Publié : mer. 21 déc. 2005, 1:46
Moi qui tapotait frénétiquement sur mon clavier pour finir mon histoire, je débarquais tout content près à poster. jusqu'à ce que je m'apperçoive que les recrutements soient fermés T_______________T
Pourtant quelques instants auparavent, il y avait marqué "ouvert". Juste le temps de bidouiller cet avatar foireux pour qu'il rentre dans les 150 par 150 et les inscriptions étaient finies.
Bref, je poste quand même, qui ne tente rien n'a rien pas vrai? Je préfère tenter ma chance plutôt que d'étendre mon pc en sectionnant les câbles avant d'aller me coucher dans des hurlements de désespoir. (le choix n'a pas été très dur je vous l'accorde ... je n'ai qu'un câble d'alim alors bon).
En tout cas, que la réponse soit positive ou négative, ne me tapez pas (je supporte mal la douleur)
laissons place à la fiche, enjoy:
Prénom: Tousen
Nom: Aucun
Age: 16 ans
Sexe: masculin
Description physique:
Tousen est marqué par l'époque antérieure de sa vie. Il est plutôt bien bâti et musclé à causes des conditions de vie rudes qu'il a du endurer, il garde aussi toujours son crâne rasé pour se souvenir d'où il vient. (Ya mieux comme moyen mémotechnique quand même) Malgré cette apparence forte il reste, à son grand désespoir, de taille très moyenne, ne dépassant pas les 1m60. Pourtant il n'est pas à sous-estimer.
Petit brun aux yeux marrons, virant presque au noir, Tousen possède une apparence des plus normales malgré ses gros sourcils qui ont tendance à un peu trop accentuer ses mimiques.
Niveau vestimentaire, il porte un peu ce qui lui passe à sa portée. Néanmoins, il garde toujours sur lui cette chemise délavée qu'avait réussit à lui offrir sa mère de je ne sais où, rare présent dans sa vie peu luxueuse.
Histoire
Au pays de la brume, un organisme un peu spécial a été créé sous l'ordre des seigneurs féodaux de l'époque. Durant cette période, une épine chatouillait quelque peu le pied de ces bons vieux magistrats sans étique morale régnant sur des terres quelconques. Cette épine, en y réfléchissant, pourrait bien être ce qu'on appelle "Les liens héréditaires". La plus part du temps, les acquis d'une famille se transmettent de générations en générations, qu'il s'agisse de biens matériels ou de choses plus abstraites comme le pouvoir.
Cependant, le gouvernement assistait à une réelle question montante de la part des masses et même parfois de ses confrères. Que faire de ces enfants, de cette famille illégitime?
les problèmes de coeurs sont si fréquents dans les sociétés décadentes. Une rencontre furtive, une femme cocu ou un mari. Qui le saura? personne ... Jusqu'au jour où l'on se retrouve avec un enfant d'un bouseux sur les bras.
"Ce n'est pas possible! notre famille d'aristocrates tous issue de nobles lignées et voila notre honneur sali par l'arrivée d'un petit bâtard"
La pilule est bien difficile à avaler, surtout lorsqu'il s'agit du seul et unique enfant de la famille, autrement dit l'héritier. Ou encore lorsque la mère abusée et enceinte vient se plaindre au près de la famille. Quel déshonneur.
Dans tout ceci, aucune classe n'était épargnée, qu'ils s'agissent de familles d'artisans de bourgeois, de nobles, de familles ninjas aux dons héréditaires ou des dirigeants du pays. Chacun réglait ça à sa façon, bien trop souvent dans le sang.
Il fallait faire quelque chose, cela ne pouvait plus continuer ainsi. Les pays ont tous une notoriété à préserver au regard du monde. Dans toutes les archipels que compte le pays de la brume, il y aurait bien un endroit pour étouffer ces affaires. Tout pays a droit à son intimité.
Sur cette idée, bien dégueulasse il faut l'avouer, un petit hameau fut créé pour accueillir ces "illégitimes" refusés par les hautes sphères. Là-bas, personne n'aurait vent de leur existence et ainsi tout le monde serait content. Sauf eux, mais le malheur des uns fait le bonheur des autres.
C'est donc dans ces conditions que Tousen naquit dans ce regroupement de parias. Sa mère avait été lâchée ici après s'être frottée à une personne peut-être un peu trop bien placée. Pourtant tout allait bien! mais malheureusement les choses se sont bien vides dégradées lorsque l'on apprit qu'elle attendait un enfant.
Ces choses immondes, Tousen les savaient même si sa mère ne lui avait jamais rien dit. De toutes façons, il avait fini par comprendre cela de lui-même. Mais il n'en voulait à personne pour autant. Même si la vie n'était pas très fleurissante ici bas, il avait eu une enfance heureuse presque normale. Une mère peut-être un peu trop poule sur les bords, des amis avec qui faire les quatre cent coups, ses premiers amours ...
Cependant tout au loin de sa jeunesse un sentiment de mépris ne le quittait pas. La sensation de n'être personne le rendait fou. C'est vrai, pour quoi ou pour qui existait-il? Certainement pas pour son père inconnu qui l'avait fait croupir ici. Il ne possédait même pas de nom. Seule sa mère l'appelait "Tousen" par signe d'affection débordante mais après? qu'était-il face au monde? la réponse était simple.
Il n'existait pas.
Et même ce monde auquel il rêvait d'appartenir il n'en savait rien. Il avait bien reçu quelques cours de culture générale par un quelconque érudit égaré à son tour sur cette île de reclus mais rien de bien consistant.
Plus il grandissait plus il voyait les choses en grands et bientôt le hameau ne pouvait plus contenir son envie d'être quelqu'un aux yeux de tous. Désir égoïste mais tellement humain, qui n'a jamais rêvé de gloire?
Personne ne pouvait s'opposer à son départ, après tout, tous ici étaient désireux du même but.
C'est ainsi qu'il décida de quitter l'île après des adieux déchirants avec sa mère.
Le plan était simple. Le seul moyen de partir était d'attendre le prochain bateau qui viendrait décharger des parias, il suffirait alors que des villageois détournent l'attention des marins en prétendant mendier et pendant ce temps Tousen pourrait se glisser à l'intérieur du bateau sans problèmes.
Malheureusement les choses ne se passaient pas comme prévu. Déjà, cela faisait plusieurs années qu'aucun bateau n'était venu, comme si cette méthode d'abandon n'était plus au goût du jour, sa mère faisait d'ailleurs partie des derniers débarqués sur l'île. Ce plan commençait à devenir douteux. Il fallut encore trois nouvelles années à Tousen pour méditer sur son sort avant de voir une prou pointer le bout de son nez.
A vue d'oeil, il ne s'agissait pas d'un cargo du gouvernement mais plutôt d'un bateau de pêche tentant de trouver fortune dans les eaux interdites du pays - tout le monde comprend pourquoi -
Ce n'était pas le bateau qu'il attendait mais il sentait que si il attendait plus, sa chance passerait. Voir un Bateau ici était un signe presque divin.
Sans réfléchir, il courut de toutes ses forces jusqu'à la plage et se jeta à la mer, nageant ferme pour essayer de rattraper le sillage du navire.
Bizarrement, le mieux qu'il réussit à faire est de se noyer, ballotté par la marée pour finir emballé par les filets de pêche du même bateau qu'il tentait de rattraper en vain. Le plus dur à présent était de trouver une histoire pour justifier sa présence dans ces filets, mais ces pécheurs n'étaient pas des mauvais bougres. Qui voudrait faire un procès à un type autant dans le pétrin? il venait de frôler la mort, le mieux à faire était de le laisser tranquille et de le débarquer au prochain port en échange de son silence quant à leur pêche dans une zone illégale.
Le plus dur était fait! Tousen venait de débarquer en zone libre, il n'était plus un paria mais un citoyen. Il commença alors par travailler comme docker, dans ce même port où il avait été largué, pour se payer de quoi voyager à travers le pays.
C'est ainsi que de fil en aiguille, il rejoignit la capitale militaire Kirigakure no Sato pour devenir enfin quelqu'un dans ce vaste monde, par la voie du ninja.
Nindô
"Je me forgerai un nom en ce monde."
Caractère
Son caractère a été imprégné de sa condition de vie. De part son passé pauvre et misérable, il a su apprendre l'humilité et le respect. Ainsi, il reste quelqu'un de calme, parfois peu bavard, respectueux et compréhensif. Cependant sous cette couche de bons sentiments se cache une partie de son caractère inavoué. Même si son histoire lui a inculqué toutes ces valeurs, il a toujours nourrit en secret une haine profonde pour cette humanité qui l'avait réduit à l'état de déchet humain.
Si il vient à perdre son self contrôle ou simplement si il est de mauvaise humeur, il peut être capable d'éprouver les pires sentiments de jalousie, d'orgueil, de colère voir de meurtres que le cerveau humain est capable de générer.
Quelqu'un de lunatique si il en est.
Personne à prendre avec des pincettes donc.
Qualités
Réfléchit, compréhensif, développe une certaine forme de sagesse.
Défauts
Beaucoup trop instable
Ce qu'il aime
Etre tranquille.
Ce qu'il déteste
L'humanité, parfois.
Pourtant quelques instants auparavent, il y avait marqué "ouvert". Juste le temps de bidouiller cet avatar foireux pour qu'il rentre dans les 150 par 150 et les inscriptions étaient finies.
Bref, je poste quand même, qui ne tente rien n'a rien pas vrai? Je préfère tenter ma chance plutôt que d'étendre mon pc en sectionnant les câbles avant d'aller me coucher dans des hurlements de désespoir. (le choix n'a pas été très dur je vous l'accorde ... je n'ai qu'un câble d'alim alors bon).
En tout cas, que la réponse soit positive ou négative, ne me tapez pas (je supporte mal la douleur)
laissons place à la fiche, enjoy:
Prénom: Tousen
Nom: Aucun
Age: 16 ans
Sexe: masculin
Description physique:
Tousen est marqué par l'époque antérieure de sa vie. Il est plutôt bien bâti et musclé à causes des conditions de vie rudes qu'il a du endurer, il garde aussi toujours son crâne rasé pour se souvenir d'où il vient. (Ya mieux comme moyen mémotechnique quand même) Malgré cette apparence forte il reste, à son grand désespoir, de taille très moyenne, ne dépassant pas les 1m60. Pourtant il n'est pas à sous-estimer.
Petit brun aux yeux marrons, virant presque au noir, Tousen possède une apparence des plus normales malgré ses gros sourcils qui ont tendance à un peu trop accentuer ses mimiques.
Niveau vestimentaire, il porte un peu ce qui lui passe à sa portée. Néanmoins, il garde toujours sur lui cette chemise délavée qu'avait réussit à lui offrir sa mère de je ne sais où, rare présent dans sa vie peu luxueuse.
Histoire
Au pays de la brume, un organisme un peu spécial a été créé sous l'ordre des seigneurs féodaux de l'époque. Durant cette période, une épine chatouillait quelque peu le pied de ces bons vieux magistrats sans étique morale régnant sur des terres quelconques. Cette épine, en y réfléchissant, pourrait bien être ce qu'on appelle "Les liens héréditaires". La plus part du temps, les acquis d'une famille se transmettent de générations en générations, qu'il s'agisse de biens matériels ou de choses plus abstraites comme le pouvoir.
Cependant, le gouvernement assistait à une réelle question montante de la part des masses et même parfois de ses confrères. Que faire de ces enfants, de cette famille illégitime?
les problèmes de coeurs sont si fréquents dans les sociétés décadentes. Une rencontre furtive, une femme cocu ou un mari. Qui le saura? personne ... Jusqu'au jour où l'on se retrouve avec un enfant d'un bouseux sur les bras.
"Ce n'est pas possible! notre famille d'aristocrates tous issue de nobles lignées et voila notre honneur sali par l'arrivée d'un petit bâtard"
La pilule est bien difficile à avaler, surtout lorsqu'il s'agit du seul et unique enfant de la famille, autrement dit l'héritier. Ou encore lorsque la mère abusée et enceinte vient se plaindre au près de la famille. Quel déshonneur.
Dans tout ceci, aucune classe n'était épargnée, qu'ils s'agissent de familles d'artisans de bourgeois, de nobles, de familles ninjas aux dons héréditaires ou des dirigeants du pays. Chacun réglait ça à sa façon, bien trop souvent dans le sang.
Il fallait faire quelque chose, cela ne pouvait plus continuer ainsi. Les pays ont tous une notoriété à préserver au regard du monde. Dans toutes les archipels que compte le pays de la brume, il y aurait bien un endroit pour étouffer ces affaires. Tout pays a droit à son intimité.
Sur cette idée, bien dégueulasse il faut l'avouer, un petit hameau fut créé pour accueillir ces "illégitimes" refusés par les hautes sphères. Là-bas, personne n'aurait vent de leur existence et ainsi tout le monde serait content. Sauf eux, mais le malheur des uns fait le bonheur des autres.
C'est donc dans ces conditions que Tousen naquit dans ce regroupement de parias. Sa mère avait été lâchée ici après s'être frottée à une personne peut-être un peu trop bien placée. Pourtant tout allait bien! mais malheureusement les choses se sont bien vides dégradées lorsque l'on apprit qu'elle attendait un enfant.
Ces choses immondes, Tousen les savaient même si sa mère ne lui avait jamais rien dit. De toutes façons, il avait fini par comprendre cela de lui-même. Mais il n'en voulait à personne pour autant. Même si la vie n'était pas très fleurissante ici bas, il avait eu une enfance heureuse presque normale. Une mère peut-être un peu trop poule sur les bords, des amis avec qui faire les quatre cent coups, ses premiers amours ...
Cependant tout au loin de sa jeunesse un sentiment de mépris ne le quittait pas. La sensation de n'être personne le rendait fou. C'est vrai, pour quoi ou pour qui existait-il? Certainement pas pour son père inconnu qui l'avait fait croupir ici. Il ne possédait même pas de nom. Seule sa mère l'appelait "Tousen" par signe d'affection débordante mais après? qu'était-il face au monde? la réponse était simple.
Il n'existait pas.
Et même ce monde auquel il rêvait d'appartenir il n'en savait rien. Il avait bien reçu quelques cours de culture générale par un quelconque érudit égaré à son tour sur cette île de reclus mais rien de bien consistant.
Plus il grandissait plus il voyait les choses en grands et bientôt le hameau ne pouvait plus contenir son envie d'être quelqu'un aux yeux de tous. Désir égoïste mais tellement humain, qui n'a jamais rêvé de gloire?
Personne ne pouvait s'opposer à son départ, après tout, tous ici étaient désireux du même but.
C'est ainsi qu'il décida de quitter l'île après des adieux déchirants avec sa mère.
Le plan était simple. Le seul moyen de partir était d'attendre le prochain bateau qui viendrait décharger des parias, il suffirait alors que des villageois détournent l'attention des marins en prétendant mendier et pendant ce temps Tousen pourrait se glisser à l'intérieur du bateau sans problèmes.
Malheureusement les choses ne se passaient pas comme prévu. Déjà, cela faisait plusieurs années qu'aucun bateau n'était venu, comme si cette méthode d'abandon n'était plus au goût du jour, sa mère faisait d'ailleurs partie des derniers débarqués sur l'île. Ce plan commençait à devenir douteux. Il fallut encore trois nouvelles années à Tousen pour méditer sur son sort avant de voir une prou pointer le bout de son nez.
A vue d'oeil, il ne s'agissait pas d'un cargo du gouvernement mais plutôt d'un bateau de pêche tentant de trouver fortune dans les eaux interdites du pays - tout le monde comprend pourquoi -
Ce n'était pas le bateau qu'il attendait mais il sentait que si il attendait plus, sa chance passerait. Voir un Bateau ici était un signe presque divin.
Sans réfléchir, il courut de toutes ses forces jusqu'à la plage et se jeta à la mer, nageant ferme pour essayer de rattraper le sillage du navire.
Bizarrement, le mieux qu'il réussit à faire est de se noyer, ballotté par la marée pour finir emballé par les filets de pêche du même bateau qu'il tentait de rattraper en vain. Le plus dur à présent était de trouver une histoire pour justifier sa présence dans ces filets, mais ces pécheurs n'étaient pas des mauvais bougres. Qui voudrait faire un procès à un type autant dans le pétrin? il venait de frôler la mort, le mieux à faire était de le laisser tranquille et de le débarquer au prochain port en échange de son silence quant à leur pêche dans une zone illégale.
Le plus dur était fait! Tousen venait de débarquer en zone libre, il n'était plus un paria mais un citoyen. Il commença alors par travailler comme docker, dans ce même port où il avait été largué, pour se payer de quoi voyager à travers le pays.
C'est ainsi que de fil en aiguille, il rejoignit la capitale militaire Kirigakure no Sato pour devenir enfin quelqu'un dans ce vaste monde, par la voie du ninja.
Nindô
"Je me forgerai un nom en ce monde."
Caractère
Son caractère a été imprégné de sa condition de vie. De part son passé pauvre et misérable, il a su apprendre l'humilité et le respect. Ainsi, il reste quelqu'un de calme, parfois peu bavard, respectueux et compréhensif. Cependant sous cette couche de bons sentiments se cache une partie de son caractère inavoué. Même si son histoire lui a inculqué toutes ces valeurs, il a toujours nourrit en secret une haine profonde pour cette humanité qui l'avait réduit à l'état de déchet humain.
Si il vient à perdre son self contrôle ou simplement si il est de mauvaise humeur, il peut être capable d'éprouver les pires sentiments de jalousie, d'orgueil, de colère voir de meurtres que le cerveau humain est capable de générer.
Quelqu'un de lunatique si il en est.
Personne à prendre avec des pincettes donc.
Qualités
Réfléchit, compréhensif, développe une certaine forme de sagesse.
Défauts
Beaucoup trop instable
Ce qu'il aime
Etre tranquille.
Ce qu'il déteste
L'humanité, parfois.