[Biographie]Divers persos

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Yakujo Sho
Etudiant(e)
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Localisation : Dans l'autre monde

Message par Yakujo Sho »

(Comme quoi c'est une drogue ce forum, j'arrive pas a partir, faut toujours que je revienne jeter un oeil xD)
Bon, voilà quelques bio de ma composition, sur divers forum. Certaines sont achevées, d'autres non.

Horizon:
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Nom : Lone
Prénom : Dereck
Nom de code : Whisper

Age : 17 ans
Sexe : Masculin

Description physique :
Le visage légèrement ovale de Dereck, inexpressif au point de sembler presque mort, ne change presque jamais. Il est rare d’y voir passer une quelconque émotion. Ses yeux noirs, aussi expressifs que son visage, ne brillent d’aucune étincelle de vie et sont soulignés par des traits noirs assez prononcés que Dereck se fait lui-même. Des sourcils fins les surplombent. Un nez fin et une bouche dessinant toujours une moue neutre complètent le tableau.

Il n’est pas très grand ni costaud, à peine 1m71 pour 62kg, et ne prend que peu le soleil, préférant rester à l’ombre, ce qui est clairement montré par sa peau assez pâle, bien que pas complètement diaphane.
Niveau accessoires, Dereck ne se prend pas la tête. Il porte toujours un collier auquel est attaché un petit pendentif en argent en forme de W, des bracelets noirs à ses deux poignets, un bracelet plus épais en cuir noir avec des pointes de métal au poignet gauche et un gant dont il a coupé les doigts et lui descendant un peu sur l’avant bras, à la main droite. Il a également des bagues au petit doigt gauche et à l’index droit.
Sur le plan vestimentaire, il est également très simple. Un débardeur noir, rentré dans le pantalon du côté gauche, sorti du côté droit, un jean bleu maintenu par une ceinture cloutée comme son bracelet et des baskets noirs compose sa tenue de tous les jours.
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Description mentale :
Dereck pourrait être qualifié d’asocial. Même s’il n’est pas méchant avec les gens, il préfère être seul. Il aime le calme plus que la foule, même s’il n’éprouve aucune haine envers les gens qui l’entoure. De lui-même, Dereck n’ira jamais voir qui que se soit, quelque soit la raison. Cependant, après quelques passages chez différents psy qui se sont plus ou moins cassé les dents sur son problème de coopération, une amélioration a pu être observée. Ainsi, Dereck ne passait plus son temps à fuir les gens mais allait au moins voir les gens quand la raison était très importante.

Il aime beaucoup lire, et ne rate généralement pas un moment quand il en a l’occasion, ayant toujours sur lui un livre. La plupart parlent de thèmes assez sombres tels la fin du monde, la mort, la fatalité ou parfois l’enfer et les démons pour les romans fantastiques. Être déranger pendant sa lecture est aussi une chose que Dereck n’aime pas du tout, cependant arriver à lui faire remarquer votre présence sans le toucher relève de l’exploit tant sa capacité de concentration est élevée si le sujet l’intéresse.

Autre très de caractère assez poussé chez Dereck et très contradictoire, il n’aime pas voir une fille se faire ennuyer. Évidemment, avec son asociabilité, c’est loin d’être une situation facile, mais le simple fait de voir une fille être embêtée lui donne des frissons qui lui remontent l’échine. Ce n’est pas spécialement du à une expérience particulière et il ne s’est jamais vraiment demandé à quoi cela était du.

La plus grande passion de Dereck, c’est la musique. Il aime tout particulièrement les chansons aux textes assez sombres, mais écoute aussi bien du rock que des ballades ou d’autres musiques. Cependant il a tout de même une préférence pour le rock et le métal symphonique. Il a d’ailleurs appris à jouer de la guitare électrique et est doué, que ça soit pour en jouer ou pour chanter. Cependant il ne le fait que seul, n’aimant pas être observé.
Mais qui sait, peut-être qu’un jour une personne l’entendra en passant dans un couloir…

Histoire :
Dereck Lone est né le 9 Mars 546 à Cambridge, en Angleterre.
Sa famille était loin d’être idéale : sa mère était complètement soumise, devenue incapable avec le temps de prendre des initiatives, toujours dans la crainte que son mari s’énerve, et son père était un sombre idiot alcoolique, violent et incapable de donner un bon cadre de vie à un enfant.
Dereck fut donc élevé dans une ambiance pesante, écoutant sa mère se faire battre jusqu’à l’âge de 5ans et allant se cacher par la suite.
Plus le temps passait, plus Dereck grandissait et plus il voulait d’une autre vie.

A l’âge de 13ans, il commença à fuir sa maison dés que son père rentrait saoul, pour ne revenir que tard le lendemain. Pendant ces petites fugues, il traînait dans les rues, seul, sans but.
Du fait de l’ambiance chez lui, il est rapidement devenu solitaire et distant.
De plus, quand son père trouva le moyen de passer aussi ses nerfs sur lui alors que son fils n’avait que 14ans, ce dernier commença à haïr sa condition.

A l’âge de 15ans, il fuit l’Angleterre en se cachant à bords d’un bateau et partit en direction de la France.
Une fois arrivé, les choses s’enchaînèrent très vite et Dereck se retrouva rapidement à Paris, seul, sans argent ni connaissances de la ville.
Au début, il erra en essayant de trouver un endroit où aller. Paris était une grande ville et il n’y connaissait rien, et surtout, il n’avait pas pensé à prendre de quoi survivre…
En fait, sur les premiers jours, il ne vivait que de la compassion des gens. Il ne leur parlait pas. Non, il ne voulait pas leur parler. Certains voulaient l’inviter chez eux, l’aider, mais lui ne répondait pas. Il gardait son regard vide braqué dans le leur.
Du coup, la plupart lui laissait quelque chose à manger et abandonnait. Et Dereck continuait d’errer le reste de la journée.

Au bout d’une semaine, il commença à réfléchir sur son cas.
Pourquoi attendait-il? Que cherchait-il ainsi? Qu’est-ce que l’errance lui apportait?
Il n’avait bien entendu aucune réponse.
Il était venu en France pour fuir sa famille, espérant trouver une vie meilleure… Mais au final qu’avait-il trouvé?
Il devait se ressaisir et vite.
Il commença donc par trouvait un endroit où dormir. Bien entendu, si on prend en compte son asociabilité, cette tache fut plutôt ardue pour Dereck. Comment quelqu’un qui n’aime pas interagir avec les gens peux facilement se débrouiller seul?

Histoire de se changer les idées, il entra dans une boutique de disque qu’il trouva au coin d’une rue. La, il fut étonné du nombre de disque qu’il y vit. Partout où son regard se posait, des disques se montraient à lui.
N’ayant rien à faire, il passa dans les rayonnages. Jamais à Cambridge il n’avait vu de boutique aussi grand et fournit.
Il s’arrêta au rayon des disques de métal symphonique. Là, une borne avec quelques titres étaient à la disposition des clients.
Ni une ni deux, Dereck pris le casque, le posa sur ses oreilles et lança la musique. Musique qu’il aima tout de suite.
Fermant les yeux, il se laissa porter par la mélodie, sous l’œil amusé du patron.

Deux bonnes heures plus tard, Dereck sentit une main sur son épaule. Quelqu’un venait lui parler, mais lui n’aimait pas parler… Enfin bon, il devait se plier aux exigences.
Enlevant son casque, il se retourna vers un homme de grande taille, taillé comme une armoire à glace et affichant un grand sourire.
« Hey, dis moi gamin, t’as l’air d’avoir de bons goût musicaux. »
« … » Les yeux vides braqué sur l’homme, Dereck ne comprenait pas vraiment où il voulait en venir.
« J’ai l’impression que t’es pas du coin et à voir ton état, t’es arrivé ici il y a peu et tu sais pas trop où aller je me trompe? »
Un autre silence.
« Hmm T’en fais pas, je compte pas me moquer de toi. Te faut un endroit où habiter et un boulot si tu veux t’en sortir. J’ai connu ta situation, moi-même je suis arrivé comme ça avant de monter ma propre boutique. »
Dereck regarda autour de lui. Ainsi donc, cet homme avait été dans sa situation avant d’arriver à ça…
« Si tu veux, je peux t’aider, gamin. »
« Vous avez vraiment été dans ma situation? »
« Ah! Enfin un son! Je commençais à croire que tu étais muet. Oui j’ai été dans ta situation autrefois, et c’est pour ça que je veux t’aider. T’as l’air d’aimer la musique, si tu veux tu pourrais travailler ici et je pense savoir où tu pourrais loger. »
Bien que l’idée ne l’enchantait pas trop, le garçon savait qu’il ne s’en sortirait pas seul. Il allait devoir accepter cette aide, qui l’obligerait encore à avoir affaire à des gens…
« J’accepte. »
« Bien! Merveilleux. Donc, déjà le boulot que je te propose est simple, j’ai besoin d’aide pour ranger les rayonnages. Je te laisse te débrouiller je pense que tu sais comment faire. Moi je vais m’occuper de l’inventaire. »

L’homme sortit de sa poche un petit badge et le tandis à Dereck, qui l’accrocha à son débardeur.
« C’est pas grand-chose mais en attendant que j’ai pu en faire faire un pour toi, celui-ci aidera les clients à comprendre que tu bosse ici. Bienvenue dans la maison. »
Sur ce, il partit vers la réserve, laissant Dereck son travail. Immédiatement, ce dernier ce mit à ranger le rayonnage dont il était le plus proche : celui des disque de métal symphonique.
Il les rangea selon un bête système alphabétique, passant d’un rayon à l’autre.

A la fermeture de la boutique, le patron l’emmena à un grand bâtiment comme Paris en possède tant, en lui expliquant qu’une ancienne connaissance à lui louait des appartements. Il ajouta qu’elle baisserait ses prix pour un petit jeune comme Dereck, surtout si c‘était son vieil ami qui le lui recommandait.
Une fois à l’intérieur, l’ambiance changea radicalement.
De la fumée de cigarette empestait tout le rez-de-chaussée, et la personne qui ouvrit la porte au propriétaire de la boutique ne donnait pas une meilleure image.
Une vieille femme, tirant une tête affreuse, une cigarette à la bouche et empestant la fumée encore plus que l’endroit, accueillant les visiteurs avec une voix grinçante et tout simplement désagréable.

Après une petite discussion à laquelle Dereck ne porta strictement aucun intérêt, l’homme expliqua à son protégé qu’il paierait directement le loyer.
La vieille monta en grognant au gamin de le suivre, ce qu’il fit sans attendre, tandis que son « sauveur » partait. Le petit appartement dans laquelle elle l’emmena était à peut près épargné par la fumée - un des rares bons points - mais se limitait en fait à trois pièce : une salle de bain, une cuisine et une pièce plus grande qui faisait office à la fois de salon et de chambre.
Elle lui laissa les clés, toujours en grognant, et repartit chez elle en laissant Dereck seul.
Le garçon mit donc à profit le temps qu’il lui restait pour arranger son nouveau « chez lui » autant qu’il le pût.

Les jours suivants se passèrent presque tous de la même façon : Dereck rangeait et aidait à la boutique, achetait quelques livres et des disques avec l’argent qu’il gagnait, et se faisait grogner dessus par la vieille.
Avec le temps, il finit par s’acheter une guitare électrique dont il appris à jouer grâce à son patron.

Un soir, alors qu’il avait décidé de se coucher tôt, la vieille monta avec une irrépressible envie de l’ennuyer, semblait-il.
Alors que Dereck ne prêtait pas attention à sa présence « chez lui », n’ayant aucune envie d’interagir avec elle comme avec toute autre personne, elle se mit à ronchonner comme quoi elle n’avait pas eu de loyer depuis un mois.
N’avait-elle pas compris qu’elle ne s’adressait pas à la bonne personne? Apparemment non…
Toujours est-il que Dereck ne répondait pas. Les grognements commençaient à lui taper sur les nerfs, mais il ne pouvait rien faire hélas.

Excédée par le manque de réponse de son locataire, la vieille femme commença à jouer de la lumière, qu’elle avait jusqu’ici laissé éteinte, pourquoi ennuyer le garçon.
Au bout de quelques instants, perdant patience, Dereck se retourna et s’assit. Il lança un regard dur à sa propriétaire en crispant ses poings sur les draps.
Ne prononçant mot, il continua de fixer la vieille qui, de son côté, poursuivait son jeu avec la lumière.
Serrant les dents, le garçon commença à souhaiter qu’elle ne puisse plus continuer.
D’un seul coup, les ténèbres retombèrent alors que la vieille s’acharnait toujours sur l’interrupteur. Intrigué, Dereck leva les yeux et constata avec étonnement qu’une sorte de forme ténébreuse entourait l’ampoule.
Une voix que la propriétaire eut elle aussi remarqué cela, elle cracha un simple « Foutu possesseur de chakra! » et repartit en claquant la porte, laissant un Dereck dans l’incompréhension la plus totale.
Sans perdre de temps, il se mit sur son ordinateur - un cadeau de son patron - et fit une petite recherche.
Très rapidement, il trouva tout un tas d’explications ainsi que la localisation d’une académie qui lui permettrait de développer ce rare potentiel.
Après une bonne nuit de sommeil, il réfléchit longtemps à la possible décision tout en travaillant.

Quelques jours plus tard, Dereck arrivait à Horizon avec l’intention de faire enfin de sa vie quelques chose de constructif.
YNS:
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Nom: Miryoku Kiken'

Prénom: Kenren

Âge: 16 ans

Description:
Kenren est quelqu'un de très singulier dans son genre.
Il mesure à peu près 1m75 et pèse presque 65kg, une grande partie étant du muscle.
Ses cheveux sont noirs, libres tout comme leur propriétaire. Il ne leur prête pas d'attention particulièrement poussée, tant qu'ils sont propres cela lui suffit.
Ses yeux sont également noirs et percent les choses dans leur réalité. Si une personne est la cible de ce regard, elle a l'impression que son âme est mise à nu. Son regard est sombre, ce qui le rend plutôt intimidant, captivant ou attirant, tout dépend du type de rapport entre la personne et Kenren.
Son visage est assez fin et légèrement ovale. Il a des sourcils fin, un nez étroit mais pas trop, une bouche mince qui ne sourirait que pour une seule femme et des oreilles discrètes.
Il a sur le front un signe qui est en relation avec son passé, passé qu'il sait ne pas pouvoir fuir.
En dehors de ses cheveux, Kenren a une pilosité très peu développée.
Sur le plan des goûts vestimentaires, Kenren aime les vêtements en cuir. Il porte toujours un pantalon noir, accompagné d'une veste qui l'a suivit toute sa vie durant, de cuir elle aussi, noire à bordures dorées avec de fines plaques de métal sur les épaules et un emblème vide sur les côtés, désignant sa liberté vis-à-vis de son ancienne famille.
Des gants recouvrent toujours ses mains. Il a coupé les doigts il y a longtemps pour fixer des bagues d'argent à chaque doigt. Ces gants possèdent une ouverture sur le dessus de la main.
Il ne porte jamais de chemise et laisse toujours sa veste ouverte, dévoilant ainsi un torse musclé. On entrevoit ainsi un peu une cicatrice qu'il a au flan droit.
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Caractère:
Kenren est calme par nature, aimant rester tranquille quand il n'a rien d'urgent à faire.
Il aime passer du temps avec les personnes qu'il aime. Cependant, il ne recule pas devant un combat, qu'il voit comme une manière de tester ses capacités.
Assez réservé et mystérieux, il n'aime pas véritablement parler de son passé et préfère regarder l'avenir, mais il ne fait jamais de plan à trop long terme.
En amour, il est passionné, attentionné et n'accepte pas que l'autre souffre, pouvant aller jusqu'a se sacrifier pour elle. Il est protecteur et ce même si l'autre n'en a pas besoin, simplement pour montrer la force de ses sentiments. Il fait également preuve de beaucoup de douceur et de tendresse.
Son autre visage, celui qui apparaît en combat, est tout autre. Dans un tel cas, on découvre un Kenren bestial, un véritable prédateur qui ne recule devant rien pour vaincre.
Le passage d'une "personnalité" a l'autre est très déstabilisent, sauf pour ceux qui le connaissent vraiment.
Il lui arrive parfois de se froter les poignets ou le flanc droit, ce qui est du a des réminissences des tortures qu'il a subit dans le passé.
La seule personne qui pourrait se vanter de connaître le véritable Kenren, celui qui est caché de tous, et celle qui aura été choisie par son cœur.

Histoire:

Encore une nuit orageuse. Kenren est tapis dans son lit.
Mais voilà que le sommeil le gagne, il doit se reposer.
Rapidement il s'endort. Et le même rêve revient.
Des chaînes, une dague dans les ténèbres, la solitude, les ténèbres, les coups, encore et toujours les coups... Et les ténèbres...
Cependant, Kenren est trop fatigué, il ne se réveillera pas en sursaut, à son grand désarroi. Il va devoir revivre ce cauchemar.



Mais pour comprendre, il faut connaître l'histoire de Kenren Miryoku Kiken'.
Pour vous qui vous interrogez sur qui je suis, voici mon histoire :
Miryoku Kiken' Kenren, né à Mizu no kuni dans une famille marchande moyenne d'un petit village sans réelle importance.
Une vie dans une ambiance plutôt désagréable.
Des parents cherchant toujours à faire le maximum de profits.
Je fut quelque peu intruit sur le combat pour savoir me défendre. Mes parents voulaient faire de moi un grand ninja pour que je protège leurs caravanes marchandes.
Cependant, je n'entendais pas apprendre uniquement la voie des armes et je cherchai de moi-même à enrichir aussi mon cerveau. Les livres par les caravanes marchandes de ma famille me permirent cela. Une échappatoire à la vie infernale d'entraînements constants en somme. Si vous aviez été à ma place, vous aussi auriez chercher un moyen de vous échapper, ne serait-ce que par l'esprit.

Très vite je pris goûts à la lecture, particulièrement pour les romans d'autres pays, ils me permettaient de voyager, de me libérer des chaînes dorées des Miryoku Kiken'.
Entre chaque entraînement je lisais -ma petite session de liberté- et il n'était pas rare de me voir avec un livre le reste du temps : plus j'avais la possibilité d'être "libre" à ma façon, plus je l'était.
J'eu rapidement une grande collection de récits de tout genres, du livre de médecine au roman fictif, en passant par tout les styles qui pouvait m'offrir le bicéphale des auteurs.

Vers l'âge de 14ans, j'appris à mon grand dam le triste destin qui attendait chacune des filles Miryoku Kiken' : être mariée de force pour que la famille enrichisse son capital financier. Une pratique qui tend à disparaître, mais mes parents étant vieux jeu, il préféraient continuer sur cette lancée pitoyable et outrageuse.

Révolté par une tel "tradition", la défense de ma sœur jumelle, Kaorin, qui devait être la prochaine, devint une de mes préoccupations premières. Cela nous rapprocha et nous nouâmes des liens qui dépassaient de loin ceux des autres membres de la famille. Rien d'étonnant à cela : dans la famille Miryoku Kiken', tout tourne autour de l'argent. Il ne manquerait plus qu'on ait à payer le droit de vivre...

La nouvelle mission que je me donna fut d'espionner ses parents pour avoir des informations sur ce mariage arrangé.
En furetant dans la demeure familiale, je découvris que mes parents avaient l'intention de placer ma sœur chez un tuteur pendant 2ans pour qu'il se charge de museler son attitude rebelle et qu'elle accepte docilement son destin. Peine perdue avec Kaorin... Fous qu'ils étaient à penser pouvoir la dompter...

Je m'inquiéta immédiatement mais n'en parla pas à ma sœur par peur d'être dénoncé par d'autres membres de la famille.
Car comme je l'ai dit plus tôt, chez les Miryoku Kiken', seul le profit personnel est vraiment important.

Quelques temps plus tard, Kaorin était emmenée de force chez ce tuteur et je n'osa rien faire pour l'aider.
D'ailleurs, au vu de ce qui s'est passé après, je me maudit de ne pas avoir réagit... J'aurais du... J'aurais du réagir!...

Pendant l'année qui suivit, j'alla espionner la maison du vieux tuteur au moins une fois par jour, pour vérifier que ma sœur allait bien. Je m'inquiétais des mauvais traitements que le vieil homme pouvait lui faire subir et plutôt que de me fier à ses "rapports", je préférais m'en assurer personnellement.

Un jour, j'arriva au mauvais moment. En effet, le vieux tentait d'abuser d'elle au moment ou je vins.
Je vis sa sœur lui planter un couteau dans le ventre, ce qui fit hurler le vieux pervers de douleur.
Assurément une vraie tigresse, ma soeur!

Il réussit cependant à la jeter contre un mur, ce qui l'assomma.
Il tituba, puis s'écroula molement sur le sol. J'entra par une fenêtre pour m'assurer qu'il était bien mort et que ma soeur allait bien. Je retira le couteau de son ventre. Le sang chaud coula doucement entre mes doigts.
Je revois encore son sang coulant entre mes doigts... Cette sensation de pur plaisir... Un sentiment indéfinissable...

Je vérifia que la vie de ma jeune sœur n'était pas en danger puis mais je fut interrompu par les cris qui se rapprochaient. Les bruits avaient attiré les villageois alentour. Personne n'était censé venir déranger le tuteur pendant son "travail". Si j'étais resté là, j'aurais énormément d'ennui. Et je ne pouvais pas me permettre d'être découvert là. Je du donc m'éclipser et rentrer chez moi, à contrecœur, en laissant ma jumelle là.

Quand les serviteurs de la famille la ramenèrent, je pris personnellement soin de s'occuper d'elle. Je ne relâcha jamais mes efforts, usant de tous les remèdes qui pouvaient être utiles et puisant dans mon capital personnel pour faire venir les médecins les plus doués. Heureusement pour moi, j'avais aussi lu plusieurs livres de médecines. Que les dieux soient loués que j'ai pu m'en procurer.

Grâce à toutes ces attentions elle fut assez vite rétablie.
Juste après, nos parents eurent la délicate attention de présenter à Kaorin son futur époux. C'était une mauvaise idée, et je devais être le seul à en avoir conscience. D'ailleurs la réaction de ma sœur me le prouva : elle partit immédiatement en courant en voyant la... chose qu'elle devait épouser.
Car en effet, même un vieux guerrier qui aurait traversé 10 000 batailles en récoltant une balafre de plus à chaque affrontement aurait été plus beau. Et en plus, quand ce laideron regarda Kaorin, je pu voir qu'il était aussi pervers que l'était le vieux tuteur.

Cela m'énerva encore plus et, sans que personne ne le sache, je mis une trempe au "futur époux" de ma sœur avant de partir la chercher.
Heureusement pour moi, je connaissais suffisamment ma soeur pour savoir où elle était partie se réfugier.
Nous eûmes une longue discussion, et cela fit beaucoup de bien à Kaorin et nous nous rapprochâmes d'autant plus.
A notre retour, nos parents annoncèrent, avec leur délicatesse habituelle, qu'ils avaient tout réglé pour le mariage et qu'il aurait lieu au 16e anniversaire de la jeune fille.
Ma rage monta de nouveau, mais je serra les poings pour ne pas exploser. Ces imbéciles n'allaient-ils donc jamais comprendre!?

Les parents du futur époux avaient cependant dit à mes parents que leur fils c'était fait battre et, se doutant de l'auteur de cette dérouillée, les Miryoku Kiken' me firent battre à mon tour.
Le souvenir de cette torture gratuite me hante encore chaque nuit.

Des serviteurs de la famille m'emmenèrent au sous-sol de la demeure Miryoku Kiken', dans une petite cellule. Une odeur de sang régnait dans la petite pièce.
Là, ils m'attachèrent à un pilier avec des chaînes, sans rien sur le torse. Le froid du pilier me forçait à rester éveillé et les chaînes m'entaillaient les poignets.
Heureusement je n'en ai pas gardé de marques...

Ils commencèrent par me laisser là une journée entière pour user ma patience et mes forces sans m'apporter ni eau ni nourriture. A part le bruit de gouttes d'eau qui tombaient sur la pierre, rien ne troublait les ténèbres de la cellule.

Il revinrent et me torturèrent un peu en mettant de la nourriture non loin de moi, laissant le doux fumet m'arriver au nez sans que je puisse manger. Cependant, à leur grand
désarroi, autant physiquement que psychologiquement, je tint bon. Ils passèrent ensuite à des choses plus dures, lui plongeant une lame dans le flan droit.
Encore aujourd'hui il m'arrive de ressentir la morsure de l'acier dans mes chairs.

Par la suite, surement plus par envie qu'autre chose, ils firent une marque au fer rouge sur le front du garçon. Cette marque, au lieu de devenir de la couleur normal d'une brulure cicatrisée, resta noir par la suite.

Loin de me blesser assez pour risquer de me tuer, mes bourreaux avaient néanmoins enfoncé la lame suffisamment profondément pour que je souffre le martyr. Les dents serrées, je tenais encore. Frustrés, les deux tortionnaires me laissèrent encore une journée de plus dans les ténèbres du ma cellule.
Sans les tortures, ce petit jeu de qui perdrait sa patience le premier aurait été divertissant.

Les ténèbres me tournaient autour. Seul dans ma cellule, j'entendais les gouttes d'eau tomber au sol. A la longue, je savais que ce bruit allait me faire perdre patience, si tant est que je n'en devienne pas fou.
J'étais à bout de force. Si je tenais encore, c'était uniquement par le désir de frustrer les bourreaux que mes parents avaient choisit pour moi.
Lesdits bourreaux revinrent pour me frapper avec des chaînes. Ils me croyaient dénué de ressources mais il me connaissaient mal. Mon entraînement me permit de résister bien longtemps à mes bourreaux, les frustrant pour le compte. Cependant, ces chiens têtus finirent par avoir raison de ma ténacité et me frappèrent jusqu'à ce que je m'évanouisse.

Les ténèbres m'entourèrent, et je m'égarais hors de la pensé et du temps.

Les soins que l'on me prodigua par la suite soignèrent mon corps, mais mon coeur, lui, garda ses cicatrices. Des cicatrices appelées Haine et Souffrance.

Les années passaient, Kaorin était de plus en plus anxieuse et moi, je gravissais les échelons dans l'échelle ninja, devenant petit à petit de plus en plus fort.
J'étais fier de ma force, lisant toujours beaucoup mais moins qu'avant, préférant passer un peu plus de temps avec ma chère petite sœur.
Peu avant son 16e anniversaire, Kaorin partit de la maison familiale.
Sur le coup, j'en eu le coeur briser. Je perdais la seule chose qui me retenait encore.
Je n'avais donc plus aucune raison de rester dans une famille dans laquelle je me sentais étranger et attristé par la fugue de sa sœur, je partis à mon tour très peu de temps après.
Cette fois je goûtais à la véritable liberté. Non celle de l'esprit, mais celle de mon être tout entier. Enfin...

J'utilisa une caravane marchande en partance pour Kaze no kuni pour fuir. Me cachant a l'interieur, je fit le trajet, difficilement certes, mais j'arriva a bon port.


Cependant, je ne chercha pas Kaorin. Je savais que cette fois je ne la retrouverais pas. Mais je lui faisais confiance pour qu'elle reste en vie.
Ainsi donc se passa ma fugue.

Par la suite, mon arrivé a Sunagakure ne fut pas glorieuse du tout. N'ayant d'endroit où aller ni de connaissances, je m'était trouvé un coin tranquille que je pouvais squatter à loisir. Ce n'était pas vraiment glorieux mais c'était mieux que rien.

Ainsi donc, je pensa tout de même à devenir ninja. Ayant des prédisposition à cette voie plutôt qu'à une autre, je décida de tenter ma chance.
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Nindô: À l'instar d'une bête sauvage, seule celle qui touchera mon cœur saura me dompter. Les autres sont voués à être avec ou contre moi, mais jamais neutre.

Ce qu'il aime:
Kenren aime la beauté, que se soit celle d'un livre, d'un tableau ou d'une fille, et la liberté de faire ce qu'il veut, quand il veut et comme il veut. Il adore parcourir les grands espaces soit les étoiles, ou rester allongé à les regarder; les combats dans lesquels il peut exprimer tout son art et la lecture. Il aime également beaucoup les moments de tendresse avec l'élue de son cœur.

Ce qu'il déteste:
Kenren a une véritable aversion pour ceux qui pensent que les gens sont naturellement forts ou pas. Il déteste les vantards et les gens qui ne respectent pas la beauté. Il ne supporte pas non plus que n'importe qui le dérange pendant sa lecture, sauf quelques rares personnes.

Qualités:
Kenren est de nature calme et écoute toujours les propositions des autres si elles sont bien exposées.
Il est doux et attentionné avec celle qu'il aime et la protègera quoi qu'il arrive.
Si est également bon diplomate à ses heures et peut faire preuve d'une grande discrétion, digne de n'importe quel félin.
Il est protecteur et défendra toujours ardemment l'élue de son cœur et ne reculera devant rien pour elle. Cependant son amour est aussi sa plus grande faiblesse.

Défauts:
Kenren est cependant prompt est s'énerver facilement si on le titille sur certains points sensibles.
Il est aussi relativement jaloux, bien que très confiant, et ne permettra pas a n'importe qui de regarder n'importe comment celle qu'il aime.
Il est également dangereux de le déranger s'il s'isole de lui-même sans explication. Dans un tel cas, seul sa compagne ne risque absolument rien.
Sa plus grande faiblesse est peut-être cette même compagne mais il est également dangereux de s'y attaquer.
Yakujo Sho Ex-Chuunin de Yukigakure no Sato mort en mission pour le Kage.
I'm gone... Farewel, my Wonderland...
Yakujo Sho
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Nom: Yakujo

Prénom: Kôji

Âge: 17 ans

Sexe: Masculin

Description :
Kôji est un garçon de son temps. Plutôt grand et élancé, il n’est cependant pas dépourvu de muscles. Bien qu’il ne parle jamais de son poids ou de sa taille, on peut dire qu’il mesure environ entre 1m90 et 1m95 pour pas loin de 80/85 kg.

Kôji porte beaucoup d’attention à son physique. Ainsi, il donne pas mal d’importance à ses cheveux, rouge sang, dont il a lui-même choisit la coupe. Formant des piques, longs d’environ 15cm, qui ne paressent pas ordonnés mais qui en réalité le sont, et long derrière d’une trentaine de centimètres, attachés en queue de cheval, ils sont une des choses auxquelles Kôji tiens le plus. De même que ses cheveux, ses sourcils sont rouges sang, ni trop fins, ni trop épais.

Ses yeux sont d’un vert relativement captivant. Même sans le vouloir, Kôji captive toute personne qu’il regarde directement dans les yeux. Il est très fier de leur couleur et est très content que ses lunettes, corrigeant une légère myopie, ne réduisent pas leur l’éclat.

Un nez fin et discret et une bouche fine toujours souriante complètent un visage relativement rond.

Il possède une petite marque rouge sous l’œil gauche qui est en fait un tatouage qu’il s’est fait faire « pour le style ».

Pour les vêtements, Kôji n’est pas vraiment complexe. Une chemise blanche et une veste noir, ouvertes jusqu’au milieu du torse, accompagnées d’un pantalon noir et de chaussures noires elle aussi, sont sa tenue de prédilection.
Ce choix de tenue sombre contraste avec une peau plutôt pâle, laiteuse et douce.

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Histoire :
[Note: pour les repères temporels je me base sur la même années actuelle pour avoir quelque chose de cohérent.]


Chapitre I : Une vie…bof…
Kôji est né en 1989 dans une petite ville située non loin de Tokyo, au Japon, dans une famille moyenne.
Il vivait avec sa mère, sa sœur et sa grand-mère.
Seul membre de la famille a posséder de tels cheveux et de tels yeux, sa mère prit soin de les préserver dés le plus jeune âge de Kôji.
Le jeune garçon eut une vie paisible, et plutôt quelconque, sans évènement particulier.

Dés son entrée a l’école primaire, il montra une passion pour les histoires de samurai et de ninja et se fit offrir bien vite un véritable katana.
Ainsi commença son désir de savoir le manier. Au début, il regardait des films et cherchait à reproduire les mêmes mouvements.
Vers l’âge de 12ans et après le massacre de bon nombre des plantes du jardin qui n’avaient pas pu se défendre face a un tel adversaire, la mère de Kôji se décida a l’inscrire a des cours, histoire qu’il apprenne au moins a massacrer avec un minimum de style.
Voici donc comment le jeune garçon commença à véritablement vivre sa passion. Il découpait toujours les pauvres plantes de son jardin, perpétuant le génocide, mais au moins, il le faisait de façon plus artistique.

Vint ensuite le désir de faire des compétitions, vers l’âge de 14 ans. Loin de vouloir le voir passer d’autres jeunes au fil de son sabre dans son amour de la découpe -il était encore plus doué qu’un robot ménager- sa mère prétexta qu’il n’était pas encore assez expérimenté.
Ce qui, en un sens, n’était pas tout a fait faux car il ne lui éminçait pas encore es légumes.
Kôji fut donc contraint de continuer son génocide végétal.


Chapitre II : On devient plus sérieux! Enfin presque…
Par la suite, il arriva au lycée. Là, il refreina quelque peu sa passion pour se mettre aux études de façon plus sérieuse.
Il se fit rapidement des amis et intégra rapidement une petite bande comme on est vois si souvent.
Bien que de nombreuses jeunes filles se jetèrent presque sur lui, il n’eut jamais de petite amie, par choix personnel.

Du côté de sa passion, après avoir fini de tuer tous les buissons, fleurs et autre massif, il s’attaqua aux arbres. Il se décida également à baptiser sa lame au nom de Kurenai, qui signifie « rouge foncé » ou « Pourpre ». Il pensa a se nom par les histoire de samurai, qui donnaient toujours un nom a leur arme.

Réussissant globalement bien ses études, il se tailla rapidement une réputation -aussi vite qu’il taillait les végétaux- et bientôt toutes les filles de son lycée, de la bombe anatomique à la fille qui devait être le fruit de ce que la nature avait du faire à un moment où elle était fâchée, connurent son nom.
Il n’était quand même pas un dieu ni une idole, mais tous savaient qui était Yakujo Kôji, « le beau gosse aux cheveux de feu » comme disaient certaines… Et certains aussi au grand dam de Kôji.


Chapitre III : La fin d’un mythe…
Un jour, alors qu’il avait 17 ans, Kôji arriva au lycée avec son sabre dans le dos.
Bien vite on lui en demanda la raison de toute part et il annonça que le grand jour qu’il attendait était arrivé. Esquivant les quelques qui pensaient qu’il avait choisit sa petite amie -ou son? Oô-, il expliqua que le jour même, après les cours, il allait participer à son premier tournoi.
Évidement tout les filles bavèrent d’admiration -certains garçons aussi…- et beaucoup voulurent l’accompagner, certains comptant même sécher les cours pour cela.

La journée se passa ensuite presque de la même façon que les autres -si on exclu que les autres élèves de sa classe (surtout les filles… mais pas seulement…) n’écoutaient pas les cours et préféraient le regarder-, et très vite vint la fin de la journée.
Kôji esquiva la foule massée à l’entrée en escaladant un mur derrière le lycée. Il avait été gentil, mais il ne voulait pas non plus remplir la salle de tournoi rien qu’avec ses fans -et accessoirement il ne voulait pas être vu avec les celle qui étaient fâchée avec la nature- et partit vers son tournoi.
*Hehehehe J’les ai eu! Aller on fonce j’doit pas être en retard!*

Cependant, sur la route le menant au but, un accident routier l’empêcha du continuer. Il lui fallait faire un détour qui lui rajouterait près de 15min.
Soupirant, il baissa la tête et reprit la route.
Il connaissait la ville mais était rarement venu la où il devait passer et le quartier n’était pas très bien réputé.
Rallant doucement, Kôji finit par se mettre à écouter de la musique pour passer le temps.
*C’est toujours pour moi les coups foireux -___- Bon plus qu’à passer par le vieux quartier. Fait chier, y à que des camés là-bas! Rhoo et puis zut j’ai pas le choix t’façon…*

Il n’entendit pas le bruit qui se rapprochait de lui, ce bruit de pas dans son dos.
Traversant une ruelle sombre, il finit par déceler la présence, pesante, menaçante, inquiétante.
D’un mouvement, il se retourna en dégainant son katana -qu’il tenait alors dans la main gauche- dans un premier mouvement d’attaque. [Pour les connaisseurs, ce mouvement d’attaque en dégainant le sabre est un classique mais toujours efficace.]
*J’suis pas stupide a ce point mon vieux! J’vais pas me laisser surprendre par un drogué!*

Son « adversaire » fut assez rapide pour reculer.
Le garçon fut pris de stupeur en le regardant. Un visage blanc ou une sorte de masque -il n’aurait su le dire- au point qu’il ressemblait à un cadavre, une posture étrange, et une envie de tuer presque palpable.
« Korosu! Kurau! »

Les yeux de Kôji s’écarquillèrent tandis qu’il traduisait mentalement les paroles de la créature.
*Korosu? ‘Tuer’? Kurau? ‘Bouffer’? Mais je suis tombé où moi? Et c’est quoi ce machin!?*

La créature se mit à essayer de le griffer avec des sortes de longs appendices qui devaient lui servir d’ongles. Kôji esquivait les coups tant bien que mal.
« Apprend à te couper les ongles! »
*’Tin comment je me sors de cette merde? Et c’est quoi ce truc? C’est pas humain! Il va finir par m’avoir le con!*

Très rapidement, il fut aculé à un mur, sans possibilité de fuir.
Usant des mêmes mouvement que lorsqu’il massacrait les plantes de son jardin, il frappa en aveugle et ne fit que chatouiller son adversaire, et encore.
« Whahahahaha! Baka! »
*Merde là j’suis vraiment mal! Faut que je me sorte de là et vite et que je trouve de l’aide!*

La bête lança ses griffes à tout vitesse vers lui. Kôji hurla de toutes ses forces.
Puis il n’y eu plus rien.


Chapitre IV : Nouveau départ
Kôji n’avait même pas eut le temps de sentir le monstre enfoncer ses griffes dans son corps d’adolescent.
Il se réveilla en hurlant et crut tout d’abord que ce n’avait été qu’un cauchemar. Mais il changea rapidement d’avis en voyant le décor.
*On se croirait presque dans un univers de samurai… J’espère que je suis pas tombé chez un junkie…*

Il était dans une maison de style traditionnel, non plutôt une cabane vu la taille. Il portait toujours ses vêtements et ses lunettes, donc il n’avait pas dormit ni fait un cauchemar. De plus, il tenait son katana séré dans sa main.
Il cligna des yeux, et la lame avait disparu. Il ne tenait plus que le fourreau.
*Huh? C’est quoi cette histoire?*

Il cligna encore des yeux et le fourreaux lui-même avait disparu.
*Hey! Où est mon sabre!?*
Il jeta des regards rapides autour de lui mais ne le vit pas. Il n’avait que le souvenir de la sensation de son sabre dans sa main.

Il se leva, sortit et découvrit un paysage qu’il ne connaissait pas.
*Ça ressemble pas au vieux quartier… Mais où je suis tombé moi encore? Rhaa et merde j’ai du loupé le tournoi… Faich’!*

Étrangement, il se sentait en quelque sorte attirée par un bâtiment qu’il voyait au loin. Il sentait que quelque chose d’important s’y trouvait, peut-être même la réponse à la question qui lui tournait dans la tête : Où suis-je?
Il avança à grands pas vers ce bâtiment qu’il finirait par appeler « l’académie ».

En chemin il eut un vague souvenir. Il était dans le noir. Une voix lui parlait.
« Tu n’as pas commis de crime, ton âme est innocente. Tu pourrais devenir un shinigami et défendre les autres des créatures comme celle qui t’a attaqué, un hollow. »
« Âme… Shinigami…Défendre… Hollow… » C’était sa propre vois, dans un état second.

Il sentait qu’il était là pour une bonne chose.

Caractère :
Kôji est un garçon plutôt calme. Il élève rarement la voix et est de nature plutôt indulgente et gentille. Sans est vraiment volontaire, son attitude en a charmé plus d’une. Galant et courtois, il aime la compagnie féminine et serait incapable de leur faire du mal sans raisons.
Il profite de se que son existence lui donne sans faire de plans a long termes et préfère vivre au jour.
Certains le disent insouciant, d’autres insolent mais il est toujours respectueux envers les gens qui l’entourent.
Il a depuis l’enfance une passion pour le Japon Médiéval et en particulier les ninjas et les samurais, ce qui a fait qu’il s’est mis à prendre des cours pour apprendre à manier le katana.
Passionné et déterminé, il aime finir ce qu’il commence et ne reviens jamais sur une promesse.
Il est également plutôt intelligent mais n’aime pas trop le montrer. Il est aime beaucoup plaisanter.


Ce qu'il aime :
Son physique, son tatouage, les samurais, son katana, s’amuser, plaisanter, la compagnie des filles et être avec des amis.

Ce qu'il n'aime pas :
Les brutes épaisses, les boulets, s’ennuyer, être décoiffé, être mal habillé, les machos et les araignées.


Kurenai:
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Bio faite pour m'occuper et voir mes capacité pour les personnages du genre. Sur le modèle des bio de NNS :
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Nom : Miryoku Kiken'

Prénom : Kaorin

Surnom : Ririn

Âge : 18 ans

Description et Caractère :
Kaorin la belle, Kaorin la désirable.
Kaorin la séductrice, Kaorin au charme ravageur.
Kaorin aux innombrables conquêtes.

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Signalement: Selon les dires, Ririn ferait environ 1m70 et à vue d'oeil pèserait dans les 55kg.


Elle file, ombre parmi les ombres comme elle l'aime. Des marchands de passage parlent de filles d'une famille pauvres. Apparemment leurs parents veulent les vendre. Ririn frissonne, elle hait ce genre de personnes.
Elle tourne à l'angle d'une rue, un passant l'a remarqué, mauvais signe. C'est une jeune fille. C'est dangereux, elle ne devrait pas être ici, elle ne devait pas revenir.
Tant pis, elle ne peut pas se permettre de laisser un risque.
Elle tourne autour d'un bâtiment, arrive par le côté opposé à l'endroit où elle a été vue. La jeune fille est toujours là.
Ririn s'approche, discrètement. Elle attrape sa victime et lui brise la nuque avant de repartir dans l'ombre.
Elle n'aura aucun état d'âme. Elle est comme ça.
Elle se hâte, elle doit aller le retrouver.
Elle arrive a destination, une maison discrète parmi les autres. Elle entre, il est la, il l'attend. Elle est de passage mais elle a envie de passer un peu de bon temps. Ils se comprennent d'un regard. Peu de temps plus tard, ils sont ensemble.
Elle bouge de façon sensuelle, ses cheveux cascadant sur ses formes généreuses. Sa grâce n'a d'égal que sa beauté.
Tout en elle, à cet instant, n'est que charme et sensualité, et il ne saurait y résister.
Elle s'allonge dans ses bras, passe doucement ses mains sur son corps. Il ne resiste pas.
Ses formes, ensorcelantes, ne peuvent pas le laisser indiferent.

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Cependant, elle n'est pas le genre classique.
S'il sais la satisfaire cette nuit, il se réveillera seul demain, et n'entendra plus jamais parler d'elle.
S'il lui déplait, il ne se réveillera jamais pas du tout.

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Voilà comment est Kaorin "Ririn" Miryoku Kiken'. Une femme féline, indépendante, au double visage.
L'un doux, tendre, aguicheur voir même charmeur. Une femme sensuelle, attirante, ensorceleuse.
L'autre sauvage, libre, violent et mortelle, imprévisible et impossible à capturer.

Cette jeune femme, c'est Ririn, elle se plait comme ça, et tant qu'elle se plait, cela lui suffit.

Histoire :
[Histoire rédigée sous la forme d'un journal]


Jour X, Mois X, Année X
Je me lance aujourd'hui dans l'écriture d'un journal. Qui sais, cela me saura peut-être utile un jour.
Bon, un bon point serait de commencer par résumer mon histoire.

Je suis née dans un village de moyenne importance à Mizu no kuni dans une famille plutôt grande. Mes parents étaient assez riches, une famille de marchands. Ils marchandaient tout ce qu'ils pouvaient.
Ils m’élevèrent correctement, me donnant une bonne éducation.
Les jours passaient et j'apprennais. Mais a côté de ça, je developpais aussi mes atouts physique.
Le corps et aussi important que l'esprit, donc je m'entrena également pour savoir me défendre et je developpais aussi ma beauté.

Cependant, j'appris bien vite les "coutumes" de ma famille pour ce qui était des filles : les mariages arrangés.
Bien entendu je n'était pas d'accord, et un de mes frères pris vite mon partit. Nous nous entendîmes très bien lui et moi, partageant la même vision de cette coutume.
Malgré toutes les tentatives de mes parents pour me convaincre, il ne fut pas question pour moi qu'ils choisissent mon mari.
D'autant qu'au vue de tout les garçons qui bavaient litéralement sur moi, je n'allait pas me laisser faire.
Ainsi je devint plus rebelle, refusant en bloc tout ce qui concernait ledit mariage.

Cependant, ma famille m'envoya chez un précepteur pour "museler " mon caractère.
Ainsi donc j'atterrit chez un vieil homme habitant seul.
Il devait s'occuper de moi pendant 2ans afin de me calmer pour que j'accepte docilement ma condition dans la famille. C'était sans compter avec mon caractère.
Bien que je n'avais qu'une quinzaine d'années a l'époque, je compris tout de suite les intentions du vieux à son regard. Il allait avoir a charge une jeune fille, et mes parents lui avait autorisé a faire ce qu'il voulait si cela pouvait aider a me calmer. Je me doutais qu'il allait profiter de cela.
Et ça ne manqua pas.

Durant les deux années il tenta d'abuser de moi, mais c'était vraiment me croire stupide que d'essayer. Chacune de ses tentatives se soldaient par une mosure ou une griffure de plus a son palmares. En peu de temps, le vieil homme se retrouva avec de nombreux bandages, mais cela ne le calma pas, au contraire.
Ainsi donc, avant la fin de la première année, on le retrouva baignant dans un marre de sang et moi, allongée contre un mur avec une blessure à la tête.

Mes parents me firent soigner et mon frère s'activa comme un damné pour s'occuper de moi. En moins de deux semaines je fus sur pieds.
Juste à ce moment mes parents eurent la délicatesse de me présenter "mon futur époux", le fils d'une riche famille marchande d'un village proche.
A voir la... Créature a laquelle ils voulaient me marier me fit fondre en larme dans un premier temps et fuir ensuite.
Je courut aussi vite qu'il m'était possible, toujours plus vite. Mon frère me retrouva mais ne prévins pas mes parents. Au lieu de cela nous restâmes longtemps à parler.

Je ne me souviens plus vraiment de notre discutions mais cela me fit du bien.
Mes parents réglèrent tout pour le mariage, quand j'aurais mes 18ans, dirent-ils.

Avec les années mon anxiété grandit. Le poids des années quand on attend une chose que l'on trouve horrible est dur, très dur...
Trop dur...
C'est pour cela que je fuis peu avant mon 17e anniversaire.
Je partis de Mizu no kuni en direction de Ame. Là je rencontra un homme.
Nous restâmes ensemble quelques semaines avant de nous séparer.
Entre temps, j'avais suivit un enseignement de ninja, par envie de savoir me débrouiller seule, d'être forte et de ne jamais plus être sous la volonté d'un autre. Cette période fut dure en raison d'un professeur pervers.
A mon 18e anniversaire, je quitta Ame et partit en voyage à Suna.
Les ninja de Ame, entre-temps, découvrir le corps du pervers criblé de kunais, tous ayant une mèche de cheveux blonds accrochés. Mes cheveux.

Enfin arrivée à Suna, je constatai que mon signalement comme renégat n'avait pas encore été donné. Je profitai donc de ce repis pour jouer les touristes.
Cependant, un jour, en me baladant dans la nature, je vis une femme.
Belle en tout point, brune, avec deux magnifiques tresses.
Elle devait être a peu près aussi grande que moi. Gracieuse, sublime, sauvage, je la revois encore dans mes rêves.

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Elle ressemblait a cela.

Depuis que je l'ai vu, je ressens une sorte d'alchimie. Je me sens attirée par elle comme une bille de plomb par un aimant.
Je n'ai cessé de rêver de ce jour depuis. Chose étonnante pour moi.
Est-ce de l'attirance? De l'amour? Ou la simple attraction de deux créatures semblables?
A cette question je n'ai aucune reponse, mais je veut la trouver.

Cherchant a savoir qui elle était, je tomba un jour sur un livre regroupant les ninja deserteurs dont les têtes étaient mises a prix.
Par curiosité je regardais.
Selon les Bingo-book, la belle que j'avais vue serait une déserteuse.
Karasu Satsubatsu Hana. Jamais plus je n'ai oublié ce nom.

Depuis ce jour j'attend, cependant, je sais qu'attendre ne me donne que peu de chance de la revoir.
Mue par je ne sais quel instinct, j'envisage de partir vers Konoha ou Yuki.
Vu le climat je pense que Konoha est un choix plus judicieux. Mais est-ce qu'elle y sera? La reverrais-je un jour?
Je l'espère de tout coeur.

Car dans le mien, je vois une femme féline qui en cherche une autre, semblable, et qui la poursuit, l'ayant peut-être trouvée.


Nindô : Il n'est point de remèdes à l'amour, mais il n'y a plus douce maladie.

Ce qu'elle aime : L'action et le calme, la liberté et l'amour, les hommes et les femmes.

Ce qu'elle déteste :
Les politiques, les gens qui vendent les autres, la solitude, la douleur de perdre un être cher.

Données bonus : Ririn à la manie d'accrocher une mèche de ses cheveux à ses kunai quand elle tue quelqu'un de fort ou pour qui elle éprouve une forte répultion ou une haine farouche.
Elle adore les tenues en cuir moulant qui épousent les formes généreuses de son corps, et elle est bisexuelle.

Kaorin à 15ans:

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Yakujo Sho Ex-Chuunin de Yukigakure no Sato mort en mission pour le Kage.
I'm gone... Farewel, my Wonderland...
Yakujo Sho
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Message par Yakujo Sho »

Shadow World, un ancien forum sur lequel je jouait mais qui va couler :
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Nom : Aisu

Prénom : Kodoku

Age : Approximativement 15 ans

Race : Shin’zou Touketsu Dit Shin’ketsu

Grade : [A voir avec la Déesse avec mon histoire]

Histoire :
Aussi loin qu’il se souvienne, Kodoku a toujours été un enfant de la rue. Pas de parents, pas d’amis, pas de famille… Rien que lui. Seul.
Il ne se souviens même pas si il avait des parents ou pas.
Chacune de ses journées sont les mêmes : il se réveil dans un endroit ou il ne se souviens pas s’être endormis, part voler de quoi manger et passe sa journée a se cacher pour éviter les représailles.
Cette vie monotone, sans personne a qui faire confiance ou a qui parler, c’est la vie dans la rue. C’est la vie des enfants pauvre qui n’ont ni foyer ni endroit ou aller.
C’est la vie de Kodoku.
Cependant il ne haït pas sa condition. Il ne connaît que ça et l’absence de personne pour s’occuper de lui a fait qu’il a un certain retard. Il ne comprend pas tout mais sais faire ce qu’il faut pour survivre. C’est dans la rue qu’il a appris à être discret, à voler et à être assez agile pour fuir.

Cependant, il n’est pas un enfant des rues comme les autres. Un jour, alors qu’un marchand qu’il avait volé avait réussi a le coincer dans une impasse et qu’il s’apprêtait à le frapper avec une épée, Kodoku ferma les yeux et détourna la tête, levant les mains devant lui dans l’espoir qu’il lui offre une quelconque défense. Quand il rouvrit les yeux, l’homme était prisonnier dans la glace, comme congelé.
Une autre fois, alors qu’il tentait d’échapper à un homme qui le poursuivait mais qu’il n’arrivait pas a semer, le jeune garçon, se plaqua contre un mur, la peur l’abritant. Il ferma les yeux et eu l’impression de s’enfoncer dans un liquide gélatineux. Il rouvrit les yeux pour constater qu’il était passé dans le mur. Après un instant de panique, il avança et sortit aussitôt du mur. Cela lui permit de semer son poursuivant.
L’autre chose étonnante qu’il découvrit, fut lorsqu’un homme tenta de lui maintenir les poignets pour l’attacher et le vendre aux autorités. Il battit frénétiquement des mains pour l’en empêcher et un projectile sous la forme d’un gros caillou de glace frappa l’homme à la tête, le tuant sur le coup.
Kodoku ne compris jamais ce qu’il s ‘était passé ces fois là et il ne se posa d’ailleurs jamais la question.

Un jour, alors qu’il se faufilait entre des gens rassemblés pour il ne savait quelle raison sur une grande place, il vit une silhouette au-dessus de tous. Apparemment, ils regardaient tous cette personne. Kodoku leva machinalement les yeux.
C’était la Déesse de Glace. Elle parlait et tous l’écoutaient. Kodoku lui, fut pris d’un sentiments étrange. Tout d’abord il sentit un lien entre elle et lui.
Puis, au fur et a mesure, son esprit torturé par la solitude le convainquit que la Déesse n’était autre que sa mère.
Il se mit inconsciemment à murmurer « maman », tout bas, au milieu de la foule.
Le lendemain, il éprouva le besoin d’être près d’elle. Un besoin inconscient et sans explications.
Il partit donc en direction du Palais de Glace, confiant en sa furtivité, pour la retrouver.

Apparence physique :
Kodoku a des cheveux long, très long. Ils lui arrivent jusqu’au milieu des cuisses pour ceux qui sont derrières et jusqu’à la ceinture pour les mèches de devant. Ceux-ci son de couleur bleu foncés et ses mèches ont un aspect qui donne a croire qu’elles sont plutôt épaisses.
Il a de petits yeux couleurs or, entourés de noir avec une petite pointe partant vers le bas au milieu de l’œil. Sont regard est généralement vide, du fait de la solitude qu’il éprouve mais parfois une expression passe dans ses prunelles.
Son visage est plutôt rond, quoique ses cheveux ne laisse pas en voir grands choses.
Il n’est pas très imposant, faisant a peine 1m60 et ne pesant plus de 55kg en raison de la faible quantité de nourriture dont il a disposé pendant son enfance. Sa peau est relativement pâle quand on la voit exposée à la lumière mais dans des zones d’ombre, elle a l’air plutôt bronzée.
Les seuls vêtements dont il a disposé durant son enfance fut un t-shirt un peu trop grand et un short large tenu par une corde, tout deux blancs et salis par les années.

Sa mentalité, vision du monde :
Kodoku est plutôt discret par nature. Il sais se fondre dans une masse ou se dissimuler dans n’importe quel endroit, ce qu’il a du apprendre pour pouvoir survivre. Il parle peu et souvent sans réelle importance.
Mais ce qui frappe le plus, c’est son esprit. En effet, Kodoku a un certain retard et agis comme un enfant d’une dizaine d’année. L’absence de parents pour lui apprendre et les années de solitude en sont la cause. Relativement peureux par nature, il préfère se réfugier la ou il se sens en sécurité devant quelque chose d’inconnu.
Il est curieux, comme tout jeune enfant, et relativement espiègle.
Cependant, durant sa vie dans la rue, on ne le voyait que d’une façon : assis dans un coin sombre, le regard vide, sans réaction.

Créature qui l'accompagne :
Kodoku ne s’est pour le moment lié à aucune créature.

Ses armes :
Kodoku n’a pas véritablement d’arme. Cependant, quand il se sent en danger, une glace très résistante allonge ses ongles jusqu’à devenir des griffes acérées.

Ses techniques de bases :
Kodoku possède bien entendu quelques capacités mais, n’ayant jamais appris, il ne sais pas les maîtriser et elles se déclenchent généralement quand il subit un choc émotionnel.
Il lui est arrivé de se fondre dans un mur de glace une fois ou il était apeuré et tentait de fuir quelque un de dangereux. Une autre fois, il créa une prison de glace autour d’un homme qui voulait le tuer en mettant ses mains devant son visage pour se protéger de son arme.
Une autre des capacités s’étant manifesté était un projectile de glace qu’il envoya en battant des mains pour empêcher un autre homme de le maîtriser.
BU, une autre faite pour un perso Hollow, pour m'occuper. Qui sait, peut-être que je le jouerais un jour quand j'aurais plus mon Shinigami.
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Nom(s)
Katsubouchi
Nom composé de Katsubou, qui signifie "besoin insatiable / soif / désir pressant", et de Chi, qui signifie "sang".

Prénom(s)
Mashiro
Qui signifie "Blanc immaculé"

Âge
19 ans passés dans le monde humain puis environ 270 années passée dans " l'autre monde "

Sexe
Féminin

Description physique
La première chose qui frappe les gens chez Mashiro, c'est son visage. En effet, le contraste entre sa peau et le reste est saisissant. Elle possède une peau d'un blanc immaculé qui est presque naturelle, et elle n'utilise même pas de maquillage pour cela. Ses yeux, d'un vert assez terne, son entourés chacun par du bleu, une lubie que la jeune femme apprécie, et n'ont généralement aucune expression particulière. Ses sourcils sont sombre, parfaitement opposés a sa peau, et soulignes l'aspect de contraste que Mashiro cherche a donner. Son nez est plutôt fin, bien qu'il ne soit pas trop petit non plus, et sa bouche petite et fine ne forme un sourire que très rarement et sur laquelle il n'y a jamais de rouge à lèvres. Elle reste toujours aussi blanche que la peau de la jeune femme. Bien que personne ne les voies jamais, Mashiro a deux canines relativement bien développées, ressemblant a celles d’un vampire.
Ses cheveux sont soyeux et doux, preuve que Mashiro leur porte un grand intérêt, et son d'un noir parfait. Sombre, en parfaite opposition avec sa peau, ils participent eux aussi à donner un effet de contradiction. Ils sont longs et la jeune femme les attache souvent derrière sa tête, assez haut, plaçant les mèches restantes d'une façon bien précise.

Niveau vestimentaire, Mashiro ne porte que du noir. Affectionnant particulièrement cette couleur pour la discrétion qu'elle apporte, sa tenue se compose en tout et pour tout d'un haut qui suis les formes assez généreuses de son corps avec un col lui couvrant tout le cou, recouvert par une petite veste, un pantalon ayant le même type de coupe, des sandales dont les semelles sont hautes d'environ 10cm. A part cela ces pieds sont nus.
Ses mouvements sont emplis de grâce sans que Mashiro se force et quand elle marche, son déhanchement attire les regards sans même qu'elle ne le fasse exprès.


Histoire
[Extraits du journal de Mashiro Katsubouchi]

17 juin 1734
Je me suis décidé à écrire un journal, histoire de laisser une trace en ce monde. Mais avant ça il faut que je raconte mon histoire.

Comme mon nom le laisse comprendre, je ne suis pas d’origine Allemande. Ma famille non plus d’ailleurs.
Nous sommes originaires du japon, d’un petit village reculé méconnu de tous.
Je suis née en 1715 dans ce petit village. A l’époque, les conflits mineurs étaient légions dans la région et il n’était pas rare que de petites luttes clandestines éclatent.
C’est donc dans cette atmosphère que j’ai était élevée pendant 10ans. 10 années de vie en tentant de survire aux petites escarmouches des clans rivaux locaux.
Pas étonnant que ma famille a décidé de partir.

Ainsi, nous avons voyagé pendant 1ans avant d’arriver en un pays appelé Allemagne. Nous nous sommes ensuite installés dans un petit village du nom de Rottembourg.
Évidemment nous n’avons pas été les bienvenues mais avec l’argent que nous avions nous avons pu nous acheter une vielle demeure à l’abandon.
D’ailleurs quand je repense au prix qu’elle nous a coûté cela m’étonne, elle était vraiment peu cher.

Nous avons ensuite continué à vivre dans cet endroit.

Grâce aux rumeurs des villageois, je pus apprendre l’histoire de cette maison abandonnée.
Selon ces rumeurs, auxquels les villageois croient dur comme fer, des vampires y auraient vécu. À une lointaine époque, ils auraient décimé une bonne partie de la ville avant d’entre tué.
D’après ce que j’en ais entendu, quiconque entrerait dans cette maison et y dormirait en restant en vie serait en fait un vampire, car seuls les vampires survive aux esprits qui survivent encore dans ces murs.

Je ne suis pas superstitieuse, donc je n’y crois pas. Mais bon, sait-on jamais. Après tout nous ne sommes plus au Japon.


04 juillet 1734
Les villageois sont vraiment durs avec nous. Ça devient lassant.
Les bagarres dans les bars sont maintenant de notre faute! Ils disent que notre présence amènes la violence !
C’est de notre faute si se sont des saoulards ?

Par moment j’aimerais que certains meurent historie qu’ils se calment !
Qu’ils meurent par les vampires qu’ils craignent tant !


17 septembre 1734
Un homme est mort aujourd’hui.
Apparemment il avait deux petits trous dans le cou…
Et évidemment qui est-ce qu’on accuse? Les Katsubouchi bien sur !

Ils nous veulent du mal je le sais, je le sens.
Ils n’ont pas le coupable alors comme ils nous ont sous la main ils nous accusent !

[Le reste, brûlé, est illisible]



Ainsi donc, pendant que la jeune Mashiro écrivait son journal, un incendie s’est déclaré.
Courant pour sauver sa vie parmi les flammes, elle parvint dehors par la porte de derrière.

Par les fenêtres, elle pouvait voir les membres de sa famille en flammes, leur peau fondant littéralement sur leur corps. Les hurlements d’agonie de ses parents lui parvenaient aux oreilles avec l’intensité d’une cloche d’église.
Tandis que les larmes coulaient et que son esprit tombait en miettes, les hommes du village hurlaient leur joie d’avoir punit les « créatures du mal », les « enfants de Dracula ».

Quelques jours plus tard, elle reprit conscience dans un petit bosquet. Là, une voix dans ça tête lui murmurait un désir de vengeance.
Ils avaient fait ça pour tuer es vampires? Ils voulaient des vampires?
Ils allaient en avoir.
Elle ressentait un besoin en elle. Le besoin de faire coulet le sang.
Vidée de tout sentiments, elle ne sentait plus que la vengeance à venir, rien d'autre.

Mashiro partie à vive allure vers le village, aussi discrète qu’une ombre.
Quelque chose était changée en elle. Elle avait un besoin maladif, un besoin de tuer, un besoin de sang frais.
Peut-être les rumeurs des villageois étaient-elles vraies finalement… Et dire qu'elle n'y croyais pas avant et que maintenant elle était presque devenue un vampire, quelle ironie.

Mashiro tua les gens qu’elle croisait dans le village, les égorgeant et plantant ses dents dans leur cou à la manière d’un vampire.
Elle aimait cette sensation, sentir leur sang chaud se déverser dans sa gorge.
Cela devenait comme une drogue : plus elle en prenait, mieux elle se sentait. Mais elle n’en avait jamais assez.
Chi no Katsubou. Un désir insatiable de sang…

En une nuit a peine, elle eut décimé tout les villageois, femmes et enfants compris.
Une centaine d’âme en une seule nuit.

Mais elle en voulait plus, encore plus.

Elle partie donc en direction de la ville la plus proche tel une droguée en manque.
Arrivée, elle recommença son carnage, elle avait soif et cette soif ne s’éteignait jamais.
Ainsi donc elle réussie à survivre pendant un peu plus d’un mois, mais à la longue, les forces de l’ordre commencèrent à ne plus avoir de patience.
N’arrivant à rien avec cette tueuse étrange, ils continuèrent pourtant. Mais ce ne fut pas eu qui la tuèrent.

Un homme qui la chassait finit par réussir là où tous avaient échoués. Un homme capable bien qu’ayant des méthodes assez rustique.
Avant de la tuer, après une traque de plusieurs jours, il se présenta à elle sous le nom de Van Hellsing.
D’une flèche en pleine poitrine et une autre en plein milieu du front, il tua la « créature autrefois belle jeune femme ».

Ainsi se termina la vie de Mashiro Katsubouchi, qui avait prit dans sa vie beaucoup de plaisir à venger sa famille puis avait pris goût au sang au point d’être assimilée à un vampire.

Elle atterrit ensuite dans un monde inconnu où elle erra comme une âme en peine, cherchant du sang sans en trouver.
Elle erra ainsi dans une région oubliée de la bordure extérieure du monde Hollow pendant près de 270ans.
Au terme de cette errance, elle fut trouvée par un homme étrange, recouvert d’une cape et qui ne laissait jamais rien voir de ce qu’il était.

Cet homme lui fit reprendre conscience qu'elle avait encore une volonté propre alros qu'ill errait sans but tel une âme en peine. C'est ainsi qu'elle pu voir que pendant tout ce temps elle n'avait pas beaucoup vieillit. Physiquement du moins.
Effectivement, elle avait le physique d'une jeune femme de 24ans.

Il lui explique longuement ça nouvelle condition. Elle était une jeune Hollow et devait apprendre a se servir de ses pouvoirs si elle voulait pouvoir un jour retourner de nouveau goûter du sang humain.
Soit, Mashiro apprendrait. Elle voulait retrouver la saveur incomparable du sang, rien d’autre ne lui importait.

Déterminée, elle partie donc vers son avenir.



Caractère
Mashiro est plutôt du genre placide. Elle ne montre presque jamais ses émotions et semble même en être dépourvue. Elle pense plus qu'elle ne parle, mais elle ne se prend pas la tête avec des réflexions. Ce train de vie plutôt monotone se répercute d'ailleurs sur son visage, toujours de marbre.
Elle suis son instinct et prend les gens pour ce que ses sens lui disent qu'ils sont. Elle n'est pas méchante mais elle est très froide. Bien entendu, à la fois volontairement et non, elle a un comportement que ne laisse indifférent aucun homme. Le mystère qui l'entoure est peut-être la cause de cette attirance.
Sa façon de se comporter, par exemple ce mystère qu'elle garde autour d'elle, son particulièrement attirants, mais personne ne sais si Mashiro le fait exprès ou non. Et bien qu'elle ne cherche pas à avoir un homme dans sa vie - ou plutôt qu'elle ne se préoccupe même pas d'en avoir un ou non - elle laisse faire les courageux qui tentent de la séduire, sans les aider ou essayer de les décourager.
Elle ne croyait pas vraiment en l'existence de créatures autres que les humains et les animaux mais maintenant elle est prète à croire n'importe quoi pourvu qu'on le lui montre.
Elle a un soif de pouvoir mais qui est loin d'atteindre sa soif de sang.
Autrefois une jeune fille curieuse débordant d'énergie, elle ressemble plus a un zombie aujourd'hui par le fait qu'elle ne parle presque pas et qu'elle ne se soucit de rien. Tant qu'elle obtient ce qu'elle veut, elle se fiche pas mal de savoir comment elle peut l'obtenir. Elle est du genre determinée et ne lache pas prise facilement.
Mashiro aime agir dans l'ombre mais peut se dévoiler comme une véritable furie par moment.

L'autre facette de Mashiro n'est connue de personne. Ou plutôt personne qui ne soit encore vivant. En effet, la jeune femme à cette particularité d'être attirée par le sang. Non pas qu'elle aime commettre des meurtres, mais la simple possiblilté d'avoir du sang frais lui fait ressentir des frissons. À la fin d'un combat, quand elle est sur le point d'achever son adversaire, elle a une habitude incontrôlable qui est celle de planter ses canines dans le cou de son adversaire et de boire un peu de sang, parfaitement a la manière des vampires.
Elle n'est pas folle et elle n'est pas non plus fermement convaincue d'être un vampire, mais c'est une sorte de lubie, quelque chose dont elle ne peut tout simplement pas se passer, ou plutôt un besoin maladif comme celui d'un drogué.

Qualités
Il est très difficile de définir les qualités de Mashiro tant elle est froide et renfermée. On peut cependant dire qu'elle est capable d'une discrétion déconcertante et qu'elle se trompe rarement quand son instinct l'amène à se faire un avis sur une personne.

Défauts
Mashiro est froide. Elle semble vraiment n'avoir aucun sentiment et ne parle presque pas, sauf si elle y est obligée. Elle ne se soucis de personne et fait simplement ce qu'elle veut, quand elle veut. Bien entendu elle se pliera à ses responsabilités mais ne ferra que le strict minimum pour s'y plier.

Ce qu'elle aime
Chez Mashiro, il y a quelques choses qui sont facilement définissable dans ce qu'elle aime. Le noir, le constate de son apparence et son physique sont ce a quoi elle tiens le plus.
Mais ce qu'elle aime le plus, c'est le sang humain. Ce sang est comme une drogue pour elle et elle en a constamment envie. Plus elle en a, plus elle a soif, et si elle n'en a pas, elle a encore plus envie d'en avoir.

Ce qu'elle déteste
Rien. Il n'y a pas véritablement de chose qu'elle déteste. Ce qu'elle pourrait ne pas aimer, elle y est indifférente.
Par conséquent, Mashiro n'a pas véritablement de chose qu'elle déteste.

Voilà c'est tout pour l'instant ^^
Bonne lecture pour les courageux :p et n'hésitez pas à me donner votre avis ^^
Yakujo Sho Ex-Chuunin de Yukigakure no Sato mort en mission pour le Kage.
I'm gone... Farewel, my Wonderland...
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