ATTENTION: SPOIL! HARRY POTTER 6 EN ANGLAIS!

Message par **Uchiha Shaka** » jeu. 21 juil. 2005, 11:27

Et oui, tout est dans le titre et en tant que grand fan du sorcier à lunettes qui ressemble à ma photo sur ma carte d'identité (au point qu'une charmante douanière anglaise m'avais appelé par le doux nom du sorcier à cicatrice), j'ai récemment effectué un raid dans une fnac proche et me suis procuré le magnifique ouvrage.

J'avoue que je n'ai pas été décu, et j'aimerai partager mes impressions avec d'éventuels autres lecteurs...Ceux qui ne l'ont pas lus sont priés de fermer ce topic de suite (ou alors de ne pas se plaindre du spoil potentiel^^).

(j'ajouterai que non, je ne suis pas un gamin de 12 ans et que oui, Harry Potter rules \o/ )

Je veux TOUT savoir!!! Yspasse quoi hein hein hein?

Message par **Uchiha Shaka** » jeu. 21 juil. 2005, 11:50

eh eh, entre autre: Un mort, une traitrise, des amuuuurs contrariés, des brunes, des rousses, des...(euh non pardon ça c'est ce que je vois sur la plage

encore que...) , du quidditch, des zombies, des Hoxcruces, des Fourchelangues, des pensines, des Hyppogriffes, des Loups-Garous, et entre 400 et 450 pages dans la langue de molière

edit: honte sur moi, c'est la langue de Sheakspeare

mais en fait vu que je cherche à pousser les gens à le lire je vais pas raconter l'histoire à ceux qui l'ont pas lu (ou alors, si vraiment vous me demander gentiment

...).

Message par **Sephy** » jeu. 21 juil. 2005, 12:06

[OMG ! Skittle Strikes Back !!!]

Pour ma part faut que j'aille l'acheter, j'ai pas encore eu le temps cette semaine et je suis blasé T______T ...

Message par **Uchiha Shaka** » jeu. 21 juil. 2005, 12:12

[may i remenber you that skittle are little candies, of all flavours and all colours...i'm a Squirell affraid that i'm not that good to eat...]

Personnellement je le déconseille au dépressif, c'est tout triste à la fin

...

Raaaaaaaaah mais racoooooooooooooooonteeeeee
*deteste le suspense ><

Message par **Uchiha Shaka** » jeu. 21 juil. 2005, 12:27

bah j'vais pas vous dire l'histoire, vous liriez pas le livre en suite

par contre je peux déjà te dire un des couples qui se formera au cour du livre (shaka, le courrier du coeur...) Rémus Lupin-Tonks!

également, la boutique des frères Weasley se porte comme un charme^^

mais vous aurez rien d'autre

lisez le donc, bande de fainéant!

Message par **Sephy** » jeu. 21 juil. 2005, 13:00

Uchiha Shaka a écrit : bah j'vais pas vous dire l'histoire, vous liriez pas le livre en suite par contre je peux déjà te dire un des couples qui se formera au cour du livre (shaka, le courrier du coeur...) Rémus Lupin-Tonks!

également, la boutique des frères Weasley se porte comme un charme^^

mais vous aurez rien d'autre lisez le donc, bande de fainéant!

MDR Rémus et Nymphorada ... Je m'y attends vraiment pas, j'imagine que Rowling a dû faire un scénar béton sur ce point là ...

Au fait petit Uchiha, t'as un combat où il faut poster mon cher ...

FAUT QUE JE ME L'ACHETE !!! RAH SI J'ETAIS PAS OBLIGE DE GARDER MA NIECE X_____X ...

[I'll never die ! Because Squirel Is Invincible]

euh...c'est qui nymphorada????

Nymphadora Tonks, c'est pas un membre de l'Ordre du Phénix ?

Pour les curieux, et pour donner envie de vous précipiter dans toute bonne librairie qui se respecte pour acquérir le dernier tome, voilà le début (enfin j'crois, c'est peut-être un fake) du bouquin en question.

Chapter 1: The Other Minister.

It was nearing midnight and the Prime Minister was sitting alone in his office, reading a long memo that was slipping through his brain without leaving the slightest trace of meaning behind. He was waiting for a call from the President of a far distant country, and between wondering when the wretched man would telephone, and trying to suppress unpleasant memories of what had been a very long, tiring, and difficult week, there was not much space in his head for anything else. The more he attempted to focus on the print on the page before him, the more clearly the Prime Minister could see the gloating face of one of his political opponents. This particular opponent had appeared on the news that very day, not only to enumerate all the terrible things that had happened in the last week (as though anyone needed reminding) but also to explain why each and every one of them was the government's fault.
The Prime Minister's pulse quickened at the very thought of these accusations, for they were neither fair nor true. How on earth was his government supposed to have stopped that bridge collapsing? It was outrageous for anybody to suggest that they were not spending enough on bridges. The bridge was fewer than ten years old, and the best experts were at a loss to explain why it had snapped cleanly in two, sending a dozen cars into the watery depths of the river below. And how dare anyone suggest that it was lack of policemen that had resulted in those two very nasty and well-publicized murders? Or that the government should have somehow foreseen the freak hurricane in the West Country that had caused so much damage to both people and property? And was it his fault that one of his Junior Ministers, Herbert Chorley, had chosen this week to act so peculiarly that he was now going to be spending a lot more time with his family?
"A grim mood has gripped the country," the opponent had concluded, barely concealing his own broad grin.
And unfortunately, this was perfectly true. The Prime Minister felt it himself; people really did seem more miserable than usual. Even the weather was dismal; all this chilly mist in the middle of July... It wasn't right, it wasn't normal...
He turned over the second page of the memo, saw how much longer it went on, and gave it up as a bad job. Stretching his arms above his head he looked around his office mournfully. It was a handsome room, with a fine marble fireplace facing the long sash windows, firmly closed against the unseasonable chill. With a slight shiver, the Prime Minister got up and moved over to the window, looking out at the thin mist that was pressing itself against the glass. It was then, as he stood with his back to the room, that he heard a soft cough behind him.
He froze, nose to nose with his own scared-looking reflection in the dark glass. He knew that cough. He had heard it before. He turned very slowly to face the empty room. : ¦
"Hello?" he said, trying to sound braver than he felt.
For a brief moment he allowed himself the impossible hope that nobody would answer him. However, a voice responded at once, a crisp, decisive voice that sounded as though it were reading a prepared statement. It was coming -- as the Prime Minister had known at the first cough -- from the froglike little man wearing a long silver wig who was depicted in a small, dirty oil painting in the far corner of the room.
"To the Prime Minister of Muggles. Urgent we meet. Kindly respond immediately. Sincerely, Fudge."
The man in the painting looked inquiringly at the Prime Minister.
"Er," said the Prime Minister, "listen... Its not a very good time for me... I'm waiting for a telephone call, you see... from the President of--"
"That can be rearranged," said the portrait at once. The Prime Minister's heart sank. He had been afraid of that.
"But I really was rather hoping to speak--"
"We shall arrange for the President to forget to call. He will telephone tomorrow night instead," said the little man. "Kindly respond immediately to Mr. Fudge."
"I... oh ... very well," said the Prime Minister weakly. "Yes, I'll see Fudge."

Yushi Thakaona · Message par **Yushi Thakaona** » jeu. 21 juil. 2005, 18:47

Il est génial, je l'ai devorer en une nuit ! C'est vrai que la fin est plutît surprenante voir même triste

racoooooooooooooooooooooonte >_< par mp!! mais raconte:!!!!

Anonymous · Message par **Anonymous** » ven. 22 juil. 2005, 11:16

Je peux le trouver en chinois, mais euuh... Je pigerais trop rien -_-"

sichuan shikai · Message par **sichuan shikai** » ven. 22 juil. 2005, 11:51

Quand j'ai vu le topic, mon doigts a cliquer avant que je finisse de le lire... Je me suis dit: "allez on y va" Et je veux savoir: c'est quoi les hoxcru.... je sais-plus-quoi?

EDIT: j'ai un deal pour vous: vous mettez tous le livre en anglais, et moi sur google je traduis en français: ça donne ça: (j'ai pas eu le temps de lire)

Chapitre 1: L'Autre Ministre. Il s'approchait du minuit et le premier ministre seul s'asseyait dans son bureau, lisant une longue note qui glissait par son cerveau sans laisser la plus légère trace de la signification derrière. Il attendait un appel du président d'un pays loin éloigné, et entre se demander quand l'homme misérable téléphonerait, et essayant de supprimer les mémoires désagréables de ce qui avaient été très des longues, fatiguant, et semaine difficile, là n'était pas beaucoup d'espace dans sa tête pour toute autre chose. Plus qu'il essayait de se concentrer sur la copie à la page avant lui, plus le premier plus clair ministre pourrait voir le visage de se réjouir d'un de ses adversaires politiques. Cet adversaire particulier avait été évident sur les nouvelles que très jour, pour énumérer non seulement toutes les choses terribles qui s'étaient produites en semaine dernière (comme si n'importe qui rappel nécessaire) mais pour expliquer également pourquoi chaque un d'elles était le défaut du gouvernement. L'impulsion du premier ministre s'est activée à la pensée même de ces accusations, parce que elles n'étaient ni justes ni vraies. Comment diable son gouvernement a-t-il été censé avoir arrêté cet s'effondrer de pont? Il était indigne que quiconque suggère qu'ils n'aient pas dépensé assez sur des ponts. Le pont était moins de dix ans de , et les meilleurs experts étaient à une perte pour expliquer pourquoi elle s'était cassée proprement dans deux, envoyant les voitures une douzaine dans les profondeurs aqueuses du fleuve ci-dessous. Et comment le défi n'importe qui suggèrent-ils qu'il ait été manque de policiers qu'avaient eus comme conséquence ces deux les meurtres très méchants et bien-donnés de la publicité? Ou que le gouvernement devrait avoir prévu de façon ou d'autre l'ouragan anormal dans le pays occidental qui avait endommagé tellement les gens et la propriété? Et était-ce son défaut qu'un de ses ministres juniors, Herbert Chorley, avait choisi cette semaine pour agir tellement singulièrement qu'il allait maintenant passer beaucoup plus le temps avec sa famille? "une humeur sinistre a saisi le pays," l'adversaire avait conclu, à peine cachant sa propre large grimace. Et malheureusement, c'était parfaitement vrai. Le premier ministre l'a senti lui-même; les gens vraiment ont semblé plus malheureux qu'habituels. Même le temps était morne; toute cette brume fraîche au milieu de juillet... Il n'était pas exact, il n'était pas normal... Il a retourné la deuxième page de la note, a vu combien de plus long il a continué, et l'a donné vers le haut comme mauvais travail. Étirant ses bras au-dessus de sa tête il a regardé autour de son bureau mournfully. C'était une salle belle, avec une cheminée de marbre d'amende faisant face aux longues fenêtres de sash, fermement fermées contre le froid unseasonable. Avec un léger frisson, le premier ministre s'est levé et s'est déplacé plus d'à la fenêtre, regardant dehors la brume mince qui se serrait contre le verre. Elle était alors, car il s'est tenu avec le sien de nouveau à la salle, qu'il a entendu une toux douce derrière lui. Il a gelé, nez pour flairer avec sa propre réflexion effrayer-regardante dans le verre foncé. Il a su cette toux. Il l'avait entendue avant. Il a tourné très lentement pour faire face à la salle vide: ¦ "bonjour?" il a dit, essayant de retentir plus courageux qu'il s'est senti. Pendant un bref moment il s'est permis l'espoir impossible que personne ne lui répondrait. Cependant, une voix a répondu immédiatement, une voix croquante et décisive qui a retenti comme s'elle lisaient un rapport préparé. Elle venait -- car le premier ministre avait su à la première toux -- du petit homme de froglike portant une longue perruque argentée qui a été dépeinte dans une petite, sale peinture à l'huile dans le coin lointain de la salle. "au premier ministre de Muggles. Pressant nous nous réunissons. Nous vous saurions gré de répondre immédiatement. Sincèrement, Fondant." L'homme dans la peinture a regardé inquiringly le premier ministre. "heu," a dit le premier ministre, "écoutez... Son pas un temps très bon pour moi... J'attends un appel téléphonique, vous vois... du président du --"" qui peut être réarrangé," ai dit le portrait immédiatement. Le coeur du premier ministre est descendu. Il avait eu peur de celui. "mais je vraiment espérais plutôt parler le --"" que nous nous chargerons pour que le président oublie pour appeler. Il téléphonera demain soir à la place, "a dit le petit homme. "répondez svp immédiatement à M. Fudge." "I... OH... très bien," a indiqué le premier ministre faiblement. "oui, je verrai le fondant."

Message par **Sephy** » ven. 22 juil. 2005, 12:27

JE L'AI !!! JE L'AI !!! JE L'AI !!!

Bon bah vous devinez que je vais geeker le bouquin ... Bonne chance

...