Yashamaru Okuni [acceptée]

Modérateur : Hyodo Hyakujuunoou

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Okuni Yashamaru
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Message par Okuni Yashamaru »

Nom : Yashamaru (elle ne veut plus parler ou penser à son ancienne famille, ni donc à son ex-nom)

Prénom : Okuni

Âge : 15 ans

Sexe : Féminin

Description physique

Okuni est une jeune femme dont les longs cheveux blonds retombent sur les épaules avec grâce, cheveux qu'elle a brillants et soyeux, caractéristiques qui lui viennent de sa mère Yashamaru et de son père qui avaient des cheveux splendides pour un "paysan". Elle n’est pas orgueilleuse pour un sou sur ce sujet puisque c’est la caractéristique de tout Yashamaru digne de ce nom mais elle porte néammoins un soin minutieux à sa coiffure, elle a même développé un tic qui lui fait porter sa main à sa tête à chaque fois qu’elle en a l’occasion.
Elle porte un bandana solidement noué sur la tête, tissu hérissé de minuscules épines au sommet, qui présente deux avantages : il lui permet d'avoir une vue claire sans être gênée par son système capillaire et , par une petite douleur à la main, lui rappelle que non, ses cheveux ne sont pas partis en balade quand elle avait le dos tourné.

L’étudiante est de taille moyenne, environ un mètre soixante-dix, pour une très faible corpulence, puisqu'elle est extrêmement maigre. Cela lui vient de l’anorexie dont elle souffre de puis la mort de son frère.
Okuni n’a cure des beaux vêtements, elle préfère les tenues pratiques où elle est à l’aise . En dehors des entraînements, elle porte donc des vêtements amples pour lui laisser une plus grande liberté de mouvement. Cela dit, elle ne rechigne pas à enfiler des habits moulants si c’est nécessaire et à vrai dire c’est souvent le cas pour une apprentie ninja.
La Yashamaru se déplace avec vitesse, car elle adore tout faire vite et sentir l’air lui fouetter le visage, elle donne une impression d’aisance naturelle, comme une fluidité dans ses mouvements parfaitement contrôlés. Elle a acquit cette grâce en réalisant toute une série d’étirements et d’assouplissements depuis qu’elle est arrivée au village.

Son visage, qui se remplit de fossettes dès qu’elle sourit, reflète en permanence toutes ses émotions, on peut quasiment lire dans ses pensées comme dans un livre ouvert. Cela la gêne d’ailleurs quand elle doit bluffer ou mentir, c’est pour cette raison qu’elle aime beaucoup porter une cagoule ou un foulard sur le visage pour masquer ses pensées, elle ressent alors une impression de liberté et de puissance incroyable.
Okuni porte attaché au cou un petit médaillon, une simple pierre gris bleuté percée d’un trou irrégulier, dans lequel passe une petite corde de cuir. Cette pierre a pour caractéristique de briller faiblement dans l’obscurité.

Histoire :

La rebelle à l’esprit pur

Le clan Yashamaru n’est pas réputé pour faire preuve de pitié envers ses membres ou pour sa sainteté d’esprit. La cruauté et l’assassinat dans une même famille sont monnaies courantes, et les enfants sont en permanences élevé dans un esprit compétitif et impitoyable, pour qu’ils puissent survivre, leurs parents surveillent de près ce point pour s’assurer une digne succession. L’histoire d’Okuni commence par une faille dans l’éducation qu’inculqua sa grand-mère Sakura à sa mère Chihiro. En effet, l’aïeule avaient deux sérieux ennuis. D’un côté, son mari la trompait avec la plupart des femmes du village et à l’extérieur, ce qui donnait lieu à de sérieuses disputes qui allaient presque parfois jusqu’au sang, et les racontars courraient partout sur cette femme Yashamaru qui n’était même pas capable de retenir son mari. De l’autre côté, sûrement une conséquence directe du premier problème, le kokujo de celle qu’on appelait « la cocu » se détériorait de jours en jours , et sa notoriété déjà légèrement en dessous de la moyenne avec. Rongée par tout cela, Sakura se mit à boire et ne pensa presque plus à sa jeune fille de sept ans qui avait de multiples questions sur le monde qui l’entourait.

Alors elle dut se forger des opinions elle-même, en subissant bien moins que les autres enfants l’ « endurcissement » propres au ninja à son clan. Elle trouvait hideuses les multiples trahisons qui proliféraient partout et peu à peu elle n’osa plus parle à personne, car à chaque fois, une pensée atroce la frappait de plein fouet : dans ce milieu hostile, n’importe qui qu’elle considérait comme ami aujourd’hui pourrait la tuer demain. Elle rêvait en sercet de pouvoir se confier à un vrai ami en toute confiance…à partir de ses dix ans, son opinion était forgée : elle détestait ce clan et profiterait de la moindre occasion pour s’enfuir mener une vraie vie où elle ne serait pas en permanence en sursis. Pourtant, elle était une ninja particulièrement douée dans des jutsus qu’elle inventait elle -même, dont elle avait l’intuition.

Pendant ce temps, sa génitrice avait repris la situation en main, son mari ne faisait plus aucun écart et son kokujo était redevenu acceptable. Elle put donc se charger à nouveau de sa fille. Elle aborda cela avec confiance, sûre de sa descendante, mais déchanta bien vite quand elle s’aperçut qu’elle avait engendré une révolutionnaire qui ne pouvait concevoir la trahison autrement que comme une horreur impardonnable. Sakura essaya différentes tactiques d’approche, la douceur comme le chantage et la brutalité, mais rien n’y fit, et leurs bruyantes disputes résonnèrent dans le village pendant six ans, pendant lesquels Chihiro se perfectionna considérablement à l’art ninja, mais sans s’y intéresser véritablement. Pour cette raison, ces supérieurs ne la considéraient pas comme « brillante », car ils savaient tous qu’elle n’utilisait que la moitié de son potentiel.

Le jour de ses seize ans, après un conflit qui finit quasiment par un corps à corps, la jeune fille vola un peu d’argent à sa mère et s’enfuit discrètement pendant une nuit sans lune courrant le plus loin qu’elle put jusqu’à une petite ville où elle se cacha pour échapper aux recherche de sa famille tant haïe…Elle souhaitait à présent prendre un nouveau départ où certaines valeurs pourraient briller sans être brisées par des hommes et femmes avides de pouvoir.

La misère crasseuse et la mort :

A son arrivée, Chihiro put louer un petit local où dormir mais s’aperçut rapidement qu’elle ne tiendrait pas deux jours avec l’argent de Sakura.
Elle décida donc de rechercher des « petits travaux », elle en trouva assez rapidement mais ils étaient plutôt réservés aux hommes car on devait porter des choses lourdes et risquer de se casser des ongles ;)…qu’importe ! A une ninja rien d’impossible. Même en voulant oublier son passé, elle se dit qu’elle n’avait pas gaspillé une quinzaine d’années de sa vie à acquérir des talents si elle ne pouvait pas les utiliser. Exploitant son talent inné pour créer des jutsus, elle modela son chakra jusqu'à pouvoir prendre à demande une apparence d'homme viril et de carrure impressionante.

Généralement on l'engageait rapidement après l'avoir vu et elle pouvait gagner un peu d'argent. Elle se tuait à la tâche, ne reculant devant rien pour gagner une piécette, simplement pour pouvoir vivre "normalement" et réaliser ainsi son rêve. Seul ennui à cet idéal utopique : elle manquait de relations car, ne pouvant garder cet aspect en permanence, elle ne pouvait se lier à personne. C'est ainsi qu'elle n'avait accès qu'à des boulots qui ne payaient que très peu, elle subsistait à peine et au bout de trois mois mois elle était méconnaissable : ses traits étaient tirés par la fatigue et le manque de nourriture, elle était maculée de terre et de boue et elle rampait presque afin de fouiller des détritus pour en sortir quelque chose de comestible. C'est comme cela que l'histoire faillit se terminer, dans une ruelle sombre, sous une pluie battante, une forme recouverte de haillons qui râlait et gémissait allait s'éteindre sans que personne ne s'en aperçoive...Lentement Chihiro perdait connaissance : elle n'avait plus conscience de ses mucles et sentait lentement le froid prendre possession de tous es muscles, en partant de ses orteils et en remontant sournoisement vers son coeur et son cerveau. Elle fut d'abord pleine de ressentiment et d'amertume, contre cette chienne de vie qui n'était là que pour rendre la mort haïssable et effrayante. Puis la paix l'envahit et elle comprit : les hommes s'agitaient bien trop et la délivrance arrivait, elle n'avait qu'à se laisser glisser. Le repos éternel l'attendait, elle allait pouvoir s'endormir et de se libérer de tous ces ennuis...l'ancienne ninja ferma doucement les yeux et se libéra de tout...

L'amour et la vie :

Mais les Dieux ont parfois de bien étranges desseins, et ils semblaient vouloir que cette jeune fille au grand coeur ne meure pas.

Donc, quand Chihiro rouvrit les yeux,

* Voir :super: ? Sans rire ? Mais je suis vivante moi !*

Ahem. Tout était flou autour d'elle et une bonne odeur de saké flottait dans l'air, accompagnée...

* Saké :super: ? Sans rire ? Mais j'ai soif moi ! A boire ! *

Re-ahem. Elle était donc accompagnée d'une douce senteur de manjû tout chaud. Une voix retentit alors dans la piè...

* Manjû :super: ? Sans rire ? Mais j'ai faim moi ! A manger ! *

" MAIS LAISSE MOI PARLER ZUT 'FAUT QUE JE FASSE MON BOULOT DE NARRATEUR MOI...ALORS SOIT TU ARRETE SOIT JE TE LAISSE MOURIR TOUT CA CE SONT DES MIRAGES !"

* D'accord, d'accord, ne t'énerve pas :cry: ... *

Comme je le disais avant d'être grossièrement interrompu, une voix de jeune homme s'éleva dans la pièce, elle était chaude et rassurante :

" Tiens, vous êtes réveillée mademoiselle ? Je commençais à me faire du souci...vous aimez les manjû et le saké j'espère ? "

Chihiro cligna des yeux pour essayer d'apercevoir qui lui parlait, mais ses globes occulaires se couvrirent de larmes et elle ressentit une vive douleur à la tête. Une main se posa sur ses paupières pour les refermer, avec délicatesse.

" Non non, n'essayez pas, vous êtes restée deux jours les yeux fermés et vous êtes passée près de la mort, le médecin m'a dit qu'il fallait compter au moins deux heures après votre réveil avant que
vous ne puissiez ouvrir les yeux sans séquelles, la lumière est trop forte comprenez-vous...ça serait dommage de voiler la vision d'un si beau visage."


Au moment même où il prononçait ces mots, Chihiro fut charmée, envoûtée par cette voix. Cet homme semblait si gentil, il l'avait sauvée, nourrie, logée, il avait appelé un médecin pour elle et s'était occupé d'elle, avait veillé à son chevet. Après tant de dureté de la part de sa famille, une telle bontée lui fendit le coeur et elle se mit à pleurer de bonheur : elle avait trouvé sa voix !

Apparemment, le coup de foudre était réciproque et après une petite semaine de convalescence où ils apprirent à mieux se connaitre, ils se déclarèrent l'un l'autre la flamme ardente qui brûlait dans leurs coeurs...après un an et six mois d'amour et de bonheur pur, une fille naquit de leur union, une fille qu'ils décidèrent d'appeler Okuni. Tout semblait aller pour le mieux, la vie était pleine d'anges tous nus qui lancent des fleurs par poignées et de petits oiseaux pépiant joyeusement en grignotant des miettes de pains...Chihiro travaillait à mi-temps pour s'occuper de sa fille l'après-midi et la laissait le matin aux bons soins d'une nourrice qu'ils payaient grâce au salaire du travail d'Akira, qui n'avait pas révélé ce qu'il faisait, prétendant qu'il préférait que la mère d'Okuni devine.

Mais malheureusement, les relations houleuses étaient héréditaire dans cette branche des Yashamaru, et c'est ceux que n'allait pas tarder à découvrir la fille de Sakura.

Le retour aux sources:

Un midi qu'elle rentrait de son travail (elle vendait des légumes dans un marché couvert), un gosse des rues lui remit un petit mot plié en quatre, délicatement parfumé à la fleur de prunier, l'écriture étant ronde et fine.
Mon cher et tendre époux,
je me languis de vous et ait hâte que vous reveniez auprès de moi. Je sais que vous êtes très occupé par ce qui nous permettra de vivre heureux, mais je vous en supplie ne me faites point trop attendre !
Celle qui vous aime plus que tout au monde,
Orihime
Une partie de ce message était obscure mais l'essentiel, la vérité, Chihiro la reçut de plein fouet, comme une charge furieuse que rien ni personne n'aurait pu arrêter : Akira était marié et trompait sa femme. Elle avait cru qu'un vrai amour était possible, sans mensonges ni bassesses ? L'idiote ! Quelle naïvité ! Tous les Hommes étaient pareils, ne réfléchissant pas, n'étant poursuivis par aucun remords.

Si l'homme qu'aimait les deux femmes avait été là il aurait pu lui expliquer. Lui dire qu'il les aimait sincèrement toutes deux, que chaque jour le déchirait un peu plus, qu'il avait en permanence d'être brûlé par les flammes du tourment amoureux...mais cet homme-là qui subissait un sort pire quela mort, cet amoureux de l'impossible ne répondait pas présent.
Il ne pouvait pas endiguer la colère de la jeune fille déçue, ile ne pouvait l'empêcher de commettre l'irréparable...car elle avait décidé de retourner à son ancienne vie.

Quand le jeune bourgeois revient de son travail et de la mystérieuse affaire qui le rendrait lui et Orihime heureux, il trouva seulement la petite Okuni dans son berceau, à côté d'une lettre scellée d'un cachet de cire. Pris d'un terrible pressentiment, il brisa le sceau pour lire, et une petit éclair éclaira toute la pièce pendant une seconde, mais il était trop agité pour y prêter attention. La lettre était écrite avec une encre rouge sang, comme l'amour et la haine :
Akira, je pars.
Je souhaite que tu sois le plus malheureux possible avec cette Orihime. Sache qu'au moment même où tu as déplié ce papier, votre futur était déterminé irréversiblement : vous n'aurez jamais d'enfants, je peux te le promettre.
Je te laisse Okuni, occupe toi bien d'elle. Je ne peux l'emporter là où je vais, car je souhaite qu'elle ait une vie moins sombre que la mienne.
Chihiro.
L'homme relut plusieurs fois la lettre, refusant d'y croire, puis il s'écroula sur sa chaise, détruit spirituellement. Sa tête ne pouvait plus réagir, une tristesse le submergea comme une gigantesque vague qui engloutit tout sur son passage. Il envisagea même un instant de mettre fin à ses jours, cela aurait été tellement facile...mais une pensée vint soudainement à son esprit illuminant son cerveau : il y avait Orihime, son épouse. Il ne pouvait se permettre de mourir quand dans peu de temps ils atteindraient le bonheur ultime. Il décida donc de se confier à celle qui était désormais sa seule aimée et d'élever Okuni comme leur fille, tout en essayant de panser les plaies. Mais certaines, et il le savait, ne se refermeraient jamais complètement et le harceleraient jusqu'à sa mort.

La "vie parfaite":

Il décida donc de se consacrer corps et âme à la tâche qui l'occupait depuis bientôt un an : tuer ses parents et ceux d'Orihime. Les deux conjoints étaient en effet un peu illuminés et persuadés qu'il fallait faire de grands sacrifices pour s'aimer en paix, et ils avaient pévus de tuer leurs géniteurs pour empocher le coquet héritage, puisqu'ils étaient tous deux de familles bourgeoises, puis acheter une jolie maison loin des hommes et subvenir eux-mêmes à leurs besoins sans avoir à fréquenter personne.

Mais il fallait que cette quadruple mort passe pour un accident sans qu'aucun soupçon tombe sur Akira, c'est pourquoi cela prenait temps de temps, l'homme infiltrant lentement mais sûrement une grande partie de l'entourage des aïeux, payant grassement quiconque l'aidait pour empêcher les trahisons. La meilleure solution lui avait paru le poison et il s'en était procuré un très rare et très coûteux poison, inodore et incolore, qu'il comptait mettre d'abord dans la nourriture de son père et de sa mère puis, un an plus tard pour éviter un rapprochement des deux affaires, dans les boissons de ceux d'Orihime.

Minutieusement préparés, ces deux assassinats camouflés fonctionnèrent sans anicroches et, un peu plus d'un an et demi après sa séparation d'avec Chihiro, Akira était riche et libre, libre d'aimer Orihime loin de tous et de profiter de la vie sans excès.
Les amants se mirent alors discrètement à la recherche d'une maison dans une région sans grande population et assez loin si possible, pour que personne ne puisse les reconnaitre. Ils finirent par faire construire une maison pour un prix astronomique en plein milieu d'une région montagneuse où on avait très peu de chances de trouver leur habitat.
Ils s'établirent donc sans le vouloir à quelques kilomètres à peine du Village Caché de la Terre où était revenue Chihiro.

La funeste prédiction de cette dernière s'était réalisée et pour cause ! Car ce n'était bien sûr pas un présage mais un jutsu artisanal qui était contenu dans la lettre.
Akira et Orihime avait donc un seul enfant à élever et cet enfant c'était Okuni. Il lui avaient appris à lire, à écrire et à compter à partir de sa cinquième année jusqu'à sa huitième et ils lui enseignaient désormais comment se débrouiller seule, reconnaitre les plantes vénéneuses et bénéfiques, comment faire du pain, allumer un feu, pêcher...ils avaient même capturé un poney sauvage et lui avaient enseigné les bases de l'équitation ! Une seule chose manquait à la petit blonde : un ami, car pour une raison inconnue ils n'avaient jamais de visites. Bien sûr Okuni n'était pas au courant mais cela venait du fait que ses parents aux cerveau malade y veillait : les premières années, ils s'étaient contentés d'éloigner les intrus mais leur état avait empiré et ils tuaient maintenant avec le plus grand calme tous les voyageurs qui venaient à passer sur "leurs terres".

Tout cela changea quand la fille de Chihiro et d'Akira eut douze ans mais pour comprendre il nous faut revenir à ce qui s'était passé pendant ce temps à Tsuchi no Kuni, là où tout avait commencé.

Le triste indésirable et l'amitié:

Après son départ, la kunoichi s'en était retourné à son village natal où elle fut acceptée assez facilement, surtout parce qu'elle avait un bon potentiel et qu'aucun autre étudiant n'avait son intuition pour créer des jutsus. Elle se réconcilia aussitôt avec sa mère Sakura, car elle avait maintenant compris une autre chose : ici ou ailleurs tout n'était que ténèbres et perfidies, seulement les ninjas, eux, ne s'en cachaient pas, ils regardaient la vérité en face.

Elle arrivait presque à ses dix-huit ans et semblait être prête à se marier. Les prétendants de toutes puissances ou richesses se précipitaient à sa porte car elle avait acquis une petite notoriété et possédaient de très beaux cheveux d'un noir brillant et luisant qui engloutissait aussitôt dans l'infini quiconque le contemplait. Mère et fille s'étaient mises d'accord: Sakura"filtrerait" plus ou moins les jeunes gens en inventant des prétextes pour ne pas laisser entrer les moins plaisants, puis Chihiro discutait longuement avec les hommes qui étaient passés pour savoir qui partagerait le mieux sa vie.

Au bout d'un mois de ce petit manège, elle laissa sa main ( et son orteil gauche) à un ninja de cinq ans son aîné et qui gagnait bien sa vie, un homme aux cheveux aussi noirs que les siens. Son nom était Enishi Sagara et il annonça bientôt leur mariage en public, cérémonie qui fut célébrée quand Okuni atteint son deuxième hiver.
Un an plus tard, un enfant naquit dans la chaude maison en bois sombre d'Enishi. Malheureusement, ce fut un garçon, ce qui déçut un peu sa mère qui fabriquait un excellent kokujo et son père énormément, qui avaient de grands espoirs pour monter en grade grâce à sa progéniture. De plus, plus le temps passait plus on s'apercevait que Sanosuké, car tel était son nom, n'était pas doué et même très inférieur à la moyenne. Pourtant, il était passionné par ce qu'il faisait et son plus grand rêve était de devenir un homme important du village, mais comme chacun sait, cela est très rare pour un mâle Yashamaru.

Au grand dam de ses parents, il n'avait pas hérité des splendides cheveux de sa mère ni de son don inné pour les jutsus. Il s'entraînait aussi dur que son petit corps lui permettait tout le jour et même parfois la nuit mais rien n'y faisait : il était et resterait médiocre, triste perfidie de la génétique.

Si bien que peu à peu, son père acquit une terrible certitude : peut-être que...après tout la vie serait un cauchemar pour son descendant, peut-être valait-il mieux mourir dès maintenant. Il essayait d'écarter cette pensée de sa tête dès qu'elle s'y présentait mais il ne pouvait s'empêcher de s'en souvenir. Cette intention prit peu à peu de l'ampleur pendant que Sanosuké grandissait jusqu'à ce qu'il embrasse sa dixième année, quand il devint impossible même aux yeux des plus optimistes qu'il progresse d'un coup ou qu'il présente soudain un potentiel inconnu.

C'est alors qu'Enishi eut vent d'une petite maison à quelques kilomètres de là, un endroit habité par un couple de fous qui tuait quiconque s'approchait. Quelques jours de réflexion et sa décision était prise : le sort déciderait de la mort ou de la vie de son fils, il l'emmènerait non loin de cette habitation de mort et le laisserait faire ce qu'il voudrait...En fait, il décida de cela pour que sa conscience le laisse en paix, si son fils ne se faisait pas tuer il retournerait là-bas un autre jour ou utiliserait un autre moyen pour le faire disparaître, quitte à fendre le coeur de sa femme qui de toute façon était trop sensible.

Ainsi, il proposa au jeune Yashamaru de partir pour une balade un jour où il faisait beau, une promenade entre père et fils où le jeune garçon pourrait jouer, dormir ou s'entraîner, à sa convenance ! Il ne précisa pas qu'il était aussi libre de mourir, bien entendu. Le sous-doué accepta avec empressement et ils partirent d'un pas vif dans l'aube piquante de ce début de printemps. Ils arrivèrent à cinq cent mètres de la demeure d'Okuni, cachés derière une petite colline. Là, Enishi prétexta une petite fatigue pour déclarer qu'il allait faire une petite sieste sous les doux rayons du soleil avant de commencer ce que voulait faire Sanosuke, pour le moment ce dernier pouvait s'amuser comme il voulait.

Le petit garçon n'hésita pas un instant et partit en courant dans le paysage enchanteur qui l'entourait. Il sautillait de ci de là, observant animaux et fleurs, s'ennivrant de parfums merveilleux et de fantastiques découvertes. Soudain, une petite fille apparut. Elle était un peu plus vieille que lui et avait de beaux et longs cheveux longs. Elle l'observa un instant puis déclara d'un ton à la fois timide et enthousiaste :

" Bonjour toi ! Dis tu veux bien jouer avec moi ? Je m'appelle Okuni. "

Pendant une seconde de plus ils se regardèrent sans émettre un son, et à cet instant, un courant mystérieux passa entre eux. Ils éprouvaient l'un l'autre une sympathie intense qu'ils ne pouvaient expliquer. Ils sentirent tous deux, sans vraiment décoder ce sentiment, qu'ils avaient quelque chose en commun, qu'ils allaient être amis. C'est pourquoi, dès qu'il eut reprit ses esprits, Sanosuke répondit avec empressement :

" Bien sûr que je veux jouer avec toi Okuni ! Moi c'est Sanosuke mais appelle moi Sano c'est plus court. Mais...est-ce que tu es une ninja toi ? "

* Qu'est-ce que c'est une ninja ? *

" Je ne comprends pas bien ce que tu me demandes. Tu veux bien m'expliquer ? "

Aussitôt, comme pris d'une fièvre, l'étudiant ninja se mit à parler, parler sans cesse, de lui, de ses parents, de ce qu'il voulait faire, de tout ce qu'il n'arrivait pas à réaliser, de la déception évidente de ses parents, de sa honte quand, plein de fatigue, il devait arrêter l'entraînement. Il décrit sans peur Tsuchi no Kuni à une inconnue, car il savait qu'il pouvait compter sur sa discrétion. Il lui narra ainsi toute sa vie, et la jeune fille écoutait avec des étoiles dans les yeux : cela avait l'air d'être si merveilleux, tellement Sanosuke était frénétique quand il en parlait.

"......écoute Okuni, je suis désolé on a pas eu le temps de jouer mais je dois rejoindre mon père, il m'attend, et je ne voudrais pas perdre une occasion de progresser ! Mais je pense que j'aurais le droit de revenir, demain par exemple ? "

" Pas de problème, ça m'a fait plaisir de bavarder ainsi avec toi :) . Tu peux revenir demain, à la même heure derrière cette bute d'accord ? "

" D'accord ! "

Et le petit s'en retourna vers son père, sans savoir que son destin venait d'être scellé. Le pater familias Sagara fut à la fois déçu et soulagé de voir revenir son enfant, qu'il accueillit avec forces cris de joies forcés. Il s'entraînèrent ensuite pendant une petite heure, durant laquelle Enishi s'aperçut à quel point son fils était exalté et motivé, à quel point il avait envie de devenir un ninja, même de moindre niveau. Et une pensée s'imposa à ses yeux : ce qu'il avait tenté de faire était horrible. Il avait tenté de tuer son fils qui ne pensait qu'à satisfaire tout le monde, qui ne songeait qu'à évoluer ! Il ne pouvait pas, il ne pouvait plus, l'envoyer à la mort comme il l'avait fait aujourd'hui. Il allait garder cet enfant et tant pis pour les racontars, pour sa descendance, pour son propre avenir, il le garderait et ferait tout pour l'aider à progresser !

Malheureusement, avant que ces merveilleux présages ne se réalisent, l'enfant s'en était allé vers son décès. En effet, dès l'aube, il était reparti vers la périlleuse maison où résidait sa seule amie. Il avait laissé un petit mot :
Père et Mère,
je retourne à l'endroit où nous sommes allés hier, pour retrouver une copine. Je serais de retour avant midi pour pouvoir m'entraîner.
Sano
Aussitôt lu ce message, Enishi paniqua complètement et expliqua toute l'affaire à sa femme : comme til avait voulu tuer leur fils en l'emmenant là-bas, comment il avait changé d'avis, à quel point le petit garçon était en danger...Chihiro n'hésita pas un instant : son fils unique, ce qui avait véritablement débuté sa nouvelle vie en tant que kunoichi, la chair de sa chair était en danger. Avant que quiconque n'ait pu l'en empêcher elle était parti à son tour vers la propriété d'Akira et d'Orihime.

La mort de l'ami, la venue d'une nouvelle recrue pour le Village :

La kunoichi aux magnifiques cheveux s'essouflait. Elle ne courrait pas depuis son départ, elle volait littéralement vers Sano, détruisant les obstacles sur son passage et ne faisant aucune halte. Plus loin, elle apercevait une petite butte qui cachait l'horizon. Son mari lui avait dit que la bâtisse devait être quelque part derrière cette collinette :) . Un dernier bond, plus qu'un dernier bond. Les poumons en feu, son regard quitta la motte de terre sur laquelle elle avait pris appui pour contempler une petite cuvette naturelle avec au fond une magnifique maisonette. Mais elle n'en avait cure. Elle dévala la pente vers cette véritable oeuvre-d'art, criant à s'en détruire les cordes vocales le nom de son fils. Son cerveau n'emmagasinait plus rien, si ce n'était un ordre : courir, coûte que coûte, jusqu'à la délivrance ou à la mort.

Ses yeux balayèrent l'endroit pour tomber sur trois silhouettes : deux debout, tenant des petits objets luisants; une à genoux parcourure de spasmes qui hurlait quelque chose et la dernière, allongée, qui ne bougeait plus, qui n'émettait plus un son. Sakura se précipita et son cerveau dut faire face à une overdose d'informations : devant elle se tenait Akira, qu'elle avait reconnu tout de suite, il se tenait à côté d'une femme qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle devinait être Orihime, tous deux avaient des yeux de déments et portaient des couteaux de cuisine à la main. A leurs pieds, une petite fille blonde qui sanglotait et hurlait par intermittence, qu'elle identifia au bout de quelques secondes...Okuni, c'était la seule explication devant sa chevelure luisante et ses yeux qui semblaient encore appartenir au bébé qu'elle avait un jour bercé dans ses bras. Et à terre, qui focalisait pour la première fois l'attention de tout le monde, Sanosuke, allongé dans une mare de sang, le corps lardé de coups de lames. Une blessure sur le visage d'Akira et un kunai dans la main du machhabée prouvait qu'il s'était vaillement défendu.

En tout cas, le temps s'était arrêté pour toutes les personnes présentes quand Sakura avait vu son fils, car elle ne paraissait pas en colère, enfin son visage ne montrait aucune émotion. Par contre, un chakra meurtrier flottait pareseusement autour d'elle, et on sentait que la jeune femme allait bientôt passer à l'action, les forces décuplées par la rage. Sans un mot, elle sortit son kokujo qui luit un instant sous les rayons de l'astre divin. Puis, le serpent de cheveux s'élança et mordit, à une telle vitesse que c'était impossible de le suivre. Brusquement, les corps d'Akira et d'Orihime se lézardèrent et se dispersèrent en une multitude de petis morceaux, éclaboussant d'hémoglobine toute la pelouse aux alentours.

Okuni, qui avait été horrifiée devant le meurtre sauvage de Sanosuke, se tut brusquement devant ce carnage. Elle était en état de choc. Soudain un visage se pencha vers elle, un visage qui avait été il ya un instant déformé par la rage mais qui était maintenant doux et compatissant.

" Bonjour, tu dois être Okuni je suppose. Autant te le révéler tout de suite, je suis ta véritable mère et celui qui vient de se faire tuer par tes parents "adoptifs" était ton demi-frère. "

Il y eut un moment de flottement puis la jeune femme prit sa fille chérie dans ses bras et l'étreignit avec amour. Ces retrouvailles se prolongèrent une poignée de secondes hors du temps, puis Sakura murmura avec délicatesse à l'oreille de la petite fille :

" Ecoute, je vais t'emmener avec moi dans mon Village, dans notre Village. Mais j'ai d'abord une question à te poser : j'ai les moyens de te faire oublier ce que je viens de faire à ces monstres, est-ce que tu veux que je le fasse ? "

Okuni resta hébétée pendant un instant puis hocha frénétiquement la tête : tout le reste elle pouvait, elle devait le garder en elle pour honorer la mémoire de son demi-frère, mais elle ne pourrait supporter de garder...ceci dans sa tête toute sa vie. Alors la kunoichi exécuta quelques passes devant ses yeux et elle s'endormit...

Nindô
« Je veux atteindre le maximum de mes capacités pour faire honneur à mon demi-frère, parti trop tôt dans ce clan de femmes… »

Caractère

Okuni possède ce qu’on pourrait appeler « l’émotion à retardement », généralement elle est si concentrée sur ce qu’elle est en train de faire ou ce qu’elle a accomplir qu’elle laisse ses sentiments de côtés et elle en subit un contrecoup impressionnant quand elle a le temps de ralentir un peu et de réfléchir. C’est pour cette raison qu’elle paraît à certain froide et insensible même si au fond ça n’est pas du tout le cas.
Elle donne très facilement son amitié à quelqu’un, il suffit de peu pour s’en faire une amie, car elle est joyeuse et expansive quand il ne s’agit pas d’entraînement. Elle adore faire de nouvelles rencontres, bonnes ou mauvaises, cela lui donne l’impression de s’enrichir spirituellement, d’acquérir une connaissance supplémentaire sur l’être humain. L’étudiante possède une envie dévorante d’apprendre, c’est pour cette raison qu’elle refuse rarement d’obéir à un supérieur ou à n’importe qui lui enseignant une chose nouvelle, même si l’injonction est peu réalisable ou peut la mettre en danger. Cette membre du clan Yashamaru montre toujours un très profond respect à l’égard de ces « professeurs », si injustes ou horribles soit-ils, à partir du moment où ils savent plus de choses qu’elle.
Derrière cette joie de vivre et cette envie de progresser se cachent le doute et la douleur, un vide de sa personnalité qu’elle ne pourra jamais effacer complètement. Le doute l’étreint souvent quand elle réfléchit en profondeur , doute de n’avoir pas fait les bons choix, doute de n’avoir pas suivi la bonne voie/voix, d’avoir gâché sa vie d’avance…La peur s’invite à tout instant, c’est la peur de la défaite et de l’échec, la terreur de déshonorer la mémoire de son frère …C’est ainsi que parfois le chaos règne de la tête d’Okuni, des instants où elle est complètement désorientée, de s secondes d’éternité où elle n’a plus aucun repère, où elle se sent envahie par le désespoir. Heureusement, cela n’arrive pas trop fréquemment.

Qualités
Cette jeune étudiante est studieuse, radieuse et polie. Elle est également très sociable.

Défauts
Okuni a tendance à ne rien révéler de son passé ou des sombres sentiments à personne, même pas à ses amis, ce qui créé une sorte de gouffre infranchissable entre eux.
Quand elle n'arrive pas à réaliser une technique elle se focalise dessus, cela pourrait être une qualité, mais généralement elle devient obsédée par cette technique et ne peut plus penser à autre chose.

Ce qu'elle aime
Manger des manjû, apprendre, le printemps et l’été où elle peut s’habiller légèrement, apprendre, discuter avec les amis, boire quand elle a soif après l’effort, apprendre, faire les choses rapidement et…apprendre aussi, j’ai failli l’oublier.

[*] Ce qu'il elle (marre des mysogines non mais :lol:) deteste
Déprimer, ne rien pouvoir faire, ne rien apprendre, devoir attendre sauf si c’est pour pouvoir progresse ensuite, se disputer avec ses amis, les gens sans aucun états d’âmes, qu’on manque de respect aux garçons Yashamaru.
Dernière modification par Okuni Yashamaru le sam. 28 janv. 2006, 19:39, modifié 8 fois.
Okuni Yashamaru, étudiante blonde et joyeuse (quoi pas pour longtemps ?) à Iwagakure no Sato

HORS LIGNE POUR UN LONG MOMENT :(...
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Hyodo Hyakujuunoou
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Message par Hyodo Hyakujuunoou »

J'aime. Je dis oui. Bienvenue :)


Edit : juste un truc l'avatar en gif animé je pense ... que tu peux pas : p
Dernière modification par Hyodo Hyakujuunoou le sam. 21 janv. 2006, 1:17, modifié 1 fois.
Karasu Satsubatsu Hana
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Message par Karasu Satsubatsu Hana »

Yashamaru, non ?


Je lirai demain ;-) mais bienvenue au pays des ogres et des p'tits cailloux.


En espérant que tu passes de bons moments à bord de l'appareil de la NNS Airline.^^
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Message par Haki Tokinoki »

Euh, on pourrait avoir un arbre généalogique ? :D

J'ai l'impression des fois que Orihime est la mère de Okuni, et ensuite c'est Chihiro... (ou alors j'ai pas compris toute l'histoire ^^)

-- Edit -->
Donc, quand Orihime rouvrit les yeux,

[...]

Chihiro cligna des yeux pour essayer d'apercevoir qui lui parlait [...]
Erreur de ma part ou de personnage ? ^^ <
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Message par Onihiwa Seika »

Manque d'aération... c'est pour me faire croire que c'est moins long que les autres... mais ça ne marche pas!!
Original, si tu veux encore compléter, comme je viens de le lire, j'attendrai donc que tu complètes avant de donner ma réponse...^^
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Message par Sorata Kaminari »

Bienvenue à toi Okuni^^

J'ai lu ta bio, j'aime bien et tu sais combien je suis difficile! Et oui, en effet, je connais cette personne, et je lui est moi même indiqué ce super forum RP ( pour l'argent, on s'arrangera après Hyodo :P )

Non vraiment, il est très acharné dans ce qu'il fait et il sera un bon RPlayeur, je n'en doute pas une seconde.

Encore bienvenue dans le joli village envahi de bandits, ne fais pas attention au feux de joie, c'est pas important :P
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Message par Okuni Yashamaru »

Bon j'ai corrigé les noms qui étaient en effet pour le moins confus :oops: , j'ai changé mon avatar et j'ai changé Yashamura en Yashamaru, j'ai posté la suite et j'ai aéré un peu (trop même je crois :lol:) Donc voilà, c'est fini ! Re-donnez moi vos avis svp :wink: !

Bon...petit bonus :lol: pour ceux qui veulent se détendre, ma bio version Débilitron est maintenant accessible, préparez-vous par contre parce que c'est... :lol: .


(Psst Sorata...efficace ZE techenique :wink: ?)
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Message par Païku & Pika »

Ahhhh, une amtrice du débilitron, très bon ça ! Je t'aime déjà ! ^^
je te dit ce que j'en pense... bientôt !
Les Chunins (d'Iwa) les plus jeunes de l'histoire !
Nintendo : "Ouais, j'voudrais trop en avoir une, mais ma maman elle veut pas !"
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Message par Haki Tokinoki »

Eviter le débilitron, on tombe sur cette phrase, notamment, qui fait perdre toute la crédibilité de ton personnage :
(elle ne veut plus parler ou penser à son ancienne famille, ni donc à son anus)
^^
» Iwa no Toki

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Message par Païku & Pika »

Une présentation d'une rare qualité. je dis oui ! ^^
J'attends une collègue, et c'est confirmé, tu nous rejoins.
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Message par HikariRyu Saïto »

Idem pour moi, c'est très bien, sauf que c'est le clan YashamArU, et pas YashamUrA.

Corrige donc cela, car j'ai l'impression que tu as confondu !

Hey dites : regarde deux messages au dessus... :roll: :wink:

Edit du Vieux : je suis vieux mais pas miro ::x: Seul le titre est bon. Il y a encore des Yashamura dans l'histoire.

Hey dites deux de P² : :lol:
HikariRyu Saïto, chuunin de Takigakure No Sato "invité" à Iwagakure No Sato .

Un étudiant dépressif est un étudiant calme.
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Okuni Yashamaru
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Message par Okuni Yashamaru »

Voili voilo, j'ai corrigé tous les Yashamura que j'ai vus, les fautes de frappes et les tournures de phrases bizarres également, j'espère que c'est convenable maintenant ^_^. Ah sinon, HikariRyu Saïto je te remercie de m'avoir prévenu pour le nom du clan !

Note à Païku et Pika : je suis un amateur et pas une amitrice du débilitron eh oui :lol: , ça me parait intéressant de jouer quelqu'un du sexe opposé et surtout j'adore le clan Yashamaru et apparemment y'a plus de filles, comme il y avait déja un garçon/fille lol Yashamaru, je me suis dit que ça en serait pas sérieux si on était deux garçons représentant d'un clan de filles :wink: . Donc voilà ^^.
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Message par Nekozaka Tsukiyo »

Bonjour et bienvenue sur NNS ^__^


OK pour moi, je te mets les accès dans la minute.


En espérant que tu te plaises au pays des chtits cailloux.
Nekozaka Tsukiyo, Jounin d'Iwagakure no Sato

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