[Etudiante] Primura Tchinonamida

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Primura Tchinonamida
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Message par Primura Tchinonamida »

Nom : Tchinonamida

Prénom :Primura

Age :Treize ans trois quarts

Sexe : Féminin

Description physique : Elle mesure un peu plus d'un mètre soixante mais ses bottes éxagèrent sa taille . Elle a un visage poupin encadré par une longue chevelure blanche comme la poudreuse d'un jour d'hiver et éclairé par deux grands yeux roses bonbons . Elle donne une impression de fragilité , ses membres sont graciles , et sa tenue accentue l'aura de petite poupée de porcelaine qu'elle dégage .

Caractère : Douce et attentionnée , elle fait toujours preuve de bonnes manières , et se même si elle ne vous aime pas . Elle se vexe et se met difficilement en colère notamment parsqu'elle a très peu vécu de situations suggérant ces émotions . Elle est néanmoins très tétu et une fois qu'elle s'est fixé un objectif , il est difficile de l'en faire démordre . Bien que timide , elle s'ouvre aux ordres sans difficultés , une fois les présentations effectuées .

Aime : Elle adore les sensations fortes , en particulier celles procurées par la glisse sur neige .
Elle n'aime rien plus que la sensation de la caresse du froid sur son visage et du vent dans ses cheveux , ainsi que de la vision de la neige défilant sous elle .
Elle aime jouer du violon et s'amuser avec ses amis , écouter son grand père lui raconter des histoires ou aider sa grand mère à cuisiner .

N'aime pas : Les gens qui s'amusent ou profite du malheur des autres , voir quelqu'un pleurer de tristesse ou encore les gens vantards , hautains et orgeuilleux qui n'ont aucune raison de l'être .

Nindo : « La vie est trop courte pour ne pas en profiter ou s'ennuyer »
« Quelle que soit la personne qui trébuche , rattrape la ou aide la à se relever »
« Le rire est le plus belle musique qu'un être humain puisse partager avec d'autres »



Récit d'une vie et de son orientation par Primura Tchinonamida

Remerciements : A ma famille qui ma guidée jusqu'à cet instant . Pour leur soutien et leurs témoignages ainsi que pour une meilleur compréhension auprès d'une personne exterieur qui ne les connaitrai pas je tiens à commencer par les présenter , avant de débuter mon récit .

Mon père est un marchand ,un négociateur il s'occupe du commerce autant a l'intérieur du pays qu'a l'exterieur et ma mère l'aide à organiser et gérer ses affaires . Je les aime beaucoup tout les deux ils sont gentils , me laissent pas mal de liberté tout en m'imposant des limites et malgrés leur travail prenant ils trouvent toujours un peu de temps a me consacrer.Ma mère a de longs cheveux noirs qu'elle noue en chignon quand elle va travailler mais qui quand elle les relachent forment comme un écran autour d'elle et puis elle sent bon.Mon papa est toujours joyeux et il a un sourire éclatant c'est un petit homme jovial aux cheveux noirs coupés court et avec une moustache qu'il lisse juste avant de raconter une histoire droleet quand il me fait un bisou il pique un peu mais sa chatouille surtout quand il la frotte contre mon oreille . Ils aiment tout les deux les sports de neige ce qui fait qu'ils sont non seulement maris et femme mais aussi associés

Mes grand parents maternelles :
grand mère Rin et papi Kyo
mamie Rin est celle qui s'occupe de m'enseigner l'écriture la lecture ,la peinture et les bonnes manières .Elle peut paraître sévère au premier abord mais en fait elle est très gentil et affectueuse...Elle est grande et fine et malgrés son grand age elle reste belle et elle a un maintien incroyable c'est elle qui quand on a des invités de marque sers le thé et fais la conversation elle est très cultivée et connai beaucoup d'ouvrages et de pièces de théatre.
Mon grand père Kyo est un amoureux de la montagne il n'aime rien plus que faire de longues promenades dans la neige et pratiquer les sports de glisse , malgrés ses 60 ans il esst très en forme et sa musculature est très bien entretenu.C'est lui qui m'a appris utiliser une luge des skis et le snow board même si je préfère se dernier il tient a se que je maitrise les deux autres bien que l'essentiel des descentes que nous faisons se fait en snow board car c'est aussi son style préféré .

Mes grands parents paternels:
Grand mère Sari est un peu le contraire de mamie Rin malgrés cela elles s'entendent très bien ...
mamie Sarie est petite et replète son visage rond est constamment eclairé d'un grand sourire ...
c'est elle qui m'apprend la cuisine et la musique .Elle joue de 5 instruments a la perfection et cuisine comme personne ...Après m'avoir fait essayer plusieurs instruments j'ai choisi le violon j'aime beaucoup son son et je trouve que cet instrument plus que les autres a la particularité de pouvoir retranscrire toute les émotions et les tons de la tristesse a la joie en passant par la colère...
Papi Ryodo adore les livres et les animaux ...il a une imagination tellement fertile qu'il reprend souvent un récit qu'il a lu en y rajoutant des éléments et il m'emporte alors dans des mondes de monstres de princes et de princesses de magie et de fées ou de machine de forme humaine et au savoir immémorial , c'est mon confident et mon conteur a moi qu'il appelle sa princesse .




Mes parents m'ont dit que je suis née un jour de blizzard. L'ouragan battait alors les fenêtres comme ma mère serrait les dents pour contenir la douleur que ma naissance faisait éprouvée pendant que la neige recouvrait de son manteau étincelant le village caché de Yuki .Mon père était auprès de sa femme essayant d'apaiser sa douleur par des paroles rassurantes et le récit de toutes les choses qu'il apprendrait à son enfant. Le médecin lui assurait que tout allait bien malgré cela mon père ne pouvait s'empêcher d'être inquiet au vu du masque de souffrance qu'arborait alors sa femme. Mes grands parents maternels et paternels se tenaient en retrait les uns soutenant mon père les autres ma mère par des paroles rassurantes ,des hochements de tête approbateur et plein d'autres mimiques qu'un observateur extérieur aurait qualifié de comique si la tension régnant dans la pièce n'était pas aussi importante .Quand ma tête commença a sortir, la chambre retentit des encouragements de ma famille et du docteur exhortant ma mère à pousser toujours plus fort .Des nuages cachaient alors la lune mais lorsque mon premier cri retentit expression de mon arrivée dans le monde réel ,les nuages commençèrent a la découvrir. Mes grands parents maternelles s'extasiaient de mes babillements quand à mes grands parents paternels ils s'émervaillaient de me voir chercher le sein de ma mère pour ma première tétée. Mes parents savouraient simplement l'instant ,mon père avait passer un bras autour des épaules de ma mère et me contemplai avec fièrté , pendant que ma mère savourait simplement la sensation de mon corp collé contre le sien . Pendant que le reste de la famille s'extasiait sur mon apparence le docteur prit congé respectant la joie de ma famille en un indéniable geste de sensibilité . Mes yeux rose bonbons observaient déjà se monde nouveau avant de se fermer pour me faire goûter au repos . Mes cheveux n'étaient alors qu'une tignasse indisciplinée et courte d'un blanc éclatant, égalant la couleur de la neige tombant au dehors éclairée par les rayons de l'astre céleste.

Astre qui se manifesta à ma chétive personne en projetant la lumière de son éclattant sourire à travers la fenêtre .Le blizzard s'était calmé au dehors et la paix était revenue dans la vaste demeure des Tchinonamida où chacun savourait sa joie en silence.

Selon les dires de mes parents et grands parents j'étais dés le début une petite fille alerte , enjouée et parfois un peu trop curieuse à leur goût .En effet mes gazouillis les emplissaient de ravissement mais ma manie de toujours vouloir voir se qui se pase partout leur a causé plus d'une fois des frayeurs , Mamie Rin m'a souvent racontée la fois ou à 2 semaines je rampai jusqu'au bord du berceau pour m'évader pendant que ma grand mère qui me gardait alors avait le dos tourné ...sauf que le berceau en question était à un peu plus d'un mètre du sol... lorsque je me pencha, ma grand mère me rattrappa avant que je ne bascule, avec un sourire mi figue mi raisin en disant « tu tiens de ton grand père,toi (elle parlai alors de son mari amoureux des pics enneigés et des glissades sur la neige) toujours à s'esquiver quand j'ai le dos tourné et quand il est pris en faute toujours le même sourire innocent ... »elle leva alors les yeux au ciel « je sens que tu vas nous donner du fil a retordre ma petite mais ne crois pas que je me laisserai avoir par tes sourires angéliques alors que ton grand père essaye depuis 40 ans . » Mon goût de l'exterieur vient peut être du fait que j'ai toujours été attirée depuis ma plus tendre enfance par la lune et les montagnes que je voyai de mon berceau, il paraît que je pouvai passer de longs moments à regarder immobile par la fenêtre toutes ses choses inconnues qui me fascinaient .Ma première sortie a l'extérieur de la maison se fit à trois semaines et se malgrés les protestations des trois femmes de la maison , mon père et mes grands pères soutenant que la santé se forge très tôt et que dans ce village « la santé ,c'est primordial ».C'est ainsi que je sortis encore tout bébé emmitouflée sous trois épaisseures de fourures et tissus imperméables .et sous la garde de six personnes quand j'y pense j'étais déjà comme une princesse : dés la naissance tout le monde veillait sur moi ...mais je m'égare , cette sortie ne dura pas longtemps une demi heure a peine car comme je l'appris plus tard je me suis mise à bailler au bout d'une demi heure et le temps d'arriver à la maison je m'étais endormie , le sourire aux lèvres. D'après mon père , lorsque j'étais dans mon berceau et que des adultes parlaient à côté j'avais pris l'habitude de me mettre a quatre pattes et de lever la tête pour regarder autour de moi , le détail qui attendrissait tout le monde était que ma tête était trop lourde pour mon petit corp et après l'avoir levée elle retombait avec un petit « pouf! » sur le matelas .Mais je m'obstinais et je finissais par capter leur attention , à ce moment je leur faisais un grand sourire ravie suivi d'un rire gazouillant de bébé puis je relachais ma tête qui retombait pour la dernière fois, car fatiguée par l'effort, je me roulai alors en boule pour faire un somme .

C'est après avoir relevé ma curiosité démesurée et ma façon de me tenir (qui me valu le surnom de « sphinx ») que mon papi Ryodo décida de m'offrir un animal. Après s'être concertée , ma famille tomba d'accord pour un chaton de mon âge .C'est ainsi qu'un matin, assise sur mon petit derrière dans la grande bibliothèque, que mon papi Ryodo arriva avec un panier rempli de petites couvertures ,je jouais alors avec une peluche, je ne me rappelle pas du tout mais il m'a été raconté que j'interrompais immédiatement se que je faisais ainsi que mes babillements pour me concentrer sur se que mon papi Ryodo déposa devant moi .C'était un panier rempli de tissu blanc sur lequel était déposé une petite chose emmaillotée dans une pièce de tissu bleue marine . La chose en question se mis à remuer et a émettre de faibles sons , intriguée je me mit a quatre pattes le nez tout proche de la destination probable de cette chose. Ce qui emergea du tissu fut un petit museau rose surmonté de deux petit yeux fermés et sous lequel une minuscule langue rose sortait à intervalles plus ou moins réguliers . Fascinée j'examinais ce petit être, un sourire béat au lèvres . Quand sa langue me lécha le bout du nez j'éclattais de rire et me tournais vers chaque membre de ma famille en leur montrant cette petite chose et en éclatant sans cesse de rire . J'avançais alors la main pour le toucher quand mon grand père Ryodo arrêta mon geste en me prenant le poignet et en me souriant .Il paraît que je fronçais alors comiquement les sourcils, une moue mécontente sur mon visage .Jusqu'a se que mon grand père prenne délicatement le chaton toujours enroulé dans sa couverture de la taille d'un mouchoir de poche et l'approcha de ma main, à se moment je compris mon erreur grâce a l'instinct propre aux petits enfants et je lui dédiais un sourire éclatant pour m'excuser .Il garda mon poignet dans sa douce main de grand père et me fit faire des caresses a mon tout premier ami . J'était la première à toucher se petit être autrement qu'a travers un tissu et un lien au delà des mots et des comparaisons s'établit alors entre le chaton et le bébé que j'étais.

Il fallut lui trouver un nom mais comme ma famille n'arrivait pas à se mettre d'accord elle décida finalement que je lui en donnerais un lorsque je serais assez grande .

Le temps s'écoula , j'en passai la plupart avec mon chaton, le plus souvent endormi a proximité de moi pendant que je jouais , bientôt il fut impossible de nous trouver séparés de plus d'un mètre et même quand cela arrivai pour des raisons diverses notamment après les repas ou les phases de repos, une fois déposée au sol je galopais a quatre pattes vers le grand tapi de la bibliothèque qui était notre place de jeu comme notre point de ralliemment . Deux mois après ma naissance j'appris a dire « papa » « maman » « mamie » et « papi » . Six mois après je commencai a former de moi-même des syllabes puis des mots, mais se qui a le plus marqué mes parents survint un soir quand j'avais neuf mois.

Ce soir mon grand père Ryodo me lisait un livre d'image moi sur un genou et mon chaton dans son petit pagnet sur l'autre ; le reste de la famille c'était aussi rendu dans la bibliothèque pour discuter et boire une tasse de thé préparée par grand mère Sarie et servie par grand mère Rine.

Le livre d'image parlait d'un chat noir comme mon chaton qui vivait dans un pays très enneigé et qui parlait a la lune . Ce chat s'appellait Kuromi . A la fin de l'histoire quand il fut temps pour moi d'aller me coucher j'effectuai comme tous les soirs le tour de la famille pour leur faire un bisou et récolter en retour un tendre calin . Quand ma mère me prit dans ses bras pour m'emmener dans ma chambre je me tourner vers mon chaton endormi en boule dans son panier sur les genoux de mon papi Ryodo et prononçai en agitant la main « Kuromi » . Le chaton se réveilla immédiatement et me fixa intenssément de ses petits yeux jaunes , au bout de quelques secondes il agita alors une fois rapidement ses oreilles de haut en bas et se mit à ronronner dans le silence ébahi qu'avait crée mon intervention . Puis un sourire fière apparut sur le visage de mon père et de ma mère reflet de celui qu'arbhorraient mes grands parents .C'est ainsi que , par un doux soir d'hiver mon chaton fut
appellé : « Kuromi ».

j'appris très vite a marcher , ma famille me poussant toujours plus avant , à franchir des distances de plus en plus longues . A neuf mois je savais marcher et les pièces de la maison résonnaient de mes gallopades en tous sens toujours accompagnée de Kuromi je me lançai dans d'interminables parties de cache-cache au grand désarroi de mes parents et grands parents qui avaient bien du mal a nous retrouver , en particulier quand nous tombions endormis dans notre cachette mon chaton et moi. Dans ses moments la maison était retournée en tout sens accompagnée des imprécations de tel ou tel membre de ma famille promettant des punitions qu'ils n'applicaient jamais , trop attendris qu'ils étaient, en me retrouvant endormie dans un carton , Kuromi lové contre moi.
Pour couper court a mes facéties il fut décidé que je devrai désormais être suffisament occupée pour ne plus avoir la possiblité de réitérer mes exploits qui n'étaient pas au goût de ma famille tous membres confondus .

C'est ainsi que le jour de mon premier anniversaire je me réveillai , bien au chaud dans mon petit lit alors que la neige tombai drue au dehors , entourée par ma famille qui portai des paquets colorés et un gâteau surmonté par une longue bougie au dessus de laquelle tremblotait une flamme vacillante ...que je me fit un devoir d'éteindre sous les encouragements et les mimes de ma famille qui applaudie une fois l'exploit effectué . En récompence j'eu droit a mon premier morceau de gâteau de ma vie , mes parents me racontèrent plus tard que j'engloutissait ravie chaque bouchée de se gâteau au chocolat avec un sourire ravie et un rire de gorge , sourire qui comme vous vous en doutez était entouré d'une couche de chocolat assez impressionnante , il paraît que j'en avais jusqu'au nez.
Vint le moment de déballer les paquets qui révèlèrent mes futures outils de travail mais cela je ne le savais pas encore .Composés essentielement d'objets visant a développer ma psychomotricité et mon vocabulaire ces objets éveillèrent chez moi une vive curiosité , du moins c'est se que supposèrent les membres de ma famille quand ils me virent examiner attentivement les objets posés devant moi . Pour faire simple mes cadeaux comportaient entre autre un puzzle , des cubes de couleurs , et des jouets de différentes formes et textures visant a développer pour certain mon toucher et pour d'autre mon ouie , notamment par des jeux de grelots.
Mes journées étaient désormais régies par un emploi du temps bien huilé et mis au point par ma famille . Je passais entre toutes les mains et j'avais désormais toujours quelqu'un sur le dos . Kuromi m'accompagnait toujours mais je n'étais plus vraiment maitre de mes mouvements même si mes grands parents me laissaient toujours du temps pour jouer avec lui .

Ainsi ma grand mère Rin s'occupa de me faire découvrir les couleurs par différents techniques et méthodes , notamment , et d'après elle c'était ma préférée , celle du dessin . Enfin a mon âge c'était plutôt du barbouillage mais passons. Plus tard elle m'appris les formes par des jeux de toucher et elle fini par associer les deux méthodes pour former des exercices de plus en plus complexes.

Mon grand père Kyo m'avait acheter à mon anniversaire une luge sur laquelle il me déposai avant de me tirer derrière lui pour me faire découvrir se monde du dehors que je comtemplai a chaque fois avec de grands yeux aussi émerveillés qu'ébahis . Il commença par me faire visiter le village avec ses petites maisons recouvertes de neiges et ses blanches allées où les gens circulaient emmitoufflés dans leurs chauds manteau . Il me fit découvrir la fraiche neige que je touchais surprise du bout des doigts , le contact lisse de la luge ou encore la ruguosité des murs des maisons . Il me fit dévaler des pentes sur une luge , confortablement calée entre ses genoux et ballotée par les alléas des pistes que nous descendions a toute vitesse. Il paraît que nullement effrayée par ses sensations j'éclatai de rire à tout bout de champ et qu'une fois arrivée en bas je réclamais en gesticulant que mon papi me tire de nouveau en haut de la pente pour une nouvelle descente. Venait ensuite le moment de rentrer a la maison où mamie Sari nous attendai avec une boisson chaude et des petits gâteau et c'est le nez et les joues rougies par le froid et les émotions , les yeux brillants d'excitation que nous nous attablions pour déguster notre goûter.

Mamie Sarie me fit découvrir l'univers que contenai la pièce que mes parents appellaient vulgairement « cuisine ». Cette merveilleuse pièce devint très vite pour moi le repaire de la fée mamie Sarie , dans laquelle était confectionnées des potions aux saveurs diverses.

Ma grand mère m'apprit d'abord à touiller en prenant ma petite main de bébé dans sa pogne potelée , ma main ayant fermement agrippée au préalable une cuillère en bois , « ustensile de base a toute fée de cuisine qui se respecte » comme elle dit toujours. Elle me faisait alors découvrir sa magie qui changeait les formes et les couleurs au gré d'une chorégraphie qu'elle seule connaissait et rythmait par des comptines de cuisinière qu'elle chantonnait a tout bout de champ . Ravie je me laissai faire et applaudissait émerveillée quand elle sortai du four ou des plats les chefs d'oeuvre que nous confectionnions .

Papie Ryodo m'enseignait des comptines et des petites chansons d'enfant propres a dévellopper mon imaginaire et mon intellect , et me contai des histoires . Histoires diverses et appartenant à plusieurs registres : de la princesse et son dévoué ninja au guerrier maléfique en passant par les enfants perdus dans la forêt dans laquelle rôde une créature qui mange les êtres humains . Peuplée de gnomes , d'elfes , d'orques , de sorciers et de fées , ses histoires me transportaient dans des rêves éveillés d'où j'avais peine à m'échapper , il m'arrivait alors de rester pendant un moment la bouche ouverte , et les yeux ronds buvant des yeux mon inimitable grand père qui mimai tour à tour une princesse effrayée , un ninja bléssé et un méchant sorcier au rire maléfique . Je me laissai entrainer dans un univers où il était seul maitre et dirigeant , un univers autrement plus excitant que celui dans lequel je vivais alors , mais cela j'étais encore trop jeune pour m'en rendre compte.
Chaque soir en rentrant du travail mes parents m'emmenaient dans le salon où je leur faisais le compte rendu de ma journée appuyée par mes professeur . Je ne l'avais pas alors compris mais cette phase faisait parti de mon apprentissage à part entière .

Avant mes cinq ans je fus capable de dessiner les formes en choisissant la bonne couleur sans me tromper , je descendi ma première pente seule dans ma luge , je confectionnais mon premier biscuit , et je récitais ma première comptine distinctement . Mon apprentissage passa alors dans sa deuxième phase . A mon cinquième anniversaire je reçu de nouveaux instruments relatifs à se que j'allais apprendre.
C'est ainsi que je déballais avec de grands yeux ébahis un pinçeau et sa bouteille d'encre , une planche de snow board , un livre de cuisine , un violon , et trois lives reliés , sans images ceux là pour ne citer que ceux qui attirèrent le plus mon attention.

Kuromi avait atteint sa taille adulte et il reçut comme présent un collier de cuir rouge auquel était suspendu un superbe grelot couleur d'or qui tintai joyeuseument à chacun de ses pas . Notre adresse marquée à l'interieur du collier éviterait que nous le perdions , car mon chat avait une nette tendance ces derniers temps à sortir sans que nous le voyions . Mes parents ignoraient comment il s'y prenait car ils fermaient soigneusement les issues le soir . En fait c'était moi qui lui ouvrait ma fenêtre car j'avais désormais un lit a moi , d'où je pouvai sortir sans problème , monter sur un tabouret et ouvrir la fenêtre à mon chat follement épris de la lune, je le voyais souvent la contempler sans bouger . Quand mes parents sortaient de la chambre et étaignaient la lumière , Kuromi se mettait alors a pousser des miaulements plaintifs pour attirer mon attention . Ne pouvant supporter la supplique que j'entendais dans sa voix je lui ouvrais alors la voie menant à son céleste amour .

Mes souvenirs de cette période sont assez flous mais avec le recul je dois reconnaître que , bien que passionnantes et amusantes , mes journées étaient marquées d'une certaine routine . Ma vie manquait de piment pour parler vulgairement .
Vers six ans ,je commencai à choisir mes vêtements dans ma commode et à aimer certains vêtements plus que d'autres...en fait j'en dédaignai même beaucoup .

Il fut décidé que les femmes de la maison m'emmèneraient pour la première fois faire du shopping et elles promirent un défilé aux hommes à leurs retour . A l'époque je n'avais pas compris la signification du gémissement qui jaillit en simultanné des bouches de mon père et de mes grand pères ...c'est ainsi qu'un jour de congé de ma mère , nous partîmes toutes les quatres , bras dessus bras dessous , en direction du centre ville . J'y été déjà aller mais brièvement et je me rendis soudain compte qu'il y avait foule . Nous fimes une dizaines de magasins mais je ne trouvais pas se que je voulais , je ne ressentais rien au contact de ses vêtements inélégants et informes . Non décidément je ne trouvai pas mon bonheur . Nous rentrâmes donc bredouille pour ma part , mes grands mères et ma mère ayant chacunes trouvé des ensembles leurs convenants . Quand nous fimes le compte rendu de notre après midi et des dépenses effectuées , mon père m'attira sur ses genoux et me murmura a l'oreille qu'il partai en voyage d'affaire dans quelques jours et qu'il me rapporterait des images des tenues en vogue de là bas . Ravie je l'embrassais avec enthousiasme sur la joue et la moustache , dont il se servit pour me chatouiller l'oreille .
Mon père partit trois jours plus tard , et revint une semaine après , avec en main un catalogue de croquis représentant des vêtements . Ces tenues m'intriguèrent et au fil des pages l'enthousiasme commença à me gagner , oui c'était cela que je cherchai , je notai celles qui m'interessaient et en fit une liste précise que je m'empressais , une fois terminée, de présenter à mon père . Celui-ci asquiesa et me dit de la montrer à ma mère et à mes grands mères . Je mis beaucoup plus de temps à les convaincres que je n'en avais mis pour mon père mais quand je veux vraiment quelque chose et cela ne m'arrivais que rarement je l'obtenais . Je finis par les convaincres , en échange de quoi elles choisiraient pour moi une ou deux autres tenues que je devrais porter à l'occasion , mais après tout c'était un bon compromis . Un mois plus tard mon père repartit pour signer le contrat avec son correspondant , ma liste soigneusement rédigée dans sa poche . C'est ainsi que quelques jours plus tard mon père revint un gros paquet dans les mains . Je m'empressais de lui sauter dessus et il m'intercepta au vol en riant . Pendant que tout le monde s'installait au salon je montais dans ma chambre Kuromi sur les talons , mon paquet dans les bras . En deux temps trois mouvements je me changeais et passais ma tenue , rectifiant une dernière fois ma coiffure , je ne pu m'empêcher de penser que ces vêtements m'allaient comme un gant et pourtant je n'étais pas d'un naturel orgueilleuse .

Je dévalais les marches trois par trois , Kuromi dans les bras , qui miaula de mécontentement face a ce traitement qui semblait-il dire ne méritait pas . Je pénetrais dans le salon avec une pirouete qui fit froufrouter ma tenue et miauler d'indignation Kuromi que je fini par lâcher , le pauvre quand j'y repense...Rayonnante et le sourire jusqu'aux oreilles , je me rendis compte que le silence s'était fait dans la salle . Anxieuse , j'attendais le verdict , et me demandais pourquoi personne ne réagissais , étaient-ils déçus ? Ma tenue ne leur plaisait pas ? Finalement Grand père Ryodo brisa la glace en émettant un sifflement admiratif et cela déclencha un concert de compliments et de félicitations tant sur moi et ma tenue que sur l'oeil de mon père qui avait su si bien trouver la bonne taille . Celui-ci se lissa la moustache avec un sourire satisfait . Ma tenue se composai d'une première robe d'un blanc immaculé qui me descendait jusqu'aux genoux , par dessus était passée une robe de cuir bleu nuit qui me descendait juqu'au dessus des chevilles . Cette robe était ouverte en triangle isocéle sur le devant . Un grand chapeau du même bleu et dont le haut était entouré d'un ruban de la même couleur de mes yeux ainsi que des bottes a semelles compensées qui me montaient juqu'en haut des cuisses venaient complété ma tenue . Très contente de mon petit effet je fis la coquette devant ma famille pendant une bonne demi heure . Cette tenue me suivit longtemps , la teinte changeait parfois , du noir du rouge ou du blanc , mais ma favorite restait ce bleu nuit . Mon père ayant établit de solides relations commerciales avec cette contrée , il avait la possibilité de me ramener ses vêtements quand les autres se faisaient trop petits . J'y faisai très attention et les sortai pour les jours où j'étais de très bonne humeur , c'est a dire souvent mais j'en portais d'autres aussi , en effet ma mère et mes grand mères insistaient pour que je varie un peu . Mais cela ne me dérangeait pas , je ne voulais pas tomber dans la lassitude .
Mes leçons se poursuivaient , bientôt je sus lire des livres plus élaborés et écrire ou recopier des pages entières sans me tromper , je su manier mon éventail sans me tromper dans les significations que prenaient chaque position dans lequel je le tenai , je su preparer et servir le thé de façon tout à fait convenable . J'appris des recettes de cuisine plus élaborées et je fus désormais autorisée à utiliser la cuisine comme bon me semblerais du moment que je prevenais avant et que je ferais la vaisselle après . Je fini par pouvoir réciter sans faillir les douze règles de sécurité en sortie en montagne sans faillir et même rester au même niveau que mon grand père Kyo dans les descentes en snowboard . Je réussi à réciter des passages entiers de récits ainsi que des chansons et des
poésies . Mais la matière qui me passionnais le plus et dans laquelle je finis par exceller fut la musique . Mon violon ne me quittais presque plus et je su interpreter une quinzaine d'airs de différents registres , de tête . Il m'arrivait même de les tranformer un peu ou de partir dans une série de note que je composais instinctivement . Je me confectionnais un petit carnet où je notais mes airs et mes essais . Kuromi se couchait souvent les pattes en rond , sur un fauteuil de ma chambre et m'écouttait jouer tout en faisant osciller sa queue . Je passais des jours heureux , entourée , chérie et aimée , mais j'avais très peu de contact exterieurs et pas d'amis . D'ailleurs les circonstances dans lesquelles je me fit ma première amie furent quelques peu mouvementées.

Ce jour là , je devais avoir huit ans , ma grand mère Rin m'avait envoyée acheter du papier et ma grand mère Sari de la farine des oeufs et du sucre . Je sortais très peu seule et cela m'excitait au plus haut point , je prenais cela comme un défi personnel , une mission importante à remplir ... les deux marchands ne se trouvaient pas très loin de la maison et mes courses furent vite régler .

Sur le chemin du retour je tombais sur une bande d'enfants de mon âge attroupée autour d'une petite fille , une poupée à la main . Ils se moquaient d'elles en lui tournant autour parlant avec des mots que je ne connaissais , pas formant autour d'elle une lugubre ronde . A cette vision une partie de mon esprit était consciente du fait que la petite fille que j'étais ne pouvait pas s'opposer a cette bande , mais l'autre part me sussura d'une voix enjoleuse les récits des héros que mon grand père évoqué . Avant que la partie rationnelle de mon esprit ne parvienne à reprendre le dessus , je poussais violemment un garçon pour me placer devant la petite fille qui était à présent en larme . Mes affaires étaient là où je me trouvais juste avant de m'interposer à quelques mètres de la bande . Ceux-ci me lancèrent un regard chargé d'hostilité , qui me fit frissonner . Je pensais alors « se doit être se que ressantait le prince Nataku quand le vilain crapaud géant le toisait de toute sa hauteur. » Je dressais fièrement le menton et leur ordonnais de laisser la petite tranquille . Celle-ci s'étant pendant se temps cachée dans mes jupes . Un garçon se détacha du groupe il paraissait plus âgé...en tout cas il était plus grand et parraissait plus fort que les autres . Il s'appellai Kibo mais sa je ne le savais pas encore . Il me toisa alors d'un regard noir en m'ordonnant de me pousser , je senti la petite se blottir plus contre moi . Je fit alors quelque chose dont je ne me croyais pas et ne me croit toujours pas capable , mes parents et grands parents me dirent plus tard en riant que c'était un reflexe de fille pour ainsi dire naturelle quand elles sont en danger face à un garçon . Mon pied gauche chaussé de mes habituelles bottes à semelles compensées effectua un aller simple vers le ciel ... heurtant violemment un obstacle : la partie reliant les deux jambes au tronc du garçon . Le choc fut violent ...du moins au vu de la tête qu'il afficha alors : yeux équarquillés , bouche pinçée , il s'écroula dans la neige tête la première . Effrayée par mon geste je me mit a jeter des coups d'oeil paniquée autour de moi ,ayant le sentiment que j'avais fait une bétise. Les autres garçons s'étaient rassemblés autour de leur chef pour s'enquérir de son état ...la petite en profita pour s'enfuir a toute jambe . Moi , je restai pétrifiée par l'horreur que je ressentais . J'avait frappée quelqu'un . Ma famille allait me gronder peut être même me privée de dessert ! Quelle horreur ! Cela peut paraître stupide mais à l'époque c'était la pire punition que l'on m'avait infligée et je m'en était sentie souillée et humiliée . Alors imaginez un peu dans quel état je me trouvais alors .

Les garçons se concertaient a voix basse quand leur chef qui se relevait aperçut mes courses posées dans la neige . J'interceptai son regard calculateur et compris où il voulait en venir . Il se releva , un air triomphal plaqué sur son visage grimaçant de petite brute . Quand il désigna les paquets , et ordonna a sa troupe de s'en emparer , une rage brulante m'envahit . Dans mes livres les héros font toujours preuve de sang froid , moi se fut différent : je senti le rouge me monter au joue alors qu'un hurlement franchissait mes lèvres . Je me jetai sur le chef que je voyais de dos , m'accrochais à son dos et lui mordit sauvagement l'oreille . Il tomba et se débattit a terre essayant de me faire lâcher prise pendant que les autres trop effrayés pour intervenir , observaient en retrait ne sachant que faire . La petite fille arriva sur ses entrefaites accompagnée de ses parents , qui nous séparèrent . Mon grand père Kyo revint à se moment de sa promenade du matin , alors que la petite fille faisait le compte rendu complet à ses parents , je ne pu m'empêcher d'éclatter en sanglot quand je vis mon grand père approché , à la fois effrayée , soulagée et honteuse . Toutes ses émotions se tranformèrent en torrents de larmes que mon grand père tenta de contenir , en vain . J'hoquetais , le visage baigné de larmes , le corps secoué de sanglots . Mon grand père finit par me porter jusqu'à la maison non sans avoir pris l'adresse des deux parents de la petite fille . Blottie dans ses bras je finis par me calmer , tenant toujours sérrée le sac de courses . Mais en entrant dans le hall d'entrée , je ne pu m'empêcher d'éclatter de nouveau en sanglots . Mes grands parents restant accoururent a ses bruits et ouvrirent des yeux ronds au vu de la scène que j'offrais . Du moins c'est se qu'ils me racontèrent , car pour ma part j'avais les yeux tellements brouillés de larmes que j'étais bien incapable de distinguer quoi que se soit . D'après eux , j'offrais une vue tout a fait pathétique : la robe maculée de neige et de boue tout comme le reste de mon corps , j'avais les cheveux en bataille et je m'englottais pitoyablement dans les bras de mon grand père Kyo qui ne savait pas quoi faire . Mamie Sarie prit alors les choses en main : elle fit couler un bain chaud , me lava et me fit changer de vêtements . Tout cela sans me poser de question et en me susurrant des mots gentils . Moi je me laissais faire , trop occupée que j'étais à envisager tout se qui aller m'arriver : j'allais certainement être renvoyée de la maison et laissée dehors où je finirais par me tranformer en statue de glace pour toujours .

Finalement quand je descendis au salon , ma famille s'y trouvait déjà , confortablement installée , en compagnie de la petite fille et de ses parents . Ceux-ci terminaient de relater les faits et ma famille souhaitait entendre la suite car j'étais la seule à pouvoir raconter le moment entre la fuite de la petite et son retour . Je relatais du mieux que je pu , la voix tremblante , tous les regards posés sur moi , je me sentais tellement vulnérable...à la fin de mon récit ma mère me prit sur ses genoux et je me blottis contre elle , tremblante . Kuromi arriva sur ses entrefaites et sauta d'autorité sur les genoux de ma mère pour venir frotter sa petite tête contre la mienne et me chatouiller le nez avec ses moustaches .

Je parvins à sourire et me mit à la gratter derrière les oreilles comme il aimait , se qui eut pour effet de le faire ronronner de belle façon.

Finalement aucun scénario que j'avais envisagé ne correspondait à se qui se passa ensuite :

Quand je leur demandais d'une voix tremblante si j'allais être renvoyée de la maison tout le monde éclatta de rire sauf moi qui les observais avec de grands yeux étonnés ! Mon père me dit finalement que se n'était pas très grave , l'oreille du jeune garçon serait bientôt remise en état par les médecins de l'hopital et se que j'avais fait c'était défendre une petite fille et protéger les courses . Ceux qui était honorable et même digne de louange . Néanmoins je devais à l'avenir essayer de demander de l'aide plutôt que me jetais tête la première dans les ennuis . Les parents de la petite qui s'appellait Nori prirent congé , Nori me considéra dés lors avec une admiration sincère et cela marqua le début de notre amitié .

Le lendemain , mon grand père Ryodo m'appella alors que je chahutais avec Kuromi en me disant que quelqu'un souhaitait me voir et qu'il m'attendait dans le hall .

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris le chef de la bande , aussi a l'aise chez moi que Kuromi dans une bassine d'eau . Il se dandinait de façon comique d'un pied sur l'autre l'air franchement géné . Je m'approchais de lui nullement craintive car j'étais dans mon domaine et je savais que papi Ryodo n'était pas très loin . Il se présenta comme étant Kibo et s'excusa de sa conduite d'hier après midi . Agréablement surprise j'acceptais ses excuses et lui presentait les miennes . Je lui proposais un thé mais il déclina l'invitation , apparement quelque chose ici le rendais mal à l'aise . Je lui souhaitais une bonne journée et il prit congé . Je m'interrogeai sur se revirement de comportement mais se n'est que quelques jours plus tard que j'appris la vérité .

En effet alors que je jouais avec Nori dans le jardin ou était tombée une agréable poudreuse pendant la nuit dans laquelle je m'enfonçai parfois jusqu'au épaules . Nori consenti enfin a me raconter le pourquoi du comment concernant se que j'appellais « l'affaire Kibo » . Elle me raconta qu'ils étaient voisins mais que Kibo ne la supportait pas depuis le début , et se moquait d'elle a tout bout de champ .

En fait m'avoua t'elle Kibo en voulai à la terre entière d'être se qu'il était : fils unique d'une famille très occupée , il était souvent tout seul , et cette solitude ainsi que ce trop plein de liberté , ce manque de limites avait façonné un garçon méchant qui s'en prenait a tous les plus faibles .

Plutôt que de la colère à son encontre , j'avoue que j'éprouvais plus de la pitié et bizarrement l'envie de me rapprocher de lui . Je demandais a Nori où je pourrais le trouver , et elle me repondit qu'ils avaient un repère secret dans le parc pas loin de chez elle . Elle me conduisit a un grand arbre en bordure du parc au pied duquel été construit des cabanes en bois rudimentaires . Kibo et sa bande jouaient à la guerre avec des batons , formant deux camps d'une armée innombrable . Comme je m'approchais , Kibo arrêta le jeu en levant la main , et se dirigea vers moi , Nori plaquée derrière moi , accrochée a mon dos . Je souris a Kibo d'un air avenant , et avant qu'il n'ouvre la bouche je lui lançai un : « des ninjas sans princesses ne sont pas des ninjas , c'est pourquoi Nori et moi sommes ici pour pallier à se petit problème » . Je retint mon souffle tout en continuant de sourire , Kibo avait toujours son baton à la main et les autres membres de sa bande attendaient sa réaction en retrait .

Nori se crispa contre moi , je pouvai la comprendre ... Kibo me jaugea du regard pendant un instant qui me sembla durer une éternité . Puis contre tout attente il sourit et asquiesa de la tête . C'était gagné ! J'allais dans l'équipe de Kibo et Nori dans l'équipe adverse . Chacune assise sur un petit tas de bois figurant un trône . Nous commandions a nos combattants et les encouragions des gestes et de la voix . La bataille se déroulait à la boule de neige , les combattants qui étaient touchés trois fois s'écroulaient dans la neige , morts au combat avec honneur . Kibo était de loin le meilleur : plongeant et esquivant tous les projectiles qu'on lui lançait , chacun de ses tirs faisaient mouches .

Finalement , nous emportames la victoire mais j'accordai l'amnestie a la princesse adverse qui avait su former de si bons combattants car je ne devais ma victoire qu'à mon ninja surentrainé : Kibo . Celui-ci , tout fier de sa victoire et de mes louanges , ressucita ses compagnons et sur mon ordre ses valeureux adversaires également . Ce fut une après-midi mémorable et nous quittames la bande avec la promesse de revenir pour jouer un jour prochain . Nori rayonnante évoquait la bataille avec un enthousiasme non feint ne tarrissant pas d'éloges sur ses soldats dont l'héroisme avait failli l'emporter , et nous nous disputames gentiment sur le chemin du retour sur qui l'aurai emporté si les choses avait tournées différemment.
En rentrant , j'étais encore dans mon petit monde imaginaire , à imaginer de nouvelles stratégies et de nouveaux jeux tout en me voyant en princesse au sommet d'une tour blanche qui observait la bataille en priant pour la victoire de ses vaillants combattants . Se que je n'avai pas encore réalisée c'était que je m'était en très peu de temps et en des circonstances tout a fait exceptionnelles une bande d'amis avec qui je pourrais partager mon temps libre . Les journées suivantes furent marquée par le signe du changement . Je convint d'un emploi du temps précis avec ma famille afin de me ménager du temps libre tout en conservant mes heures d'apprentissage que ni ma famille ni moi d'ailleurs ne voulait abandonner . J'y avait été habituer depuis ma plus petite enfance et cela me semblai normal. Après les diverse recommendations rituelles succédant aux leçons je m'eclipsai au dehors avec Kuromi qui était très vite devenu la mascotte officielle de la bande que nous formions. Nous passions alors des heures a jouer, à dévaller les pentes en riant aux éclats sur des engins divers parfois fabriqués par nous mêmes ou encore à faire des farces et à explorer les moindres recoins du village.

D'aucun diront en lisant cela que ma vie s'écoulait comme un long fleuve tranquille . Rythmée par un bonheur de petite fille de bourgeois . Mais je tiens néanmoins à leur dire ceci : « c'est du plus grand bonheur que née la plus profonde tristesse. »

Cela fait bientôt deux ans que j'essaye d'oublier se souvenir , mais rien n'y fait , il continue de me hanter afin de me rappeller chaque jour , que rien en se monde n'est éternel.
Le onzième jour du douzième mois de ma treizième année , j'étais aller passée l'après-midi a jouer
avec mes amis au grand arbre du parc . Lorsque je rentrais , les joues rouges et les yeux pétillants , ma famille m'attendait dans le salon , la mine grave . Il régnait une atmosphère gênante , presque dérangeante. Mes parents me désignèrent un siège entre eux . Je senti immédiatement , à la façon dont ma famille évitait mon regard et à leurs mines mal à l'aise qu'il se passait quelque chose de grave . Docile , je m'assis , et acceptais la tasse de thé qu'on me tendait . Je la portais à mes lèvres , je me souviens parfaitement de ce thé , son goût sucré et son arome reconnaissable entre mille :

« Chi no Hana » , ou « sang de fleur » , le thé des morts ou des agonisants . L'angoisse m'étreignit violemment et l'anxiété me heurta violement au creux de l'estomac . Un seul mot , une seule question , franchit mes lèvres tremblotantes : Qui ?
Mon père se racla la gorge et ma mère me prit la main . « Kuromi » fut la réponce de mon père . Le monde autour de moi se brouilla , un coin de mon esprit compris que c'était parsque je pleurais . Mais cela n'avai pas d'importance . Dans mon esprit , des images se mirent a tourbilloner : Kuromi chaton , miaulant pour ravoir du lait , Kuromi me montrant où me cacher le jour d'une interminable partie de cache-cache avec ma famille , Kuromi ronronnant sur une chaise pendant que je fais mes exercices , Kuromi comtemplant la lune sa bien aimée , Kuromi sautant de trous en trous dans la neige , sa fourure noire contrastant avec le blanc du paysage ... Kuromi mon premier ami et mon compagnon de toujours j'ai grandie à tes côtés , j'ai toujours tout partager avec toi : mes gâteaux , mes bonbons , mes joies , mes peines , mes tracas , toutes ses petites choses qui nous prouvent que nous sommes vivants . Qu'allais-je devenir sans toi ? Pourquoi est tu partie sans moi ?
C'est là que l'evidence me frappa : tu es allé rejoindre ta bien-aimée ! Tu me contemple de là haut et tu continue de veiller sur moi . Maintenant que je me suis fait des amis ta mission est finie , si longtemps séparée d' Elle tu t'est empréssé de la rejoindre ! Tu as bien fait , je t'aime et je ne t'oublierais pas , je te le jure !

Le soir même , je déposais réverencieusement le corp de Kuromi dans une boite en bois achetée pour l'occasion dans laquelle je déposais son coussin et ses jouets , au cas où il s'ennuirait .
Je déposais la boite ouverte au sommet d'une petite butte . Comme je ne savais pas quoi dire pour l'occasion , j'avais ramené mon violon pour jouer un air lorsqu'on l'enterrerait . Mais aucun air ne me parut approprié lorsque je sortis mon violon . Je restais un long moment les paupières fermées , ma famille m'attendait en bas de la butte et il n'y avait aucun bruit . Le tintement du grelot du collier de Kuromi me sortit de ma torpeur et je me mit a jouer , une note puis une autre , un air lancinant , triste , j'ouvrit les yeux , un rayon de lune éclairait l'endroit où je me trouvais , et quand je levais les yeux je crue distinguer la frimousse de Kuromi au côté de la lune . Un nouveau tintement de grelot , je pensais * Je suis triste , mais Kuromi m'a toujours consolée , il a toujours voulu que je soie heureuse . Je ne peut pas le laisser partir sur ses notes tristes , même si il est important qu'il sache que je l'aime et que je suis triste de son départ*

L'air que je tirai de mon violon changea , de triste il devint nostalgique , je pensai a tous se que j'avai vécu avec lui , de tous les moments que nous avions partagés . Mon archer et mes doigts semblaient animés d'une vie propre , ma famille me raconta qu'ils étaient incapable de bouger , fascinés par la vision que j'offrais , la robe immaculée que je portais alors virvolta au rythme de la dance que j'improvisais , baignée par les rayons de la lune et accompagnée de la musique de mon instrument , j'offrais une vision d'un autre monde . Je ne me rendais pas compte de se que je faisais , obnibulée que j'étais par la pensée que je devais honorer sa mémoire et lui faire comprendre que je l'aimais , que je ne lui en voulais pas et que je ne l'oublierais pas . Les notions d'espace et de temps n'avaient plus court . Quand enfin je m'arrêtais , je me laissais tomber au sol , tout mon corp était fatigué et protestait contre cet exercice dont il n'avait pas l'habitude...Néanmoins j'étais satisfaite , et plus que tout autre sentiment , je ressentais une impression de quiétude , de joie simple . Un tintement de grelot finit de me ramener à la réalité . Kuromi semblait vouloir me dire quelque chose . Le tintement du grelot retentit de nouveau dans la quiétude de la nuit . Un appel , insistant . Je m'approchais et prit le grelot , il semblait luire avec plus d'insistance dans ma main . Je comtemplais la voute céleste piquetée d'étoile , la lune semblait satisfaite et retira son éclat de la butte , me congédiant pour se soir .
Je refermais le cerceuil et le déposais dans le trou que j'avais creusé, avant de le reboucher . Enfin , je descendis la butte , ma famille m'attendait , nul parole ne fut échangée , seulement des sourires .

Nous rentrames , sérrés les uns contre les autres . Je m'endormit avant même que ma tête ne repose contre l'oreiller . Satisfaite , je laissais la douceur de la nuit m'envahir , je savais que Kuromi veillait sur moi .

Bien que mélancoliques , les jours suivants la mort de Kuromi ne furent pas si tristes que l'on pourrait le croire . Je ne souhaitais pas que mon entourage ait a souffrir de mon humeur , si bien que j'affichais une mine souriante en toute circonstance . Mes amis me manifestèrent leur soutien et firent tout se qu'ils purent pour me rendre heureuse . Comment resister à de telles marques d'affection ?

Ma mélancolie s'envola très vite et je repris mon cour de vie normal .

A treize ans et demi très exactement , mes parents me demandèrent se que je souhaitais faire plus tard . Question ardue , c'est la raison pour laquelle ils me laissèrent du temps pour y réfléchir .

Une semaine plus tard je ne savais toujours pas comment procéder pour me décider . Mes grands parents me conseillèrent alors de faire la liste de se que je recherchais , de se que je savais faire , de se que j'aimais , de se que je n'aimais pas etc ... Les points majeurs sur lesquels j'arrêtais mon choix furent les suivants :
Je recherchais sans cesse des choses nouvelles , j'éprouvai une forte attirrance pour l'inconnu .
Je savai faire beaucoup de choses et j'apprennai vite , je savai lire , écrire , cuisiner, dessiner, jouer de la musique et surfer sur la neige pour se qui concerne mes compétences majeures .
J'aimai par dessus tout les sensations fortes , le frisson du danger et l'excitation de la vitesse mais j'aimai aussi beaucoup mes amis et m'occuper d'autrui . Je ne supportais pas l'ennui et rester sans rien faire .
C'est en rédigeant cette liste que surgit dans mon esprit tout les récits de guerriers et de chevaliers que j'avais entendu depuis mon enfance , tous les jeux auxquels j'avais participée en tant que spectatrice , que princesse . En un éclair je me rendit alors compte que se que je voulai
avoir c'était une vie trépidante , pleine d'aventure , de camaraderie et d'horizons nouveau et d'inconnu et non pas en tant que spectatrice , que princesse , mais en tant que shinobie , qu'actrice .
Excitée comme une puce , je m'empressais d'annoncer la nouvelle à ma famille ... dont les membres me considérèrent gravement et me demandèrent si j'y avais bien réfléchi . Sur le coup , je restais interdite , quelle idiote j'étais de foncer ainsi tête baissée . Se choix déterminerait beaucoup de choses dans ma vie , je ne devais pas le prendre a la légère . Observant mon mutisme et la soudaine gravité de mes traits , mon père ne put s'empècher d'éclatter de rire , rire qui finit par gagner toute la famille moi comprise .

Grand mère Rin me demanda alors d'écrire , un compte rendu de ma vie , relatant tout les évènements que j'estimais importants et de leur présenter une fois fini . Se compte rendu devait m'aider à leur faire comprendre les raisons de mon choix et le cheminement depuis ma naissance jusqu'à aujourd'hui qui y ai conduit .

C'est ainsi que par la présente , je clos cette rédaction que j'intitule « Récit d'une vie et de son orientation par Primura Tchinonamida »
Primura Tchinonamida, anciennement kunoichi de Yukigakure No Sato à présent désertrice.

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Maede Shizura
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Message par Maede Shizura »

j'ai mal au yeux :super:
bon bref, je ne suis qu'étudiante mais pour moi c'est illisible, il faudrait mettre des titres en gras et séparer un peu plus les gros... morceau de texte, sinon ben je lirais apres quand ca sera plus lisible...
bonne chance :)
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Wei-chi Komoku
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Message par Wei-chi Komoku »

J'ai lu et vraiment...J'adoore!
Il y a quelques fautes mais pour la qualité du fond, on fermera les yeux (moi qui dis ça, c'est rare)

un grand OUI donc, je valide ^^
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Message par Musashi Akaito »

accès et tout ca mis ^^

bienvenue parmi nous :wink:
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Itosugi Aniki
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Message par Itosugi Aniki »

J'avoue, +1 pour la miss, jolie bio ^^
Bienvenido à yuki :wink:
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Wei-chi Komoku
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Message par Wei-chi Komoku »

Woah c'était rapide :D :D :D

Bon et bien, tu n'as plus qu'à poster dans Académie de la glace - inscription à l'académie puis trouver un moyen de rejoindre notre joyeux cours :D (c'est pas triste tu verras^^)
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Itosugi Aniki
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Message par Itosugi Aniki »

Ouaouh, effectivement... bah écoute, Yuki t'es ouvert ^^
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Shiyu Kûkan
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Message par Shiyu Kûkan »

*regarde la bio, perplexe.*
La bio a été posté hier, et elle a déja été accepté, jamais vu aussi rapide :blink:

Sinon, bienvenue sur NNS.
Pour la bio, je commente pas, je l'ai pas encore lu :P (elle est grande en plus, la bio)

Et puis amuse toi bien à Yuki, même si le meilleur des village reste Suna XD (ça me fait pensé qu'il faut que je post moi, sinon, va pas être content le senseï^^)

*regarde son post, vois qu'il ne sert à rien, mais étant d'humeur à poster, le post que même. Et sort de lui même, pas la peine de le pousser*
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Wei-chi Komoku
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Message par Wei-chi Komoku »

... Le prochain qui poste pour flooder, je le frappe. Ou vous lisez les bios, ou vous la mettez en sourdine. Non mais ::x:

Ani> et si c'est moi ? ^^
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Primura Tchinonamida
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Message par Primura Tchinonamida »

Merci à tous , je ferai de mon mieux . Je m'en remet à votre bienveillance , c'est mon premier forum .
Je vais modifier le background pour qu'il soit plus lisible , excusez moi pour la présentation .
Primura Tchinonamida, anciennement kunoichi de Yukigakure No Sato à présent désertrice.

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Wei-chi Komoku
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Message par Wei-chi Komoku »

Elle est très bien ta présentation!
Weï-chi Komoku (so-called) chûnin de Yukigakure No Sato

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Leolio Mimura
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Message par Leolio Mimura »

[referp=60743;quote="Shiyu Kûkan"]*regarde la bio, perplexe.*
La bio a été posté hier, et elle a déja été accepté, jamais vu aussi rapide :blink:
[/quote]

Bah si, il y a celle d'Haoru et la mienne. Super rapide à être acceptées ces bios ^^



Sinon, effectivement c'est du rapide. Bonne et heureuse vie dans ce village où il fait froid.
Leolio Mimura, Kazekage

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Hyodo Hyakujuunoou
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Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Y'a eu moi aussi. M'enfin bref.

Bienvenue chez les moins forts :p
sichuan shikai
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Message par sichuan shikai »

Who bien la bio! Un peu patée par endroit mais bon... Et en plus c'est ton premier forum? Wow, respect!

Si t'as un problème mp car les autres c'est des boulets... Bon rp dans ce village givrant qu'est Yuki.
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Wei-chi Komoku
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Message par Wei-chi Komoku »

Retourne dans ton bac à sable, je vais te montrer moi qui c'est les boulets :super:
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