Prénom(s) : Tetsuo
Clan: Akimichi
Âge : 14 ans
Sexe : Masculin
Groupe sanguin : B+
Description physique : Bon, il ne m’est pas facile de parler de moi, mais je tâcherai de faire mon mieux. Je n’irai pas m’appuyer sur les détails qui peuvent différer d’une personne à l’autre, mais plutôt sur tout ce qui ne peux être discuté sur ma personne.
Premièrement, commençons par mon apparence général. Déjà là, plusieurs personnes restent perplexes. Contrairement aux membres de ma famille, je ne suis pas très corpulent, même que je suis considéré extrêmement petit à leurs yeux. En fait, pour se diriger vers les chiffres, je mesure à peine quelque chose comme 1 mètre cinquante centimètres pour quarante et deux kilogrammes. En fait, c’est même très peu pour une personne normale. Bon, je suis tout de même un tout petit peu plus lourd que certains, mais vous avez tous déjà vu des Akimichi avant, non? Il ne faut pas croire que c’est dû à un régime, loin de là. Je mange, je mange et je mange encore. Même mes parents me disent que je mange énormément. On dirait bien que mes gênes me permettent de ne pas prendre beaucoup de poids. J’espère de tout cœur que plus tard, cette différence ne m’apportera pas de problèmes lorsque ma famille tentera de m’apprendre les techniques du clan.
Passons maintenant à mes cheveux. Personnellement, je préfère les avoir longs, et c’est pourquoi je me les laisse pousser. Ils m’arrivent maintenant juste au-dessus des fesses, et je dois avouer que je suis plutôt content de cela. Ils sont d’un brun assez clair. Ah! J’ai oublié de préciser que je les attachais environ au niveau du cou, car même si je les préfère longs, je ne voudrais pas qu’ils viennent trop me déranger pendant une autre activité. Aussi, je ne me préoccupe pas de les coiffer, ce qui fait que la plupart du temps, j’ai quelques couettes sur le haut de la tête.
Mes yeux sont couleur marron. Il n’y a pas vraiment autre chose à dire sur la couleur de mon iris, bien que ma mère m’a déjà fait la remarque qu’il prenait une légère teinte grise lorsque soumis à une certaine quantité de lumière. Moment unique ou qui se répète? Je ne pourrais le dire, car je ne suis pas quelqu’un qui se regarde constamment dans le miroir. Le reste de mon visage est assez banal. Je ne pense pas avoir un gros nez, sans pour autant qu’il soit petit et les traits de mon visage n’ont rien de vraiment extraordinaires. Par contre, peut-être est-ce un visage un peu plus vieux, puisque certaines personnes pensent que j’ai un ou deux ans de plus.
Pour le côté vestimentaire, c’est sûr que j’ai des préférences. Premièrement, au niveau des couleurs, je préfère celles qui sont plus voyantes, comme le rouge vif, le bleu ciel, le jaune, l’orange, le vert, bref, tout ce qui est visible. Je les préfère aussi sous forme de chemise légère car je me met rapidement à suer, alors je n’ose pas imaginer avec des vêtements chauds. À quelques occasions, je porte un petit gilet, normalement noir, sous mes chemises, bien que cela soit assez rare. Mes vêtements de ninja, quant à eux, ressemblent beaucoup à mes habits normaux. Les seules différences sont les culottes courtes et la ceinture de soie noire qui empêche ma chemise de se perdre dans le vent.
Caractère : C’est ici que l’on touche un sujet délicat. Suis-je aimable? Ou au contraire, suis-je quelqu’un de très désagréable? Ce sont des questions à lesquelles je ne peux répondre catégoriquement, mais je vais tout de même tenter de le faire en me basant sur la personne que je crois être ainsi que sur les commentaires que j’ai entendu à mon égard.
Plusieurs me disent que je suis quelqu’un facile d’accès. Je ne me met pas à parler sans arrêt puisqu’au contraire, je préfère écouter, mais je reste toutefois très poli en parlant à mon tour pour interagir avec mon interlocuteur. Toutefois, je ne me qualifierais comme une personne empathique, car je ne me dirige pas vers la autres, attendant que ces derniers fassent le premier pas. En fait, c’est surtout dû à ma grande gêne qui m’empêche de commencer une discussion ou encore à agir le premier sans qu’on me l’ait demandé. Je travaille très dur pour arranger cette partie de moi, mais certaines habitudes restent tout simplement encrées dans une personne.
Hors d’une discussion, encore là, j’ai reçu plusieurs messages différents sur mon attitude. La principale étant que je semble être quelqu’un de rêveur. Moi même, je dois avouer que parfois, mon esprit semble se diriger vers toute autre chose. Cependant, cela me permet de rester calme à ce qui m’entoure, sauf lorsque l’on me réveille brusquement, où je fais alors un grand sursaut. Bien que cela soit loin d’être intentionnel, mon père m’a déjà dit que je portais souvent un air hautain. Il avait pris le moment où un de mes voisins avait voulu m’interpeler, mais que je ne lui avais point répondu. Encore une fois, c’est sûrement dû à mes absences du monde réel, car je ne l’avais jamais entendu.
Je ne suis pas quelqu’un qui aime se donner à fond, puisque finir premier n’est pas une obsession pour moi. Certes, comme tout le monde, j’aime bien l’honneur d’être le meilleur, mais finir dans la moyenne me convient parfaitement. Dans le même ordre d’idée, je ne suis pas quelqu’un de très patient, donc la persévérance n’est pas une de mes qualités, puisque généralement, je me fatigue de faire quelque chose. Toutes ces choses réunis donnent, je l’espère, l’heureux mélange qu’est ma personne.
Histoire :
Prologue
Mon histoire débute lors de la rencontre de mes parents. Mon père, Akimichi Kento, tomba amoureux de ma mère, Hideki Sanya, lorsqu’il la vit lors d’une petite fête du village. D’après ce qu’ils m’ont conté, ma mère refusa les avances de l’auteur de mes jours. Après moult demandes, ma mère accepta finalement de lui laisser une chance et alla manger dans un restaurant avec lui. Mon père me dit encore que c’est grâce à son charme exceptionnel qu’elle est tombée dans ses bras, tandis que de son côté, elle me dit qu’elle a aimé son côté gaffeur.
Le premier résultat de cet amour fut mon grand frère. Ce dernier est, disons le franchement, un représentant parait pour notre clan. Plutôt enrobé, il ne se gêne pas pour manger. Mes parents m’ont même dit qu’il pesait déjà 5,2 kilogrammes à sa naissance! Ce fut ensuite le tour de ma sœur. Elle est elle aussi un peu grassouillette, mais n’équivaut pas du tout mon frère. Personnellement, je la plains un peu, puisqu’avoir un surplus de poids ne doit pas être sensationnel en étant une fille. De con côté, ce fut une nouveau-née de 3,8 kilos. Ensuite, ce fut mon tour en tant que dernier de la famille. Je ne pesais que 2,6 kilogrammes à la naissance, ce qui a sûrement dû paraître léger pour ma mère après avoir mis au monde deux gros bébés.
Il ne se passa pas beaucoup de choses durant les sept premières années de ma vie. Je ne pourrais pas dire quand j’ai commencé à parler ou encore à marcher. Par contre, je sais que je n’ai pas été quelqu’un de très précoce dans ces cas là, même plutôt lent. Sinon, j’ai aussi commencé à me trouver de vrais amis à l’âge de quatre ou cinq ans. C’était davantage mes voisins, mais je me tenais souvent avec eux pour jouer aux ninjas. Aujourd’hui, je ne me tiens plus trop avec eux, bien qu’il n’y ait pas réellement de raisons particulières. Je préfère passer du temps avec mon paire qui m’apprend les bases pour entrer à l’académie. En fait, j’aimerais bien montrer que les Akimichi ne sont pas que des personnes plus enveloppés que la normale, mais de vrais ninjas. Bon, je dois avouer que j’irais pas jusqu’à consacrer ma vie sur cet histoire, mais si c’est quelque chose que je peux accomplir sans trop d’efforts, je serais heureux d’y consacrer du temps.
À l’âge de huit ans : Test familial
C’était lors de la journée de mes huit ans. Le soleil était encore haut dans le ciel et le repas du midi venait tout juste d’être ingurgiter. Bien entendu, j’avais pris soin de prendre une double portion du repas, mais la troisième n’arriva pas dû à l’appétit féroce qui habitait mon frère à ce moment là. Ma sœur, quant à elle, tentait de nouveau un régime. Je dis bien "de nouveau", car cela devait sûrement être la cinquième fois qu’elle en commençait un cette année là, mais elle les abandonnait deux ou trois jours plus tard. Je dois avouer que je lui en aurais mois voulu de nous radoter encore ces "fausses" résolutions si elle avait pensé me donner son repas au lieu de l’offrir à mon père. Mais bon, revenons-en à l’idée principale.
Après le copieux dîner, mon père m’invita à le suivre vers le jardin. À ce moment là, je croyais bien qu’il voulait encore m’aider pour ma future entrée dans l’académie. Je trouvais toutefois étrange que cela soit si tôt après avoir mangé, car nous avions l’habitude de prendre le temps de digérer avant l’entraînement quotidien. J’étais même passé près de lui dévoiler mon opinion sur le sujet, mais étrangement, ma bouche ne s’ouvrit pas, un peu comme si mon corps se doutait que cela n’allait pas être les trucs habituels. Lorsque nous arrivâmes à l’extérieur, l’auteur de mes jours se posta devant, prenant bien soin d’encrer ses jambes dans le sol, puis, de sa voir grave habituelle, prit la parole.
"Comme tu le sais très bien, aujourd’hui, c’est ta fête. Mais...j’aimerais bien te tester. "
À ce moment là, j’étais déjà en train de rechercher dans la poche intérieure de ma chemise pour une barre chocolatée que j’avais placé là si la faim m’atteignait, surtout que j’avias été privé d’une troisième portion. Après les paroles de mon père, je le regardai, la tête sur le côté, me demandant bien où il voulait en venir.
"Un test, quel genre de test? "
Ma bouche était déjà pleine du chocolat que je venais tout juste de sortir. Il continuait de me fixer, comme s’il pensait à la façon qu’il allait s’exprimer, bien que je le soupçonnais d’en vouloir à ma friandise. Il se racla la gorge, puis ouvrit la bouche pour continuer à parler tout en tentant d’augmenter son adhésion au sol.
"En fait, je pensais plutôt à une sorte de pari. Si tu gagnes...Mmmm...je te donne ma part de ton gâteau d’anniversaire. "
Mes yeux s’écarquillèrent au seul son des derniers mots. J’allais pouvoir profiter de plus de ce fabuleux gâteau au chocolat que je recevais chaque année. Ma salive, déjà abondante dû à la nourriture que j’avais dans la bouche, doubla presque de quantité à la seule pensée de me régaler. Pourtant, mon attention fut attiré vers mon père qui ne semblait pas voir fini.
"Mais si tu perds, ce sera à toi de me donner ta portion. Tu devras essayer de me faire bouger. Tu réussis si je recule ne serait-ce que d’un pas."
Le choc! Finalement, j’allais être privé de ce dessert exquis?!? Je mâchais ma barre chocolatée extrêmement lentement, comme si je venais d’apprendre la mort de quelqu’un et que j’étais sous le choc. Bégayant légèrement, je pris la parole, voulant m’assurer que ce que j’avais entendu n’était pas mon esprit qui me jouait des tours.
"Heum...ce...c’est...c’est une blague...non? "
Souriant toujours, mon père me fit signe que non de la tête, puis se prépara à me voir charger. J’étais en quelque sorte immobile. Faire bouger mon père? Impossible! Mais, qu’avais-je à y perdre si je m’essayais? Oui, mon bon morceau de gâteau en cas d’échec, mais je le perdrais tout de même si je ne faisais rien. Je jetai l’enrobage de ma barre que je venais de terminer sur le sol, comptant bien le ramasser plus tard (et oui, je ne pollue pas
). Je pris une énorme bouffée d’air, puis, sans prévenir, je me jetai sur mon père. Sur le premier impact, il ne bougea pas d’un poil, comme cela n’avait été qu’un petit coup de vent. De plus, comparé à lui, je paraissais très petit. Mes mains poussaient sur son ventre et ma tête n’arrivait même pas au milieu de son corps. Les muscles de mes bras se contractaient au maximum et mes jambes faisaient tout pour rester en place, même si j’étais celui qui reculait. On aurait dit que je m’efforçais à déplacer un mur. Mon visage ne m’était pas visible, mais j’imaginais bien qu’il était rouge et déformé par l’effort fourni.Plusieurs secondes passèrent, secondes qui se transformèrent en minutes. Je regardai le visage de mon père et, comparé au mien, il semblait calme comme jamais. De mon côté, je pouvais sentir la sueur qui coulait de mon front. J’étais déjà épuisé de forcer, surtout que cela ne menait à aucun résultat. Ce fut lorsque je regardai ses pieds que je le vis bouger : il recula d’un pas. Je sus immédiatement que ce n’était pas dû à la pression que j’offrais, mais qu’il l’avait fait de sa propre volonté. À cette vue, tous les muscles de mon corps se relâchèrent, me faisant ainsi tomber sur le sol, les genoux et les mains comme seuls points d’appuis. Ma respiration était lente et puissante tandis que je dégoulinais de la chaleur de mon corps. Grâce à mes dernières forces, je levai la tête pour regarder mon père. Il m’adressa un sourire, puis prit la parole.
"On dirait bien que je vais me passer de dessert ce soir. "
À l’âge de quatorze ans : L’heure de vérité
(J'édite dans peu de temps pour ce chapitre)
Nindô : L’échec est de loin préférable si la réussite apporte le désarroi chez les autres.
Qualités :-Amical
-Poli
-Plutôt calme
Défauts :-Rêveur
-Impatient
-Abandonne assez rapidement
Ce qu'il aime : J’aime plein de choses! Bien sûr, la première chose qui me vient en tête est la nourriture. Chips, ramens, viande grillée, poisson, sushis, salade, riz, le curry et j’en passe! Qu’y-t-il de meilleur que de sentir le goût raffiné de ces plats sur ton palet? Mais bon, si on exclut la nourriture, il y a encore autres choses que j’adore, comme les couleurs vives, les chiens. Comme la plupart des gens, j’aime aussi qu’une personne reste aimable avec moi.
Ce qu'il déteste : Je déteste les gens prétentieux! Ils se promènent, regard en l’air, et se croient supérieurs aux autres. Arg! Comme je les déteste! Je n’aime pas non plus être soumis à la compétition. Pourquoi? Dans ces cas là, il faut souvent tenter de rabaisser les autres, attitude que je suis loin d’apprécier.
