Prénom : Nahako
Âge : 18 ans
Date de Naissance : Un 22 Juin
Groupe Sanguin : A+
Description Physique : Nahako est un jeune garcon de grande taille et d'envergure plutôt fine, il mesure près d’1 mètre 85 et pèse aux alentours des 80 Kilos. Les yeux d’un bleu clair quasi blanchâtre, les cheveux mi-longs et bruns avec une frange dégradé trés étudié et des longues mèches au niveau du cou, Nahako a gardé la même coiffure que lorsque il était enfant.
Le visage très fin, il garde une trace rouge un peu ébréché sur sa joue gauche, une vilaine chute datant de quelques années auparavant à l'académie. Elle n'a jamais véritablement cicatriser, gardant la rougeur d'une plaie superficielle.
Le garçon possède une ossature particulière :
Les os de sa main sont beaucoup plus longs et fins que la moyenne et ne correspondent pas aux autres parties du corps bien bâties. On pourrait croire a des mains squelettiques d'un zombie ou d'une personne néfaste qui réfléterait la mort. Mais au mépris de cette image, elles sont douces et tendres, et adoptent totalement la chaleur du corps humain ou matériel qu'elles touchent.
Il aime porter sa longue tunique accompagné d’un col en fourrure et d'une écharpe, été comme hiver, il ne s’en sépare jamais. La quasi totalité de ses vêtement, Nahako les crée lui même, pour ne pas avoir le souci de porter les choses qui ne lui plaisent pas.
Autour du cou, il porte un simple collier de bois orné d’un médaillon, en bois lui aussi, qui représente une tête d’un animal imaginaire.
C’est un garçon très souple, sans particularités physiques exceptionelles, sans déficiences non plus. Son point fort est l’endurance, il peut aller jusqu'à courir une heure à bonne vitesse sans pour autant que son corps nécessite des efforts inhumains.
Sa silhouette allongé et fine paraît lui donner un air de confort absolu dans sa démarche, vif et rapide, il se mouvoit parfaitement dans l’espace.
Caractère : Très impulsif, il devient très facilement excessif dans ses grands discours, et sa franchise lui a parfois joué de nombreux tours.
Honnête, il déteste se forcer de parler avec des personnes qu’ils ne trouvent pas intéressantes, certains le trouvent très antipathique et hautain, c’est seulement qu’il déteste l’hypocrisie, il laisse son caractére naturel se faire entendre chez les gens.
D’une jalousie impitoyable ; sa vie sentimentale fut à plus d’une reprise un désastre monstrueux, l’amour ne lui laisse pas de répit, et le tourne pour le renverser jusqu'à le broyer, il met toujours beaucoup de temps à se remettre d’une histoire de ce genre. C’est d’ailleurs pour cela que depuis son premier amour, il s’est formé une bulle que l’on pourrait qualifier d’anti-douleur psychologique vis à vis de l’amour. Pour ne pas en souffrir vaut mieux l’éviter, donc faire semblant de ne pas voir l’existence d’une telle chance.
Derrière ces défauts, doivent certainement se trouver quelques atouts d’une personnalité convaincainte et pleine d’ambitions. Mais très discret, il préfére annoncer un mauvais reflet d’une âme qui a parfois eu du mauvais vécu pour que lorsque l’autre face qui se révéle, ne soit que plus attrayante et imprévu.
Sa complexité est un problème en soi, et particulièrement les paradoxes qui en découlent. Il vit dans le passé mais rêve de l’avenir en profitant de l’instant présent. Il est rêveur et parfois naïf, bien qu’il garde les pieds sur terre.
C’est un jeune homme vif d’esprit qui sait remarquablement bien analyser la situation et réagir rapidement en conséquence.
Suite à sa douloureuse expérience, il a décidé de ne plus jamais se laisser envahir par ses sentiments, mais quelques fois quant l’émotion ce fait trop forte, il perd son sang froid, et il laisse filtré quelques traits de caractère moins reluisant de sa personnalité comme la mauvaise foi ou l’obstination.
Histoire :
Part One - Dead Mat
Une nuit comme une autre, un matin comme n’importe quel autre et une après midi comme furent écrites toutes les autres. Nahako sortit du ventre de sa mère en un peu plus de 24 heures, c’était son tout premier enfant, et comme cadeau du ciel, ce divin enfant avait reçu la responsabilité du meurtre de sa mère qui, perdant trop de sang lors de l’accouchement, et suite a plusieurs malaises, elle tomba inconsciente sans que peronne ne put faire quelque chose ( mort dans la souffrance et de douleur du à un accouchement quelque peu, voir aucunement maitriser.. ).Sa si petite et belle vie commencait si bien et si tendrement, mais il parut que sa responsabilité n’était pas encore une punition assez sévère c’est pourquoi le père de Nahako ne désira plus parler à partir de la mort de sa femme, Nahako ne sut donc jamais si son père était muet ou quoi que ce soit d’autre.. Mais depuis sa propre naissance, il n’avait pas prononcé un mot, un seul… Pas un seul, pas un murmure, même un ronflement, c’était extraordinaire ! Il se gardait parfaitement de tout bruit qu’il pouvait émaner comme si il désirait infliger une punition au fils maladroit qui prit la très chère vie de sa femme.
Cependant, et aussi suprenant que ce soit, il éduqua son fils avec une habilité incroyable pour un père de famille veuf, au foyer, et parfois alcoolique sur les bords.
Il n’engagea pas de nurses, il ne demanda de conseils à personne, il fut comme s’il avait toujours su faire, alors qu’il n’eut aucun autres enfants avant… Le père ne semblait pas désesperer, il éleva Nahako jusqu'à l’âge de 8 ans.
Part Two – Secret Meeting
Lorsque son fils eut atteint cet âge et qu’il semblait assez responsable pour prendre certaines décisions certaines choses qui totalement imprévues se déclenchèrent très rapidement.Le père, comme tous les dimanches, amena Nahako au marché de Konoha, ils avaient pour habitude de faire des courses provisions pour la semaine, ils partaient en charrette de leur maison qui se trouvait a une dizaine de kilométres du village, le trajet durait parfois deux longues heures. Ce matin la, le père de Nahako laissa son fils diriger la charrette (c’était la première et la seule fois… ), une fois arrivé a Konoha, ils s’arretêrent au marché, et comme usuellement, Nahako courut acheter le riz et le soja a leur épicerie préférée, c’était un gros monsieur avec une longue moustache très bien rasé qui tenait le magasin, à chaque fois que Nahako venait le voir, le vendeur lui adressait un clin d’œil comme s’il se connaissait depuis toujours. Seulement, ce que ne vit pas Nahako ce jour là, c’est le visage que son père lui adressa.
Un regard empli à la fois d’une tristesse et d’une dureté, posé sur son fils qui s’éloignait en courant. Le père ouvrit la bouche..
" Bonne chance.. "
Au retour du jeune garçon, il n’y avait plus personne… La charrette, le père, ils n’étaient plus la.. Partis ! Partis..
Complétement perdu et pris de panique, le garçon appella et chercha son père partout, sur la place du marché, dans les ruelles, ils demandaient a tout le monde, aux passants, aux vieilles dames, aux marchands, ils se mettaient même a essayer de parler aux chiens ou aux oiseaux qui trainaient dans le coin ..
" Excusez moi ?.. Avez vous mon père ? Un grand monsieur brun ?… "
Toutes réponses… Négatives. Pris de panique, il se mit à hurler, et courir partout dans la ville, à 8 ans, on devient vite angoissé quand on est perdu dans un endroit ou l’on a aucun repères. Il finit donc par s’asseoir sur un banc et voulut reprendre un peu ses esprits. Les gens autour de lui, le regardait l’air de dire « Le pauvre… que cet enfant a l’air triste « .
Géné par la tournure que commencait a prendre la situation, il s’éloigna de la grande place vers le centre de la ville qui avait l’air un peu moins fréquenté.
Part Three: Do You Remember The Fist Time ?
C’était en plein hiver.. Midi venait de passer, on entendait les mères de famille criées « A TABLE !! » un peu partout dans chaque maison, les gens s’attablaient au restaurant, en terrasses, partout les ventres résonnaient en même temps.
Nahako, lui aussi, commenca à sentir, qu’il avait faim, et qu’il n’avait pas d’argent. Il sentit a quel point il était déspéré, cependant il ne voulait pas savoir ou était son père était en ce moment même, il redoutait l’idée d’être abandonné de son propre père, c’était trop douloureux pour lui …
Il commenca à fouiller dans ses poches pour voir s’il ne lui restait pas un peu de monnaie des courses de tout à l’heure. Il avait à peine de quoi se payer un bol de riz.. Il insista tout de même et se planta devant un grand restaurant nommé le NAMAKO. Il avait peur… peut être de ne pas se faire accepter, pour cause d’être seule et trop jeune.. Mais pendant qu’il restait stoïque devant le restaurant, une jeune fille lui souffla sur la joue. C’était une superbe fille, elle devait avoir l’âge de Nahako, un peu plus jeune certainement, mais pas de beaucoup, une coiffure blonde, des yeux bleux verts, des traits fins, ni petite ni grande, un charme inéluctable et un air d’ange innocent.
La jeune fille ouvrit la bouche la première, coupant le court instant de vide qui s’était installé entre les deux.
« Je te reconnais ! Tu es le petit garçon qui vient tous les dimanches avec ton père, je t’avais déjà remarqué au marché ! »
Nahako n’osa s’approcher, il restait cloué, la jeune fille était ravissante, c’était la première fois qu’il était confronté a ce genre de situation, il ne savait pas comment réagir, il n’avait pas connu de filles dans la campagne ou il hbitait.. La couleur de ses joues vira au rouge pâle, et il recula de quelques pas.
« Ne sois pas timide, je suis la fille de l’épicier chez qui tu fais tes courses tous les dimanches. Tu ne m’as jamais remarqué ?.. »
Nahako, maladroit, répondit d’un air faussement décontracté n’osant pas la regarder droit dans les yeux.
« N..Non, désolé. »
La réponse fut certainement mal accepté par Anâ car celle ci ne regardait plus Nahako avec ces grands yeux brillants de bonheur qu’elle avait auparavant, elle fixait maintenant le sol et le frottait d’un pied timide.
« Bah c’est pas grave… Moi en tout cas, je t’avais remarqué…
Est ce que tu sais qu’a chaque fois que tu viens dans notre magasin, tu fais toujours les mêmes gestes ?
Tu choisis en premier le riz, tu le mets dans le panier que tu tiens de la main droite, ensuite tu prends du soja que la aussi tu poses soigneusement dans le panier que tu tiens toujours de la main droite, quant au poisson, toujours le même, la même quantité, et la même couleur, sinon ca ne te va pas, du saumon ? Hihi.. N’est ce pas ? »
Nahako ne pas vraiment quoi répondre, géné de toute cette observation secrète, il voulait s’en aller s’en aller, mais quelque chose le retenait, il ne savait pas réellement ce que c’était, mais en tout cas, la présence de cette fille le réchauffait, elle était très enthousiaste et pleine de vie, et certainement que son père avait peut être croiser le sien, alors pourrait-il peut être le retrouver ?
« Non.. Je ne savais pas.. Certainement une habitude ? »
« Une drôle d’habitude alors ! » plaisanta la jeune fille.
« En fait.. J’ai perdu mon père aujourd’hui ; c’est d’ailleurs pour ca que je suis tout seul et perdu ici, est ce que tu sais si ton père ne saurait pas ou il est, ou si quelqu’un l’aurai vu ? »
Le jeune fille prit un air grave.. Certainement que pour elle, ca n’était pas commun de perdre son père.
« O..Oui. Si tu penses qu'il le connait... Suis moi tout de suite ! Je t’emmene chez mon père ! »
Et voilà ! Comment les deux très jeunes tourtereaux, s’en allèrent en direction d’une voie inconnue mais qui s’avérait être la plus acceuillante et rassurante pour l’un, et heureuse pour l’autre.
Evidemment, arrivé chez le père d’Anâ, la réponse fut la même que celle des nombreux passsants qu’avait auparavant questionné Nahako, mais en voyant et découvrant la mine dépité du jeune garçon, le père fit la promesse de lancer des recherches le plus hâtivement possible, et qu’en attendant le retour de son père, il pouvait loger chez eux sans le moindre problème…
Part Four : Sun Rise Light Flies
Le temps passa, Nahako eu bien du mal a accepter l’idée qu’il puisse loger chez des gens qu’il ne connaissait pas, celui lui posait un problème, éthiquement parlant, ces gens ne lui devaient rien, il se sentait gêner d’accepter toute cette gentillesse sans dû, il se promit de la rendre aussitôt qu’il aurait retrouvé son père.
Seulement, un mois s’écoula… Puis deux… Ainsi de suite, jusqu’à la première année ou Nahako fêta ses 9 ans, mais ce n’était pas avec son père… Mais avec la famille d’Anâ.
Moralement, Nahako avait commencé à accepter l’idée que son père avait pu l’abandonner, il le savait car depuis longtemps il pouvait, très profondément, ressentir la haine que conservait secretement son père envers lui à cause du décés de sa mère. Mais jamais il n’osa lui en parler, comme son père le gardait secret, il avait certainement ses propres raisons, et pour le garçon : tant qu’il était heureux, il ne voyait pas l’interet de découvrir un problème qui, de plus, n’était pas véridique.
De plus, la famille d’Ana l’avait quasiment adopté comme leur propre fils, étant donné qu’ils n’avaient qu’une fille unique : Anâ, l’idée que Nahako pouvait être leur fils adoptif les réjouissait plus que tout.
Quant à Anâ, elle était excessivement heureuse, sa vie devenait magique en compagnie de Nahako, elle se gardait bien de lui dire… Mais les deux passaient du temps ensemble, beaucoup de temps, à parler, a s’amuser, Nahako lui apprenait tout ce qu’il avait appris quand il était gamin, et Anâ était toujours ébahie par tout ce qu’il savait, la vie à la campagne était-elle si différente que celle à la ville ?
Anâ était né deux mois avant Nahako, il ne le sut que lorsqu’il apprirent a se connaître beaucoup mieux, elle l’aidait beaucoup dans son épreuve à passer au dessus de la tristesse qu’il conservait de la disparition ou de l’abandon de son père.
Part Five : Love Is A Deserter
Trois années de plus s’écoulèrent, le village de Konoha commencait maintenant à bien connaître Nahako, tout le monde le considérait comme faisant parti de la famille d’Anâ. Mais lui ne voulait toujours pas y croire, son cœur avait un souci..
Il était tombé amoureux d’Anâ sans le savoir… Et ne voulait pas que les gens les considérent comme frères et sœurs, car même s’ils s’entendaient comme telles, il était loin de la considérer comme sa sœur.
En effet, plus le temps était passé en sa compagnie, plus il trouvait ces instants magiques ou irréelles, il possédaient une complicité déconcertante, des après midi entières a parler, à jouer, a se chamailler, se disputer pour mieux se réconcilier. Ils étaient comme deux gouttes d’eau, se complétaient, et s’opposaient à la fois. Se confiant sans cesse l’un à l’autre, lui voulait être médecin, elle disait qu’elle voulait être la femme d’un grand ninja. Leurs petites idées et secrets passaient toujours dans les oreilles de l’autre.
Nahako put savoir qu’il ressentait vraiment quelque chose pour elle, le jour ou elle lui annonca qu’elle venait de s’inscrire à l’académie ninja de Konoha car c’est la bas qu’elle rencontrerait l’homme de sa vie qui serait un grand ninja.
Il ne la vit pas trois jours durant, et craqua… Il fit lui aussi la demande pour s’inscrire, lui qui réservait tout avis sur la voie ninja, par amour, il avait craquelé une première partie de sa vie.
Bien entendu, il n’avoua jamais à Anâ ses sentiments. Par timidité, par peur de la perdre, et parcequ’il pensait être le seul à éprouver ce genre de sentiments.
Nahako a aujourd’hui 18 ans, il ne sait comment, il vient de recevoir son titre de Chûnin. Certainement parce’que Anâ l’avait également obtenu quelques mois avant, en tout cas, il s’étonne lui même de la stupidité des chosesque l’homme peut faire par amour.
La complicité entre les deux ne changea pas, Anâ avait elle aussi 18 ans, seulement elle n’avait rien a voir avec la petite fille blonde que découvrit Nahako dans les rues de Konoha il y a maintenant 10 ans. Elle était devenue ravissante, une perle rare, elle avait gardé son air d’enfant innocent, mais avait acquis une maturité impressionnante, son visage s’était encore peaufiné et détenait une finesse et un charme unique… Elle portait souvent une chemise blanche qui faisait ressortir la vive couleur de ses cheveux et ne les attachait plus comme quand elle était petite.
Part Six : Mirror Mirror On The Wolf
Seulement, pour Nahako, ces années a l’académie ne furent pas si facile que ca… Il avait beau vivre continuellement avec Anâ et être très proche d’elle, il paraissait de plus en plus triste et achevé..
Effectivement celle ci ne ressentait pas les mêmes choses pour lui, que ce qu’il éprouvait. Ils n’en parlaient jamais, mais Nahako put le découvrir bien assez tôt lorsque les garcons de l’académie commencèrent a lui faire la cour, et qu’elle flirta avec les premiers du coin… Seul dans sa tristesse, il ne pouvait pas lui en parler, de peur de briser une forte amitié. Et comme si ce n’était pas suffisant, Nahako avait le droit aux confessions d’Anâ sur ses prochaines conquêtes et ses aventures amoureuses, cela se voyait : elle ne savait vraiment pas ce que Nahako endurait…Cependant, il ne la rejeta jamais, et écouta tout ce qu’elle lui disait avec toujours autant d’attention, même s’il n’avait rien à dire ; pour Anâ, le simple fait de lui en parler suffisait a résoudre certains de ses problèmes conjugaux.
Petit à petit, le temps passait à une allure relativement lente pour le garçon, et il s’enfonçait dans une profonde frustration, il devint jaloux, impulsif. A plus d’une reprise, on le trouva à se battre avec certains prétendants d’Anâ, et lorsqu’elle arrivait pour les séparer et réprimait Nahako, ce dernier lui prétendait toujours la même chose :
« Il venait de t’insulter ! » Qui évidemment, devenait de moins en moins plausible.
Devenant de plus en plus insupportable, agressif, morne, il ne montrait plus aucun signe de gentillesse, il préférait être seul, c’était sa façon à lui d’exprimer sa frustration. Ses premières années a l’académie furent désastreuses, il n’en faisait qu’a sa tête, remettait toujours en cause ce que les professeurs leur faisaient étudier, aucune rigueur dans son travail, à plus d’une reprise, l’académie prit rendez vous avec ses parents adoptifs pour alerter de son comportement quelque peu labile. A sa troisième année à l’académie, Nahako avait donc 15 ans, il passait maintenant l’examen Genin, pris par on ne sait quel motivation. Depuis un certain temps, les gens étaient épatés des résultats du gamin à l’académie, le changement était quelque peu radical.
Il s’était mis peu avant dans la tête, que si il travaillait dur a l’académie, et qu’il devenait le meilleur des ninjas, c’est avec lui qu’Anâ voudrait faire sa vie. Du coup, nuit et jour il se vouait à l’académie, entrainements, cours, etc… Jusqu'à gravir sa première étape haut la main, celle du rang de Genin, ce jour là, il savait déjà qu’il venait de marquer un point. Il venait certainement d’en épater plus d’un…
Mais plus il avançait dans cette direction plus sa relation avec Anâ commencait à s’effacer petit à petit jusqu’au jour ou Nahako décida de quitter la deumeure des parents d’Anâ pour s’installer dans une jolie maisonnette en ville. Il n’eut plus de nouvelles d’Anâ durant quelques mois, il entretenait seuelement sa relation avec ces parents adoptifs mais ne voulait pas de nouvelles de la fille qu’il aimait toujours. Cependant il la retrouvait toujours a l’académie, hélas… il fallait qu’il soient dans la même classe, l’ambiance était tendue, ils ne se disaient plus un mot, et se jetaient des regards froids. Mais lorsqu’elle passa l’examen Chûnin, il décida de le passer lui aussi… Quelque chose à prouver ? Une envie personnelle ? Lui savait certainement mieux que quiconque.
L’examen réussi depuis peu, Nahako est maintenant au service de Konoha et prend son rôle très cœur.
Anâ quant à elle, fait toujours autant chavirer les cœurs et elle aussi prend son rôle de Chunin très conscienceusement. Elle habite toujours chez ses parents, et passe maintenant ses journées à trainer, ou vagabonder, seule ou accompagné, mais la plupart du temps à ne rien faire… Et quand les deux regards s'affrontent, la tristesse de l'un semble effacer celle de l'autre.
Aime:
- Anâ.
- Rêver et dormir. Dormir et rêver, c'est la même importance.
- Les makis au saumon et le Ramen au curry.
- Machônner les tiges de fleur d’aïa.
- Le ballon rond.
Aime pas:
- Les sardines
- Les prétendants d'Anâ
- La Crème Fraiche
- L’Hypocrise sous n’importe quelle forme qu’elle soit.
Nindo: " Celui qui ne regarde qu'une feuille de l'arbre ne verra jamais la forêt qui se cache derrière. S'il regarde la forêt il verra alors toutes les feuilles. "
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