[Jônin] - Kawada Asuta

Modérateur : Urasawa Kenji

Kawada Asuta
Douce Jônin
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Inscription : lun. 05 déc. 2005, 12:01
Localisation : Kirigakure no Sato -

Message par Kawada Asuta »

Kawada Asuta


Nom(s)

Kawada
河 kawa [かわ] rivière / cours d'eau

Prénom(s)
Asuta, Yuki, Ryûketsu

Asuta. Verbe.
Avant de s'appeler Kawada, avant de venir s'installer à Kirigakure no Sato, la famille de notre Jônin se nommait en effet ainsi... mais pour faire bonne figure et afin de ne pas subir la répression et la haine des habitants du pays de l'eau, ils le changèrent en un autre qui faisaient davantage " couleur locale " en un sens, et ce fut suffisant.

En effet il est de notoriété publique que les clans sont orgueilleux et cherchent avant tout à asseoir leur domination en mettant en avant leur pouvoir, leur personnalité, leur identité afin de l'imposer... se séparer d'un nom ancien - vieux comme eux-même - était une mesure certes drastique mais nécessaire, comme ce fut vérifié par la suite - ils échappèrent au massacre.

Néanmoins, une tradition vit le jour dans la famille : A chaque génération il devait y avoir un enfant portant le premier prénom d'Asuta. A sa mort, un autre serait baptisé ainsi, pour peu qu'aucun ne l'ait en second ou troisième dénomination... c'est ainsi que l'enfant se retrouva à porter l'identité de sa famille sur ses épaules, son frère, Sabaku, héritant du deuxième choix vu qu'il était le plus jeune des deux et un bébé de sexe masculin de surcroît.

Yuki. La neige.
Ne trouvez pas ici quoi que ce soit ayant à voir avec Makyou no Kuni et son village caché, Yuki... il s'agit d'un simple hasard, les Kawada n'ont rien à voir avec cette partie du continent, hormis leur participation rémunérée aux conflits lors de la création de l'enclave.
Le père d'Asuta trouvait simplement ce prénom " beau ". Il avait toujours été fasciné par les éléments et désirait que sa fille puisse apporter de la douceur plutôt que de subir leur famille, si elle le désirait.

Ryûketsu.
Une effusion de sang.
Ne voyez pas de suite en la jeune Kawada un personnage assoiffé de sang, dangereux au possible à cause de ses tendances psychopathes, schyzophrène et j'en passe, vous vous mettriez le doigt dans l'oeil (encore que...).
Tout bêtement, vous avez sous les yeux le nom de famille de sa mère, qui, frustrée de ne pouvoir l'accoler à celui de son mari, octroya d'office l'appellation en tant que troisième prénom.

Ce ne fut pas inutile ou vain pour autant, Asuta prenant un malin plaisir à l'utiliser comme code en mission (qui irait se douter qu'une telle femme se cache derrière ceci ?) ou en infiltration (comment se faire passer pour un assassin redoutable, et rester tranquille dans son coin, de fait).

Âge
20 ans

Sexe
Féminin

Description physique
Asuta est tributaire d’une apparence physique des plus délicate, loin de retranscrire toutes ses capacités, et c’est sans doute heureux.
Ses traits fins, ses mensurations parfaites, sa pâleur naturelle – elle ne porte ni fard ni maquillage d’aucune sorte – la douceur de cette même peau, font de cette toute jeune femme une beauté enviée de Kirigakure no Sato.

Son visage est un trésor de finesse, des lèvres juste assez remplies pour attirer le désir sans être vulgaires, des yeux noirs dont la vivacité est réelle mais suffisamment bien dissimulée, en règle générale une expression douce qui peut cependant muter en quelque chose de glacial… la colère semble bannie de ce visage, mais pas du regard qui l’orne.

La taille de la jônin est juste ce qu’il faut pour plaire à une certaine partie de la gent masculine – 1m69, pas trop grande mais assez petite pour avoir envie qu’on la protège, et ce d’autant plus qu’elle est plutôt du genre fine malgré quelques formes relativement bien placées.

Ce physique ressemble à ce que devrait être son caractère : Délicat et tout en retenue. Mais tout aussi attirant…
Surtout au vu de sa gestuelle, ni vraiment rigide, ni féline au possible comme d’autres : Juste gracieuse, fluide, belle à regarder.

[tmb]http://img525.imageshack.us/img525/1153/0094yv.jpg[/tmb]

Histoire
L’histoire d’Asuta ne comporte au final que peu de moments forts. Ou plutôt, de moments qui vous parleront, à vous lecteurs.
En voilà quelques-uns.


Silencio
Elle ne naquit pas seule, mais accompagnée de Sabaku. Qui était Sabaku ? Juste son double, son aimé, son frère.
L’objet de sa destinée.
Il était inévitable, pour l’un comme pour l’autre, qu’on les sépare. Et leur peur que cela arrive était tellement grande qu’ils en étaient venus à redouter chaque mot, chaque geste, et à plus que toute autre chose, ils en étaient venus à regarder l’autre, seulement l’autre, comme pour ne jamais oublier.

Chaque moment, chaque parole, chaque secret était leur. Ils s’aimaient d’un amour fraternel, indestructible, que le temps et même, la rancœur ne pourraient abîmer. Ils pouvaient passer des heures à simplement se regarder.

Se regarder dans les yeux, ou détailler chacun les plis du vêtement de l’autre. Personne ne désirait les séparer, parce qu’il y avait énormément de douceur, et pas de sous-entendus dans cette relation extraordinaire.

Personne ne pouvait non plus les comprendre, et cela, chacun le savait. Et au fond de celui qui les regardait simplement s’aimer, comme s’il n’y avait pas de lendemain, naissait une peur. Pas celle de voir l’habitude brisée par leur amour obsolète, sans avenir.

Celle de ne pas agir maintenant et de le regretter plus tard. De devoir laisser l’un dépérir pour que l’autre vive.

D’outrepasser les limites de l’acceptable et de la morale. De les casser… de jouer avec eux pour leur propre bien. Qui saurait ?
Ce qui devait être fait ?

Ce fut Asuta qui la première détourna les yeux de son frère, préférant soudainement se promener seule, appréciant chaque contact, avec chaque chose, ses pieds nus sur le parquet froid de la maison traditionnelle, ses mains frôlant l’herbe, la rivière passant près de chez eux où parfois elle restait fascinée devant les exploits de son père, qui bientôt s’amusa autant à lui apprendre à contrôler l’eau, qu’à l’impressionner par des démonstrations de techniques d’art ninja.

Tandis que Sabaku, ombre parmi les ombres, ne semblait pas désirer sortir de l’obscurité, ni la rejoindre.
Mais un jour leur père ne revint pas. Asuta ne rit plus.

Et une nouvelle fois, c’est dans les yeux de son frère qu’elle trouva le réconfort. Le « salut ».

Car il était tout à fait possible que le fait qu’elle se soit rapprochée de son père l’ait conduit à la mort. Surtout depuis qu’elle avait cette marque.
Une marque au dessin magnifique, située entre sa hanche gauche et son bas-ventre, que jamais personne n’avait vue, sa mère mis à sa part, sa mère qui le lui avait également gravée dans la chair… bien sûr, l’enfant avait ressenti de la douleur, comme jamais.
Mais les larmes de celles qui la mirent au monde achevèrent de la convaincre que tout cela n’était pas si important, au final.

Et une nouvelle fois, ils mirent sept ans à se séparer.


Canta per me
Quelles armes pouvait-on bien octroyer à ces êtres d'une tendresse infinie ? Ils ne criaient pas, ne tapaient pas du pied, en bref n'avaient jamais de colères comme les enfants en ont le secret, ne faisaient pas non plus de caprices.
Parfois seulement, ils désiraient une sorte... d'amélioration. Mais de quoi, au juste ?
Leur quotidien. Un aliment qu'ils aimaient, un fruit qu'ils partageaient, et il fallait qu'ils l'aient... rien de bien important. Une pomme, qu'est-ce après tout.

Les années passaient. Lentement. Le temps s'écoulait comme au ralenti pour eux, c'était flagrant. Il était tout aussi flagrant qu'ils désiraient que ce soit le cas... c'est comme s'ils avaient su depuis le départ qu'ils n'auraient plus le temps bien assez tôt. Ne regarder que l'autre. Se rapprocher de l'autre.
Besoin d'être plus près. Besoin de lui parler, de chanter doucement en choeur, de s'exprimer pour l'autre en un sens, de lui dire ce qui est beau et ce qui l'est moins, ce qui ne l'est pas. De lui sourire. De le toucher.

Joue contre joue, les mains enlacées. Peur insidieuse, mais ils ne cherchent pas à se cacher. Ils ne font rien de mal, puisqu'ils ne savent pas que ce qu'ils font l'est.
Puisque personne ne veut voir que ça l'est. " Mal ". Oui, mais pour qui ? Pourtant leurs limites morales ne sont pas si lâches que cela. Ils savent ce qu'est " tuer ", ce qu'est " aimer " même s'ils répugnent à employer ce dernier terme, sans trop savoir pourquoi.

Pourquoi lui avoir avoué, Sabaku ?

Qu'a-t-il bien pu lui dire qui provoque ces larmes d'une pureté cristalline ?
Comme en pèlerinage, voilà notre Asuta qui marche tout près de la rive, le bas kimono traînant à terre, dissimulant ses pieds nus, ses fines chevilles, sa peau blanche, satinée, douce sans doute, une peau qu'on a forcément envie de toucher, de sentir près de soi en un sens.
Son Autre ne lui a pas dit qu'il l'aimait. Mais qu'elle était belle. Sans doute se croyait-elle au-dessus, ou au-dessous de cela, au choix.
Nouvelle rupture. Retrouvailles de temps à autres. Ou pas.

Et un jour, le départ.


Adulti
Inspiration. Expiration - Respiration, la cage thoracique libérée d'un poids auquel on peut s'habituer, le genre qu'on désire parfois, celui de la responsabilité, de l'amour profond, auquel on échappe que difficilement.
Les autres. Rapidement catalogués, enfin... non, ce n'est pas vraiment cela.
C'est surtout qu'elle se retrouve pour la première fois lâchée en plein milieu social, au village même de Kirigakure no Sato, Anji, son cousin, pour seul repère à peu près fixe.

Un cousin qui s'étonne chaque jour de la voir indifférente à toutes les personnes qui la courtisent, et qui se demandent encore ce que cette belle adolescente, aux allures de femme, fait avec lui - dans le sens, habite avec lui, lui donne parfois des conseils pour son couple - enfin, ses couples successifs serait plus exact - tombant juste plus souvent qu'il ne l'aurait cru.
Après tout, Asuta n'est pas vraiment censée connaître tout cela... on lui avait dit que sa culture avait été celle de l'indifférence, pendant de nombreuses années, et ce depuis la mort de son père.

Mais on dirait pourtant qu'elle a davantage appris et écouté que tout ce que son apparence pouvait laisser supposer. Elle est intelligente. Et bientôt, libre.
Ils s'amusent ensemble, entretenant un certain trouble autour de leurs relations, qui restent purement amicales, tendant parfois vers un amour fraternel, devenant un amour fraternel au fil du temps, sans tout ce qu'il y avait d'attachement quasi malsain avec Sabaku.

L'aurait-elle oublié, d'ailleurs ?
Possible. Asuta est souvent dehors, à déambuler seule dans les rues jusqu'à croiser une de ses connaissances de la nuit, qui l'emmène chez elle pour passer le temps avant de partir le soir, chercher du réconfort dans les bras d'un ou unetelle, discuter, boire aussi... s'élever l'esprit, envisager de nouvelles choses, refaire le monde avec de belles paroles comme tant d'autres avant, sans doute.
Et un jour...

Mon frère ? Grande soeur. Que fais-tu ici ? Grande soeur. Sabaku...?
Grande soeur, fais-moi un sourire. Je vais mourir.

... La maladie.
La jalousie qui tenaille les entrailles de ce jeune homme. Asuta dans les bras d'un autre.
Pas exactement. Asuta, assise, tendrement appuyée sur le torse d'un jeune homme de leur âge, sans vulgarité, les jambes ramenées sous elle, sur le fauteuil dans un coin de la pièce, écoutant la voix de basse lui parler de moments tendres et de partage.

Sabaku...

Et la compréhension, soudaine. Qui ne la fait pas se lever pour autant, seulement se redresser, se libérer de l'étreinte tendre.
Son Autre qui la regarde, sans un mot, tremblant légèrement, comme en proie à une peur terrible, viscérale ? Celle de la toucher, de lui parler.
Espérait-il la retrouver telle qu'il l'avait quittée ? Sa beauté est éclairée, ici, d'un jour nouveau, qu'il va devoir apprendre à connaître s'il ne veut la perdre.

Il y a quelque chose de changé dans son regard et sa manière de se mouvoir, de parler. Elle peut beaucoup parler, et bien... captiver ses interlocuteurs si elle le désire, car elle sait choisir ses mots, les paroles percutantes, qui attirent l'attention pour mieux la dévier, elle sait se servir des autres et leur faire dire ce qu'ils pensent - ou pas - elle sait s'exprimer et se servir de son charisme naturel, elle peut réprimer la douceur pour faire de la place à la froideur.

Tout ce dont il ne la croyait pas capable. Pensait-il vraiment qu'Asuta resterait enfantine ?
Pensait-il vraiment qu'ils seraient toujours ensemble ?


Tema
De nouveau ensemble, pourtant séparés. Par le contexte, les circonstances, ce n'est plus le cas. Mais les expériences de sa soeur lui ont fait élever un mur pour se protéger des autres, Anji mis à part alors que lui-même ne fait pas exception.
Elle est forte, aussi... elle sait comment manipuler l'eau, elle sait comment se battre parce que ses cours jusqu'ici lui ont servi à apprendre cela.
Il est tellement... dommage qu'il soit revenu alors qu'elle-même, passant tout juste genin après un examen tendu, partait. Il reste, mais c'est comme si elle fuyait. Quoi ?
Son amour possessif, son insistance ? Non. Certainement pas... c'est tellement rassurant de se sentir inconditionnellement aimé, pour chacun d'entre nous.

Anji aussi est avec elle. Il veut l'aider. Leur famille a certaines particularités avec lesquelles la jeune femme doit impérativement se familiariser. Une première mission, effectuée en toute discrétion, est idéale pour ce faire.
Accompagnée, donc, de son cousin, tout juste plus vieux - dix-neuf ans, jônin - elle s'exécute, faisant preuve d'un talent rare qui n'avait manifestement pas été repéré à l'Académie où elle était l'une des plus vieilles élèves, l'une des meilleures, brillante sans chercher à se dépasser, attitude qui lui valut quelques commentaires bien sentis - comme si elle en avait quelque chose à faire.

Son sang-froid, son calme naturel l'aident considérablement, et peu à peu on en vient à lui faire confiance, à se confier à elle, qui ne parle que peu de ce qui ne doit pas être entendu. Son travail l'accapare, Sabaku se sent seul, ne supporte pas la nature insouciante d'Anji ni ce qu'il appelle, en son for intérieur, ses agissements envers sa soeur.
Car les épreuves, le danger, mais aussi le temps passé ensemble les as faits se rapprocher - Ainsi vont les choses... jusqu'au jour où entrant sans prévenir, comme souvent, dans les appartements d'Asuta il ne les trouve tendrement enlacés, et bien peu couverts, une expression douce, sereine, insupportable sur le visage.

Le passé finit toujours par rattraper ceux qui l'oublient. Ceux qui ont oublié qu'ils avaient oublié.
Sabaku ne désirait pas faire une croix sur ses souvenirs, et Asuta non plus.
Mais ils allaient y être forcés. Alors, plutôt que de tout perdre lui décida de partir, le plus loin possible d'abord. Puis de mourir. Simplement. Pendu.


Caractère, Nindô, Et tout ce qu'il y a à savoir.
Rain When I Die

Is she ready to know my frustration ?
What she slippin' inside, slow castration
I'm a riddle so strong, you can't break me
Did she come here to try, try to take me

[Chorus]
Did she call my name ?
I think it's gonna rain
When I die

Was it something I said, held against me ?
Ain't no life on the run, slowly climbing
Caught in ice so she stares, stares at nothing
I can help her but won't, now she hates me

[Chorus]

She won't let me hide
She don't want me to cry

Will she keep on the ground, trying to ground me
Slowly forgive my lie, lying to save me
Could she love me again, or will she hate me
Prob'ly not, I know why, can't explain me

[Chorus]


Il Pleuvra Quand Je Mourrai

Est-elle prête à apprendre ma frustration ?
Dans quoi glisse-t'elle, lente castration
Je suis trop énigmatique, tu ne peux pas me découvrir
Est-elle venue ici pour tenter, tenter de m'emmener

[Refrain]
A-t'elle crié mon nom ?
Je crois qu'il pleuvra
Quand je mourrai

Est-ce quelque chose que j'ai dit, qui la retient contre moi ?
Il n'y a pas de vie dans la course, ascension lente
Pris dans la glace elle mate, elle mate dans le vide
Je peux l'aider mais je ne le ferai pas, désormais elle me hait

[Refrain]

Elle ne me laisserait pas me cacher
Elle ne veut pas que je pleure

Va-t'elle rester par terre, essayant de me retenir
Oubliant lentement mon mensonge, je mens pour me sauver
Peux-t'elle m'aimer encore, ou va-t'elle me détester
Certainement pas, je sais pourquoi, je n'arrive pas à m'expliquer


[Refrain]

Autres
Sabaku.
Image


Anji.

Image
Dernière modification par Kawada Asuta le sam. 25 févr. 2006, 22:14, modifié 2 fois.
Kawada Asuta, Jônin de Kirigakure no Sato.

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Soi Fon
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Inscription : sam. 24 sept. 2005, 16:59
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Message par Soi Fon »

Dites bonjours à votre nouvelle jounin!Ah bah non pas nouvelle en fait :lol: Bon bah toujours aussi chouette la bio!
Allez les kiriens, une bio sans commentaires, c'est triste faut s'activer XD!
Soi Fon Shinshun junin de Kirigakure no sato, le plus mauvais caractère du pays de l'eau
Bonne. Mauvaise. Je suis la fille avec l'hiroi ken.
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Kibito Mane
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Inscription : dim. 27 nov. 2005, 11:09
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Message par Kibito Mane »

Un futur kirien vous salue madame (fait une courbette)

belle bio ^^
Kibito étudiant à Kiri

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Soi Fon: la paranoïaque
Wakabayashi: le repéché mort
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