Nindo no Shinobi

Petit bâtiment qui ne sort du lot que par l'enseigne que l'on peut lire au dessus, Musée des Arts Littéraires et Picturaux , et par la pancarte située à l'entrée.

Sur cette dernière se lit :
Bienvenue au musée.
Vous pourrez admirer de nombreuses oeuvres tournant aussi bien autour du réel que de l'imaginaire:
- De nombreuses oeuvres littéraires remplissent les pans de sa bibliothèque.
- De nombreuses oeuvres picturales recouvrent les murs de ses couloirs.

Venez nombreux découvrir les mystères et secrets qui étreignent notre quotidien et son passé.

L'entrée est gratuite pour tous.

Bonne visite

Que de bons présages quand aux possibilités offertes par ce lieu.

L'entrée est gratuite, curieux, d'habitude la culture se paye (elle coûte même très cher au kilo !!).
Rapidement, il vous semble comprendre d'où provient cet avantage boursier puisqu'au bas de la pancarte de présentation, vous pouvez apercevoir un logo qui vous rappelle celui du conseil municipal de Yuki. Peut-être que la ville soutient la culture ??

Lorsque vous entrez, vous pouvez apercevoir de nombreux tableaux sur tout les murs et une enseigne sur votre gauche 'Bibliothèque, c'est par là'.

Aucun système de sécurité n'est apparent. Vous cherchez à comprendre et apercevez une feuille singulièrement punaisée sur un mur. En la lisant, vous comprenez que les originaux sont enfermés dans un coffre fort d'une autre habitation. Snif vous ne verrez que des copies; mais bon, il faut éviter tout vol.

[HRP: vous pouvez mettre ici, toutes légendes ou tous apports picturaux au sujet de votre personnage. Cette galeries pourra être utilisée comme un plus pour vos BGs (ceux qui veulent rentrer dans un clan), ou bien pour les histoires que voudront bien nous créer les modos, etc ...
Et pour que le musée soit plus facile à visiter, je sollicite une bonne âme pour qu'il fasse de ce topic un menu, dans lequel on trouve la présentation précédente, chacun ouvrira un topic sur sa légende(s'il veut).]

[La légende du Meigetsu no Pan’da par Izem]

Une fois de plus, Izem avait décidé de passer son temps libre à ce documenter sur ce village, sur cette région, ainsi que sur les arts ninja, afin de pouvoir évoluer plus vite au sein de la communauté shinobi de Yuki no Sato.
Il s’était donc rendu au Musée Yung, bâtiment discret qui se fondait parfaitement dans le reste de la rue. En cette journée, le début d’après midi, était plutôt ensoleillé, ce qui poussait plus les gens a sortir… de ce fait, le musée etait presque vide. Izem y entra sans attendre, car il avait apercut sur la facade le mot "gratuit"

* Je commence à apprécier de plus en plus ce village^^ c’est pas a Suna no Sato, ni nul part ailleurs dans kaze no kuni qu’on peut visiter des endroit comme celui ci gratuitement. Une chance ! *

L’apprenti ninja déambula ainsi durant toute une heure, avant de tomber sur une pancarte qui attira son attention…

Pancarte du musée a écrit :Meigetsu no Pan’da

Quinze siècles nous séparent de cette légende…
Un jour, un vieux coupeur de bambous découvrit une petite fille d'une infinie beauté dans une forêt de bambous au creux des montagnes de Kôri no kuni. Il la présenta à sa femme qui l'adopta sur-le-champ et la nomma Hatsuyuki Hime: " Princesse de la première neige".
La jeune fille, choyée par ses parents adoptifs, grandit rapidement et devint la plus belle femme de toute la région. Bientôt de nombreux prétendants se présentèrent pour la demander en mariage. Elle refusa de se marier avec de nombreux hommes, parmi eux, les plus riches…
Finalement, elle accepta pour époux un coupeur de bambous. Ensemble ils connurent plusieurs années de bonheur, et eurent un enfant, Shinai...
Mais une année, l'humeur de la princesse Hatsuyuki s'assombrit. Et, le huitième mois du calendrier lunaire elle dévoila sa vraie nature à son mari.
Elle lui révéla qu'elle n'était pas humaine et qu'elle appartenait au peuple de la lune. Elle lui annonça de plus que le 15 du mois, jour de la pleine lune, ses parents devaient venir la chercher.
Et, en effet, le 15e jour du huitième mois du calendrier lunaire, le roi de la lune, escorté par quelques-uns de ses fidèles, vint récupérer sa fille.
Les supplications des parents adoptifs et du coupeur de bambous furent vaines, les cris du fils de la princesse restèrent subjugués par l'éclat des êtres descendus de la lune.
Pourtant, la princesse aimait plus que tout sa famille, ainsi que cette terre qui l’avait accueillit. Avant de partir, la princesse Hatsuyuki remit à son mari un lourd parchemin, contenant selon elle une puissante invocation… Elle lui demanda de ne l’utiliser que lorsque le pays des glaces serait véritablement menacé.

Plus jamais on n’entendu parler de la princesse Hatsuyuki, et son histoire fut bientôt oubliée… Malgré cela, le rouleau continuait de se transmettre de génération en génération au sein de la famille du coupeur de bambou.

… Il y a dix siècles, un démon gigantesque vit le jour dans les montagnes de Kôri no kuni. C’était le démon des neiges, celui que l’on nommait parfois "touketsu no akuma". Il détruisait tout sur son passage, rayant de la carte plusieurs villages, ne se reposant jamais…

Jusqu’au jour ou le démon-panda vint l’affronter. Ce démon était monté par un homme… et cet homme était le descendant direct de la princesse Hatsuyuki. L’homme qui sauva le pays de la glace périt et le panda-samuraï pleura sa mort… Avant de disparaître, il marqua de son katana le flanc sud de la montagne entourant Yuki no Sato. On dit qu’une grotte fut alors crée… cependant, personne ne la découvrit jamais.

De cette légende, il ne reste que ce texte, ainsi q’une gravure, celle d’un artiste qui aurait assisté au combat légendaire des deux démons.

Izem resta de longue minute face à cette gravure… Il avait du mal à imaginer un combat de démon, surtout dans ce pays enneigé d’une pureté incroyable… Il chercha machinalement son paquet de tabac, puis se souvint qu’il était "interdit de fumer dans l’enceinte du bâtiment" …


* …Comme sa, il serait possible d’invoquer le seigneur des pandas ? Wow… Seulement, le rouleau a été perdu… Peut être se trouve t’il dans la grotte creuser par le katana du panda ? Mais cette grotte, personne ne l’a trouvé… Sa me rappel que moi aussi, je cherchais une grotte que je n’ai jamais trouvé… [cf mon BG] Et si... Si ces deux grottes n’en était qu’une ? *

Izem lisait et relisait la légende, examinait encore et encore la gravure… Seul, dans un des couloir du musée, il ne se souciait plus du monde extérieur…


(HRP : Si il y a des commentaires sur ma legende, aussi, n'hesitez pas, mp^^ )

Rifta parcoura les couloirs dans le but de comprendre ses origines.

*Peut-être qu'une légende traîne sur moi ??*
*Non, un enfant abandonné ne fait jamais la une des légendes.*
*Où peut-être sur ma famille???*
*etc ...*

Et le jeune Rifta continua la visite sans vraiment se soucier. Soudain, une estampe attira son regard



*Quel drole d'image.*
*pourquoi est-elle là ??*

et Rifta se pencha vers l'écriteau qui semblait appartenir à cette image:

Mr Yung a écrit :Légende des papillons et du scorpion

En des temps reculés, des s?urs attendaient patiemment le retour du guerrier le plus estimé de leur pays. L?une était belle et l?autre laide, mais leur amour pour cet homme était le même.
Chacune des s?urs connaissait le désir de l?autre, et ce, malheureusement pour la plus belle.
La plus laide, désireuse de revoir le guerrier et sachant pertinemment son désavantage face à sa s?ur, décida d?empoisonner à l?aide d?arsenic, le sel de cette dernière.
En plein milieu du repas, la belle s?endormit d?un sommeil profond. A des milliers de kilomètres de là, le guerrier eu connaissance de l?événement par le vent hurlant de la plaine.

De retour dans son pays, il retrouva la belle et délaissa la laide. Il prit le corps endormit et alla le cacher dans un lieu oublié de tous. Il revint plusieurs jours après, et coupa la laide à l?aide de sa lame empoisonnée.
Chaque jour, ce fut même spectacle. Le guerrier arrivait, il regardait droit dans les yeux de la laide qui se mourrait. Puis, on ne su pour qu?elle raison, un papillon arrivait et se posait sur elle, déployant sa trompe et la trempant dans la plaie empoisonnée.
Elle mit des mois avant de mourir d?un poison qui aurait dû la tuer en une semaine.

A la suite de cet évènements, on appela le guerrier de tueur aux papillons. Plus personnes ne l?approcha car il y avait toujours de magnifiques papillons qui voletait autours de lui.
Plus tard, le guerrier fut retrouvé mort empoisonné. Le papillon n?avait pu faire son oeuvre car, sur le corps du guerrier, était visible une bonne centaine de piqûre de scorpions.

Les croyants pensent que la belle s?était réincarné en papillon et tenta de sauver sa s?ur chérie. Les scorpions étaient une part de la laide qui se vengea.

Il ne savait pas pour quelle raison mais, il lui sembla que cette histoire devait lui appartenir mais où, et quand ?

Trop de questions qui continuèrent à l'assaillir tout le temps où il rentra chez lui et ce, jusqu'à ce qu'il dorme.

Moloch regardait l'image depuis déjà de longues minutes.
Il n'avait pas encore cillé.
Revenant dont ne sait où, il secoua sa grosse tête.
Un besoin impérieux l'avait conduit ici.
N'était le froid dehors, il serait sorti depuis un bon moment.
Et puis voilà qu'il était tombé devant cette estampe.
La même qui figurait, gravée sur la pierre de la grotte.
Lagrotte.
Sous ses yeux depuis tant d'années, son grand-père ne lui avait
jamais révélé quoi que ce soit au sujet de ce dessin.
Un demi-sourire se dessine sur son visage alors qu'il repense au seul
meuble qui traine dans cette satanée grotte, protégé par un sceau...

** quand j'y repense, j'en ai mal aux oreilles....
Hein grand père, rien que des babioles à toi dans ce coffre...
Pile la taille pour un rouleau... disons, d'invocation!**


Les mains croisées dans le dos, il observe encore un long moment la toile,
et relis la légende.
il secoue la tête.
**est-ce vraiment ce que je crois vieux brigand?**

Hausant les épaules, il regarde les autres occupants du musée, plus là pour éviter les rafales que pour profiter de ces trésors.
**La gratuité n'a pas que du bon...**

Constant une amélioration du temps, il décide de sortir,
l'école n'étant pas loin.
Ses pas martèlent le sol, faisant vibrer les oeuvres et leur cage de verre,
interrompant les amoureux en train de s'enlacer sur un banc.
La puissance de ses jambes et son poids combiné font s'envoler
la neige en de grands tourbillons, trainée iréelle le poursuivant sur
plusieurs mètres.

Fin du premier jour de cours.
Physiquement au top mais moralement ébranlé, Moloch n'en mène
pas large.

**Faudra que je cherche et que je trouve un endroit pour moi.
Squatter un musée, c'est pas top confort.**

En jouant le rôle de gardien et de conservateur, il passe, ramasse les papiers,
époussète les oeuvres avec délicatesse, et rapelle à l'ordre quelques
moutards venus là pour échapper au blizzard.

**Ah ces djeuns', aucun respect pour la culture.**

Il reste interdit devant une gravure toute simple.

Les cerisiers et le saule
Près de Nagasaki vivait un médecin philosophe nommé Shirobei-Akyama. Il était convaincu que l'origine des maladies humaines est la mauvaise utilisation du corps et de l'esprit. Ce précurseur de la médecine psychosomatique partit pour la chine où, disait-on, les techniques faisaient merveille. Il étudia les principes du Tao, l'acupuncture et quelques prises de Wou-chou, lutte chinoise qui utilise les projections, les luxations et les coups, et créée par un médecin pour rétablir rapidement les convalescents et développer harmonieusement le corps.
Rentré au Japon, Shirobei-Akyama enseigna à quelques disciples une vingtaine de techniques de réanimation et trois ou quatre attaques basées sur l'endommagement de certains points vitaux. Il avait compris le principe positif de la philosophie du Tao, ainsi que les applications pratiques en médecine ou en lutte. Au mal, il opposait le mal, à la force, la force. Mais devant une maladie difficile à définir ou trop puissante (ou un adversaire trop fort), les principes chinois ne tenaient plus. Les disciples du médecin se découragèrent et l'abandonnèrent. Celui-ci, perplexe se retira dans un petit temple et s'imposa une méditation de cent jours.
Au cours de cette ascèse, l'esprit de Shirobei atteignit une tension extraordinaire. Tout fut remis en question: la philosophie chinoise Ying et Yang, l'acupuncture qui en découle et enfin toutes les méthodes de combat. La question finale qui le torturait était celle-ci: "Si, lorsque j'attaque, je suis positif, je suis, par contre, négatif lorsque je subis une attaque. Or opposer une action à une action n'est fructueux que si ma force est supérieure à la force adverse. Comment être dans ce cas négatif (en défense) tout en gardant l'initiative de l'action? Puisque l'action positive est toujours annihilée par une action positive plus importante, comment subir celle-ci tout en la maîtrisant?"
Il se promenait un matin dans un jardin du temple, alors qu'il neigeait en abondance. Il écoutait le craquement des branches de cerisiers ployant sous la neige. Puis il vit un saule au bord de la rivière . Le poids de la neige courbait les branches. Le bois souple se débarrassait alors de son fardeau, puis reprenait sa position première.
Ce fut l'illumination ! Au positif, il faut opposer son complément: le négatif. A la force, il faut réagir par la souplesse. si un assaillant vous pousse, ne lui opposez pas votre force, car la sienne est supérieure, vous risquez d'être terrassé. A la poussée, cédez rapidement par un prompt et inattendu recul. Votre adversaire aura enfoncé une porte ouverte et déséquilibré, il choira à vos pieds. Si au contraire un adversaire vous tire vers lui, ne vous raidissez pas en une vaine résistance. Bondissez dans le sens de sa traction et, là encore, profitez du déséquilibre de l'agresseur pour le terrasser sans grand effort.
Le médecin de Nagasaki perfectionna alors l'attaque et la défensive en corps à corps et créa quelques centaines de prises. Ses disciples propagèrent son enseignement sous le nom de Yoshin-Ryu ou "Ecole du cœur de Saule".

Songeur, un sourire vague au lèvres, il continue de réfléchir à cette
histoire.
**Il ne me faudra pas cent jour d'ascèse pour comprendre...
La voie du Taïjutsu est faite pour moi.**

Terminant l'entretien du musée, il s'emmitouffle dans un manteau
tellement énorme qu'il aurait pu passer pour une mongolfière
aux yeux d'un enfant.
**Trop serré... faudra que je demande une avance sur ma paye
d'étudiant pour m'acheter des fringues à ma taille.**

Il sort, les mains enfouies dans les poches et la tête dans les épaules
pour se protéger du froid mordant.

**Il faut qu'ils m'acceptent. Ils peuvent m'aider.**
se dit-il en se dirigeant vers la résidence du chef du clan Seîro.

Moloch rentrait.

Il avait passé plus de temps dehors qu'il ne l'aurait cru.
Il avait faim. Mais dans sa "maison", le musée qu'il squattait,
la nourriture était loin d'être abondante.

Il regardait avec envie ce qu'il croyait être au départ une oeuvre d'art,
dont l'étiquette stipulait:

Nouilles sautées ayant appartenu au Grand Korikage

Le paquet, ouvert et entamé, était protégé par une cloche de verre.

Poussant un soupir résigné, il commença à farfouiller dans la reserve du musée.
Dans ce bric-à-brac de toiles et de sculptures, il ne trouva que quelques
cacahouètes (!) oubliés là par un gardien peu scrupuleux.

:idea:

**A l'entrée, le charriot de bouffe!!**

Il se précipite sur ledit charriot, prenant grains sauteurs (faudrait inventer
un nom pour ces drôle de graines blanches, résultat de l'explosion
du mais dans de l'huile chaude) par pleines poignées pour se les enourner
dans la bouche.

Après quelques minutes, un petits tas de papiers d'emballage jonchent
le sol. Moloch, se frottant le ventre avec un sourire extatique,
semble enfin repu.
La porte du charriot vide baille sur ses gonds, comme un repproche.
Moloch, la bouche couverte de chocolat, ramasse les papiers
pour les jetter.

La poubelle fait face à une surface réfléchissante.
Un mirroir qui permet au mastodonte de s'admirer COMPLETEMENT,
chose qui n'était pas arrivée depuis un bout de temps.

Il se regarde interloqué:
**Whooa, j'ai encore grandi ! la barbe, ça s'arrêtera jamais ?**

Une statue a été placée là, près de ce miroir, sans doute une lubie du
conservateur pour la dédoubler...
**AH la la... faudrait accorder un budget plus gros pour la culture
à Yuki... si on essaie d'augmenter le patrimoine en refletant ce qu'on
a déjà... on est mal barrré**

Moloch fronce les sourcils:
**Pourquoi je pense ça moi, on s'en fout! pense plut^tot à comment rattraper ton retard par rapport aux autres**

Fixant la statue, Moloch rumine de sombres pensées.
re :idea:
**Statue... reflet... double...HENGE!! Je peux m'entrainer ici!
Et puis mon modèle va être conciliant, ne va pas bouger, et va
être patient ! que demander de mieux!
Heureusement que j'ai retenu les signes en cours!**
se félicite-t-il intérieurement.

Il se gratte le menton, en proie à un doute existentiel.
Le "scritch scritch" de ses doigts sur la barbe naissante
lui permet de réfléchir plus posément.

**Bon, elle est nue. Cette statue est nue ! Faut que j'arange ça,
je vais me les cailler sinon.**
Aussitôt dit, aussitôt fait.

Moloch va chercher dans le musée une obscure écharpe ayant apartenu
à un obscur ninja pour d'obscures raisons.
L'écharpe est noire (obscure quoi).
Il l'enroule autour de la taille de la statue, ce qui lui fait un magnifique
paréo très tendance.
Il ôte ensuite son manteau-mongolfière et le pose sur les épaules
de la statue, heureusement presque aussi grande que lui.

"Bon,... je vais t'appeller Bob. T'es beau maintenant. Ca te va pas aussi
bien qu'à moi, mais au moins, t'es couvert. D'ailleurs, a partir de maintenant,
tu me servira de porte manteau.
Et de porte arme aussi!"

Moloch va chercher son totem, appuyé contre un mur, et le fait
reposer sur le bras de Bob.

"Bon bobby, tu ressembles à rien, et il te manquerais une casquette
pour te différencier d'un homme des cavernes.

**Mais alors tu aurais trop l'air d'un Amerlock.**
pense Moloch sans le dire pour ne pas froisser son nouvel ami ( :!: )
[Note: pour nos amis incultes, les Amelocks sont un peuple
aujourd'hui disparu, à cause de leurs valeurs et leur course
au progrès effréné, mais à qui l'ont doit cependant le
ninja-cola. Vu dans la salle 3 du musée]

Respirant à fond, Moloch se concentre pour enregistrer le maximum de détails de Bob pour bien le reproduire.

HENGE!!

Bon, là, évidemment, rien ne se passe.

**Bah... pourquoi que ça marche pas ?
Moloch... espèce d'âne, pense aux signes!!**

Toujours en train de détailler son amie la statue, (bizzare comme phrase,
prise hors contexte hein?) Moloch pense cette fois à composer les
signes. lentement, certes, mais dans l'ordre adéquat.

-Henge!
*POUF!*
**ah!!!???? .... fumée!! c'est bon signe ça!**

CA y est!... non, il a pas réussi, mais Moloch est enfin "fashion"!

** et mer...credi. Saleté de paréo.**
Moloch a gardé son intégrité physique, mais il n'a pas changé d'un iota,
a part cette superbe copie de l'écharpe obscure qui lui ceint
maintenant la taille.

**Pff, mais qu'est ce que je fais mal...??**

découragé, il repense à son entrainement au Kinobri, lorsqu'il arrivait
presque facilement à concentrer...
**LE CHAKRA!!!!** re-re :idea:

Moloch secoue la tête devant tant de bêtise, la sienne.
Il prend cette fois un temps de concentration et de regardage
conséquent.

Bob est inscrit dans son esprit. même en fermant les yeux, il voit
l'ongle de son auriculaire avec précision.
Il attend que les petits picottements apparraissent, signe révélateur
de la présence de Chakra.
Lui qui peut faire des exercices physiques pendant des heures sans
s'essouffler, le voilà qu'il sue à grosse gouttes pour essayer de
rassembler son chakra "mental" pour le mêler à son chakra
corporel, bien plus facile à atteindre et manipuler pour lui...

CA y est, il pense être arrivé aux bonnes doses.
Il éxécute les signes.
Puis clâme sans crier:
-Henge no jutsu!
Les vitres tremblent à cause de la puissance sonore de sa voix.

*pouf*

Rifta arriva rapidement dans le musée. Il fallait à tout pris récupérer le documents demandé par son père adoptif Kenishi.

*Viteeeee !*Gniiiiiik fit le sol, au moment ou Rifta fait son virage.
*Bord... de pu... de sol ciré! Il me faut vite le papier*

BONK
Notre jeune apprenti patineur sur glace trouva enfin la porte de la réserve. Certes, ce fut bref, mais intense.

Après quelques minutes, ils revint à lui et put chercher le documents.
*Voyons voir celui-là*

Les couples qui trahirent Kindoryu a écrit :
Il fut un temps où, dans le village reculé de Kindoryu, la traîtrise frappa, mais tout d’abord, laissé moi vous conter l’histoire d’un jeune couple.

Une très charmant damoiselle et un jeune homme à l’apparence robuste, habité dans un village quelque peu inconnu. Le responsable de la communauté essayé par tous les moyens de faire revivre ce lieu écrasé sous les taxes.
Il demanda donc à deux de ses villageois de se présenter devant lui, vous l’aurait compris, il s’agit de nos précédents amoureux. Il les fit demander car, sur tout le village, ils devaient être les plus instruits sur tout ce qui se rapproché des méthodes modernes de médecines. Un contrat fut rapidement signé par les deux parties.

Sur celui-ci était stipulé que les deux tourtereaux se devaient de mettre leurs services au profit de la communauté dans le but de lui permettre de traverser cette période de crise, et c’est ce qu’ils fient. De nombreux couples suivirent le même chemin pour terminer l’œuvre plus rapidement, et enfin pouvoir vivre dans la prospérité

Un an plus tard, le contrat fut corrompu et volé par les deux amoureux. La personne principal du village n’eu d’autre choix que de mander de l’aide aux ninjas du village caché pour que les faux contrats reviennent à Kindoryu. Seulement, durant une année de travail aux contact de nombreuses personnes, les jeunes corrupteurs avaient eu le temps de retourner certaines personnes contre le représentant du village. Ce dernier n’eu d’autre choix que de demander la peine de mort pour nos deux jeunes tourtereaux, ainsi qu’une réprimande conséquente contre les opposants.

Au début de ces évènements, un bracelet fut offert au jeune couple en signe de respect et de remerciement, mais celui-ci ne fut jamais retrouvé. Il permettra, à celui qui le ramènera, de reprendre sa place au sein du village ; il est courant de dire que les descendants ne sont pas responsables de la faute des ancêtres

"Yeaaaaah ! Je l'ai."

Rifta décida alors de rentrer le plus vit chez lui car il fallait absolument remmetre ce document à Kenishi. Le patinage, pas du tout artistique repris de plus bel.

Gniiiiiiik , Gniiiiiiiik
Gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiik

"Henge no jutsu"

*C'est quoi ce bor... ! Oh non, noonnnnn!*

La surprise de la voix détonnante couplé avec une course sur un sol trop ciré, entraina la chutte inévitable de notre artiste qui se vit brillament tombé sur son postérieur pour ensuite foncé vers un semblant de statue émergeant d'un nuage de fumée.

"Aaaaaaaaaaaah, aaaaaaaaattentiooooooonn"
BONK

Et évidemment, la violence du choc mis KO notre pauvre lugeur (sans luge)

HJ: je me base sur ma fiche technique : henge est marqué /hj

**Réussi !**
Très content de lui, Moloch sent à peine le garçon qui se cogne contre
lui.
Après s'être admiré sous tous les angles, il baisse les yeux vers
la forme qui git à ses pieds.

**Ben! Comment ? ...**
Il se baisse pour le ramasser, après avoir retrouvé sa forme normale,
et le traine jusqu'à un des nombreux bancs qui parsemment le musée pour assoir l'évanoui.

De petites claques assenées par de grandes mains : voilà qui doit être un puissant
moyen de réveil.

**C'est qui celui là encore...?**

BAFFE, BAFFE
et RE-BAFFE

"Hein quoi ?? Que ...?"
"mais Aïeeeeeeeee !!!

C'est alors que Rifta, enfin réveillé par notre grande brute au mains si calinent (dans les rêves), bondit du banc. Et sans avoir jeté un coup d'oeil sur celui qui vient de le réveillé , ...

"Mais c'est quoi ce bor..l !!!"
"Y en a qui squatte les couloirs et qui réveillent les évanouis en leur refaisant la façade."

La scène est assez amusante car il est facile de remarquer une montagne assise sur un des bancs du musée. Pour un oeil plus atentif, il sera possible de voir une petite crotte pointer un doigt acusateur sur cette montagne sans pour autant, lui adresser un regard.
Soudain, la tête se releva brusquement, comme pour essayer de faire peur à la personne qui fait face. Très rapidement, les grimaces de douleurs et de colères laissent placent à une suite de rictus d'embarras et de couleurs les plus improbables. Le visage de Rifta a sû passer par une multitude de pastels qui laissèrent transparraître la peur qui monta en lui.

"Euh bonjour !!!"
"Je me nomme Rifta et je m'excuse pour mon comportement de tout à l'heur mais il se trouve que , par la faute de la douleur et à la suite de mon évanouissemnt, je n'avais pas réalisé que je faisais face à un géant. Euh non .... pardon .... pa ungéant, mais plutôt un grand gaillard .... et balblabla ..."

Et Rifta n'en finit pas de se courber en signe d'excuses

Moloch écarquille ses petits yeux, ce qui, foncièrement, ne change pas
beaucoup son faciès.
Il a toujours cet air de tueur décérébré, mais son air d'abruti atteint des sommets.

** Ah oui... il s'est vraiment fait mal le pauvre.... Il raconte n'importe
quoi, il a une sale tête... et ... IL CHANGE DE COULEUR?**

-"Tout va bien, tout va bien."
essaye-t-il de le rassurer de sa voix grave et puissante qui a sans doute
le même effet tranquilisant qu'un marteau piqueur pour endormir un
nourisson.

**Il bafouille en plus... il a du avoir un traumatisme...**

Moloch prend Meidonkin par le bras, le soulève sans effort, relache la pression
pour qu'il puisse avoir les pieds au sol et déclare:

-"On va aller à l'hôpital. Tu seras mieux que chez moi... enfin, ... dans le musée. Mais ... y'en a un au moins ici?"

demande-t-il au garçon qu'il traine derrière lui, juste avant la sortie.

*Ahhhhh, mes pieds ne touchent plus le sol ....*
*Ah si, cà y est !*

*Wahou, qu'elle force*

"Euh merci mon grand."
"Comment ça! le musée n'est pas une maison; et puis non, j'irais pas à l'hopital, nah !!"

"Mais dis-moi, tu veux pas venir chez moi, mes parents ne seront pas contre le fait que j'amène un copain a diné.
Il faudra juste que je pense à leur ramener le documents que ...
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAhhhh
J'ai dû le perdre !!!!!!!!!!!!!
Il faut vite le retrouver."

Et voila que Rifta plonge vers le sol dans le but de chercher un petit rouleau dans tous les recoins et sous tous les meubles.

"Vite, on m'attends!! et en plus, il est très important pour moi !!"

Mais déjà Il ne se soucis plus de savoir ce que fait son nouvel ami. Soudain, il s'arrète (dans une position pensant qu'il est à l'affût) et tourne sa tête vers Moloch.

"Mais au fait, je l'ai perdu où ??? C'est où que c'est que l'on s'est rentré dedans, hein ??

** Il change vite d'idée lui...**
Soupira Moloch en se rendant à l'endroit où trône Bob.

**Mais il m'a proposé de venir dîner chez lui. Gentil le gars.
Il me connait vraiment pas pour me proposer ça à moi.
Ses parents vont avoir peur, et si jamais je viens, leur
garde manger va en pâtir. Non, je vais refuser...**
pensa-t-il avec un semblant de sourire en ramassant le papier
perdu.

Il l'apporta au jeune homme, toujours à quatre pattes, et le lui tendit:
-Tiens, ça doit être ça que tu cherches. C'est quoi ?
Si c'est pas indiscret .
demanda-t-il en s'apuyant contre la chambranle de la porte.

Il observa attentivement Rifta, les yeux plissés, et soupçonneux, lança:
"T'es sûr hein, tu m'as l'air pâle. Ils vont pas te faire de piqure à l'hopital,
si c'est ça qui te fais peur et...


**Bordel, lui parle pas comme à un gamin, il est étudiant lui aussi !**

-"Au fait, tu m'invites à manger, mais je me suis pas présenté, heu, Rifta.
Je suis Moloch, je reviens de la montagne, où vit mon grand-père.
Peut-être qu'il va descendre d'ailleurs...et..."

**Il s'en balance de ta vie, tend lui la main, c'est comme ça qu'on fait quand on est
civilisé! Tes histoire de sauvages qui viennent de la montagne vont
le faire fuir!**


Moloch avance lentement son bras, au bout duquel une machine de mort
immense s'ouvre lentement, comme pour engloutir et broyer tout ce qu'on aurait
le malheur d'y fourrer... Ce piège fatal, sa main, s'arrête à quelques centimètres
de Rifta...

**Ahhhh, il va m'en coller une ........
euh non, tiens, il me tend la main .....

:idea:

... c'est pour dire bonjour

Rifta se relève enfin et tend sa main vers Moloch pour le saluer. Il ne remarqua pas qu'il venait de faire les poussières accumulées sous les meubles depuis au moins cinq ans; sa mère va surement l'enguirlander de retour au logis.

"Salut Moloch.
Merci pour le parchemin. en fait, il s'agit d'une possible preuve à propos de mon appartenance à un clan, enfin bref, je fais pas te faire un dessin car se serait un peu long, mais j'ai été abandonné par mes parents, je me suis enfuits de l'auberge où j'étais puis suis arrivé en ville et fut recueillit par la famille, dont le père entretient ce musée, à la suite d'une histoire de journal, je lui est raconté ma vie, et il se trouve que ça lui rappela le papier que j'ai en main, il devait venir le chercher mais il s'est trompé de parchemin, aussi je m'y suis collé. (reprise d'e respiration après avoir dis ce texte d'une seule traite).

"Pfuuuu, pfuuuu."

"Ensuite, je ne suis pas pâle, c'est ma couleur naturel de peau, peut-être parce que je ne suis pas assez allé au soleil lorsque j'étais gamin."

"Et toi, c'est quoi exactement ton histoire de montagne ??? Et sinon, t'as pas de chez-toi ???"

HRP: le ninja qui change d'idée plus vite que son ombre

Moloch regardait ce petit homme à la peau blanche, qui lui rappellait étrangement une élève...
**Maya... Une heikin je crois... Hmm. Sans doute pas de liens entre eux.**

Revetant son masque de "Sage imperturbable" pour éviter de sourire,
Moloch attendit qu'il ait fini, et pour être sûr, lui laissa encore une minute
suplémentaire pour caser une autre phrase.

**Bon, il doit avoir vraiment fini cette fois. Il parle trop. Beacoup trop.
Ce n'est pas le genre de personne à qui on peut confier des secrets.
On va éviter de trop lui en dire.**

Après avoir amicalement broyé la main de son camarade, Moloch expliqua:
"Je reviens de la montagne, fait-il en désignant son dos du pouce,
où mon grand-père m'a élevé pendant presque 5 ans. Il m'a appris beaucoup de choses, mais il se trouvait trop vieux pour m'enseigner ce que
je voulais savoir : les techniques ninjas.
J'ai du redescendre ici, en ville pour m'inscrire à l'académie.
J'ai vécu ici un temps, mais en 5 ans, la ville s'est agrandie, et ce musée
ce dresse à la place de mon ancienne maison.
Je ne savais pas que ton père se chargeait de l'entratien, en tout cas,
je ne le vois pas souvent.
Et puis, je m'en charge aussi, ça lui fait moins de travail.
Et je me dis qu'en m'occupant de ce musée où personne ne vient, j'ai
plus ou moins le droit d'y rester..."

Il embrassa la salle du regard avant de reporter son attention sur Rifta:

"Tu pourrais demander à ton père si je peux rester ici ?"
demande le colosse en se tordant nerveusement les mains.

**Son ancienne maison était ici ?? Y a combien de temps ??**

Et rifta vit Moloch se frotter les mains. on aurait dit qu'il était en train d'essayer de broyer une pierre.

"Eh bien, si tu veux pouvoir rester ici, je pense qu'il n'y a pas de problèmes. Néammoins, il faudrait demander à mon père pour être sûr.

Avec un peu de chance, il te trouvera un lit ...
Mais s'il te plaît, ne saute pas de joie, tu pourrais faire s'effondrer le musée."

[HRP: Je sais, c'est un peu court, mais je suis à court d'idée.
Si ta réponse est positive, Kenishi Yung te proposera, soit de dormir dans une chambre chez lui, soit de dormir dans la loge censé servir au gardien. Dans tous les cas, il te demandera d'entretenir un minimum le musée, avec en contre partie, le lit et à manger gratuit.
Pour ma part, il faut que mon perso rentre donc il me reste un post pour partir. Tu peux venir avec moi afin de causer avec mon père adoptif. Si c'est le cas, envoie moi un mp que je créé la maison des Yung.]