Cabane de Neï

[Nanami Sukyuri]

Vague information sur son ancien Senseï et la cause de son redoublement. Redoublement qui, apparemment n’en était pas vraiment un. Son Senseï était actuellement portée disparue. Pas pratique pour suivre des cours. Puis, Neï s’était rapproché, l’avait serrée contre lui puis, lui avait murmuré à l’oreille son envi de déserter. Voudrait-elle pour cela le tuer ?? Non, bien sûr. Elle ne savait pas tuer, ne voulait pas tuer. Et même si elle voulait le tuer, son manque de force l’en empêcherait. Et de toute façon, elle ne voulait pas le tuer. Elle ne le connaissait pas beaucoup mais…elle ne voulait pas qu’il parte, elle ne voulait pas qu’il la laisse toute seule…elle ne savait pas pourquoi mais, c’était ainsi.

Elle voulait lui dire qu’elle ne pouvait pas le tuer, qu’elle ne voulait pas et qu’elle accepterait sa décision. Elle voulait le convaincre de ne pas déserter mais, elle ne s’en sentait pas capable. Elle ne voulait pas qu’il la lâche mais, il la lâcha. Puis, une fois que son malaise atteint son paroxysme, quelqu’un répondit à la question de Neï. Quelqu’un qu’ils connaissaient tous les deux. Quelqu’un qui, pour une fois, avait une voie froide et résolue. D’ailleurs, il n’y avait pas que sa voie qui était froide. Ses paroles l’étaient au moins autant. Des paroles qui firent mal à Nanami. Komoku Senseï voulait empêcher le jeune homme de déserter. Mais, encore plus que Nanami. Au point de vouloir le tuer s’il insistait. Et ça, Nanami ne le voulait pas. Neï était maintenant un ami, son ami. Elle ne voulait pas le perdre et, apprendre à mieux le connaître…

« Je te tuerais sur le champ. »

Telles furent c’est paroles. Franche, froides, coupantes et, blessantes. Pourquoi blessantes ?? Ca, Nanami ne le savait pas vraiment. Elle ne comprenait pas la crainte qui l’emparait. La crainte de perdre cette personne qu’elle ne connaissait pas le matin même. Mais bon, les humains sont si compliqués…surtout les femmes…

Puis, le Senseï enchaîna sur un discours à propos des déserteurs. Ou plutôt, à propos de son incompréhension de ces même déserteurs. D’après lui, l’académie est plus utile pour apprendre et, appartenir à un village n’a que des plus. Etre déserteur, ce n’est pas vivre, c’est survivre. Ainsi le jeune homme finit sa tirade.

Enfin, il parla plus de Neï en personne. Il lui redit qu’il n’hésiterai pas à le tuer et que, il ne fallait pas qu’il essaye de passer outre. Mais apparemment, il considérait déjà que Neï restait car, il enchaîna sur son relogement. Le jeune homme ayant brûlé sa cabane, il n’avait plus d’endroit où vivre. Il pouvait logé près de l’académie ou, chez un ami.

Nanami voulait dire qu’elle le logerait, qu’elle l’aiderait à s’intégrer au village, à oublier son idée. Mais, elle avait beau avoir changée, c’était trop tôt. Le matin même, elle ne le connaissait pas. Et pourtant, elle en avait envi. Elle voulait l’aider, l’empêcher de partir, de se faire tuer par Komoku Senseï. En plus de perdre un ami, elle ne pourrait plus respecter son Senseï. Et, un élève qui ne respecte pas son maître, ce n’est jamais vraiment trop bon.

« Et puis je suis content que tu aies renoncé à cette idée de vengeance. Ca ne t'aurait rien apporté de bon."

Quelle vengeance ?? était-ce pour ça qu’il voulait s’exiler ?? Contre qui voulait-il se venger ?? Avait-il vraiment abandonné cette idée ?? Trop de questions sans réponses pour Nanami. Elle voulait les réponse. Mais, elle ne voulait pas le déranger, se mêler de sa vie, qu’il le prenne mal et s’en aille. Ca serait trop bête.

Puis, elle vit son corps bouger, se placer entre Neï et Weï-Chi. Elle étendit les bras et vit ses lèvres remuer. Elle ne contrôlait plus son corps. C’était maintenant son sœur qui agissait et, contrôlait Nanami. Des paroles sortirent ensuite de sa bouche entre ouverte. Des paroles qu’elle pensait mais, qu’elle n’osait prononcer. Des paroles venant de son cœur, des paroles qu’elle avait voulue enfouir…

« non, ne le tuez pas !!! Il n’est pas mauvais !!!! Il viendra chez moi et, je lui ferait passer cette idée de désertion !!! S’il vous plaît, laissez lui une chance, laissez lui sa chance d’intégrer Yuki dans son cœur !! »

Une chaleur intense, un rougissement et une gêne intense. Nanami venait d’entendre ses paroles et de les comprendre. Sans les renier, elle s’en voulait un peu d’avoir parlée avec si peu de retenue…

[Neï Saïdo]

Il était serré l’un contre l’autre, bien, complet. Il avait tout les deux retrouvés leurs âmes sœur. Une parfaite moitié s’emboîtant dans l’autre. Lui le Yang et elle le Ying…
Il sentit une présence glaciale, un peu meurtrière sur les bords… Il lâcha Nanami et commença à se retourner… Il entendit le son avant l’image :

"Je te tuerais sur le champ. "

Voilà ce qu’il entendit peu avant de voir de qui ce message venait même si il avait déjà cerner la personne pouvant lui proférer ces paroles, il fut un peu surpris de voir que c’était Wei-Chi. C’était la cause –enfin un peu car c’est à sa rencontre qu’il voulut déserter- de sa désertion et il voulait le tuer ? Il écouta tout ce que lui avait à dire de le chuunin… Lui disant que la voix de l’académie était beaucoup rapide t que déserter, c’est survivre…
Et alors ? La puissance que l’on optenait grâce au village était comme bridée.. On ne l’utilisait pas comme on le voulait… Et survivre plutôt que vivre, n’était-ce pas plus « amusant » ? Plus palpitant comme vie… à voyager dans touts les villages à la recherche de soi-même, avec Sa propre justice !

Mais malheureusement, il ne pouvait pas, il ne pouvait pas car il venait de rencontrer Wei-chi qui lui proposer de rester et de vivre ou de partir et mourir…
Alors il réagit comme un homme l’aurait fait devant la mot, il la fuit… il avait encore tellement d’objectif à accomplir, il en pouvait pas mourir si bêtement maintenant !
Etait-ce qu’un prétexte pour avoir la vie sauve, encore une fuite ou bien une réel raison de se résigner à attendre ? Il ne savait pas... Il était perdu dans ses pensées.

Mais il fut tiré de celle-ci par Nanami qui se plaça devant lui en criant :

« « non, ne le tuez pas !!! Il n’est pas mauvais !!!! Il viendra chez moi et, je lui ferait passer cette idée de désertion !!! S’il vous plaît, laissez lui une chance, laissez lui sa chance d’intégrer Yuki dans son cœur !! »

Cet simple phrase lui fit chaud au cœur, refermant peut à peu la blessure encore restante de son cœur… Elle l’aidait ? Lui donné de l’affection ? Il ne connaissait pas ça mais apprécier cela à sa juste valeur. Il entendait son cœur battre de plus en plus fort dans sa poitrine, des boules se formant dans son estomac et sa gorge et l’adrénaline qui montait…

Il avait envie de lui rendre l’appareil, avec ses mots à lui, qui n’en était pas…
Il ne laça qu’un regard à Weu-chi Komoku, mais un regard qui en disait long, se regard disait : « J’accepte tes conditions, tes ordres… ».
Il prit Nanami par les épaules et la fit se retourner, il fit un pas en arrière et dit au chuunin :

« Très bien, j’accepte.. »

Comme si il avait eut le choix…
Il se retourna et prit par la main Nanami... ce geste voulait tout dire :

Je t’aime….

[Wei-chi Komoku]

Weï-chi n'avait pas pensé que Neï pût sérieusement songer à la désertion. Il n'avait fait que lancer un avertissement qu'il espérait être inutile. Il espérait se tromper. Et pourtant, le temps que mit le garçon à répondre vint confirmer ses craintes. Il se demanda comment il eût réagi si nanami n'était pas intervenue, mais il ne chercha pas plus loin car pour lui, tout ce qui arrivait était écrit, et il ne pouvait tout simplement en être autrement. Néanmoins il restait sceptique face à l'engouement de la jeune fille. "L'emmener chez toi hein... et toi, Neï, tu es d'accord... Je serai mal avisé de me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais si c'est votre décision, faites tout de même attention. Les Sukyuri ont assez de problèmes pour l'instant. Evitez de parler de désertion devant eux si vous ne voulez pas vous attirer les foudres des aînés..."

Il avait prononcé ces paroles comme s'il en savait bien plus long que ce qu'il voulait bien dire, mais cela ne regardait tout simplement pas les deux autres étudiants. Il ne se doutait pas alors que le lendemain, une petite escapade des Sukyuri viendrait tout compromettre. [Reste à voir comment vous allez agir, Neï si tu décides d'habiter chez Nanami tu peux t'incruster dans leur scénario à eux, si l'envie t'en prend, mais évite alors de déserter au milieu, c'est comme tu le sens.] Il était tout de même rassuré de n'avoir pas encore une mort sur la conscience, et espérait que si cela venait à arriver un jour quelqu'un d'autre s'en chargerait. Et pourtant c'était son job. Professeur le jour, volontaire de surveillance le soir, histoire de donner un coup de main aux anbus, lorsqu'il y avait une urgence ou un travail ingrat à accomplir.

IL ne comprenait pas vraiment encore la relation qui naissait entre les deux jeunes et ne mettait cela que sur le compte de l'amitié. C'était tant mieux, Nanami aurait une bonne influence sur le jeune garçon, elle était une élève sérieuse. Pour ce qui était de Neï, il n'avait pas intérêt à corrompre la jeune fille.

"Je ne vous raccompagne pas, j'ai à faire."

Les paroles du chûnin avaient été prononcées d'un ton assuré, mais avec un regard lancé à NeÏ, qui ne voulait dire autre chose que "je te tiens à l'oeil."

[Nanami Sukyuri]

Les deux hommes acceptèrent immédiatement la proposition de Nanami. Proposition qui, n’en était pas vraiment une…Neï allait vivre chez elle et, elle espérait bien lui retirer son idée de la tête. Mais apparemment, Le Chuunin était méfiant. Peut-être avait-il peur pour la jeune femme, peut-être avait-il peur que Neï n’est fait que repousser son idée et, qu’il ne le ferait guère longtemps après. Mais de toute façon, la décision des deux adolescents était prise. EN tout cas, c’est l’impression que ça donnait à Nanami. Après tout, Neï faisait peut-être semblant. De toute façon, elle était trop aveuglée pour s’en rendre compte.

Et, un simple geste de Neï suffit à la tirer de sa rêverie et, à la faire rougir de plus belle. Il l’avait prise par la main et, l’avait attirée pour qu’ils s’éloignent de Komoku une fois qu’il eut finit de les prévenir. IL avait prononcé une courte phrase à propos du clan Sukyuri et de ses problèmes mais, Nanami était trop prise dans ses pensés pour la relever.

"Je ne vous raccompagne pas, j'ai à faire."

Le Senseï allait en rester là. Il allait les laisser rentrer seul et, les laisser vivre leur vie. Mais, Nanami en était sûr, il continuerait de se méfier de Neï. La froideur de sa voie losqu’il avait annoncé qu’il n’hésiterai pas à le tuer l’en persuader. IL ne fallait plus qu’espérer que Neï abandonnerait cette idée avant que l’homme en face d’eux ne le tue. Pour l’instant, tuer NeÏ, c’est tuer Nanami. Chose assez bizarre lorsque l’on sait que le matin même, ils ne se connaissaient pas.

Nanami se retourna brièvement pour apercevoir son Senseï. Elle voulait lui dire de ne pas s’inquiéter, qu’elle s’occuperait de Neï, qu’elle le ferait changer d’avis. Mais, elle n’y parvint pas. La main du jeune homme serrée si doucement et si chaleureusement dans la sienne l’en empêcher. Mais, peut-être l’homme l’avait-il compris rien quand voyant son regard et, peut-être avait-il lu dans ses pensés, dans son cœur…Après tout, il n’était pas Chuunin pour rien.

Au bout d’une vingtaine de minutes, il atteignirent l’orée de la forêt. Tout ça sans prononcer une seul parole. Des mots auraient gâchés le moment qu’ils passaient tous les deux, main dans la main. Et puis, il aurait bien le temps de parler une fois qu’ils seraient chez Nanami. Une fois arrivée chez elle, ils pourraient se reposer et, parler demain, faire le point. Heureusement qu’elle n’habitait plus chez ses parents. Ils auraient trouvés bizarre qu’elle ramène un garçon aussi tard. En plus, ça lui permettrait de lui aménager une plus grande place dans la chambre.

Encore quelques minutes plus tard, Nanami ouvrit la porte derrière laquelle se trouvait sa chambre. Elle habitait dans une grande maison où les gens se partagent plusieurs étages. Dans le cas de nanami, il s’agissait de deux étages. ET, elle possédait les clés du deuxième. Elle avait fait ce choix pour éviter de toujours entendre ses voisins marchaient au dessus, courir… Mais par chance, ils n’étaient que très rarement là. Il s’agissait de riche possédant de nombreuses maisons et, depuis quelque temps, apparemment, il délaissé celle-ci.

Une fois la lumière ouverte, Neï put apercevoir une grande chambre qui aurait pu facilement accueillir trois personnes. Ici, un grand bureau sur lequel était entassé des livres sur les différents arts ninjas, ici, un lit deux places (très important^^) et dans le coin, un canapé dépliable et une étagère. Le tout était assortie et la couleur dominante était le jaune. Sur les murs, quelques photos de sa famille : sa mère, son père, Kisuke, Gale, Maika… Peut-être Neï serait-il bientôt lui aussi affiché sur ce mur… ??

Au fond de la pièce, une porte donnant sur la salle de bain et la cuisine. Ces deux pièces étaient plutôt petites mais tout de même agréable. Quoi que la cuisine soit assez sommaire et vraiment petite. Cela explique peut-être pourquoi Nanami mange tout le temps dans sa chambre.

Le jeune femme sentit alors qu’il était temps de rompre le silence qui devenait pesant.

« Voilà. C’est ici que toi et moi on va habiter. C’est plutôt grand et sympa. En plus, les voisins du dessous ne sont quasiment jamais là et, du coup, ils ne sont pas trop bruyants. Par contre, j’aimerai que tu m’aides à défaire le canapé pour que tu puisses dormir dedans… Si ça ne te déranges pas trop…

Ne t’inquiètes pas si demain matin tu ne me vois pas, je partirai tôt. J’ai rendez-vous avec deux cousins pour présenter l’académie à Kisuke qui va y bientôt y faire son entré. Une fois qu je serais rentrée, on parlera un peu de la suite… Mais pour l’instant, je pense qu’il est temps que l’on dorme… A par si tu veux me demander quelque chose… ?? »

Elle ne savait pas pourquoi, la fatigue l’avait prise d’un coup. Elle comptait parler au garçon dès ce soir mais, elle ne s’en sentait plus la force. Pour l’instant, il fallait qu’elle dorme. Bien qu’elle doute trouver le sommeil avec Neï qui envahit ses pensés.

Maintenant, il n’y avait plus qu’à espérer que celui-ci ne ronfle pas trop…

/HRP/ Je pense que tu peux poster ton arrivé et tes éventuels questions ici. Mais après, je pense qu’il faudra qu’on crée un autre topic. Genre chez nanami… Mais bon, on voit ça par mp ou sur msm./HRP/

[Neï Saïdo]

C’est amusant comme une seul phrase, un seul geste peut faire changer les choses. Une seul phrase avait suffit à Nanami pour refermer –temporairement- sa blessure intérieure. Et le seul geste de prendre la mai à celle-ci avait fait bondir son cœur ainsi que celui de La jeune Kunoichi. Ces gestes combinés aux paroles de Wei - chi avaient quelque peu refroidi Neï sur ses idées de désertion… mais que quelque peu. Il se souvenait surtout des phrases du Chunin, tranchante comme un sabre et froide comme les glaces éternelles de Yuki… Et de ce regard froid et qui n’avait pas l’air d’hésiter un seul instant à exécuter les menaces qu’il avait proféré.

C’était vraiment un moment magique, inoubliable. Le premier d’une longue série espérait Neï. C’était incroyable ! Il ne c’était jamais sentit aussi bien avec quelqu’un… Il n’avait pas besoin de parler, ses seuls gestes suffisaient à eux même pour faire comprendre ses sentiments à Nanami. C’était bon, c’était fort et c’était surtout novateur pour Neï.

C’était la première fois qu’il regardait la lune avec autant d’optimisme et qu’il ne la considérait pas comme un astre de la mort. Oui, car la nuit amène à la mort…. L’aube ne se lèvera pas pour les Hommes… telle était la citation qui le berçait et dont il en se souvenait plus de l’origine.

La balade jusqu'à la « maison » de Nanami se passa sans qu’aucun mot ne fût échangé entre les deux Adolescent –oui car à 16 ans, on est un adolescent -. Neï ne parlait pas beaucoup mais pendant leur marche, il en avait encore moins envie que précédemment.

Ils arrivèrent en centre ville au bout d’un petit moment. Les gens se retournaient un peu surpris de voir une si jolie et gentille fille de la famille Sukyuri traîner avec quelqu’un d’aussi glauque Et mystérieux que Neï… lui se fichait des pensées et des jugements des autres mais,qu’en était-il de La jeune Sukuyuri ?

*les gens portent des jugement sur des choses qui les dépasse…je trouve sa ridicule et inutile… C’est pourquoi que beaucoup de personnes ne m’apprécient pas, ils ne me connaissent pas et porte un jugement sur ma seule apparence…pathétique… *

Il était froid, ce masque et cette attitude revenait lorsqu’il voyait d’autres personnes que certaines de ses connaissance et plus particulièrement Nanami. Avec elle, il avait retrouvé le sourire, le vrai, le sincère. Pas un sourire antipathique dessiné a détendre l’ambiance.

Ils montèrent et Neï put découvrir le refuge de Nanami. C’état autre chose que sa vielle cabane. Ici, il y avait beaucoup de place, il ce sentait d’ailleurs « envahie » par la place.
Il aida sa « copine » a déplier le canapé’ et lui demanda après avoir écoutez ses paroles :

« Je peut utiliser ta douche ? »

Enleva sa cape puis son tee-shirt. Bizarrement, il semblait plus svelte et musclé que lorsqu’il portait sa veste, cela devait faire bizarre à Nanami. Il lui souri et alla prendre une douche. Il revint avec une serviette autours de la taille. Il enfila rapidement –et hoirs de la vue des âmes sensible- son calcons et se rapprocha de sa jeune compagne. Il lui glissa quelque mot en la prenant par la taille. Geste qu’il n’aurait jamais osé faire avant :

« D’accord, Bonne nuit … “

Il lui fit un bizou ans les cheveux et lui souria,ne quittant pas les bras de Nanami,attendant quelque peu sa réaction et pour profiter du moment présent...

[Un vrais petit couple xD]