Publié : ven. 10 févr. 2006, 0:58
Bienvenue dans le quartier le plus sordide, le plus malfamé. Mais, par un hasard des plus amusants et des plus étranges, il était également le 'fang' le plus connu de tout Suna. Cette reconnaissance publique était probablement due à toutes ses frasques célèbres qui en faisait tout son charme. Vous feriez mieux de ne jamais pénétrer dans l'antre saint où se terraient les démons les plus vils et les plus horribles du monde terrestre…même un pas serait suffisant pour vous contaminer. Il ne serait alors qu'une question de secondes avant que vous ne sombriez à votre tour, perdant tout contrôle sur vos inhibitions…D'être censé et doté d'un esprit aux schémas manichéens, vous prendriez, avec joie et allégresse, l'apparence d'une bête au masque d'humain. Ce masque étant, bien entendu, une simple façade…fictive et lézardée par les différents vices qui seraient venus vous habiter. Vous seriez probablement surpris par ce que l'âme humaine pouvait absorber dans ce domaine…
L'environnement inhabitable de ce quartier étendait ses tentacules telle une pieuvre affamée par la chair fraîche des malheureux mollusques qui passaient à sa portée, les plongeant dans les ténèbres avec son puissant jet d'encre noir avant de les dévorer avec délice, en commençant par la mince carapace qui les protégeaient de la noirceur, commune à tous les hommes, avant de sucer gloutonnement leur moelle, aspirant tous sentiments, toutes émotions, tout sentiment de sécurité, de bonheur et tout espoir…Que lui restait-il à faire ? Une fois, avoir vidé l'être humain, en évidant toutes ses sensations, il ne restait que le corps…Celui-là ne présentait aucun intérêt…Ce n'était qu'un amas de chair, une charpente osseuse. Rien d'utile en somme. La pieuvre laissait alors la place au marionnettiste. Celui-ci allait alors manipuler les êtres à sa guise…Voici quel était le destin que connaissait tous les fous qui osaient s'aventurer en ces terres inhospitalières.
Cet univers parallèle, soigneusement niché au sein de Suna, présentait alors un échantillon, un panel impressionnant, aussi varié et complet de tous les débris, tous les déchets, tous les marginaux de la race humaine décadente. Le fou était roi, les sains d'esprit des pions à sacrifier…Cet ensemble formait vraiment un sujet d'étude. C'était comme une fourmilière. Des ouvriers. Des soldats. Une reine : Corruption. Un seul et même objectif : Survivre à n'importe quel prix. Tuer ou être tué. Les plus grands poissons mangeaient les petits. La loi de la jungle régnait en maître sur ce vaste territoire. Les hommes et les femmes, qui s'étaient raccrochés à la noirceur et à la douceur amère du désespoir qu'offrait ce monde souterrain, pullulaient et se reproduisaient à une vitesse folle, comme des lapins de garenne, grouillant comme des insectes dans les allées sombres des bas-fonds.
Jolie vision, n'est-pas ? Mais la fin n'est pas encore là.
Un quartier comme celui-là se devait d'avoir un nom. Cet endroit malsain et craint de tous les parias du 'beau monde et propre' de Suna, un endroit trop lumineux et mielleux, se faisait communément nommé le Kuzukago no Machi ou en français le Quartier-Poubelle…Mais pour ceux qui crapahutaient dans cet endroit, le lieu n'avait rien d'une poubelle. Certes, il était sale et on n'y trouvait que des déchets mais…c'était un endroit merveilleux, protégé et chéri des dieux du Mal…La gentillesse…L'honnêteté. La beauté. Tous les faux-semblants communs aux mortels n'existaient pas ici. Il n'y avait plus de place pour tout cela. C'était le monde du plaisir, le monde hors-la-loi…Un monde de privilégiés. Mais qui étaient donc ces chouchous plébiscités ? Enviés ? Car c'était bien là, le nœud du problème…Tout le monde voulait vivre ici…Plus besoin de pensée, de bienséance…Laissez-vous aller. Laissez-vous vivre. Libérez vous des chaînes que le 'pouvoir' et le 'bien' avaient passé autour de vos cous et de vos pieds…Que pouvez-vous trouver ?
Les trottoirs…Ceux-ci étaient sales, bosselés et profondément marqués par le dur labeur de certains travailleurs ambulants dans les rues…Probablement usés par les nombreux talons clinquants et piquants des prostitués qui les avaient arpentées de long en large, jour et nuit, des années durant, malgré la chaleur étouffante et le sable voletant au gré de la faible brise. Ici, vous trouverez tout ce dont vous avez osés rêver mais que vous n'avez jamais voulu conserver en mémoire. Blondes. Brunes. Rousses. Bas résilles. Mini-jupe. Gants. Cuir. Fouet. Femmes. Hommes. Les deux.
Les impasses. Ces véritables coupes gorges sombres et étroits abritaient une autre race de personnes tout aussi fréquentables. Vous avez besoin de quelque chose en particulier ? Venez voir les fournisseurs officiels !! Des médicaments volés dans l'hôpital bien tenu de Suna aux drogues les plus dures et les plus douces importés directement chez les fabricants du monde entier. Et tout ceci, vous est présenté à des prix bas défiants tout concurrence. Et ils vous indiqueront mêmes les meilleurs endroits pour s'adonner à l'utilisation de ses produits. En effet, à certains endroits, jalousement cachés, vous trouverez de véritables parcs à shoot. Cependant, chacun se doit de ramener ses instruments personnels. Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin, quand même.
Les rues. Ils existaient deux grandes catégories de rue dans ce quartier. Les rues 'commerçantes'. Des magasins à perte de vue. Mais attention à l'endroit où vous allez poser les pieds. Clochards et ivrognes ont pris leurs aises sur le sol dur et sale. Qu'est-ce qu'il y avait d'autre ? Des vendeurs à la sauvette…animaux interdits. Des bars. Des tatoueurs. Des marchands d'armes. Des claques. Les rues dites 'animées'. Gardez les yeux fermés. Non, gardez-les ouverts. Ici, vous trouverez aussi bien des vieux pervers que de jeunes exhibitionnistes en manque de jeunes lycéennes. En effet, ces deux sortes de détraqués avaient été 'repoussés' dans cet endroit malfamé, à cause de toutes les plaintes qu'avaient déposées les parents d'élèves. Alors, ses animaux en rut tentaient de reprendre leurs activités tant bien que mal.
La seule chose vraiment intéressante pour les quelques 'passants' (c'était ainsi qu'on surnommait les gens qui erraient sans le moindre but dans les rues de la mini ville) était probablement les multiples enseignes lumineuses, plus aguichantes les unes que les autres. Une véritable jungle multi couleurs. Un bonheur pour les yeux hagards et vitreux des habitants du quartier.
Mais il sera peut-être préférable (et peut-être temps) de revenir à un sujet moins sordide. C'était donc dans cet endroit charmant que l'on pouvait trouver le magnifique bar miteux nommé le Ochikonda no Sakaba. Ses vitres sales attiraient les gens désespérés tels les papillons vers la flamme. Sa devanture verte à la peinture écaillée, ses murs lézardés, son enseigne branlante qui menaçait de tomber sur la tête de l'un des habitués, la fumée intoxicante et l'odeur rance de l'alcool, avaient captivé le regard de Suu la première fois qu'elle l'avait vu, il y a près de cinq ans de cela. Au début, elle était une simple consommatrice des vices proposés (bière, cigarette, jeux…) mais maintenant elle s'y était réfugiée. Elle avait trouvé sa porte de sortie lorsqu'elle avait quitté la maison familiale si froide pour elle.
Ainsi, la jeune Suu, chuunin bourrue et aigrie, avait pris ses quartiers dans le minuscule et unique appartement qui se trouvait à l'étage supérieur du bar. Un escalier en maçonnerie, dissimulé derrière le comptoir, menait à l'antre de la brune. L'habitation, qui devait faire dans les 40 mètres carrés, ne se composait de quelques pièces les unes plus petites que les autres. Un séjour, qui occupait la moitié de l'endroit, servait aussi bien de salle à manger que de chambre pour la jeune femme. Le canapé faisait office de lit, Suu ayant eu la flemme d'aller en acheter un (et surtout à cause de sa radinerie). La cuisine n'était qu'un simple réchaud à gaz. Mais, toutefois, il y avait une salle de bain. Cependant, ce n'était pas les choses les plus importantes à retenir.
Il fallait également prendre en compte l'anarchie qui régnait dans cet appartement. Les papiers peints se décollaient au fur et à mesure, laissant apparaître les murs en brique tandis que le plancher grinçait à chacun de ses pas. Sans oublier le capharnaüm ambiant. Tout traînait sur le sol. En effet, Suu n'était pas vraiment ce que l'on pouvait appeler une femme soigneuse, aimant et choyant son environnement immédiat en faisant le ménage ou en rangeant. Ainsi, les cannettes de bières vides roulaient royalement sur le sol, poussant des cris d'agonie quand la jeune femme marchait dessus.
Mais comment pouvait-elle vivre comme cela ?
La réponse était des plus simples. Tout simplement parce que tout était gratuit, tout était fourni. En effet, la jeune fille, après une conversation musclée avec le vieux Kenya, propriétaire depuis 30 ans du bar, était parvenue à un accord des plus satisfaisants. Elle ne payait pas de loyer. Vu tout ce qu'elle avait 'acheté', *toussotement* consommé *toussotement*, elle avait pu légitimement acquérir ce fabuleux bien immobilier. Et puis, ce n'était pas uniquement grâce à cela. En effet, la jeune fille travaillait au noir, en gagnant un salaire assez intéressant. Elle jouait le rôle de videuse en cas de problème. Et cela avec le plus grand plaisir naturellement. Elle était comme cela Suu.
Welcome in Hell
[HRP - Je tuerai toutes personnes assez folles qui posteraient dans ce topic sans mon accord tacite. En fait, non. Je ne vous tuerai pas. Je vais vous torturer, vous écarteler, vous écorcher, vous ébouillanter...etc...MWHAHAHAHAHA -HRP]
L'environnement inhabitable de ce quartier étendait ses tentacules telle une pieuvre affamée par la chair fraîche des malheureux mollusques qui passaient à sa portée, les plongeant dans les ténèbres avec son puissant jet d'encre noir avant de les dévorer avec délice, en commençant par la mince carapace qui les protégeaient de la noirceur, commune à tous les hommes, avant de sucer gloutonnement leur moelle, aspirant tous sentiments, toutes émotions, tout sentiment de sécurité, de bonheur et tout espoir…Que lui restait-il à faire ? Une fois, avoir vidé l'être humain, en évidant toutes ses sensations, il ne restait que le corps…Celui-là ne présentait aucun intérêt…Ce n'était qu'un amas de chair, une charpente osseuse. Rien d'utile en somme. La pieuvre laissait alors la place au marionnettiste. Celui-ci allait alors manipuler les êtres à sa guise…Voici quel était le destin que connaissait tous les fous qui osaient s'aventurer en ces terres inhospitalières.
Cet univers parallèle, soigneusement niché au sein de Suna, présentait alors un échantillon, un panel impressionnant, aussi varié et complet de tous les débris, tous les déchets, tous les marginaux de la race humaine décadente. Le fou était roi, les sains d'esprit des pions à sacrifier…Cet ensemble formait vraiment un sujet d'étude. C'était comme une fourmilière. Des ouvriers. Des soldats. Une reine : Corruption. Un seul et même objectif : Survivre à n'importe quel prix. Tuer ou être tué. Les plus grands poissons mangeaient les petits. La loi de la jungle régnait en maître sur ce vaste territoire. Les hommes et les femmes, qui s'étaient raccrochés à la noirceur et à la douceur amère du désespoir qu'offrait ce monde souterrain, pullulaient et se reproduisaient à une vitesse folle, comme des lapins de garenne, grouillant comme des insectes dans les allées sombres des bas-fonds.
Jolie vision, n'est-pas ? Mais la fin n'est pas encore là.
Un quartier comme celui-là se devait d'avoir un nom. Cet endroit malsain et craint de tous les parias du 'beau monde et propre' de Suna, un endroit trop lumineux et mielleux, se faisait communément nommé le Kuzukago no Machi ou en français le Quartier-Poubelle…Mais pour ceux qui crapahutaient dans cet endroit, le lieu n'avait rien d'une poubelle. Certes, il était sale et on n'y trouvait que des déchets mais…c'était un endroit merveilleux, protégé et chéri des dieux du Mal…La gentillesse…L'honnêteté. La beauté. Tous les faux-semblants communs aux mortels n'existaient pas ici. Il n'y avait plus de place pour tout cela. C'était le monde du plaisir, le monde hors-la-loi…Un monde de privilégiés. Mais qui étaient donc ces chouchous plébiscités ? Enviés ? Car c'était bien là, le nœud du problème…Tout le monde voulait vivre ici…Plus besoin de pensée, de bienséance…Laissez-vous aller. Laissez-vous vivre. Libérez vous des chaînes que le 'pouvoir' et le 'bien' avaient passé autour de vos cous et de vos pieds…Que pouvez-vous trouver ?
Les trottoirs…Ceux-ci étaient sales, bosselés et profondément marqués par le dur labeur de certains travailleurs ambulants dans les rues…Probablement usés par les nombreux talons clinquants et piquants des prostitués qui les avaient arpentées de long en large, jour et nuit, des années durant, malgré la chaleur étouffante et le sable voletant au gré de la faible brise. Ici, vous trouverez tout ce dont vous avez osés rêver mais que vous n'avez jamais voulu conserver en mémoire. Blondes. Brunes. Rousses. Bas résilles. Mini-jupe. Gants. Cuir. Fouet. Femmes. Hommes. Les deux.
Les impasses. Ces véritables coupes gorges sombres et étroits abritaient une autre race de personnes tout aussi fréquentables. Vous avez besoin de quelque chose en particulier ? Venez voir les fournisseurs officiels !! Des médicaments volés dans l'hôpital bien tenu de Suna aux drogues les plus dures et les plus douces importés directement chez les fabricants du monde entier. Et tout ceci, vous est présenté à des prix bas défiants tout concurrence. Et ils vous indiqueront mêmes les meilleurs endroits pour s'adonner à l'utilisation de ses produits. En effet, à certains endroits, jalousement cachés, vous trouverez de véritables parcs à shoot. Cependant, chacun se doit de ramener ses instruments personnels. Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin, quand même.
Les rues. Ils existaient deux grandes catégories de rue dans ce quartier. Les rues 'commerçantes'. Des magasins à perte de vue. Mais attention à l'endroit où vous allez poser les pieds. Clochards et ivrognes ont pris leurs aises sur le sol dur et sale. Qu'est-ce qu'il y avait d'autre ? Des vendeurs à la sauvette…animaux interdits. Des bars. Des tatoueurs. Des marchands d'armes. Des claques. Les rues dites 'animées'. Gardez les yeux fermés. Non, gardez-les ouverts. Ici, vous trouverez aussi bien des vieux pervers que de jeunes exhibitionnistes en manque de jeunes lycéennes. En effet, ces deux sortes de détraqués avaient été 'repoussés' dans cet endroit malfamé, à cause de toutes les plaintes qu'avaient déposées les parents d'élèves. Alors, ses animaux en rut tentaient de reprendre leurs activités tant bien que mal.
La seule chose vraiment intéressante pour les quelques 'passants' (c'était ainsi qu'on surnommait les gens qui erraient sans le moindre but dans les rues de la mini ville) était probablement les multiples enseignes lumineuses, plus aguichantes les unes que les autres. Une véritable jungle multi couleurs. Un bonheur pour les yeux hagards et vitreux des habitants du quartier.
Mais il sera peut-être préférable (et peut-être temps) de revenir à un sujet moins sordide. C'était donc dans cet endroit charmant que l'on pouvait trouver le magnifique bar miteux nommé le Ochikonda no Sakaba. Ses vitres sales attiraient les gens désespérés tels les papillons vers la flamme. Sa devanture verte à la peinture écaillée, ses murs lézardés, son enseigne branlante qui menaçait de tomber sur la tête de l'un des habitués, la fumée intoxicante et l'odeur rance de l'alcool, avaient captivé le regard de Suu la première fois qu'elle l'avait vu, il y a près de cinq ans de cela. Au début, elle était une simple consommatrice des vices proposés (bière, cigarette, jeux…) mais maintenant elle s'y était réfugiée. Elle avait trouvé sa porte de sortie lorsqu'elle avait quitté la maison familiale si froide pour elle.
Ainsi, la jeune Suu, chuunin bourrue et aigrie, avait pris ses quartiers dans le minuscule et unique appartement qui se trouvait à l'étage supérieur du bar. Un escalier en maçonnerie, dissimulé derrière le comptoir, menait à l'antre de la brune. L'habitation, qui devait faire dans les 40 mètres carrés, ne se composait de quelques pièces les unes plus petites que les autres. Un séjour, qui occupait la moitié de l'endroit, servait aussi bien de salle à manger que de chambre pour la jeune femme. Le canapé faisait office de lit, Suu ayant eu la flemme d'aller en acheter un (et surtout à cause de sa radinerie). La cuisine n'était qu'un simple réchaud à gaz. Mais, toutefois, il y avait une salle de bain. Cependant, ce n'était pas les choses les plus importantes à retenir.
Il fallait également prendre en compte l'anarchie qui régnait dans cet appartement. Les papiers peints se décollaient au fur et à mesure, laissant apparaître les murs en brique tandis que le plancher grinçait à chacun de ses pas. Sans oublier le capharnaüm ambiant. Tout traînait sur le sol. En effet, Suu n'était pas vraiment ce que l'on pouvait appeler une femme soigneuse, aimant et choyant son environnement immédiat en faisant le ménage ou en rangeant. Ainsi, les cannettes de bières vides roulaient royalement sur le sol, poussant des cris d'agonie quand la jeune femme marchait dessus.
Mais comment pouvait-elle vivre comme cela ?
La réponse était des plus simples. Tout simplement parce que tout était gratuit, tout était fourni. En effet, la jeune fille, après une conversation musclée avec le vieux Kenya, propriétaire depuis 30 ans du bar, était parvenue à un accord des plus satisfaisants. Elle ne payait pas de loyer. Vu tout ce qu'elle avait 'acheté', *toussotement* consommé *toussotement*, elle avait pu légitimement acquérir ce fabuleux bien immobilier. Et puis, ce n'était pas uniquement grâce à cela. En effet, la jeune fille travaillait au noir, en gagnant un salaire assez intéressant. Elle jouait le rôle de videuse en cas de problème. Et cela avec le plus grand plaisir naturellement. Elle était comme cela Suu.
Welcome in Hell
[HRP - Je tuerai toutes personnes assez folles qui posteraient dans ce topic sans mon accord tacite. En fait, non. Je ne vous tuerai pas. Je vais vous torturer, vous écarteler, vous écorcher, vous ébouillanter...etc...MWHAHAHAHAHA -HRP]