Nindo no Shinobi

Lee n’en donnait pas l’air, mais il avait attentivement écouté ce rasoir jetable dit Musashi. La clé à cliquets du castor épileptique serait dure, et même s’il était tout sauf d’accord avec le coquelicot, il savait qu’il ne pouvait rien contre.

Musashi «J'aime les hommes» Akaito

" Nous y sommes , la roue de secours qui se dessine à l’horizon n’est autre que Kaze «Ca sent l'sapin !» Kanson...

Aoshi «el cretino» Tsukyo

*Des bas à varices ? Ce demi pression peut manipuler les sans-papiers ?

Shinshi «Je t'ai collé un de ces smashes !» Shinjû

Leowliow se kowncentwa quelques instants and malaxa sown chakwa avant offe ze libayway tiout en houwlant

“Kage Bounshin now joutsou”

50 klownes offe l’owmbwe se tenayt mayntenant devant ze jûnin, ils aytayent en tiout poant identiques ha l’owiginal.

« Bown, messieuws voalha ze plan. Nious devowns kownstwouiwe oun naviwe piouw allay souw l’oune offe ze nowmbweuses iles offe Kiwi, vious allay downk vious divisay en plousieuws gwioupes. On va diwe 5 gwioupes avek chacoun 10 membwes dedans. Et piouw bien vious wekownnaytwe vious powtayay chacoun oun bwassawd d’oune ciouleuw diffaywente.
L’ayquipe wiouge saya chawgaye offe dwessay ze plans offe ze naviwe.
L’ayquipe beuleue devwa allay cioupay offe ze boas en gwande quantitay k’est l’ayquipe offe ze bûchayowns.
L’ayquipe vayte iwa dans ze ville ze plous pwowche, je vays vious expliquay piouwquoa apways.
L’ayquipe jowne tayllaya ze wowndins offe boas appowtays paw l’ayquipe beuleu piouw faywe ze kowque offe ze naviwe.
Et enfin l’ayquipe noawe s’owccoupaya offe tious ze ayquipements offe bowds : ha savoaw kowmpas, ze bawe… mays owssi offe tious ze aylayments esthaytiques kowmme ze pwioue, ze ciouleuws…

Voilà qui ne saurait abuser de fins limiers comme l'Araignée ! Nous avons trop d'expérience et de cadavres exquis à notre actif. Cela me rappelle d'ailleurs les propos grivois d'un médecin légiste qui demandait à son assistante Frida si elle connaissait cet autre BabOOn étendu sur la table d'opération. - Ne m’en parlez-pas ! fit-elle, je ne le connais que trop ce cadavre ! Ce n’est qu’un vulgaire amateur de zeugmes, de métaplasmes et de métonymies. Il ne jouit qu’avec les métonomasies, les paréchèmes et les parellipses. - Parbleu, dit le docteur, et les paremptoses, pratique-t-il les paremptoses ? - Oui, docteur, et aussi les paremboles. Il ne prospère que dans la prosthèse et la prosodie. Il se repaît de sigmatismes. - De sigmatismes aussi ! Soit, mais dites-moi, adorable Frida, il commet bien quelques pléonasmes, solécismes et barbarismes ? - Oh, que oui, docteur, il lui arrive de violer les règles les plus élémentaires de la syntaxe. Il abuse de syllepses, de synalèphes, de synérèses et de synecdoques ! Alors, vous imaginez ! De quoi sombrer dans la syncope ! Cet homme est capable de proférer des autonymes en plein hiver ! - Diantre ! Fréquente-t-il l’aphérèse et l’asyndète ? - Moins souvent, mais il est friand d’amphibologie. - Et vous, ma chère Frida, savez-vous que sucer prend une cédille devant le a et le o ? - Oh ! Docteur ! Tout le monde sait dans cette clinique que vous n’avez pas besoin d’opothérapie pour votre mandrin. - N’atermoyons plus, Frida. Puis-je vous faire une proposition copulative ? - Pas de périssologie entre nous, docteur, vous le savez bien, dit-elle en lui offrant son indéhiscent pistil, légèrement infundibuliforme. Le docteur se rua dessus, bousculant le BabOOn moribond qui tomba mollement de la table.