Bunjirou Watanabe

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Bunjirou Watanabe
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Bunjirou Watanabe

Message par Bunjirou Watanabe »

Nom : Watanabe

Prénom : Bunjirou

Age : 17ans

Sexe : Masculin

Description physique :

A 17 ans, Bunjirou est un garçon athlétique, 1m83 pour 71 Kg. Ses cheveux ébouriffés, naturellement noirs, sont d’un sombre bleu, comme celui du ciel nocturne et hivernal de Makyou no Kuni. Pourvu d’un nez aquilin et d’un regard profond, il aime scruter le monde qui l’entoure et les gens qui le peuple de ses yeux bleu nuit. Toujours le sourire aux lèvres, Bunjirou est souvent jugé comme séduisant auprès du sexe opposé. Les traits fins et dessinés, c’est un jeune homme à la démarche assurée.
De sa voix assez grave s’émane un léger accent pas du tout désagréable, et sa peau veloutée est quasi-imberbe.
Son attitude parfois guindée contre sa volonté lui joue souvent des tours.


Personnalité :

Bunjirou est un garçon plein d’humour, il a toujours un sourire aux lèvres, qu’il soit narquois, machiavélique ou autre, même dans l’adversité, il sourit.
Son visage très expressif trahi vite son humeur, lorsqu’il est énervé, ses sourcils se froncent et le sourire qu’il affiche se transforme en rictus ténébreux et angoissant.
Il ne se prend pas vraiment au sérieux, mais Bunjirou est un garçon plein d’ambition et parfois capable de tout pour arriver à ses fins… Capable de tout, mais pas assez pour en venir à trahir ses idéaux…
Malgré cette description, il est plutôt du genre calme et réfléchi, cherchant toujours ce qu’il y de mieux pour lui-même et ses amis… En effet, on peut sentir dans son caractère une pointe d’égoïsme et de matérialisme.

Nindo : « L'esclave n'a qu'un maître ; l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens utiles à sa fortune »


Histoire :

Pour une famille pauvre, il n’existe pas meilleure maternité qu’une grange… C’est dans cet endroit que Fujiko Watanabe donna naissance, le Vingt-trois février, à un petit garçon. Le dénommé Bunjirou. Ce jour la, les flocons de neiges coutumiers au village de Yuki tombaient par milliers ; de ce fait, le ciel s’était teinté d’une couleur grise, presque blanche. Le soleil était donc caché par les nuages immaculés mais sa lueur se faisait ressentir par la brillance de ces cumulus.

Elle était la, allongée dans la paille, épuisée par la prouesse qu’elle venait d’accomplir… En effet, le nouveau né était arrivé par le siège et l’accouchement ne s’était guère bien passé. Sa seul aide, son seul soutient se tenait à genoux devant elle, décontenancé par l’événement qui était survenu subitement. Ce fameux soutient s’incarner dans la personne de Takao Watanabe, le père du petit garçon.

L’odeur de la paille mélangée à celle du purin se trouvant non loin répugnait habituellement les deux personnes se trouvant dans la grange à cet instant, mais cette fois ci, ils avaient naturellement la tête ailleurs, ne sentant plus rien ni ne voyant autre chose que le sang et le liquide amniotique imbibant le foin à leur genoux.
Le visage de Fujiko, qui en somme n’était pas très belle, était marqué par la douleur qu’elle venait de subir. Ces traits généralement harmonieux malgré sa beauté « relative », était à cet instant complètement différent, ces sourcils s’étaient froncés et la sueur de son front perlait sur ses joues, se mélangeant avec les larmes qui elles aussi coulaient au même endroit. Ses cheveux gras et sales s’étaient mêlés à la paille et formaient ci et là quelques noeuds plus ou moins important. Son nez busqué dont les narines furent fortement écartées, créait par son obstruction un sifflement qui, combiné avec sa respiration haletante, donnait un bruit insupportable. Sa bouche lippu et ses grosses lèvres gercées auraient dégoûtées quiconque serait passé par la, rien que par le filet de bave qui dégoulinait du fin fond de son gosier. Mais malgré tout, le miracle de la naissance rendait cette scène émouvante…

Takao lui, était plutôt un homme bien bâtit, malheureusement, l’intelligence n’était pas son fort. Il était, comparé à sa compagne, plutôt beau en dépit de son visage quelque peu bourru.
Les cheveux noirs et les dents jaunes, l’homme était éleveur, comme ses ancêtres qui l’avaient précédés.

La position du nouveau né avait rendu l’accouchement difficile, causant multiples douleurs et saignements à la femme qui venait de le mettre au monde.
Malheureusement, ces saignements n’étaient pas anodins…

Sentant son heure venir, Fujiko empoigna la main tremblante de son mari, l’amenant à sa joue grâce à ses dernières forces. Bouleversé par ce qui était entrain de se passer sous ses yeux, l’homme terrifié était en nage « Tiens bon ! » son cœur battait la chamade et sa respiration se faisait difficile « Je… » il perçut que la poigne de son épouse faiblissait et les yeux de son égérie se mirent alors à tourner « t’aime… » Takao sentit la main de Fujiko glisser entre ses doigts humides avant de s’écraser lourdement contre le sol. Sa tète avait basculé en arrière, et déchiré par cette vision, Takao la couvrit d’un drap se trouvant non loin de là.
La larme à l’œil, il se saisit de son corps inerte, et de sa démarche dégingandée, il la porta jusqu’à l’extérieur où les flocons de neige vinrent fondre sur le visage de la défunte mère qui arborait étonnement un visage angélique…
Takao posa alors genoux à terre et étala sa femme sur le tapis de neige qui s’était formé.

Il recula de quelques pas avant de fondre en larme et d’à son tour s’étaler au sol comme pour se laisser mourir de tristesse…
Dés ce jour, il tint rigueur à Bunjirou pour la mort de sa femme. A ses yeux, il était le meurtrier de son âme sœur…



Un an passa…Bunjirou faisait ses premiers pas et son père, las de ce fils trop jeune pour travailler et qui, à ses yeux, n’était qu’un parasite, n’y prêtait guère attention. La seule raison pour laquelle il ne l’avait pas laissé pour compte, c’était en la mémoire de sa femme, seul souvenir qui lui restait d’elle.
C’était tout juste si Takao s’occupait de lui donner à manger. Au final, il ne le considérait ni plus ni moins comme l’une de ses bêtes.
De ses premiers pas découlaient ses premières aventures, à 1 an et 8 mois il avait déjà fait ses premières courses dans les pattes de la multitude de boeufs musqués qu’emmenait paître son père, et au vu de cette première année, Bunjirou semblait destiné à être un homme plutôt dynamique.


Une seconde année défila… Le petit garçon était maintenant âgé de 2 ans et 8 mois et il n’avait toujours pas appris à parler, faute d’exemple à suivre. En effet, Takao ne prononçait pas une seule syllabe en sa présence, surement une des seules preuve d’intelligence, aussi sournoise soit-elle, qu’il eut lors de sa vie futile.
L’avenir de Bunjirou s’annonçait bien morne.


Encore deux ans s’écoulèrent… Cette fois, le petit Watanabe avait 5 ans et il avait désormais appris à parler, certes pas très habilement, mais il énonçait, malgré tout, quelques phrases sans se tromper.

Un important épisode de sa vie allait se dérouler en ce jour.

Tout cela se passait en plein hiver, un hiver rude et austère, aussi bien pour les animaux des Watanabe que pour l’économie branlante de leur chef de « famille »… En effet la bourse de Takao était vide et cela faisait déjà plusieurs jours que Bunjirou jeûnait.
Vers quatre heure de l’après midi, un riche marchand vagabond accompagné de son escorte qui passait par là, en eut assez du froid mordant qui l’oppressait déjà depuis plusieurs kilomètres, et n’eut que pour seul possible abri, la ferme délabré des Watanabe.
Se décidant à demander le gîte, il installa sa carriole dans la grange, et lui et sa garde composé de deux shinobis se précipitèrent sur la porte d’entrée.

Les contours bombés de son front lui donnaient un air sage et réfléchis. Il avait la main potelée de l’homme gras, et lorsqu’il frappa à la porte, il remonta légèrement la manche de sa tunique de satin rouge ocre.
Le marchand se nommait Ishitsugu Itsugaya. Sur sa tunique était brodé un double « I », montrant que ce personnage était égocentrique à souhait.

Ce fut Takao qui vint entrouvrir la porte :

« Oui ? »

« Bonjour, je me nomme Ishitsugu Itsugaya, riche marchand des contrés du sud-est, moi-même et ma garde souhaitons nous reposer et de ce fait *Surtout par dépit, misérable paysan* venons à vous demander le gîte… »

Voyant les habits d’apparences fortunés que possédait le commerçant, Takao accepta de les laisser entrer, pensant que cette rencontre ne pourrait que lui être bénéfique.
Il élargit alors l’angle d’ouverture de la porte grinçante, et se précipitât sur leur repas du soir, une maigre cuisse de poulet, et l’offrit de suite à Ishitsugu.
Une longue et fastidieuse discussion s’en suivit… Jusqu’à ce que :

« C’est dur de trouver des jeunes travailleurs obéissant de nos jours… Pourtant je ne comprend guère, puisque je cherche assidûment ! »

Takao, eut un déclic. Les seules raisons qui l’avaient poussé à ne pas abandonner son fils, furent des raisons d’éthique comme son honneur, ou encore la mémoire de sa défunte épouse…
Mais au diable l’honneur lorsque l’hiver est rude et que le ventre vide vous tiraille toute la journée…

« Eh bien que diriez vous si je vous vendait mon fils ? »

« Pardon ? »

« Oui, il ne parle pas, et il est en age d’effectuer la plupart des tache ménagère ! Et puis, pour moi, c’est plus un fardeau qu’autre chose… Que diriez vous de 700 Ryos ? »

« Eh bien cela me parait honnête… J’accepte ! »


Et c’est ainsi que commença la vie de dur labeur de Bunjirou Watanabe…


Onze années s’écoulèrent… Onze années d’esclavage… Onze années où la notion de droit avait été étrangère pour Bunjirou…
Pendant tout ce temps, Ishitsugu avait développé une haine sans pareil envers le jeune Watanabe. Sûrement du au divers « accidents » que le jeune garçon avait provoqués… Ces derniers toujours couverts par le fils du marchand.
La présence de l’adolescent lui était devenue insupportable, si bien que Bunjirou devait attendre que le riche marchand sorte d’une pièce afin d’y entrer et d’y faire le travail qu’on lui avait assigné.
Considéré comme un objet, il n’en pouvait plus, et regrettais presque l’époque où il était maigre comme un clou à cause de son père négligeant… Maigre, mais libre…

Au final si le commerçant ne le renvoyait pas, ce fut grâce à son enfant ainsi que pour des questions d’honneur :
Qui aurait confiance en un marchand réduisant des enfants à l’état d’esclavage ?


L’adolescent qui allait sur ses dix-sept ans avait été malmené et contraint à effectuer des taches plus dégradantes les unes que les autres, simplement afin de pouvoir manger…

Ishitsugu avait un fils du même age que Bunjirou… Aussi arrogant et égocentrique que son géniteur, le garçon était toujours bien habillé, souvent vêtu d’un long manteau dont le col était en fourrure, le descendant des Itsugaya était percé aux oreilles, avait les cheveux aux couleurs de la neige grise et les yeux d’un étrange violet.
Il adoptait souvent un air niais, mais qui cachait en réalité une formidable intelligence.
Il était le seul à ne pas mépriser le jeune Watanabe, et lui enseignait même les rudiments de la langue, il aimait se sentir supérieur et important, c’est pourquoi la présence de Bunjirou lui était devenue presque nécessaire.

Un jour, lorsque Bunjirou était âgé de 13 ans, il lui avait été donné la tache de ranger la chambre du jeune garçon de la demeure.
S’hâtant pour finir son devoir à temps, il s’était empressé de sortir de sa couche le balai à la main. Avançant au fil des couloirs sinueux de l’immense maison, il était après une trentaine de seconde en vue de la chambre du garçon… Mettant sa main sur la porte il la fit coulisser lentement afin de faire le moins de bruit possible au cas ou, par malheur, quelqu’un se trouvait à l’intérieur.
Entrebâillant la porte, il passa timidement la tête dans l’encolure de cette dernière pour vérifier ses présomptions.
Voyant que personne n’était là, il entra à l’intérieur de la pièce…

*Ouah !*

Ce fut la première fois qu’il entrait dans la chambre du fils d’Ishitsugu, et il fut surpris de la beauté de la salle.
Le papier peint de couleur beige se mariait parfaitement à la teinte chocolatée des meubles, la moquette était elle aussi de couleur beige.
Regardant le meuble à sa droite, il vit un petit sachet de liquide rougeâtre à moitié vide posé sur une serviette…
Espièglement, Bunjirou s’en approcha, regardant avec curiosité, il se demanda de quoi cela pouvait-il s’agir.
S’en saisissant, il marcha avec émerveillement et jalousie dans cet environnement dont il rêvait depuis toujours.

*Je donnerai tout pour avoir ça… Mais je n’ai rien…*

Soudain, il tomba face contre terre… Ses pieds venaient de se prendre dans son ballai qui venait juste de tomber.
Se relevant difficilement il regarda en direction du lit, et vit avec angoisse et stupeur que le sachet de colorant rouge avait glissé de ses mains lors de la chute, et était venu directement répandre le liquide sur la couche de l’Itsugaya.
Paniqué, il s’enfuit alors, laissant par inadvertance le balai dans la chambre.

Heureusement, ce fut le fils du commerçant qui vit la scène en premier et dissimula le balai, prétextant à son père une fausse manipulation lors de la teinte de ses cheveux…
Mais Ishitsugu n’était pas dupe, il fouetta le malheureux Bunjirou de ses propres mains le soir même…



Les enseignements du fils d’Ishitsugu, dont le nom était Tetsukazu, donnait de nouvelles ambitions à Bunjirou, comme celle de s’en aller, partir pour devenir shinobi…
En effet leur sujet de conversation le plus fréquent était celui des ninjas, et du ninjutsu en général. C’était un des seuls sujet de conversation qui lui donnait des ailes, lui donnait envi de voyager pour sa patrie… Mais surtout pour sa propre gloire…

« Un jour je t’aiderai à t’en aller ! » Lui répétait sans arrêt Tetsukazu.


Et puis, le soir de son anniversaire, Tetsukazu se faufila sans éveillé l’attention dans le minuscule petit cagibi se trouvant au sous-sol de l’immense demeure de la famille Itsugaya et où dormait Bunjirou.

« Bun’ ! Bun’ ! Réveille toi ! » Chuchotât le fils du marchand à l’oreille du Watanabe en le secouant.

« Ce soir, mon père s’en est allé, il n’y a qu’un Genin qui surveille l’entré principale… Vite suis moi ! »

Sans plus attendre, il pris son « compagnon » par la main et l’entraîna dans sa luxueuse chambre…
Ouvrant les portes de son armoire, il se saisit d’un blouson de couleur bleu et d’un pantalon de la même teinte. Les jetant dans les bras de Bunjirou, il lui ordonna de s’en vêtir afin de remplacer les habits en loques qu’il était obligé de mettre, faute de plus.
Puis, se dirigeant vers sont lit, il sortit une petite boite en carton qui fut caché en dessous de ce dernier, et la jeta elle aussi dans les bras du Watanabe qui venait tout juste de finir de s’habiller.

Lorsqu’il l’ouvrit, il vit à l’intérieur plusieurs dizaines de petites fioles remplies d’un liquide étrange de couleur bleu...

« Le noir te vas pas… »

Puis, il l’emmena à l’arrière de la grande bâtisse lui indiquant le chemin à prendre afin de sortir de la propriété…

« Lorsque tu seras sorti, vas t’inscrire à l’académie de la glace… Une fois là bas tu seras enfin libre… Garde toujours le sourire, et n’oublis pas… Tu n’es pas seul… »

Après une poignée de main émouvante et solennelle en guise d’adieu, Bunjirou tourna les talons…

« L'esclave n'a qu'un maître ; l'ambitieux en a autant qu'il y a de gens utiles à sa fortune… Ne me déçois pas Bun’… »

-------------------

Qualité : Bunjirou est un garçon plein d’entrain, ayant souvent le mot pour rire, mais quand il le faut, il peut faire preuve d’un calme étonnant.
Il est aussi plein d’ambition et à une bonne capacité d’analyse.


Défaut : Le principal défaut de Bunjirou est sa moindre expérience du monde résultant de sa « captivité ».
Il fait aussi quelque fois preuve de désinvolture envers certaines choses qui ne lui plaise pas et est souvent matérialiste et parfois égoïste…


Ce qu’il aime : Bunjirou aime toute les bonne choses de la vie, il fait preuve de beaucoup de péché capitaux :
Gourmandise, Luxure, Avarice etc…


Ce qu’il déteste : ce jeune garçon à une sainte horreur des caniches, c’est étrange, mais cet espèce de chien le répugne profondément. Il n’aime pas non plus les marques de captivités qu’il perçoit autour de lui (Oiseau en cage etc…).
Dernière modification par Bunjirou Watanabe le dim. 21 oct. 2007, 22:47, modifié 15 fois.
Bunjirou Watanabe étudiant de Yukigakure no Sato
Uo Mano
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Uo Mano »

J'ai connu un Wasatsube un jour...


Ceci dit bienvenue :)
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Nemuri Aoki
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Nemuri Aoki »

Wo! Un beau gosse à Yuki ! Du jamais vu ! ^_^
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Wei-chi Komoku
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Wei-chi Komoku »

J'ai hâte de lire la suite.

Aoki, il n'y a qu'un seul beau gosse à Yuki et c'est moi.
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Nemuri Aoki »

C'est pour ça que tu ne mets pas d'avatar ... :/
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Wei-chi Komoku »

Mh ? Tu as perdu tes yeux récemments ? Enfin, moi je dis ça..je ne dis rien.. :roll:
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Yumi Watase
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Yumi Watase »

j'ai le droit ? ._.

Bienvenue =D
*offre un petit canard jaune au nouveau venu*
>(@)< Yumi Watase >(@)< pauvrette perdue à Konoha >(@)<

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Bunjirou Watanabe
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Bunjirou Watanabe »

Merci à tous pour l'accueil ^^ !

*Met le canard jaune dans sa poche après un clin d'oeil, et en donne un bleu à Yumi*


(Je me présenterais comme beau-gosse n°2 une fois accepté :p)
Bunjirou Watanabe étudiant de Yukigakure no Sato
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Leolio Mimura »

Yumi Watase a écrit :*offre un petit canard jaune au nouveau venu*
Et on ose dire que je suis pervers ^^. C'est pas moi qui offre un canard
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
Bunjirou Watanabe
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Bunjirou Watanabe »

Ah tu mens ! Il y a lécher son coude qui est impossible aussi !!! (Expèrience personelle)



Sinon j'ai fini d'écrire l'histoire ^^
Bunjirou Watanabe étudiant de Yukigakure no Sato
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Yumi Watase »

qu'est ce qu'il y a de pervers à offrir un canard ._.

*chante et danse : elle en a un bleu*
Nous sommes des frère et soeur de canards maintenant ^o^
*fais calin à son grand frère de canard*

Vas-y fais pouik pour voir =p
>(@)< Yumi Watase >(@)< pauvrette perdue à Konoha >(@)<

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Soi Fon
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Soi Fon »

Bungeeeeeeee, ben bienvenu (la fausse excuse pour flooder :p)

Yumi, tout dépend du type de canard, demande voir à Rin, elle peut t'en parler :mrgreen: .
Soi Fon Shinshun junin de Kirigakure no sato, le plus mauvais caractère du pays de l'eau
Bonne. Mauvaise. Je suis la fille avec l'hiroi ken.
Bunjirou Watanabe
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Bunjirou Watanabe »

Pouik ?!


Ajout des qualités, défauts et gouts voila j'ai tout finis !!!
Maintenant reste plus qu'à attendre les remarques ^^
Bunjirou Watanabe étudiant de Yukigakure no Sato
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Yumi Watase
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Yumi Watase »

moi c'est le vieux canard jaune en plastique quand tu appuie dessus ça fais pouik et tu eux le mettre dans ton bain et jouer avec...
Y a rien, absolument rien de pervers la dedans...
Ceci dit mon frêre pouik comme un Dieu *3*
>(@)< Yumi Watase >(@)< pauvrette perdue à Konoha >(@)<

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Uo Mano
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Re: Bunjirou Watanabe

Message par Uo Mano »

Voilà voilà, j'ai tout lu !

Donc je dirais que malgré quelques fautes par-ci par-là, c'est pas mal.

Quelques points à éclaircir (qui m'ont choqués, à vrai dire) : Les vaches à Yuki ? Si c'est un peu plus loin que le village, dans un climat plus ou moins tempéré, ok, mais sinon, Yuki c'est le pays de la neige, donc l'élevage bovin y'en a pas trop. ^^

Et ensuite, tu vaux 70 Ryos seulement ? Avec 70 Ryos, on s'achète un paquet de pâtes pour la semaine :D

Donc ces points sont à éclaircir. Et développer un peu plus pourquoi ils te détestent (ton père puis ton maître), rajouter des faits marquants par exemple peut aider à vraiment comprendre pourquoi ton père te vend (alors qu'il ne le fait pas avant) et pourquoi le maître te déteste.

(D'ailleurs, une question se pose : Combien vaut Ryo ? :mrgreen: )
Mano, Juunin-qui-pêche dans la glace
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