Publié : sam. 07 mai 2005, 22:14
Nom : on ne m'en a jamais donné
Prenom : Amaya, du moins on me nomme ainsi
Age : d'après le nombre de printemps passés, je dirais dans les alentour de 15
sexe : féminin
Description :
Je suis un peu plus grande que la moyenne des filles, on me l'a souvent dit (environ 1m70 à la place d'environ 1m60) pour un poid modeste (environ 57 kg). Mes cheveux sont aussi noir que la nuit, ils s'entortillaient entre eux, s'emmèlaient, formaient des noeuds, jusqu'au jour où je dûs couper ma longue tresse (voir histoire), maintenant mes cheveux sont un peu plus lisses et plus court. Mes yeux n'ont aucuns reflets, et je fus traitée de monstres à cause de mes pupilles blanches, mais je souffris aussi à cause de mes oreilles pointues, ma soeur coupa la pointe pour son propre amusement.
histoire :
Je vins au monde il y a de cela 15 ans. Ma mère, femme de caractère mais de santé fragile, protégeait ses enfants donnant sa vie même pour le bonheur de ceux ci. Mon père ne se souciait que peu de mes 2 soeurs, de mes 3 frères ainés et moi. Je me rappelle que porter un nom était un luxe, une distinction des "nobles" et les paysans ne pouvaient se permettre d'en posséder un, alors je fus simplement appelée Amaya. Avec ma famille on vivait correctement, ni sans vrais bonheurs mais pas sans grands malheurs. Chaque jours, nous devions apporter à manger les hommes partant à la chasse ou à la pêche, les femmes cueillaient ou récoltaient le blé, mais je vivais heureuse anisi.
5 ans passèrent ainsi, j'étais plutôt chétive mais contrairement à ma mère de solide constitution résistant facilement aux maladies et aux rudes hivers qui s'écoulaient. Ma très chère mère mourut de froid, en agonisant de douleur... je me souvins de ses gémissements, de la façon qu'elle avait à se tortiller secouée par des spasmes et tremblements. Je me rappelle de ce jour là : Je courus précipitemment dans sa chambre pour lui apporter l'eau et la serviette. J'étais maladroite et je manquais souvent de tout faire tomber. J'ouvris lentement sa porte, elle était là, si tranquille. Je m'avançais près de son lit et posais ce que j'avais. Je posais ma main sur l'épaule de ma mère et tapotait un peu
"Maman?... Maman?"
Elle ne répondait toujours pas mais j'insistais :
"Il faut que tu te lèves, grand frère a dit que c'était bon de marcher un peu..."
Je commençais à la secouer mais rien n'y fit. Je demandais impatiemment
"Maman...! Lèves toi!"
Je ne comprenais pas pourquoi elle ne bougeait pas, ou alors je refusais de m'avouer la vérité. Je me rappelle de cette sensation que j'eu lorsque je touchai ses mains pour la tirer hors du lit ; d'une inhabituelle fraicheur... froide... gelée... Je hurlais et tombais à terre, tremblotante. Mes soeurs se sont précipitées, l'un d'elle me réconforta et l'autre vint voir maman. J'ai dû mal à me souvenir du reste, seulement des larmes, ou alors de grands silence, d'une tombe que l'on creusa... du regard vide de papa et d'une de ma soeur, Fierlissa, si effrayants tous deux. à partir de ce jour, rien ne fut plus comme avant. Mon père tua accidentellement un de mes frère à la chasse, un autre se perdit et on retrouva son cadavre trois mois plus tard, dévoré par des animaux, le dernier fut assassiné par un brigand de passage ou un tueur, je ne sus jamais qui . Quant à mes soeurs, l'une d'elle mourut de chagrin et la dernière resta. Mais, ma soeur s'acharnait sur moi, s'amusant à me torturer de différente manière, elle m'appelait monstre à cause de mes pupilles, avant maman la réprimandait à chaque fois, mais maman n'était plus là, maman ne pouvait plus me protéger, alors je subissais.
Un jour ma soeur m'emmena avec elle, me traînant de force par le bras. J'avais à ce moment là, 8 ans. Je hurlais, je frappais mais elle me rendait les coups bien plus fort. Elle m'emmena chez une amie à elle, ce fut la pire des choses qui m'arriva. Tout ses copains présents voulaient voir mes yeux, mes pupilles blanches, ils ne se génaient pas pour me traiter de monstres, d'horreurs, misérables et bien d'autres... Fierlissa m'attrapa, on m'immobilisa, elle prit un ciseau. Elle l'approcha de mon visage, je pleurais de peur je gigotais, et cela donnait encore plus de plaisir à ma soeur et ses amis. Elle trancha la pointe de mes oreilles net. Je hurlai de douleur, mais on continua de rire. Le sang coulait et on l'étala sur mon visage. La journée passa ainsi. Quand on rentra, mon corps était couvert de bleus, de plaies, je ne pouvais presque plus marcher. Je m'affalais sur le lit. Je m'endormis d'un sommeil léger.
Pendant un an je me cachais du reste de ma famille, pourtant je ne voulais pas partir de la maison, peut être pour ne pas laisser le cadavre de ma mère, c'était stupide. 9 ans, dont 4 ans de souffrance. Maintenant je ne criais plus, je ne hurlais plus, je restais impassible, indifférente. Quand ma soeur venait me chercher, je me cachais, quand mon père m'appelait, je m'enfuyais. Je ne vivais plus, je survivais. J'évitais tous contacts avec les humains, de peur de subir les moqueries, les tortures, pourtant je fus confrontée à une situation à laquelle je n'aspirais nullement mais pourtant ce fut le début de ma... "délivrance". Comme à chaque fois, je dormais d'un sommeil peu profond, me réveillant à chaques bruits, là mes yeux s'ouvrirent en grand quand un cri retentit. Je vins doucement voir ce dont il s'agissait. Une bande de brigand pillait ma maison, mon père tentait de fuir, laissant Fierlissa sous l'emprise des hommes. Bizarrement, je n'éprouvais ni peine ni plaisir. Je restais hors de vue, et assister au "spectacle" de l'arrestation de Fierlissa. Une main s'abattit sur mon épaule, je ne poussais aucuns hurlement, j'étais tétanisée par la peur, seuls mes yeux étaient grands ouverts. Je me retournais, c'était papa, il lui manquait un bras et il était couvert de blessures. Son regard trahissait la peur, et l'envie de vivre, je tremblais, l'observant fixement. Je ne vis pas arriver une épée qui transperça le cou de mon père. Le sang gicla sur moi, j'en avais sur mes habits, sur mon visage et dans la bouche, mais j'étais paralysée. Mon père s'écroula sur moi et je me dégageais de lui, je levais la tête, c'était un homme dont un masque recouvrait le visage. Il l'enleva, il était jeune. Il prit mon visage d'une poignée ferme, et me fit tourner la tête de droite à gauche, il fixait mes yeux. Il appela ses coéquipiers et certains vinrent. Tous avaient un masque. Je n'écoutais pas ce qu'ils disaient mais apparemment ils ne me voulaient aucuns mals. Un autres bruits, tel celui d'une explosion retentit et la maison s'écroula brusquement, d'un coup. Je sortis des gravas, j'avais eu beaucoup de chance, je n'avais que quelques hématomes. Je fuis loin de ma maison, titubant, mais fière de m'en être sortie vivante.
3 ans d'efforts pour survivre, trouver de quoi vivre, s'écoulèrent quand je pris mon courage, je partis en ville, habituellement je restais dans le désert de la nature. j'étais sale, je puais, et je ne portais que des loques. Je fixais le sol pour n'avoir à affronter auuns regards, mais à la vue de toutes ces immenses batîsses j'étais impressionnée. C'était magnifique et tellement grand. Un homme me bouscula et il se retourna pour savoir qui il avait heurté. Il vint à ma rencontre, et me rassura, pourtant je ne le laissais pas me toucher, je restais distante. Il me paya un lavage, de nouveaux habits, et se montra d'une grande gentillesse à mon égard je continuais cependant à me méfier et j'eu raison. Dans sa demeure, il essaya d'abuser de moi mais je le mordis à l'épaule et je partis. Une fois loin de lui, j'entendis parler des shinobis, ces hommes qui apprennent à se défendre. Peut être était ce là la clé pour vivre heureux, pouvoir se défendre et ainsi ne plus rien craindre de personne. Pendant 3 ans j'étais restée près du village, n'osant m'y approcher parce que je ne me sentais nullement prête, mais ce fut 3 ans de perdu. je réussis à vivre pendant un an, et à obtenir quelques vagues information de ci de là sur les shinobis. J'appris seulement que c'était des ninjas utilisant des techniques diverses.
Par un concours de circonstances, je partis car encore une fois j'entendis les surnoms de monstres et d'horrible bête, mais cette fois non seulement à cause de mes yeux ou de mes oreilles mais de ma couleur très pâle de peau. Cela m'attrista. Mon second voyage dura 2 ans, je vivais très peu dans les villes, y allant que pour quelques occasions. Un jour, je fus poursuivis pour avoir volé une simple pomme dans un arbre. Je sentis quelqu'un tirer sur ma tresse, et pour me libérer je dûs sectionner une très longue partie de mes cheveux avec une pierre pointue. Mes si long cheveux devinrent bien plus courts. Je parvins à quitter cet endroit et m'installais dans une région désertique, un simple désert. Le sable brûlant, le soleil cuisant, le manque d'eau... Je m'écroulais à terre. C'était intenable. Je ne voulais pas mourir... non... je me relevais difficilement et continuais ma marche. Devant moi se dressa soudainement... une ville? C'était mon tout dernier recours, mon salut. Je m'y précipitais, ainsi je pus m'y ressourcer. Ce monde était si étrange... Beaucoup de personne avait une peau si belle et doré tandis que moi... je gardais constament un teint pâle dû à ma constitution. Je me maudissais presque. J'appris par ailleurs qu'une académie formait des ninjas, accepterait il une fille tel que moi? Un monstre sans nom?
Nindo ; Je n'aspire qu'à une liberté de vivre, comme je le désire. Mais... qui est cet homme au masque?
Caractère
Amaya est plutôt distante, mais aussi curieuse. Introvertie et réservée, elle n'accepte pas de se faire toucher par qui que se soit de peur de subir les mêmes tortures qu'avant. Elle est facilement impressionnée, et effrayée aussi. elle espère ne plus subir de moquerie à cause de sa déformation d'oreille et de ses pupilles anormalement blanches. Elle n'ai pas habituée à la gentillesse des autres.
On peut penser ainsi qu'Amaya est une fille terne et sasns grande volontée, cependant elle rayonne d'une incroyable volonté de vivre et si on apprend à la connaître, c'est une fille joyeuse mais timide. elle reste prudente. Contrairement à beaucoup, parler de son passé ne lui fait ni chaud ni froid.
ce qu'elle aime : Elle apprécie la nouveauté, les immenses étendues ou elle peut se sentir libre
ce qu'elle deteste : subir les tortures morales, qu'on la traîte de monstres, de démons...
Prenom : Amaya, du moins on me nomme ainsi
Age : d'après le nombre de printemps passés, je dirais dans les alentour de 15
sexe : féminin
Description :
Je suis un peu plus grande que la moyenne des filles, on me l'a souvent dit (environ 1m70 à la place d'environ 1m60) pour un poid modeste (environ 57 kg). Mes cheveux sont aussi noir que la nuit, ils s'entortillaient entre eux, s'emmèlaient, formaient des noeuds, jusqu'au jour où je dûs couper ma longue tresse (voir histoire), maintenant mes cheveux sont un peu plus lisses et plus court. Mes yeux n'ont aucuns reflets, et je fus traitée de monstres à cause de mes pupilles blanches, mais je souffris aussi à cause de mes oreilles pointues, ma soeur coupa la pointe pour son propre amusement.
histoire :
Je vins au monde il y a de cela 15 ans. Ma mère, femme de caractère mais de santé fragile, protégeait ses enfants donnant sa vie même pour le bonheur de ceux ci. Mon père ne se souciait que peu de mes 2 soeurs, de mes 3 frères ainés et moi. Je me rappelle que porter un nom était un luxe, une distinction des "nobles" et les paysans ne pouvaient se permettre d'en posséder un, alors je fus simplement appelée Amaya. Avec ma famille on vivait correctement, ni sans vrais bonheurs mais pas sans grands malheurs. Chaque jours, nous devions apporter à manger les hommes partant à la chasse ou à la pêche, les femmes cueillaient ou récoltaient le blé, mais je vivais heureuse anisi.
5 ans passèrent ainsi, j'étais plutôt chétive mais contrairement à ma mère de solide constitution résistant facilement aux maladies et aux rudes hivers qui s'écoulaient. Ma très chère mère mourut de froid, en agonisant de douleur... je me souvins de ses gémissements, de la façon qu'elle avait à se tortiller secouée par des spasmes et tremblements. Je me rappelle de ce jour là : Je courus précipitemment dans sa chambre pour lui apporter l'eau et la serviette. J'étais maladroite et je manquais souvent de tout faire tomber. J'ouvris lentement sa porte, elle était là, si tranquille. Je m'avançais près de son lit et posais ce que j'avais. Je posais ma main sur l'épaule de ma mère et tapotait un peu
"Maman?... Maman?"
Elle ne répondait toujours pas mais j'insistais :
"Il faut que tu te lèves, grand frère a dit que c'était bon de marcher un peu..."
Je commençais à la secouer mais rien n'y fit. Je demandais impatiemment
"Maman...! Lèves toi!"
Je ne comprenais pas pourquoi elle ne bougeait pas, ou alors je refusais de m'avouer la vérité. Je me rappelle de cette sensation que j'eu lorsque je touchai ses mains pour la tirer hors du lit ; d'une inhabituelle fraicheur... froide... gelée... Je hurlais et tombais à terre, tremblotante. Mes soeurs se sont précipitées, l'un d'elle me réconforta et l'autre vint voir maman. J'ai dû mal à me souvenir du reste, seulement des larmes, ou alors de grands silence, d'une tombe que l'on creusa... du regard vide de papa et d'une de ma soeur, Fierlissa, si effrayants tous deux. à partir de ce jour, rien ne fut plus comme avant. Mon père tua accidentellement un de mes frère à la chasse, un autre se perdit et on retrouva son cadavre trois mois plus tard, dévoré par des animaux, le dernier fut assassiné par un brigand de passage ou un tueur, je ne sus jamais qui . Quant à mes soeurs, l'une d'elle mourut de chagrin et la dernière resta. Mais, ma soeur s'acharnait sur moi, s'amusant à me torturer de différente manière, elle m'appelait monstre à cause de mes pupilles, avant maman la réprimandait à chaque fois, mais maman n'était plus là, maman ne pouvait plus me protéger, alors je subissais.
Un jour ma soeur m'emmena avec elle, me traînant de force par le bras. J'avais à ce moment là, 8 ans. Je hurlais, je frappais mais elle me rendait les coups bien plus fort. Elle m'emmena chez une amie à elle, ce fut la pire des choses qui m'arriva. Tout ses copains présents voulaient voir mes yeux, mes pupilles blanches, ils ne se génaient pas pour me traiter de monstres, d'horreurs, misérables et bien d'autres... Fierlissa m'attrapa, on m'immobilisa, elle prit un ciseau. Elle l'approcha de mon visage, je pleurais de peur je gigotais, et cela donnait encore plus de plaisir à ma soeur et ses amis. Elle trancha la pointe de mes oreilles net. Je hurlai de douleur, mais on continua de rire. Le sang coulait et on l'étala sur mon visage. La journée passa ainsi. Quand on rentra, mon corps était couvert de bleus, de plaies, je ne pouvais presque plus marcher. Je m'affalais sur le lit. Je m'endormis d'un sommeil léger.
Pendant un an je me cachais du reste de ma famille, pourtant je ne voulais pas partir de la maison, peut être pour ne pas laisser le cadavre de ma mère, c'était stupide. 9 ans, dont 4 ans de souffrance. Maintenant je ne criais plus, je ne hurlais plus, je restais impassible, indifférente. Quand ma soeur venait me chercher, je me cachais, quand mon père m'appelait, je m'enfuyais. Je ne vivais plus, je survivais. J'évitais tous contacts avec les humains, de peur de subir les moqueries, les tortures, pourtant je fus confrontée à une situation à laquelle je n'aspirais nullement mais pourtant ce fut le début de ma... "délivrance". Comme à chaque fois, je dormais d'un sommeil peu profond, me réveillant à chaques bruits, là mes yeux s'ouvrirent en grand quand un cri retentit. Je vins doucement voir ce dont il s'agissait. Une bande de brigand pillait ma maison, mon père tentait de fuir, laissant Fierlissa sous l'emprise des hommes. Bizarrement, je n'éprouvais ni peine ni plaisir. Je restais hors de vue, et assister au "spectacle" de l'arrestation de Fierlissa. Une main s'abattit sur mon épaule, je ne poussais aucuns hurlement, j'étais tétanisée par la peur, seuls mes yeux étaient grands ouverts. Je me retournais, c'était papa, il lui manquait un bras et il était couvert de blessures. Son regard trahissait la peur, et l'envie de vivre, je tremblais, l'observant fixement. Je ne vis pas arriver une épée qui transperça le cou de mon père. Le sang gicla sur moi, j'en avais sur mes habits, sur mon visage et dans la bouche, mais j'étais paralysée. Mon père s'écroula sur moi et je me dégageais de lui, je levais la tête, c'était un homme dont un masque recouvrait le visage. Il l'enleva, il était jeune. Il prit mon visage d'une poignée ferme, et me fit tourner la tête de droite à gauche, il fixait mes yeux. Il appela ses coéquipiers et certains vinrent. Tous avaient un masque. Je n'écoutais pas ce qu'ils disaient mais apparemment ils ne me voulaient aucuns mals. Un autres bruits, tel celui d'une explosion retentit et la maison s'écroula brusquement, d'un coup. Je sortis des gravas, j'avais eu beaucoup de chance, je n'avais que quelques hématomes. Je fuis loin de ma maison, titubant, mais fière de m'en être sortie vivante.
3 ans d'efforts pour survivre, trouver de quoi vivre, s'écoulèrent quand je pris mon courage, je partis en ville, habituellement je restais dans le désert de la nature. j'étais sale, je puais, et je ne portais que des loques. Je fixais le sol pour n'avoir à affronter auuns regards, mais à la vue de toutes ces immenses batîsses j'étais impressionnée. C'était magnifique et tellement grand. Un homme me bouscula et il se retourna pour savoir qui il avait heurté. Il vint à ma rencontre, et me rassura, pourtant je ne le laissais pas me toucher, je restais distante. Il me paya un lavage, de nouveaux habits, et se montra d'une grande gentillesse à mon égard je continuais cependant à me méfier et j'eu raison. Dans sa demeure, il essaya d'abuser de moi mais je le mordis à l'épaule et je partis. Une fois loin de lui, j'entendis parler des shinobis, ces hommes qui apprennent à se défendre. Peut être était ce là la clé pour vivre heureux, pouvoir se défendre et ainsi ne plus rien craindre de personne. Pendant 3 ans j'étais restée près du village, n'osant m'y approcher parce que je ne me sentais nullement prête, mais ce fut 3 ans de perdu. je réussis à vivre pendant un an, et à obtenir quelques vagues information de ci de là sur les shinobis. J'appris seulement que c'était des ninjas utilisant des techniques diverses.
Par un concours de circonstances, je partis car encore une fois j'entendis les surnoms de monstres et d'horrible bête, mais cette fois non seulement à cause de mes yeux ou de mes oreilles mais de ma couleur très pâle de peau. Cela m'attrista. Mon second voyage dura 2 ans, je vivais très peu dans les villes, y allant que pour quelques occasions. Un jour, je fus poursuivis pour avoir volé une simple pomme dans un arbre. Je sentis quelqu'un tirer sur ma tresse, et pour me libérer je dûs sectionner une très longue partie de mes cheveux avec une pierre pointue. Mes si long cheveux devinrent bien plus courts. Je parvins à quitter cet endroit et m'installais dans une région désertique, un simple désert. Le sable brûlant, le soleil cuisant, le manque d'eau... Je m'écroulais à terre. C'était intenable. Je ne voulais pas mourir... non... je me relevais difficilement et continuais ma marche. Devant moi se dressa soudainement... une ville? C'était mon tout dernier recours, mon salut. Je m'y précipitais, ainsi je pus m'y ressourcer. Ce monde était si étrange... Beaucoup de personne avait une peau si belle et doré tandis que moi... je gardais constament un teint pâle dû à ma constitution. Je me maudissais presque. J'appris par ailleurs qu'une académie formait des ninjas, accepterait il une fille tel que moi? Un monstre sans nom?
Nindo ; Je n'aspire qu'à une liberté de vivre, comme je le désire. Mais... qui est cet homme au masque?
Caractère
Amaya est plutôt distante, mais aussi curieuse. Introvertie et réservée, elle n'accepte pas de se faire toucher par qui que se soit de peur de subir les mêmes tortures qu'avant. Elle est facilement impressionnée, et effrayée aussi. elle espère ne plus subir de moquerie à cause de sa déformation d'oreille et de ses pupilles anormalement blanches. Elle n'ai pas habituée à la gentillesse des autres.
On peut penser ainsi qu'Amaya est une fille terne et sasns grande volontée, cependant elle rayonne d'une incroyable volonté de vivre et si on apprend à la connaître, c'est une fille joyeuse mais timide. elle reste prudente. Contrairement à beaucoup, parler de son passé ne lui fait ni chaud ni froid.
ce qu'elle aime : Elle apprécie la nouveauté, les immenses étendues ou elle peut se sentir libre
ce qu'elle deteste : subir les tortures morales, qu'on la traîte de monstres, de démons...