Man'zai Saejima [Accepté]

Modérateur : Hyodo Hyakujuunoou

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Man'zai Saejima
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Message par Man'zai Saejima »

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Identité: Man'zai Saejima pour vous servir, trublion de service âgé d'à peine 12 ans mais déjà un cador.

Un frère prof de musique, une petite soeur encore dans les jupes de sa mère, elle cantatrice, épouse d'un célèbre luthier reconnus dans le milieu; nous débattrons de leur cas plus tard.

Notre garnement est un môme assez banal en apparence: taille moyenne, poids moyen, cheveux noirs rasés depuis l'enfance comme vous le constaterez plus tard, çà donne envie non ?

Seul détail qui tue-ou pas-, ses yeux verrons, caractéristique familiale notoire, ce qui l'agace un peu, en effet être reconnu pour ses parents n'a rien de très gratifiant, pire que çà c'est vite gonflant.

Profil psychologique: Man'zai est un garçon assez équilibré, plutôt intelligent sans être un génie n'exagérons rien, assez mûr d'un coté de par son éducation très éclectique et donc très variée.

Ainsi, quand Man'zai parle de quelque chose, il est sûr du sujet et ne parle jamais sans savoir, en revanche sa pugnacité à chercher la petite bête est vite exaspérante.

Bien que souvent seul, il se mêle volontier à la foule et aux gens de son âge qu'il évite de juger à la première impression.

Il n'a aucune névrose ni pathologie mentale, n'est pas un psychopathe refoulé ni un contestataire, il n'a aucune religion ni opinion politique à proprement parler.

Son credo serait donc plus proche de "vivre et laisser vivre" que de "c'est moi l'beau c'est moi l'plus fort, pensez comme moi j'suis un cador".

Il se fiche royalement des critiques à son encontre en général, mais n'hésitera pas à défendre quelqu'un, même contre un représentant de l'ordre public, ou du "désordre ambiant" comme il se plaît à le dire.

Passionné de musique, il chante très souvent des titres que peu connaissent, coiffé de son gros casque Merode Sound System ™.

Son humour est assez spécial, gavé de références et de jeux de mots pourris, au point que la chute réside justement dans le niveau de moisissure dudit calembour.

Sinon, pour conclure, comme tous les gosses de cet âge il aime bien embêter les filles, ces cloches.

Leitmotiv: "Ce qu'il doit être chiant quand on est mort c'est qu'y'a pas d'musique."

Caprice de star: Man'zai aime quelques trucs hormis la musique, la bouffe et les après-midi entre amis notamment, c'est quelqu'un de très simple au fond, qui se contente de très peu.

En revanche, si quelque chose l'horripile, à part bien sûr être interpellé en tant que fils de son père ou de sa mère, c'est bien la pousse des cheveux, ce qui explique sa coupe d'ailleurs.

Tranche de vie: Man'zai Saejima naquit donc voilà une douzaine d'escargotsannées dans un petit village de Tsuchi No Kuni, dans une famille aimante, voire un peu trop.

A la maison, la situation était très bizarre, d'un coté Hime, sa mère, héritière d'une importante famille d'aristocrates coincés et conservateurs, garante du maintien des bonnes manières et de l'étiquette; et de l'autre, Muzousa, son père, fils d'une longue lignée de luthiers, garante du savoir-faire de tout un artisanat ancien et prisé.

Déjà, leur histoire est assez singulière pour être mentionnée: c'est au cours d'une partie de chasse en forêt, au beau milieu de son fief, que la famille d'Hime et celle-ci surtout, firent la connaissance de Muzousa, qui se baladait alors tranquillement dans la nature, sans se soucier d'être dans un domaine privé.

Après avoir essuyé l'attaque des chiens de la famille, on le conduisit au palais familial, où son sort fût décidé: il devrait, en compensation de l'intrusion, faire quelques menus travaux gracieusement pour les nobles, trop précieux et raffinés pour lever ne serait-ce que le petit doigt pour ouvrir des rideaux.

Mais le plus ... singulier restait à venir, en effet, Hime était une jeune fille très "comme il faut", du moins aux yeux de sa famille: élève modèle dans ses études, première de sa promotion au conservatoire de musique classique, reine incontestée des galas et soirées mondaines; jamais un haussement de voix; rien.

Mais comme tout le monde, elle avait une passion: la chair.

C'est ainsi, dégoûtée par la "mollesse" de la gente masculine de son milieu, désespérée voire frustrée, qu'elle cessa un beau jour alors qu'elle n'avait que 21 ans, de se mettre sous tranquilisants.

Jusqu'à ce jour, lors de son 22ème anniversaire.

En retard pour la première fois de sa vie, elle oublia de prendre son médicament et, en plein milieu d'une réception mondaine organisée pour l'occasion, elle fût sujette à des bouffées de chaleur plus virulentes encore qu'un sort Katon.

C'était simple, alors que l'on était en plein milieu du mois de janvier, la température de la pièce, en à peine un quart d'heure, oscilla entre les 25 et 30 degrés.

Gênée, elle décida de sortir au frais, mais rien n'y fît, rien ne pouvait apparemment la calmer.

Prise de folie passagère, elle courut comme une dératée dans le parc, jusqu'à arriver devant la buanderie.

Là, Muzousa, resté depuis au service de la famille par manque d'argent, se changeait après son service; croyez-moi ou non, il eût du mal à la contenir malgré ses 1 mètre 98 de muscles.

On dit même que ce jour-là, la neige autour dudit local fondit sur plus d'un mètre de rayon.

Depuis ce jour et progressivement, Hime et Muzousa ne se sont plus quittés, au grand damne des parents de la jeune fille qui devaient alors supporter ceux de leur gendre, un vrai choc des cultures.

Les trois enfants qui naquirent devinrent en grandissant bien différents les uns des autres, chacun prenant plus ou moins de chaque coté.

Le frère de Man'zai, de 8 ans son aîné, Gen'juu de son prénom lui était un pur produit de la haute, arrogant, chochotte et nombriliste bien comme il faut, ce qui rassura quelque peu ses grands-parents maternels.

Sa petite soeur, de 6 ans sa cadette, la mignonne Yasei pour ne citer qu'elle, était tout le contraire, véritable petite sauvageonne, il était impossible de la tirer du jardin avant les repas; on estime aujourd'hui le nombre de robes déchiquetées par ses soins à plus de 700.

Enfin, puisqu'il s’agit bien de lui dans cette présentation, Man'zai.

Le jour de sa naissance fût bien mouvementé, car vexée par l'évolution de leur premier petit-fils déjà à son âge un modèle d'aristo' pur jus, la famille de Muzousa voulait à tout prix sa revanche.

Défilèrent donc une ribanbelle de nomades/rom's/pay-pay (prononcez "paille-paille") venus influencer son développement en exposant tout le contenu de leur culture.

Il fallut des heures d'efforts à son père pour se faire pardonner aux yeux de sa femme, hors d'elle en voyant ses domestiques hilares à la vue de ses proches martyrisés par des animaux et juchés à 30 sur la table de la salle à manger.

Son père dira alors, quelques années plus tard: "Avec nos enfants on s'est repartis le travail: le premier on s'est crevé à le faire, le deuxième nous a crevé une fois qu'on l'avait fait, et la dernière nous crève pourtant on lui a rien fait !", dicton qui restera comme l'histoire préféré de la petite famille, les détails scabreux en moins.

En fait, si l'éducation des deux autres fût simple, celle de Man'zai posa plus de problème, les deux familles se la partageant à tour de rôle.

A l'âge de raison, le gamin eut du mal à s'en sortir, comprenant que la plupart des valeurs des uns et des autres se contredisaient mutuellement; ce fût la naissance en lui de sa plus grande arme: l'éclectisme.

Il passa alors le reste de son enfance connue ainsi, vivotant d'un coté et de l'autre en en prenant le meilleur, sans que cette stratégie n'ait un but précis, jusqu'à ce que Man'zai atteigne les 11 ans, date qui marqua un tournant dans sa jeune existence.

Pour faire plaisir à sa mère, on l'avait inscrit au solfège, où il manqua plusieurs fois de se faire renvoyer pour avoir modifié les partitions, trop "guimauves" à son goût, truqué des instruments, etc ...

Néanmoins, par amour pour sa famille, il décida tout de même de faire des efforts, maman ayant déclaré que voir son fils sur scène serait pour elle le plus beau cadeau qu'elle puisse rêver.

Il s'employa alors à faire de son mieux, jour après jour, cours après cours bien qu'assez longs voire interminables.

Mais la prouesse n'était pas due qu'à une volonté de satisfaire l'ego de maman, non, comme dans toute histoire ou presque (Yaoi exclu ^^), il y avait une fille.

Si beaucoup cherchent, à l'instar d'Œdipe, une femme qui ressemblera à leur mère, Man'zai lui cherchait à tout prix à s'en détacher, voire à se détacher de toute similitude avec l'effectif féminin de sa famille, tous côtés confondus.

Et c'est donc dans ces cours ennuyeux qu'il trouva chaussure à son pied, du moins le croyait-il.

Seul problème, si la demoiselle appréciait ce plaisantin gentil qui la faisait tant rire, elle ne jurait que par un certain Shin'dou, archétype même du crétin pompeux et sûr de lui, en gros: un clone de son propre frère.

Mais Man'zai ne baissa pas les bras pour autant et, six mois après son entrée aux cours, après moult efforts pour assimiler la totalité du programme, une représentation fût donnée par l'école de musique.

Tout allait bien, notre chenapan favoris jouant parfaitement sans quitter cet air si sérieux, au point que sa mère se demanda bien si le petit être sage qui se tenait devant elle était bien Man'zai.

A ce propos, elle se tourna vers son mari endormi, exténué une fois encore la veille par son énergique épouse:

"Muzousa, Muzousa !

C'est ... bien notre fils ?"


Péniblement, l'homme émergea de son sommeil de plomb, alors qu'au même moment, un drame se produisait.

En plein allegro, Man'zai distingua sans problème derrière lui, deux deuxième année qu'il connaissait bien, lesquels se bécotaient sans vergogne ni fausse pudeur, comme tous les enfants de cet âge.

La scène était mignonne, touchante, enfin pas pour tout le monde.

On vit alors une contrebasse voler en plein milieu du concert de la scène au public, alors que l'expéditeur était encore juché sur son tabouret:

"Enfoiré de sale con de fils à papa !" hurla Man'zai hors de lui.

S'en suivit alors une bagarre entre les premières et les deuxièmes années, les plus vieux voulant fritter le sale môme qui venait d'abîmer le beau visage immaculé de leur meneur, tandis que leurs cadet(te)s souhaitaient avoir la primauté de la chose.

Son père, avant de se rendormir, acquiesça à la question de sa femme:

"A ton avis ?"

Le concert était foutu, ce qui énerva un spectateur en particulier, Shinobi du village de Kumo et grand amateur de musique.

Ce fût lui qui réussit à chopper Man'zai le premier, lui imprimant la marque de ses chaussures dans les fesses.

Néanmoins, cela permis au gamin de fuir loin de la foule hystérique prête à le lyncher.

Fort heureusement, ils se contentèrent une fois qu'ils l'eurent rattrapé de lui tondre ses beaux et longs cheveux, ce qui explique la coupe qu'il arbore à présent et dont il se justifia sur un ton sec:

"Quoi ?

Oui bin maman, au moins comme çà on me retondra pas !"


Et, alors qu'il dépassait à peine la colline bordant la salle, notre énergumène pensa ce qui resta pour lui une référence en la matière:

*Les filles, c'est des cloches !*

Il ne reprit jamais de cours de musique mais une fois les choses tassées, pût se rendre à la bibliothèque municipale où il apprit par hasard entre deux recherches documentaires, exigées en guise de punition par sa mère, l'existence de factions de militaires surentraînés arborant des insignes bizarres sur des bandeaux métallisés.

C'est alors qu'il s'écria, en plein milieu de ce lieu silencieux et surpeuplé:

"Ah ah, je te tiens mon salaud !!!"

C'est ainsi que Man'zai décida de devenir Shinobi.

Il reçut alors, soit dit en en passant, le premier cadeau de sa vie de la part de son grand-père maternel, ancien Chuunin dans sa prime jeunesse: un casque de professionnel pour écouter ses musiques préférées.

Bref, une chose est sure: il fera tout les efforts pour retrouver cet homme, alors gare à vous, et vous gradés prévoyez les aspirines !!! :lol: :super: :P
Dernière modification par Man'zai Saejima le lun. 06 févr. 2006, 18:30, modifié 7 fois.
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Hyodo Hyakujuunoou
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Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Bon, je sais que le village, il est pas trop ouvert.

Je sais aussi que c'est pas bien de dire ça, mais j'aime beaucoup.

Y'a un problème de sautage de lignes... mais on va pas en faire toute une histoire.

met ton avatar et ta sign en règle... Moi je prend \o/
Man'zai Saejima
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Message par Man'zai Saejima »

Voilà M'sieur qui veut que je meurt. ^^

Ouais, meurs, mais en silence, petit.
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Onihiwa Seika
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Message par Onihiwa Seika »

vi, vi
moua aussi j'aime bien... MAIS:
si on lui a donné comme qualité l'éclectisme, c'est qu'il est éclectique et quelques petites autres fautes que j'aimerai voir corrigées.

Je sais, je sais, mais je tiens à mon orthographe.

Moi aussi je suis séduite, c'est une bio de bon niveau qui nous prommet un rplayer d'un tout aussi bon niveau... alors... CORRIGE!!
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Man'zai Saejima
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Message par Man'zai Saejima »

Voilà j'ai tenté de faire de mon mieux, désolé si il en reste encore. :oops:
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Message par Onihiwa Seika »

oki pour moi!!
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Message par Karasu Satsubatsu Hana »

Axx en cours de mettage ;)


Bienvenue au petit des chatons et des cailloux.
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Message par Man'zai Saejima »

Merci bien Mam'zelle :)
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"Ce qu'il doit être chiant quand on est mort c'est qu'y'a pas d'musique."

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Senryû Say
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Message par Senryû Say »

Hmmmm....rapidement accépté celui là....n'empeche que le village était fermé :roll:

Après les gens vont croire que y'a du favoritsime.... :roll:

Bonne bio quand même^^
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-Hakai....(j'était bien parti mais le nom hakai gache tout -_-)


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C'est drôle ça^^
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Message par Karasu Satsubatsu Hana »

Ce n'est pas du favoritisme, c'est savoir reconnaître une bonne biographie (et donc un bon joueur > généralement du moins) quand on en voit un, et lui fournir un contexte dans lequel s'amuser.


^__^
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Senryû Say
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Message par Senryû Say »

Oui oui, j'ai pas dit que c'était du favoritisme, j'ai dit que certains pourraient croire que ça l'est....M'enfin bon, on va pas "chippoter" plus longtemps là dessus ^^

Exact, sinon je te brise une rotule, et on en parle plus hein \o/
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Message par Païku & Pika »

Sympa ! Mais les Koss sont mieux !
Bienvenue Man ! Puisses-tu te plaire parmi nous ! ^^
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Nintendo : "Ouais, j'voudrais trop en avoir une, mais ma maman elle veut pas !"
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