Kibito Mane [ accepté par Nana & Kiki :p ]

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Kibito Mane
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Nom : Mane

Prénom : Kibito

Âge : 13 ans

Sexe : Masculin

Description physique :

Il mesure un mètre cinquante-cinq pour quarante-sept kilos. Malgré sa taille ce jeune homme paraît petit et trapu, ses amis depuis son plus jeune age se sont moqués de lui à cause de sa forme mince et svelte qui donne la terrible impression qu’il est un coton tige. Son visage était terriblement maigre malgré les exercices de mastication et les soins que lui prodiguait sa mère, il n’a jamais changé et contrairement à ses frères n’a jamais attiré une seule fille. Ses cheveux sont dorés comme des épis de blé qui lui coulent sur le bas du dos, porte une sorte de bonnet qui lui sert à la fois à se cacher les oreilles et en même temps à lui tenir chaud. Malgré la haine qu’il renferme (pas tant que ça, il est plutôt triste d’avoir vécu cette enfance) il est décontracté et parait même heureux. Son visage peut même faire penser à une fille.

Histoire :

Kibito naquit il y a environ treize ans au solstice d’été dans une famille de paysans qui habitaient aux environs de Kiri. Le garçon apparu sans douleur et sans être attendu, son père n’arrivait pas à se dire qu’il devrait nourrir une bouche en plus et la bonne nouvelle de sa naissance paraissait plutôt comme une contrainte pour lui. En rentrant du travail, il fut triste de voir que c’était un nouveau garçon car ils étaient déjà quatre et que leur pauvre mère devait tout faire à la maison. Le père hésita longuement entre le tuer pour ne pas s’en occuper, le vendre ou même le déguiser en fille pour qu’il aide sa femme. Depuis sa naissance son père le méprise et force ses enfants à faire pareil. Même sa mère le déteste à cause des coups qu’elle s’est prise lorsque son mari découvrit que ce bambin était un garçon.

Pendant les six premières années de sa vie, il apprit des travaux de femmes comme la couture, Kibito n’était d’ailleurs pas très doué et ne récoltait que des coups en guise d’apprentissage. Il ne devait en aucun cas rater une maille sous peine de ne pas manger et c’est sûrement ça qui lui a sculpté son corps squelettique. Déjà vers ses cinq ans, son père entrepris de le tuer, mais sa mère qui l’aimait quand même un tant soit peu le lui défendit car elle voulait le marier quand il serait en âge pour toucher une dote quelconque. Tout ce qu’il apprit lors de ses premières années fut que l’on ne doit rien rater sous peine de prendre une raclée, ce fut l’un des idéaux qu’il se fixa parmi tant d’autres.

Le matin de ses six ans, son père un homme d’une quarantaine d’année, fort comme un buffle et gros comme un porc rentra dans sa chambre qui ressemblait plus à une prison et le jeta du lit. Il lui dit que maintenant qu’il était en âge de travailler, il devrait gagner son pain. Etonné par la remarque de son père il se leva et enfila son habit de laine, celui même qui le grattait énormément et chaque fois qu’il devait le mettre, le jeune homme maudissait sa mère, qui, il en était sûr, avait fait exprès de coudre son habit de manière qu’il lui soit désagréable.

Il arriva dans la salle à manger où un repas froid l’attendait, il s’assit et commença à le manger. Au bout de trois cuillérées de riz, Kibito vit son père arriver sur le reflet de la vitre. Le grossier personnage était visiblement de mauvaise humeur et devait avoir une raison qui comme d’habitude devait être exagéré. Kibito ignora le vieil homme et se concentra sur son repas. Un bruit qui allait entre le grincement et le glapissement lui fit comprendre que son père allait sûrement, comme à son habitude le matin, le frapper. Il se retourna pour lui faire face et pouvoir se protéger de cette attaque mais n’en eu pas le temps, le martyr se trouva déjà par terre et se tint la joue lorsqu’il pu apercevoir le visage paternel qu’il haïssait tant. Son père l’avait frappé et recommencerait s’il n’obtenait pas satisfaction

« - Tu ne mangeras pas tant que tu ne travailleras pas. Viens aux champs immédiatement »

Puis il se retourna et quitta la maison pour rejoindre ses trois autres fils. Kibito n’eu pas le temps de se lever que sa mère lui flanqua un coup de pieds dans les côtes qui l’empêcha de respirer. Les entraînements qu’il s’était fait enduré n’avait rien pu faire, il se tint le ventre comme pour vomir et se mit à sentir la douleur qui lui arracha une larme.

Arrivé au champ, son père lui mit un coup pour la forme ce qui provoqua l’hilarité générale chez ses frères. Kibito regarda son père avec dédain, il ne l’avait jamais vraiment regardé mais s’empêcha de rire en pensant que dans un autre village on l’avait pris pour un mendiant, ses moustaches étaient presque blanches et menaçaient de rentrer dans son nez dans quelques mois, son ventre rond provoquait une tension qui l’obligeait à se pencher en avant comme une personne âgée ou un mendiant. Mais le plus stupide était son veston en laine qui empestait la chèvre et le bandeau rouge à pois qui était enroulé autour de sa gorge. Kibito s’en alla en voyant que son père menaçait de le frapper parce qu’il osait le regarder. Il prit sa pelle et sa faux puis partit dans un trou sûrement causé par l’un des nombreux ivrognes qui, trop fainéants le soir, coupaient à travers les champs.

Il arriva à l’endroit que lui avait dit son père et s’assit pour récupérer son souffle. Le garçon prit sa faux et l’examina : on la reconnaissait entre toutes pour la rouille qui mangeait la moitié de sa lame. Kibito essaya de la mettre en état en la trempant dans l’eau et en l’aiguisant avec sa pierre personnelle. A son grand contentement toute la rouille partit et sa lame était comme neuve. Il s’occupa maintenant de briser le manche pour que la faux fasse sa taille, chose faite, il fit quelques gestes avec son nouvel allié et commença son travail.

Cela faisait trois heures qu’il se battait contre le blé lorsque son frère arriva avec un morceau de pain et du fromage. Ce frère là était la seule chose qui le raccrochait à la vie, cela ferait bien longtemps qu’il aurait mit fin à ses jours s’il n’avait pas été là. Car c’était le seul qui le respectait et qui lui parlait, en bref c’était la seule personne que Kibito appréciait.

Son frère lui fit signe de s’asseoir sur l’amas de paille qu’il avait trié et lui tendit son maigre repas.

« -Désolé, c’est tout ce que j’ai pu sauver de ces morfales. lui dit il.

- Merci, ça fait plaisir de voir que quelqu’un tient à moi.

- Ne t’inquiète pas, je suis sûr que père sera fier de toi, il s’est mis en tête qu’il te détestait mais je le vois quelque fois te regarder en souriant.

- Sûrement quand il pense à comment me faire mal.

- Mais non, il a le regard attendri et nombre de fois je l’ai vu retenir ses coups lors de ta correction matinale.

- Si seulement il pouvait les retenir plus souvent.

- Qu’est ce que t’es défaitiste, bon, il faut que je te laisse, j’ai aussi à travailler. »

Il n’eu pas le temps de répondre que son frère était déjà partit. Kibito savoura son repas et se mit au travail. Il laboura tout ce que lui avait demandé son père avant la fin du jour et ne fut pas peu content lorsqu’il s’assit sur le tas de paille en pensant au bienfait de cette journée. Kibito sentait les muscles de tout son corps et voyait bien qu’il l’avait endurci, lors de ses poses il fut mainte fois étonné de la taille de ses bras lorsqu’il faisait trop chaud pour porter une chemise et fut même amusé de s’imaginer à quoi il ressemblerai au bout de trois mois de travail intensif. Il repensa alors à son père et au reste de ses frères et ne pu s’empêcher de pleurer en imaginant la vie qu’il aurait pu vivre sans eux. Puis se jura de se venger à sa manière

Il essuya ses larmes. Il faisait chaud et les champs étaient immenses. Du blé s’étendait à perte de vue. Son père hurla son nom, signe qu’ils devaient rentrer à la maison. Il prit ses outils et son sac, puis partit vers le taudis familial.

Cette maison ressemblait à un amas de terre sculpté par un artiste fantaisiste qui avait du abandonner son oeuvre. Les fenêtres étaient comme des trous dans du fromage, l’on aurait dit qu’on les avait mis au hasard, la porte n’était qu’une planche sûrement trouvée dans un quelconque dépotoir. Mais le plus bizarre, était que cette famille était plutôt riche et pas plus radine qu’une autre, personne ne savait pour quelle raison elle s’entêtait à habiter dans cette chaumière.

Comme il s’y était attendu, ce dernier se fit railler en passant devant ses frères plus âgés. Alors que la fierté d’avoir réussi ce que lui avait demandé son père luisait sur son visage quelques instants avant, Kibito maudit ses frères plus que jamais. Le lendemain la même chose se passa, il était pourtant très doué pour ce travail mais ne recevait que des coups de la part de son père et des insultes du reste de la famille.

Sept ans avaient passé depuis son premier jour de travail, son dur labeur lui avait musclé le corps et endurci l’esprit. C’était une journée comme les autres pour tous les paysans, mais pour Kibito c’était le jour J. Cela faisait deux mois qu’il prévoyait ce jour avec impatience. Deux mois qu’il espérait en cachette et qu’il priait pour voir ce jour venir. Deux mois auparavant il avait décidé de partir, lorsque son père lui avait fracassé le crâne contre un mur parce que ce dernier avait fait du zèle en travaillant plus que nécessaire, ce jour là l’apprenti fermier avait compris que quoiqu’il fasse il serait toujours le raté de la famille.

Il était dans sa chambre et préparait son sac, des vêtements volés à ses frères, du pain, des fruits et un couteau en cas d’agression quelconque et une bourse prise dans la cachette de son père l’agrémentait avec quelques autres souvenirs de cette triste partie de vie. Il dévala les escaliers quatre à quatre et déboula dans la cuisine où une mère effarée préparait le repas. Saluant sa mère d’un air hagard, il prit une miche de pain et partit pour les champs. Le soleil ne tapait pas et une brise légère amenait l’air frais des montagnes, c’était une journée parfaite pour une évasion. Contrairement à un enfant normal, le garçon en fuite ne sourit pas en voyant son dessein se réaliser, il n’était pas triste mais avait oublié comment l’on souriait. Il prit une inspiration et partit pour Kiri. Il suivit la route et croisa des gens plus ou moins sympathiques, certains le prirent même dans leurs carrioles pour l’aider. Les gens avaient beau être gentils, il leur répondait toujours de la même manière sèche tout en faisant un petit rictus. Sa vie avec sa famille lui avait enlevé toute sympathie pour autrui. Il ne pouvait que répondre passablement des réponses brèves en regardant la route ou ignorait certaines questions pertinentes. Les familles les plus sympathiques pensaient que c’était une forme de timidité et d’autres lui demandaient de partir en prenant ses réponses pour des insultes.

Il arriva à Kiri le jour même. C’était une grande ville remplie de maisons agglutinées contre les autres. Kibito y entra et chercha l’endroit qu’il rêvait d’intégrer depuis six mois :« l’académie ». Son père qui avait cru jusqu’alors qu’il voulait devenir paysan comme lui, l’avait battu à mort lorsqu’il lui avait annoncé son rêve d’avenir. Ce qui lui avait ôté toute envie de lui parler de ses ambitions futures. Il marcha dans une grande avenue entourée d’arbres et de maison, des gens joyeux marchaient en riant de leurs mésaventures. Kibito passa même devant un parc où des enfants jouaient et riaient autour des attractions. Le jeune homme resta quelques minutes devant ce spectacle. Le drôle de touriste s’était accoudé à la barrière et s’était mit à imaginer la vie qu’il aurait pus mené si ses parents l’avaient aimé. Il oublia vite cette fausse réalité et s’en alla en essuyant les larmes qui perlaient sur ses joues.

Au bout de deux heures de recherche poussée, le futur ninja se résigna à demander son chemin à l’un des passants. Il avait prit pour habitude de ne pas demander de l’aide à autrui mais pensa que c’était un cas de force majeur. Il s’approcha d’un vieil homme et lui posa la question, pour seule réponse il eut un rire qui ressemblait au cri d’une truie que l’on égorgeait. Dégoûté de la réponse du citadin, il partit en remontant l’allée. Il n’eut pas fait trois pas que le vieil homme se retourna et lui dit qu’il était à côté du lieu qu’il cherchait et lui montra le bâtiment qui dépassait au dessus des autres immeubles. Il remercia le vieil homme et tourna dans la rue à gauche : elle était sombre et inhospitalière, remplie de cageots et de bouts de verre en plus des quelques traces de bagarres et représentaient la ruelle où il ne fallait pas passer la nuit. Il regarda en l’air et vit la lune qui se levait, il se rappela que la nuit allait tomber et qu’il ferait mieux de se dépêcher.

Le jeune homme ne fut pas peu fier de quitter la ruelle pour arriver sur la place de l’académie. Il s’arrêta quelques secondes devant l’établissement en restant ébahi devant une telle architecture. Puis rentra dans l’immense bâtiment. Il n’y avait personne ce qui réjouit Kibito qui esquissa une sorte de sourire en voyant qu’il n’aurait pas à faire la queue. Il s’approcha du gestionnaire qui lisait son journal et dit d’un ton froid qui ne se voulait pas autoritaire :

« - Je veux être ninja, inscrivez moi, s’il vous plait. »

Nindô : Je ne veux plus être haï et je ferai tout pour y arriver.

Caractère :

Kibito est d’une nature froide et extérieur à l’action. Il fuit toujours les questions et n’aime pas le contact avec autrui. Il est réservé et même mauvais. Il peut vous frapper lorsqu’il fait des crises d’hystérie, il en veut toujours à ses parents de ne pas l’avoir aimé malgré tous ses efforts. Il ne vous demandera jamais de l’aider, de peur que vous vous moquiez de son physique. Il se croit profondément mauvais à cause des brimades qu’il a eues dans son enfance, il les a toutes crues et s’est créé une mauvaise image de lui. Malgré tous ces mauvais points, il aide souvent les gens en difficulté et adore travailler seul. On peut le laisser pendant trois semaines en forêt tout seul sans que l’on ait à se préoccuper de son cas. Il sait se débrouiller tout seul et connaît plein de racines ou de plantes comestibles. Malgré son apparence ténébreuse et inaffective, il adore être avec des gens qui le considèrent à sa juste valeur et aime apprendre des choses nouvelles, comme des nouveaux plats ou des manières de faucher le blé, tout ce qui peut l’enrichir est bon à prendre. Il adore apprendre, par contre il est comme un animal sauvage et il faut du temps pour l’apprivoiser sauf s’il vous trouve digne de devenir son ami. En travaillant dans les champs il a pris la mauvaise habitude de mâchouiller des épis de blé.

Qualités :
-Il sait utiliser tous les outils de la ferme.
-Il ne vous embêtera en aucun cas car il préfère toujours se débrouiller tout seul.

Défauts :
-Il est renfermé sur lui-même.
-N’aime que lui.


Ce qu'il aime :
-Voir que les gens s’occupent de lui.

Ce qu'il déteste :
- Ses parents et tout le reste de la famille.
-Lui-même, car il se trouve moche.
-Son enfance.
Dernière modification par Kibito Mane le lun. 05 déc. 2005, 23:03, modifié 3 fois.
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Message par Senryû Say »

Bonjour et bienvenu sur NNS, tu as oublié de mettre les titres en gras et je te conseille de rallonger ton histoire. Et puis pour le nindo, moi je trouve pas que ce soit un nindo...."tout sauf paysant"....

Enfin bon, bonne chance....
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-Hitashiro Kitaka
-Ekko
-Hakai....(j'était bien parti mais le nom hakai gache tout -_-)


Problèmes de conexion

C'est drôle ça^^
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Message par Kibito Mane »

Merci, mais j'arrive pas à mettre en gras, qu'est ce qu'il faut écrire pour mettre en gras ?
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Message par Soi Fon »

Kibito Mane a écrit :Merci, mais j'arrive pas à mettre en gras, qu'est ce qu'il faut écrire pour mettre en gras ?
quand tu écrit un message, tu as des boutons au dessus, l'un d'eux est un gros A, sinon, tu peux aussi écrire les balises donc pour en gras, c'est:

Code : Tout sélectionner

[b]ce que tu veux mettre en gras[/b]
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Message par Kibito Mane »

Merci, voilà j'ai amélioré l'histoire et mis en gras
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Message par Nagao Kumiko »

Bonsoir, et bienvenue sur NNS et tout particulièrement à Kiri
Alors ta bio est pleine de fautes veille à les corriger rapidement
Etoffe encore l’histoire, tu as de quoi raconter
Et étoffe encore le caractère
Je te laisse à tes modifications, bon courage !
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Message par Kibito Mane »

Voilà c'est éditer, j'éspère que j'ai enlevé le plus de fautes possible.
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Message par Soi Fon »

kikou, après mon passage éclair pour la balise, j'ai lu ta bio et je dois dire que c'est bien sympathique, bon, ça nous fera deux paysans mais pourquoi pas XD sinon pour les fautes, je dirais que c'est bon(même si je n'ai pas la connaissance ultime en orthogrpahe et peut-être que j'en ais raté), sinon, il y a par moment des répétitions (par exemple trois phrases qui commencent par il, même si ce n'est pas forcement de Kibito qu'on parle, ça alourdi le texte).

Arf, finalement quelques petites fautes mais rien de trop méchant :)
Dernière modification par Soi Fon le lun. 05 déc. 2005, 22:13, modifié 1 fois.
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Message par Kibito Mane »

Meeeerki, je t'adore, enfin quelqun'un qui me remarque. ^^^^^^^^
Bon, je m'y mets.

[edit] J'ai enlever les répétitions
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Message par Urasawa Kenji »

Hé hé... bah pour moi c'est Ok :) .

Plus que l'accord de Nagao ou Kawada et bienvenue chez nous :D !
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

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Message par Nagao Kumiko »

C'est ok pour moi :)
Bienvenue!
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Message par Urasawa Kenji »

Accès et ryos mis, bienvenue à Kiri et cours t'inscrire à l'Académie :) !



EditAsuta: Bon bah pareil que ces deux-là en gros ^^ bienvenue et tout et tout ;)
> Il claque gentiment le nouvel avatar Soi Fon, perso je préfère (FFAC powaaa ;)).
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

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Message par Kibito Mane »

YaaahoooooooooooOOOoo, merci, je cour immédiatement m'inscire.
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