Publié : jeu. 12 janv. 2006, 21:06
- Prénom(s)
Misaï - Âge
14 ans - Sexe
Masculin - Description physique
Jeune garçon d'un mètre cinquante et un, pesant approximativement 42 kilogrammes.
Ses cheveux sont couleur platine, coupés nets au niveau du bassin : Ses yeux sont entre le gris et le bleu et sa peau est légèrement mate.
Il semble très fragile physiquement, ce qui est le cas.
Ses jambes et son torse sont entièrement lisses, comme celle d'un bébé ou d'une jeune femme. Pas une once de poil sur tout son corps, il prend terriblement soin de sa peau.
Il a un nez assez pointu, comme son menton, et ses lèvres forment rarement un sourire mais quand c'est le cas, c'est comme un rayon de soleil.
Ses habits sont généralement très légers, limite transparents parfois.
- Histoire
Introduction
Misaï a été élevé par des parents de la haute haute noblesse d'Iwa.
Mikaï Mikahori, son père, et sa mère Mikaï Midori, y sont ANBU et donc ninjas de haute classe. A sa naissance, ils finirent cependant par prendre leur " retraite " pour inculquer la discipline au tout jeune Misaï.
La discipline de la famille est stricte et permet de développer des points très positifs comme négatifs tel que la crainte et la peur de l'inconnu, ce qui nous mène à la finalité de cet enseignement : créer des êtres ne faisant confiance qu'à eux-même et possédant une certaine force mentale..
Entraînement disciplinaire
Les parents de notre jeune étudiant savaient que Misaï était capable de prodiges s'il était bien dirigé et éduqué.
Ils commencèrent par l'abandonner dans une forêt voisine à la ville pendant deux semaines pour évaluer sa résistance, tout en le surveillant de plus ou moins loin : Il n'avait que neuf ans.
Le jeune Misaï survécut avec beaucoup de peine face à ce qui lui parut être bon nombre d'animaux sauvages dangereux (ce n'était pas le cas, mais la peur que ses parents lui avaient transmise via leurs " conseils " avant le départ était bien ancrée en lui).
Il ne tua aucune bête, même la plus petite : Aucune goutte de sang animal n'était sur son corps, et il était affamé.
Ses parents lui reprochèrent d'être trop gentil et l'enfermèrent dans la cave familiale pendant plus de deux semaines avec juste du pain et de l'eau (ce qui était quasiment plus que ce qu'il avait eu en forêt).
Alors seulement, il commença à comprendre que la vie serait impitoyable avec lui. Une fois sorti de sa "prison", il redemanda donc à ses parents de le renvoyer en forêt.
Ils acceptèrent sans broncher, le sourire aux lèvres, comprenant que Misaï commençait enfin à assimiler le sens de leur discipline.
Pendant plus d'une semaine, il se nourrit de chair animale (des animaux déjà morts ou pris aux pièges d'autres chasseurs, ce qui faillit le rendre malade) et des différents fruits qu'il pouvait récolter (fraises, framboises, baies sauvages).
Cette fois, Misaï était parti avec un petit canif (une sorte de tantô) que son père lui avait donné comme récompense pour avoir compris les valeurs familiales.
Une fois la semaine passée, Misaï rentra et rendit l'arme à son père.
Sans rien dire il s'enferma dans sa chambre.
Dans son journal, il écrivit... le déroulement des événements.
Ce moment... J'aimerais tant l'oublier... Ce carnage que je devais faire avec ces animaux... Sur le moment je ne me rendais plus compte de ce que j'étais et ni qui j'étais.
J'étais devenu devenu comme mon père... Non pire que mon père... Lui qui a pu tuer sans vergogne ses équipiers pour la réussite d'une mission...
Comme mon père m'a dit, si on veut préserver la vie d'un village, faut être capable de se sacrifier et sacrifier les autres rien que pour ses idéaux où ceux du Tsuchikage. On n'admet pas les échecs car ceci peut mettre en péril un village entier.
Les premiers animaux que je rencontrais... je devais les tuer ? C'est comme si mon père avait été derrière moi pour m'y encourager... pourtant...
Ces lambeaux de chairs éparpillés partout pour me nourrir parfois de chair encore vivante pendant que la bête agonisait...
Je n'arriverais même pas à dire comment étaient les fleurs de la forêt ou le vent qui cogne contre les arbres, ni la beauté du soleil couchant.
Je voyais tout en rouge, de la haine ou de la peur ? Je ne sais pas...
J'espère l'apprendre tout au cours de mon apprentissage ninja afin de comprendre pourquoi mes parents sont ainsi et ne pas devenir comme eux...
Je veux juste vivre comme je vis et montrer qu'on peut vivre sans carnage...
Mais que s'est-il passé exactement pendant cette semaine en forêt ?
Il modela un caractère très réservé et calme pour ne pas montrer sa profonde tristesse, qui grandissait chaque jours.
Vivre pour les autres, serait sa destinée.
Les études
Misaï a fréquenté les plus grandes écoles de Ninjutsu du pays.
Mais ceci ne suffit pas à ce jeune étudiant pour parfaire ses connaissances en travail d'équipe qui sont devenus prédominantes.
Il vécut très mal ses cours quand les gens le rabaissaient à cause de son style très féminin du genre ses cheveux longs platines détachés et ses " gestes ".
Il les nomma " mioches " en son for intérieur, puis n'hésita pas à le dire mais... pour finir par en prendre plein la figure.
Souvent, il rentrait blessé à la maison mais se soignait seul et expliquait à ses parents, quand ces derniers lui posaient la question, qu'il était simplement tombé ou bien qu'il a fait une "erreur". Jamais les mauvais traitements ne filtrèrent jusqu'à eux, mais peut-être qu'ils ne voulaient pas vraiment savoir ou qu'ils pensaient que cela l'endurcirait.
Comme il sied à l'élite du pays, ses parents décidèrent de l'inscrire dans la dernière école qu'ils connaissaient, à Iwa même : L'école publique de Ninjutsu où ils espéraient que les chônin pourraient enfin lui inculquer cette ultime connaissance dont il ne savait rien.
Pour Misaï, c'était également une de ses dernières chances de pouvoir se différencier et se faire des amis principalement, ce qu'il n'a encore jamais réellement eu.
Néanmoins, bien qu'il ait été dans plusieurs écoles, il n'a jamais eu de cours pratiques sur le terrain et ni d'apprentissage de compétences ninja.
Une fois arrivé dans cette nouvelle école, Misaï savait que plus rien ne serait comme avant, mais il s'efforça de faire honneur à ses parents dès les premiers jours.
Ces derniers connaissaient une certaine Jônin du nom de Nekozaka Tsukyo, et ils lui demandèrent de devenir la tutrice de ce jeune étudiant... - Nindô
Vivre pour les autres et non pour moi. - Caractère
Misaï est d'un tempérament très calme.
Ayant peur de l'inconnu, il limite ses fréquentations à quelques rares amis.
C'est aussi quelqu'un de très gentil, qui tombe très facilement en amitié, voire en amour suivant les personnes.
Enfin, il en a l'impression mais il a beaucoup de peine à s'insérer et à oser le dire, ce qui lui a valu quelques ennuis par le passé.
Son caractère semble être totalement différent de ceux de ses parents pour une raison très simple, ils ont travaillé la majeure partie de leur vie pour le bien commun, bien que l'ayant fait seuls... Ils vivent pour aider leur prochain tout en tâchant de garder l'anonymat, le tout dans une certaine mesure.
Il y a une chose qu'il ne supporte pas : les " mioches " comme le dit si bien Misaï.
Ces derniers sont les jeunes ayant plus ou moins sont âge mais qui se prennent pour meilleurs que lui ou que les autres.
Ceci a tendance à l'énerver et c'est le seul et unique moment où il ose dire ce qu'il pense, ce qui est très très rare. - Qualités
Gentil
Serviable
Prêt à aider - Défauts
Solitaire
Peine à s'insérer - Ce qu'il aime
La vie
Les belles demoiselles
Les beaux jeunes hommes - Ce qu'il déteste
Les " mioches "