Puis soudainement…
« Tu es donc venue. Naho, je me trompe ?
Il avait découvert sa présence. Sortant de l’ombre, elle acquiesça :
-Oui, c’est moi. Comment me connaissez-vous … ?
L’homme était grand de taille malgré les jeunes rides apparentes sur son visage. Il lui restait tout de même ses cheveux, sous ceux-ci étaient cachés des yeux aussi bleu que le ciel en pleine journée d’été. Il portait de simples vêtements marron, tâchés et troués un peu de partout. Il était habillé dans sa tenue de travail.
-Kyoko, appelle-moi Kyo. Je suis un ancien ami de ton père tu dois t’en douter. Il m’a dit à tout grand hasard si tu venais à moi, il serais de mon rôle de te protéger si un problème surviendrait.
* Comment papa a-t-il pu prévoir ? *
-Tu n’a pas l’air très enchantée.
-Non, c’est juste que je me demande comment papa a-t-il pu prévoir mon arrivée ici..
- Suis-moi, on en discute devant la cheminée, il fait bien trop frais ici. »
Ils rentrèrent dans le grand cabanon et au seuil de la porte Naho s’étonna de l’ampleur de celui-ci.
* Ehh... cette maison est plus bien grande qu’il ne l’était décrit. *
Ils s’assirent tous deux près de la cheminée sur deux chaises de bois.
« Je suis désolé pour ton père. C’était vraiment un brave homme. Tu sais, il me dit qu’il ne te voyait pas souvent et que pour le peu qu’il te voyait il essayait de faire de son mieux pour te connaître mieux que lui. Il me confia aussi qu’il n’était pas bon en métier de père, il te regretta légèrement à ta naissance mais il sut trouver la force de t’éduquer on dirait.
-Pour le peu que je le vis il ne m’éduqua pas vraiment vous savez. C’est plutôt ma mère qui s’est le plus occupée de moi.
-Ok. Par contre, tu ne m’as pas dit pourquoi as-tu une si mauvaise mine, si ce n’est pas indiscret, tu as fait ton deuil ?
-Que m'importe le deuil, ça ne va pas me les rapporter et c’est bien tel quel. Je ne souris pas ces temps-ci car je me sens comme rejetée par Konoha. Les villageois se font de plus en plus agressifs à mon égard. Je ne fais que marcher, tout ce que je constate c’est que je marche tout les jours dans un village de fou. Ils me dévisagent et me traitent comme une ordure, je ne les ai jamais offensé. Je ne suis pas du genre à rabaisser quelqu’un, ça n’a aucune importance pour moi.
-Si ton père te verrait, il serrait fier de toi. Tu sembles si jolie et si intelligente, tu ne mérites pas tout ce mal. Je peux te faire confiance et te mettre au courant de quelque chose que ton père m’a caché de te dire ?!
-Allez-y.
-Bien, à quelques kilomètres à l’est d’ici, il y a un village bien mystérieux. J’ai quelques connaissances là-bas. Ce village regroupe la plupart des déserteurs, c’est un endroit paisible mais aussi dangereux. Il faut faire attention avec les relations, elles ne sont pas toujours très stable et partent souvent à la bagarre. Je te propose quelque chose : après-demain, je t'envois une de mes connaissances, c'est un déserteur et ce que j'ai oublier de préciser est que le village des déserteurs est en constant mouvement pour ne pas se faire repérer, il est donc de très diffcile à ton niveau de le trouver par toi même, dit-moi ou tu habite, il sera là très tôt le matin. Maintenant il doit se faire tard, file. Et si tu as besoin de moi, n’hésite pas à revenir la porte t’est ouverte jeune fille.
-Merci, au revoir.
Elle ferma la porte.
* Mince... *
Elle ré-entra, ayant oublié quelque chose.
-Quand on passe par les portes de Konoha, j'habite tout de suite l'immeuble à droite, en face du marchand de râmen, l'étage le plus haut, c'est le mien.
-Ok, à la prochaine si on se revoît.
Naho s’en alla de retour au village, ayant aimer cette soirée particulière qui lui en apprît bien plus qu’en une année au sujet de son père.
* J’aurai aimé mieux te connaître, papa. *pensa-t-elle en ouvrant la porte de son appartement.
Tout était intact, comme à son départ. La vie au village de Konoha à la fois normale et agaçcante allait donc reprendre son cours comme avant son départ, mais seulement un jour de plus.
Le lendemain, l’Hokage vint à se déplacer jusqu’à chez elle pour lui faire part d’une importante décision. Elle crût à ce moment-là qu'ils avaient découvert qu'elle n'était pas là la veille, mais c'était à un autre sujet.
« Voilà, il semblerait que tu ais les mêmes symptômes que ta mère qui est décédée il y a un an maintenant. Je suis désolé mais nous devrons t’imposer des soins quotidiens. En fait, pour tout te dire, il semblerait que ta mère eût porté une grave malédiction, ton père en connaît un bout sur ce type de sceau, c'est pourquoi il est suspecté d'avoir gravé celui-ci sur le dos de ta mère. Et puis en fait, nos soins ont dégradé ta mère, je suis désolé, cela risque d'avoir des répercutions sur toi... »
* Mais ! c'est donc pour cette raison que ma mère est devenue folle ? Pourquoi ne m'ont-ils jamais rien dit ? Et puis, si les soins dégradent, c'est qu'ils veulent effacer mon nom du monde ! Ca, jamais ! *
Elle protesta.
« J’y refuse catégoriquement, vous avez empoisonné ma mère comme ça ! »
Il persista quand même.
« Vous devrez les prendre ! Toute cette année nous avons portés recherches sur ta famille et il semblerait que tu descends d’une ligne de meurtrier. Je te rassure, c’est du côté maternel et... il semblerait notamment que ce soit héréditaire. De plus, tu devras quitter cet appartement, tu es trop dangereuse, tu fais peur à tout le monde ! Navré, dès demain tu devras prendre ces soins qui te seront apportés par des médecins en personne. »dit-il en s’en allant rapidement par la porte d’entrée.
« Reste sage, maintenant, j’ai des trucs à faire, Au revoir. »
« C’est ça, Adieu ! »fît-elle à voix basse de sorte à ce qu’il ne l’entende pas.
* Bien, il est temps de le plan de Kyo à exécution. J’en ai plus que marre, ça empire de jour en jour. Merci papa, merci Kyo.*
Elle avait hâte au lendemain, à ce seul échappatoire possible, Naho allait donc rejoindre un autre village, qui l’accueillerait certainement mieux que celui-ci. Le soir, alors qu’il faisait tard, la brise légère du vent frais se frottait au visage de Naho, prête à s’échapper. De plus, aucun garde ne patrouillait en ce soir de repos. Toute les lumières étaient éteintes, c'était le meilleur moment.
* C’est le moment propice, mais il va falloir que j'attende demain. *se dit-elle en souriant et rentrant à l'intérieur.
La nuit se déroula parfaitement, contrairement à tout les autres soirs. Elle se dit que sans Kyo elle n'en serait pas arrivée là, Naho avait placé toute sa confiance en lui. Le lendemain très tôt -quand le soleil ne s'était pas encore levé- elle se leva de sursaut.
* Encore ce fichu rêve ! *
Elle s'assît sur son lit pour reprendre sa respiration. Et au moment ou elle sortit sur le balcon pour admirer le levé du soleil, un homme aux cheveux bruns vêtu d'une longue robe rouge était appuyé contre le mur.
« Ohayô.
Naho sursauta de frayeur.
- MAIS ! Qui êtes-vous ?
* Ah mais, c'est celui dont Kyo m'a parlé. Il l'a fait ! Il a tenu sa parole ! *
-Vous êtes prêtes ?
-Deux secondes.
Elle ré-entra dans sa chambre, se vetît et ressortit de celle-ci n'emportant avec elle que le moindre nécessaire dans une petite sacoche.
-Hm ! On y va.
-Ne me perdez pas de vue. On se rejoint derrière les portes.
-Ok ! »
Celui-ci passa par le mur ouest de Konoha, celui-ci n'était pas surveillé à une telle heure de la journée. Naho marchait tranquillement vers l'entrée du village. Malheureusement, elle fût interrompûe par les gardes :
« Hé la folle, ou tu va à cette heure-ci ? On ne t'a pas dit de rester bien sagement chez toi ?
Elle fronça des sourcils.
- C'est vrai ça, rentre chez toi ou tu va te faire dévorer par les méchants loups... Ahahaha... »ricana le second garde.
A ce moment-là, elle crut pendant un court instant que tout était perdu, le plan avait échoué. Soudainement, les deux gardes tombèrent à terre, deux kunaïs étaient plantés dans la nuque des gardes.
* Hmm, il a donc tout prévu. *
Elle accéléra le rythme et se mit au pas de course.
« Dépêchons-nous. »s'exclama l'homme qui se devait d'escorter Naho.
* Shino Kuran, me voilà ! *
Naho un peu plus jeune.
Sa mère.
Son père.
Sceau gravé sur le dos de sa mère.
Kyo, la connaissance de son père.
L'homme qui se doit d'escorter Naho jusqu'au village.
La soif de pouvoir, Faire des connaissances, Etudier la création de techniques.
Qu'on la sous-estime, Qu'on la traite comme un objet ou une esclave.