Les deux bambins accueillirent avec joie cet ordre du chef du village. Et sourirent même à leur coéquipier, force noire en personne !
Ouais ! trop cool !
T'es trop sympa toi !
Pis t'es marrant, on va bien s'amuser !
Leur air réjoui aurait pu donner la chair de poule. Il ne venaient ni plus ni moins d'annoncer leur plaisir de « sécuriser la zone » avec leur collègue, joli euphémisme pour signifier qu'il fallait faire un carnage.
- Pourquoi tu te mords ? T'as du sang et tout ! T'es fou-malade !?
Mais nan, s'pour un parchemin ! Expliqua Pika, qui avait écouté en cours.
Ils se turent, en assistant à une scène surréaliste : le Chunin s'inspirait des aventures d'un de leur héros préféré ! Une carte ! Il possédait une carte magique, sur laquelle apparaissaient magiquement des signes cabalistiques, après avoir prononcé une phrase pour le moins obscure.
Et les signes disparaissaient à présent, alors qu'une vieille femme qui n'était pas là l'instant d'avant, les jumeaux en étaient sûrs, taillait le bout de gras avec force noire.
Et elle n'était pas seule ! D'autres « gens que tu peux passer au travers, regarde, c'est drôle ! » se tenaient sagement autour de Saïto, l'air prêts à en découdre.
L'équipe Mur Ouest désignée par le kage venait de voir son effectif revu à la hausse. Mais ces êtres éthérés prendraient-ils part à la bataille ? Etait-ce des spectateurs, ou une aide ?
Y vont nous aider ou bien y comptent pour du beurre ?
Saïto sourit avec une gentillesse peu commune : on ne sentait pas de méchanceté, seulement de la condescendance avec une pointe de cynisme dans cette expression qui ne lui était pas familière. Il ne prit pas la peine de répondre aux Grums, pas assez évolués mentalement pour comprendre un simple « oui ».
Ils se rendirent tous ensemble près des murailles. Ils n'avaient pas grand chose à faire. La plupart des guerriers prenaient la ville d'assaut sur d'autres fronts.
L'équipe locale était bien plus nombreuse que les visiteurs. Le match semblait couru d'avance. L'héritier du clan HikariRyu aurait pu se charger seul de la dizaine d'hommes patibulaires avec sa technique de regroupement-corporel-et-qu'tu-sautes-dessus-pour-les-aplatir-comme-des-crêpes.
Mais il semblait avoir recouvré ses esprits, et n'allait vraisemblablement pas recommencer ses jolis sauts. Les esprits tendirent leurs mains deant eux dans un ensemble parfait. Ils se mirent à faire des signes, en entonnant une mélopée entêtante. Leurs voix sépulcrales résonnait dans l'air. Le soleil de midi ne leur faisait pas d'ombre, mais un étrange courant vibrant, d'air ou d'énergie, fusa vers le petit groupe d'hommes. C'était fait. Si il y avait eu des ninjas, ce qui semblait peu probable pourtant, vu le manque de classe patent de ces homo erectus, il ne pouvait pas se servir de son chakra.
Les Ames laissèrent Saïto, qu'elles avaient aidés à contrecoeur, pour aller soutenir d'autres groupes.
Elles ne feraient pas étalage de toutes leurs techniques. Pas aujourd'hui.
Saïto soupira, et regarda les hommes avec pitié et dégoût. Il fit signe au jumeaux de se tenir à l'écart, et s'avança vers les hommes en armes. Ceux-ci, ragaillardis par la disparition des revenants, qui n'avaient eu aucun effet notable sur leur physionomie (certains avaient regardé dans leur caleçon avec un gloussement de soulagement satisfaite) redevenaient les tueurs snguinaires qu'ils étaient censés être.
« héhé, même pas foutu d'nous faire mal ! Rien à voir avec la nana du chef les gars, on a rien à craidre ! Moi j'vous l'dit, c'est juste une illusion a cause de c'putain d'pays et sa chaleur ! Hein les gars ? On va lui en faire voir de toutes les couleurs à c'gars ! On va prendre not' temps et tout !
Et pour les mioches ?
Tirez au hasard ! Mais on s'en occupe après. Si ils essaient d'nous fausser compagnie, vous les poursuivez ! »
Une partie de Jan Ken Po plus tard, chacun avait sa cible.
Saïto les avait laissé à leur palabres. Spécialiste du genjutsu, il ne dédaignait pas s'amuser autrement de temps à autre.
Pourtant, il n'en eut pas le loisir. Deux jeunes hommes venaient d'arriver. Ils s'interposèrent entre le chunin et le groupe d'hommes, encore à une bonne dizaine de mètres, et parlèrent, en continuant à fixer les assaillants:
-
« On est là à la demande du kage. En soutien. On a pas envie de s'être déplacé pour rien.
Laissez-les nous. »
Ca n'était pas un ordre. Pas une demande non plus. Simplement une affirmation.
Un bandit les héla :
»Et vus allez vous battre avec quoi ? Toi non plus t'as pas d'arme ! »
Les autres s'esclafèrent tant la blague était bonne.
-
Avec des cheveux.[color] répondit l'homme blond. Un bureaucrate expliquant l'indexation primaire de la valeur des arriérés à un gamin de 5 ans n'aurais pu être à la fois aussi sérieux et aussi condescendant. Saïto n'était pas battu, mais il avait de la concurrence.
Ohh, vous êtes du clan Yashamaru ? s'extasia Païku en s'asseyant d'un bon à côté de sa soeur, en haut du mur.
Le jeune homme brun tourna la tête en direction de la voix, pencha la tête sur le côté, et tendit la main en avant. A 30 cm de sur la droite du mini-chunin, une ligne de faille aparraissait en craquant.
« Ca répond à ta question petit ? » fit l'homme, de manière assez agressive, en rappelant son fil presque invisible, qui s'enroula sagement autour de son poignet.
Païku sourit, tandis que le mur tombait en avant, comme au ralenti, impeccablement tranché sur le côté.
Pika battit des mains, et sourit à cet homme, dont la ténébritude avait quelque chose de craquant.
Le regard farouches des deux hommes, braqués sur leurs proies, dissuadèrent Saïto de polémiquer. D'autant qu'il était curieux d'observer les techniques de ce clan en action. Il crois les bras, et regarda les deux hommes provoquer les pillards. Ceux-ci ne se firent pas attendre, et foncèrent en criant sur les deux nouveaux arrivants, malgré la démonstration de leur talent.
Il s'ensuivit une formidable boucherie... euh... non, les bouchers ont demandé qu'on évite de faire référence à leur métier quand on veut décrire un carnage. Je reprends, on coupera au montage.
Il s'ensuivit une formidable boulangerie, la farine coulait de partout, on se mit des pains et des tartes dans laggle, les ficelles coupaient tout ce qui dépassait pour faire plus propre (têtes, bras et jambes donc) et éviter la phrase fatidique : « y'en a un peu plus, je vous le laisse ? ».
L'affaire fut réglée en instant, sans que les deux hommes ait eu à bouger de leur place.
« Trop fort, trop fort ! Nous aussi on peut apprendre ? » demanda Païku, impressioné. Pika aussi aurait voulu apprendre, surtout si son professeur était l'un des deux.
« Tu n'appartiens pas au clan. Le Kokujo n'est pas pour toi. »
répondit le brun, tandis qu'au même moment, le blond disait l'inverse :
Peut-être, ton père nous a rendu de grands services
Ils se tournèrent l'un vers l'autre.
Son père ? Tu les connais ces deux mioches ?
Son paternel n'est autre que Zenghis mon frère.
Ah !! fit l'autre, comprenant soudain. On verra alors!
finit-il par dire avec un grand sourire, toute trace d'agressivité envolée. Il s'envolèrent eux aussi, sans même un au revoir.
P'pa ? Il les connait ? Il a fait quoi pour eux ? s'étonnèrent le frère et la soeur en écarquillant les yeux.
Saïto mis un point à sa phrase, ferma sèchement son carnet et opina du chef. Il darda les jumeaux du regard, comme s'il les voyait différemment désormais, et se retira, aussi silencieusement que les deux autres.
Les deux enfants, après avoir attendu un moment devant le tas de cadavres, trouva que le charnier et son cortège de mouches était un spectacle moins divertissant que la télévision. Il se levèrent d'un bond, courrurrent l'un derrière l'autre sur le mur, les bras à l'horizontale, et rentrèrent à la maison. Après tout, le kage leur avait donné un ordre, et il avait été rempli !
De plus, c'était l'heure du goûter !
Sur les autres front par contre, cela ne se passait pas aussi facilement, les envahisseurs étaient bien plus nombreux que les défenseurs.
Tsu, à ses côtés, n'était pas en reste. Il n'y aurait pu avoir garde du corps plus efficace. Son chat, sûrement nourri au royal-canin pour chien XXL vu sa férocité, avait oublié de fumer son herbe à chat. Un mini-tigre aurait fait sourire, un chat géant faisait plutôt crier. Sa digivolution devait être terrible !
Néanmoins, seuls contre tous, ils ne tiendraient plus longtemps. Si les pillards ne se relevaient pas, c'était tout comme ! Il en sortait de partout, et de plus en plus ! Laozu et la chadomasochise combattaient maintenant dos-à-dos, économisant des forces qui déclinaient. Ils conservait un périmètre de sécurité relativement important, mais ils ne tiendraient plus longtemps. Un ou deux jours tout au plus.
Les bandits semblaient mieux organisés qu'auparavant. Alors que de la chair à canon toute fraiche remplaçait les morts, les soldats de l'arrièrent évacuaient cadavres et blessés, avec la même douceur
sensuelle qu'un tractopelle. Le gros des troupes était concentré sur eux, mais quelques hommes pénétraient la ville, sans plus s'occuper de ces deux là.
Ils avançaient prudemment vers le centre, l'épée et le sourire dégainés : la victoire était acquise.
Hyodo et Seika sont dans un bâteau, Hyodo tombe à l'eau, que se passe-t-il ?
Seïka enlève la bonde, afin de vider l'océan. C'est ainsi que la jeune femme voyait les choses.
L'amour agissait sur elle comme un puissant genjutsu, et ses actions étaient à la hauteur de cet amour (et de Hyodo, c'est a dire, assez haut donc.)
Son amour pour la maison ambulante, aussi fort qu'un ... que... très puissant , était une stimulation supplémentaire de se donner sans compter dans ce combat.
Hyodo avait ouvert des portes. Combien, il ne savait plus. Le narrateur non plus d'ailleurs, et il demande aux protagonistes qui sont les héros/victimes de son récit, de bien vouloir lui pardonner.
Ils sont évidemment en droit d'éditer tout ou partie de leur histoire.
Toutes ces portes ouvertes avaient créées un afflux de sang au cerveau, ce qui n'était pas courant chez lui, et l'avait fait réfléchir au sens de la vie, à ce qu'il ferait une fois rentré, et à quoi pouvait bien servir la racine carré de 5 dans la vie. Toutes ces questions existentielles qu'on se pose parfois avant de s'endormir, il se les posait alors qu'il broyait consciencieusement de crânes, l'air absent.
Sa vitesse était prodigieuse, et il fauchait les hommes comme les blés. Sïka n'était pas en reste, ses dards empoisonnés, s'il ne tuaient pas sur le coup par leur précision chirurgicale, rendait fous quasi-instantanément les assaillants. Ces derniers se retournaient contre leurs propres camarades, en hurlant des choses incompréhensibles pour les ninjas, mais visiblement atroces pour leurs camarades. « Le Nutella vaincra » « Ghaïka le matin, mort le lendemain ! » ou encore « Pierre qui roule vaut mieux que deux tu l'auras ! ».
Le colosse faiblissait petit à petit. Insensiblement, le cercle menaçant des lames dansait de plus en plus près des deux ninjas. La poupée tenta quelques coups d'éclats, en donnant la chair de poule à ses assaillants, avec des éclairs qui trouaient leur rangs, mais bien vite, les hommes étaient remplacés. Ils allaient en finir.
Un petit groupe se faufila sur le côté. Leur but n'était as de se battre. Il progressaient vers l'intérieur du village en regardant un objet qui aurait pu être un détecteur de Dragon balls. Ou l'aurait été si jamais une histoire de dragon exhaussant des voeux d'un petit garçon a queue de singe tirant des katons avec les mains (pourquoi pas avec les pieds pendant qu'on y est !) n'était pas si risible.
Un soldat. L'un des rares à ne pas avoir participé à l'attaque massive. Il se tient à côté de son jumeau, devant l'entrée d'un tente spacieuse. A l'intérieur un homme pousse un soupir de contentement. Après quelques déplacement dans la pièce, et des rajustement d'habits, le choc d'une main sur une joue. La marque d'une chevalière, une de plus, qui commence à apparraitre sur la joue,
la femme se tait, et retient ses larmes. Souillée. Elle se sent souillée et humilée. Le gros porc en face d'elle abuse de son corps, et se sert de ses pouvoirs dans un but immonde. Mais que peut-elle faire.
Si elle tente la moindre rébellion, il tuera son fils. Il lui a déjà coupé un doigt, puis la main, parce qu'elle refusait de se donner à lui, et de le divertir. Il lui a promis de l'épargner, si elle fait bien son travail. Ses pouvoirs, elle ne sait pas d'où elle les tient, mais elle les maudit. Sans eux, elle vivrait encore dans son village comme guérisseuse, et cet immonde chacal n'aurait jamais été le chef qu'il est actuellement. Il semble étrangement immunisé contre sa magie, et c'est sans doute ce qui la terrifie le plus. Il la tient par les cheveux, et lui ordonne de remplir son verre.
Après en avoir bu la moitié, l'autre ayant destiné à son menton, il la traine dehors. Il enfourche son cheval, et la soulève derrière lui.
Au moindre faux bond, ton adorable fils perd sa tête.
Il avait suffisamment répété cette phrase par le passé pour attendre encore une réponse.
Elle se crispa, mais demeura silencieuse. Il chevaucha jusqu'au village. Elle pleurait dans son dos, les yeux fermés.
Tu sais ce que j'attends de toi maintenant. lui dit-il alors qu'ils arrivaient devant les portes.
Elle ferma les yeux, se concentra, et tendit un doigt :
c'est par là.
Elle se consolait en se disant qu'elle ne lui avait pas révélé l'étendue de ses pouvoirs. Elle aurait pu ouvrir une brèche dans la muraille d'Iwa en se concentrant moins d'une demi heure. Elle aurait pu faucher quelques centaines d'hommes, mais elle s'était tue. Elle avait minimisé son aide au maximum. Le chef cherchait un objet bien précis, et elle pouvait l'aider, c'est pour ça qu'il la gardait en vie. Ils avancèrent, croisant un colosse et une poupée, submergés par le nombre.
La femme désignait parfois une rue, après avoir été interrogée du regard par le porc devant elle.
Il jubilait. Il se rapprochait ! Iwa ignorait posséder un tel artefact, sinon, ils domineraient déjà le monde ! Mais lui, il allait s'en charger...
« Maitre du monde... ça sonne plutôt bien à l'oreille ! » ricana le mégalomane en s'approchant du but.
Là, il faudrait un son de clairon. Ou alors, mettez-vous au garde à vous, imaginez les chevaux hennir, et la trompette sonner la charge. La cavalerie !
Les ninjas détachés du village revenaient plus tôt que prévu ! Et par centaine !
Ils avaient accélérés le pas en voyant les camps entourant la ville. Le plus gradé avait pris la tête des opérations, et lancés des troupes aux points stratégiques. Le village était sauvé. On se serait cru dans un film, ou pire encore, dans un forum de Rp, tant le retournement de situation était prévisible et facile.
C'est pourtant ce qui arriva. Les hommes d'Iwa, malgré leur fatigue, redoublèrent d'ardeur en voyant les leurs revenir pour prendre l'assaillant en tenaille. Le vent tourna. Dans les deux sens. La femme avait sauté a bas du cheval, et courrait comme une dératée vers le camp des assaillants, elle voulait son fils. Le chef, un gros homme charismatique, mais sans aptitude particulière par rapport à ses hommes, tomba bien vite. Alors qu'il poursuivait sa proie, son cheval fut proprement tranché en deux. Les jambes vinrent avec. Avec l'élan du cheval, il continua sa course toujours sur sa monture désormais sans pattes. Sans le savoir, il avait inventé un nouveau sport : la glissade sur demi-poney.
Mais la fédération n'aurait pas homologué son record de 12,54m pour la simple et bonne raison qu'il n'aurait pu remettre le prix à un homme sans tête.
La femme, hors d'haleine, arriva dans la tente où était retenu prisonnier son fils. La cage était là, il était dedans. Mais il ne respirait plus. Il était violet. Avant de partir, il avait été étranglé par ... par...
Elle s'effondra, le regard vide, mais rivé sur son enfant. Il l'aurait tué elle aussi. Une fois qu'il aurait trouvé son objet, il se serait débarrassé d'elle, il y avait de plus jolies femmes à Iwa pour le contenter...
Elle lâcha la bonde de son pouvoir, créant un profond cratère d'une vingtaine de mètre de rayon. Les restes des toiles de tentes pleuvaient sur elle. Seule son enfant posé sur son giron, la cage à présent disparue, elle se balançait d'avant en arrière en chantant sa berceuse d'une voix tremblotante.
Un Jounin posa une main sur son épaule. Il n'était pas amoché, mais il avait connu de meilleurs jours. Son apparence n'appelait pas à la confiance. Pourtant, lorsqu'il saisit délicatement l'enfant, après lui avoir fermé les paupières, la femme le suivit sans faire d'histoire, ni essayer encore une fois de le détruire avec son pouvoir.
Elle sortit enfin du bureau du Kage. Raccompagnée par un de ses hommes.
Celui-ci se leva en grimaçant, et appuya son front contre la baie vitrée de son bureau. Les villageois reconstruisaient déjà le village. C'était admirable.
Il avait appris l'histoire de cette femme, au fur et à mesure de son récit décousu. Elle resterait quelques jours en observation à l'hôpital, et elle pourrait partir. Le genjutsu n'avait pas marché sur elle. Il n'avait réussi à la calmer qu'avec les mots. Il se demandait s'il pourrait sceller son pouvoir en elle. Si il le fallait déjà...
Il avait donné des ordres précis pour les survivants de la bande. Sans son chef, ces imébiciles sans cervelles se désorganiseraient, et se sépareraient. A moins qu'ils ne s'étripent entre eux avant...
Il repensa a son combat avec Tsu, tout ce qui en avait découlé... et ses yeux se firent plus tristes. Ca n'était pourtant pas le moment de penser à cette ... femme. Il avait des choses plus urgentes à régler ! N'est-ce pas... ?
Le Kage avait été clair, la section d'anbu ne devait utiliser la force qu'en dernier recours !
Le genjutsu avait été réalisé en commun, en unissant leurs chakra. Cette première avait donné des résultats inespérés. Un troupeau de milliers d'hommes armés jusqu'aux dents les suivaient docilement, sans bruit.
Ils allaient leur faire le coup du flashouillage mémoriel. Un grand classique du cinéma Iwanais (oui, on dit Iwaien, mais je vous otarise) M. I. B. [NdA : les Mens In Brown, agents secrets futuristes a l'arsenal développé, charger de veiller sur l'immigration extraterrestre clandestine à Iwa, organisé dans le plus grand secret.]
Un Raïton plus tard, les milliers de guerriers regardaient dans le vague, en écoutant le discours, chakrastiquement amplifié, de l'homme qui les surplombait :
Vous êtes de gentils garçons, qui avez fugué de chez vos parents, vous êtes tombé sur un village de pêcheurs, qui vous ont mal accueillis. Vous ne reviendrez plus par ici, la bouffe était trop immonde et le climat violent ! après un temps, l'anbu sourit, et ajoute
Vous n'aimez pas la violence ! Vous préférez les fleurs et les poupées ! Et maintenant, rentrez chez vous !
Après tout, les ordres du Kage ont été respectés !
HRP : Fin de l'event, merci à ceux qui ont participé. Nos boites MP sont là pour toutes remarques, suggestions, ou autres propositions pour le prochain !