Fazeru Erian

Pour les présentations des gens portés disparus

Modérateurs : Leolio Mimura, Musashi Akaito, Miyu Renraku

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Fazeru Erian
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Fazeru Erian

Message par Fazeru Erian »

Nom : Fazeru
Prénom : Erian (Le don de dieu)
Âge : 16 ans
Sexe : Mâle


Histoire :

Tout commence dans les bas fonds sordides de la banlieue de Suna, loin des merveilles édulcorées et des sucreries que l’on offre aux enfants, dans le monde impitoyable de la nuit, vous prenant en son sein pour ne plus jamais vous libérer. L’histoire commença donc par May, fleur du désert prostituée appartenant au plus terrible des assassins et des chefs de l’ombre, maître incontesté des bas fonds et des ruelles sombres : Le boucher ; marchandises vendue au prix fort la jeune femme appartenait depuis sa plus tendre enfance au Boucher. Refugiée d’Ame No Kuni la jeune femme avait quitté son pays en échange d’une vie de prostitution et d’assujettissement hégémonique.

Aussi belle que le désert au soleil couchant, véritable lever de soleil sur une mer placide May était une jeune femme aussi belle que l’astre lunaire. Prisonnière de son carcan craignant plus que tout le Boucher sa vie se résumait aux exigences de ses maîtres et de ses clients, son histoire était banale dans les rues des bas fonds, elle n’était qu’une victime de plus dans cette guerre, une victime devant laquelle on fermait les yeux, et derrière laquelle on payait ses vices au meilleur prix.

May officiait dans le Palazzo une maison close réputée pour la qualité de ses marchandises, elle était la pierre précieuse la plus pure pour son propriétaire, jeune et belle, la poitrine généreuse, les jambes fuselées et une grâce incomparable ses services se vendaient à prix d’or et on murmurait que le Boucher lui-même était amoureux de son bien et veillait jalousement sur elle, on avait déjà retrouvé des cadavres dérivants dans le fleuve qui bordait la ville pour s’être mal conduit avec la fleur du désert. Le temps mourait inexorablement et c’est à l’âge de dix neuf ans que tout bascula pour May.

Au cours d’une nuit sans lune la jeune compagne allongée dans le grand lit de sa mansarde en compagnie d’un de ses clients il arriva la pire chose pour une fille dans sa situation. Son amant était terriblement beau, riche marchand luxurieux c’était un accoutumé du Palazzo et on l’appelait par son prénom. Involontairement il fit un enfant à May. Les premiers mois cela passa inaperçu mais les jours se transformant en mois, le Boucher finit par se rendre compte de la grossesse de son bien. Furieux il fit tout pour retrouver le misérable ayant osé enfanter May. Le Boucher avait le bras long et il ne fallut pas longtemps pour retrouver le marchand que l’on retrouva mort au milieu du désert quelques semaines plus tard, May fut battue, frappé presque jusqu'à la mort.

Les hommes de mains de son maître tentèrent d’éliminer l’enfant à grands coups de pieds dans le vente de la femme, mais rien y fit, l’enfant se battait pour sa vie avec un acharnement tel que toutes les sévices qu’on infligea à May n’eurent pas d’effets. Et vint alors le moment où May perdit les eaux. Le travail fut horriblement long et pénible et May expira son dernier souffle pour mettre au monde sa progéniture.

Le Boucher avait assisté impuissant à la perte de sa meilleure prostituée mais la colère laissa place à un autre sentiment en voyant l’enfant. Sourire carnassier, lèvres qui s’étirent, il avait fait travailler la mère, il ferait travailler l’enfant. L’enfant avait hérité des traits de sa mère. Le Boucher fit placer Fazeru (nom qu’il lui donna) à une nourrice nichée dans un endroit sûr à l’écart du Palazzo, l’enfant pourrait y grandir à son aise en attendant le moment où il pourrait à son tour, digne successeur de sa mère recevoir ses premiers clients. Fazeru passa donc les premières années de sa vie chez cette nourrice, il ne recevait pas d’amour, juste une indifférence à peine saupoudrée de gentillesse, il ne connut pas la présence rassurante de l’être cher, ni l’amour et le jeu. Petit à petit les années défilaient, le Boucher avait donné ses ordres, au Palazzo on ne formait pas de simples objets de désirs sexuels, les prostitués étaient instruits, on leur apprenait à lire, à écrire à compter, on formait des courtisans et des courtisanes de luxe enclins à offrir pas uniquement de vulgaires putains.

Aussi Fazeru apprit à lire, à écrire, à compter et les instructions classiques offertes à un jeune garçon de son âge. C’était un garçon curieux, ouvert d’esprit, il possédait une soif inépuisable d’apprendre. Mais ce fallacieux allait bonheur allait bien vite voir la fin. Il fut rappelé au Palazzo à l’âge de 8 ans par le Boucher qui voyait en lui une nouvelle source intarissable de profit, le garçon possédait des traits d’androgynes, semblait plier sous le vent de sable, ses traits graciles et son corps d’angelot allait rendre riche son propriétaire et permettre à ses clients de payer leurs péchés sans craindre l’enfer. Son travail lui fut expliqué, oiseau en cage dorée rêvant de s’envoler. A huit ans il s’offrait aux clients du Palazzo, la peur dictant son quotidien, les rêves brisés à jamais.

Chaque nuit se répétaient inlassablement apportant en son sein de nouveaux cauchemars, de nouvelles horreurs pleinement assumées, réduites au silence par l’argent. Le Boucher était un maître impitoyable, Fazeru en avait une peur maladive. Les solides corrections, le conditionnement, l’habitude et la malléabilité de la jeunesse rendirent le travail plus simple. Il tenta de s’enfuir et de quitter la Palazzo mais une bastonnade impitoyablement administré lui rappela où était sa place, ou allait son destin. Sa seule liberté était d’accéder à la bibliothèque du Palazzo où il passait son temps libre, se passionnant pour les histoires de ninjas qu’il pouvait y lire, pour les récits d’aventures épiques et de victoires triomphale, c’était là sa seule liberté, l’unique moyen de s’échapper de cette mansarde noire où il revêtait son masque de poupée chiffonnée, répondant au bon vouloir de ses clients.

Il vivait en autarcie, ne posait à vrai dire que peu de questions, quelques brides d’images réinventées lui revenait quelque fois, quelques espoirs implacablement avortés par la réalité. Les livres où existaient familles, amis, proches n’étaient pour lui que des abstractions, la seule présence maternelle qu’il détenait se trouvait dans les autres courtisanes qui lui apportaient à leur façon un lien indispensable, les filles étaient libres de sortir du Palazzo elles lui rapportaient souvent des bonbons, ou des livres, nuage de bonheur. Deux années passèrent et Fazeru avait à présent onze ans, les premières ailes de la liberté poussaient sur son dos zébré par le fouet, surtout quand le Boucher lui donna l’autorisation de sortir du Palazzo, que de toute façon il ne pourrait pas fuir, les zébrures de fouet sur son dos lui rappelant à chaque instant qu’il était un objet, un produit de consommation.

A jamais. Le jeune garçon explorait donc les quartiers chauds et les bas fonds, se sachant en sécurité même la nuit, le Boucher était omniprésent et chacun connaissaient le sort si on osait toucher à son joyau enfantin. Il déambulait se rêvant ninja à protéger sa famille, son pays, son village. Les shinobis de Suna évitaient en règle générale le quartier du Palazzo, fermant les yeux sur les horreurs indistinctes qui se déroulaient dans cet autel de la luxure. Les gens ici étaient pauvres, malades, en marge du reste du pays.

Fazeru avait développé avec le temps une indifférence la plus totale aux douleurs des autres, aux douleurs du monde qui l’entourait. Une désinvolture à toutes épreuves. La peine était un concept presque inexistant pour lui. De même que la peur, de quoi avoir peur quand l’on n’a rien à perdre ? Que craindre ? Savoir que si l’on venait à disparaître ne pleureraient que les clients dont la couche serait vide. Objet de désir.

Fazeru rêvait de liberté, de lui aussi connaître un ami, d’avoir peur quand celui-ci serait en danger, d’affronter tous les dangers au mépris de sa propre vie, de se sacrifier. Pour lui. De se sentir protéger. Même si la barrière le séparant des autres étaient aussi haute que le ciel. A vrai dire croyait-il sincèrement à ce rêve ?

A douze ans, et malgré le Boucher Fazeru prit sa décision, il devait fuir, il ignorait si la réalité en dehors était plus belle, mais cette vie inconnue l’excitait, faisait battre son cœur et vibrer son âme. Aussi il disparut du Palazzo du jour au lendemain, courant, se cachant, sans cesse en alerte, se dissimulant comme les shinobis. Il traversa deux villages, et finit par trouver refuge dans une maison abandonnée dans un village à moitié détruit. Il poussa la porte d’une maison délabrée, il comptait y passer la nuit. Fazeru était affamé, depuis trois jours qu’il s’était enfui il menait une vie de bohème, mangeant quand cela était possible, dormant où il le pouvait.

La maison était silencieuse, pas un bruit ne vint troubler le sommeil du garçon, ou tout du moins jusqu'à ce que. Le fer froid d’un kunai sur sa gorge le réveilla, il était tenu en joue par un très vieil homme, marchant avec une canne, le vieillard voyant qu’il s’agissait d’un enfant baissa l’arme. Il s’appelait Saito, c’était un shinobis, très vieux et blessé il avait été déserté son village, était rechercher et se cachait ici. Deux fugitifs, sans attaches. Sans but. Sans autres espoirs que de voir le soleil se lever le jour suivant. Ils parlèrent longtemps, pour Fazeru c’était une première, un homme ne cherchant pas à jouir de lui ni à le battre c’était inédit ou presque.

On ne peut pas dire qu’il se lia d’amitié avec le vieil homme, bien que cherchant ce concept, il n’y parvient pas, par méfiance, par nonchalance et désintéressement, il resta finalement plusieurs jours en compagnie du shinobis, s’ouvrant petit à petit à lui il refusa toujours pourtant de parler de pourquoi il était en fuite. En revanche ils arrivèrent à parler de ninjas et de missions, Saito alors que la nuit était tombé et après un frugal repas racontaient ses aventures à Fazeru qui buvait ses paroles, il lui expliqua le chakra, les combats, les coutumes de shinobis et bien d’autres choses encore.

Une semaine passa et Fazeru s’ouvrait de plus en plus au sage Saito qui l’écoutait, ne le jugeait pas, le réconfortait, un ami en quelque sorte, dans le sens le plus primaire, ils créèrent des liens, Saito n’était plus un inconnu pour Fazeru, Fazeru n’était plus un orphelin, mais un être unique au monde, un petit malmené par la vie qu’il fallait soutenir et blottir sous son aile. Le bonheur ressemblait donc il à cela ? Etait-ce ça que les hommes appelaient les sentiments ? Petit à petit Fazeru se mit à changer, aidé à présent par son inaltérable ami. Par sa douceur et sa bienveillance contrastant tellement avec les rapports qu’ils avaient au Palazzo. Saito avait laissé tomber son village, par peur, pas faiblesse et par honte de pas avoir réussit à protéger son fils, prisonnier par l’ennemi il avait envoyé deux ninjas à la mort pour essayer de le récupérer. Il n’avait pas été capable de protéger son fils.

Un mois passa.

Mais le bonheur ne dure jamais et un hasardeux coup du destin renversa le château de carte si merveilleusement en équilibré. Le Boucher n’avait pas cessé les recherches, fou de rage il nourrissait une colère folle et les recherches finirent par déboucher sur un petit village abandonné ou ses hommes de mains avaient repérer une personne dont le signalement ressemblait à l’enfant volé.

Et c’est alors qu’il était sortir qu’un coup de matraque et un sac sur la tête mirent fin à l’idylle presque parfaite de Fazeru qui fut ramener à l’univers ténébreux du Palazzo. Le Boucher le passa à tabac avec violence, membres brisés, coups de pieds, fouets, privations Fazeru paya cher ses aspirations à la liberté. Il fut si blessé qu’il du rester en convalescence un mois, avant que le Boucher ne lui fisse pas reprendre son travail, sous bonne garde. Le rêve à nouveau brisé Fazeru se mit en tête d’oublier ses espoirs et son « ami » garder en tête les souvenirs du passé le rendrait malheureux, le rendrait fou. Une nouvelle année passa vide de sens.

Fazeru dans la bibliothèque reproduisait les signes pour malaxer, le chakra ne pouvant finalement se résoudre à cet espoir de ninja. Se brûlant les ailes. Et le jeune grandissait, ses charmes avec lui. Il avait de nouveau l’autorisation de sortir et il se mit à dompter la rue, à apprendre de celle-ci, autodidacte n’ayant peur de rien. Son espoir de vie de shinobi lui donnait des ailes, le transportant à l’apogée.

Pour revenir dans sa mansarde où de nouveau il offrait son corps à qui le paierait, la lame du Boucher et son fouet le rappelant à l’ordre et lui gravant dans sa chair d’enfant malheureux qu’il lui appartenait à tout jamais. Les punitions se faisaient plus nombreuses et plus violentes, le Boucher craignant une nouvelle évasion.

Il est dit que la roue de la destinée toujours finit par tourner…

Il faisait noir, il était tard, tout était leste, Fazeru dormait sur sa couche seul pour une fois, épuisé. Il dormait au deuxième étage tandis que le Boucher logeait au premier. Les bruits de pas des gardes faisaient leur ronde résonnaient sur le plancher antique de la bâtisse, quand tout à coup un cri étouffé par une main se fit entendre. Une ombre vive se faufila à travers les étages, avec une furtivité à toutes épreuves les gardes furent assommés, et finalement une main ouvrit la porte de la chambre du Boucher. Saito venait d’entrer au Palazzo et entra dans la chambre noire.

Ainsi j’habille ma vilénie toute nue avec de vieux santons volés aux livres sacrés. Ais-je l’air d’un saint lorsque je fais au mieux le diable ? (Faust tome IV)

Le vieil homme lança un kunai en direction du lit, mais le Boucher était un adversaire de ressource, il n’était pas un ninja et ne possédait pas la technique mais celle-ci était compensée par une puissance de frappe digne d’un maître de taijustu et une rage folle forgée par des années de haine. Un combat sans merci s’engagea entre les deux hommes, renversant tout dans la chambre dans un fracas épouvantable.

Fazeru se réveilla en sursaut et descendit quatre à quatre les marches en direction de la source du bruit. La porte était ouverte et le Boucher gisait au sol la nuque brisée. Assit sur une chaise Saito se tenait la poitrine d’où s’écoulait une gerbe de sang. La bataille avait été serrée.

Fazeru se précipita aux côté de son ami et l’allongea sur le lit. La blessure était béante. Saito partit en paix, mais avant son dernier souffle il tira une lettre de sa poche qu’il déposa dans la main de Fazeru. Il expira une dernière fois et rejoignit le ciel. Il ne pleura pas, le regard indifférent Fazeru se contenta de fermer les yeux du vieil homme et s’assit à ses côtés ouvrant la lettre.

Cher Fazeru si tu lis cette lettre c’est que mon âme n’est plus, la destinée d’un homme n’est pas écrite, il n’y a de choix que ce que nous faisons, je suis désolé d’avoir mit si longtemps à te retrouver, j’ai remué ciel et terre quand j’ai appris ton enlèvement, ne me demande pas pourquoi j’ai fait cela, à vrai dire je l’ignore moi-même, les shinobis sont des êtres qui ne doivent pas montrer leurs sentiments, doivent rester froid face à la mort. Mais je n’ai jamais pu m’y résoudre, je tiens à te remercier car avec ton histoire tu m’as ouvert les yeux, tu m’as fait comprendre de ton jeune âge que l’espoir était une bataille que l'on se devait de gagner, en perdant mon fils j’ai perdu cet espoir et j’ai fui, face à mes responsabilités, face à ceux qui comptaient pour moi parcque j’avais perdu cet espoir, il s’était envolé et tu l’as ravivé, j’ai perdu un fils je ne pouvais me résoudre à en perdre un autre.

J’ai contacté d’anciens amis, rejoins Hanzu Erian à Suna il te protégera et t’hébergera, tu es un oiseau dans une cage dorée dont les ailes avaient été coupées, aujourd’hui tu dois t’envoler et croire, avoir cet espoir que nous chérissons tant. Tu iras à l’académie ninja de Suna et tu deviendras un ninja, toute ma vie j’ai été un lâche et un salaud. C’est la première fois que je fais quelque chose sans rien attendre en retour, ça fait du bien, ça fait du bien. Ah si j’attend au final quelque chose en retour : Réalise ton rêve, ne te retournes pas et surtout garde le toujours auprès de toi : L’espoir.

Sans se retourner, il ramassa sa valise, quinze ans qui se résumaient en une valise, et partir pour Suna.

Nindô : Espoir

Physique :

Fazeru est plutôt maigre pour son âge. Semblant parfois plier sous le poids du vent. C’est un être très fin qui respire la pureté et la fragilité. Tout son corps semble faible à l’exception de ses prunelles d’un bleu pareil à celui d’une nuit crépusculaire, ils sont le reflet de son âme. C’est un ange déchu aux allures de Séraphin, sa chevelure d’ébène tombant sur ses yeux dans une grande crinière faisant de lui l’avatar même de la grâce.

Il semble vraiment frêle, son corps est en revanche endurci souvenirs des corrections reçues, on voit encore de grandes cicatrices sur son dos témoignages du passé. Il possède des traits androgynes d’éphèbes et est loin de posséder la virilité de beaucoup de garçons de son âge. On peut sans trop prendre de risques dire que Fazeru à un charme peu commun et une attitude provocante, une sorte de nonchalance à peine feinte, sa démarche est féline assurée. Il porte de manière générale des vêtements clairs contrastants avec ses yeux. Il ne porte aucun bijou. Son regard évoque un lever de soleil sur une mer maladive, à la frontière entre la minceur et la maigreur, Fazeru reste quelqu’un de longiligne qui ne passe vraiment pas inaperçu déclenche le mystère et la curiosité. Il est très agile et souple.

Caractère :

Fazeru est quelqu’un de mystérieux et d’énigmatique, il contribue d’ailleurs grandement à entretenir ce mystère et ce cercle de mystères autours de lui, assez peu loquace, il préfère rester en retrait et observer les chose, il a une confiance en lui totale et ne se laisse que rarement impressionner, garçon taciturne et renfermé obtenir sa confiance relève d’un tour de force, Fazeru est indifférent et semble désintéressé par rapport au monde qui l’entoure, désabusé il ne croit en rien ou presque, son visage exprime très clairement un détachement total, il ne s’intéresse pas aux problèmes des autres mais ne les rejette pas non plus, son éducation très différente des autres fait de lui un être marginal et à part que l’on comprend parfois assez difficilement.

Il possède malgré ça un certain charisme et un sens de la répartie habile. On ne sait pas ce qu’il pense, nul ne connait ses ambitions, ses peurs ou son histoire, c’est un jeune homme très secret. Il est nonchalant et flegmatique. Il ne comprend pas toutes les subtilités des relations avec les gens qui sont tellement différentes de celle qu’il a eue, d’une grande maturité il possède un recul et une patience inégalée. L’innocence n’existe pas en lui, il connait la luxure, le sexe et l’argent, la candeur lui est étrangère.

Enfin il ne se lie pas facilement d’amitié ayant énormément de mal avec ce concept. En somme c’est un être indéchiffrable ne semblait avoir d’intérêts et d’ambitions pour rien Désabusé. ... Il souffre au fond mais n’en laisse jamais rien paraître. C’est une personne curieuse qui aime apprendre des gens, mais qui se protège pour ne plus souffrir faire taire cette douleur, cette souffrance au fond de lui qu’il avait appelé en une silencieuse oraison, il est aussi solitaire.

Il aime : Rien en particulier
Il déteste : Rien en particulier
Au chant des violons, aux flammes des bougies,
Espères-tu chasser ton cauchemar moqueur,
Et viens-tu demander au torrent des orgies
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Miyu Renraku
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Re: Fazeru Erian

Message par Miyu Renraku »

Bienvenue parmis nous ! :)

Une bio sympa et très bien écrite. Ton style développé et riche est agréable à la lecture et invite au voyage d'un personnage torturé par la Vie. ^^ Seul bémol, de légers oublis de lettres et parfois un mot répété mais rien de méchant (il fallait bien trouver un truc hein... :lol: ). J'ai passé un bon moment et te donne dés lors un des deux sésames necessaires à ton entrée dans ce monde merveilleux, sanglant, amusant, différent qu'est celui des shinobi. :D
Je te souhaite de bien t'amuser sur ce forum. :winkk:
Miyu Renraku, Jonin de Suna .

Incarnation d'une voie du Chaos , je chevauche le Vent du Renouveau .
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Hakeno Genoka
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Re: Fazeru Erian

Message par Hakeno Genoka »

Bio impressionante. Je suis pour l'admission :super: !
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Musashi Akaito
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Re: Fazeru Erian

Message par Musashi Akaito »

bio très sympa effectivement :D

je rejoints totalement Miyu sur l'ensemble et donc je t'attribue le deuxième sésame après qu'elle t'ait attribué le sien :P


je t'ai mis les axx pour Suna, tu fais donc maintenant parti du meilleur de tous les villages (sans aucun doute possible :redface: )

pour l'instant tu peux faire un premier post pour la répartition de tes points de compétences et pour ton inscription à l'académie (le topic se trouve dans la partie centre administratif ^^).

Après ça j'ai lancé un topic au début du mois pour que les nouveaux qui s'inscrivent puissent commencer a rp a proprement parler (parce que bon le topic de répartition des points de compétences on ne peut pas dire qu'on y fasse du grand rp non plus :P). Ce topic est tout simplement le dernier créé à l'académie :).

Donc tu peux déjà te lancer dans deux posts :D (le premier chronologiquement restant celui pour l'inscription avec la répartition des points de compétence ^^)


Bon rp a toi et bienvenue parmi nous :winkk:
(et en cas de soucis n'hésite pas a venir demander par mp :winkk: )
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Shimone Ayanami
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Re: Fazeru Erian

Message par Shimone Ayanami »

Musashi Akaito a écrit :(sans aucun doute possible :redface: )
Si, si :mrgreen:.
Je suis Shimone Ayanami, junin en CDI de Konoha

Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Re: Fazeru Erian

Message par Anshu Kipai »

Musashi Akaito a écrit : (sans aucun doute possible )
Fake :mrgreen:

Sinon bienvenue et très belle bio, j'ai presque laisser échapper une larme :(
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Dans un souffle, je pourrais vous tuer
Dans un gouffre, vous m'aviez enfermé
Dans une attente, je me suis libéré
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Musashi Akaito
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Re: Fazeru Erian

Message par Musashi Akaito »

la jalousie ne vous mènera à rien de bon, villages inférieurs :mrgreen:
Musashi Akaito, Jounin de Suna
Fazeru Erian
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Re: Fazeru Erian

Message par Fazeru Erian »

Bonjour à tous et merci de votre rapidité.

Content d'être sur ce forum qui m'a été chaudement recommandé :) En revanche le thread d'inscription à l'académie est fermé.
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Leolio Mimura
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Re: Fazeru Erian

Message par Leolio Mimura »

Par contre, suite aux nouvelles lois contre la cigarette, tu vas devoir changer d'avatar. En effet, le gouvernement vient tout juste de m'envoyer un mail m'informant que si tu ne retires pas la cigarette de ton avatar, je risquais 500 000 euros d'amende et 3 ans de prison. J'ai eu beau leur dire que j'étais le nouveau Kazekage, ils n'ont rien voulu entendre...
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
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Shimone Ayanami
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Re: Fazeru Erian

Message par Shimone Ayanami »

Tss, Leo t'aurais pu lui indiquer le bon topic... ah il est beau "le meilleur de tous les villages" :lol:.

C'est ici qu'il faut que tu t'inscrives ^^.
Je suis Shimone Ayanami, junin en CDI de Konoha

Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Musashi Akaito
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Re: Fazeru Erian

Message par Musashi Akaito »

c'est ce que je mettais dans mon post, le topic d'inscription est dans le centre administratif :P
Musashi Akaito, Jounin de Suna
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