(d'ailleurs si vous en avez en stock... hein. ^^)
* Mel fait un check des meilleures répliques afin de les intégrer à un scénario de JDR, dans la bouche d'un PNJ très spécial. *
(Y'en a qui cadreraient pas mal avec N'Hana aussi... ^^)
On n'a pas violé la loi, elle était consentante.
Dans le doute,.... frappe encore.
Y'a des jours ou faut pas me chercher, et y'a des jours tout les jours.
- Il dit qu'il veut se battre en duel à mort avec toi...
- Eh ben je savais qu'on finirait par s'entendre !
BASTON !
" Plan B : réessayer le plan A plus fort ! "
- Ce n'est pas négociable.
- C'est con, parce que l'autre solution c'est ma hache dans ta gueule...
- On... On doit pouvoir négocier...
" Je suis pas idiot, c'est toi qui parle trop vite, et si j'te casse les dents t'auras pile le bon rythme... "
" Empalez, c'est pesé ! "
- Il a l'air fâché...
- Non, c'est un barbare, il est toujours comme ça.
- Dîtes, vous allez pas me faire chier pour une fois que j'suis de bonne humeur, nan ?
" Si ça saigne, c'est qu'on peut le tuer ! "
- C'est mortel?
* Hum.. Oui !
- Alors c'est pas un problème.
" Tuez-les tous... et achevez les survivants ! "
- Pourquoi t'as appellé ta hache " Mon Chien " ?
- Parceque "mon chien" est le meilleur ami de l'homme.
" Et hop, sans les mains ! "
" J'ai un hobbit et il est chargé." *lance le hobbit*
- Rustre.
- Que Crom te bénisse.
- Fais-toi plaisir, frappe d'abord... Après, t'auras plus l'occasion.
" N'attend pas d'excuses de ma part. La seul chose polie ici, c'est mon arme. "
On peut y ajouter : " Elle reflète ma manière de penser. "
* en se retirant une flèche du front *
- Ha ha ha ! Vous n'avez touché aucun organe vital !
AIDE OFFERTE À MAJORIEN
PRÉTENDANT À L'EMPIRE
Germanie. Forêt. Crépuscule. Camp. Majorien à un créneau.
Une immense horde humaine emplissant l'horizon.
UN HOMME DE LA HORDE.
Majorien, tu veux de l'aide. On t'en apporte.
MAJORIEN.
Qui donc est là ?
L'HOMME.
La mer des hommes bat ta porte.
MAJORIEN.
Peuple, quel est ton chef ?
L'HOMME.
Le chef s'appelle Tous.
MAJORIEN.
As-tu des tyrans ?
L'HOMME
Deux. Faim et soif.
MAJORIEN.
Qu'êtes-vous ?
L'HOMME.
Nous sommes les marcheurs de la foudre et de l'ombre.
MAJORIEN.
Votre pays ?
L'HOMME
La nuit.
MAJORIEN.
Votre nom ?
L'HOMME.
Les sans nombre.
MAJORIEN.
Ce sont vos chariots qu'on voit partout là-bas ?
L'HOMME.
Quelques-uns seulement de nos chars de combats.
Ce que tu vois ici n'est que notre avant-garde.
Dieu seul peut nous voir tous quand sur terre il regarde.
MAJORIEN.
Qu'est-ce que vous savez faire en ce monde ?
L'HOMME.
Errer.
MAJORIEN.
Vous qui cernez mon camp, peut-on vous dénombrer ?
L'HOMME.
Oui.
MAJORIEN.
Pour passer ici devant l'aigle romaine,
Combien vous faudra-t-il de temps ?
L'HOMME.
Une semaine.
MAJORIEN.
Qu'est-ce que vous voulez ?
L'HOMME.
Nous nous offrons à toi.
Car avec du néant nous pouvons faire un roi.
MAJORIEN.
César vous a vaincus.
L'HOMME.
Qui, César ?
MAJORIEN.
Nul ne doute
Que Dentatus n'ait mis vos hordes en déroute.
L'HOMME.
Va-t'en le demander aux os de Dentatus.
MAJORIEN.
Spryx vous dompta.
L'HOMME.
Je ris.
MAJORIEN.
Cimber vous a battus.
L'HOMME.
Nous n'avons de battu que le fer de nos casques.
MAJORIEN
Qui donc vous a chassés jusqu'ici ?
L'HOMME.
Les bourrasques,
Les tempêtes, la pluie et la grêle, le vent,
L'éclair, l'immensité ; personne de vivant.
Nul n'est plus grand que nous sur la terre où nous sommes.
Nous fuyons devant Dieu, mais non devant les hommes.
Nous voulons notre part des tièdes horizons.
Si tu nous la promets, nous t'aidons. Finissons.
Veux-tu de nous ? La paix. N'en veux-tu pas ? La guerre.
MAJORIEN.
Me redoutez-vous ?
L'HOMME.
Non.
MAJORIEN.
Me connaissez-vous ?
L'HOMME.
Guère.
MAJORIEN.
Que suis-je pour vous ?
L'HOMME.
Rien. Un homme. Le romain.
MAJORIEN.
Mais où donc allez-vous ?
L'HOMME.
La terre est le chemin,
Le but est l'infini, nous allons à la vie.
Là-bas une lueur immense nous convie.
Nous nous arrêterons lorsque nous serons là.
MAJORIEN.
Quel est ton nom à toi qui parles ?
L'HOMME.
Attila.
La Légendes des Siècles , Victor Hugo.
- C'est quoi ton plan ?
- On rentre dans la pièce, je commence par les frapper fort au visage et on voit ce qui se passe ensuite.
- Quand on les frappe suffisamment fort, ils devinent tous seul la question !
" J'vais te tuer jusqu'à ce que tu sois mort ! "