Le fameux : C.P.E.

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sichuan shikai
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Message par sichuan shikai »

Comme vous le savez (tous j'espère) le contrat première embauche pourri la vie de ceux qui veulent bosser. Moi (au Mans) sa fait bientot une semaine que j'ai pas eu cour. Au début c'était marrant (ça l'est toujours certes^^) mais je crois que c'est pas fini.

Donc j'voulait savoir si autre par en france c'est pareil.
Urusaki Kitai

Message par Urusaki Kitai »

Les grèves ne servent à rien.
Tout le monde gueule sans savoir ce que c'est des fois.
De plus, certaines personnes qui veulent taffé, réussir leur année et par dessus tout aller en cours ne peuvent même pas à cause de ces fichus grèves, donc voila.
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Kodomo Ookami
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Message par Kodomo Ookami »

Les grèves ne servent à rien.
Tout le monde gueule sans savoir ce que c'est des fois.
De plus, certaines personnes qui veulent taffé, réussir leur année et par dessus tout aller en cours ne peuvent même pas à cause de ces fichus grèves, donc voila.
Pas daccord, objection, je m'oppose, je proteste, a mort !! ::x:

Déja on dit, je pense que les greves ne servent à rien, si on veut pas se faire lyncher.. (par moi meme ^^ ).. qui a dit c'est un modo ? M'en fou, je m'oppose quand meme. (et toc !!)

Je ris je ris, mais tes paroles me blessent quand meme. Tout simplement que les grevess SERVENT à quelque chose. Puisque le gouvernement ne nous écoute pas quand on s'exprime simplement, alors greves manifs et autres cris de rage. (c'est la lutheeeu finalheuuu groupos nous et demaaaain...) Pour toi il faut laisser faire ca ? Alors le CPE sera acquis pour le gouvernement, qui voyuant son peuple ne pas réagir, nous fera une autre lois encore plus débile que celle ci. Je dis non. Si tu as une autre solution expose la,aprés tout les greves ne se font qu'aprés avoir echouer dans tous les autres moyens, mais si le moyen miracel existe, alors dis le nous. Je serai trés fier de l'exposer à mes camarades ^^ .

Je pourrai developepr pendant de longues heures... mais resotns en la pour le moment, je n'ai aucune envie que sur ce forum (aussi) je soit obliger de me fritter avec des gens, pour une histoire de politique.
Kodomo Ookami Etudiant de Suna qui n'a pas mis sa signature à jour.. et qui en est fier !!

POur faire dans le pas original du tout :

Massacrons nous la face à Kaze kanson.

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Sichuan : Ou "jvé dvenir fort... un jour.... lointain..."
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Lee Khos
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Message par Lee Khos »

Moi, je suis pour le CPE. Pour le droit à l'éducation.

Déjà, s'ils veulent pas de précarité, qu'ils travaillent pour avoir leur diplôme au lieu de bloquer les facs et d'emmerder le monde, z'ont qu'à faire leurs manifs pendant les vacances.

Ensuite, quand on voit dans le journal un des leader "le petit prince" a cause de sa chevelure et tout le bordel, alors qu'on a dû se le farcir deux ans en cours et que c'est un crétin fini qui tourne à trois de moyenne generale, on se demande à quoi ça leur sert de manifester à ceuxlà (je ne fais pas de généralité hien ><) ... toutes façons il aura rien dans la vie -_-'

BREF, et pour ceux qui l'ont pas lu....


___________________________________________________________





Voilà le texte intégral en 49-3 ou je sais pas quoi, trouvé sur le site de l'assemblée nationale^^...


I. - Les employeurs qui entrent dans le champ du premier alinéa de l'article L. 131-2 du code du travail peuvent conclure, pour toute nouvelle embauche d'un jeune âgé de moins de 26 ans, un contrat de travail dénommé « contrat première embauche ».

L'effectif de l'entreprise doit être supérieur à vingt salariés dans les conditions définies par l'article L. 620-10 du code du travail.

Un tel contrat ne peut être conclu pour pourvoir les emplois mentionnés au 3° de l'article L. 122-1-1 du code du travail.

II. - Le contrat de travail défini au I est conclu sans détermination de durée. Il est établi par écrit.

Ce contrat est soumis aux dispositions du code du travail, à l'exception, pendant les deux premières années courant à compter de la date de sa conclusion, de celles des articles L. 122-4 à L. 122-11, L. 122-13 à L. 122-14-14 et L. 321-1 à L. 321-17 de ce code.

La durée des contrats de travail, y compris des missions de travail temporaire, précédemment conclus par le salarié avec l'entreprise dans les deux années précédant la signature du contrat première embauche, ainsi que la durée des stages réalisés au sein de l'entreprise sont prises en compte dans le calcul de la période prévue à l'alinéa précédent.

Ce contrat peut être rompu à l'initiative de l'employeur ou du salarié, pendant les deux premières années courant à compter de la date de sa conclusion, dans les conditions suivantes :

1° La rupture est notifiée par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ;

2° Lorsque l'employeur est à l'initiative de la rupture et sauf faute grave ou force majeure, la présentation de la lettre recommandée fait courir, dès lors que le salarié est présent depuis au moins un mois dans l'entreprise, un préavis. La durée de celui-ci est fixée à deux semaines, dans le cas d'un contrat conclu depuis moins de six mois à la date de la présentation de la lettre recommandée, et à un mois dans le cas d'un contrat conclu depuis au moins six mois ;

3° Lorsqu'il est à l'initiative de la rupture, sauf faute grave, l'employeur verse au salarié, au plus tard à l'expiration du préavis, outre les sommes restant dues au titre des salaires et de l'indemnité de congés payés, une indemnité égale à 8 % du montant total de la rémunération brute due au salarié depuis la conclusion du contrat. Le régime fiscal et social de cette indemnité est celui applicable à l'indemnité mentionnée à l'article L. 122-9 du code du travail. À cette indemnité versée au salarié s'ajoute une contribution de l'employeur, égale à 2 % de la rémunération brute due au salarié depuis le début du contrat. Cette contribution est recouvrée par les organismes mentionnés au premier alinéa de l'article L. 351-21 du code du travail conformément aux dispositions des articles L. 351-6 et L. 351-6-1 du même code. Elle est destinée à financer les actions d'accompagnement renforcé du salarié par le service public de l'emploi en vue de son retour à l'emploi. Elle n'est pas considérée comme un élément de salaire au sens de l'article L. 242-1 du code de la sécurité sociale.

Toute contestation portant sur la rupture se prescrit par douze mois à compter de l'envoi de la lettre recommandée prévue au 1°. Ce délai n'est opposable aux salariés que s'il en a été fait mention dans cette lettre.

Par exception aux dispositions du deuxième alinéa, les ruptures du contrat de travail envisagées à l'initiative de l'employeur sont prises en compte pour la mise en œuvre des procédures d'information et de consultation régissant les procédures de licenciement économique collectif prévues au chapitre Ier du titre II du livre III du code du travail.

La rupture du contrat doit respecter les dispositions législatives et réglementaires qui assurent une protection particulière aux salariés titulaires d'un mandat syndical ou représentatif.

En cas de rupture du contrat, à l'initiative de l'employeur, au cours des deux premières années, il ne peut être conclu de nouveau contrat première embauche entre le même employeur et le même salarié avant que ne soit écoulé un délai de trois mois à compter du jour de la rupture du précédent contrat.

Le salarié titulaire d'un contrat première embauche peut bénéficier du congé de formation dans les conditions fixées par les articles L. 931-13 à L. 931-20-1 du code du travail.

Le salarié titulaire d'un contrat première embauche peut bénéficier du droit individuel à la formation prévu à l'article L. 933-1 du code du travail prorata temporis, à l'issue d'un délai d'un mois à compter de la date d'effet du contrat. L'organisme paritaire agréé mentionné à l'article L. 931-16 de ce code assure la prise en charge des frais de formation, de transport et d'hébergement ainsi que de l'allocation de formation due à ce salarié.

L'employeur est tenu d'informer le salarié, lors de la signature du contrat, des dispositifs interprofessionnels lui accordant une garantie et une caution de loyer pour la recherche éventuelle de son logement.

III. - Les travailleurs involontairement privés d'emploi, aptes au travail et recherchant un emploi au sens de l'article L. 351-1 du code du travail, ayant été titulaires du contrat mentionné au I pendant une durée minimale de quatre mois d'activité ont droit, dès lors qu'ils ne justifient pas de références de travail suffisantes pour être indemnisés en application de l'article L. 351-3 du code du travail, à une allocation forfaitaire versée pendant deux mois.

Le montant de l'allocation forfaitaire ainsi que le délai après l'expiration duquel l'inscription comme demandeur d'emploi est réputée tardive pour l'ouverture du droit à l'allocation, les délais de demande et d'action en paiement, le délai au terme duquel le reliquat des droits antérieurement constitués ne peut plus être utilisé et le montant au-dessous duquel l'allocation indûment versée ne donne pas lieu à répétition sont ceux applicables au contrat nouvelles embauches.

Les dispositions de la section 4 du chapitre Ier du titre V du livre III du code du travail sont applicables à l'allocation forfaitaire.

Les dispositions de l'article L. 131-2, du 2° du I de l'article L. 242-13 et des articles L. 311-5 et L. 351-3 du code de la sécurité sociale ainsi que celles des articles 79 et 82 du code général des impôts sont applicables à l'allocation forfaitaire.

Cette allocation est à la charge du fonds de solidarité créé par la loi n° 82-939 du 4 novembre 1982 relative à la contribution exceptionnelle de solidarité en faveur des travailleurs privés d'emploi.

L'État peut, par convention, confier aux organismes mentionnés à l'article L. 351-21 du code du travail ou à tout organisme de droit privé la gestion de l'allocation forfaitaire.

Un accord conclu dans les conditions prévues à l'article L. 351-8 du code du travail définit les conditions et les modalités selon lesquelles les salariés embauchés sous le régime du contrat institué au I peuvent bénéficier de la convention de reclassement personnalisé prévue au I de l'article L. 321-4-2 du code du travail. À défaut d'accord ou d'agrément de cet accord, ces conditions et modalités sont fixées par décret en Conseil d'État.

EXPOSÉ SOMMAIRE

Pour traduire la priorité absolue que constitue l'emploi des jeunes pour le Gouvernement, le présent amendement institue un « contrat première embauche » qui est spécifiquement réservé aux jeunes de moins de vingt-six ans embauchés par des entreprises de plus de vingt salariés.

Le constat montre que les différentes politiques de l'emploi qui ont été menées jusqu'à ce jour sont restées de peu d'effet sur une précarité des jeunes générations qui n'est pas acceptable. Le taux de chômage des jeunes est de 23 % contre 9,6 % pour l'ensemble de la population, le taux s'élevant à 39 % pour les jeunes sans qualification. À la sortie de leurs études, il leur faut parfois attendre huit à onze ans avant de trouver un emploi stable. Ce n'est en effet qu'à l'âge moyen de 33 ans que le taux des jeunes bénéficiant d'un contrat à durée indéterminée rejoint le taux moyen de contrats à durée indéterminée en France.

Tout doit en conséquence être fait pour instituer un nouveau cadre juridique qui constitue une passerelle de la situation actuelle de précarité, concrétisée par des successions de stages, de contrats à durée déterminée très courts, de missions de travail temporaire et de périodes de chômage souvent non indemnisées, vers le contrat de travail à durée indéterminée de droit commun.

Tel est l'objet du « contrat première embauche » qui propose des droits nouveaux qui prennent en compte la situation spécifique des jeunes salariés.

C'est un contrat écrit à durée indéterminée qui, tout en relevant pour l'essentiel du code du travail et du droit conventionnel applicable, repose, pendant une période de consolidation de deux ans, sur un équilibre différent du contrat de droit commun. Au-delà de cette période, le contrat est entièrement soumis au régime de droit commun du contrat à durée indéterminée.

Cet équilibre propre à la période de consolidation repose, d'une part, sur un souci de sécurité juridique renforcé de nature à inciter les employeurs à embaucher de jeunes salariés, d'autre part, sur des droits nouveaux pour le salarié.

Pendant la période de consolidation, le contrat peut être rompu à l'initiative du salarié ou de l'employeur par lettre recommandée avec avis de réception. La contestation de la rupture se prescrit par douze mois à compter de sa notification, à la condition toutefois que le salarié en ait été avisé.

Les conditions de rupture respectent les prescriptions de l'ordre public social. Les prescriptions assurant par exemple la protection des salariés titulaires d'un mandat syndical ou représentatif sont applicables de même que celles censurant les licenciements reposant sur une cause illicite. Enfin, les licenciements éventuels sont comptabilisés dans le décompte des effectifs ouvrant la procédure de licenciement collectif.

Par ailleurs, sont institués des droits nouveaux au profit des jeunes salariés en matière de préavis, d'indemnité de licenciement, de droit individuel à la formation et de couverture renforcée du risque chômage.

Le préavis croît en fonction de l'ancienneté, il est de deux semaines pour une ancienneté inférieure à six mois et d'un mois pour une ancienneté comprise entre six mois et un an.

La rupture, à l'initiative de l'employeur pendant la période de consolidation, ouvre droit pour le salarié à une indemnité de 8 % du montant total de la rémunération brute due au salarié depuis la conclusion de son contrat. Cette indemnité n'est soumise ni à l'impôt sur le revenu ni à cotisations sociales. À cette indemnité s'ajoute une contribution de l'employeur égale à 2 % du montant de la rémunération brute versée depuis le début du contrat, recouvrée par les ASSEDIC et destinée à financer les actions d'accompagnement renforcé du salarié par le service public de l'emploi en faveur de son retour à l'emploi.

Par ailleurs, l'amendement assure au salarié dont le contrat a été rompu pendant la période de consolidation une couverture renforcée du risque chômage. Il permet aux salariés qui ne justifient pas de droits suffisants pour bénéficier de l'assurance chômage, de bénéficier d'une allocation forfaitaire, financée par l'État, de 16,40 € par jour pendant deux mois. Dans des conditions définies par les partenaires sociaux, ou à défaut par décret, le salarié pourra également prétendre au bénéfice de la convention de reclassement personnalisé instituée par la loi du 18 janvier 2005 de programmation pour la cohésion sociale en faveur des salariés qui ont fait l'objet d'un licenciement économique dans les entreprises de moins de 1 000 salariés.

Une innovation essentielle vise à prendre la période de stage ou toute autre période de travail ou de formation accomplie par le jeune dans l'entreprise dans le décompte de la période de consolidation correspondant à un contrat. Cette mesure s'inscrit dans la démarche engagée par le gouvernement visant à valoriser les stages en entreprise.

Le droit à la formation sera largement ouvert puisque le droit individuel à la formation, prévu par l'article L. 933-1 du code du travail, pourra être mobilisé dès la fin d'un délai d'un mois à compter de la signature du contrat.

Enfin, le jeune sera informé des dispositifs auxquels il peut avoir accès au titre du 1 % logement, afin de faciliter son accès à un logement autonome.

Ainsi, loin de contribuer à la précarisation des jeunes salariés, l'amendement ouvre en leur faveur une voie nouvelle qui, à la différence des contrats à durée déterminée ou les contrats de travail temporaire qui constituent à ce jour le lot commun de trop nombreux jeunes, a vocation à constituer une passerelle vers un emploi stable de droit commun.
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Urusaki Noro
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Message par Urusaki Noro »

Juste un truc à dire rapidement.

Partout j'entends les gens qui disent que le CPE c'est pourri car on peut se faire licencier en un claquement de doigts.
C'est pas faux.
Mais quand je vois comment il est difficile d'être embaucher de nos jours.... je me dis que je préfère avoir un CPE plutôt que rien du tout. Et puis il y aura sûrement plus d'embaûche.
Certes il y aura des abus, certes il y aura des injustices, comme partout, mais arrive un moment où il faut faire un peu confiance, sinon il n'y aura aucune évolution...
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Kodomo Ookami
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Message par Kodomo Ookami »

Le CPE ne résoudra pas le problème des embauches. Puisque à la place d'embaucher il prendront les nouveaux venus en CPE. En gros ca change rien, y'aura juste plus d'abus et d'injustices come tu le dis.

Ensuite Lee, faire la greve pendant les vacances n'a aucun interet, restons lucides :D . Et oui parmi ceux qui font greve y'a des cons, mais ca c'est un peu comme partout, y'en a aussi qui savent meme pas de quoi ils parlent. Pourtant meme en enlevant ceux la, il reste pas mal de monde qui n'est pas daccord. Et je peux vous assurer qu'on est pas sorti de l'auberge, villepin et son gouvernement ne souhaitant apparemment pas remédier à la question. (ha si, ils veulent y remedier, ils envoient des bombes lacrymos au milieu des manifs, come si on avait besoin de ca.)
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Message par Païku & Pika »

[referp=53125;quote="Lee Khos"]Moi, je suis pour le CPE. Pour le droit à l'éducation.[/quote]

Moi aussi tiens !
Au fait, dans la constitution française, il est écrit noir sur blanc :
"Tout homme à droit à un travail." C'est donc pour cette raison qu'existe l'allocation chômage.
[aparté : la constitution Européenne changeait cette phrase en
"Tout homme est libre de travailler" Jolie formulation, avec "libre" dedans, pour dire que si il ne le fait pas, ou s'il ne trouve pas, tant pis pour sa gueule.
Les allocations chômage n'auraient plus de raison d'être...]
Déjà, s'ils veulent pas de précarité, qu'ils travaillent pour avoir leur diplôme au lieu de bloquer les facs et d'emmerder le monde, z'ont qu'à faire leurs manifs pendant les vacances.
Oki.
Lorsque tu auras taffé comme une dingue pour avoir ton diplôme,
tu feras quoi ?
Avoir son diplôme, c'est génial (et quoiqu'on en dise, on est toujours
plus "protégé" du chômage avec un haut niveau d'étude) mais si tu ne trouves
pas de travail après ? Quel interêt d'avoir planché ?

Le CPE : Tu te feras embaucher pour un an, juste le temps que l'entreprise
remplisse ses engagements, ses contrats etc. puis jetter (un préavis de 2 semaines à un mois cependant, quoiqu'en disent les détracteurs de la loi qui, comme je l'avais fait par imitation, parlent de licenciement sans préavis)
lors d'une baisse de production, là où les gens en CDI suffisent.

Point positif du CPE :
Les gens sans diplôme(s) et n'étant pas dans un cursus scolaire (donc pas de stage possible en entreprise pour eux) peuvent prétendre à un travail.
Le patron les teste, pour finalement les embaucher en CDI s'ils prouvent
leur capacité.

Je ne suis pas un extrémiste, et malgré ma participation aux manifs,
je ne demande pas le retrait du CPE, mais une grosse révision concernant
la précarité qu'il peut engendrer (tu peux te faire virer du jour au lendemain sans préavis, tu vas pas faire de projet d'avenir => C'est contreproductif pour cette société capitaliste, puisque tu ne vas pas investir,
ni même prendre de crédit que tu ne pourrais plus rembourser !)

En outre, la directive 49.3 a été invoquée pour faire passer le texte de force à l'assemblée. La France, un état encore démocratique ?

NOTE au lecteur : cette opinion ne regarde que moi, mais je me devais de
la partager.

Ptiote > Relis le texte mon chou, il y a un préavis...

Hey Dites : tout a fait, je me suis laissé emporté ! ^^ Voilà qui est corrigé.
Dernière modification par Païku & Pika le mar. 21 mars 2006, 23:37, modifié 2 fois.
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Lee Khos
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Message par Lee Khos »

Kodomo...à la fin du CPE il feront signer sans doute un cdi hein

et faut pas te leurrer t'entrera pas direct en cdi sur le marché du travail de toutes façons

et les patrons préfèrent ceux qui ont de l'expérience c'est pour ça qu'ils ne vireront pas les nouveaux venus s'ils les prennent, à la fin du CPE: ils seront expérimentés=plus efficaces=plus rentables=on garde.

faut arrêter de voir des fachos partout chez les patrons hein...
Lee Khos, étudiant de Sunagakure no Sato



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Kodomo Ookami
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Message par Kodomo Ookami »

Tout pareil que les deux nains, ils parlent beaucoup mieux que moi ^^ .
(ha non pas tout pareil, moi je suis extremistes, désolé..... ^^ )

"sort son mini drapeau rouge de sa poche, l'agite"

c'est la luttheuuu finalheuu....


bon daccord je sors ------------------->

@lee : 19% de vote pour le FN aux dernières elections, et je peux t'assurer que c'est pas les jeunes de banlieux qui votent ca.... ca fait peur quand meme ? tu trouve pas ?
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Message par Faru Dorosora »

Il faut savoir que le CPE n'est pas une invention tombée du ciel. Tout d'abord il est appliqué (avec beaucoup moins d'avantages qu'ici ou on a par exemple des aides au logement inédites fournies avec) depuis longtemps en espagne et en angleterre, ou il marche pas si mal.

Ensuite il est appliqué depuis 6 mois en France! Sous la forme du CNE, Contrat Nouvel Embauche, réservé aux petites entreprises. Le CNE est en substance le même, sauf qu'il ne comprend pas l'aide au logement, l'idée d'accessibilité uniquement tant qu'on a pas accumulé deux ans d'experience et l'obligation de formation.

Les gens disent que ces lois permettent aux patrons de virer les gens quand ils veulent. C'est faux comme le prouve la loi ci-haut, mais les étudiants n'ont pas étés les seuls à le croire, les patrons y ont cru aussi. Ils ont embauché des CNE, et les ont viré sans raison.
Bilan des courses? Tous ceux qui ont fait ça et dont les employés se sont plaint se sont retrouvés avec 30 000€ d'amende infligés par les prudhommes. Cher payé pour une loi qui permet ça non?

En fait la justification est différente du CDI. Sur un CDI on ne peut renvoyer quelqu'un que sur faute grave. Sur un CPE, si l'employeur prouve que le gars fiche rien de ses 10 doigts toute la journée, il peut le renvoyer sans le payer une fortune à vie.

Est-ce que c'est dans son intérêt de virer quelqu'un qui fait bien son boulot? Non. Pourquoi? Parcequ'outre les indémnité, il y a un paquet d'heures de formation par mois à lui fournir. Ca coute cher, c'est un investissement sur le long terme.

Il reste le licensiement économique. Ca peut arriver, comme pour le CDI, mais la différence c'est que le CPE a eu plusieurs mois d'experience assurée. Mieux, il a eu son prêt à 0% pour l'aider à se loger (très appréciable quand on a moins de 26 ans), et une formation. Il n'est PLUS non qualifié (vous savez? ceux qui ont 40% de chômage).

Donc elle est pas si méchante cette loi non?
Après c'est la théorie. Peut-être qu'un employeur plus malin que les autres trouvera une faille et nous fera du mal. Peut-être qu'au contraire les entreprises prendront pas du tout de CPE parcequ'elles estimeront pas ça interressant. De Villepin n'exclue pas l'hypothèse très probable que ça marche pas du tonnerre du premier coup. Il prévoit des séances d'analyse dse effets de la loi, et veut en faire une loi non-figée, qui puisse se faire patcher pour finalement arriver à un équilibre de respect des lois française et de respect des réalités du marché.

Les français sont sceptiques, ils disent : "c'est trop risqué, mieux vaut ne rien faire". Franchement cette logique me pose problème. Moi je suis en formation d'ingénieur, une formation ou on trouve de l'embauche, j'ai pas à m'inquiéter. Mais je me dis que ceux qui ont pas réussi à s'implanter dans le système scolaire n'ont qu'un chouilla de plus d'une chance sur deux de trouver du travail un jour. Je trouve pas ça acceptable, je trouve que c'est la vraie précarité, sauf qu'elle concerne pas les étudiants qui manifestent.

Je suis contre l'immobilisme.

Ceci etant je suis pas choqué que des gens manifestent. Comme l'a dit quelqu'un quand on croit à une cause, il faut savoir s'exprimer contre. Par contre j'estime absolument innacceptable que des gens qui n'ont pour la plupart même pas lu le texte de loi bloquent les facs et bloquent les vote destinés à révéler si oui ou non les usagers de la fac sont en majorité pour le bloquage!

J'ai des amies qui travaillent dur depuis deux ans pour des concours nationaux atrocement difficiles qu'elles devront passer en fin d'année, hé bien tout ça est en train de leur passer sous le nez à cause de mecs qui veulent fumer du shit et picoller dans les amphis (parceque c'est ça qu'ils font nos révolutionnaires, en tous cas à dijon). Et presque aucun n'a eu la descence, l'immense minimum de descence, de lire le texte de loi!
Moi je trouve ça innacceptable, et indigne du modèle français.

Ptiote alias Kumiko > Rien à ajouter :) Si ce n'est merci mon chou de l'avoir fait pour deux :D
Vive l'edit!
Faru Dorosora, déserteur

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Lee Khos
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Message par Lee Khos »

Merci Ptiote d'avoir signalé le préavis, je me demande si les gens l'ont lu en entier ce texte >_<

et bon evidemment faut aussi aller lire les articles du code du travail auquel il se réfère ce CPE, si je retrouve le lien je vous le donnerai...je les ai po mis sur mon blog ceux-là :p

et puis la plupart des entreprises en france sont des PMe (donc moins de vingt salariés) les mutlinationales s'installent un an avant de délocaliser...donc bon... (j'extrapole, j'extrapole:p)

*Shadow: il était une fois, alors que la gaule toute entière était occupée par la gauche, une région qui résistait encore à l'envah...ok, je sors :p:p:p*

(non mais je suis ni de gauche ni de droite hein je charrie:p on en reparlera quand j'aurai dixhuit ans)

D'ailleurs théoriquement:

les lycéens qui n'ont pas dix-huit ans (et donc une majorité chez les manifestants) ne sont pas citoyens. par conséquent ils ne possèdent pas le droit de grève. parce que en plus, faire grève à la base c'est sacrifier un jour de salaire...
Lee Khos, étudiant de Sunagakure no Sato



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Urusaki Kenji
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Message par Urusaki Kenji »

Il n'y a pas que des fachos mais il y en a et il y aura des abus, c'est évident. Et c'est vrai que le CPE implique l'impossibilité de planifier et une incertitude constante.
D'un autre coté, c'est un moyen ideal pour que les patrons decident d'embaucher des jeunes (même momentanément) et de leur offrir une experience.
Mais ceux qui font ces grèves (ou sont contre le CPE) le font pour des raisons plutôt diverses comme ça avait été le cas pour la fameuse constitution, et effectivement, certains sont contre l'imposition anti-democratique de cette proposition. Je le suis aussi mais d'un autre coté, c'est neccessaire contre ce mal bien français qui consiste à ce plaindre de sa situation mais la defendre bec et ongles quand une proposition cherche à la changer. Le domaine de l'éducation stagne depuis trop longtemps à cause de ça à mon sens.

Edit : Eh bé, ça a écrit pendant que je tapais mon texte. ^^
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Urasawa Kenji
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Message par Urasawa Kenji »

Sauf que la manifestation est un droit tout comme le droit de grève, en tant que citoyens nous avons le droit d'utiliser ce droit lorsque nous estimons qu'une loi est injuste, mauvaise, qu'elle ne va pas dans le sens du peuple. Si cela t'énerve tant que ça les gens qui manifestent est peut-être parce que tout simplement, à passer trop d'heure devant ton PC tu en es presque venu à oublier que la vie n'était pas rose et que des gens ne possédaient pas les même avantages que toi ? Encore heureux que dans un état de droit nous puissions manifester.

De plus je te rappelle (ou te l'apprend "République" vient du latin "Res Publica" soit la "chose publique" ) c'est à dire qu'à partir du moment où nous avons élu un gouvernement (ce qui en l'occurence n'est pas mon cas, étant trop jeune de quelques mois en 2002) celui se doit de répondre aux attentes du peuple et de servir ses intérêts.

Or en quoi le CPE/CNE sert nos intérêts ? Il les sert à tel poit que 46% des patrons estiment que cette loi augmentera la précarité et ne changera rien au niveau du chômage. de plus nous ne sommes pas au danemark, ce n'est pas parce que quelque chose fonctionne quelque part qu'on doit le copier ici, les spécificités sociales et économiques sont fondamentalement différentes il est illusioire qu'un modèle est parfait et qu'on peut le copier dans notre propre intérêt.

De pls ce n'est pas avec des contrats qui sont des brêches, des Jarres de Pandore dans le Code du Travail que l'on augmentera le nombres d'employeurs qui embauchent mais en relançant l'économie (et sur ce point l'ensemble de nos profs d'économie de Master sont d'accord sur ce point).

En aucun cas ce contrat est la solution mais pire qu'une tentative de solution, il ne peut être que le début d'un long retour en arrière de lutte pour nos droits sociaux.

Je rappelle aussi que ce n'est pas uniquement le passage sur le CPE/CNE qui est visé mais l'entière loi sur "L'égalité des chances" (joli nom n'est ce pas ?) qui nous ramène plus de 130 ans en arrière, autorisant des enfants de 15 ans à travailler la nuit, des enfants de 14 ans à travailler mais qui surtout impose des quotas au niveau des hommes, des femmes, des blancs, des noirs, des asiatiques, des maghrebins car au lieu de promouvoir la différence par un travail de fond sur les changements de mentalité impose ses diktat à double tranchants.

je suis tout de même surprsi que pour toi le "seul" défaut de cette loi soit d'être viré sans justification. Tout d'abor j'estime que rien pour cela, elle mériterait d'être abrogé mais en plus d'être licencié de cette manière du jour au lendemain, les indemnités que l'on touche suite à ce renvoi sont tellement minimes qu'elles laissent l'employé dans un état de précarité invivable.

De plus ce contrat place en position de force le patronnat (crainte d'être licencié du jour au lendemain sans justification justement) et étouffe toute vélléité chez les travailleurs et fais de nous des moutons obéissant dans l'incapacité de s'insurger sans mettre en péril, sa famille, son avenir.

Mais je suppose que le CPE/CNE est une bonne loi.

Quant aux blocages, une division existe, elle concerne les étudiants entre eux, ceux que l’on oppose régulièrement dans les médias (mettons l’UNI à part), les grévistes et ceux voulant reprendre les cours pour avoir leurs examens à la fin de l’année. Si légitime que peut être leur inquiétude, n’est elle pas la même pour chacun des bloqueurs, pour chacun des grévistes ? A-t-on le droit de privilégier une vision à court terme alors qu’il s’agit de notre vie future d’actif au sein de la société qui est en jeu ? On peut reprocher le culte du diplôme qui règne en France, ou même le système capitaliste qui vise à désolidariser chaque Homme de son prochain pour prendre sa place ou lui marcher sur la tête, mais approfondir une telle analyse demanderait bien plus de temps et bien plus de pages que celles nécessaires pour un post. Aujourd’hui c’est notre avenir qui est en jeu, nous sommes tous concernés par ce projet quel que soit la branche dans laquelle nous étudions, quelque soit le secteur que nous choisirons, notre futur se construit aujourd’hui sur les bases qu’hier a posé pour nous. Lutter demain pour un combat d’aujourd’hui, c’est se tirer une balle dans le pied et oublier que le gouvernement ne nous attendra pas. Alors oublions quelques temps ce qui rythmait notre quotidien, pour construire ce que nous souhaitons, et détruire les lois injustes et intolérables que l’on veut nous imposer. Chaque étudiant doit prendre conscience de ce que sera demain si un tel projet n’est pas éradiqué. Ce sera un poids que nous devrons traîner toute notre vie et que nous lèguerons aux générations futures. Ce combat doit dépasser le propre intérêt qui nous anime, celui d’obtenir gentiment son diplôme à la fin de l’année et penser que l’on peut ainsi rentrer tranquillement dans le monde du travail.
On peut entendre chez certains de ces étudiants, tentant de trouver une justification à leur non-action, et leur volonté de retourner en cours (mais qui n’a pas envie d’étudier à nouveau ?) que dès que le gouvernement tente quelque chose, tout de suite nous nous dressons contre lui, nous nous battons sans même lui donner la chance de pouvoir appliquer ce qu’il veut faire et de le juger dans les faits.
Mais quelle méprise ! C’est ne pas comprendre ce qu’est fondamentalement cette loi. Il ne s’agit pas de donner le temps au gouvernement sa chance, ni de le juger dans ses résultats. Car dans le texte même de la loi, celle-ci se trouve être anti-sociale. Nous ne pouvons prendre le risque de ne plus avoir la possibilité de se retourner et après 2-5 ou même 10 ans d’abroger cette loi. Il sera trop tard. Notre futur ne doit pas se jouer à la roulette russe ! Or donner le temps au gouvernement d’utiliser un tel système, c’est jouer dangereusement avec l’avenir social de notre pays. Nous sommes nombreux, et le mouvement s’amplifie de jour en jour, il est de notre devoir de faire comprendre aux indécis quels sont les tenants et les aboutissants de notre combat. Personne ne doit rester en chemin, sur le bord de la route, et regardant tranquillement défiler la lutte. Chaque étudiant, chaque jeune est concerné, et chacun de nous, devons nous insurger devant l’avenir qui nous est proposé.

Ensuite, Lee Khos pense tu que les personnes qui militent aujourd'hui sont des gens incultes qui n'ont même pas pris le temps de lire le contrat ? Sache par exemple que dans notre fac (Javelot annexe de Jussieu) elle est affiché.

Mon post est long et j'ai la crève, certains propos peuvent paraître incohérent mais se laisser marcher sur les pieds par le gouvernement à la botte du patronnat n'a jamais aider les travailleurs, employés quels qu'ils soient.
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

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Haeru Mikomi
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Message par Haeru Mikomi »

Le problème est surtout que c'est une lois donnant plus de pouvoir aux patrons, et non une lois pour réduire le chômage de manière durable. Certes, au début, le taux de chômage a des chances de baisser, juste à temps pour les présidentielles (quel hasard :x), et au bout du compte certains se feront engagés.
MAIS comme dit, peut-on accepter cette lois qui donne beaucoup plus d'avantages aux patrons qu'aux employés ? Peut-on tolérer que cette lois soit passer sans qu'on demande l'avis au citoyens français ?
La situation des jeunes étaient et restera précaires, cpe ou pas, mais ce n'est pas une raison d'essayer de mener une politique pro patronal en faisant passer ça pour une méthode de réduction du chômage.
C'est de plus inadmissible de pouvoir se faire jeter sans préavis, dès qu'on commence à 'revenir trop chèr' et qu'il vaut mieux prendre quelqu'un d'autre.
Haeru Mikomi , Jounin Terreur de Konowa :p.
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Kodomo Ookami
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Message par Kodomo Ookami »

(non mais je suis ni de gauche ni de droite hein je charrie:p on en reparlera quand j'aurai dixhuit ans
Bheu c'est débile ce que tu dis. J'ai 15 ans et je suis clairement de gauche (et je l'affirme) . On ne met pas longtemps pour se faire une opinion ^^ .
Je tiens aussi à préciser que le texte je l'avoue, moi personnelement je l'ai pas lu. Moi je fais que analyser et tirer mes propres conclusions de ce que j'entend dire, par mes parents ou autres...

(y'en a un qui dit que je suis un mouton à la solde de mes parents je m'énerve, oui ce que je pense est largement tiré de mes parents, mais j'ai aussi une opinion qui diverge parfois !!)

Hey dites : alors ton opinion est faussée à la base. La source est toujours mieux pous 'abreuver plutot que de boire l'eau d'un ruisseau dans lequel les gens se seront lavés. => Toute info de seconde main est plus ou moins tronquée et/ou fausse. LIS la loi.
Kodomo Ookami Etudiant de Suna qui n'a pas mis sa signature à jour.. et qui en est fier !!

POur faire dans le pas original du tout :

Massacrons nous la face à Kaze kanson.

Musashi : Tete de rat
Lee : L'etudiant dit "l'attardé"
Shinji : Mr je sais tout
Kodomo : Magnifique personnage, qui fait preuve de sensibilité et de courage etcaetera un seul defaut vient noircir se tableau, Kodomo n'est pas encore au point culminant de maturité.
Sichuan : Ou "jvé dvenir fort... un jour.... lointain..."
Tsunemasa : Le drogué qui sla pete.
Aoshi : Ou "l'incompris... et l'incompréhensible"
Kurai : Loup noble et digne possédant le QI le plus élevé du groupe.
Verrouillé

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