Sakyuu Katsuryoku Kogata

Pour les présentations des gens portés disparus

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Sakyuu Katsuryoku
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Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Sakyuu Katsuryoku »

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Nom : Sakyuu

Prénom : Katsuryoku Kogata

活力 katsuryoku [かつりょく] vitalité / énergie
小型 kogata [こがた] de petite taille

Prénom usuel : Dépend des personnes.

Âge : 14 ans

Sexe : Féminin

Physique :
Katsuryoku est une fille plutôt petite pour son âge, et assez frêle en apparence. Mesurant à peine un mètre quarante et un pour une trentaine de kilos toute mouillée, la petite demoiselle est, il faut le reconnaître, assez loin de l’image que donnent les Sakyuu, grands et massifs combattants. Et pourtant, elle est bien une fille de ce clan à part entière, bien qu’elle ait l’air de s’y être incrustée.
De plus, pour une habitante du pays du vent, la fillette a une peau très pâle. Bien qu’elle ait déjà essayé, elle n’arrive pas à prendre le soleil et cuit plus qu’elle ne bronze. Une déception pour elle, mais qu’elle oublie bien rapidement.

Notre petite amie est, en dehors de cela, une véritable pile électrique Energizer. Il s’emblerait qu’il n’y ait aucun moyen de la fatiguer, et elle le prouve suffisamment en ne tenant pas en place plus de cinq minutes. Elle saute partout, sur tout et tout le monde, mais ne prête pas attention aux détails tels que le fait que cela puisse être dérangeant, qu’elle fasse trop de bruit, etc…
Il faut dire que rien que son physique montre son côté pile électrique. Petite comme dit précédemment, de grands yeux bleu-vert (il arrive que la teinte vire entre l’un et l’autre) pétillant d’énergie à en faire déprimer un sportif, des cheveux blonds entre courts et mi-longs, excepté pour deux mèches devant les oreilles qui tombent nettement plus bas… Tel est le portrait de la petite.
Ses traits fins lui donne un visage assez jeune au final, au point qu’elle pourrait finir par avoir l’air plus jeune que son âge réel si elle les conserve avec les années.

Côté vêtements, notre petite pile électrique possède une tenue à proprement parler adéquate pour sa manie de bouger partout. Une sorte de petite robe bleu à bandes blanches lui tombent jusqu’à mi-cuisses et recouvrent une sorte de short moulant noir a l’allure sportif et est décorée en haut par un ruban jaune noué.
Katsuryoku porte généralement des bracelets en tissu blancs, parfois agrémentés de gants d’un bleu si foncé qu’il en parait presque noir. Aux pieds, elle a généralement de petites bottes bleues et blanches à semelle métallisée la partie blanche étant elle aussi renforcée à cause de la manie de la petite Sakyuu de grimper partout.
Enfin pour finir, la pile électrique porte toujours sur la tête une protection de son cru - dit-elle - pour se protéger des assauts du soleil. Celle-ci lui tombe au milieu du dos et est maintenue tantôt par une simple bouche en métal, tantôt par son bandeau frontal.

Caractère :
Comme dit plus tôt, Katsuryoku est une véritable pile électrique. Presque constamment en pleine forme, elle est aussi surexcitée et passe son temps à bouger dans tout les sens, à quelques rares exceptions près. Les missions d’observation et les planques ne sont donc pas quelque chose pour elle, à moi que quelqu’un ne trouve de quoi l’occupe bien entendu.
Le bon côté est peut-être qu’avec tout cela, elle semble être toujours de bonne humeur, voir même incapable de ne pas avoir le moral. Mais d’un autre côté, cela peut aussi être plutôt fatiguant pour les autres si ceux-ci n’arrivent pas à suivre son rythme, surtout si elle se met à vouloir les faire entrer dans la danse.

Cependant, même du haut de ses 14 ans, Kogata semble être assez gamine sur les bords. Elle a parfois des réactions purement enfantines, pour ne pas dire puériles, et est aussi lunatique que si elle avait quelques années de moins. Il suffit par exemple de lui interdire de faire quelque chose pour la faire bouder, puis de lui offrir quelque chose pour qu’elle vous adore de nouveau. Allez la comprendre…

Toujours dans l’esprit gamin, la jeune fille a apparemment une passion pour ce qui est de donner des surnoms. Aussi longtemps que cela lui prenne, elle finit toujours par en trouver à tout le monde jusqu’à appeler les gens exclusivement de cette façon. Cela peut être tout simplement dans les tons sympathiques ou attendrissant, mais malheureusement lesdits surnoms peuvent aussi virer au ridicule ou au gênant.
On voit alors que Katsuryoku ne s’embarrasse pas des détails diplomatiques et des grandes tournures, allant plutôt droit au but, en mettant les pieds dans le plat. Pas la peine, donc, de lui demander de s’occuper d’une négociation, sauf si vous voulez déclencher un conflit, bien entendu.

Pourtant, la demoiselle est loin d’être stupide. Elle peut paraître très « jeune » dans sa tête, mais n’est pas pour autant dénuée de capacités de réflexions. Celles-ci sont d’ailleurs, étonnamment et le plus souvent, aussi développées que celles d’une autre personne, voir parfois plus. Mais ne vous y trompez pas, elles sont généralement plutôt basées sur une intuition qu’une intense réflexion. N’oublions pas, après tout, que nous parlons de Sakyuu Katsuryoku Kogata.

Malgré sa générale bonne humeur, ses coéquipiers remarqueront bien vite que cette petite demoiselle n’est pas du matin. Un réveil trop brutal, et ils auront affaire à une sorte de zombie ensommeillé susceptible capable de leur décoller nonchalamment une droite si elle est trop brusquée.
D’un autre côté, voir Katsuryoku à moitié endormit, se traîner au réveil en serrant contre elle un lapin en peluche - allez savoir d’où elle le sort aussi - peut être assez comique, comparé à la façon dont elle est en journée…

Aime :
  • Donner des surnoms
  • Le chocolat
  • Bouger
  • Les gens
  • Sa peluche
  • Le lait
  • Sauter sur les gens
N’aime pas :
  • Les gens de mauvaise humeur
  • La nourriture épicée
  • Les insectes
  • Le froid
  • Le noir complet
  • L’humour noir
  • Avoir du sable dans ses chaussures
Nindô : « Un Nindô ? C’est quoi ? Ça se mange ? »

Phrase fétiche :
Lorsque l’on lui reproche par exemple d’être stupide ou d’avoir fait une bêtise : « C’est pas de ma faute, c’est capillaire ».

Histoire :
Katsuryoku est née de deux parents Sakyuu.

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Voici son père, Sakyuu Hatoru. Un homme tout ce qu’il y a de plus normal physiquement, selon les normes de ce clan. Grand, musclé, très doué selon son propre paternel, il s’efforce également d’être un bon père et un bon mari.
C’est un homme généreux, bon vivant, mais quelque peu rongé par le souvenir de divers amis qu’il a perdus en missions. Il a d’ailleurs prit la mauvaise habitude de fumer devant leurs tombes, pour la seule raison que ses vieux amis lui disaient que cela lui donnait un côté cool.

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Et voici sa mère, Sakyuu Keiko. Elle est plus jeune que son mari et cela se voit, mais fait aussi plus jeune que son âge. Ainsi, du haut de ses 25 ans (à la naissance de sa fille), elle paraissait avoir à peine passé la majorité, détail que Hatoru ne cessait de bénir.
Depuis la naissance de sa fille, elle passe beaucoup plus de temps comme une simple femme quelconque, ne voulant pas que son enfant grandisse seul. Tout le monde autour d’elle disait qu’elle ferrait une bonne mère, et cela s’est vérifié avec Katsuryoku pour laquelle elle est une mère aimante et attentive.

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Et pour finir, voici le grand-père, Sakyuu Sanjo. Un vieil homme qui à peut-être fait son temps, mais qui n’en reste pas moins tout à fait capable d’apprendre aux jeunes prétentieux du clan qu’ils sont 50 ans trop jeunes pour espérer le battre. Mais en dehors de cela, c’est un véritable amour de grand-père pour la petite Katsuryoku. N’ayant d’autre enfant que Hatoru, et donc pas d’autres petits-enfants qu’elle, il aime faire tout son possible pour passer du temps avec elle et en profiter durant ses vieux jours.



Katsuryoku est donc née de ces deux jeunes gens, Hatoru et Keiko, au sein de la demeure familiale. Apparemment, le bébé avait décidé de ne pas laisser à sa mère le temps d’aller jusqu’à l’hôpital, voulant sortir comme ça, d’un seul coup, alors que rien ne l’avait annoncé.
C’est donc dans leur maison, en plein milieu du jardin, que la petite vit le jour après un accouchement éprouvant, mais plutôt rapide. Alors présent, le grand-père du nouveau né fit d’ailleurs une remarque comme quoi elle avait l’air pressée de sortir.

Pourtant, l’arrivée de leur enfant ne changea pas tellement les habitudes du couple. Bien que, comme depuis le début de sa grossesse, Keiko fut plus souvent à la maison, Hatoru continuait de travailler aussi dur qu’avant. D’un autre côté, la petite famille ne roulait pas sur l’or, et avec leur petite fille en plus, le jeune père ne voulait pas risquer de finir avec des problèmes d’argent. Ce qu’il voulait, c’était que leur fille grandisse dans les meilleures conditions qu’il puisse lui offrir.
Le grand-père n’était pas en reste, d’ailleurs. Ave la soudaine naissance, il s’était installé ave son fils et sa belle-fille afin d’aider celle-ci au quotidien et pour pouvoir profiter de sa petite-fille.

Katsuryoku grandit dans cette ambiance, éduquée par sa mère et son grand-père, s’habit à la présence plus ou moins fréquente d’un père souvent prit par ses missions. Néanmoins, la petite famille semblait pour ainsi dire nager dans le bonheur.
Assez tôt, la fillette commença à s’intéresser aux entraînements des membres du clan. Fier, son grand-père se mit progressivement à l’emmener assister à quelques sessions, lui expliquant pas à pas ce qu’ils faisaient, comme s’il anticipait déjà sa propre formation. Avec de grands yeux émerveillés, l’enfant regardait les adultes s’exercer en se demandant quand est-ce qu’elle pourrait faire pareil.
D’ailleurs, ce fut à la même époque que Katsuryoku commença à amuser ses parents en voulant refaire ce qu’elle avait vu, puisque le manque d’habitude et d’entraînement ne lui permettait que de tomber. Cependant, elle continuait, se relevait, et réessayait san cesse. Il était presque plus difficile de la faire d’arrêter que de lui faire manger quelque chose qu’elle n’aimait pas.
C’est durant cette période que la petite confirma son incapacité à rester en place. Pas vraiment de l’hyperactivité pour autant, elle arrivait à rester tranquille quand il le fallait vraiment, mais dés qu’elle avait l’opportunité de se dépenser, elle bougeait dans tout les sens, enchaînant les diverses acrobaties qui la faisaient généralement finir par terre.

Peu de temps plus tard, vers les 8 ans compte tenu de son énergie débordante, le grand-père de Katsuryoku entama son entraînement. Il la jugeait alors assez énergique et habituée à sauter partout pour en supporter au moins les bases.
Et il se révéla qu’il avait totalement raison. À la fin des premières leçons, les plus simples et les moins épuisantes, la petite allait jusqu’à en redemander et, si son grand-père refusait, à refaire devant lui ce qu’elle venait d’apprendre, simplement pour lui prouver qu’elle avait bien comprit et qu’elle était prête pour la suite. C’était en riant aux éclats que le vieil homme finissait par craquer, aimant trop son unique petite fille pour lui refuser ce plaisir.
Et d’un autre côté, lui aussi trouvait plaisant son intérêt pour les leçons.

Les jours défilaient et le même schéma se répétait. Pensant chaque fois réveiller Katsuryoku, son grand-père avait la surprise de la trouver déjà levée, même si l’humeur n’y était pas, la petite n’étant pas tellement du matin. Cependant, après un petit temps d’adaptation, un petit déjeuner et quelques instants de marche jusqu’au dojo, la fillette était prête et impatiente de commencer.
Occasionnellement, sa mère venait assister aux leçons de son beau-père, observant les progrès de sa fille. Bien qu’un peu protectrice, et donc un peu anxieuse quant aux blessures que la petite pouvait se faire, elle n’en restait pas moins admirative devant l’énergie qu’elle mettait à réaliser ce que son grand-père lui montrait, aussi dur que cela puisse paraître.

Tout sembla immuable durant longtemps. Durant cinq ans, en fait. Et ce n’est qu’après ces cinq années que quelque chose changea.
Katsuryoku était alors entrée à l’Académie depuis quelques temps, mais prenait toujours aussi à cœur les leçons de Sanjo. Dés les cours finis, elle s’empressait de rentrer pour enfin poursuivre son apprentissage. Elle voulait toujours en apprendre plus, pour pouvoir montrer aux autres élèves de l’Académie ce qu’elle savait faire.
Occasionnellement, elle se servait même de ce qu’elle avait apprit sur des gens. Oui, sur des gens bien vivants. En fait, c’était généralement certains de ses camarades qui lui demandaient un coup de main pour calmer des enfants plus grands et moins scrupuleux, le genre à échanger des coups contre l’argent de leur victime. Et presque à chaque fois, elle ne manquait pas de vanter les mérites de san grand-père, disant que c’était grâce à lui qu’elle pouvait être aussi forte.
Et ceux sans même se rappeller qu’il valait mieux qu’elle évite de trop en faire. Sanjo se faisait tout de même vieux, et les démonstrations durant les leçons se faisaient de plus en plus rare. Sa vie arrivait lentement à sa fin, mais sa petite-fille ne pouvait s’empêcher de continuer… Comme elle le faisait depuis cinq ans déjà…
Et elle finit par regretter de toujours vanter ses mérites.

Un jour, l’un des garçons dont elle interrompait souvent les plans d’enrichissement vint voir Katsuryoku. Il avait l’air particulièrement fier de lui et arborait un visage victorieux, comme s’il venait de vaincre un ninja supérieur en duel. La jeune fille, ne comprenant pas ce qu’il voulait réellement, cru que ce qu’il cherchait était se venger. Elle lui aurait d’ailleurs volontiers donné des coups s’il ne s’était pas expliqué immédiatement.

« Pas si fort que ça ton grand-père ! Un p’tit pétard et il s’évanouit ! Aha quelle nul ! »

Un frisson remonta le long du dos de la Sakyuu. Si elle ne se trompait pas, à cette heure, son grand-père faisait généralement une longue séance de méditation, se reposant sur le fait qu’il était normalement quasi impossible de s’infiltrer chez les Sakyuu pour ne pas être dérangé. Ainsi, il pouvait se plonger si profond dans sa méditation qu’il ne parvenait plus à sentir venir les choses, pouvant être surprit par n’importe quoi.
Mais il se faisait vieux, et son corps était plus fragile qu’avant.

Prise de peur, Katsuryoku partie en trombe vers chez elle, courant à travers les rues. Quelque chose l’inquiétait énormément depuis qu’elle avait remarqué que l’âge rattrapait celui qui avait passé des années à s’occuper de son entraînement. Et l’air triomphal du gamin n’avait rien pour la rassurer, au contraire.
Arrivant chez elle, elle dépassa plusieurs personnes sans même les remarquer et fonça directement au dojo que son grand-père avait l’habitude d’utiliser. Personne n’était entré, apparemment, et comme le bâtiment était un peu à l’écart cela n’avait rien d’étonnant. La jeune fille appela plusieurs fois, sans réponse.

Quand finalement elle se décida à ouvrir la porte, elle constata que le vieil homme était allongé sur le sol, inerte, une main posé sur sa poitrine. Les larmes lui montèrent aux yeux tandis que Katsuryoku fit un pas en avant, puis un autre, puis un autre, et ainsi de suite, s’approchant lentement.
Mais s’avancer vers son grand-père était pour elle comme s’approcher de la douloureuse vérité, vérité devant laquelle elle tomba à genoux pour la secouer, espérant la faire disparaître au profit d’une plus heureuse.
Mais rien n’y faisait, le vieil homme ne se réveillait pas.

Les cris et les pleurs de la jeune fille parvinrent à d’autres Sakyuu qui ne mirent pas longtemps à arriver pour trouver Katsuryoku couchée sur le vieil homme, pleurant toutes les larmes de son corps.
Un medic-nin du clan diagnostiqua que Sanjo avait été victime d’une crise cardiaque, probablement en raison d’un bruit trop violent et trop soudain alors qu’il était en pleine méditation. Les restes du pétard furent bien entendu trouvés, bien que par hasard, et la petite fille du défunt parla de la vantardise du gamin, qui eut des ennuis et fut renvoyé de l’Académie.
Les funérailles eurent lien quelques jours après la mort de Sanjo, mais Katsuryoku ne s’y rendit pas. Elle avait été extrêmement proche de son grand-père et ne trouvait pas la force d’aller à l’enterrement ou de se rendre sur sa tombe, restant autant que possible à l’écart.

Et cela resta comme cela durant les années qui suivirent.

Bien que déprimée les premiers temps, la jeune fille finit par tourner la page et retrouver sa joie de vivre habituelle. Au final, après cette période normale de déprime, la pile électrique fut de retour, plus énergique que jamais, comme si la vitalité qu’elle avait économisée en déprimant avait besoin d’être écoulée.

Katsuryoku récupéra juste à temps pour l’examen Genin, auquel elle participa bien entendu.
L’examen se composa de deux parties. La première était un test écrit, composé de questions aussi bien théoriques que simplement pour connaître la vision des participant sur la voie qu’ils avaient choisit. La jeune fille eut du mal sur cette partie, n’étant pas vraiment douée pour les grandes réflexions stratégiques et ayant du mal à exprimer clairement à l’écrit sa vision de ce que représentait d’être un shinobi.
Elle rata véritablement cette partie, que fut relativement catastrophique niveau notation.

La seconde partie était une sorte de course d’obstacle, agrémentée de quelques passages ressemblant à des énigmes. Le but était, ici, de tester les capacités physiques des prétendants au grade de Genin. Même si Katsuryoku arriva nettement plus facilement à terminer cette partie, son manque de finesse - puisqu’elle détruisit un bon quart des obstacles qu’elle croisa pour pouvoir passer - et le temps qu’elle mit à résoudre certaines énigmes lui coûtèrent des points.

Au final, la jeune Sakyuu ne parvint pas à réussir l’examen et resta une simple étudiante.

Quelque peu déçue, son enthousiasme n’en fut pas entamé pour autant. Elle se plaisait alors à dire qu’elle réussirait la prochaine fois, peut-être. Une année supplémentaire commença donc, sous la tutelle du même instructeur. Cependant, cette année là, il décida de changer un peu la donne et fit des demandes pour quelques cours en plein air, hors des remparts, mais en restant à proximité du village.
Les élèves furent tous très enthousiastes lorsqu’ils apprirent que cela avait été accepté. Après un temps de planification, la première sortie eut lieu. Pour des raisons de sécurité, un autre gradé, plus habitué aux conditions extérieurs, fut affecté à la surveillance et la défense du petit cortège. Cet homme s’appelait Akaito Musashi.

La majeure partie des plus jeunes étudiants était intimidée par son aspect, notamment l’étrange casque qu’il portait. Mais comme à son habitude, Katsuryoku lui donna un surnom et sembla ne pas du tout être impressionnée.

La sortie se déroula relativement bien pour sa première partie. Le regroupement, la sortie du village et les premiers lieux à visiter, tout cela se passa sans encombre, jusqu’à ce qu’au détour d’une dune, un groupe d’individus ne sortent du sable où ils s’étaient camouflés.
L’instructeur et Musashi ne perdirent pas de temps à tergiverser, sachant dors et déjà qu’il s’agissait là de bandits attaquant habituellement les caravanes marchandes. Apparemment, une rançon sur de jeunes apprentis shinobi était tout aussi tentante.

Les gradés ne perdirent donc pas de temps et défendirent leurs protégés. Trois adversaires pour chacun d’entre eux, se montrant habiles même s’ils n’avaient pas été entraînés comme des ninjas. Mais ce qui n’était pas prévu, c’était qu’un septième adversaire pointa son nez derrière le groupe d’enfants. Occupés avec leurs propres opposant, Musashi et l’instructeur ne pouvaient décemment pas intervenir à temps.
À peine le ninja casqué termina son dernier adversaire qu’il se retourna, pensant aller s’occuper du dernier… Pour apercevoir une petite blonde en train de harceler le dernier bandit à grands coups de pieds, celui-ci apparemment trop surprit de cette opposition inattendue pour réussir à répliquer.

Sous les yeux impressionnés de ses camarades, et ceux étonnés des gradés, Katsuryoku laissa son adversaire sur le carreau. La seule phrase qui vint aux lèvres de Musashi, à l’attention de son collègue, fut « Et elle est encore étudiante ? ». L’instructeur paraissait tout aussi étonné que lui, voir même plus, puisqu’il pensait, n’ayant pas été présent lors de l’examen, qu’elle n’avait pas eut le niveau. Cependant, son mini combat démontrait le contraire au niveau de ses capacités.

Après le retour au village, le professeur de cette classe demanda à voir le Kage ainsi que les responsables des promotions pour leur exposer ce qui venait de se passer, et demander s’il était possible de promouvoir la jeune fille malgré son échec à l’examen.
Musashi fut appelé brièvement afin de donner son point de vue sur les capacités de la concernée et, bien qu’il ne parut nullement soutenir la promotion sans test d’aucune sorte, approuva le fait qu’avec les capacités qu’elle avait démontré face à son adversaire, le grade était théoriquement mérité.
Le reste fut une histoire de demandes et de pistonnages de l’instructeur, qui finit par obtenir gain de cause.

En plein milieu de l’année, Katsuryoku fut promu Genin, à la plus grande joie de ses parents.
Elle fut intégrée à une équipe où il manquait un membre, mais ne fut pas réellement proche des deux autres. Ceux-ci, ayant fonctionné durant plus de 6 mois à eux deux, étaient quelque peu réticents a l’idée de voir débarquer un membre supplémentaire et gardèrent assez leurs distances vas à vis de la jeune fille.
Après quelques missions laborieusement exécutées en raison d’une collaboration difficile, une restructuration des équipes fut annoncée. Katsuryoku allait d’ailleurs être transférée dans une autre équipe, mais ne savait pas où, ni avec qui.
Sakyuu Katsuryoku Kogata, Genin Pile Energizer, Sunagakure.

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Wei-chi Komoku
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Wei-chi Komoku »

re-salut à toi.
Sinon rien à dire, c'est bien écrit, tout ça.

Juste que sonpère il est moche et que sa mère disproportionnée, ça promet :p

Et euh; ben, fallait venir à Yuki roh, N00b :o
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Miyu Renraku »

Re-bienvenue !

Une bio joliement écrite, l'écriture est agréable et il n'y a pratiquement pas de fautes.
Bon courage pour tes futures missions.
Pour la gloire de Suna ! :lol:
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Leolio Mimura »

Postage autorisé par Musashi Akaito
Nan mais oh!!!!!!!!
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Voilà, c'est tout ce que j'avais à dire ^^. Je lirai ça ce soir.
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Aoshi Tsukyo »



~Bienvenue dans la Team 7 de Suna jeune fille !~ :super:

♥_♥
Aoshi Tsukyo genin super fort et trèèès mignon de Suna

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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Mai Kukan »

Aoshi Tsukyo a écrit :~Bienvenue dans la Team 7 de Suna jeune fille !
Arrête de rêver ^^, il va bientot y avoir une nouvelle team, et on va pas laisser une pauvre fille avec des pervers ...

Bienvenue Katsuryoku.
Mai Wang/Kukan étudiante à Suna
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Sakyuu Katsuryoku »

Et malheureusement (pour toi tout du moins) il a raison. J'ai demandé à avoir Musashi comme MJ, pour certaines raisons. Sorry. ^^
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Hitashiro KITAKA »

bienvenue da la team ^^
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Musashi Akaito »

c'est bien moi qui l'ai autorisé et elle va faire parti de la team désormais ^^

par contre désolé mais la j'ai pas des masses le temps de lire ta bio, mais j'y manquerai pas :P


edit : ca y est j'ai enfin pu lire la bio :D
pour moi aucun soucis la dessus comme tu t'en doutes, et vu ce qu'avait la tendre Miyu au dessus je te mets tes axx ^^

pour ta fiche on va gérer ca par mp, je te file le total d'ici quelques heures pour que tu puisses faire la répartition (j'ai fini le calcul, mais je le retrouve plus :lol:)
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Sakyuu Katsuryoku
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Re: Sakyuu Katsuryoku Kogata

Message par Sakyuu Katsuryoku »

Merchip. ^^
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