Mai Wang/Kukan [Accepté : clan Kûkan]

Pour les présentations des gens portés disparus

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Mai Kukan
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Message par Mai Kukan »

Nom : Wang / Kukan
Prenom : Mai
Age : 13
sexe : féminin

Mental :Sa nature curieuse amène souvent Mai à commettre quelques gaffes, mais ce défaut n’a pas que des mauvais cotés comme on pourrait le croire : il pousse parfois la jeune fille à aller vers ceux qui sont un peu de coté comme son ami Eden.
Je vais surtout la décrire à partir de ses défauts et qualités.
Cette fillette est toujours gentille sauf quand on l’énerve vraiment, alors là cachez vous tous. Son sourire quasi-omniprésent sur son visage montre bien ce coté de sa personne.
Son avidité de savoir l’a fait devenir assez intelligente mais elle a quand même d’énorme lacune dans divers domaines, comme celui de l’univers ninja.
Quand elle commence quelque chose, elle se donne toujours à fond pour le terminer.
Passons à ses défauts (je ne peux pas tous les citer)
Le premier à été cité au début, un autre assez mineur est … la gourmandise. Et oui vous avez en face de vous une morfale, goinfre, gloutonne etc … Elle n’a toujours pas compris pourquoi elle était mince d’ailleurs. Peut-être parce qu’elle se dépense beaucoup et que pendant la première partie de sa vie elle a beaucoup marché.
Et une chose à ne surtout pas oublier et qu’elle est vraiment flemmarde. Dormir serait ce qu’elle aimerait faire toute sa vie, mis à part manger des gâteaux. Du coup elle aime bien faire la sieste quand elle n’a rien à faire.


Physique :

Commençons par le bas.
Mais chausse des sandales beiges de taille 38 et a les ongles de pieds bien manucurés car on les voit tout le temps et sinon ça fait moche^^.
La silhouette de la jeune fille est fine, mais pas comme celle d’une véritable anorexique, et légèrement musclée grâce à toute les taches qu’elle s’est vue attribuée et au chtit entraînement subi pendant un an.
Comme ses ongles de pieds, les ongles de la main de Mai sont bien coupés, limés. Tout ça pour dire qu’elle en prend aussi soin.
Coté visage, le sien est ovale, encadré de longs cheveux noir qui ondulent un peu par temps de pluie et dont une petite partie est attachée avec un noeud rouge.
Elle a une bouche normale et une dentition à peu près parfaite.
On dit qu’elle ressemble à sa mère, mais ses yeux font exception à la règle. En effet, alors que ceux de Kaede sont d’un très beau bleu délavé, ceux de Mai sont d’un violet intense, héritage du clan Kukan.
Elle porte généralement deux boucles d’oreilles aux oreilles XD, tout deux en plaqué violette-or.
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Coté vestimentaire, elle a opté pour un kimono rouge à fleur, sur conseil de sa grand mère, légèrement évasé en bas et ouvert jusqu'à la hauteur du milieu des cuisses sur les deux cotés. Une petite ceinture beige, relevée de quelques broderies figniole le tout.
Enfin pour finir, elle porte dans le dos une épée, signe de son appartenance à sa famille, envellopé dans un fourreau beige passe-partout.
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Nindo :
pour ne pas dire « je veux devenir la meilleur pour sauver mamie pépé ma famille et mes amis » je dirais plutôt : « On a qu’une vie alors profitons en »

ce qu'elle aime : trois choses apprises dans la première partie de sa vie lui plaisent énormément : faire la cuisine, jongler et la musique, talent qu’elle développera en arrivant à Suna.
A part ça, elle aime beaucoup les chevaux, les félins, l’espace, la liberté et les couchers de soleil
ce qu'elle déteste : Les pièces fermées, trop étroites, mais elle n’est pas clostrophobes pour autant.
Les fruits de mer sont les seuls plats qu’elle ne supporte pas et elle hait les gamins de la caravane.

Petit résumé pour les flemmards :
[Prologue impossible à résumer]
Donc Mai va vivre dans une caravane de marchands pendant les 12 premières années de sa vie.
Vers ses 8 ans, elle va rencontrer un garçon de son age dont elle va tomber amoureuse. Ne voulant pas qu’elle imite sa mère, ce mioche va se faire éliminer discrétos par la famille de Mai, lui cachant cet épisode malheureux. Donc la jeune fille croit toujours qu’elle reverra un jour son ami Kononanien.
Après ça, elle va devoir s’occuper encore plus des taches nécessaires à la vie de la caravane, et n’aura donc plus le temps de jouer avec les autres ou de visiter les villages parcourus.
Elle va se faire une amie, qui lui apprendra deux trois trucs assez important et l’aidera à supporter l’enfer de sa vie ennuyante et épuisante.
A l’age de ses 12 ans, son père va venir la chercher pour l’emmener à Suna où elle va passer un an à compléter ses lacunes dans divers domaines. Après ça elle va enfin pouvoir aller à l’académie.

(Je sais ça parais bidon mais c’est un résumé fait en vitesse pour ceux qui auraient la flemme de lire la suite.)

Histoire


I] Prologue

Tout le campement dort. Tout ? Pas vraiment : une jeune femme œuvre sans bruit sous la tente ou dorment son mari ainsi qu’un nouveau-né qui remue, perdu dans ses rêveries.
La femme saisit un sac qu’elle avait du préparer bien avant, l’accroche en bandoulière et prend délicatement l’enfant, bien enveloppé dans ses couvertures.
Puis elle sort, toujours en silence, et s’élance dans la nuit noire comme de l’encre, sans lune. Une nuit parfaite pour la fuite.
Les chiens, habitués à elle, soulèvent à peine leurs paupières à son passage, et ne font même pas l’effort d’aboyer pour la saluer : cette humaine n’a d’importance pour eux qu’au niveau de la nourriture qu’elle leur fournit.
La jeune mère et son paquet passent sans peine les portes du campement, les gardes s’étant assoupis près des feux qui éclairaient encore faiblement les barrières délimitant l’enceinte de l’endroit.
Passé cette étape, elle se met à avancer plein ouest. Son allure est rapide, pourtant elle ne court pas, pleinement consciente que si elle fait ça, elle ne tiendra pas longtemps et devra ralentir, chose qu’elle ne peut se permettre.
Autour d’elle règne un silence de plomb, seul le crissement su sable sous ses pas se fait entendre, troublant ainsi la quiétude du lieu.
Elle, elle entend aussi les battements rapides de son cœur. Malgré la promesse qu’il lui a faite, elle craint qu’il ne se trouve pas à leur lieu de rendez vous.
Mais elle avance. Encore et toujours. Droit vers l’ouest, toujours droit vers l’ouest.
Bientôt, le soleil pointe le bout de son nez. Lentement. Tout comme l’allure de la femme qui refuse en elle-même se reconnaître qu’elle fatigue et ralentit. Elle persévère, mais sa vaillance faiblit peu à peu à mesure que le soleil s’élève.
Au bord de l’effondrement et du désespoir, elle s’arrête entre deux petites collines, goûtant une pause bien méritée, mais pourtant risquée pour elle.
Cela fait au moins 5 heures qu’elle marche et toujours rien. Le chagrin s’empare d’elle car elle sait, ou plutôt croit savoir, qu’il les a abandonnés, elle et leur enfant. Cette promesse faite lors de leur dernière rencontre n’était que du vent. Plutôt ironique quand on sait qu’elle-même se trouvait à l’instant à Kaze no sato.

« Kaede ! »

Cette voix … ce cri … non elle n’a pas rêvé … elle lève la tête et le découvre. Un sourire fleurit sur son visage.
Elle ne se pardonnera jamais d’avoir douté de son amant. Toujours aussi fidèle. Même après 10 ans de rencontres aussi brèves que rares.
Mais soudain elle les entend… les hennissements derrière elle.
Et puis un sifflement.
Une rose écarlate apparaît en même temps que la pointe d’acier sur la tunique de la dénommée Kaede, à l’emplacement de son cœur.
Déjà, une brume s’élève devant elle, ne la laissant qu’entrapercevoir son éternel amour qui se précipite vers elle.
Un râle s’échappe de ses lèvres, murmurant le nom de cet homme pour qui elle fuya sa famille.

« Takeo ! »

C’est un corps déjà sans vie, que rattrapa son amant.

*Un homme ne doit pas pleurer …. Un homme ne doit pas pleurer !!!! ……. Mais un homme sait protéger ceux qu’il aime ! Alors je n’en suis pas un*

Les perles de cristal roulent sur ses joues, et s’écrasent bientôt au sol, aussitôt absorbé par le sol, semblant vouloir effacer au plus vite toute trace de l’incident.
Une petite brise vient même apporter du sable sur les taches de sang qui s’accumulent encore.
Takeo n’a plus d’yeux que pour la défunte et ne se préoccupe pas des quelques hommes qui bandent leurs arcs et le visent.
Une pluie de projectiles s’abat sur lui à grande vitesse. Il n’esquisse pas un geste pour se sauver. Il est même heureux de savoir qu’il vas rejoindre se femme.
Mais le sort e a décidé autrement : il a oublié que sa famille est derrière lui et le protège. Une volée de flèches venant d’eux cette fois ci, intercepte les projectiles ennemis, qui ne retentent plus rien après.
Un homme s’écarte du groupe des caravaniers et s’approche du couple au centre de l’action. Takeo effondré ne lève même pas la tête pour voir le nouvel arrivant.
D’ailleurs, un homme et une jeune femme interceptent le marchand et l’attirent à l’écart.
Lui ne protestent pas mais murmure juste :

« Je veux juste récupérer l’enfant. »

« Il nous appartient autant qu’à vous. Le chef de notre famille vas arriver et vous pourrez discuter de cela avec lui. »

« Alors mon père et mon beau-frère viendront aussi. »

« Mais votre beau-frère se trouve ici. Avec sa chère femme que vous venez d’abattre. Par un coup dans le dos d’ailleurs. Un acte digne du plus courageux de nos guerriers. »


Cette phrase mordante lancée par la jeune femme ne fait rire personne et le frère de Kaede, Akio pour le nommer, s’éloigne vers le groupe avec lequel il est venu et reviens bientôt, suivant un homme, Mr Otori, son père, et avec Kotaro Kikuta, son beau-frère.
Bientôt un conseil se tient et 1h et bien des cris plus tard, les deux chefs de famille arrivent à un accord : les caravaniers se verront confier l’enfant jusqu’à ses 12 ans et devront le laisser à la famille Kukan jusqu’à sa majorité. Là il sera libre de choisir sa voie.
En parlant du bout de choux … où était-il ?
Un doux hurlement rappela tout le monde à l’ordre et força Akio à se lever pour aller chercher le mioche.
Il s’approcha sans mots dire de Takeo et avec son regard glacial s’empara du bébé qui se mit à crier de plus belle.
Le père de l’enfant tenta de résister, mais sa fatigue mentale si récente l’empêcha de faire quoi que ce soit d’utile et il dut se contente de voir le frère de sa sœur, dont elle lui avait dit tant de mal, s’éloigner avec le seul héritage laissé par sa femme.
Après ça, les deux partis retournèrent chez eux sans autre échange, et un somnifère fut administré à l’enfant pour qu’il cesse de geindre en attendant d’atteindre le campement et de lui trouver quelque chose à lui mettre sous la dent … ou plutôt dans la bouche car aucune de ses dents ne pointait encore.

II] A la découverte du monde

On nomma la petite Mai, en l’honneur de son arrière arrière grand mère qu’on n’avait pas encore oublié. Et oui ça fait loin derrière, mais le souvenir des gens est ce qu’on en garde de plus important.
Dommage qu’on ne sache que maintenant que ce petit bout de choux dont on parle depuis le début était une fille ? Pas grave, l’important est qu’elle soit là.(le premier qui dit le contraire …)
Donc cette petite fille si mignonne fut confiée à une femme qui venait de perdre son enfant et était donc en mesure de prendre soin de la fillette.
Quand celle-ci eut soufflée ses 2 premières bougies, on la fit passer à son beau-père qui, entre temps, s’était remarié.
Vous vous doutez tous de la suite : comme aucun des deux ne se sentait le parent de la fillette, elle fut quasiment livrée à elle-même et son éducation fut quelque peu … zappée.
Tout ce qu’elle apprit, ce fut en imitant les autres.
Sa belle mère n’était pas un stéréotype de marâtre comme on pourrait le penser. Elle ne battait pas Mai mais la forçait juste à accomplir les taches ménagères dont elle pouvait se charger, comme la cuisine vers ses 6 ans , domaine où elle devint vite assez douée.
Le reste du temps, elle allait jouer avec les autres enfants de la caravane, goûtant les plaisirs de la vie. Souvent, elle s’écartait de la marche et allait courir dans les champs voisins : elle aimait plus que tout cette liberté et en profitait parfois jusqu’au soir.
Quand elle rentrait, personne ne lui faisait de remarque et elle avait l’impression que les adultes ne l’appréciaient pas, pour une raison inconnue.
Une chose qu’il serait important de préciser, c’est le mode de vie de Mai.
Peut-être ne l’avez-vous pas encore compris, mais elle vit dans une caravane de marchands qui sillonnent le monde de part et d’autre.
C’est d’ailleurs grâce à cela qu’elle put emmagasiner des tonnes d’informations sur les différents pays parcourut.
Elle découvrit la joie des plongées sous-marines aux abords de Mizu no Sato ; le plaisir de sentir la fraîche morsure des neiges de Yuki et l’admiration portée à ses grandioses montagnes.
Elle apprit le bonheur que l’on peut avoir en trouvant un oasis, après une journée de marche dans le désert de Kaze.
Elle dompta sa peur des orages et prit l’habitude de contempler cette férocité élémentaire.
Dans le pays de Tori, elle découvrit la douceur des chants d’oiseaux et la beauté que peuvent revêtir ces deux là.
C’est au pays de Taki qu’elle apprit l’art difficile du combat de bambou.
Enfin, c’est à Konoha no Kuni qu’elle découvrit la brûlure de l’amour.

III] L’amour brille sous les étoiles

Mai avait 8 printemps derrière elle.
Son oncle Akio lui vouait une haine immense et elle avait vite compris que c’était à cause de sa ressemblance avec sa mère qu’elle n’avait jamais connue.
Mais ce qu’elle ne comprenait pas c’était pourquoi personne ne lui parlait de cette femme.

*A-t-elle fait quelque chose de mal ?*

Rien ne lui apportait de réponse à cette silencieuse interrogation et elle dut continuer sa vie sans.
Donc Mai avait 8 ans.
Pour la première fois dans sa vie (à mai), la caravane décida de s’installer à proximité d’un village ninja : Konoha.
LA petite fille avait rarement vu des shinobis, les marchands évitant de côtoyer ce genre de personnes, et évitant donc forcément de s’approcher des villages cachés.
Quand la fillette demandait pourquoi, c’était toujours la même réponse.

« Ils ne nous apportent que des ennuis. »

Et c’était tout. Si elle essayait de demander lesquels, elle se faisait foudroyer du regard et devait à chaque fois s’éclipser en vitesse, laissant une nouvelle question sans réponse.

Décidant que ce jour devait se fêter, elle décida non pas de faire la tournée des bars, mais de se faire plein d’amis !
Un peu idéaliste comme nindo direz-vous. Mais quand on a 8 ans c’est parfait.
C’est donc avec entrain et motivation qu’elle franchit les immenses portes de konoha.

*Que c’est bôôôô !!!!!!!*
fut la première chose à laquelle elle pensa en voyant cette architecture.
Mais déjà, elle ne pouvait plus s’émerveiller de cela car les petits kononaniens encerclaient déjà le groupe des enfants nomades.
Tout de suite, ces derniers furent intégrés à la bande et bientôt la ville résonna des jeux des enfants.
Mai, de nature observatrice, remarqua très vite un garçon à l’écart, qui les regardait avec une envie non dissimulé.
Un autre trait de caractère de Mai, s’était sa curiosité maladive. Aussi, elle s’approcha de lui, avec son plus beau sourire aux lèvres.

« Pourquoi tu ne viens pas avec nous ? »


« Je … je …. J’ai ….. »


« Tu as ? ...»


Ce fut un garçon derrière elle qui répondit.

«Il est maudis ! Il a causé la mort de toute sa famille ! Vas pas avec lui ! »

Il ramassa une pierre et la jeta sur l’enfant.
Entre temps, le visage de Mai avait viré à la surprise, mais en voyant le sang gicler sur le bras de « l’exclu » , son expression changea de nouveau. Pour passer à la colère.
Une nouvelle pierre vola, mais cette fois, elle n’atteignit pas son but : la jeune fille l’avait intercepté en cours de route, et un bleu naquit aussitôt sur son bras.
Sans un mot mais avec seulement une grimace de douleur, elle prit la main du blessé et l’entraîna vers le pont de Konoha, sous les insultes lancées par toute la bande, anciens amis de Mai compris.
Arrivés à destination, elle examina le bras du garçon , faisant tout son possible pour ne pas le faire trop souffrir.

« Je pense que tu auras juste un bleu … Et tu ne te défends jamais ? Non c’est evident, tu ne pourrais rien faire … au fait c’est quoi ton nom ? Moi c’est Mai. »

Elle lui tendit la main en souriant et attendit. Lui, il la regarda d’un air surpris et finalement son visage put connaître une expression qu’il n’avait pas du prendre bien souvent : le sourire en signe de joie.

« Je … je m’appelle … Eden. »


« Eden ? C’est un joli nom … et … tu as vraiment tué ta famille ? »

Cette question fit rougir le garçon qui parut hésiter.
Réalisant la bourde qu’elle venait de proférer, Mai rajouta :

« Tu n’es pas obligé de répondre … si tu veux… »


*Tu pouvais pas trouver autre qu’une phrase bidon comme ça ?! *

« Et bien … en fait … c’est un peu compliqué… mais … ce n’est pas vrai ! Je ne voulais pas … je ne pensais pas … »


Mai commença à voir le chagrin de plus en plus intense du garçon. Pourtant, les larmes ne coulaient pas, elles avaient dus se tarir à force et désormais le gamin ne pouvait plus se lacher.
La fillette, malgré sa jeunesse, comprit très bien ce qu'il avait enduré et essaya de placer une phrase, moins bidon cette fois.

« Qu’importe si tu les as tués ou pas ! L’important maintenant c’est que ça n’arrives plus … tu ne m’as pas l’air d’un asssassin si ça peut te rassurer. »


Une phrase moins bidon ? C'est possible mais ça fait toujours phrase toute prête qu'on peut sortir n'importe quand comme les pizzas pour les soirées foot ... heu ... soirée rugby^^. Petite dérive.
Donc cette phrase, aussi bidon, stéréotypée, pizzaitée, qu'elle soit, paru réconforter Eden qui retrouva son si joli sourire, montrant ainsi sa superbe dentition spécial pub "colgate blancheur" ou pour illustrer la phrase géniallissime " J'ai 8 ans et toutes mes dents." (encore un HS)

"Merci, ça me touche beaucoup ce que tu viens de dire."

Pause Kleenex. Emotion ... c'est siii bô.
Oui je sais c'est encore bidon mais j'en suis plus à ça près. Une nullité de plus ou de moins. Que vous ayez eu le courage d'arriver jusque là prouve ... ne prouve rien d'ailleurs mais c'est pas bien grave.
Puis il continua sur sa lancée, on l'aurait pas cru si bavard cet eden, mais vu que personne ne lui parlait jamais, on pouvait pas le savoir.
Mai était la première personne à lui parler par gentillesse ( et par pitié).
On se demande ce que cette explication fait ici au milieu de mes nullissimes délires personnels et incomprehensibles pour des personnes ayant un minimum d'intelligence.
Bon je dois vous saouler donc je continue la passionnante histoire de Mai.

« Ca te dirait si je te faisais visiter la ville ? Je parie que tu n’avais jamais vu Konoha auparavant. »

Avant que la fillette ai put caser une nouvelle parole idiote, le garçon la prenait par la main pour lui faire découvrir les merveilles du village.
La journée devait rester à jamais gravée dans la mémoire de Mai car elle faisait partie des souvenirs les plus riches, les plus amusants et les plus agréables qu’elle ait vécu dans sa vie.
Les gens sur leur passage ne pouvaient s’empêcher de sourire à la vue du « maudit » qui n’avait pas l’air si terrible avec cette fille inconnue. Comme quoi il en faut vraiment peut pour voir, ne serait-ce qu’un instant, le véritable visage d’une personne.
Les deux joyeux enfants dégustèrent une glace dans le superbe parc du village, marquant ainsi la demi-journée.
Les passants regardaient curieusement ce petit couple de jeunots qui baignaient dans l’insouciance de l’enfance et par la même occasion dans un rayon de soleil. C’était si mimi …
Pendant que Mai finissait de manger, Eden s’absenta deux petites minutes et revint bientôt avec une rose d’un rouge flamboyant.

« Tiens c’est pour toi. »

« Pour … pour moi ?! Mais il fallait pas ! C’est … c’est trop gentil. »

Ayant enfin finit son délicieux plat sucré, elle sauta au cou du garçon et lui colla un gros bisou sur la joue.

« T’es un cœur. »


Ce fut tout pour ce moment, il faut juste dire que la jeune fille gardera précieusement cette fleur toute sa vie.
Enfin, pour clore cette journée magistrale, ponctuée si souvent de rires, Eden entraîna Mai au sommet des têtes des Hokages.
De là-haut, la vue était sublime et le soleil couchant accentuait la beauté de la ville.
Durant un moment, le silence régna. Les deux enfants, main dans la main, absorbés par la contemplation du spectacle qui s’offrait à leur pieds ne disaient mot.
Ce fut Eden qui le premier brisa le mutisme qui s’était emparé d’eux, alors que déjà, la première étoile faisait son apparition dans le ciel azuré.

« Dit ? Tu m’oubliera quand tu partiras ? »

Un peu surprise par la sordidité de la question, Mai dut prendre quelques secondes de réflexion avant de répondre.

« Non bien sur ! Aujourd’hui c’était une giga journée et tout ça grâce à toi. C’est drôle, mais les autres enfants que je connais me paraissent un peu insipide à coté de toi. »

Il ne faisait pas encore assez sombre pour dissimuler le gêne d’Eden, mais Mai le remarqua aussitôt.

« Dit ? Tu m’aimes ? »

« Euh … j’en sais trop rien … c’est bizarre. »

« Moi tu sais je t’aime et je t’oublierai jamais ! »

Encore une fois, il prit les devants et l’attira vers lui.
Puis il rapprocha son visage de celui de la fillette et ce fut à son tour d’être gênée en sentant son souffle près d’elle.
Contre toute attente il l’embrassa …. Sur le front.
Il faisait la même taille que la jeune fille et dû se mettre sur la pointe des pieds. Une crise de fou rire les secoua tout deux et à la fin, un silence un peu gêné se mit à planer sur eux.
Il fallait bien que quelqu’un le brise et ce fut encore Eden qui se jeta à l’eau le premier.

« Tu repars quand ? »

« Après-demain. On pourra se voir demain si tu es OK. »

« Alors rentre vite chez toi ou tes parents supprimeront notre projet. »

« Alors c’est d’accord. Rendez-vous demain matin au pont de Konoha. »

Un sourire et un petit signe de la main et elle s’éloignait, bientôt rejointe par son ami.

« Attends je vais te raccompagner, on sait jamais. »

« Merci. »

Cette fois, ce fut elle qui lui prit gentiment la main et ils s’éloignèrent donc comme deux parfaits petits amoureux.
Ils s’arrêtèrent aux imposantes portes de Konoha où ils durent se lacher, bon gré, mal gré.
Mai embrassa son camarade sur la joue (je précise au cas où …) et s’éloigna de quelque pas avant de tourner une dernière fois la tête vers lui et de murmurer.

« Moi aussi je t’aime. »


Puis elle partit en courant vers le campement.

****

Sur le pas de la tente elle trouva son père qui apparement l'attendait.
Curieusement il avait l'air assez heureux ... ou n'était-ce qu'un masque ... Toujours est-il qu'il ne fit aucun commentaire et entra, suivit de près par la fillette, dans leur "maison".

« Figure toi qu’on allait manger. Assieds toi. »

Elle obéit et se mit en face de ses parents. Puis elle s’empara des couverts de service et entreprit de donner à tout le monde de la salade folle gersoise, le menu du jour.

« Au fait ? Où étais-tu ? »

« Euh …. »

*Je leur dis ou je leur dis pas ?*

« J’étais allée admirer le coucher de soleil avec mon ami Eden. »

« Eden qui est-ce ? »

*Le gamin avec qui on l’a vu trainer surement … elle vire comme sa mère … très mauvais ….*

« Un garçon de mon age super sympa qui m’a fait visiter la ville. Si vous voulez je vous le montrerais. »

Et sans réfléchir, elle se mit à raconter sa journée aux deux adultes dont les visages se mirent à changer légèrement d’expression en voyant les yeux de la fillette qui brillaient à cause de quelque chose de plus intense que de la joie
La même idée leur traversa l’esprit : Mai n’était pas le portrait de sa mère pour rien. C’était exactement au même age que Kaede avait rencontré Takeo. Et ils savaient ce que cela allait entraîner si la fille suivait les traces de sa mère.
Quand Mai eut fini de parler, les deux Kikuta changèrent de sujet pour cacher leur trouble.
A la fin du dîner, on envoya la fillette se coucher et son père sortit discrétos de la tente pour se diriger vers celle du chef de la caravane.
Je ne vais pas rapporter ce qui s’y dit, mais juste signaler les principales conséquences.
Au réveil de Mai, le campement bourdonnait déjà d’une activité intense et elle ne comprit pas pourquoi tout le monde s’activait autant.

« Tu te réveilles enfin ? Dépêches toi, nous devons être partis avant midi. »

« Mais pourquoi ? Il y a eu un problème ? »

Sa mère ne répondit pas et se contenta de lui lancer ses habits. Ainsi elle comprit que ses projets tombaient à l’eau et qu’elle avait plutôt intérêt à se bouger les fesses en vitesse.
Bientôt, le camp avait disparu au profit des caravanes prêtent au départ.
Tout les enfants Kononaniens étaient venus assister à ce moment, mais Mai eut beau chercher Eden du regard, elle ne le vit point.
5 minutes plus tard, la caravane s’ébranlait vers de nouveaux horizons. La fillette aurait désormais tout le temps pour réfléchir à la raison de l’absence du garçon en ce jour d’adieu. Et pas d’au revoir.

*******

Tout le monde était trop occupé à Konoha pour aller inspecter chaque ruelle de la ville et s’attarder sur ce qui y traînait. Ces endroits étaient peu surs et mieux valait ne pas s’y aventurer.
Ce fut un chien qui le premier dénicha le corps d’un petit garçon aux cheveux blonds. Il ne manquerait à personne. Juste à Mai.

IV] Après l’amour, l’amitié


Avec cette journée si extra, la vie de Mai avait pris un nouveau tournant.
Dès leur première halte, à une vingtaine de kilomètres de Konoha, Kotaro, son père, lui avait annoncé qu’elle avait l’age d’aider aux grandes taches de la caravane : elle devrait nourrir les chevaux et leur donner à boire à chaque haltes, les garder pendant le trajet et les pauses, et enfin, apprendre à jongler et à jouer de la flûte, chose que tout le monde devait savoir faire pour pouvoir aider au bon fonctionnement du groupe de marchands qui étaient à leurs heures des sortes de saltimbanques jongleurs et musiciens. Rien de mieux que la diversité dans une vie pareille.
Toutes ces taches ne déplaisaient pas vraiment à la fillette, devenue un peu rêveuse, mais elle ne pouvait désormais plus jouer avec les enfants de son age, ni visiter les villages parcourus.
Elle entendait souvent rire ses anciens camarades qui n’étaient assignés à aucune tache, et souffrait de ne pouvoir se joindre à eux à cause de ses charges à elle.
Un incident survenu après l’épisode III], lui montra que ce n’avait pas été une si mauvaise chose de s’être vu confié des occupations. Mais cela lui montra aussi qu’être gentille avec une personne n’apporte pas que des amis.
Alors qu’elle brossait tranquillement Kyu, un cheval bai, elle avait vu ses anciens camarades jouer au ballon et s’approcher inconsciemment d’elle. Un d’eux l’avait remarqué et avait dit sur un ton narquois tout en restant hors de portée d’une éventuelle tarte bien méritée :

« Pourquoi tu ne viens pas avec nous ? »

« Elle pourra jamais ! Les parents l’occupent pour qu’elle ne fasse pas une nouvelle gaffe et […] »


« Une gaffe ?! Et en quoi elle consistait ? »

*C’est quoi cette blague ?! J’ai jamais rien fait de mal ! *

« Elle ne s’est même pas rendue compte que parler avec un maudit l’a rendue maudite elle aussi ! »

*Pour avoir parlé à un être normal on me prive de ma liberté ?!*

Cette nouvelle la laissa sans voix et elle ne fit rien pour empêcher les mioches de lui lancer à toute volée des « Maudite ! Maudite ! » et autres trucs gamins dans le même style. Puis, vexés de ne voir aucune réaction de la part de la jeune fille, les gosses envoyèrent non plus une volée de mots mais une volée de pierres.
Evidemment Mai s’en prit quelques unes mais le plus grave fut que Kyu en reçut une sur les naseaux. C’était comme s’il avait reçu un électrochoc et sous le coup de la douleur il se cabra.
La fillette ne bougea pas, non par surprise mais ar peur.
Elle ne savait pas quoi faire et du se contenter de regarder les lourds sabots du cheval tomber. Elle ferma les yeux et attendit le coup fatal.

*Bon c’est pas que je m’ennuie mais je sens rien … Je vais ouvrir les yeux et me retrouver au paradis. Le coup à du être si violent que je l’ai pas sentit.*

Elle souleva lentement ses paupières et … ne vit pas d’ange ni de nuages garnissant le sol. Elle regarda dans son dos et ne vit pas non plus d’ailes blanches.

*Soit je suis pas morte soit le paradis ne ressemble en rien à ce qu’on m’en avait décrit.*

Elle tourna la tête et vit Kyu tenu par une jeune fille aux cheveux roux. Elle lui caressait les naseaux et lui murmurait milles et une chose. Quand aux gamins ils avaient détalés depuis longtemps pour aller se réfugier dans les jupons de leur mère.

*Personne n’a l’air de se soucier du fait que j’ai failli mourir … merci beaucoup. Ils ont tous l’air de tenir à moi.*

En effet, aucun homme ni aucune femme ne s’était arreté pour s’informer sur le problème. Pour eux, l’incident était clos. Point final.
Mai choisit donc de remercier cette jeune fille qui venait de la sauver. Elle s’approcha donc d’elle et se mit elle aussi à caresser Kyu en parlant.

« Je tiens à te remercier pour ce que tu as fait. J’ai agit comme une nulle. »

« Mais non ! On a tous un moment comme ça dans notre vie. Moi c’est Shizuru. »

« Et moi Mai. »


C’est par cet incident et ces paroles anodines que commença une belle histoire d’amitié.
Dans la conversation qui suivit, trop peu intéressante pour la rapporter ici, Mai apprit que son interlocutrice avait 13 ans, c'est-à-dire 5 de plus qu’elle.

*****

Ce soir là, notre héroïne se coucha, heureuse de s’être trouvée une amie un peu plus, même beaucoup plus, mature que ses ex-camarades de son age.
Au matin, une surprise attendait la miss : Shizurur était venue lui annoncer « une grande nouvelle ».
Les deux amies sortirent de sous la tente et se dirigèrent vers l’enclos des chevaux qui attendaient qu’on s’occupe d’eux.
Tout en les pansant, Shizuru raconta sa « nouvelle ».

« J’ai parlé à ton père hier et il est OK pour que je t’aide à toutes tes taches et que je prennes en main ton apprentissage. »

« C’est vrai ?!!! Youpii !!!!! »

Et de joie elle lui sauta au cou, oubliant son cheval plus que légèrement surpris par ce geste brusque.
C’est ainsi qu’à chaque halte, Mai apprit l’art du jonglage et de la musique.
L’apprentissage fut long et dur, en particulier les deux premières années, mais heureusement elle finit par réussir à jongler avec 4 balles sans s’en prendre une sur la face au bout de 5 minutes, et elle apprit à flûter des airs mélodieux qui ne vous détruisaient pas les tympans à vous rendre sourd.
A coté de cela, Shizuru enseigna aussi à sa petite protégée la lecture et l’écriture, choses dont on a toujours besoin (je veux pas d’un perso inculte).
4 ans passèrent à ce rythme là, les 2 jeunes filles partageant tout, et devenant ainsi 2 « sœurs », c’est d’ailleurs comme cela qu’on se plaisait à les appeler à travers tout le groupe marchands.
L’épisode Konoha fut enterré dans l’esprit de tous mais resta tenace dans l’esprit de Mai, car comme dit beaucoup plus haut, ce souvenir faisait partie des meilleurs de ceux de la fillette. Qui gardait secret sa volonté toujours aussi forte de revoir Eden (je précise qu’elle ne sait pas qu’il est mort).
La vie est faite d’évènements divers et le jour de ses 12 ans, un nouveau vint à elle.

V] D’une vie à une autre

Le 5 avril, on accorda une journée de pause à Mai : c’était son anniversaire et il fallait au moins lui accorder ça comme cadeau.
Notre héroïne était tranquillement installée sur l’enclos des chevaux, mâchonnant un brin d’herbe quand soudain elle vit une silhouette qui s’avançait vers elle. Ce devait être une pure coïncidence et elle retourna dans ses rêveries, sure qu’on ne la dérangerait pas.
Pourtant 2 secondes plus tard, il s’avéra que s’était Shizuru qui courait vers elle.

* Ce n’est pas la peine d’être si pressée. Tu as toute la journée pour me souhaiter mon anniversaire.*

Malheureusement pour elle, la jeune fille ne lui souhaita rien et se contenta de la tirer par le bras, la faisant maladroitement glisser de la barrière et tomber par terre.

*Vive le cadeau ! Je suis pleine de poussière maintenant ! Beurk !*


« Dépêche toi de venir ! Le chef t’attend. »


« Eh ! Mais dit moi d’abord pourquoi ! »

« D’accord mais alors pendant qu’on coureras. »

Mais suivit donc son amie, fortement contrariée d’être interrompue dans ses courtes, me^mes très courtes vacances.

« Y’a un étranger qui veut te voir. Il discute en ce moment avec le chef. »

Notre héroïne ne su pas quoi dire et se contenta donc de courir plus vite.
Devant la tente du chef, elle attendit un peu, histoire de reprendre une contenance, et entra.
A son arrivée, elle put voir son oncle, son père, ainsi qu’évidemment le chef du village. Et puis il y avait l’étranger. Quand il se retourna, sourire aux lèvres, Mai put admirer ses yeux d’un violet intense en harmonie parfaite avec le reste de sa tête. Tout de suite, la jeune fille eut la certitude que cet homme était forcément de sa famille car elle avait aussi cette superbe couleur dans les yeux.
Elle fut tirée de sa contemplation par la grosse voix du chef.

« Assieds toi. »

Cet ordre n’attendait rien à sa suite et la fillette obéit donc sans un mot, prenant place à coté de l’étranger, à la place prévue pour elle. Ceci fait, le chef reprit la parole.

« Cet homme ici est ton père. A cause d’un vieil accord tu vas devoir nous quitter et aller vivre avec eux. »

Mai remarqua le dédain qui soulignait le mot « eux » et le visage de son oncle lui montra que son…. Non elle préférait l’appeler l’étranger.
Donc ces signes lui montrèrent que l’étranger n’était pas le bienvenue. C’était sûrement en rapport avec la mort de sa mère, mais elle préféra ne pas demander, sure de se faire remballer comme à chaque fois qu’elle abordait ce sujet à risque.

« Vas préparer tes affaires tu pars au plus tôt. »

« Oui mon oncle. »

Avec lui aussi pas la peine de discuter, à moins de tenir à sa faire tuer. Elle se leva donc, s’inclina pour saluer le quatuor et sortit.
Dehors, Shizuru l’attendait avec l’air avide de quelqu’un qui tient absolument à tout savoir.

« Alors ? »


« Viens chez moi, je dois faire mon sac. »


« Tu pars ? »

« Qui ne dit mot consens », Mai se dépêcha donc d’aller chez elle. Là elle commença à empaqueter ses maigres bagages, prenant soin de ne pas abîmer la rose rouge offerte par Eden.
Shizuru l’aidait de son mieux, tout en écoutant sa « petite sœur ».

« Mon père … il est venu me chercher. »


« Mais ton père habite ici ! La preuve je le vois tout les jours. »

« Pas lui. Le vrai. »

« Ah …. Et le chef le laisse t’emmener ?! Comme ça ?! Mais […] »

« Ils ont parlé d’un ancien accord en rapport avec ça. »

« Et maintenant tu vas … »


« Oui je vais partir. »

« Tu vas me manquer … attends je reviens. »

Mai la regarda partir et eut le temps de réfléchir aux avantages et inconvénients de ce départ.
Elle ne manquerait à personne et personne ne lui manquerait, à pars Shizuru. Tiens en parlant de cette dernière, elle venait de revenir, un petit paquet dans les mains.

« Joyeux anniversaire ma chérie. »

Elle n’avait pas oublié ! Notre héroïne prit le cadeau et le déballa avec douceur. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle découvrit 1 paire de boucles d’oreilles. Elle les accrocha tout de suite et serra son amie dans ses bras. D’un seul coup une bouffée de tristesse l’envahie et elle éclata en sanglots.

« Onee-san ! Si seulement tu pouvais venir avec moi. »


« Mais elle le peut. »


D’un même geste, les deux filles se retournèrent et découvrir l’étranger qui était entré sans bruit. Depuis quand était-il là ? Mystère …

« Comment ça ? »


« On pourra sûrement te trouver un petit boulot dans la ville où j’habite. »

« C’est vrai ?! »

« Si je vous le dit. Allez. Vas faire tes bagages jeune fille. »

Dès qu’elle fut partie, un lourd silence s’installa, le père détaillant sa fille et la fille n’osant pas détailler son père. Tout ce qu’elle remarqua, c’était son épée dans le dos.

« Où allons nous ? »

« A Suna. »

Mai resta bouche bée devant cette réponse : un village ninja ?! Un village comme celui d’Eden ?! C’était plus qu’elle ne voulait.

« Ca ne te plait pas ? »


« Oh si ! Mais alors ça veut dire … »

« Que je suis un shinobi. Mais je t’expliquerai tout pendant le voyage. Nous en avons pour une demi-journée de marche alors autant garder des choses à se dire. »

Ils sortirent donc et ne tardèrent pas à trouver Shizuru. Puis ils allèrent à la sortie du campement où un âne les attendait tranquillement. Après l’avoir chargé, les deux jeunes filles firent leurs adieux à tout le monde, pour ne pas faire ingrates.
Enfin, ce fut le départ. Pendant le long voyage, Shizuru et Mai racontèrent leur histoire, omettant certains passages comme celui avec Eden, pour Mai. En échange, Takeo leur parla de la vie des ninjas, de sa famille devenue récemment un clan, de la branche dont il faisait partie : les Wang, et du plus important : sa femme. Il disait la revoir en sa fille. Les même cheveux … la même bouche … le même nez … seuls ses yeux différaient : Mai les avaient hérités de sa famille paternel dans laquelle tout le monde avait les yeux violets. La jeune fille n’était donc pas un cas à part. De toute façon elle s’en fichait qu’elle soit ou non la seule à avoir cette superbe couleur de regard, cela prouvait son appartenance aux Kukans et c’est tout ce qui importait.
3 milliards de haltes plus tard, le petit groupe fut en vue d’une imposante ville : Suna. Elle ne ressemblait en rien à ce qu’avait vu Mai de Konoha, heureusement d’ailleurs, sinon ça aurait manqué d’originalité.
Une ombre mouvante se profila à l’entrée du village caché et commença à se diriger vers le trio qui avançait.
Bientôt une femme devant avoir environ la trentaine se tenait devant eux.

« Salut frangin. Tu ne m’avais pas dit que tu avais 2 filles. Je croyais n’en avoir vu qu’une il y a 12 ans. »

« En effet, seule Mai est ma fille, son amie Shizuru voulait travailler ici et je crois que l’hôtel Kyriad cherche deux-trois personnes. »

« Parfait. On ira voir ça demain. Vous devez être crevés alors on rentre à la maison. »


Et le trio devenu quatuor grâce à Sakura la sœur de Takeo, continua sa marche en discutant.
Bientôt, ils arrivèrent devant une imposante baraque, mais Mai ne put l’admirer à cause de la pénombre. Les étoiles pailletant le ciel et l’astre lunaire n’éclairaient pas assez pour voir à plus de 5 mètres.
La maison était toute allumée, et plusieurs personnes buvaient du thé dans le salon. A la vue du groupe ils se levèrent et vinrent saluer tout le monde en se présentant aux deux jeunes filles. Puis les deux « sœurs » furent envoyées au lit se reposer. La journée avait été longue pour chacune et elles trouvèrent bien vite le sommeil, sombrant ainsi dans le monde des rêves.

VI] Nouveau départ

(Petit changement dans le style de narration)
Extrait du journal de Mai :

Le 6 avril : ce matin quand je me suis levée, j’ai du me pincer pour vérifier que je n’étais pas dans un rêve. Et bien non c’est la réalité : je suis dans ma chambre, dans la maison d’une famille de shinobis . Ma famille.
C’est le bonheur ! Hier j’étais trop fatiguée pour faire connaissance avec tout le monde et je me suis donc dépêchée de m’habiller et d’aller dire bonjour à mon père et aux autres.
Dans la cuisine, il y avait effectivement mon père, mais aussi sa sœur et le mari de cette dernière.
A mon entrée, un petit garçon et une petite fille se sont jetés sur moi. Ce sont mes cousins : Keichi, dit Kei, et Hana. Ils m’appellent tout les deux onee-san et ça me fait tout bizarre. En tout cas c’était super touchant de leur part. Je me sens déjà intégrée dans la famille.
Après ça ils m’ont gentiment donné à manger et après j’ai du les suivre de force pour visiter la maison.
Je n’ai pas pu voir Shizuru qui était partie un peu avant à l’hôtel et elle vivra désormais dans un petit appartement à coté de son boulot. J’irais la voir dès que possible.
Ensuite mon père m’a emmené dans le salon où il m’a fait une mini interro pour juger mes connaissances. En fait j’ai des lacunes à peu près partout et il a décidé de prendre mon apprentissage en main. En gros je vais devoir étudier tous les jours.

Le 5 avril : Père m’a offert le plus beau cadeau de la terre aujourd’hui : il viens de m’inscrire à l’académie. J’espère de tout mon cœur qu’Eden lui aussi à pu y rentrer. Quand j’irai à Konoha j’irai le voir. E attendant je pense à lui tout les jours en voyant sa rose qui résiste toujours, sous la cloche en verre où je l’ai mise. Quand je désespère, je la regarde et j’ai l’impression qu’elle et le souvenir qu’elle porte, m’insufflent la force pour continuer. Je sais que je ne suis pas seule et ça me réconforte.
J’espère qu’il me reconnaître. J’ai changé depuis il y a 5 ans. Et surtout depuis un an. Je porte une pée comme chaque membre Kukan. J’ai beaucoup de mal à m’en servir car je manque de force mais ça va venir car je vois mes progrès chaque jours.
Et puis en fait j’ai vraiment changé de tête.



Famille
Désolée pour le manque de dialogue dans les deux premières parties, ça devrais s'améliorer par la suite.
Pour ce qui est de l'apparition brève du marron dans le code des couleurs, c'est juste que Shizuru et Mai parlent en même temps (violet + vert = marron je crois)
Dernière modification par Mai Kukan le mer. 12 juil. 2006, 13:53, modifié 23 fois.
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Message par Musashi Akaito »

désolé je ne réponds pas encore pour ta bio , mais j'en prends note et j'essaye de voir comment vous placer pour que vous ne vous retrouviez pas sans sensei ensuite :winkk:
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Message par Mai Kukan »

Merci mais de toute façon je pourrais pas poster avant la rentrée (si par bonheur je suis acceptée avant)
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Message par Musashi Akaito »

effectivement ca simplifie la chose ^^ , mais bon vaut mieux prévoir :D
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Message par Mai Kukan »

Si c'est possible, je voudrais bien aller dans le clan Kukan, car j'ai vu qu'un de leur membre avait été envoyé chez les disparus.
Pitié des avis !!!!!!!!!!! Vous avez la flemme de lire ? (ce qui est tout à fait normal vu la longueur) Je voudrais avoir des opinions avant de partir en vacances.
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Message par Urusaki Kenji »

Un avis : Chouette histoire ! :super:
Fais juste gaffe, tu as deux repliques que tu as laissées en vert alors que ce sont d'autres personnages qui les utilisent (Un des parents puis Eden au chapitre III).
J'ai eu aussi un peu de mal à saisir chez qui elle vivait, c'est qui son beau père à qui on passe Mai à ses deux ans ? :? C'est le type avec qui la tutrice de Mai s'est remariée ?
J'avoue aussi ne pas comprendre pas bien non plus comment Mai risquait de se prendre un coup de sabot en restant sur le coté du cheval. Peut être qu'il faudrait developper ton idée sur comment ça s'est paé (ou plutôt comment ça aurait du se passer).
Mais là je fais la fine bouche, l'histoire est bien sympa, je suis curieux d'en apprendre sur l'histoire de Kaede et l'influence future d'Akio, c'est juste effleuré mais j'imagines que tu as l'intention de developper tout ça pour la suite. Zut, je vais rater tout ça. :cry:

Ah oui, pour finir, j'adore la fin du second chapitre. Voili, voilou, en esperant avoir aidé. ^^
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Message par Mai Kukan »

Enfin quelqu'un qui donne son avis !
Je vais changer l'histoire des couleurs de suite.
Pour ce qui est de son beau-père c'est un peu compliqué : en fait Kaede s'est mariée avec Takeo mais en secret.
Ses parents à elle un peu furax l'on marié à un type dans le genre des alliances comme au moyen age.
Et comme c'était une alliance, mister le beau-père de Mai s'est remarié dès la mort de son ex. Et donc c'est à lui et à sa seconde femme qu'on a confié Mai à ses deux ans.

Enfin, pour ce qui est d'Akio, je sais pas trop encore, c'est vrai que j'ai que survolé le problème mais j'essayerais d'approfondir ça en une autre partie pendant mes vacances.

Pour le cheval, il suffit qu'il pivote légèrement pour ratterir sur elle.

J'espère que j'ai bien répondu à tes questions.
Encore merci pour tout ça, ça fait plaisir d'avoir enfin des commentaires^^.
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Message par Urusaki Kenji »

Oui, c'est plus clair, pour l'histoire du beau père (surtout qu'effectivement, tu le mentionnes au tout debut). Pour le cheval, disons que j'avais du mal à imaginer la scène.
Quand à Aiko, vu que c'est lui qui decidait du contrat avec son beau frère et son père (et sans le beau-père) , je pensais que tu avais deja quelque chose derrière la tête pour utiliser ce personnage à nouveau.
De rien, en tous cas. :)
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Message par Shiyu Kûkan »

Raaaaaaaaaaah, je me suis fais grillé, Kenji il a répondu avant moi, raaaaaah, connerie de connexion internet et de 56k.

Sinon, vive le clan Kûkan, le plus beau, le plus fort, le plus mieux, etc etc XD
Bon, je sors de mes délires. Bienvenue sur NNS chère sœur (ou cousine. Je sais pas moi, je tiens pas un arbre généalogique des Kûkan)
Et ben, comment dire, je me perds dans mes mots. J'ai avalé l'histoire d'un bout à l'autre. Sans déconner, j'adore^^.
Entre la pause kleenex, le passage par le paradis, et le rapatriement chez les Kûkan, moi je dis bravo.
Au fait, ta bien fait de changer la description, parce que la lyre des Tsukio >_<, baaaah, méchant les Tsukio (aïe, pas taper, pas taper)

Pour ce qui est des choses sérieuses pour t'aider à ta bio, ben, j'en avais relevé avant-hier, mais Kenji il a tout dis, snif (qu'est ce qu'il vienne faire ici les Yukiens ^^)
Je tenais aussi à dire que le sabre était magnifique^^

Euh, que dire d'autre, pas grand-chose en fait, AH, si, à la prochaine^^


edit : si, j'ai trouvé quelquechose qui m'a fait bien marrer, c'est les fois où tu écris "Mais" au lieu de "Mai"
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Message par Mai Kukan »

Merci ! Ca me fait plaisir que quelqu'un comprenne mon humour. A vrai dire la pause Kleenex et les con***** qui sont autour j'ai écris ça à 2-3 h du mat' ^^'.
Pour le sabre c'est celui d'Arwen dans le seigneur des anneaux, c'est vrai qu'il est joli. Mais j'ai pas vu le tien dans ta bio (ou alors c'est juste que j'ai regardé en diagonale^^)

Edit : Mais au lieu de Mai ?! Il faudrait que je regardes un peu mieux les corrections de WORD. (pour pas dire que c'est entièrement ma faute^^)
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Message par Shiyu Kûkan »

Non, ta raison, moi j'ai pas mis d'image de mon sabre, j'en ai pas trouvé de bien sur internet, et j'ai pas trop eu les moyens d'en cherché (comme dis un peu plus haut, j'ai un vieu 56k à forfait limité, et c'est vraiment de la merde^^).

Pour les "Mais" au lieu de "Mai", tu peux toujours rechercher les fois où tu a mis "Mais", et vérifier que tu t'es pas gouré (pour ça, un petit coup de ctrl+f ^^)
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Message par Mai Kukan »

Je vais voir ça en vitesse. Mais là je regardes un truc donc si je suis connecté ici c'est juste que je laisse cette page ouverte^^.
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Message par Musashi Akaito »

eh bien tout cela me semble réellement très bien ^^

pour ce qui est du clan ne t'inquiete pas ca passe :winkk:

il y a des fautes mais aucune qui choque réellement ou qui rebute , donc ben pas de soucis a ce niveau la ^^

maintenant il va falloir un deuxième modo de suna pour valider cela mais c'est réellement plus qu'une question de temps désormais :winkk:
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Message par Leolio Mimura »

Je lirai ça ce soir. Là je me prépare pour aller guincher....bah ouais Billy Crawford vient dans notre blem paumé....et je vous jure que c'est la vérité.....
Surtout qu'en première partie c'est les sosies d'Abba....trop la classe...

Enfin dans le même temps, je ne vais pas y aller. Bah non, je fais parti du fan club de Lorie et nous n'avons pas aimé la façon dont Billy nous a traité ^^
Cliquez pour afficher le message:
Dans le même temps, qu'est ce que vous devez vous en foutre de ma vie
Enfin bref, je passerai plus tard.
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Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
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Message par Leolio Mimura »

Oui donc no problemo pour moi.

Le seul truc à changer c'est ton pseudo. Il faut maintenant que tu t'appelles Mai Kukan et non plus Mai. IL est important pour ceux des clans de le mettre dans le nom.
Donc si tu pouvais faire ça nous t'en serons reconnaissant.

Tu recevras un Mp, certainement de Musashi, pour t'indiquer où se dérouleront tes premiers cours
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
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