nouvelle entrainement dans le village

Le village perdu où certains étudiants continuent leur apprentissage

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Musashi Akaito
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Message par Musashi Akaito »

[HRP : pour tous je vous annonce l'arrivée d'un nouvel élève : Ten'son' Tsunemasa

Pour commencer allez lire ce topic , comme ca vous comprendrez les intructions que je vous donne (donc en gros vous n'avez pas vraiment le choix ^^)


Pour tous : vous pouvez décider de me suivre lorsque je parts , je n'ai donné aucune instruction a ce niveau la donc vous faites ce que vous voulez ^^.
- Si vous décidez de venir alors vous ne parlez à personne (ou alors vous pouvez entre vous mais en tout cas pas avec le nouveau ni avec les marchands) , vous mettez vos impressions et trucs comme ca si vous voulez (au passage vous postez directement dans l'autre topic si vous décidez de suivre Musashi). Quoi qu'il en soit si vous suivez vous ne faites pas de post d'enterainement.
- Si par contre vous décidez de ne pas suivre et de rester à la tour vous pouvez , vous pourrez alors continuer votre entrainement si ca vous dit.





Kodomo : si vous souhaitez ne pas suivre Musashi alors même instructions qu'avant

Lee : si tu ne souhaites pas suivre Musashi alors tu peux faire 4 ou 5 nouveaux essais avec réussite sur le dernier ^^

Shinji et Aoshi : vous de toute facon il n'y a d'entrainement en cours , donc vous je vous conseille plutot de suivre (si vous avez envie et le temps pour poster bien sur ^^)


je sais pas si je suis super clair la :lol: , au pire vous me redemandez par mp si vous n'êtes pas sur de vous :wink: ]
Musashi Akaito, Jounin de Suna
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Aoshi Tsukyo
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Message par Aoshi Tsukyo »

Aoshi roupillait en précaire équilibre sur le bord d’un toit, ses rêves était plutôt confus, voire même indescriptibles. La section rêve de son cerveau avait du se mettre en grève suite à l’apnée dans la bassine, et elle devait passer des mauvaises rediffusions des rêves déjà fait. En conclusion, le cerveau d’Aoshi était aussi fainéant que lui même. Il se réveilla, content de sa sieste de 5 minutes –pas très frais- et il sauta de son toit. Kodomo lui aussi avait l’air de s’être réveillé il n’y avait pas longtemps. Si c’était un partisan de la petite sieste prè-digestive –pour mieux appréhender la digestion- alors il n’aurait pas de problèmes gastriques. Musashi annonça qu’il fallait retourner à la tour pour se reposer et se divertir pendant une heure. Aoshi en bon élève et contentieux, avait déjà pris de l’avance sur les ordres et c’était déjà bien reposé -Quel bon élève ! (mouais).

Il rentra à la tour en suivant Musashi de loin, sans savoir vraiment pourquoi. Les autres avaient l’air fatiguer, il l’était aussi, mais Aoshi ne le montrait pas. Au contraire il sourirait presque bêtement. Il monta jusqu’à la bibliothèque, s’assit et resta de longues minutes sans rien faire. Il regardait le plafond sans aucunes pensées. Son sourire avait disparu, il était mélancolique : il pensait à sa famille. Il prit la guitare qu’il avait trouvé dans les ruines, et il monta vers le haut de la tour. En haut il posa la guitare et regarda le désert. En fait il ne se sentait bien qu’ici, en haut de cette tour, plus près du ciel. Allez savoir pourquoi, la plupart des gens se sentent mieux sur le plancher des vaches, sont malades comme des chiens sur la mer et ont le vertige sur les hauteurs. Une catégorie de personnes –rares- : les marins, se sentent super bien sur la mer et sont malades comme des chiens sur la terre ferme. Si vous passez une semaine sur un voilier qui gîte comme un malade, qui tangue, au bout d’un moment vous ne serez plus malade, mais dès que vous poserez le pied sur terre, le sol tanguera lui aussi. Je dois avouer que le mal de terre est plus désagréable que celui de mer ; on manquer de tomber par terre à chaque pas. Sur un bateau qui navigue, pas besoin de se déplacer, donc pas beaucoup de risques de se casser la figure. Fin du documentaire sur les marins, merci de votre attention.

Oui, donc Aoshi était quelqu’un de normal, il était malade comme un chien sur un bateau –d’ailleurs il n’était jamais monté sur un bateau-, mais il ne souffrait pas du vertige. Il regarda le désert, il n’avait pas beaucoup changé depuis hier : les statues surveillaient toujours la frontière –plus ou moins bien- et les dunes ressemblaient toutes à des vagues. Le désert était immense, des étendues de sables à perte de vue. D’ici on réalisait parfaitement que l’homme n’était rien, par rapport à la Terre. D’ailleurs un homme n’est rien pour un général ambitieux et zélé ; « Une chiure de mouche sur une carte d’Etat-Major… » pour reprendre une expression courante chez les soldats. Il prit la guitare, s’assit sur un rebord où il n’y avait plus de mur, et il commença à jouer.

Il décida de jouer LA chanson d’un groupe londonien, qui aurait dû « couler comme un dirigeable de plomb ». Il paraissait que si on écoutait la chanson qu’Aoshi allait jouer, à l’envert, c’était une incantation satanique. Quoi qu’il en soit c’était LA plus belle chanson.

“There's a lady who's sure
All that glitters is gold
And she's buying a Stairway to Heaven
When she gets there she knows
If the stores are all closed
With a word she can get what she came for
And she's buying a Stairway to Heaven

There's a sign on the wall
But she wants to be sure
'Cause you know sometimes words have two meanings
In a tree by the brook
There's a songbird who sings
Sometimes all of our thoughts are misgiven

It makes me wonder

There's a feeling I get
When I look to the west
And my spirit is crying for leaving
In my thoughts I have seen
Rings of smoke through the trees
And the voices of those who stand looking

It makes me wonder

And it's whispered that soon
If we all call the tune
Then the piper will lead us to reason
And a new day will dawn
For those who stand long
And the forests will echo with laughter

If there's a bustle in your hedgerow
Don't be alarmed now
It's just a spring clean for the May Queen
Yes, there are two paths you can go by
But in the long run
There's still time to change the road you're on

And it makes me wonder

Your head is humming and it won't go
In case you don't know
The piper's calling you to join him
Dear lady, can you hear the wind blow
And did you know
Your Stairway lies on the whispering wind

And as we wind on down the road
Our shadows taller than our soul
There walks a lady we all know
Who shines white light and wants to show
How ev'rything still turns to gold
And If you listen very hard
The tune will come to you at last
When all are one and one is all
To be a rock and not to roll

And she's buying a stairway to heaven…”


Hum, si ça se trouve, les escaliers en parfait mauvais état, étaient ceux dont parlait la chanson. Alors, cette petite pièce, sans plafond, avec des bouts de murs en moins, délabrée, serait le paradis. Un drôle de paradis. Enfin, c’était un paradis qui plaisait à Aoshi ^^ -à condition que des angeuuuux viennent lui apporter à manger XD-. Il venait de se détendre en jouant de la musique, il n’avait plus grand chose à faire : il était plus fatigué, et plus stressé. Il avait la totale forme pour aborder la nouvelle super technique !!! –trois points d’exclamations utilisé à mauvais escient dans une phrase prouvent un déséquilibre mental de l’écrivain.

Il redescendit sur Terre, et s’allongea sur son matelas. Il n’avait strictement plus rien à faire. D’habitude, ça ne l’aurait pas gêné, mais là, c’était différent. S’il ne s’occupait pas, il pensait à sa famille, et il était triste. D’ailleurs, que pouvaient t’ils tous faire en se moment ; papa, maman, Obito et Seiyar ?

Il y eu un drôle de bruit, pour ceux qui regardent cet épisode, se fut comme dans la pub Eurostar, on voit le train qui fait le trajet à toute vitesse le trajet jusqu’à Londres, sauf que là, il n’y avait pas de train, ni de tunnel et ni de Abbey Road, juste le désert qui défilait à toute vitesse.

La mère d’Aoshi était dans la cuisine, à préparer le repas. Elle avait un tablier ou l’on pouvait voir une femme avec un rouleau à patience dans la main, l’air féroce et un homme avec une grosse bosse sur le crâne. Il y avait marqué au dessus de se jolie dessin, qui montrait entre autre la supériorité culinaire et, disons, à l’utilisation du règne de la terreur du « sexe faible », une inscription qui disait « I am the chief !! ». D’ailleurs le dessin montrait parfaitement une scène de la vie quotidienne chez Aoshi. Elle était visiblement en train de préparer le repas. Elle marmonnait :
« J’espère qu’Aoshi se tient bien à table chez son ami, qu’il mange de tout les plats, et surtout qu’il se lave bien les mains avant d’aller à table. »

Elle avait visiblement aucune idée sur l’endroit où se trouvait son fils. Si elle le savait, elle aurait pas hésité à traverser le désert afin d’aller lui mettre une bonne correction pour ne pas l’avoir prévenue qu’il était parti en camp de survie dans le désert avec des amis. En fait le début de cette merveilleuse aventure, avait commencé comme Kolanta, sauf que dans Kolanta c’était un bateau qui coulait et pas une Académie qui brûlait.

Seiyar, le chat, était en train de dormir sur le canapé, il était visiblement en carence alimentaire et affective : la principale personne qui lui donnait des câlins et des croquettes aux poissons, était Aoshi. Cela ne le gênait pas car Seiyar était devenu un parfait chat de gouttière, -Petit, roux tigré, les dents cassés, genre chat de gouttière- il faisait les poubelles des bons mais rares, restaurants de poissons à Suna. Seiyar n’était plus un Saint –u_u’ Prière de lire rapidement ce jeu de mot, je l’ai emprunté à un ami.-…

Obito faisait son activité préférée : Sauter de toits en toits à toute vitesse. Il était malheureusement passé à travers une fenêtre du club de scrabble de Suna, et maintenant il était poursuivit par une horde déchaînée de petites vieilles, pardon, par une horde déchaînée de personnes de sexe féminin mûrement âgées. Il avait déjà faillit se prendre une canne dans la nuque, et il avait été sauvé que par un caillou qui l’avait fait trébuché. Bref la routine.

Retour à Suna, comme sur la pub Eurostar du côté Anglais, sauf que là, pas de tour Eiffel, ni de Montmartre, juste le désert et Kanson Kaze qui défilent à toute vitesse.

Aoshi était toujours allongé sur le matelas, il avait strictement rien à faire. Quoi que, il avait soif. Il avait pas bu pendant une demi journée et s’il voulait pas finir complètement desséché, il lui faudrait boire. Il descendit joyeusement, jusqu’au puit, et il remonta un seau de 10 litres. Enfin, il essaya. Le seau était vraiment lourd, et il faillit tomber bêtement dans le puit entraîné par le lourd seau. La seule chose qui le sauva d’une mort atroce, noyé au font du puit, fut le muret en pierre. Il fut tiré par le seau, -il laissa deux longues et belles marques de pieds sur le sol- et son ventre heurta le muret et il lâcha le seau. Il souffla un coup, rassembla toutes ses forces et son énergie combative, et il remonta un autre seau d’eau, mais cette fois pas plein. Il en but la moitié et il se versa le reste sur la tête. Il prit alors deux résolutions : ne plus jamais remonter un seau d’eau remplit à ras bord, et devenir plus fort.

Une chance : personne n’avait vu sa cuisante défaite, fasse au seau. Si Musashi l’avait vu, alors s’aurait été la honte suprême, un KO face à une bassine, et un round perdu face à un seau. Il n’avait pas de chance avec les récipients. –note de l’auteur : dans le prochain épisode, Aoshi contre le verre d’eau !!! -

Juste après l’épisode du seau, Musashi arriva et parla des bushin. Aoshi écouta d’une oreille distraite, mais retint quand même les signes et ce qu’il fallait penser en les exécutant. En fait il pensait à tout les trucs super qu’il pourrait faire avec cette technique.
*Gééééééééééééééééniiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaaalllllll ! Je vais pourvoir faire croire à ma mère que je suis dans ma chambre alors que je suis en train de dormir sur le toit !! Mwhouhahahahhahahah ! *

-Note de l’auteur : personnellement je ne vois pas l’utilité d’échanger un bon lit contre un toit sans couverture, sans oreillers et en plus ou il fait froid. Enfin, j’ai renoncé à comprendre mon personnage.-

Aoshi se frottait les mains et souriait sadiquement tout en pensant. Tout le monde commençait à s’entraîner, mais lui il devait bloquer sur une pensée et il continuait à rire sadiquement. (Voix divine de l’auteur.) « Hé ho, gros nul ! Debout, lève toi et entraîne-toi ! Sinon, je change ton caractère et je te fais souffrir de crises d’insomnies ! -mwhouhahahahaha »

Note héros se leva et trouva un coin où il n’y avait personne. Les signes étaient simples, il y n’en avait pas trop par rapport à certaines techniques.
Chèvre : Image
Cochon :Image
Buffle : Image
Chien : Image

Il les répéta plusieurs fois, de plus en plus rapidement, sans penser à réaliser le justu. L’exercice était inutile s’il n’arrivait pas à associer aux signes le chakra et son apparence, mais cela lui donnait plus d’habileté. Il se concentra très fort pour se souvenir comment sont frère faisait lorsqu’il s’entraînait à cette technique. Il remua ses souvenirs, et une image lui parvint : son frère traçait un cercle dans le sable et un clone y apparaissait. Ce n’était pas bête, le cercle lui permettrait de mieux visualiser l’endroit d’apparition du clone.

Il traça un cercle, s’assit à côté de lui. Il fit le signe de la chèvre, malaxa du chakra, et il pensa à son apparence, et à ses habits, pour le visage, c’était un peu plus dur, il essaya de se rappeler son visage, il lui fallait penser à rien d’autre que lui et surtout, pas à la… Oups, juste avant de composer le signe suivant, il pensa à un tableau de la galerie d’art à Suna, manque de chance c’était un… enfin c’était sans importance puisque Aoshi pensait avoir pensé à ça après avoir fait l’autre signe.
Il fit le signe du cochon et il pensa très fort au cercle dans le sable, c’était plus simple que de penser à son visage. Il composa le signe du buffle, il sentit le chakra bouillir dans tout son corps, Il fallait le faire exploser, mais comment ? Il le fit bouillir encore plus. Cela eu pour effet de faire de la fumée au niveau du cercle. Il composa immédiatement le signe du chien et il attendit que la fumée disparaisse. Il attendit, avait-il réussit ou pas ?
La fumée se dissipa et il ne vit rien. Il fut surpris, qu’avait-il mal fait. Il regarda le sol et il vit une larve à forme plus ou moins humaine couché en étoile de mer par terre. Son visage était totalement différent de celui d’un être humain. Il avait un œil au niveau de la joue, le nez à la place de cet œil, bref, il ressemblait à un tableau de Picasso. Aoshi fut surpris et montra vraiment son dégoût :
« Quoââââ ? C’est moi çaaaa ? »
Si c’était lui, il réalisa alors, pourquoi il c’était prit tellement de râteau avec les filles. L’erreur de la nature disparut au grand soulagement d’Aoshi quelques secondes plus tard dans un autre nuage de fumée.

Le visage était raté, pourquoi ? Il eut un flash-back : il se voyait à la galerie d’art contemplant avec plus ou moins d’intérêt les tableaux. Il comprit alors son erreur, il avait pensé aux tableaux au moment où il le fallait le moins. A vrai dire, il avait eu du mal à la première partie parce qu’il ne c’était pas vu depuis longtemps. Il regarda autour de lui, et il vit une vitre. Elle était carrément crade, mais c’était une vitre. Il passa son doigt sur le carreau et il le regarda. Il était noir.
« Bhin dit donc, ça va faire un bail que la femme de ménage n’est pas passée... » remarqua t’il très justement.

Il courut dans la bibliothèque, et chercha les bouts de tissus qu’il avait enlevés dans sa besace. Il redescendit et il se mit devant la fenêtre. Il regarda si personne ne le voyait et il cracha sur la vitre et commença à la laver avec le bout de tissus tout en sifflotant. Son cousin Otsumo avait fait la même chose une fois et son chuuin avait dit une phrase mémorable : « S’il n’avait pas cette tignasse blonde, il ressemblerait à Monsieur Propre. » Dommage, car le titre de monsieur Propre était déjà prit par Shinshi. La vitre était maintenant parfaitement propre, et il put voir son visage. Il se concentra très fort pour s’en souvenir, et il revint s’asseoir à côté du cercle.

Il recommença encore le justu : au signe de la chèvre, il malaxa son chakra et pensa à son visage, à celui du Cochon, il se concentra sur le cercle. Avec le signe du buffle, il fit bouillir son chakra qui explosa comme la dernière fois. De la fumée apparu dans le cercle et Aoshi fit le signe du Chien pour prendre le contrôle de son clone. La fumée se dissipa et … Aoshi pu contempler Aoshi Jr. (le clone), couché sur le ventre en étoile de mer. Les différences c’était que le clone bavait un peu et qu’il ressemblait plus à Aoshi que la dernière fois. Aoshi le pointa du doigt et dit :
"LEVE TOI ET MARCHE !!!"
Rien. Aoshi recommença tout en pensant l’ordre :
"LEVE TOI ET MARCHE !!"
Toujours rien. Aoshi repensa encore plus fort l’ordre (il tirait maintenant la langue) et il dit :
"S’il te plait ?"
Le clone leva le bras, fit une sorte de gémissement, et retomba en position étoile de mer.

Visiblement c’était raté. Aoshi rugit et donna un coup de pied rageur dans le clone, digne de Zidane. Le pied traversa le clone qui disparut. Aoshi oublia que c’était un clone, donc aucune résistance, il fut déséquilibré et il tomba par terre, sur le ventre en étoile de mer. En fait, il n’y avait maintenant plus aucunes différences avec le clone.

Aoshi se relava, mieux que son clone, et il se dépoussiéra. –note de l’auteur : et après ça appéle son camarade monsieur Propre…-

Musashi redonna des explications. En fait, il ne fit que détailler chaque étape. Aoshi se rassit à côté du cercle et il se concentra. Il commençait à en avoir marre des clones amorphes, il décida de malaxer plein de chakra. Il fit le signe de la chèvre et se visualisa, puis le signe du cochon où il visualisa le cercle, puis le cochon où il fit bouillir son chakra, il en avait malaxé plus, donc le faire exploser lui prit plus de temps. Au moment où la fumée apparut, Aoshio fit le signe du chien. Il se releva, et il regarda. La fumée disparue, et il vit un clone qui lui ressemblait et qui avait la patate : il n’était pas couché. Aoshi était tout content.
« Ouais, j’ai réussit, je suis le meilleur !! »
Il décida de lui donner des ordres. Il réfléchit quelques instants : il ne voulait pas une action trop commune. Il décida de faire danser. Le clone s’exécuta. Il faisait une danse genre stayin’ alive ou « La fièvre du samedi soir. ». Le clone dansa pendant quelques secondes, et il disparut. Il avait dû juger que l’action était trop humiliante.

Aoshi content de lui décida de se reposer un peu. C’était fatiguant de devenir un ninja.
Aoshi Tsukyo genin super fort et trèèès mignon de Suna

Team 7 de Suna :
Musashi Juuin au rat crevé sur le crane
Shinshi Monsieur Propre back from Hell
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