Publié : mar. 31 mai 2005, 20:30
Shishi kun était en train de courir comme un dérater dans les rues ensoleillées du village caché de Konoha. Bousculant au passage un groupe de ninja qui marchaient tranquillement, il prit un virage à droite pour s’enfuir dans une petite ruelle bondée de monde.
« VIENS PAR LA PETIT CHENAPAN, SI JE T’ATTRAPE, TU VAS PASSER UN SALE QUART-HEURE !!! »
Kuru No Shishi venait encore une fois d’embêter le boulanger de Konoha. C’était un homme très grand et surtout très gros, comme ne manquait jamais de le faire remarquer Shishi quand il allait chercher des bonbons.
Aujourd’hui après les cours à l’Académie, il était aller directement à la boulangerie. Mais ce n’était pas sans faire attention.
La vieille il avait osé insulté le boulanger bien que gentiment : « Merci mon gros » avait-il dit en prenant le pain que lui tendait le boulanger. Après cela, il s’était aussitôt éclipsé en vitesse en direction de sa maison.
Aujourd’hui il était encore tôt et il savait que le boulanger ne travaillait pas l’après midi. C’était donc sans risque qu’il était entré dans la boulangerie en brayant :
« Il est pas le gros balourd ? »
C’était son côté provocateur et sale gosse. Shishi adorait se moquer mais en réalité il aimait vraiment beaucoup le boulanger. C’était une longue histoire entre eux, pleine de disputes qui finissaient toujours en poursuite dans le village.
Mais quand une ombre était apparu à la porte, le corps entier de Shishi kun avait tremblé.
*Mince je suis cuit…
« Et bien t’as de la chance parce que le gros balourd, il est là !!! Je peux savoir ce que tu lui veux !!! »
Shishi kun s’était retourné la peur au ventre et le visage effrayé redoutant l’inévitable. Il s’était retrouvé face à face avec son meilleur ennemi le boulanger dont le visage affichait un sourire en coin des plus sadique.
Une petite goutte de sueur avait coulait le long de la joue de Kuro no Shishi, mais rapide comme l’éclair il s’était jeté désespéré sous les jambes du grand boulanger. Il devait bien faire deux mètres et Shishi kun avait réussi à passer de justesse.
Une fois arrivé dans la petite ruelle, il était tiré d’affaire.
« Ah! La liberté! » s’exclama-t-il.
Il avançait tranquillement dans cette rue, se frayant un passage à travers les gens. La rue le conduit tout droit sur une place qu’il n’avait jamais vu. Le village était assez grand et depuis ses douze années de vie, il n’avait pas le souvenir d’y avoir mis les pieds. C’était une grande place circulaire qui donnait sur plusieurs ruelles, au centre de laquelle était un long poteau relié à toutes les échoppes par des fines guirlandes. Il y avait du monde et Shishi qui avait faim ( par sa faute il n’avait pu avoir son goûter ) se dirigea vers une sorte de salon de thé, tout en chantonnant :
« freedooom …freedooooooom… »
Entrant dans le salon il aperçut un visage familier assis près d’une table basse.
« Haa ! Mais c’est monsieur le vieux ! » lança-t-il en pointant du doigt le vieil homme qu’il avait rencontré dans le vieux parc.
« Bonjour petit lion malpoli. »
Le vieil homme avait toujours son air enfantin et son sourire satisfait. Mais il semblait plus décontracté et moins sérieux que dans le parc.
« Je t’en pris assis toi, tu as faim je présume. Apporté à manger et un bon thé à ce petit. Alors comme ça j’apprends qu‘un jeune étudiant s’amuse à se moquer de son sensei et à faire des farces à l’Académie. »
Shishi le regarda étonné qu’il en sache autant.
« Comment sais-tu mon nom et toutes ces choses sur moi ? »
« Je sais beaucoup de chose Shishi kun »
Shishi bien que peu satisfait de la réponse ne continua pas. Il venait de remarquer que la table basse était pour le moins étrange. Elle avait un damier taillé dans le bois et un tiroir.
« Que fait-tu ici et qu’est-ce que cette table bizarre ? Je n’en ais jamais vu de telle. »
« C’est un goban. Et je suis ici pour jouer au jeu de go comme le font tous les ninja vétéran de konoha qui viennent ici. »
« Haa ! Quand je serais vieux comme toi, jamais je ne perdrais mon temps avec des jeux pour enfants ! »Shishi kun était pire qu’un simple singe farceur, c’était aussi un sacré culotté. Et si en cours à l’Académie il s’était quelque peu retenu ( et encore ), en dehors il agissait comme il l’entendait.
« Le go n’est pas un jeu pour gamin. Il était autrefois utilisé pour des stratégies militaires en temps de guerres. Aujourd’hui c’est un jeu mais il permet au joueur d’en apprendre d’avantage sur lui-même. En jouant au go tu apprends à te connaître et à connaître l’adversaire. C’est un travail sur soit et sur la connaissance de ses propres capacités. »
Le visage de Shishi sembla s’émerveillait et son esprit curieux se réveilla.
« Apprend moi à jouer. Je t’en pris vieil homme. »
« Bien, c’est d’accord »
Le vieil homme lui appris à jouer en commentant une partie. Il passèrent des heures à jouer à ce jeu de réflexion. Et plus Shishi en apprenait plus la complexité de ce jeu d’une apparente simplicité se révélait. Il pris immédiatement goût à ce jeux aux multiples possibilités. Il écoutait le vieil homme avec passion les yeux brillants d’intelligences. Ainsi passèrent des heures…
« VIENS PAR LA PETIT CHENAPAN, SI JE T’ATTRAPE, TU VAS PASSER UN SALE QUART-HEURE !!! »
Kuru No Shishi venait encore une fois d’embêter le boulanger de Konoha. C’était un homme très grand et surtout très gros, comme ne manquait jamais de le faire remarquer Shishi quand il allait chercher des bonbons.
Aujourd’hui après les cours à l’Académie, il était aller directement à la boulangerie. Mais ce n’était pas sans faire attention.
La vieille il avait osé insulté le boulanger bien que gentiment : « Merci mon gros » avait-il dit en prenant le pain que lui tendait le boulanger. Après cela, il s’était aussitôt éclipsé en vitesse en direction de sa maison.
Aujourd’hui il était encore tôt et il savait que le boulanger ne travaillait pas l’après midi. C’était donc sans risque qu’il était entré dans la boulangerie en brayant :
« Il est pas le gros balourd ? »
C’était son côté provocateur et sale gosse. Shishi adorait se moquer mais en réalité il aimait vraiment beaucoup le boulanger. C’était une longue histoire entre eux, pleine de disputes qui finissaient toujours en poursuite dans le village.
Mais quand une ombre était apparu à la porte, le corps entier de Shishi kun avait tremblé.
*Mince je suis cuit…
« Et bien t’as de la chance parce que le gros balourd, il est là !!! Je peux savoir ce que tu lui veux !!! »
Shishi kun s’était retourné la peur au ventre et le visage effrayé redoutant l’inévitable. Il s’était retrouvé face à face avec son meilleur ennemi le boulanger dont le visage affichait un sourire en coin des plus sadique.
Une petite goutte de sueur avait coulait le long de la joue de Kuro no Shishi, mais rapide comme l’éclair il s’était jeté désespéré sous les jambes du grand boulanger. Il devait bien faire deux mètres et Shishi kun avait réussi à passer de justesse.
Une fois arrivé dans la petite ruelle, il était tiré d’affaire.
« Ah! La liberté! » s’exclama-t-il.
Il avançait tranquillement dans cette rue, se frayant un passage à travers les gens. La rue le conduit tout droit sur une place qu’il n’avait jamais vu. Le village était assez grand et depuis ses douze années de vie, il n’avait pas le souvenir d’y avoir mis les pieds. C’était une grande place circulaire qui donnait sur plusieurs ruelles, au centre de laquelle était un long poteau relié à toutes les échoppes par des fines guirlandes. Il y avait du monde et Shishi qui avait faim ( par sa faute il n’avait pu avoir son goûter ) se dirigea vers une sorte de salon de thé, tout en chantonnant :
« freedooom …freedooooooom… »
Entrant dans le salon il aperçut un visage familier assis près d’une table basse.
« Haa ! Mais c’est monsieur le vieux ! » lança-t-il en pointant du doigt le vieil homme qu’il avait rencontré dans le vieux parc.
« Bonjour petit lion malpoli. »
Le vieil homme avait toujours son air enfantin et son sourire satisfait. Mais il semblait plus décontracté et moins sérieux que dans le parc.
« Je t’en pris assis toi, tu as faim je présume. Apporté à manger et un bon thé à ce petit. Alors comme ça j’apprends qu‘un jeune étudiant s’amuse à se moquer de son sensei et à faire des farces à l’Académie. »
Shishi le regarda étonné qu’il en sache autant.
« Comment sais-tu mon nom et toutes ces choses sur moi ? »
« Je sais beaucoup de chose Shishi kun »
Shishi bien que peu satisfait de la réponse ne continua pas. Il venait de remarquer que la table basse était pour le moins étrange. Elle avait un damier taillé dans le bois et un tiroir.
« Que fait-tu ici et qu’est-ce que cette table bizarre ? Je n’en ais jamais vu de telle. »
« C’est un goban. Et je suis ici pour jouer au jeu de go comme le font tous les ninja vétéran de konoha qui viennent ici. »
« Haa ! Quand je serais vieux comme toi, jamais je ne perdrais mon temps avec des jeux pour enfants ! »Shishi kun était pire qu’un simple singe farceur, c’était aussi un sacré culotté. Et si en cours à l’Académie il s’était quelque peu retenu ( et encore ), en dehors il agissait comme il l’entendait.
« Le go n’est pas un jeu pour gamin. Il était autrefois utilisé pour des stratégies militaires en temps de guerres. Aujourd’hui c’est un jeu mais il permet au joueur d’en apprendre d’avantage sur lui-même. En jouant au go tu apprends à te connaître et à connaître l’adversaire. C’est un travail sur soit et sur la connaissance de ses propres capacités. »
Le visage de Shishi sembla s’émerveillait et son esprit curieux se réveilla.
« Apprend moi à jouer. Je t’en pris vieil homme. »
« Bien, c’est d’accord »
Le vieil homme lui appris à jouer en commentant une partie. Il passèrent des heures à jouer à ce jeu de réflexion. Et plus Shishi en apprenait plus la complexité de ce jeu d’une apparente simplicité se révélait. Il pris immédiatement goût à ce jeux aux multiples possibilités. Il écoutait le vieil homme avec passion les yeux brillants d’intelligences. Ainsi passèrent des heures…