Il n'était pas mort...

Faut bien vivre quelque part et se détendre... ^-^

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Tenshi Kuroi
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Il n'était pas mort...

Message par Tenshi Kuroi »

Non il n'était pas mort, le démon aux yeux de sang qui avait manifestement disparut de la surface de la Terre. L'homme qui le monde croyait mort ne l'était pas. Comment pouvait ont réussir à le tuer, Tenshi Kuroi: Maître des déserteurs, fondateur du Kuran ? 2 longues années sans nouvelles, deux longues années à fuir les Mayoi afin de s'entrainer, d'élaborer de nouvelles techniques repousser les limites de la vie, fonder des horreurs. Tuer de nouveau tuer. Comment avant, de ressentir la vie qui s'écoule qui disparait du corps. Cette salvatrice sensation il ne l'éprouvait plus depuis longtemps, trop longtemps. La lune était haute se voilait de noir, comme un deuil annoncé.

Une mort programmée. Le démon était de retour et il tenait à le faire savoir. Désormais plus rien ne le retenait, rien ne pourrait plus jamais l'arrêter: Il l'était. Plus puissant qu' Inaro, c'était l'évidence même. Inaro n'était plus rien qu'un pion. Tenshi l'avait compris. Il trônait sur son loup le visage deformé par une haine et une fureur qui n'avait rien d'humain, le sanin n'avait plus rien d'humain. On retrouvait ce sourire sadique dans la gueule de son loup enragé, lui aussi trop longtemps privé de sang, de vie. La nuit était de plus en plus noire, les nuages partaient se cacher comme pour mieux être à l'abris de la futur tempête, le futur carnage. Un spectacle sanglant qui dégraderait les 10 plaies d'Egypthe à de douteuses plainsanteries.

Il ignorait encore si il allait rejoindre Shinobi Kuran, touts ces ridicules pions sur l'échiquier du sanin. Ces quelques élements dans une vie dérisoire. En avait il seulement envi ? La colère déformait ses traits. Ses deux katanas luisaient d'une légère lumière inquétante. Dans le calme de la nuit sifflait l'aigle du démon qui lui aussi à sa façon annoncait le retour fraccasant de son maître. Du sang encore et toujours. Qu'elle raison de vivre plus idéaliste que d'ôter la vie pour aimer. Qu'elle délicieuse sensation que de tuer pour être vivant ? Le déserteur craignait à présent deux choses, deux pièces sur l'échiquier. Le roi et la reine de pique: Jurôjin et son amante. Ces deux ninjas surpuissants. D'après les rumeurs la demoiselle avait massacrer des milliers de ninjas de part le monde. Peut être autant que Tenshi. L'ange noir.

Il était à présent tant de passer à l'action. Dans un cri apocalyptique le loup s'élanca à travers la forêt en direction de :Suna, son ancien village. Cet endroit si merveilleux, où il avait rêver, même aimer. Qu'elle fin amère pour le diable. Or un village de la banlieu de Suna se trouvait sur son chemin. De toute sa puissance et son imposante stature il gagna le milieu du village. Un ninja tenta de l'intérpeller. En un court instant, une fraction de seconde le ninja s'écroula sur le sol dans une marre de sang, le pauvre homme gisait découper tandis qu'un des katanas de Tenshi luisait à présent de liquide rouge. Avec cette impression diabolique il porta l'arme à sa bouche et il lécha le lame blanche. Cependant le cri du ninja avait ammeuté des chiens de guerre. Le sanin émit un léger rire parfaitement malsain. Il déscendit de son loup, sans qu'aucun de ses adversaire n'ose bouger. Après avoir ésquisser un sourire de démant il se rua dans la bataille. Il ésquiva sans aucun problèmes les shurikens et autres projectiles en sa direction ainsi que les coups de No dachi qui fusaient de toute parts en sa direction. Puis. Il s'arrête. A une vitesse qui n'avait rien d'humain il composa une vingtaine de signe, puis il hurla d'une voix de cadavre:

" Katon, feu noir "

Une gerbe de flamme noir vomis de la bouche du ninja se forma comme une imposante boule de feu, d'une taille titanesque. Le nuage de feu chargea les ninjas aussi rapidement que l'éclair et sans sommation ils s'écroulèrent sur place dans d'abominable cris de douleurs tandis que le rire de Tenshi se faisait entendre plus noir que jamais. La lune devint rouge. Il fonça vers une femme qui passait par là. Il là souleva d'une main compressant sa gorge de ses mains de fer. Il lui arracha la pomme d'aden ainsi que les deux bras sans l'ombre d'un remord. Puis il murmura d'une voix à peine audible la même technique. Et des trombes de feu noir enflammèrent les habitations tuant au passage les occupants. Il egorga également plusieurs civils qui avait eu la malchance de vivre. S'imbibant de leur sang.

En moins de 5 minutes le village n'existait plus. Et Tenshi reprit son chemin vers le village. Il arriva aux portes de suna. Et il executa froidement toujours le coeur froid comme la glaçe l'escouade d'ambu qui gardait la porte sud. Cette porte: Là revoir lui faisait un choc, combien de fois était il partit en mission avec Inaro, son ami ? Un remord déchira l'éspace d'un instant le monstre. Mais il lui fallait beaucoup plus. Il n'était plus du genre à croire à l'amitié et à ces autres utopies sans intêret. Seul la mort et le pouvoir n'avaient de sens dans l'esprit tourmenté de Tenshi. Il entra dans le village en courant ses deux katanas à la main. Il était démoniaque. Courant à travers les rues il découpa quiconque tombait sous sa main.

De nombreuses femmes et enfants y passèrent. Lorsque tout à coup un coup d'épée large le ramene à la réaliter. Une autre escouade d'ambu était là. Le combat fut rude. Tenshi fut ouvert au bras. Mais il composa une ruée de signe à la vitesse de l'éclair et hurla.

" le vent de l'enfer "

Une épais vent de couleur ocre naquit autours du déserteurs, ce vent soufflait à une telle intensité qu'il était impossible à ésquiver. L'escouade mourut ne pouvait résister à ce flot de puissance. Puis le sanin continua son carnage. Il croisa un groupe de genin.

" Vaillants ninja de Suna. Vous me rapellez Inaro, il ne peut y avoir plusieurs Inaro. "

La puissance de sa voix s'accuantuait au fur et à mesure qu'il parlait. Puis il avança vers les 3 genins et trancha les deux jambes du premier qui s'écroula dans des petits cris de douleurs impuissante. Le deuxième voulut fuir, mais il était déja trop tard. Un coup de katana transpercat le ninja. Puis un autre, puis encore. Au total une cinquataine de katanas frappèrent de toute part le pauvre gamin âgé d'à peine 12 ans. Tenshi attacha alors le cadavre mutilé à un lampadaire. Le dernier lui n'arrivait pas à bouger, se contentant d'implorer la pitié du déserteur. Il n'en avait cure.

" La mort et le sang sont le quotidien du ninja. "

Lui dit il d'une voix presque amoureuse. Puis il composa des dizaines de signes il il dit d'une voix neutre, presque désintéresée. " Rasengan" Une boule d'un mètre apparut dans la main du ninja et il frappa le genin qui s'envola réduisant à néant une vitrine du centre ville. Le loup du démon n'avait pas perdus son temps lui aussi. Dans une crèche ninja il avait dépacer une bande d'enfants qui dormaient. Les cadavres jonchaient le sol de toute part dans le centre ville de Suna. Comme si un ouragan était passé. Le sang avait trouvé sa place. Ce n'était que l'avant goût du carnage. Le genins aux jambes coupés souffrait toujours au sol. Tenshi le posa sur un remblai et il dépossa sur son torse un morceau de rouleau ouvert. Celui-ci était programmé pour exploser dans quelques heures et dessus était inscrit.
Tenshi Kuroi, ange noir de Suna... Mes amitiés à Kazekage Sama
Tenshi acheva une femme qui implorait au sol avant de disparaitre. Disparaitre comme si rien ne s'était passé.

[ Bon voilà, c'est plus le joueur de Tenshi mais un autre, je rejoue notre sanin adoré quelques mois, vous comprendrez plus tard pourquoi. J'éspère que ce message vous à plus. Je vous annonce qu'il est libre et ce serait bien que touts les joueurs de Suna y répondent, un petit scénar collectif. Vus le massacre ^^ Enfin voilà répondez n'ayez pas peur il est partit :) ]
votre nom, votre rang et votre nom de village.
Hitashiro KITAKA
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Message par Hitashiro KITAKA »

Cette nuit là commença très calmement, Hitashiro était rentrer de l'académie et s'exerçait encore sur son chakra. Sur les conseil de sa tante, il s'entreînait à le maintenir le plus longtemps possible en quantité fixe sur certaine partie de son corps. Pour une fois, la chaleur de la nuit n'était pas étouffante, mais elle avait un petit quelque chose de réconfortant. Pourtant, Hitashiro avait du mal à trouver le sommeil. D'étranges effluves venues de loins le dérangeaient. Dans ses songes, il entendait des cris de déséspoire et vit un démons.

D'un coups, le toit de la nurserie explosa, un visage de démon, sa tante entrain de lui hurler des choses qu'il n'entendait pas. Puis, l'horreur, une pluie de kunais qui lui fonce dessus, sa tante qui s'interpose, une grande partie des projectiles partent dans tous les sens, certains finissant leur course dans le corps la ninja et ce malgrés tous ses efforts. Elle tombe. Elle tent de se relever, pronce quelques paroles.

"Les enfants, il faut protéger les enfants... toi aussi, pars, va-t'en, va trouver les renforts...."

Elle cracha du sang, puis son visage se transforma, comme si une haine invincible s'empara d'elle, elle se releva. Elle fit face démon lança une série de signe. Une gigantèsque tempête de sable s'abattit sur le démon. Le monstre sembla gêné un instant avant finalement se jetter tête la première sur la femme qui lui tenait tête. C'est le moment qu'elle choisit pour lancer plusieurs shurikens dont la plus part avaent des morceaux de papiers attachés. Certains atteignirent leurs buts et explosèrent arrachant un cri de rage plus que de douleurs à la bête immense qui se dressait là. C'est alors qu'elle décida que son jeu n'était plus drôle et son immense gueule se referma sa la prauvre femme dont le tronc fut sectionné. Hitashiro qui ne pouvait à peine bouger, il vivait un enfer... et sa tante arriva vers lui. Enfin, la partie haute de son corps se retrouva projettée sur lui. il se retrouva couvert du sang de sa tante. Tout ça était irréelle, ce n'était pas possible, où qu'il regardait, règnait mort, désordre et chaos... et là, dans un dernier effort, sa tante lui dit quelques mots.

"C'est fini, tout est perdu........... une dernière chance....... lance moi vers sa gueule, c'est..... notre seule chance...... de toute... façon...je suis... déjà morte..."

Devant l'horreur, le jeune garçon resta interdit. Il aurait voulu dire tant de choses, s'excuser pour toutes les bêtises qu'il avait faites et sûrement d'autres qu'il n'avait pas faites. Mais rien ne sortit. Alors les Yeux embrumés, il prit le corps inanimé de sa tante et comme elle le lui avait demandé, il l'envoya vers le monstre... Celui-ci attrappa les reste de de la femme en plein vol. Quelque instant plus tard, la gueule de la bête explosa, puis partit aussi soudainement qu'elle était venue.... Tout redevint extrêment calme. La nuit reprit le dessus et hitashiro se réveilla en sueur.

Sa tante était à côté de lui. Il la serra fort contre lui. Sa mère était rentrée un peu après alertée par un des cris dus à l'abominable cauchemar. Il mit quelques secondes à se rendre à l'évidence : sa tante était en vie et entière, la nurserie était toujours en état et rien n'avait bougé. L'air était agréable et la nuit claire. Une nuit parfaite sans ce stupide rêve. Le jeune homme partit dans dans un fou rire, les nerfs venait de lâcher. Alors qu'il s'était jurer de ne pas craquer, le rire s'étouffa et laissa place à une crise de sanglot. Sa tante et sa mère, sa seule famille était là et c'est tout ce qui comptait.

C'est durant ce moment où tous les trois partageaient quelques instants prviligiés que l'alerte fut donné. Le village était attaqué à la porte du village qui se trouvait à côté de la nurserie. Hotashiro revit toute la scène du carnage à grande vitesse. A cette vision venait s'ajouter les images de l'attaque qu'il avait mené pour venger son père, un beau fiasco, les images des reste de la bataille entre le groupe de son père et celui des rebelles se mélangeaient aux images apocalyptiques de sa nuit en enfer. S'en fut trop, contre tout attente, il se précipita dehors pour découvrir un spectacle encore pire. La ville était à feu et à sang.
Un homme au regard dément faisait un carnage au milieu d'une foule de gens, femmes, enfants, qui ne cherchaient qu'à s'enfuir. Un groupe de ninja se jetta sur l'assaillant le blessant apparement au bras. Finalement, l'homme donna l'impression que ses mains se multipliaient avec la vitesse et Hitashiro vit un nuage ocre apparaître autour des valeurs ninja de Suna qui perrirent tous sans exption.

Pendant ce temps malgrés les injonctions de sa mère, Le jeune homme se rua vers l'inconnue, les yeux complètement inondés. Son salut ne fut rendu que parce qu'une fillette se trouva entre ses jambes. C'est à ce moment que les ninjas rendirent leur dernier souffle. La jeune fille tenait La main de sa mère, celleci était toujour vivante malgrés d'importantes blessures au dos et aux jambes, qui la rendait incapable de marcher. Hitashiro ne put résister aux appels de la jeune fille. C'est ainsi qu'il quitta pour un temps le théâtre des opérations.

Il porta la mère de la fillette dans les ruines d'une maison qui semblaient encore tenir et où les flammes étaient absentes. Il s'apperçut que certaines personnes l'avaient suivit en enmenant d'autres blessés plus où moins grave. Certains commençaient à parler :

"C'est l'ange noir, c'est lui, j'en suis sur!! Il revient se venger c'est la fin...
- Tu dit n'importe quoi... Il est mort...
- Et comment t'explique qu'il est ici s'ilest mort..."


La dispute commençait à dégénérer. Certains blessés suppliant se prenaient des coups supplémentaires, les protagonistes tombaient sur des malheureux au sol, Hitashiro était dans un état de rage, non seulement il devait encore se cacher mais ces braillards lui tapaient sur le système. Il envoya son poing dans la figure de deux personnes se battant avant de partir en courant vers la nurserie. Ces coups de poing eurent comme effet de stopper net la dispute, toutes les personnes ne s'attendant pas à ça en particulier de la part d'un jeune gaçon.

Lorsqu'il arriva devant la nurserie, il s'arrêta net. Le toit était en partie détruit et un immanse loup se tenait dans la nurserie. La tante d'Hitashiro tentait de de faire diversion tendit que sa mère faisait sortir les enfants. Hitashiro ne comprit pas tout de suite pourquoi sa mère cachait les yeux des enfants qu'elle enmenait. La première chose à laquelle il pensa c'était sa tante Hitomi couper en deux... Il préférait mourir que de revivre ça. Il se lança vers le monstre. Il vit un des shurikens de son rêve avec une carte, la différence venait du ait que les carte n'était pas complètement collées.

Il se rapella que dans le magasin qu'il avait visité quelques temps auparavant, le vendeur lui avait expliqué que pour exploser il fallait coller les inscriptions sur quelque chose. Alors dans un geste déséspéré, il prit le projectile et le lança vers l'arrière train de l'animal. L'explosion ne fit pas grand domage mais le monstre ne sembla apprécier la plaisanterie et se retourna violement. C'est à ce moment que Hitomi lança une dernière attaque, elle grimpa sur le monstre pour l'attaquer directement depuis son dos.

Le loup, surprit dans un premier temps puis fou de rage et de douleur ce tourna et envoya un coups de tête à la jeune femme. Et puis au moment de l'achever, il se retourna et partit vers la sortie en emportant son maître. Le jeune garçon couru vers sa tante. Elle était étendu, sans vie, une large blessure niveau des côtes et du sang lui coulant de la tête. Il la cru morte juqu'au momeent où ses lèvres se mirent à bouger. Ensuite se fut sa main mais elle ne se releva pas.

La mère d'Histashiro arriva en courant pour voir comment allait sa soeur. au moment ou elle vit son fils , elle s'arrêta. Elle lui envoya une grande claque puis le pris dans ses bras incapable de dire un seul mot. Elle avait été tellement sur de l'avoir perdu, encore une fois. Mais les mots était de toute façon inutile, il avait très bien comprit les sentiments de sa mère et malgrés la douleur qui lui brulait la joue, il se jetta dans les bras de celle ci après quoi elle s'évanouit. Après quelques instants, il décidda qu'il fallait aller voir ce qui se passait. Il laissa les deux soeurs qui étaient partit dans l'inconscience.

Il arriva sur le lieu du carnage, seul quelques ninjas arriver en renfort bougeaient réellement. Le reste de la rue était comme frapper de stupeur et les survivants pouvant se déplacer n'étaient pas nombreux. Tous s'ocupèrent desblessé les plus gravement touchés. Hitashiro s'était porté volontaire pour secourir ceux qui avaient survécu. Il se rendit la où il avait abandonné les quelques personnes dans la ruine. Il entra avec un brin d'appréhention, il l'ai avaient laissé là sans autre forme de procès. Il retient sa respiration s'attendant à voir un monceau de cadavres... mais rien. Il soupira un grand coup avant de retourner à son inspection.

Il signala trois rescapés dont une petite fille avec une entaille lui barrant complètement le dos et qui ne devait sa survit qu'au sacrfice de sa mère qui gisait un peu plus loin coupée en deux. Il arriva devant un jeune genin dont les jambes avaient été coupées. Sur le torse du jeune ninja, il vit un morceau de papier marqué :
Tenshi Kuroi, ange noir de Suna... Mes amitiés à Kazekage Sama
Au moment où il voulut enlever le papier une main l'arrêta. Un des ninjas venu pour secourir les habitants se dressait derrière lui. Il envoya valser le jeune inconscient qui ne comprit rien du tout et qui s'apprêta à envoyer une ou deux phrases assassines lorsqu'il prit la parole.

"On a déjà assez de cadavres et autres blessés pour que tu viennent en rajouter.... pfff vraiment qu'est ce qu'on vous apprend à l'académie...."

Hitashiro allait répliqué mais rien ne lui viens finalement. C'est avec un certain regret qu'il continua sa recherche des survivant. Il arriva à la nurserie et ne put que contempler impuissant l'horreur qui c'était déroulée ici.... Il ne put même pas hurler la rage qui étreignait son coeur en voyant que certains des enfants en garde dans la maison de sa tante n'avaient pas échappé au massacre.

*Comment... Pourquoi.... qu'est ce qu'ils ont fait, c'est trop injuste. Il n'y a aucune raison de faire ça... Je ne comprend pas.*

Il finit par vomir puis s'éfondrer.

Il se réveilla dans un lit. Il avait les yeux qui piquaient et mit plusieurs seconde avant de voir que sa mère était assoupie sur ses genoux. A son réveil, elle commença à se réveiller. Tout allait bien, rien de tout cela n'était arrivé ce n'était qu'un autre de ces cauchemars. Sa tante n'avait rien et tout le monde allait bien, Il se mit à rigoler de ses propres frayeurs.... un démon, qui aurait pu croire ça, un démon avait attaquer le village de Suna avant repartir comme ça... ridicule. Il se leva, il était dans sa chambre et partit vers la cuisine. En bas, un épais brouillard gènait la visibilité. Il se frotta les yeux et mit quelques secondes à réaliser qu'il n'était pas chez sa tante, la femme près de son lit était infirmière... le cauchemar était bien réel. Il demanda des nouvelles de sa tante, on lui dit que ses blessures sont graves mais sa vie n'était pas en danger. Après quoi, les yeux pleins de larmes, il retomba dans un sommeil sans rêve dont il aurait voulu ne jamais se réveiller mais la vie devait reprendre le cours normale des choses...

[hrp] désolé si c'est un peu long si y a des choses à changer dites le moi ... bon rp :P ^^'[/hrp]
Hitashiro KITAKA, chûnin de Suna
en mission pour suna


il faut vivre pour ne rien regretter
Akira Tasogare

Message par Akira Tasogare »

Le bruit d’un explosion, le crépitement des flammes, tout cela couvert pas un bruit encore plus sinistre, encore plus poignant, les cris des agonisant, les dernière malédiction lancé part des morts plus que part des vivant. Ce soit le sang avait bien était au rendez vous et l’ange noir était passé.

Les cris déchiraient la nuit, Akira se leva en sursaut, son regard se déplaça dans sa chambre, vide. Sa mère était déjà partie. La gamine se leva et s’habilla, l’agitation extérieure n’avait rein de normal, quand elle sortie, elle vit sa tante sur le parvit de la maison, Akira la regarda avec un regard plein de question, sa tante, blanche répondit :

« L’ange noir est venu, apportant avec lui son lot de mort. »

Akira se précipita dehors, toute sa famille devait déjà être sur place, son père, son oncle et son grand père pour soigner les agonisants …sa mère pour tenter de poursuivre le meurtrier. La gamine avait certes l’habitude de la vu du sang mais on ne l’avait jamais préparé au spectacle du centre vill, elle ne se douter pas elle-même de ce qui allait se trouver à cet endroit.
Vivant, mort vivant, et mort gisaient sur le sol, un homme sans jambe tandis vers la petite un regard désaperé, il ne parlait pas …c’était une plainte qui sortais de sa bouche, la douleur empêchaient ce qui restait d’articuler, le son était une sorte de sifflement à la foie craint, ses yeux était exorbité de douleur aussi bien que de terreur. Akira sentit tout son corps se bloquer, un spasme la parcourut devant ce qui la suppliait, quelques chose plus proche de la vie que de la morts. La gamine détourna le regard pour fuir se cauchemar mais elle tomba sur un cadavre, celui-ci avait était éventré d’un coup net et précis, il était tel un poisson exposant ses organes à la vue de tous. Elle tourna de nouveau la tête, cette fois il y avait les reste d’un corps calciné, un enfant pleurait sur qui fut sa mère…à présent, elle n’avait lus forme humaine et, comme tous cette endroit, dégageait une odeur de carbone, de brûler.

Akira réalisa que le feu était encore là, la fumée dégageait un large panache noir, un brouillard se rependait sur la scène, les quelques vivants toussaient sous les effet du nuages qui se répandait. Akira avait aussi la gorge qui piquait, elle réalisa qu’elle ne pouvait fuir, tout son corps se mit à tremblait en spasme nerveux, elle n’avait nulle part ou s’accrocher, chaque fois que son regard se posait quelques part, c’était pour tomber sur un scène d’horreur. Ses nerfs lâchèrent, ses jambes ne pouvaient plus la porter, elle tomba à genoux et se recroquevilla sur elle même. La vue, l’odeur, le son tout de cette scène la répugnait. Ce n’était pas l’apocalypse mais une scène digne d’en être un chapitre. Soudain parmi tout les cris d’agonie, parmi ses montagnes de mort et de blessé grave un voix familière retentit, une voix qui la ramenait à la réalité certes, mais qui lu donnait du courage, une voix qui donnait des ordres formelle, mais une voix avant toute chose là pour soigner des vies.

C’était son père, instinctivement, elle se dirigea vers lui, l’homme écarquilla les yeux se surprise quand il la vit ici, elle était trop jeune pour supporter une tel scène, de plus elle n’avait pas de chiffon sur le visage pour se protéger. L’homme prit un des chiffons humides apportés par l’équipe médicale et le noua pour protéger sa fille, cependant il lui cria dessus, il avait peur pour elle:

« Que fais tu là, repars tout de suite à la maison. »

La vue de la fille se fit plus net et la proximité de son père lui avait redonné du courage. Elle se souvint de ce qu’elle voulait faire, elle ne devait pas fuir maintenant sinon elle se rendrait indigne de son rêve, celui de devenir médecin.

« Non, je reste pour t’aider.»

Un sourire amère se traça sur le visage du père mais personne ne pouvait le voir, il savait q’il ne pourrait la convaincre du contraire. Il lui donna l’ordre tout d’abord d’aller chercher du matériel supplémentaire. Il voulait éloigner le plus possible sa fille de cet endroit, il savait qu’elle n’avait pas vue le pire et n’avait pas vue l’ampleur du carnage. Avec son regard d’enfant elle ne le supporterait pas et en tant que parent son devoir était de la protéger, y compris d’elle-même.

La jeune fille quitta le souffre, la douleur et la mort pour chercher le matèriel. Elle alla à l’hôpital mais on refusa de lui passait quoique ce soit, personne ne la croyait et tous était nerveux et occupe. Akira ne leur en voulais pas, elle les comprenais même, son père tait dans le même état que. Sans perdre une minute de plus elle se précipita chez elle. Là elle vit tout les nécessaire de soin sortie est prêt à être emporté…et sa tante changée.

« Akira, aide moi à apporter tout ça à ton père, ton grand père et mon mari, ils vont en avoir besoin »

La gamine acquiesça, sa tante était vraiment quelqu’un de bien, elle cherchait à les aider même si elle n’était pas médecin. Les deux femmes portèrent le matériel au lieu du massacre, devant un tel spectacle la tante respira un grand coup et fit preuve d’un calme et d’un sang froid des plus remarquable. Devant l’air étonné d’Akira elle lui expliqua :

« Si tu es énervée ou stressée tu ne pourras venir en aide à ces gens, ils n’ont pas besoin que de soin, ils ont également besoin de calme de sérénité. »

Akira admirait sa tante, ils parvinrent à retrouver toute la famille qui s’était regroupé, apparemment les soignant c’était organisait en groupe. Toute la troupe fut soulagée de voir ce qu’amenée les deux femmes. La tante se proposa pour soigner les blessés les moins graves, elle n’avait pas fait d’étude de médecin mais savait effectuer un bandage, recoudre des plait, les nettoyer. Cette proposition fut acceptée avec joie, car les médecins n’auraient plus qu’à s’occuper des cas les plus grave.
La gamine s’en demandait l’avis de personne se mit prêt de sa tante et surpassa l’horreur que lui inspirait la scène pour l’aider, il faut dire qu’elle était entourée de gens merveilleux qui lui insuffler la force qu’il lui manquait. Son père jeta quand même un regard noir sur sa fille pour lui faire signe de partir. Sa tante promis à son père de la protéger mais le médecin était tellement surchargé qu'il ne pouvait s'occuper plus longtemps de sa fille , il y avait des vie à sauvé...
La gamine se calma car elle comprit que les blessés légers avaient plus besoin de parole que de soin. Un moment elle vit un petit garçon venir avec une entaille profonde à la main, mais la plus grave avait été celle faite au cœur…il avait perdue sa sœur et sa mère était portée disparue, Akira le recueillit dans ses bras pour lui offrir quelques secondes de réconfort dans ce monde d’horreur, quelques secondes de paix et de protection. L’enfant finit même pas s’endormir dans les bras de la gamin qui le mis délicatement dans un brancard pour qu’il soit conduis à l’hôpital, pas pour être soigné mais pour avoir tout simplement un endroit où dormir.

Les larmes venantes, elle s’essuya les yeux sous le regard attendri de sa tante et poursuivit le travail, apportant soin et réconfort quand elle le pouvait. Derrière elle on opérer les blessé qui ne pouvait être transporté à l’hôpital, on soignait les blessé grave ou on les envoyé à des équipe qui étaient dans des locaux pour les soigner dans de meilleurs conditions
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San'Zoku Hakai
Jûnin-Ne l'attendez pas, il dort encore!
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Message par San'Zoku Hakai »

Hakai se baladait dans les dunes déjà bien éloignées de Suna, marchant sous le regard protecteur de la nuit, ayant pour seuls guides les étoiles, à Suna les nuits était froide l’atmosphère glaciale et silencieuse, Hakai était perdu dans ses pensées ayant comme compagnon unique le bruit du vent. Le vent, ce souffle éthéré, apportant bonnes et mauvaises nouvelles, calme ou déchaîné, un élément à la multiple facette.

Hakai vagabondait dans cet océan de sable, les yeux perdus dans cette immense étendu de vacuité, mais les prémices d’un événement sans précédent le tirèrent de son esprit, revenant à la réalité Hakai sentit les vents du sud s’emplirent d’une odeur âcre et irritante. Cela fit revenir l’histoire passé du jeune Chunin à la surface, il avait déjà sentit cette odeur nauséabonde, c’était celle de la mort des chairs et des maisons brûlées, du chaos, de la désolation, de la tristesse et du désespoir.

Hakai courut tel un dératé, il allait à une vitesse surhumaine, ne semblant pas ressentir la fatigue et ignorant même les douleurs aux côtes. Mais il était trop tard le petit village qu’il avait connu autrefois si paisible n’était plus qu’un horrible charnier et un tas de ruines. Le jeune homme chercha sans relâche les traces de quelquoncque survivant, son visage empreint d’une expression ou se mêlait tristesse et colère. Il ne trouva qu’une seule femme et celle-ci eut a peine le temps de prononcer ces mots avant que la flamme de vie que son frêle corps abritait ne s’éteigne à jamais :

« C’est la mort ! L’ange de la mort est venue pour se venger de nous !Il va tous nous tuer, rien ni personne ne peut l’arrêter !»

Hakai reposa la morte par terre avec la plus grande délicatesse, mais en se relevant son visage qui autrefois était partagé entre colère et tristesse venait laisser place un nouveau sentiment le plus terrible de tous : L haine.Les trait du visage du jeune homme qui en temps normal paraît si fin et si doux, était marquée de sillons qui montraient à quels points celui-ci était énervé et se bouche si fine était marqué d’un rictus presque inhumaine, une lueur de démence s’allumant dans ses yeux. Il courut encore plus vite que sa dernière cavalcade. Il arriva à Suna par la porte sud et la il n’en revint pas il avait suivi les traces d’un seul homme, et ce monstre de Tenshi avait massacré sans problème les anbus qui gardaient la porte.

*Tenshi… Ce monstre est devenu encore plus fort, je n’ai aucune chance de l’arrêter à mon niveau actuel, mais pour Suna la ville qui m’a sauvé d‘une mort certaine je dois tout faire pour au moins le retarder dans sa folie.*

Le visage du jeune homme sembla soudain se calmer et reprendre sa forme originelle, celle d’un visage calme et apaisé, empreint d’une sérénité absolue. Il dégaina son sabre et en même temps composa quelques signes de son autre main se retrouvant téléporté de l’autres côté de la porte. Il avança avec la plus grandes prudences dans les rues suivant les « traces » laissées par le Sanin déshonoré, il ignorait les appels au secours bien trop occupés à tenter de trouver le parcours de l’ange noir. Hakai arriva dans une rue déserte, suivit d’une femme devenu folle, celle-ci le devança, il voulut l’arrêter mais c’ était trop tard la femme venait de pénétrer dans une épaisse brume et l’on entendit ses cris d’agonie loin de son lieu de mort, le chunin composa une brève série de signes et murmura d’une voix cristalline :

« Futon, bourrasque divine»

Alors un vent violent sortit de la bouche du shinobi disperçant toutes traces de la fumée mortelle. Hakai vêtu d’un long manteau à capuche s’engouffra dans la ruelle ténèbreuse marchant au gré du carnage perpétré par celui qu’il avait plus jeune tenu pour idole. Il réapparut sur une place la où avait eu lieu l’apothéose du carnage. La totalité des maisons donnant sur la place et ses alentours étaient en ruine, des dizaines de corps de mort et de mourrant étaient là étalés sur le sol tels des déchets gisants dans un marre de sang, geignant d’une voix animale, implorant la grâce des dieux. Les survivants eux sortaient des maisons, pris de panique, horrifiés et traumatisés.Les plus jeunes eux restaient sur place comme envoûtés par ce maléfice.

Lui continua de rechercher le traître, mais il n’y avait plus aucune trace de lui. Cependant il aperçut dans la foule certain visage familier, ceux de deux de ces étudiants. La première fut Akira délivrant des soins avec une femme plus âgée et réconfortant un gamin en pleure, Hakai eut un pincement au cœur en se disant que tous ces enfants même si ils se montraient fort étaient traumatisés, et leur innocence et leur joie de vivre probablement réduite à néant.Le deuxième visage familier fut Hitashiro, ce jeune garçon toujours souriant, là affichait une impression de tristesse profond, les yeux emplis de larmes. Il se dirigeait vers les corps de trois genins sauvagement massacrés. Le chunin rejoint son élève, celui-ci allait se saisir d’un parchemin portant à signature de Tenshi, mais le jeune homme s’adressa à l’enfant sur un ton froid et direct :

"On a déjà assez de cadavres et autres blessés pour que tu viennes en rajouter.... pfff vraiment qu'est ce qu'on vous apprend à l'Académie...."

La dernière phrase servait à détourner l’attention du jeune homme, il partit sans poser de question, ne semblant même pas reconnaître son professeur. Le professeur lui envoya d’un coup de sabre le parchemin volé dans les airs, puis il incanta quelques signes et une langue de feu vint lécher le parchemin le faisant exploser dans un bruit sourd. Il détacha ensuite le corps de l’enfant mutilé du lampadaire et lui ferma les yeux de force.Hakai reposa le corps par terre au côté de ses amis et coéquipiers puis il marcha le long du mur, pour finalement arriver sur le toit et scruter l’horizon.

Il n’y avait plus une trace de l’ange de la mort, Hakai revit alors toute sa soirée, son errance dans les dunes, le couché du soleil, le calme du désert et puis enfin le village, Suna, le massacre du monstre.Et la tout dérailla, il s’écroula sur le sol et eu une nausée irrépressible, il vomit, dans son esprit tout était confus, les instant présents, passé et même des potentialités pour son futur se mélangeaient, il voyait le massacre de son village se mélanger avec celui-là, sa rencontre avec Niji et la première fois où il vu Tenshi, tout se mélangeait dans un flot d’horreur et de gaieté.

Il maudit le monde, la vie qui ne semblait guère vouloir le rendre heureux lui qui avait tant souffert, et enduré mille maux déjà. Il s’assit sur le rebord du toit, dos à la place tentant d’oublier jusqu’à son existence. Le massacre était loin d’être fini…
San'Zoku Hakai, Chunin de Suna
L'arbre de ma famille est mort et mes racines depuis longtemps disparues.
Mieux vaut dormir que courrir
J'ai trop la classe!!!
Seti Nadzuro

Message par Seti Nadzuro »

Seti dormait encore chez Ekko se soir la, elle se réveilla durant la nuit comme elle avait l’habitude de le faire involontairement.

*… pourquoi je ne suis jamais capable de dormir la nuit, il faut que je me débarrasse pour de bon de cette mauvaise habitude sinon je vais m’endormir dans les cours*

La nuit était sombre, le ciel était recouvert de nuage gris qui donnais une impression de refermer laissant passer quel que rayon de lumière causer par la lune. Peu a peu les nuage semblais se disperser laissa voir la couleur réel du ciel.

La jeune fille sortie de son lit, ces yeux s’ouvraient lentement. Elle remarqua alors les nuage qui s’éloigner de la lune a vue d’œil.

*Étrange phénomène je me demande ce que sa peu bien être.*

La rue était calme quand Seti sortie de la maison. Un petit vent soufflais dans les rues soulevant le sable qui si trouver. La jeune fille marchait dos au vent, elle ne tenait pas à en avoir dans les yeux. Elle marchais a pas lent comme si rien ne la presser. Seti avait comme but d’aller voir une amie qu’elle s’était fais quel que jour avant, les deux jeunes fille s’était lier d’amitié très rapidement. Elle savait qu’il était très tard mais son amie semblait ne pas trop dormir la nuit comme Seti d’ailleurs.

La lune n’arrêter pas d’attirer l’attention de la jeune fille qui marchais tranquillement, la lune lui donner un mauvais pressentiment, comme si quel que chose aller arriver même si le village était très bien garder.

La maison de Emy, l’amie de Seti était très proche quand d’un instant a l’autre des cris commençais a surgir de partout au alentour d’elle. Les cris l’apeurer, elle avant un sentiment d’angoisse qui frissonner en elle, elle savais que quel que chose d’horrible était entrain de se passer mais elle ne savais rien, elle ne voyait rien mais elle entendais tout. Ces jambes tremblais, elle rester sur place, paralyser par la peur.

Elle réussit à se retourner pour apercevoir une scène qu’elle aurait préférée ne jamais voir. Les images semblais inexplicable, du sang, du feu que pouvais-t-il bien se passer. Elle eu la force qu’elle que instant de courir vers la maison d’Emy.

La porte était ouverte, à première vue personne ne semblais être a l’intérieur. Seti se retourna pour voir si elle ne serais pas loin, tout ce qu’elle vu fut une femme mourir en un instant par un tueur qui semblais avoir une vitesse hors du commun. Sous se spectacle d’horreur Seti tomba sur les genoux, la peur monter en elle a une vitesse incroyable, elle n’avais jamais vu quel qu’un de mort, autant de violence d’un coup la fit vomir pendant beaucoup de temps, quand elle leva la tête la première chose qu’elle vu fut la silhouette d’Emy au loin. Elle eu soudaient la force dans les jambes, elle se mit a courir vers son amie qui cria son nom quand elle la vit. Mais se qui devais arriver arriva. D’une second à l’autre les flamme s’emparèrent de la jeune fille innocente. Seti avait les yeux grands ouverts, elle était entrain de voir son ami brûler vivante devant elle, elle ne pouvait rien faire, elle n’était pas assez fort pour arrêter se massacre, elle se sentait inutile, comme si elle ne faisait que nuire a ceux qui tenter d’aider.

*Je suis inutile, si je reste ici je vais me faire blesser ou pire, je ne peut rien faire pour Emy et pour personne d’autre, pourquoi suis-je ici alors ?*

Elle était restée figée sur place comme une statue, la peau blanche comme la neige, les yeux laissais voir la cicatrice de cet instant qui restera à jamais gravé dans son esprit. La seule chose qu’elle pouvait faire à cet instant était fuir, courir le plus vite qu’elle pouvait sans regarder derrière.

*Pour une fois que j’avais une bonne amie il a fallu qu’il arrive quel que chose pour que je la perde… comme a chaque fois… la vie mérite-elle vraiment d’être vie ou est elle qu’un tourbillon dans la qu’elle nous somme pris a jamais… somme nous vraiment libre de changer notre future ou tout doit arriver comme il l’a était écris…*

Seti continuais sa course, la porte de Suna était grande ouverte, ou plutôt détruite, plus personne au tour.

*Si je reste ici une seconde de plus je vais mourir comme tout les autres… mais … mais un jour je prendrai ma revanche de celui qui a fais cela… mais pour l’instant je ne peu rien faire a par fuir.*

Le vent se lever dans les dunes soulevant tout le sable, obstruant le chemin a la jeune fille mais elle n’arrêta pas sa course. Elle ne savait pas ou elle allait mais elle voulait simplement aller le plus loin possible de Suna.
ekko
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Message par ekko »

Ekko qui lui était en plein sommeil fut réveillé par Seti qui se leva, il faisait toujours très attention lorsqu'il y avait des bruits étrange dans sa maison...

Il ne put s'empêcher de la suivre, elle descendit tout d'abord les escaliers et elle commença à sortir, Ekko sorti à son tour et Seti ne l'avait pas entendu, il était maintenant dehors mais ressentait comme quelque chose d'étrange, il y avait une odeur inhabituel, une odeur de feu, une odeur de sang oui c'était une odeur de sang, Ekko connaissait bien cet odeur, lorsqu'il chassait avec son père un jour, l'un de ses amis fut déchiqueté par l'une des bêtes, Ekko se souvenait de cette odeur qui emplissait ses narines...

" Qu'est ce que c'est que cette odeur de sang, il ne faut pas qu'elle sorte, c'est dangereux dehors.. "

* M..rde! Que faut il que je fasse, je ne vais tout de même pas la laisser partir toute seul... Bon j'y vais... *

Ekko suivit alors la jeune fille qui partait à corps perdue dans les ruelles de Suna...

Il suivait la jeune fille, elle regardait la lune continuellement, c'est alors qu'Ekko entendis des cris, il fut effrayé lorsqu'il s'avança un peux plus pour suivre Seti... Tout d'abord celle-ci était maintenant partis dans une maison dont la porte était grande ouverte de plus Ekko fut paralysé par le spectacle de mort qu'il avait sous les yeux, en face de lui quelque bras gisaient le long de la route, à côté on pouvait apercevoir les corps à qui devaient appartenir les bras, plus loin Ekko voyait des personnes carbonisé qui souffraient le martyre et qui ne cessait pas d'hurler et de gémir, Ekko était totalement désemparé, son premier réflexe fut de se cacher, il était tétanisé par la peur et se sentait prisonnier, comme s'il était capable de mourir à n'importe quelle moment...

" Oh Non!!! Et Seti qui est dans la maison "

La maison était en feu et Ekko ne savait pas quoi faire pour allé l'aider sans se faire tuer, il était vraiment effrayé et se disait que c'était déjà un miracle qu'elle soit parvenue jusqu'à la maison sans rencontrer le monstre qui avait fait tout ces ravages...

Ekko qui fixait intensément la porte grande ouverte de la maison vit Seti sortir au bout de quelques minutes, celle-ci lui parures des heures...

* Qu'est ce qu'elle fait elle se dirige vers la grand porte... J'irais plus vite qu'elle si je passe par les petits chemins que je connais, il faut que je la rattrape avant qu'elle se fasse attaquer... *

Ekko entrepris alors une course effréné dans les ruelles de Suna, il était à bout de souffle et pensait qu'il risquait sa vie à chaque instant, le monstre qui avait fait ça n'était pas seul et il était extrêmement puissant...

Il arriva alors devant la porte

* Détruite !!! Ce n'est pas un Shinobis ordinaire, il faut absolument que je rattrape Seti si elle le rencontre elle mourra.... Bon je prend directement dans le désert si il y a un endroit que je connais et dans lequel je peux trouver quelqu'un c'est la... *

Ekko trouva facilement les trace de Seti et les suivis au mieux pendant quelques minutes, il arriva sentit alors le vent se lever

* Oh non pas une tempête, si elle se retrouve seule dans une tempête elle mourra *

Ekko courut alors comme il ne l'avait jamais fait, et il rattrapa alors la jeune fille qui était en train de courir aveuglément dans le désert...
Il la rattrapa sans grande difficulté et arriva devant elle...

" Seti!!!! Qu'est ce que tu fais là il faut que tu rentre tu est en danger dans le désert, viens je t'emmène dans un endroit sûre, ce n'est pas dans le village ne t'en fais pas... "

* Bon maintenant il faut que nous allions chez moi, il y a là bas de quoi manger et boire, au pire j'ai ma gourde, l'eau que j'y ai mise est potable... *
Ekko vit alors le vent se lever brusquement...

" On aura pas le temps d'aller chez moi, une tempête de sable se lève, viens avec moi je t'emmène dans une grotte que je connais... "

Ekko tendit sa main à Seti qui paraissait perdue...
Ekko, étudiant de Suna
Akira Tasogare

Message par Akira Tasogare »

Une personne âgée alla vers l’adolescente, elle n’était pas grièvement blessée, un simple bandage pourrait suffire à la soigner mais celle-ci tremblait de tout ses membre , elle implora Akira entrain de lui appliquer les soins nécessaire :

« Mon fils, vous n’auriez pas vue mon fils ? »

La jeune fille lui répondit d’un ton doux et rassurant :

« Comment est votre fils ? »

Le visage de la vieille dame s’illumina, il y avait enfin quelqu’un qui l’écouter, quelqu’un qui daigner la voir et reconnaître son existence.

« Il fait environs 1m54, il est brun avec des yeux vert…on peut facilement le reconnaître, il a une cicatrice au niveau de cou…un souvenir que lui a laissé son chien.. »

« Si je le vois je vous promet de vous le signaler. Maintenant aller rejoindre le groupe que vous voyez à côtés des brancardiers, ils vont vous guider à l’abris. Vous pourrez manger, boire et dormir. »

La vieille la remercia avec ardeur la petite, qui lui donna un dernier sourire, mince amère mais un sourire quand même. Ce sourire était important, il pouvait réconforter les gens. Voyant le personne lui tourner le dos, Akira fut prise de pitié et ne pus s’empêcher de rajouter :

« Peut être que quelqu’un qui se trouve là bas à vue votre petit fils…si ça se trouve il y est peut être déjà. »

« Oui »

Un sourire radieux apparut sur le visage de son interlocuteur, c’était le sourire de l’espoir. Akira le vit partir avec un petit pincement au cœur, elle n’aurait pas dus lui donner cet espoir, si il était faux, cette personne tomberait dans des ténèbres plus profondes encore…voir mortel vu l’âge qu’avait la personne. Cependant l’apprentie médecin n’eu pas le temps de s’épancher plus longtemps sur le problème, d’autres gens arrivaient, elle devait poursuivre son travail.

Au bout de plusieurs minutes Akira leva la tête et s’essuya le front, elle commençait à fatiguée et avait depuis longtemps perdu le comptes des blessés. Elle ne se doutait pas qu’il y avait moins de Dix minutes qu’elle était sur les lieux du massacre…le nombre des blessés était pourtant bien loin de décroître. En levant les yeux, elle aperçut une silhouette familière, c’était son professeur. Il n’avait pas l’air bien, comment pourrait il l’être lors de tel scène mais Akira le connaissait et cela lui donnait encore plus envie de lui venir en aide.

« Je reviens »

« Akira ne t’en vas pas »

« Je reviens, et si ça se trouve avec du renfort »

Sans tenir compte plus longtemps des injonctions de sa tante, l’adolescente se leva pour poursuivre son professeur. La tante vit se nièce s’enfoncer plus profond encore, plus proche du lieu du massacre mais ne pouvait bouger, elle ne pouvait pas abandonner tant de gens, surtout qu’elle allait avoir encore plus de travail vu qu’Akira venait de partir.

La gamine s’enfonça dans le théâtre de l’horreur mais alla avait perdu de vue son professeur. Elle ne savait pas trop quoi faire, mais refusait de revenir bredouille au camp et tout de suite, sans avoir cherché un minimum. L’étudiante continua donc son chemin, là elle tomba prés de la nurseries et vue un jeune garçon évanouit. Elle se rapprocha de lui, il respirait encore, mais avait l’air fiévreux, elle dénoua le chiffon humide qu’elle avait autours de la bouche pour lui mettre sur son nez pour que l’air soit un minimum filtré. Elle pouvait bien tenir dans ce nuage, quelqu’un d’évanouit, moins, puis la petite couru trouver un brancardier, celui-ci allait s’occuper du garçon juste après. Akira retourna prés du garçon.

*Je l’ai déjà vue…mais oui, dans ma classe*

En effet, le garçon dont elle s’occupait était Hitashiro. Le brancardier vint enfin récupérer le jeune homme :

« Vous feriez bien de vous occuper de se secteur, il ne doit pas être le seul. »

« On fait ce qu’on peut gamine, tout le monde n’est pas encore arrivé »

Le ton qu’il avait employé pour lui répondre était loin d’être aimable mais il était à cran comme tout le monde, l’horreur, la peur et la panique ne faisait qu’empirer en fur et à mesure du temps. Akira respira un grand coup, elle ne devait pas céder à la panique et à l’énervement sinon elle ne pourrait plus aider personne. En parlant d’aider, si elle était ici, à la base, c’était pour retrouver son professeur.

La gamine repartie donc dans ses fouilles et tomba au niveau du lampadaire, elle vit les corps mutilés mais n’avait plus de haut le cœur. Elle fut elle-même surprise de s’être habituer aussi rapidement à l’horreur et au carnage, cela devait sans doute du au fait qu’elle avait passé le premier choc. Akira remarqua qu’un des cadavre avait était délicatement posé, ses yeux était même fermés…il n’y avait pas encore de ninja dans se secteur, quelqu’un était passé par ici, avec un peu de chance c’était son sensei.

Ce signe l’encouragea à continuer, soudain elle l’aperçut au loin, sur un toit, l’air complètement absent, comme enchanté par une terrible malédiction. Une malédiction qui vous dévorez de l’intérieur et qui portez le nom de souffrance. Akira se souvint d’elle quelques minutes plus tôt découvrant, touchant l’horreur. Elle s’était repliée sur elle-même pour fuir loin de ce monde. Ses jambes s’étaient recroquevillées devant son visage pour former un mur, un mur qui la protéger de l’extérieure, de la vérité si dur de l’accepté. A ce moment là, la gamine aurait pus sombrer dans la folie, elle aurait pus sombrer pour toujours dans un monde qui l’aurait rendue perpétuellement triste, perpétuellement torturé. Son professeur n’avait pas l’air de s’enfermait sur lui-même mais semblait être ailleur, mais c’est ici qu’on avait besoin de lui.

Akira fit le tour de la maison, elle trouva rapidement la porte par laquelle l’homme avait pus rentrer et ce mettre sur le toit. La gamine courut jusqu’à l’escalier mais n’avait pas remarqué le début d’incendit dans la cuisine, elle ne faisait plus attention au désastre autour d’elle, si elle faisait trop attention elle sentait qu’elle allait perdre son courage. Debout elle reprit son souffle, elle pensa à sa famille entrain de se battre pour la vie là bas. C’était auprès d’eux que ce trouvait tout son courage. Elle ouvrit la porte, puis se dirigea vers son professeur, ne sachant pas vraiment comment le ramener. Elle posa alors doucement la main sur l’épaule de l’homme, une main sûre et qui se voulait réconfortant :

« Sensei, on a besoin de vous ici, on a besoin de votre force ici. »

Sa voix était douce calme et sûre, la panique ne servait à rien.
En bas, l’incendie en avait finit avec la cuisine et commençait à grignoter les autres pièces.
Seti Nadzuro

Message par Seti Nadzuro »

Seti semblais perdu dans ces pensé, elle couru aveuglement sans savoir ou elle allait, elle voulais seulement partir le plus loin possible de ce qui ce passait a Suna, elle ne savais pas si ceux ou celui qui avait fait sa étaient encore la ou pas.

*Peut-être même que la ville est complètement détruite a cet heure…*

Soudainement elle aperçu une silhouette a sa droit qui la rattraper assez vite.

*Sa ne peut être que…*

Seti s’arrêta brusquement, peur que cette personne était le meurtrier qui avait fais régner la terreur dans Suna. Elle prix sa main droit pour la diriger vers son pack de shuriken accrocher a sa ceinture. Elle n’avais jamais lancer de shuriken mais elle essaya quand même, elle n’eu pas la chance du débutant, l’arme parti se planter dans le sable du dessert passant énormément loin de la cible.

La silhouette s’était immobilisée devant elle. L’adolescente ne voyait pas qui s’était mais n’importe qui se pouvais être Seti ne pourrais pas savoir si ce serait vraiment cette personne. Depuis qu’elle appris ce que pouvais faire le Henge No Jutsu elle avait toujours des doutes sur les personnes qu’elle voyait ne sachant pas si s’était vraiment eux.

Elle se grata rapidement les yeux, sa vision était obstruer par le sable. Mais cela ne sembla pas marcher par la suite une voie se fit entendre.

" Seti!!!! Qu'est ce que tu fais là il faut que tu rentre tu est en danger dans le désert, viens je t'emmène dans un endroit sûre, ce n'est pas dans le village ne t'en fais pas... "

La voie retentit dans les oreille de Seti, elle connaissais bien cette, s’était celle de celui qui s’était dévouer le plus pour elle depuis son arriver a Suna. Elle resta hésitante un instant. Garda une main proche de son pack de shuriken par peur. Elle était parcourue d’un tremblement de peur. Elle ne savait pas qui faire, quelle que larme couler sur ces joues.

*Qu’est ce que je fais ?.. Je ne sais pas si le henge peut aussi prendre la voie de celui dans la qu’elle on se transforme ! et… et… si sa serais pas Ekko comment s’aurais-t-il mon nom…*

Seti était perdu dans ces pensé quand Ekko parla a nouveau.

" On aura pas le temps d'aller chez moi, une tempête de sable se lève, viens avec moi je t'emmène dans une grotte que je connais... "

Elle continuais a pleuré, la peur l’envahis peu a peu quand soudainement Ekko tandis la main a Seti, ce geste sembla la réconforter soudainement. Elle était en sanglot, elle n’attrapa pas la main d’Ekko mais elle s’approcha de lui, ouvrit les bras pour les refermer au tour de lui du plus fort qu’elle pouvais en continuant de pleurer tout ces larmes, elle ne s’avais pas non plus quoi dire elle était prise par ce qu’elle avait vu plus tôt. Sous se spectacle la tempête s’arrêta lentement pour laisser place a quel que flocon de neige tombant d’un être nuage se dirigant vers Suna.
Hitashiro KITAKA
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Message par Hitashiro KITAKA »

A son réveil, Hitashiro voulut se lever malgré les injonctions de sa mère qui était toujours à ses côtés. A force de gesticulations, il fini par retomber sur son lit en geignant. Un énorme hématome lui barrait les côtes, un souvenir des combats de la veille. Il n'avait aucune idée de ça cause. Sûrement que la colère et tous les autres sentiments mélangés avaient transcendé son corps au point qu'il ne ressentait pas sa blessure.

Sa blessure le rappela à la réalité et lui fit pensé qu'il ne savait ni où il était, ni depuis combien de temps il était inconscient, ni même comment allait sa tante. A ce moment, une infirmière arriva en le voyant faire des acrobaties dans son lit pour sortir. Elle le gourmanda pour son inconscience lui invoquant d'une part que des blessures bénignes sur lesquels on forçait pouvaient s'aggraver et d'autre part qu'il en avait assez la veille au vu de ce qu'on lui avait raconté, point sur lequel sa mère se permit d'en rajouter une couche qui n'était pas du tout du goût de l'intéressé.

*Je sens que je vous en prendre pour plusieurs semaines encore....pfff. Par contre je sais pas du tout où je suis ni depuis combien de temps..... et Tante Hitomi...*

Le jeune garçon se sentit d'un sentiment violent d'inutilité et rage envers le responsable de ce carnage monter en lui. Il s'entendit invectiver sans réelle raison l'infirmière.

"Alors faites quelque chose pour ma blessure... je sais que vous pouvez... J'ai déjà ma tante le faire pour des égratignures ou des trucs du genre. Et puis je sais même pas où je suis et...."

Devant une telle véhémence, l'infirmière sembla surprise dans un premier temps, mais elle sembla comprendre le torrent d'émotions qui envahissait son patient. Elle finit par le couper pour prendre la parole.

" Bon, bon, ok, ok!! Si tu veux, je peux effectivement faire quelque chose pour toi. Mais en échange tu devras me promettre de ne rien faire d'inconsidéré pendant quelques temps et tu mettras cette pommade en plus. Pour répondre à la suite, tu es dans une annexe improvisée de l'hôpital de la ville. On y donne les premiers soins avant d'envoyer les patients dans les services de l'hôpital. D'ailleurs ta tante y est soignée et sa vie n'est pas en danger. Par contre ses blessures sont importantes et les visites seront impossible pendant quelques jours, elle a besoin de repos. Et pour en finir avec tes questions, cela ne fait quelques heures que l'attaque a cessées. Pour être franche, je croyais que tu dormirais plus que ça..."

Hitashiro lança un regard inquisiteur à sa mère, comment avait-elle put savoir toutes les quesions qui hantaient le garçon de façon aussi précise. Cette dernière comprit le malaise de son fils.

"Je lui ai raconté ce qui c'est passé et puis jusqu'à ton court réveil un peu plus tôt, tu parlais dans ton sommeil en demandant des nouvelles d'Hitomi... J'ai pensé que tu voudrais avoir des nouvelles à ton réveil et voilà."

*Je suis sur qu'elle en a rajouté pour ce qui s'est passé, mais bon au moins tout le monde est vivant...*

Sur cette pensée, il se rembrunit en songeant qu'ils avaient de la chance mais que beaucoup n'en avaient eu la même. L'infirmière faisait les soins pendant qu'il cogitait. Dés qu'elle lui anonça que c'était fini, il prit le sachet contenant la pommade puis partit en courrant de la salle dans laquelle il se trouvait. Les deux femmes qui s’étaient avec lui n'avaient rien eu le temps de dire, d'ailleurs aucune parole n'aurait pu le retenir.

Il se rendit sur les lieux du désastre comme s'il voulait s'assurer de la véracité des faits, tout ça lui semblait encore tellement impossible... et pourtant. Plusieurs équipes s'attelaient aux différentes tâches nécessaires, maîtrise des incendies, inspection des maisons en ruine pour vérifier s'il n'y avait pas d'autres rescapés et autres tâches comme distribution de nourritures ou tentative de reformer les familles séparées qui pouvaient encore l'être. Hitashiro déambula dans la rue complètement dévasté pendant quelques instants. Un homme l'interpella pour lui indiquer un lieu où on avait besoin de tous les bras disponibles.

Hitashiro s'y rendit trop heureux d'être utile à quelque chose. Il arriva sur les lieux, une des maisons qui s'était partiellement écroulée et d'où certains avaient entendu des bruits. Les restes de la maison ne tenaient plus beaucoup et si on voulait faire quelque chose, il fallait le faire vite. Il arriva sur les lieux et la première réaction d'un des hommes déjà présent fut de vouloir l'éconduire sous prétexte que ce n'était pas un endroit pour lui. Hitashiro voulu protester, comment pouvait on lui dire ça, à lui qui avait défier un démon, en l'attaquant par surprise mais bon, ce n'était que des détails. Mais un homme s'interposa avant toutes protestations.

"laisse-le d'ailleurs, on risque d'avoir besoins de lui, son gabarit pourra nous être utile. On ne peut pas entrer et en plus une fois à l'intérieur, on risque d'avoir des difficultéen raison de notre poids. Je suis pas sûr que la maison résisterait... Y a un risque pour le petit mais c'est le seul à pouvoir entrer... alors on va essayer. Si tu es d'accord et sachant que c'est assez risqué, c'est toi de voir..."

Le jeune garçon ne réfléchit pas plus d'une seconde et accepta d'un simple "c'est parti !" avant toutes possibilités objections et avança d'un pas sûr.

Le seul accès aux pièces étaient un trou dans la façade qui avait été déblayé un peu plus tôt. De prime abord très simple, la suite des opérations se compliqua légèrement. Les planches étaient dans un état de délabrement assez avancé. La corde qu'on lui avait donnée pour s'assurer le rassurait un peu. Il avançait avec toute la prudence dont il pouvait faire preuve, et ce n'était pas superflu. Déjà à trois reprises un de ses pieds avait traversé le planché instable, une fois même il ne du son salut qu'à la corde qui l'avait retenu et lui avait permis de se sortir des pièges dans lesquels il s'était fourré. A chaque fois que le sol ou le plafond s'effondrait, il s'efforçait de redoubler dans ses attentions. Si bien qu'à partir d'un moment il ne se déplaçait plus sans s'être assuré d'une stabilité minimum des lieux.

Il arriva devant un escalier, les bruits semblaient venir du haut. Il prit son courage à deux mains et monta. Heureusement, à l'exception de quelques marches abîmées par la chute de morceau de la toiture, cette partie de l'habitation avait été relativement épargnée. Il arriva après quelques instants devant une salle dont la porte était fracassée par un pan du toit qui s'était planté dans le sol avant de retomber sur celle-ci. Hitashiro vit alors une petite fille tenant quelque chose dans la main et qui fredonnait quelques airs de façon assez inquiétante. Elle était clairement en état de choque. Le jeune garçon s'avança, non sans avoir vérifié si le passage était praticable. Le spectacle le fit avoir un haut le cœur. La petite fille tenait la main de quelqu'un qui était coincé sous les décombres. La main immobile ne laissait rien présagé de bien pour la malheureuse victime dont seule un bras dépassait.

Le jeune sauveteur improvisé courut pour essayer de soulever les pierres et autres restes des fondations. Une plainte se fit entendre contre toutes attentes, ce qui eut pour effets de galvaniser le jeune homme et faire taire la fillette. Une fois dégagé, un homme d'apparence assez robuste apparut. Son bras n'était plus attaché au reste de son corps mais le moignon semblait avoir été compressé de sorte que l'hémorragie était fortement diminuée. Il fallut encore un petit moment pour finir de dégager le malheureux et un plus de force encore pour empêcher la petite de se jeter sur son père, ce qu'elle eut du mal à comprendre. Hitashiro dut trouver des trésors de persuasion pour faire attendre la petite miraculée. Viens ensuite un autre problème : comment faire sortir ses gens de là ; pour la petite ça ne posait pas de problème mais pour le blessé...

L'étudiant eu une idée. Il allait tenté de mettre à profit la chute d'une partie du plafond pour faire venir des renforts. Il ramena un maximum de corde, se détacha pour mettre une pierre au bout de la corde. Il fit plusieurs tentative pour la faire passer par le trou dans le toit, puis il prévient les autres de ça découverte. Quelques minutes plus tard, il était tous sorti et les équipes médicales s'occupaient déjà des deux sauvés.

Ragaillardi par sa réussite, il continua ses recherches avec un autre groupe mettant à profit son gabarit poids plume. Malheureusement toutes les autres expériences ne se passèrent pas aussi bien. Malgré une ou deux autres personnes qu'il put retrouver, la plupart de ses découvertes n'étaient que cadavres et agonisant pour lesquels on ne pouvait plus rien. Il trouva le bilan de ses recherches très médiocre et n'en pouvant plus de toute cette misère, il s'éclipsa quelques instants pour crier ce qu'il avait sur cœur. Il s'aperçut également qu'il avait multiplié les égratignures. Il se dit alors que sa mère allait sûrement encore en rajouter comme si cela avait été la fin du monde. Cette pensée le fit dans rire qu'il ne put contrôler, il ne maîtrisait plus ses nerfs. Il finit par ce reprendre après quelques larmes, puis décida qu'il valait mieux retourner voir s'il y avait besoin d'aide.
Hitashiro KITAKA, chûnin de Suna
en mission pour suna


il faut vivre pour ne rien regretter
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