Kaisou le paisible
Modérateurs : Noriko Asahina, Shimone Ayanami, Haoru Keitjiwa
Nom : non mentionné dans le carnet de mère.
Prénom : Kaisou
Surnom : Kaisou le paisible
Âge :18 ans
Nindo :il ne faut pas redevenir soi-même, mais le devenir
Aime :le silence, observer le ciel, ne pas avoir de problèmes, mener une vie simple
Déteste : le vacarme, ceux qui se mentent, attendre
Caractère : Kaisou est quelqu’un de plutôt calme et doux, aimant perdre son temps en futilités et ayant un grand respect pour la vie, il aime la simplicité et évite au possible de se battre. L’idéal serait de ne pas être ninja, mais cela lui est impossible, car il aura beau ne plus se battre, il finira fatalement par être attaqué, ou pire, il devrait se soumettre, et c’est contraire à sa nature, en temps normal calme comme la rivière, il peut se faire violent comme le torrent.
Physique :Grand, cheveux bruns et longs jusqu'à la taille sur l’arrière, jusqu’au dessous des yeux sur l’avant, son visage exprime la sérénité, et une douceur rare sur le visage d’un combattant, ses yeux bleu reflètent la passivité, mais ils peuvent tout aussi bien briller de l’éclat de la passion, sa bouche tends toujours à exprimer un sourire franc, qui peut parfois se montrer moquer, peu musclé mais pas squelettique, il est plutôt équilibré, et n’a rien pour déplaire, sa seule cicatrice étant située sur son torse, marque de katana…
Histoire :Un ninja d’une famille renommée pour son genjutsu terriblement efficace, entraîné à la dure depuis son plus jeune âge, son père s’est un jour rendu compte qu’il n’était pas vraiment son père. Devant l’infidélité de sa femme, il aurait du la tuer, mais il l’aimais bien trop pour ça, il décida donc de reporter sa haine sur Kaisou, en l’entraînant de façon à le tuer, en le faisant utiliser régulièrement plus que ses capacités maximales, en lui enseignant des jutsus dangereux, pouvant lui être mortels souvent, jamais maitrisés, parce que trop avancés. un jour il du s’essayer à la technique suprême de la famille, un genjutsu pouvant altérer les souvenirs d’une personne pour la faire agir selon nos désirs, mais aux risques de la santé mentale de son utilisateur, et quand on a 7 ans, c’est plus que risqué. Le père ayant réussi à, croyait-il, rendre fou son « fils », il décida de l’abandonner dans les contrées arides du désert, à la merci des charognards et de la chaleur.
Kaisou résista plus ou moins un jour, quand un voyageur le trouva, allongé dans le sable,
Il le ramena à Suna no kuni, le gamin se rappelait vaguement de ce qu’il s’était passé, et retourna voir son père, qui, à la vue de cette trahison vivante, devint fou de rage, il utilisa sans succès son jutsu mémoriel, mais Kaisou avait compris comment s’en défaire. Il exigea alors de connaître la raison de la haine que lui portait son père. Il la lui expliquât, sans détours et de façon brutale. Ainsi il était un « bâtard », le fruit d’une infidélité, il avait été rejeté du rang d’élite à celui de déchet. Il se sentait souillé, humilié, et blessé, cette douleur dans sa poitrine et dans sa gorge, coulant le long de ses joues enfantines, c’était trop, trop douloureux, trop immense, trop lourd pour de si frêles épaules.
Il fut chassé, mais revint à de nombreuses reprises, voulant voir sa mère, qu’elle démente toute cette histoire inconcevable, qu’elle le rassure, et c’est après un retour de trop que son père tenta de le tuer à nouveau, avec un katana, il l’entaillât sur une longueur effrayante du torse, s’en était trop aussi pour sa mère, elle s’interposât, et sauva son fils, elle le soignât pendant trois jours et deux nuits, il avait perdu beaucoup de sang, et l’infection avait apporté la fièvre. Mais le plus douloureux, c’était de n’être aimé de personne, de n’appartenir à aucun monde, d’être jeté après une histoire qui avait pourtant bien commencé, c’était trop, trop invraisemblable, trop douloureux. Sa mère ne pouvait, ne voulait aller contre son mari, et décida donc de faire un cadeau d’adieu à son fils avant de le laisser seul a jamais.
Elle relatât l’histoire tragique dans un carnet, et effaçât la mémoire de Kaisou grâce à l'arcane ancestrale, pour lui éviter des souffrances inutiles, et ainsi lui rendre la paix intérieure, elle lui donnât le carnet et l’abandonnât.
Seul mais l’esprit libre, le carnet ne racontant que l’essentiel, pour qu’il ne recherche pas sa véritable identité, mais pour qu’il devienne un nouveau lui-même, heureux et épanoui, alors peut être, elle l’espérait, un jour, elle le rencontrerais, homme, autre, heureux et entouré comme elle n’avait pu le faire, alors, sans rien dire, elle le regarderais, et se délecterais de son sourire.
C’est ainsi que Kaisou du apprendre à se débrouiller par lui-même, sans nom et sans famille, il choisit « Kaisou » pour nom, le souvenir, lui qui n’en avait pas, c’était plutôt ironique, mais qu’importe, il avait la vie devant lui, sans doutes un jour, on lui en donnerais un autre.
Les années l’ont aguerris depuis, mais il n’a jamais aimé la violence. pendant longtemps, il a vécu dans une famille de pauvres pécheurs, ou il était heureux malgré tout, pécheur adroit et gardien de la famille, il ne pouvait pas être plus contenté, ses capacités naturelles et son amour pour les siens lui ayant donné l’envie de devenir plus fort, il n’a jamais négligé son entraînement, et c’est avec un nouvel esprit, de nouveaux projets, qu’il arrive au village, prêt à vivre sa vie d’adulte, à la recherche de son idéal, le bonheur, but ultime de toute existence. il montrerais au monde que la paix, le calme et l'affection suffisent à l'humanité, même s'il devait pour cela cesser un moment de rêver en regardant les nuages, il fera ressentire cette quietude à tout le monde, c'est peut être comme ça que le mal viendra à disparaitre, même s'il doit un jour creuser son passé comme on creuse une tombe, rien ne pourra le faire changer d'avis: académie des ninjas, me voila!
Prénom : Kaisou
Surnom : Kaisou le paisible
Âge :18 ans
Nindo :il ne faut pas redevenir soi-même, mais le devenir
Aime :le silence, observer le ciel, ne pas avoir de problèmes, mener une vie simple
Déteste : le vacarme, ceux qui se mentent, attendre
Caractère : Kaisou est quelqu’un de plutôt calme et doux, aimant perdre son temps en futilités et ayant un grand respect pour la vie, il aime la simplicité et évite au possible de se battre. L’idéal serait de ne pas être ninja, mais cela lui est impossible, car il aura beau ne plus se battre, il finira fatalement par être attaqué, ou pire, il devrait se soumettre, et c’est contraire à sa nature, en temps normal calme comme la rivière, il peut se faire violent comme le torrent.
Physique :Grand, cheveux bruns et longs jusqu'à la taille sur l’arrière, jusqu’au dessous des yeux sur l’avant, son visage exprime la sérénité, et une douceur rare sur le visage d’un combattant, ses yeux bleu reflètent la passivité, mais ils peuvent tout aussi bien briller de l’éclat de la passion, sa bouche tends toujours à exprimer un sourire franc, qui peut parfois se montrer moquer, peu musclé mais pas squelettique, il est plutôt équilibré, et n’a rien pour déplaire, sa seule cicatrice étant située sur son torse, marque de katana…
Histoire :Un ninja d’une famille renommée pour son genjutsu terriblement efficace, entraîné à la dure depuis son plus jeune âge, son père s’est un jour rendu compte qu’il n’était pas vraiment son père. Devant l’infidélité de sa femme, il aurait du la tuer, mais il l’aimais bien trop pour ça, il décida donc de reporter sa haine sur Kaisou, en l’entraînant de façon à le tuer, en le faisant utiliser régulièrement plus que ses capacités maximales, en lui enseignant des jutsus dangereux, pouvant lui être mortels souvent, jamais maitrisés, parce que trop avancés. un jour il du s’essayer à la technique suprême de la famille, un genjutsu pouvant altérer les souvenirs d’une personne pour la faire agir selon nos désirs, mais aux risques de la santé mentale de son utilisateur, et quand on a 7 ans, c’est plus que risqué. Le père ayant réussi à, croyait-il, rendre fou son « fils », il décida de l’abandonner dans les contrées arides du désert, à la merci des charognards et de la chaleur.
Kaisou résista plus ou moins un jour, quand un voyageur le trouva, allongé dans le sable,
Il le ramena à Suna no kuni, le gamin se rappelait vaguement de ce qu’il s’était passé, et retourna voir son père, qui, à la vue de cette trahison vivante, devint fou de rage, il utilisa sans succès son jutsu mémoriel, mais Kaisou avait compris comment s’en défaire. Il exigea alors de connaître la raison de la haine que lui portait son père. Il la lui expliquât, sans détours et de façon brutale. Ainsi il était un « bâtard », le fruit d’une infidélité, il avait été rejeté du rang d’élite à celui de déchet. Il se sentait souillé, humilié, et blessé, cette douleur dans sa poitrine et dans sa gorge, coulant le long de ses joues enfantines, c’était trop, trop douloureux, trop immense, trop lourd pour de si frêles épaules.
Il fut chassé, mais revint à de nombreuses reprises, voulant voir sa mère, qu’elle démente toute cette histoire inconcevable, qu’elle le rassure, et c’est après un retour de trop que son père tenta de le tuer à nouveau, avec un katana, il l’entaillât sur une longueur effrayante du torse, s’en était trop aussi pour sa mère, elle s’interposât, et sauva son fils, elle le soignât pendant trois jours et deux nuits, il avait perdu beaucoup de sang, et l’infection avait apporté la fièvre. Mais le plus douloureux, c’était de n’être aimé de personne, de n’appartenir à aucun monde, d’être jeté après une histoire qui avait pourtant bien commencé, c’était trop, trop invraisemblable, trop douloureux. Sa mère ne pouvait, ne voulait aller contre son mari, et décida donc de faire un cadeau d’adieu à son fils avant de le laisser seul a jamais.
Elle relatât l’histoire tragique dans un carnet, et effaçât la mémoire de Kaisou grâce à l'arcane ancestrale, pour lui éviter des souffrances inutiles, et ainsi lui rendre la paix intérieure, elle lui donnât le carnet et l’abandonnât.
Seul mais l’esprit libre, le carnet ne racontant que l’essentiel, pour qu’il ne recherche pas sa véritable identité, mais pour qu’il devienne un nouveau lui-même, heureux et épanoui, alors peut être, elle l’espérait, un jour, elle le rencontrerais, homme, autre, heureux et entouré comme elle n’avait pu le faire, alors, sans rien dire, elle le regarderais, et se délecterais de son sourire.
C’est ainsi que Kaisou du apprendre à se débrouiller par lui-même, sans nom et sans famille, il choisit « Kaisou » pour nom, le souvenir, lui qui n’en avait pas, c’était plutôt ironique, mais qu’importe, il avait la vie devant lui, sans doutes un jour, on lui en donnerais un autre.
Les années l’ont aguerris depuis, mais il n’a jamais aimé la violence. pendant longtemps, il a vécu dans une famille de pauvres pécheurs, ou il était heureux malgré tout, pécheur adroit et gardien de la famille, il ne pouvait pas être plus contenté, ses capacités naturelles et son amour pour les siens lui ayant donné l’envie de devenir plus fort, il n’a jamais négligé son entraînement, et c’est avec un nouvel esprit, de nouveaux projets, qu’il arrive au village, prêt à vivre sa vie d’adulte, à la recherche de son idéal, le bonheur, but ultime de toute existence. il montrerais au monde que la paix, le calme et l'affection suffisent à l'humanité, même s'il devait pour cela cesser un moment de rêver en regardant les nuages, il fera ressentire cette quietude à tout le monde, c'est peut être comme ça que le mal viendra à disparaitre, même s'il doit un jour creuser son passé comme on creuse une tombe, rien ne pourra le faire changer d'avis: académie des ninjas, me voila!
Dernière modification par Kaisou le lun. 03 oct. 2005, 12:45, modifié 6 fois.
- Haoru Keitjiwa
- Jounin en herbe
- Messages : 1780
- Inscription : ven. 24 déc. 2004, 0:01
- Localisation : konoha no kuni
J'ai rapidement survolé le texte avant d'aller dormir pendant les cours.
Une faute qui revient souvent:
-la troisième personne du singulier des verbes en -er ne deviennent pas -ât au passé simple mais se termine tout simplement par -a
(il s'arrêta, il cria, il s'émerveilla devant une telle puissance (ça c'est une réaction de mes adversaires^^))
je regarderais plus sérieusement le texte ce soir.
Une faute qui revient souvent:
-la troisième personne du singulier des verbes en -er ne deviennent pas -ât au passé simple mais se termine tout simplement par -a
(il s'arrêta, il cria, il s'émerveilla devant une telle puissance (ça c'est une réaction de mes adversaires^^))
je regarderais plus sérieusement le texte ce soir.
- Kawaige Hikoukinshikuuiki
- Jounin Kawai Desuuuu
- Messages : 335
- Inscription : sam. 01 oct. 2005, 14:56
je suis recalé?
sinon faut le dire, je regarde les nuages pendant une heure, je passe l'essuie craie et je recommence tout à Z avec un autre rp, long de trois pages s'il le faut, ça me dérange pas vraiment en fait....
ou peut être tenterais-je juste pour la forme, histoire de voir si je peux faire mieux...
sinon faut le dire, je regarde les nuages pendant une heure, je passe l'essuie craie et je recommence tout à Z avec un autre rp, long de trois pages s'il le faut, ça me dérange pas vraiment en fait....
ou peut être tenterais-je juste pour la forme, histoire de voir si je peux faire mieux...
faut toujours être pret à recevoir ce qu'on demande xD
merci, les incoherences j'ai pas vu, les fautes, surment mais j'ai pas encore vu.... "
je vais faire ç, hum, j'ai moins cours que d'autres parce qu'il n'y a aucun dialogue, pour la simple et bonne raison qu'il ne se souvient pas vraiment de ce qui c'est passé, il a juste lu le carnet... mais bon je vais faire avec.
merci, les incoherences j'ai pas vu, les fautes, surment mais j'ai pas encore vu.... "
je vais faire ç, hum, j'ai moins cours que d'autres parce qu'il n'y a aucun dialogue, pour la simple et bonne raison qu'il ne se souvient pas vraiment de ce qui c'est passé, il a juste lu le carnet... mais bon je vais faire avec.
dommage c'est le moins interessant , je rectifierais des que possible (une vie irl, c'est fou ce que ça peut bouffer comme temps...)
merci
remarquez tout de même avec quelle presence d'esprit j'ai disposé de façon astucieuse de nombreuses virgules qui vous permettent de ne pas mourir de suffocation si par malheur vous tentiez de lire à voix haute ces quelques lignes.
merci
remarquez tout de même avec quelle presence d'esprit j'ai disposé de façon astucieuse de nombreuses virgules qui vous permettent de ne pas mourir de suffocation si par malheur vous tentiez de lire à voix haute ces quelques lignes.
- Haoru Keitjiwa
- Jounin en herbe
- Messages : 1780
- Inscription : ven. 24 déc. 2004, 0:01
- Localisation : konoha no kuni