Karasu Okitao [Accepté]

[Karasu Okitao]

• Nom
  Okitao
• Prénom
  Karasu
• Âge
  12ans
• Sexe
  Masculin
• Description physique
  Vous avez devant vous un garçon,un garçon des plus banal. Il mesure environ un mètre cinquante cinq. Il n'est pas aussi maigre que les habitants de son village, non au contraire, il est même légèrement rondouillard. Il y a pourtant une choses qui attire votre regard, qui le différencie des autres, ses cheveux, ils ont la texture et la couleur des plumes du plus sombre des Corbeaux...
  Mais une autre chose vous titille l'oeil, il vous aura fallu pour cela quelques minutes, vous remarquez que Karasu ne cligne jamais des yeux, pour cause, il est aveugle, et pourtant vous discerné de magnifique yeux l'un couleurs bleu aqua et l'autre vert émeraude... En y regardant de plus près vous voyez qu'il s'agit en faite d'un maquillage fait sur ses paupières fermées.
  Ce maquillage donne l'impression que Karasu est énervé, qu'il est prêt à vous bondir dessus... Mais à le connaître, vous découvrirez qu'il n'en est rien d'autre qu'un masque, une protection..
• Histoire ([HRP:je ne vais pas respecter le code couleur pour la conversation, vu que le BG entier est la conversation[/HRP])
  
  Ma naissance
  Mon village natal est des plus magnifique, au pied des monts neigeux qui lui font paraître une aura lumineuse... Mère me raconta qu'un jour du mois de mai, un nuage de corbeaux passa au dessus de notre village, évidement les anciens du villages voyaient dans ce signe un heureux présage. Cela ne rendit pas ce jour exceptionnel, des corbeaux l'on en voit ici et là...et pourtant ce 13mai fut un jour inoubliable pour mère, en effet c'est ce jour que je suis venu au monde... Mère et Père m'ont nommé Karasu en hommage au vol des corbeaux... Mère me contait souvent ma naissance, elle me disait que le corbeau seras à jamais mon symbole... Voilà que dans le village naquit un petit corbeau dans la famille Okitao. Le 13 mai est la date de ma naissance, de la naissance de Karasu Okitao...
  
  Le début de ma vie
  Mes parents sont sûrement les meilleurs parents du monde, ils n'ont cessé de jouer avec moi... ils n'avaient pas grand chose d'autres à faire aussi, mère était artiste, quand à père il était comptable. Nous étions une famille modeste, les moqueries et plaisanteries sur la triste lignée des Okitao allaient de bon train.
  Puis vint le jour où je me suis mis à marcher pour la première fois, Père me radotait souvent que c'était avec lui que je fis mes premiers pas, il en était fier. Quand à mère, elle m'apprit à écrire et à lire. J'adorais cela, souvent je m'en allais flâner dans l'atelier de mère, je prenais une toile et je dessinais dessus... J'adorais mère plus que tout au monde, père aussi, mais l'amour que je portais envers mère était tout autre... je ne pouvais pas m'en passer, je la suivais partout, je reproduisais le moindre de ses gestes. Mais ce que j'adorais par dessus tout, c'est lorsque mère se mettait au fourneau, ce n'était non pas le goût de la nourriture, ni même son odeur que j'appréciais, non, il s'agissait surtout de voir les flammes danser sous son poêlon...
  
  Une passion empoisonnée
  J'avais 7ans lorsque j'ai découvert cette passion pour le feu.. je passais des heures et des heures à regardais les flammes danser. Il m'arrivait même souvent de me lever et d'imiter la danse du feu. Mère me répétait sans cesse que je finirais par me brûler. Quand à père, il m'observait, il était fasciné de voir la passion que je portais au feu. Père faisait pour mon plus grand bonheur d'énorme brasiers dans notre jardin, et l'on passait nombreuse nuit autour, l'on accompagnait les flammes.. Père avait plaisir à voir mes yeux s'illuminer lorsque j'entendais le bois craquer dans le feu.. Mais j'aurais dû écouter mère.. Car un jour...
  Le jour de mes 8ans pour être plus précis, père me fit le plus beau cadeau qu'il ne me fut fait... il me montra comment allumer un feu, heureux de cet apprentissage je voulais aussitôt le faire seul, je pris donc le bras de mère et l'entraîna dehors. J'ai alors rassemblé des morceaux de bois et reproduit les instructions de père à la perfection, le feu prit, j'étais sûrement le garçon le plus heureux de la planète.. mère prit une petite branche et l'embrasa. Elle me la tendit me rappelant que le feu est peut être beau, mais qu'il est surtout destructeur, puis elle rentra à la maison, me laissant seul avec mon feu... Je suis restais toute la journée à veiller le feu, puis il s'éteignit, lorsque j'ai vu qu'il ne restait plus que quelques braises, je fit comme père faisait, je me suis mis à souffler dessus. Voyant toutes ces petites lueurs rouge virevolter devant moi, je me mis à souffler de plus belle... Mais inconscient que je fut à l'époque, des braises atteignirent mes yeux, j'ai sûrement alerté tout le village en hurlant.
  
  Ma petite mort
  Père et Mère sont arrivés en courant, je ne cessais de pousser des hurlements, je ne pouvais plus ouvrir les yeux, du sang s'écoulait de ceux-ci... Père et Mère s'empressèrent de me porter chez le guérisseur du village... mais il était déjà trop tard... mes yeux furent brûlés... je suis alors devenu aveugle..
  Naître aveugle, c'est comme naître avec la vue, l'on fait avec, l'on s'y adapte tout de suite, l'on s'y habitue... mais devenir aveugle, c'est une autre chose, c'est un peu comme une petite mort... Je ne savais plus marcher, lire, écrire et même manger... tout les choses nécessaires à la vie, tout ce que mes parents m'avaient appris petit, tout cela n'est plus... Heureusement, Mère et Père étaient bienveillant, ils s'occupèrent de moi. Ils m'ont réappris à vivre. Je me souviens quand père me réapprenait à marcher. Il est impressionnant de voir que sans la vue, nous perdons tous nos repères...
  
  Le début d'une nouvelle vie
  Après quelques semaines d'entraînement intense avec père et mère, j'ai pu à nouveau marcher et manger seul... Mais des lors une nouvelle vie commença pour moi, je ne pouvais plus ni lire, ni écrire, et surtout je ne pouvais plus contempler les oeuvres de Mère.. Quant au Feu, cet élément que j'idolâtrais, je le déteste désormais... le moindre crépitement de flamme réveille en moi la douleur que j'ai ressentie ce jour..
  Il arrive un moment, où, le fait d'être aveugle n'est plus une infirmité, mais une fatalité... je n'osais sortir de la maison, je suis restais seul, isolé avec pour seul ami mes parents jusqu'à mes 10ans... qu'est ce que j'ai fait durant l'année de mes 9ans me direz vous... et je vous répondrais que je n'ai rien fait, ou presque, je passais mes journées à caresser les toiles de mère, essayant de les sentir, puis je suis parvenus à les voir, non pas physiquement, mais avec mon coeur... j'ai appris à utiliser mes autres sens.. je parvenais enfin à discerner des mots, cela fut fastidieux, mais en passant les mains sur les feuilles de comptes de père, j'ai pu me rendre compte que l'on sentait la rainure laissé par sa plume, à cela ce rajoute la texture de l'encre qui était différente de la feuille.. je me suis alors concentré sur ces petits détails, et à force d'acharnement, je suis parvenus à déchiffrer quelques mots et en deduire plus ou moins ce qui était écrit.. j'ai donc passé deux années de ma jeune vie à réapprendre à voir...
  
  La douleur de la solitude
  Je ne sortais donc plus, mais un enfant de 10ans ne peux rester seul... j'avais besoin de sortir de voir du monde, mais je n'osais pas... j'essayais même de cacher ce désir secret à mes parents... je passais mes journées derrière la fenêtre à écouter les bruits ambiant.. surtout lorsqu'il pleuvait, j'adorais le son des gouttes de pluie venant s'écraser sur la fenêtre.. Mais malgrés mes efforts pour le dissimuler mère avait compris que je voulais sortir et que je n'osais pas... alors elle m'emmena dans son atelier et me dit de rester immobile... je sentais les poils de son pinceau contre mes paupières, elle me dit alors,''comme ça tu auras des yeux, non pas des yeux comme tout le monde, je t'en fait un de la couleur de l'eau, car elle représente la puretée de ton âme, mais l'autre seras aussi brillant qu'une émeraude cela refléteras ta force d'esprit, et ton courage''. j'étais heureux, je me sentais alors comme tout le monde...
  Je suis donc sortie dans la rue... cela ne fut pas évident, je me heurtais à tout, je n'arrêtai pas de trébucher et tomber... bien évidement tout cela sous les rires des enfants du village... cette expérience était bien trop forte pour moi... je suis donc partis me refugier à la maison, disant que je ne sortirais plus jamais... Et je l'ai fait, durant encore deux longues années, je n'avais pas mis un pied dans la rue, si ce n'est dans notre jardin... j'y sortais les jours de pluie, je dansais sous l'eau, je me sentais alors libre, l'eau était pour moi la bienfaitrice, la force capable d'apaiser le feu qui ma fait tant souffrir.
  Mais même dans mon jardin, je ne cessais de tomber... père eu alors une idée... il me confectionna des Geta, en me les donnant il m'expliquât que si je parvenais à marcher avec, alors je pourrais tout faire, réaliser le plus fou de mes rêves...je sortais donc tous les jours dans le jardin avec mes geta, j'étais fier, je réussissais sans difficultés à exécuter tout les mouvements avec, je pouvais sauter, danser, courir...
  
  l'initiation d'une destinée
  Puis un jour, père me rejoignit dans le jardin, il essayait d'être discret, de ne faire aucun bruit pour que je nele repère pas... mais à force d'écouter la pluie, mon ouïe était devenue aussi affûtée que la plus tranchante des lames, je me suis donc retourné et je lui ai sauté dans les bras... Père fut étonné de voir avec quelle rapidité j'ai pu le rejoindre, et avec quelle précision j'ai pu visé ses bras sans même les voir... alors il me demanda si je voulais apprendre à combattre, à me défendre. J'ai évidement dit oui, nous nous entraînions tous les jours avec père, au début je me faisais battre, puis père m'expliqua que je devais apprendre à sentir les coups venir plutôt que d'essayer de frapper... je me suis alors concentré sur les sons ambiants, puis père essaya de me porter un coup de poing, j'ai réussi à l'esquiver, je n'arrivais pas à le croire. Mais père me remis dans le droit chemin, m'expliquant qu'esquiver un coup ne suffirait pas, il me fallait aussi apprendre à frapper au bon moment au bon endroit... durant une année presque entière je m'entraînais avec père, cela me faisait prendre confiance en moi... à tel point que je voulus ressortir en ville...
  Munis de mes geta et surtout du maquillage de mère, je sortis alors dans la rue, elle était différente de la dernière fois, la différence étant que cette fois j'avais le sentiment de la voir... J'avançais confient, quand un caillou vint heurter ma tête, je me suis alors retourné, vers ce qui me semblait être l'origine du projectile, je n'eus pas le temps de dire mot que j'entendis un autre caillou venir en ma direction, je l'ai alors esquiver. Mais j'étais tellement concentré sur le bruit du caillou que je n'entendais rien d'autre, d'où ma surprise lorsque je sentis que l'on me frappa dans le dos. Le coup était tel que je fut projeté au sol... j'entendis alors des moqueries, des ricanements, je suis alors parvenu à en déduire le nombre, ils étaient deux, à en croire le timbre de leurs voix, ils ne devaient pas être bien plus âgés que moi.. je me suis alors relevé, je suis resté debout immobile à attendre, et comme je l'avais prévu l'une des deux personnes se précipita sur moi, ses pas résonnaient tel un troupeau de vache dans ma tête, je n'eus aucun mal à le localiser. Il s'arreta alors devant moi, sûrement pour vérifier que je ne le voyais pas, je ne bougeais pas d'un poil, puis le bruit du vent changeât, le son qui parvenait à mes oreilles était un son maintenant presque commun, celui d'un coup de poing se dirigeant vers moi... je me suis alors baissé, j'ai senti le poing passer au dessus de moi, j'ai alors effectué un légère rotation en m'avançant de tel sorte que je me suis retrouvé derrière mon agresseur, je lui ai alors, sans aucune hésitation donnais un coup du tranchant de ma main dans le dos, d'une rapidité tel qu'il fut envoyé au sol, le souffle coupé... Mais ils étaient deux.. et voilà que j'entendais à nouveau des bruits de pas lourd et rapide, mais ils ne venaient pas dans ma direction, non, l'autre personne s'enfuyait en courant dans l'autre sens... je suis alors retourné à la maison, non pas peu fière de mon action que je me suis empressé de raconter à mon père.. Évidement mère n'était pas contente, mais je sentis sur le visage de père un immense sourire de satisfaction, c'est alors qu'il me dit que je ferais sûrement un bon shinobi..
  
  Devenir Shinobi...
  Peut être avait il dit cela pour plaisanter, mais du haut de mes 12ans, j'avais pris cela comme un défi, celui de prouvais à la terre que handicape n'existe que pour celui qui ne sais se l'approprier.
  J'ai donc répondu à la plaisanterie de père en lui disant, que je deviendrais shinobi, je me souviens encore du rire que je reçus en réponse... Mère elle ne rigolait pas, elle avait un dons pour me comprendre, elle savait que j'étais sérieux, elle se mit à pleurer, j'entendais ses sanglots et le son de ses larmes heurtant le sol. Je me suis alors précipité dans ses bras, père compris que j'étais décidé, que sa plaisanterie avait tournée au défi..
  Mère ne se calma pas vraiment, mais elle cessa de pleurer, elle me connaissait, elle savait que malgré mon age j'étais plein d'ambition...alors elle se résigna et s'en alla dans son atelier.. Père alla la rejoindre, pendant ce temps je suis parti préparer mes affaires, je mis mon vêtement favoris, un sublime Yukata blanc...puis.. je suis retournée dans la salle principale, Mère et père étaient déjà la... Je pensais qu'ils allaient me retenir, surtout mère, mais non... Mère me remit un sac remplis de vivre, et père me dit qu'il existait un village dans les montagnes, un village de shinobi, et que la bas, je serais sûrement le bienvenue... Mère haussa le ton, elle disais que père ferait mieux de m'accompagner, que l'on pouvait me lâché comme cela dans la nature... Père lui expliqua alors que ce serait comme une première épreuve, si je ne parvenais pas à trouver le village, alors je rentrerais à la maison... Mais mère savait que je ne rentrerais pas de si tôt, que je me battrais jusqu'au bout...
  
  Où suis-je?..
  Je suis alors parti pour les montagnes, sans même une larme... et me voilà.. je suis la maintenant, je sens l'air froid qui commence à me ronger les os, j'entends le vent dans les arbres... je ne voit rien, je ne sais pas ou je suis... je somnole, j'entends des sons au loin... serait ce le village des Shinobis... je ne sais trop encore, je m'endors doucement... Mais, non je ne peux m'endormir ici, j'entends des pas, ce n'est pas un bipède... est ce la peur qui m'envahit? Ou est ce la fatigue qui se fait ressentir... je ne sais plus trop...
  
  Le retour à la réalité
  un battement d'ailes... Le corbeau s'envole, il est repartit... et moi je me retrouve la dans cet arbre seul... Suis je à ce point fatigué pour me mettre à parler à un corbeau... pourquoi lui avoir raconté ma vie... Mais oui, je suis Karasu, je suis un corbeau, mère le disait, et un corbeau n'abandonne jamais... mais je suis si fatigué...je me blottis sous les branches... j'ai froid... je sens le maquillage de mère se craqueler...je comprend maintenant, je n'ai jamais été seul en faite... mère et père étaient présents... maintenant ils ne sont plus la pour me défendre...
• Nindô
  ''Le meilleur moyen de se rendre invisible aux yeux des autres, et de ne plus se voir soi même. Pour moi cela est devenu une évidence..''
• Caractère
  Calme, toujours à l'affût du moindre son, du moindre mouvement..ne supporte pas la pitié, ne fait confiance qu'à très peu de personne
• Qualités
  Rapide, agile, aveugle, obstiné.
• Défauts
  aveugle, susceptible, parfois pessimiste...
• Ce qu'il aime
  L'eau, les corbeaux, le calme, ses parents
• Ce qu'il déteste
  être rabaissé à cause de son infirmité(la pitié), le feu.

[Wei-chi Komoku]

Hem, je lirai ça plus tard quand j'aurai le temps et à tête reposée, mais...ce forum exige une narration à la troisième personne °

[Karasu Okitao]

si vraiment il le faut, je pourrais changer la narration, bien que j'ai une preference pour la 1ere personne \(^_^)/


[Edit:bon bon bon, je vais changer tout cha alors ]

[Wei-chi Komoku]

Bah vi mais le reglement c'est le reglement °

[Haeru Mikomi]

Je rapelle qu'on peut tout à fait faire un bg à la première personne, si c'est justifié (par exemple en parlant à quelqu'un, en l'écrivant, voir même en faisant de l'intrsopection). J'ajouterais que cela a été fait à de maintes reprises, sans que personne n'y trouve à redire.
Donc si la première personne est justifiée, il n'y a aucun problème. Il manque donc juste quelques lignes pour expliquer pourquoi tu mets tout ça à la première personne ^-^.

[Urasawa Kenji]

Ma bio par exemple =).

Mon perso écrit une lettre à un destinataire inconnu où il raconte sa vie, donc à la première personne . Le truc c'est qu'il faut justifier de son emploi comme l'a fort justement souligné Haeru =D.

[Karasu Okitao]

Merci, bon beh, je vais nous rajouter le pourquoi du comment

[Wei-chi Komoku]

Bon, j'ai lu l'histoire.

J'aime beaucoup le fond, pour une fois qu'un personnage n'est pas un orphelin avide de vengeance et qu'il a des parents très aimants ça fait plaisir^^.

Mais il y a beaucoup de fautes, de grammaire ou d'orthographe..
Ensuite, histoire de chipoter un peu, je ne suis pas sûr que le froid de Yuki (il n'y a jamais de printemps, ce n'est qu'un éternel hiver) permette aux corbeaux de vivre, enfin, ça faudra regarder dans quel climat ça évolue, ces bestioles .

Euh pour le coup des feux dans le jardin d'accord mais il a intérêt à être sacrément déblayé ton jardin, parce que du bois dans la neige c'est vite humide.

Et sinon, je trouve son réapprentissage de la lecture un peu rapide. Rien que pour le braille, ça prend longtemps, alors en plus de simples traits à la plume... je vois plutôt ça prendre dix ou quinze ans, après encore une fois je ne suis pas spécialiste en la matière...

Mais j'aime bien la manière dont c'est vu et raconté, trouve un prétexte à la narration à la première personne et ça passera, ne t'embêtes pas à tout changer à la troisième personne ça gâcherait le style (par contre sois conscient que tes posts seront à la troisième personne)

[Haeru Mikomi]

Chais pas pour Yuki, mais en Alsace même quand y neige y'en a :p[/flood]

[Wei-chi Komoku]

Oui mais en Alsace, ce n'est pas enneigé 100/100 du temps. Yuki, si.

Tu crois qu'il y a des corbeaux en Alaska??

edit Caashen : tu crois que y'a des ninjas en Alaska ?

[Karasu Okitao]

Je suis conscient que le temps d'apprentissage pour réapprendre à lire est longs... mais euh... j'ai triché afin de ne pas étendre ce sujet sur des pages, et surtout ne pas faire mon perso trop vieux. Mais cela pourrait s'arranger avec un "commence à déchiffrer quelques mots" ?

Sinon pour les fautes, plein plein plein, boui, je suis désolé, j'ai fait aussi attention que possible...(malheureusement ce n'est pas mon fort)

pour le feux dans le jardin...hum... ya une petite terrasse!(on s'arrange comme on peut )

Sinon, pour les Corbacs, le vols au dessus du village, est une chose exceptionnel, et la rencontre plus loin, un mirage du à la fatigue?

[Ryo Hazuki]

C'est hors sujet, mais regarde dans MGS1 , avec Vulcan Raven. Il y a des corbeaux alors qu'il est dans une pièce gelée^^

Ps: En Amérique du Nord, le Grand corbeau habite presque tout le Canada, l’Alaska, l’ouest des États-Unis, certaines régions de l’est des États-Unis, le Mexique et le Nicaragua. On le trouve également au Groenland.

Le Grand corbeau est présent dans divers types de milieux. On le retrouve dans les régions montagneuses, dans les déserts, sur les côtes, dans les régions arctiques ainsi que dans les régions boisées. Le site de nidifcation est situé en terrains élevés offrant des zones d’ombre.

[Wei-chi Komoku]

Bon et bien sur ce point c'est bon, merci Ryo^^ (non parce que je ne savais vraiment pas^^)

Reste à changer un peu le passage où tu parle de son ré-apprentissage de la lecture, et les fautes à corriger.


Sinon, ton avatar est un pixel trop haut (Et Ryo, le tien en fait cinq de trop.) ça c'est pour faire mon chieur.

Euh..bah tu seras rapidement accepté, ton perso a une bonne psychologie^^ change juste ces petits trucs

[Karasu Okitao]

je vais changer tout cha, je vais lire et relire pour essayer de voir les fautes.

[Wei-chi Komoku]

Bonne chance.