Prénom : Kei
Age : 13 ans
Poids : 40 kg
Taille : 152 cm
Description :
Kei est un jeune homme avec un visage assez froid, il a de long cheveux noirs, mi-longs, et des yeux violets qui lui donne un regard assez énigmatique.
Caractère :
Son caractère est très ambigu. Il ne fait confiance qu'à très peu de gens et est assez solitaire, mais n'aime pas rester seul. Il a part ailleurs une très grande soif de connaissance.
Description du Clan :
C'est un clan très jeune, il n'est présent à Suna que depuis quelques générations, c'est pourquoi le nombre de techniques véritablement originales est très restreint, et il en existe seulement deux, la phase et l'envol. Mais ces deux techniques se sont avérés être d'excellentes bases pour créer un art martial utilisant l'épée, que seul le clan peut utiliser, et il s'est avéré redoutable.
A chaque génération, on désigne un apprenti forgeron pour prendre la succession de l'ancien et ensuite, il fabriquera toutes les armes du clan. Leurs épées sont très réputées, autant que leur propriétaire, mais seuls les membres du clan peuvent les utiliser pleinement.
En peu de temps, ils ont réussi à se forger une réputation d'épéiste parmi les spécialistes de Suna, et selon les dires leur adresse à l'épée et leur mouvement peuvent être comparable au vent. Mais au-delà de cela, ils ne sont pas connus du grand public, car ils n'ont volontairement pas pris part à la guerre, leur clan étant trop fragile.
Il existe plusieurs famille, et chaque personne porte deux noms Kukân et celui de la branche dans laquelle elle est née. Ces familles utilisent leur capacité différemment, et en général, il n'y a pas de rencontre entre les membres de familles différentes.
Histoire :
Kei est né dans un petit village du pays de Suna. Son père s’appelle Matsuda Shino et sa mère se prénomme Shisui Shino. Ce village est l'un des plus pauvre du pays et ses habitants survivent comme ils le peuvent. Leur moyen de survivre : l'artisanat. En effet, les habitants de ce village gagnent leur pain en fabriquant des chaises, des tables ou du moins, font ce qui est en leur pouvoir. Et le bois, où le trouvent-ils dans un pays aussi aride, aussi désertique ? La plus part du temps, ces artisans organisent de longs voyages de plusieurs semaines, voir même de plusieurs mois pour aller dans des régions un peu plus boisées et ainsi prendre le plus de bois qu'il peut y avoir à leur disposition. Mais pendant ces longs périples, la production artisanal de ce petit village diminue. Ils vendent donc beaucoup moins et deviennent très vulnérables. De plus, il ne faut pas se voiler la face, tout a un coùt. Pour palier ce coût et permettre de survivre, les habitants du village ont trouvé un autre moyen pour gagner de l'argent. Un moyen des plus inhumain mais qui est devenu indispensable pour ce village. Cette solution est la vente de leurs enfants à de riches personnes. C'est ce qui est arrivé à Kei.
A l’âge de ses 5 ans, il a été vendu, à un riche marchant, comme domestique. Le jour où cette personne l'emmena loin de ses parents restera à jamais gravé dans la mémoire du jeune garçon. A cette époque, il était trop jeune pour comprendre le geste de ses parents et trop frêle pour pouvoir empêcher qu'on l'emmène.
" Maman !!! Papa !!! Je ne veux pas aller avec ce monsieur !!! " cria-t-il tout en ce débattant, alors que l'homme l'emmenait sur ses épaules.
" Allez !!! Arrête de bouger et de crier petit ! Ce ne sont plus tes parents à présent. Ta seule famille c'est moi ! Tu feras tout ce que je te dis et tu devras m'obéir. " dit l'homme très froidement.
Puis, en voyant ses parents disparaître, Kei cria une dernière fois :
"NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNN !!! "
Depuis ce jour, et pendant plusieurs années, Kei pleura tous les jours. Des jours durant lesquels il fut obligé d'effectuer des taches domestiques, durant lesquels la seule récompense pour son travail était le droit à un repas convenable.
Jusqu’à ses dix ans, il n'a sans cesse haït ses parents. Mais peu à peu, il comprit leur acte. C'est à partir de ce moment que l'idée de la fuite c'est accentué. Il y avait déjà pensée auparavant, mais il pensait qu'il n'avait plus de famille. De plus, l'homme qui l'avait acheter le nourrissait et lui donnait un toit. Kei avait peur des conséquences de sa fuite. Il n'avait nul part où aller. Malgré tout, son envie ne fut que grandissante, sa haine envers ses parents disparaissait petit à petit et il était près à leur pardonner.
Mais ... plusieurs problèmes se posaient. Le premier problème était le fait qu'il ne savait pas où était le village dont il fut enlevé. La seul chose dont il était sûr : son village natal se trouvait très loin d’où il était en ce moment.
Le second problème était la nourriture et l'eau. Comment faire pour s'approvisionner duran le voyage ? Peut être pouvait-il se contenter de ce qu'on lui apportait or c'était vraiment trop peu pour qu'il puisse en garder pour une éventuelle fuite. Ce qu'il avait lui permettait simplement de survivre.
Le troisième problème était que son "propriétaire" le surveillait tout le temps. Et quand il partait de la maison pour une affaire quelconque, il enfermait Kei dans une cave.
Durant 2 ans il chercha un moyen de s'enfuir, ... mais sans résultat.
Un beau matin, il entendit une discussion de son "maître" avec quelques-uns de ses sbires.
" Monsieur, des personnes ont eu vent de nos affaires et ont averti des ninja du village caché de Suna ! "
" Quoi ?!!! Qui a osé ? Qui ? "
" Je pense que vous savez qui est cette personne. "
" Raaaahhhh !!! Ce satané ! Il va me le payer ! Allons-y sur-le-champ ! "
Sur ces quelques paroles, Kei vu son "maître", et les personnes qui étaient avec lui, partir subitment, oubliant, de ce fait, le jeune garçon. Il se retrouva tout seul dans la maison, sans aucun bruit. Le temps semblait comme .. figé. Mais il était à présent libre de partir.
Après quelques minutes d'hésitations, il lâcha son balai et sortit de la maison en courant. Il courut le plus vite possible et le plus loin qu'il pouvait sans se retourner.
Au bout de quelques temps il se retrouva hors de la ville et atteignit les dunes infinies de ce pays. Epuisé par sa course, il s'arrêta et regarda autour de lui. Il ne vit rien à part du sable que le vent balayait et des dunes qui s'étendaient sur des kilomètres.
C'est alors qu'il se demanda s'il n'avait pas fait une erreur. Il ne savait plus que faire. Il ne pouvait pas retourner en arrière, cela était impensable ! Mais il se retrouvait tout seul, sans eau, sans nourriture et sans repère. De plus le soleil brûlait et la chaleur devenait vite insupportable. Malgré tout, il continua à marcher sans savoir où cela le mènerait.
A la suite de longues heures de marche, Kei ne vit toujours pas d'habitations ni quoi que ce soit lui permettant rien que de boire. La soif commençait à le tenir depuis quelques temps. La chaleur l'épuisait. Il était fatigué physiquement et mentalement. Il déambulait, titubait plus qu'il ne marchait, à tel point qu'il s'écroula à terre plusieurs fois pour finalement ce relevé à nouveau et continuer coute que coute dans le but de trouver quelque endroit qu'il soit afin de se reposer.
Arrivé à la tombé de la nuit, il sentit vraiment ses forces s’amoindrir. Seul sa volonté de vivre et de revoir ses parents lui permettait encore de tenir debout. La nuit tombée, il avançait sans voir où il allait, la noirceur de la nuit ne lui permettant pas de voir à plus de 2 mètres devant lui. Puis au beau milieu de la nuit, fatiguer par sa journée de marche et par le manque d'eau, il s'évanouit.
Le lendemain, Kei se réveilla dans un lit. Il regarda autour de lui et vit qu'il se trouvait dans une chambre. Les meubles semblaient assez ancien et étaient très poussièreux. De l'eau et de quoi manger étaient posés à côté de son lit. Il ne se fit pas prier pour se rassasier. Après avoir recouvré quelques forces, il se leva de son lit et marcha vers la porte. Ses pas faisaient craqueler le vieux sol de lattes en bois jusqu'à la porte. Il posa sa main sur la poignet puis la tourna tout doucement. Il entre-ouvrit la porte et passa la tête. C'est là qu'il vit un vieil homme assis dans sa chaise, regardant par la fenêtre. Il se trouvait dans une pièce pouvant être une sorte de salon de vie. Une table se trouvait au milieu avec quelques chaises autour. Un sofa, ou du moins ce qu'il semblait être, était accolé dans un coin de la salle. Et quelques autres meubles, cadres, photos, livres et fleurs finissaient la décorations
Le vielle homme, entendant le bruit de la porte, se retourna vers Kei et lui dit avec le sourire :
" Tu as bien dormis ? "
" hum... heu ... ou... oui, merci. " dit-il timidement.
Le vieil homme toussa voilement puis reprit :
" Et bien petit. Vu tes vêtements je peux déjà en déduire que tu as eu la vie dure. Heureusement que je t'ai trouver juste à quelques pas derrière le village. Tu m'avais l'air mal en point. Mais ne t'inquiète pas, ici tu es dans le village caché de Suna et tu es en sécurité. Tu te trouves dans ma maison et tu peux me faire confiance. Mais j'aimerai savoir ce qui à fait que tu te trouves ici aujourd'hui. "
A ces quelques mots, Kei reprit le sourire. Les yeux de cette personne était attirant, ils étaient d’un violet très foncés ce qui faisait toute leur particularité. Il ne pouvait pas expliquer pourquoi mais il savait qu'il pouvait faire confiance en ce vieil homme. Il s'assit à côté de lui et lui raconta toute son histoire. Quelques heures plus tard, il finit par ces quelques phrases :
" ... Et je veux devenir fort pour arrêter ce genre de personnes qui profitent de la faiblesse de certain. Je veux également m'enrichir avant de retrouver mes parents pour leur permettre d'avoir une meilleure vie. S'il vous plaît monsieur ! Aidez-moi à devenir fort et à gagner de l'argent. "
Le vieil homme réfléchit quelque peu. Il toussa encore énormément puis reprit :
" Et bien, ... en voici une bien triste histoire ainsi que de fortes revendications. Sache petit qque la force et l'argent ne permettent pas forcément d'être heureux et qu'on contraire ils peuvent apporter tristesse et violence. Je comprend ta colère et tes raisons de vouloir unce rtain pouvoir physique comme fiducier mais crois moi cela ne t'apportera pas ce que tu recherches vraiment.". L'homme toussa. " Je sais ce qu'il te faut pour que tu comprennes de quoi je parle.
Il se leva et alla chercher un livre, qu'il remit au jeune garçon.
" tiens! ce livre t'expliquera quelques bases sur ce qu'est être un Shinobi. C'est un très bon livre. "
~~ Sur la couverture du livre on peut voir écrit : " Nindo No Shinobi " ~~
Kei prit le livre et dit au vieil homme :
" Merci beaucoup...mais je ne sais ni lire, ni écrire. Et puis qu'est-ce qu'un shinobi ? "
" Et bien justement c'est à toi de le découvrir. Ne t'inquiètes pas pour la lecture et l'écriture, je t'apprendrais. "
" Heum ... très bien ! Au fait je m'appelle Kei, et vous ? "
Le jeune garçon semblait acquiesser tout ce que le vieil homme lui disait et il se sentait bien avec lui.
" Je m'appelle Hayate, Kûkan Hayate. Je suis ravi de te connaitre. Et dis moi, comment s’appellent tes parents ? "
" Mon père s’appelle Matsuda et ma mère Shisui. "
Le vieil homme eut l’air très surpris en entendant ces deux prénom.
" Matsuda et Shisui dis-tu ? "
" Oui. Pourquoi me demandez vous ça ? "
" Non ! Ce n’est pas possible ! "
Et, sans dire un mot, il s’éclipsa dans sa chambre pour en revenir quelques minutes plus tard avec un objet étrange. Celui-ci étais long et enroulé dans un tissu très soyeux. Il s’approcha de Kei et lui tendit l’objet. Le jeune garçon le prit dans ses mains. Etonné il dit :
" Mais, qu’est-ce que c’est ?!
" Ouvres-le et empoignes-le ! "
Puis s’en vraiment poser d’autres questions et sans réellement réfléchir, il retira délicatement le tissu et découvrit une chose très étonnante : une épée (
)Celle-ci était d’une éclatante beauté avec une bande flottante qui recouvrait la lame.
" Vas-y, prend la en main. "
Kei hésita longuement avant de prendre cette épée. Mais lorsqu’il le fit, des pétales de fleurs apparurent tout autour de l’épée. Le vieil homme s’approcha rapidement de Kei et lui retira l’épée des mains.
" C’est bien ce que je pensait. "
Il reprit le tissu et la rangea. Il fixa Kei dans les yeux puis soupira.
" J’aurais du m’en rendre compte dès le début. Ses yeux ne pouvaient pas le tromper. "
Kei était resté sans voix et ne comprenait pas se qui se passait. Par timidité, il n’osa pas poser de questions.
Dès lors et pendant quelques mois, le vieil homme prit en charge Kei, il lui apprit la lecture et l'écriture. Il lui parla de l'histoire de ce village et même de son histoire personnelle. Le garçon s'attacha très fortement au cet homme. Il le considérait presque comme son père, ou plutôt son grand-père.
Vu qu'il savait cuisiner, faire le ménage et plusieurs autres taches, il lui proposa , pour le remercier de son hospitalité, de lui faire la cuisine et de s'occuper de lui. De plus, la santé du vieil se dégradait de plus en plus et il le voyait très bien.
Un jour, alors que il alla le chercher dans sa chambre pour aller se promener dans le village, comme ils en avaient pris l'habitude. Il vit l’homme à terre, hors de son lit, inconscient. Il accourut auprès de lui et se mit à genou
" Hayate ! Hayate ! Réveillez-vous ! Vous allez bien ?!
Hayate ouvrit les yeux difficilement pour finalement aperçevoir Kei.
" Kei ! Aide moi à me relever s'il te plait. "
" Oui bien sur ! "
Il l'aida à se relever et l'allongea. C'est alors que le vieil homme lui dit :
" Ecoute Kei ! tu vois très bien que je me fais vieux, très vieux et je sais que je ne vais pas tarder à partir de ce monde. Je voudrais que tu saches que tu es comme mon propre fils, je t'ai aider comme une personne qui m'est très chère. J'espère que ce que je t'ai apporter pourra t'aider dans ta quête de bonheur. Je dois encore te dire une chose très importante, je vais être franc et cela va surement te surprendre mais je dois absolument te le dire.
Tu ne t’appelles pas réellement Kei Shino, mais Kei Kûkan. Le même sang coule dans nos veine et c’est le destin qui nous a réuni. Ton père, Matsuda est mon fils, mais ils a été châtié du clan pour diverses raisons. Sache que le fait de faire partie du clan des Kûkan n’est pas une chose facile a porter sur les épaules, mais sois en digne. Si tu veux plus de détails, regardes sur mes étagères, tu trouveras des parchemins qui t’aiderons a devenir un vrai Kûkan." L'homme versa une petite larme tout en souriant puis dit de nouveau à Kei : " Maintenant je voudrais me reposer et j'aimerai que tu me laisse seul. "
Sur ces quelques mots, Kei fut très choqué et très attristé. Au départ il pensait juste que le vieil homme plaisantait, qu’il était très fatigué et qu'il voulait juste se reposer. L'idée même qu'il pouvait devenir sénile lui traversa l'esprit tellement il n'arrivait pas à croire ce qu'il venait d'entendre.
Il sortit de la chambre des tonnes de questions plein la tête. Il n'arrivait toujours pas à savoir si cela pouvait êre vrai ou non.
Toute la journée le vieil homme resta dans sa chambre et Kei resta assis à attendre qu'il sorte. Le soir le jeune garçon alla finalement se coucher après avoir veiller assez tard. Lorsqu'il fut dans son lit, des tonnes d'idées, de pensées et les derniers mots du vieil homme étaient toujours ancrés dans son esprit.
* Le clan Kûkan ?… Mon père banni ?… Mais pourquoi ?… Pourquoi moi ?…Pourquoi ? *
Tant de questions auxquelles il n'avait pas de réponses.
Il s'assoupit finalement.
Le lendemain matin, il se réveilla et décida d'aller voir le vieil homme. Celui-ci dormait toujours . Inquiet de ce si long sommeil, qui n'était vraiment pas habituel, il tenta de le réveiller. A plusieurs reprises il prononça son nom, le secoua, mais sans réaction. Kei s'effondra à genou et se mit à pleurer lorsqu'il comprit enfin ce qui était arrivé.
Après avoir reprit ses esprits, il alla à l’hôpital le plus proche et expliqua ce qui venait d'arriver.
Il mit plusieurs jours à faire le deuil d'Hayate. Cela s'était produit si vite, si subitement. Il avait bien vu que le vieil homm devenait de plus en plus faible, mais il ne pensait pas que cela arriverait aussi vite. Il restait assis, sans rien dire, sans rien faire, pensant simplement aux moments passés avec lui. Il était devenu presque tout pour lui. Il se rappela des bons moments et surtout des ses dernières paroles.
Un beau jour, il se reprit en main et se dit :
* Je ne dois pas me laisser abattre. Je dois faire honneur à Hayate, devenir un bon Shinobi, et un jour…retrouvez mes parents. C'est le moindre que je peux faire*
Après avoir manger, Kei se prépara et se dirigea vers l'académie des ninjas d'un pas décidé. Il s’inscrivit sous le nom de Kei Kûkan, un nom qui signifiait à présent énormément pour lui et dont il n'était pas peu fier de porter.
Une fois cela fait il alla faire un tour en ville. C’est alors qu’il se retrouva près de la fontaine et qu’il découvrit qu’un jeu avait été préparé pour les étudiants : le jeu des clochettes. Voulant se changer les idées, il s’y inscrivit et fit partie d’une équipe. Dans celle-ci, une personne attira tout particulièrement son attention. Etait-ce encore un coup du destin ? Cette personne était un certain dénommé Kûkan Saske. Un membre de son clan, de sa famille même. Surement par timidité, ils ne se parlèrent que très peu durant le jeu, ou bien était-ce une fomre de respet ?
Malgré tout, durant cette courte période, il apprit ce qu’était vraiment un ninja et surtout ce que signifiait " une équipe ". Il connu également très vite la « défaite » avec un homme qu’il respect énormément aujourd’hui, Asahi Kira. D’ailleurs il ne tarda pas à le voir de nouveau puisque ce fut lui son tout premier Sensei à l’académie.
A peine eut-il suivit quelques cours avec Kira Sensei ainsi que de nouvelles personnes, qui sont devenu ses amis, que l’examen Genin se profilait à l'horizon. Celui-ci approcha même plus vite qu’il ne pensait puisque quelques jours plus tard était annoncer le départ pour Konoha, là où se déroulait l’examen Genin inter-village. D'ailleurs il s’en souviendra toujours de cet examen, où il arriva en retard pour le rendez-vous en dehors de la ville et surtout où il arriva pile au bon moment pour passer l’examen écrit.
La deuxième partit de l’examen laissera également plein de souvenir au jeune garçon. C’est là qu’il découvrit un véritable ami, et même le meilleur ami qu’il n’ait jamais eu. Toshimitsu Toyuusa. Ils étaient les seuls, durant l’examen pratique a être une équipe de deux et ont connu de nombreux périples. Malgré tout, ils se sont toujours parfaitement entendu et on réussit à être vraiment " une équipe ". Ce qui ne manqua pas de se faire remarquer puisque les résultats de l’examen furent favorable au deux étudiants, enfin…Genins à présent.
Nouveau coup du destin, après les résultats de l’examen, les Teams avaient été faites et Kei se retrouva à nouveau avec Kûkan Saske, ainsi que jeune fille qui se nommait Keiko Akimine. Tout semblait bien se passer, ils avaient même rencontré leur nouveau Sensei, un dénommé Inishi Masaru.
Tout semblait bien se passer ...
Nindo : Apprendre la "vie" et se décrouvrir soi-même.
Ce qu'il aime :
-Faire de bons plats
-Faire la cuisine
-Avoir de la compagnie
Ce qu'il aime pas :
-Les personnes avides et sans scrupules
-Etre loin de sa famille
-Etre seul
