Dim 17 Déc 2006 - Jôen Kohaku

[Jôen Kohaku]

Nom : Jôen
Prénom : Kohaku

Age : Treize ans
Sexe : Masculin


Description physique :
Plutôt longiligne, son physique est loin d'en imposer. Il n'est pas vraiment grand pour son âge, ni petit, sa silhouette est en fait des plus ordinaire parmi les enfants de son âge.
Sa peau est d'une couleur de lait, blanche et uniforme, à se demander s'il a déjà été exposé à la lumière du soleil.
Son regard est d'un bleu intense, contrastant avec la couleur argenté de ses cheveux. Les traits de son visage sont fins, mais le jeune garçon arbore bien souvent une moue dédaigneuse et une expression sévère qui en ont repoussé plus d'un au premier abord. Une tresse virevolte à l'arrière de son visage, lui arrivant au bas du dos, ce qui rend sa coupe de cheveux quelque peu efféminée et est bien souvent retenu par le même bandeau rouge.



Histoire :

Comme le dirait lui même Kohaku, la vie de notre jeune héros ne sort pas véritablement de l'ordinaire. Il a eut ses hauts et ses bas, naviguant sur ce long fleuve qu'est la vie, traversant des horizons encore inconnus, subissant la caresse des éléments.
Enfin bref, pas de doute, il était là, lui le fils d'une famille de ninja.
Ses parents se côtoyaient depuis leur plus tendre enfance et étaient amis depuis toujours, bien que le destin ne les ait unis qu'une fois arrivés à la vingtaine. A cette époque tous deux étaient déjà ninja, bien avancés dans la hiérarchie et le sont toujours d'ailleurs, bien que leur âge les ait retirés des champs de batailles. Ils eurent une première fille, et trois ans plus tard un garçon. Et encore huit ans plus tard un fils. C'est ici que notre histoire commence.

Il y avait donc cette clinique aux murs blancs. Et cette petite cabane en bois totalement délabrée. Et il y avait aussi dans le coin, cette maison. L'homme à la barbe qui venait de sortir en trombe de la maison était le chef de famille, Taiki le nouveaux papa, qui dans son empressement venait d'échapper de justesse à un poteau qu'un malheureux avait planté là il y a une dizaine d'année. La question est, au vu de la carrure imposante du monsieur, "est-ce lui ou le poteau qui aurait souffert ?". Hmm. La jeune fille aux longs cheveux argentés, qui hurlait des ordres à une personne inconnue se trouvant dans la maison, était la soeur, Akane, l'aînée. Grande et athlétique, elle s'empressa de rattraper son père. Le traînard se nommait Hikaru, c'était le premier fils, il ferma la porte et se mit en chemin sans grand enthousiasme.
Tous, ou presque, se ruaient vers la proche clinique où le nouveau membre de la famille venait de voir le jour. C'était un garçon, que sa mère regardait avec tendresse lorsque les deux gagnants de cette course effrénée arrivèrent. Après l'habituel partage du bébé, il finit dans les bras de Akane qui venait de retomber en enfance après trouvé une nouvelle poupée plus vraie que nature. C'était le moment de vérité.
"Encore un nom mixte ? Laisse moi choisir cette fois, Mayu.
- Chut."
Après un débat houleux, auquel la fillette se mêla, l'affaire fut réglée à coup de pierre-feuille-ciseaux, jeu que la mère gagna. Ce fut ce moment que le fils aîné avait choisi pour entrer.
"J'ai loupé quelque chose ?"
Le père et la fille firent volte face et fusillèrent du regard Hikaru, qui comprit plus ou moins ce qui venait de se dérouler à la vue du large sourire de sa mère. Se grattant le menton, il fit un "Hmm." signifiant qu'il pensait avoir compris.
Ce fut le commencement d'un nouveau chapitre pour la famille, un nouvel affluent qui se jeta dans le fleuve.

Kohaku regardait pensivement son reflet dans un miroir. Les années avaient passé et le nouveau né était devenu jeune garçon. Mais, ce n'était pas ce qui lui importait à ce moment. Une succession d'images lui traversèrent l'esprit et finit par donner un léger coup de tête au miroir, signifiant "c'est parti". L'enfant avait maintenant six ans et s'apprêtait à jouer un match contre l'équipe du quartier voisin.
C'était l'été et son beau temps, ses fruits mûrs, ses jeux, ses minijupes. Hmm. Enfin bref, le temps était propice au jeu et Kohaku avait une confidence à toute épreuve, comme toujours depuis maintenant. Il arriva sur le terrain et salua ses coéquipiers. Le début fut sifflé et le match se déroula sa anicroches, et aboutit à une victoire pour le petit gars.
"Marrez-vous tant que vous pouvez bande de losers, c'est le seul truc auquel vous pouvez gagnez de toute façon."
Quel mauvais joueur. Et malheureusement, ce n'était pas dans le caractère de Kohaku de laisser passer ce genre de parole, et tout dégénéra bien entendu. Le retour fut assez chaotique, chacun tiré par la peau du cou par leur parent respectif.
L'air sévère, Mayu soignait les quelques égratignures de son fils, sans oublier de le réprimander fortement, ce qui eut pour effet d'irriter encore plus ce dernier et par enchaînement d'attiser la colère maternelle. La juste suite fut un confinement du garçonnet dans sa propre, sans dîner, sans oublier les moqueries de son frère qui rentrait d'une réunion avec son jônin.
Une fois dans sa chambre, Kohaku s'assit sur sa chaise, les bras croisés et les sourcils froncés, marmonnant des phrases incompréhensibles au commun des mortels. Il décida se sortir sur la terrasse, sur laquelle aboutissait les chambres des trois enfants de la famille. S'appuyant sur la rambarde, il monta sur le toit de la maison et s'y allongea. Quelques minutes plus tard, sa soeur passa le voir sur le toit. A dix-sept ans, elle était chuunin et rentrait sûrement de son entraînement quotidien.
"Laches-moi, Akane, fit le garçon
- Aha, non, pas toute de suite." répliqua la jeune femme avec un petit sourire mesquin, avant de s'installer aux côtés de son frère.
"Leçon d'Akane numéro six. Je vais pas te dire d'être un saint, mais bon, si tu acceptes tes erreurs, que tu les assumes, et que tu t'excuses quand il le faut, je suis sûr que tu deviendras un gars bien.
C'était pas sympa de crier sur Maman dessus comme ça, elle t'a rien fait. Enfin, pas aujourd'hui quoi."
Ce fut sur ces mots que la soeur quitta le toit et retourna dans sa chambre. Soudain, un objet volant non identifié vint frapper Kohaku en plein front. C'était en fait un paquet de gâteau.
"Bonne nuit, gros sac" fit Hikaru avec un signe de main avant de retourner dans sa chambre.
Le soleil se couchait et le ciel prenait cette teinte de flamme caractéristique. Dure journée mais, bah, il avait gagné ! Un grand sourire aux lèvres, il décida de s'allonger encore quelque temps.

Deux ans s'écoulèrent. Quelques centimètres par-ci et quelque kilos par là, Kohaku grandissait à vu d'oeil, pas autant qu'il le voudrait, mais c'était toujours ça. Ses relations avec sa famille étaient toujours aussi bonnes, bien qu'épicées. Etant le cadet, il était toujours la cible des moqueries de ses aînés, simples manifestations d'amour fraternel. Notre jeune protagoniste était, bien qu'il ne l'avouait pas, très attaché à chacun des membres de sa famille. Cet attachement était né de part le milieu dans lequel il avait grandit, des proches qui faisait passer les liens familiaux avant tout. Quant à son sale caractère, c'était certainement l'influence que chacun des membres de la maisonnée avait eut sur lui et laissé une empreinte indélébile.

Soudain, dans l'obscurité de la nuit, masqué d'une face de loup.
"Quand les forces du mal descendent sur Terre, au nom de la justice, ce poing ! Au nom de la vérité, ces muscles ! Au nom de l'honneur, ce sang !
Ahaha !
Croc d'argent, chevalier de la justice et de la vérité, à votre service !"
S'en suivit une bataille mémorable qui laissa des traces sur le visage de notre protagoniste masqué, dont le déguisement, à son grand étonnement n'avait pas réussi à cacher son identité. Ce qui provoqua bien sûr des crises de fous rires parmi ses amis et sa famille qui avait eu vent de cette histoire par l'aîné toujours friand d'histoire sur son frère adoré. La poisse.
Le fait est qu'un ami lui avait demandé son aide pour une histoire quelconque, un problème de vol terrain de jeu, et qu'il avait refusé prétextant que ce n'était pas ses affaires, ce qui était vrai. Après mûres réflexions, il avait changé d'avis mais ne pouvait pas y aller comme ça, car Kohaku-sama ne changeait pas d'avis, car ses paroles sont sacrées et ne peuvent être discutées, même par lui-même. Il avait donc trouvé la solution qui lui semblait ultime. Le jeune garçon metterait un déguisement pour ne pas qu'on le reconnaisse et pourrait ainsi aider ses compagnons incognito.
Il le regrettait maintenant amèrement, surtout devant son frère qui se moquait du style horrible de son costume d'un soir.
"Tais-toi. Un super héros doit avoir au moins une faiblesse.
- Ton cerveau est une assez grande faiblesse, si tu veux savoir ce que je pense."
Bum, bam, boum. Ah... l'amour fraternel, quelle chose magnifique.
Akane passait dans le coin et Hikaru lui raconta toute l'histoire. L'aînée prit un air sérieux.
"C'est bien tu suis mes conseils, je suis fière de toi. Leçon d'Akane numéro deux. L'amitié est importante, même si..."
Elle éclata de rire, contaminant son frère. Rouge comme une tomate, il exécuta un magnifique dropkick sur sa soeur et insultait son frère de cafeteur.
L'histoire dura plus d'une semaine et même le père et la mère y mirent du leur, avant de se calmer lorsque les deux enfants ninja partirent en mission.

Hikaru rentra le premier, c'était simplement une mission de routine, un truc de larbins comme il le disait si bien. Un soir, un ninja arriva avec un message pour Taiki, le père, qui dû s'absenter. Il revint une heure plus tard, tandis que les deux frangins se chamaillaient au sujet de l'anniversaire de Kohaku qui arrivait à grand pas. L'air grave, il s'installa à table et finit son repas froid, provoquant le calme dans la maison.
"Qu'est-ce qu'il y a ? Tu me fais peur." finit par dire Mayu, interrompant le silence oppressant.
Il se leva et leur demanda de le suivre. Ne répondant, pas aux questions de sa femme, le chef de famille les emmena à l'hôpital. Ici reposait Akane, un drap blanc sur le visage. A leur entrée dans la salle, l'équipe de la jeune fille les salua silencieusement avant de quitter la chambre. Tous regardèrent la scène avec de grands yeux perdus dans le vide, et quelques instants plus tard Mayu fondit en larme dans les bras de son mari. Hikaru quitta la pièce, suivit peu après par Kohaku. Ce dernier fut arrêté par un des équipiers de sa soeur.
"Elle voulait que je te donne ça, pour... ton anniversaire, dit-il en tendant une petite boite.
Je suis désolé, je n'ai pas pu..."
L'homme serra le poing, se détourna et frappa le mur. Sans un mot, Kohaku quitta l'hôpital et erra quelque temps en ville avant de rentrer. Hikaru était là, dans sa chambre, assis sur le bord de son lit, les mains jointes sur son front, les coudes appuyés sur ses genoux. Il leva ses yeux vers son frère.
"Tu sais... ça ne semble pas réel."
Une longue inspiration tremblotante l'interrompit.
"Elle faisait juste..."
Il fit une longue pause. Kohaku s'approcha de son frère et se planta devant lui.
"Tu sais... ça ne semble pas réel." finit par dire en laissant s'échapper un sanglot.
Le cadet prit son frère dans ses bras, tandis que ce dernier resserra son étreinte lui aussi, avec force. La jeunesse du cadet ne lui permettait pas de réaliser ce qu'il se passait.
La cérémonie fut traditionnelle et solennelle. C'est ici que le jeune garçon versa sa première larme, signe qu'il venait véritablement de comprendre la mort de sa soeur.

Le temps passa et tel le vent fit sécher les larmes. La vie continuait. Kohaku venait d'avoir treize ans. Depuis lors, chacun de ses anniversaires était suivit d'un rituel particulier. Il allait au monument aux morts, posait une fleur et se tressait les cheveux comme sa défunte soeur avait l'habitude de le coiffer. Il serra le tout avec le dernier cadeau de Akane.
C'était l'âge de l'académie pour lui et le moment était venu de marcher sur les traces de sa famille. Il suivait maintenant le chemin de retour sur lequel on l'intercepta.
"Viens jouer avec nous demain, on a un match et il nous manque un joueur.
- Non, je suis un mec sérieux maintenant et je suis un ninja, enfin presque.
- Bon... Je te paierais des ramen si on gagne.
- Okay."
Il rentra chez lui, où tout le monde était prêt à aller à table. On mangeait et discutait de divers sujets, comme à l'accoutumée. Avec l'âge, Kohaku était devenu un peu plus ferme et malgré les leçons de sa jeunesse, n'était pas vraiment LE gars sympa. Le fait est que le lendemain de la mort de sa soeur, il s'était inconsciemment éloigné de cette voie de peur de se remémorer trop de souvenirs douloureux.
"Ne nous fait pas honte à l'académie, hein, commença Hikaru avec moquerie.
- Fermes là, répondit-il en pointant le bout de sa cuillère vers son frère.
- Wow, effrayant." répliqua-t-il.
L'habituel combat, juste pour garder la forme.
Mais, hé, la vie continue.

Quelques jours plus tard...
"Hé, maintenant que j'y pense Kohaku, ça fait longtemps qu'on a pas été faire les courses ensembles... dit Mayu, l'air pensif. Ca te dirait pas d'y aller avec moi aujourd'hui ?
-Hmm... Pas vraiment, non."
La mère de famille prit un air choqué et commença à avoir des spasmes comme si elle allait se mettre à verser des larmes. Fausses ou véritables, ces dernières ne tardèrent pas à arriver. Le visage caché dans ses mains, elle se tourna vers son époux, qui lisait le journal non loin de là.
"Taiku, Kohalu est méchant avec sa maman, dit-elle en versant une fausse larme. Il ne veut pas aider sa mère qui l'a mis au monde, qui cuisine ses repas avec amour tous les jours, qui le soigne quand il est blessé, et qui..., se lamentait la femme.
- ARRRR! C'est bon j'ai compris ! Je viens !" dit le garçon avec exaspération.
En l'espace d'une seconde, que dis-je, d'une demi seconde, l'humeur de Mayu changea et elle afficha un sourire radieux. Sans attendre, elle fouilla dans un placard, faisait voler divers objet à travers la pièce, pour finalement en sortir son panier à commission.
"Allons-y !"
Dans un manga, une énorme goutte aurait coulé derrière la tête du père et du fils.
"Vas-y mon fils. Sache que ton papa te soutient." déclara le père en posant une main sur l'épaule de l'adolescent.
Il était alors une heure de l'après-midi.
La mère et le fils traversèrent la ville pour finalement arriver au quartier marchand de Konoha. Mayu balançait son sac à bout de bras comme une petite fille, avec toujours la même bonne humeur sur le visage. Le temps passait, et pourtant le petit panier ne contenait que quelques babioles. Ce que le jeune étudiant avait tant redouté était devenu réalité. Une heure, puis deux, puis quatre. Puis six...
Le couple ne rentra qu'en début de soirée, vers sept heures, avec beaucoup plus d'achats que prévu. La mère ouvrit la porte, toujours aussi joviale, suivit par un... zombie qui s'étala de tout son long sur le canapé. L'endurance d'un jônin, même proche de la retraite, était extraordinaire. La kunoichi posa son panier et se tourna vers sa progéniture.
"Tu ne dois pas aller t'inscrire à l'académie demain, Ko-chan ?"
On aurait pu jurer voir une petite bulle s'échappa du nez de l'enfant, probablement la manifestation de son âme qui allait rejoindre sa bien aimée soeur au paradis.
Il est peut-être inutile de le dire, mais Kohaku dormit très bien cette nuit.






Caractère :
Forte tête et impulsif, Kohaku est plutôt du genre fonceur, la main sur la crosse prêt à dégainer sa fougue à tout moment. Ayant un grand sens de la compétition et un orgueil en acier trempé, il hait être à la traîne, et perdre à n'importe quel jeu ou quoi que ce soit d'autre, lui est simplement insupportable. Très rancunier aussi, il hait qu'on se moque de lui ou des personnes qui lui sont proches, et n'oubliera jamais la personne avant de lui avoir rendu la monnaie de sa pièce, avec les intérêts.
Pourtant, ce ne sera jamais lui qui allumera la flamme d'un conflit véritable, bien qu'il ne sera pas le dernier à répondre à la provocation, loin de là. Ses réactions peuvent être plutôt violente, allant de simples mots à des coups de boule bien placés.

Direct et, peut-être un peu trop, franc, il ne passe pas par quarante chemins pour arriver à ses fins et s'il peut parfois être abrupt dans son comportement, cela ne cache qu'une simple envie d'en finir rapidement. Cependant, sa personnalité, bien que fortement teinté de fierté, est composé d'une autre partie. Vous ne le verrez jamais s'excusez directement à une personne, même s'il sait qu'il a tort. Il fuira votre regard lâchement, et laissera le temps faire son oeuvre.
Ses paroles peuvent parfois sembler agressives et cassantes, mais ceux qui le connaissent un peu vous diront de ne pas prendre ses paroles au premier degré. Le fait est que malgré ses airs, Kohaku peut être un sensible, attentionné et fiable quand il le veut, même si le nombre de personnes envers qui il manifeste ce genre de geste est plus que réduit.
Peu bavard lorsqu'il s'agit de lui-même, il vous enverra balader si vous vous mêlez de ses affaires, qu'il préfère régler personnellement, sans aide extérieure. La petite exception est lorsqu'il y a de la nourriture en jeu.
Au fond, il n'est simplement qu'un garçon qui a du mal à s'exprimer.


Ce qu'il aime :
- La nourriture
- Le catch
- Son frère
- Gagner

Ce qu'il deteste :
- Qu'on se moque de lui
- Sauter des repas
- Son frère (bouahaha)
- Perdre

[Nemuri Aoki]

Yo ! Tout d'abord, bienvenue sur NNS ^_^

Bon point, j'aime l'avatar!

Alors. Alors... Bonne petite Bio rafraichissante. Et comme tu ne postules pas à un clan, je serais plus laxiste. Mais quand même! Il y a des petites répétitions par ci, par là.

"une famille qui faisait passer les liens familiaux avant tout. Quant à son sale caractère, c'était certainement l'influence que chacun des membres de sa famille avait eut sur lui et laissé une empreinte indélébile. "

Famille, liens familliaux, famille. En l'espace de trois lignes. Je pense que tu peux utiliser d'autres mots. Voire enlever familiaux.

Ensuite, certains passages ne sont pas vraiment clairs. Cela fait partie de ton style, certes, mais la lecture est parfois lourde. Je pense que c'est un problème de virgule surtout.

Exemple :
"Notre jeune protagoniste était, bien qu'il ne l'avouait pas très attaché à chacun des membres de sa famille"

Cette phrase peut être comprise en double sens :
était, bien qu'il ne l'avouait, pas très attaché...
était, bien qu'il ne l'avouait pas, très attaché...

Si la virgule n'y ai pas, on peut le lire dans les deux sens.

Donc une simple relecture, histoire de prouver ta motivation. Les descriptions physiques et caractère me conviennent.

Ce qui serait bien, c'est dire pourquoi il va à l'Académie. A t-il envie de devenir Ninja? Etc... C'est un peu bateau, mais c'est toujours ça de prit. De ce coté, je ne t'oblige pas.

Un petit edit, et tu as mon accepté ^_^

[Jôen Kohaku]

Merci pour l'acceuil m(-_-)m

Pour l'avatar, ca tombe bien, moi aussi je l'aime bien (sans dec').

En ce qui concerne la bio, ce style est particulier même pour moi et je le maitrise pas parfaitement. C'est la première fois que j'écris comme ça, et c'était assez amusant en fait.
Et. Hmm. J'ai un peu relu et modifié une paire de trucs par ci par là. Pas grand chose, parce qu'il est tard et que la flemme commence à m'envahir cette nuit. Si c'est pas suffisant, je verrais ça demain (°_°)

Pour les raisons de son entrée à l'académie, j'ai rajouté une petite phrase vers la fin, mais je n'ai pas trop envi de m'attarder la dessus pour le moment. Les raisons de son entrée sont assez triviales en fait.

[marq=right]Hop là.[/marq]
Un accepté ! Un accepté !
*Tape le manche de sa fourchette et celui de son couteau sur sa table.*

[Saya Minatsuki]

\o/ bienvenu à konowa!

mmm?...Justement Aoki est gentil là huhuhu (T'es malade ? :p)
Edit Aoki : Fallait faire la technique du méchant flic et du gentil flic. J'ai choisit le gentil flic ^_^
edit saya: noir ou blanc pas de milieu, Leo serait-ce un génie?

Leçon d'Akane numéro six& deux

je veux savoir les 4 autres (comment ca suis chiante? vu l'heure c'est permis )

plus sérieusement.

Taiki le nouveaux papa, qui dans empressement

pitit problème là ...

pour l'histoire du super héro et la honte qu'il s'est tapé :p, j'ai pas pigé l'idée qu'était derrière, etc...
*Tape avec sa massue et sa fourche sur sa table de cromagnon :p*

Sinon j'aime (le style et la facon de l'exploiter)

[Jôen Kohaku]

Les leçons en fait, je les connais même pas moi-même 0_0
Mais ce serait un truc du genre "La justice et l'amour triomphe toujours.", "Ne fait pas de mal à ta soeur chérie" ou "La Vérité Ultime sur le monde se trouve dans le chocolat.".

J'ai corrigé la petite faute, chef <o
D'ailleurs, y'en avait d'autres, voilà ce que ça fait de poster avant de relire.

Pour l'histoire du héros, en fait, y'a rien du tout derrière, juste un petit trip de ma part >_>
En fait, je suis parti de l'idée que plutôt que de raconter à proprement parler l'histoire du perso et son évolution au cours du temps, je décrirais son milieu de vie. C'est à dire raconter ses relations avec ses proches et les réactions de ces derniers par rapport aux activités du personnage, montrer les bases du caractère du personnage à travers ces petites histoires.
Je pense qu'on peut voir en gros comment il a grandit à travers ces petites anecdotes.

Et voila ~o~
: D]-<

[Saya Minatsuki]

je déconnais pour les lecons :p

effectivement ca rentre bien dedans pour voir un peu près le caractère du perso etc...ce que j'avais pas compris, c'était pourquoi il s'était déguisé en ca, ce soir là? et qu'est ce que son ami avait a faire dedans XD

[Jôen Kohaku]

Et pourquoi, il s'est déguisé en ça ? En fait, son caractère l'empêchait de dévoielr son identité à se moment, il aime sa réputation de badboy qui en a rien à foutre .
A la base je pensais à un costume de catcheur mexicain, mais j'ai du oublier en cours de route (Il aime le catch).

Pour l'ami, fallait un prétexte s'tout ~o~ Et la raison aurait été pas vraiment importante, c'est la finalité qui l'est
*se cherche des excuses*
Mais sinon, je peux rajouter une paire de truc dans l'histoire si c'est vraiment nécessaire.

[Leolio Mimura]

[referp=61233;quote="Saya Minatsuki"] noir ou blanc pas de milieu, Leo serait-ce un génie?
[/quote]

Cette question , bah bien sur que je suis un génie
Mais dis donc toi, on attend toujours quelque chose


Sinon, si tu peux rajouter des trucs dans ta bio, au contraire

[Saya Minatsuki]

Mouais pas convaincue par tes *se cherche des excuses* :p
m'enfin, effectivement la finalité était ce qui compte, vais pas faire chier pour ca, quoique (petite explication rapide quand mime du genre, c'était un pari? il aime le cosplay? se travestir? :p)

n'oki, ca sera un oui pour moi :p

Leo> mmm? j'ai oublié quelquechose moa? :p

[Jôen Kohaku]

Ils sont très bien mes je "se cherche des excuses" : o

Et hop là boum, c'est fait <o/

[Nemuri Aoki]

Je relis, et il y a toujours des problèmes de virgules.

Exemple :

"La jeune fille aux longs cheveux argentés qui hurlait des ordres à une personne inconnue se trouvant dans la maison était la soeur, Akane, l'aînée."

Ca devrait donner :
"La jeune fille aux longs cheveux argentés, qui hurlait des ordres à une personne inconnue se trouvant dans la maison, était la soeur, Akane, l'aînée. "

Il ne suffit pas de corriger les exemples que je donne, mais de relire le texte et de trouver ses erreurs.

Genre :

" Ce fut à ce moment que le fils aîné avait choisi pour entrer," Gné ?_?
Ce fut ce moment que le fils aîné avait choisit pour entrer
Ce fut à ce moment que le fils aîné choisit d'entrer

Mets les espaces entre le textes et les paroles aussi ^_^

Globalement j'aime. Et les fautes que je trouve sont dû à mon caractère tatillon. Mais j'aimerais une bonne relecture quand même.

[Jôen Kohaku]

Voilà, en espérant que c'est la dernière.

J'ai mis les espaces, mais je suis pas spécialement fan.
C'est obligatoire ?

[Haeru Mikomi]

Bof, les espaces entre les paroles... perso j'ai jamais aimé, ça tient du personel.
Après, les espaces entre les paragraphes, oui.

Bienvenue ^-^.

[Jôen Kohaku]

Merci \o/

Je me suis rendit compte qu'on voyait pas beaucoup les parents du personnage, alors j'ai décidé de rajouter un paragraphe à la fin en leur honneur (enfin à la mère surtout) o//

Et je suis revenu à la mise en page de base aussi, j'aime pas vraiment sauter des lignes comme ça. Ca casse les paragraphes : o

[Nemuri Aoki]

Allez je met mon Accepté comme promis.

Pour la mise en page, c'est juste que croisé les couleurs dans un même paragraphe, ça me bourine les yeux, ça fait paté, je trouve cela laid au possible. Mais bon, chacun ses goûts. De plus, ça permet de ne pas mettre trop de dialogues et ainsi de privilégier la description.

J'avoue n'avoir pas tout relu, ça faisait la quatrième fois quand même... J'ai bien aimé le dernier paragraphe.