Yagyu Jubei, marionnettiste

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Yagyu Jubei
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Message par Yagyu Jubei »

Nom: Yagyu

Prénom: Jubei

Âge: 14 ans

Sexe: Homme
Physique:
les cheveux blancs en bataille et de corpulence moyenne, Jubei est un jeune homme mesurant 1m81, et pesant 75 kilos. Ses yeux sont bleus. De silhouette agréable, Il aime beaucoup porter des habits noirs et blancs, plutôt simples mais stylés, qui reflètent son caractère contrasté. Il est particulièrement doué pour l'utilisation des marionnettes, art qu'il cultive depuis sa plus tendre enfance en souvenir de son père qu'il n'a jamais connu. De naturel devenu obscur avec les années, certains éclairs de bonté peuvent resurgir en lui, telles les tressaillements de son âme meurtri, le plus souvent en le souvenir de sa mère.

Histoire:

Le commencement



De mère appartenant au village de Yuki et de père appartenant au village de Suna,de son nom Rintarô, Jubei naquît dans la douleur, au village caché du sable. Les autres habitants ne connaissaient pas cette liaison secrète, fort heureusement pour Ayame, sa mère: la sensation de haine était clairement ressentie ici contre les femmes telles qu'elle.
En effet, pour des raisons incompréhensibles, le Kôrikage de Yuki avait coupé à l'époque toutes les communications financières ou commerciales avec Suna. De ce fait, toutes les petites exploitations qui vivaient de l'exportation eurent encore plus de mal à vivre, tant et si bien qu'une catégorie de la population commençait à ressentir de la haine pour le village de la neige, ne possédant aucune raison valable à la cessation des échanges.
Ainsi donc, en un jour d'orage particulièrement intense, Jubei vit le jour, dans un concert de foudre et de pleures, car sa mère n'avait pas survécue à l'accouchement. Rintarô ne pouvait contenir sa douleur, pleurant la perte de son âme sœur jusqu'au petit matin...

Le lendemain, le bébé était toujours devant le cadavre d'Ayame, son père assis, au pied du lit, le regard vide, ayant sans doute pleuré toutes les larmes de son corps. Soudain, il se releva, regarda l'enfant qui criait et gesticulait, sans doute parce qu'il avait faim.. il le fixa plusieurs minutes sans rien dire puis plaqua ses mains contre son visage, tremblant de tout ses membres:

"Désolé, je ne peux pas m'occuper de toi.....pas sans elle.....oh mon dieu......pardonnez-moi pour cet enfant....Ayame j'arrive"

Aussitôt,il saisit le wakizashi qui se trouvait à sa ceinture, puis le planta dans son nombril de manière virulente, donna un coup sec vers l'extérieur, laissant alors tomber, dans une gerbe de sang, ses organes sur le sol maculé déja du sang de sa femme qu'il aimait tant.

Ce ne fût que le jour suivant que leurs dépouilles furent découvertes. Le Kazekage vînt en personne, regardant ce triste spectacle avec mélancolie, d'un côté Ayame, les jambes encore écartées, de l'autre Rintarô, les yeux emplis de larmes encore grands ouverts, et entre eux, Jubei.Il était encore vivant à la grande surprise générale.
Les ninjas guérisseurs étaient déjà sur place pour s'occuper du bébé, mais s’arrêtèrent aussi soudainement qu'ils avaient commencé: en fouillant le corps de la défunte, ils y découvrirent un sauf-conduit, contenant un papier blanc où il était écrit "pour Ayame Tenrô, du village de Yuki" .Voyant cela, le Kazekage plaqua alors une main sur la bouche du premier guérisseur avec autorité, mais c'était déjà trop tard. Devant la foule qui était aux abords de la maison, un jeune ninja prit la parole, affolé:

"Une chienne de Yuki, dans notre village, elle a tué un des nôtres! "

Le chef de Suna était pris de cour, puis dans un grand soupir, regarda l'enfant avec tristesse. Il était le seul auquel le jeune homme s'était confié, de peur de la réaction des villageois face à cette liaison interdite. Il se retourna alors en foudroyant du regard les guérisseurs:

"Emmenez cet enfant à l'hôpital d'urgence en soins intensifs, IL NE FAUT PAS QU'IL MEURE,EST-CE CLAIR?"
rugit-il

Cela faisait deux jours que Jubei n'avait pas mangé, ce qui est énorme pour un bébé...Ainsi, devant la foule en colère, tous prêt à déclarer la guerre à Yuki dans une ambiance d'indignation, l'enfant à peine âgé de quelques jours fut emmené à l'hôpital, promis avant même qu'il ait pu faire ses preuves à une destinée difficile...

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Sa mère, peu avant sa mort, à 21 ans. Ayame Kuroï était considérée comme une grande ninja, pas par sa puissance, mais par l'humanité dont elle faisait preuve. Elle n'hésitait jamais à aider les plus démunis, et faisait passer le bonheur des autres avant le sien. L'absence de soutient pendant son accouchement par un personnel médical, ne put lui donner suffisamment de chance de s'en sortir. Sa mort prématurée suscita bien des polémiques, le village de Yuki ayant perdu l'un de ses meilleurs ninjas médecins ainsi qu'une amie pour tous.
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Rintarô âgé de 24 ans. Ninja appartenant au village de Suna. Son amour pour Ayame était démesuré. Le nom de Jubei fût choisi par lui, en référence à son meilleur ami mort pendant une mission et à qui il voulait rendre un hommage. De caractère plutôt faible dans la vie en général et de corps plutôt frêle, sa dextérité aux armes de catégories lourdes(comme les haches, ou grands sabres) en faisait cependant un guerrier accompli, tout comme sa maîtrise des marionnettes, qu'il manipulait avec une grande dextérité. Son manque de courage et la perte d'Ayame lui furent fatals.

L'enfance heureuse

Par la suite et après de nombreuses négociations, de discussions, et de remise au calme de la population, le Kôrikage envoya des émissaires pour récupérer le corps de Ayame et le bébé. Le village était d'accord, même pour l'enfant, et en échange réclamait que les activités commerciales et financières reprennent. Mais le Kazekage s'opposa à ce que Jubei disparaisse du village, et Yuki dans ce cas-là ne voulait pas reprendre les échanges, les remplaçant par de plates excuses:

"N'oubliez jamais qu'il est toujours le fils de notre bien-aimé Rintarô"

Ceci calma alors les plus réticents et mit fin définitivement aux négociations.La situation n'avait donc pas évolué, ce qui énerva encore plus la population.
Il fût donc décidé de le garder au village, le nom de sa mère lui fût retiré, remplaçé par celui de son défunt père: Yagyu. Il serait alors prit en charge par une famille jusqu'à l’âge de 8 ans, puis livrer à lui-même par la suite, seul dans une maison, et subvenant à ses besoins...

Mais ceci ne fût pas le cas. En effet, Jubei fût élevé dans une famille de cousins de son père, plus précisément chez sa tante, Tahakita. Celle-ci, d'une douceur infini, l'aimait comme l'un de ses propres enfants(du moins en apparence), et l'avait élévé comme tel, tant et si bien que, le jour de son huitième anniversaire, date à laquelle il devait vivre seul, elle décida de le garder, à la grande joie de l'enfant qui ne comprenait pas de toute façon pourquoi il aurait dû partir. Ce qu'il ne savait pas non plus, c'était qu'elle l'aimait parce qu'il était juste le dernier souvenir de son frère défunt....


Malgré cet amour, les autres habitants n'aimaient guère le jeune enfant. En effet, ses parents adoptifs étaient d'une catégorie sociale relativement pauvre, malgré que Tokitô soit un Jounin. Il était donc normal qu'ils vivent dans un quartier peu favorisé, où les villageois en voulaient à Yuki au point , qu'à présent, ils haïssaient tout ce qu'il venait d'eux .Son oncle partageait cette vision des choses, et avait ce regard, qui devant ce qu'il considérait avec mépris, était froid et haineux. Il ne comprenait pas cette haine viscérale que les gens avaient à son encontre, ni vraiment ce qu'il faisait de mal. Cependant, une fois, il avait entendu son père et sa mère adoptifs se disputer, sans suite apparente, du moins c'est ce qu'il croyait.

"On ne peut pas garder cet enfant Tahakita, il est trop dangereux, c'est un chien, il nous tuera dans notre sommeil quand il en aura l'occasion!"

"Comment peux-tu parler de lui comme ça?! Il est notre fils et je l'aime! Qu'importe ses origines, qu'importe même s'il me tue dans mon sommeil, de toute façon, il en est incapable! Cet enfant est bon, bien plus que toi ou moi, mais c'est à cause de l'appréhension, de la haine et des préjugés qu'il pourrait devenir mauvais! Chéri, je t'en supplie, ce n'est qu'un enfant qui demande à être aimé.."


"Tu te mens à toi même! Toi, tu l'aimes parce qu'il te fait penser à ton frère, mais moi je le hais parce qu'il me fait penser à Yuki. Regarde la vérité en face, alors que je suis un Jounin nous n'arrivons pas à vivre convenablement! Il est une peine de plus, tout aurait pu changer lorsqu'il est venu au monde, mais il a fallu qu'il reste au village, qui plus est sous notre toit"

"Cet enfant n'est pas responsable de ce qu'ont fait ces hommes, il..."


"J'en ai assez entendu, je vais faire un tour, ce gosse est le fruit du mal, c'est de sa faute si les choses n'évoluent pas et que nous sommes au bord de la misère.. regarde où il est en train de nous mener!"

Tokitô sortît de la maison avec fracas, laissant sa femme seule, pleurant au milieu de la cuisine.
Ce soir là, il n'avait rien dit, caché en train d'écouter. Il était allé se coucher comme si de rien n'était, esquissant un sourire. Les larmes coulaient toutes seules, sans vraiment qu'il en soit responsable car il ne sentait plus rien, tellement il était abasourdi. Jamais personne ne lui avait révélé ce en quoi il était si détestable, ce en quoi il était si repoussant, mais il le savait maintenant et pensait que cela était légitime. Il ne dormit pas de la nuit, tremblant sans cesse, entendant alors son père rentrer d'un pas lourd et bourru, tombant dans les escaliers car il avait bu. Pourtant, le lendemain, tous parurent tout à fait normaux, Tahakita était toujours aussi douce, Tokitô toujours aussi distant, et Jubei presque heureux à cet âge où les soucis sont futiles, comme s'il n'avait rien vu, ni entendu...


Haine


Les années passèrent, toutes devenant plus dures les unes que les autres pour notre héros. il avait incroyablement grandi, extérieurement comme intérieurement. Il commençait à développer des aptitudes en ninjutsu. Il était devenu très solitaire, et il se demandait toujours la même chose:

*Pourquoi est-ce que je vis?*

Il en était pourtant venu à se dire que, même s'il se fichait du regard que les autres portaient sur lui, l'idée de les sentir souffrir autant qu'il souffrait ne lui déplaisait pas. Viscéralement et contre son gré d'une certaine manière, il voulait qu'ils connaissent les mêmes afflictions du cœur que lui avait connues.

Face aux progrès rapides de son fils, Tokitô buvait encore plus, et commençait à le frapper chaque fois qu'il le pouvait. Tahakita était devenue impuissante face à cette haine qu'il avait contenue pendant plusieurs années et que l'alcool avait clairement mis à jour. Il avait grandi, et était en pleine possession de ses moyens du haut de ses 12 ans. Il avait la conviction maintenant que si son père était violent, c'était parce que lui même était mauvais, souillé depuis sa naissance. C'est pourquoi, malgré le talent de son véritable père, il ne s'était jamais opposé à ce dernier, malgré les ecchymoses et les fractures que celui-ci lui infligeaient.
L'animosité entre Jubei et son père grandissait de jour en jour, ce dernier essayant de la refouler. Mais des pulsions pouvaient le prendre quelques fois, des pulsions de meurtres, il en était le premier étonné, et à chaque fois fort heureusement l'image de sa mère le calmait...sauf ce soir-là.

C'était un vendredi soir, Tokitô avait encore plus bu qu'à son habitude, et était d'humeur massacrante. Jubei rentrait chez lui comme tout les soirs après son entraînement aux lancers de kunai. Lorsqu'il vît son père dans cet état, il voulût se réfugier dans sa chambre de suite rentré. Mais il n'était pas Jounin pour rien: malgré son état second, il attrapa en une fraction de seconde son fils, sortit un Kunai de sa poche et essaya de le planter dans sa gorge. Totalement affolé, il esquiva de justesse le kunai et dans un réflexe poussa d'un violent coup de pied son père contre le mur. Sa fureur égalait sa peur, il ne savait plus quoi faire, il venait de frapper un Jounin...

"Que t'ai-je donc fait? Qu'y a t'il de si détestable chez moi?! Si tu veux me frapper, vas-y tout ton soûle, mais je ne te laisserai pas me tuer!"

De la rage était clairement ressentie dans la voix du jeune homme, il en avait assez de cette vie de supplice. Tokitô ne se démonta pas pour autant, il courût vers Jubei, lui asséna deux coups de poings, lui plantant par la suite deux kunais, chacun dans un bras. Jamais cela n'avait prit une tournure aussi terrifiante. Le jounin recula alors, son fils debout devant lui, le regardant toujours de la même manière, avec détermination et colère. Ce regard, il ne pouvait d'ailleurs plus le supporter, il décida alors d'en finir une fois pour toutes: il sortît un rouleau de sa poche et le posa par terre, commençant à composer des signes. Malgré les talents qu'il cultivait, Jubei n'avait aucune chance contre son père, beaucoup trop puissant pour ainsi dire, même sous l'effet de l'alcool, qui plus est avec ses deux bras invalides, mais il s'en fichait maintenant, c'était 12 ans de souffrance et de rancune inavouée qui étaient maintenant à fleur de peau. Tokitô malaxait une quantité impressionnante de chakra, et composait les signes à une vitesse fulgurante, tandis que dans un mouvement désespéré, Jubei s'empara de sa marionnette, présente dans un coin de la pièce:

"Si seulement tu n'existais pas! Sale bâtard, j'ai essayé de t'aimer mais j'ai toujours vu en toi un danger, l'image de ta fiotte de mère, cette traînée! Tu ne sers qu'à me coûter de l'argent, à cause de toi, ma vie n'est que souffrance...Si tu était reparti au village de Yuki, tout aurait été différent! Mais je vais arranger ça, je vais te tuer!"


"Enfoiré, pour qui te prends-tu, qui es-tu pour décider si je dois vivre ou non?"

Que faire dans cette situation? La fuite? trop tard, Tokitô avait déjà lancer un sort de Doton sur l'ensemble des sorties de la maison. Aveuglé par une haine qu'il pensait inimaginable de sa part, il fit volte face et courût désespérément vers son père: c'était le seul moyen, arriver à le frapper avant qu'il ait fini son incantation, utiliser sa marionnette et ses multiples facettes. Surpris de cette initiative, le Jounin changea totalement de stratégie, referma le rouleau, puis retînt d'une seule main l'adolescent, composant des signes de l'autre. Il n'avait jamais vu ça, et cette fois sentit que sa fin était proche. Pourtant...

"ça suffit! Tokitô!"

Cette voix retentit, en même temps qu'un sifflement sonore. Jubei avait mal: il venait de se rendre compte que le bras de son père s'était logé dans son poumon gauche. Il avait mal, tellement mal, il n'avait même pas vu quand il avait été transpercé....des morceaux de bois volèrent dans tout les sens: aussi impensable que cela puisse être, la poupée sans vie avait réussi à dévier de quelques centimètres le coup et ainsi, avait mis en sursis la mort de l'enfant. Pourtant, cette voix si puissante l'intriguait. C'est alors qu'un chakra doux et chaleureux l'entoura, encore lucide il vît que cette personne était le kazekage. Il avait subi trop de douleur, physique et morale, et avait eu une telle envie de meurtre, une telle envie de tuer qu'il se dégouttait lui-même...

*Pourquoi moi? *songea t'il.

Il émanait du chef du village une pureté qu'il sentait palpable, et qu'il voulait toucher, mais frappé par une douleur trop intense, il s'évanouit.

"Maître Kazekage, cet enfant, ne ferions-nous pas mieux de l'abandonner à son sort? Il ne fait qu'attiser la colère du peuple!"
demanda l'un des ninjas de l'escorte.

"Il suffit! Le Kôrikage a ses raisons, nous nous devons de les respecter: cet enfant ne doit pas en être tenu pour responsable. Regardons-le comme un membre à part entière de notre village, car il est l'un des nôtres. Depuis le début, je savais qu'en prenant la décision de le garder au village, sa vie serait difficile, et s'il y a quelqu'un à blâmer, c'est bien moi. De plus, il est indéniable que cet enfant a de la ressource, il pourrait nous être utile"expliqua t'il avec calme et fermeté.
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Le père adoptif de Jubei, Tokitô. Jounin de Suna, il a toujours servi le village avec ferveur et loyauté. Sa haine envers Jubei provient du fait qu'il a travaillé très dur pour atteindre son rang, et qu'il se rend compte qu'il ne lui procure aucun avantage. Inconsciemment en fait, c'est toute sa frustration qu'il déverse sur lui.. Ne sachant plus du tout où il en est, il préfère noyer ses doutes dans l'alcool et le tabac, disant que tout le malheur qui lui arrive est de la faute de son fils. De forte corpulence et d'un indéniable talent à la maîtrise des jutsus, Tokitô n'a pas un mauvais fond, mais juge toujours trop vite les faits ou les gens. Il aime énormément sa femme, mais manque cruellement de tact.
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Tahakita, la mère adoptive de Jubei. Tout comme Ayame, c'est une personne attentionnée, et d'une gentillesse sans égale. Elle n'est pas ninja, et s'occupe seulement du foyer, en travaillant aussi dans un restaurant comme coordinatrice. Depuis que ses cousins sont morts, elle essaye de retrouver en Jubei un substitut de Rintarô, mais a fini par l'aimer comme son propre fils. D'une beauté éblouissante, elle aime son mari Tokitô même si elle ne le reconnaît plus depuis que Jubei est arrivé. Elle reste cependant naïve pour certaines choses, et laisse souvent ses émotions prendre le dessus.
Le choix de Jubei

Lorsque Jubei se réveilla, il se trouvait dans une chambre d'hôpital. Il releva le buste doucement de peur d'avoir mal puis ne sentit aucune douleur: il vît qu'il n'y avait plus de trous, comme s'il ne s'était rien passé.
Il ne savait plus trop où il en était, il se sentait si coupable, d'avoir cru pouvoir continuer à vivre de cette manière, d'avoir eu tellement envie de tuer....Toutefois, il ne pouvait s'empêcher de penser au Kazekage et à sa formidable quantité de chakra. Il était maintenant motivé par tout autre chose que le prolongement simple de sa vie: il voulait du pouvoir. A ce moment là, il se dit:

*Si seulement je pouvais devenir comme lui, respecté de tous,si fort...*

Tahakita rentra alors brusquement dans la chambre:




"Oh mon dieu, j'ai eu si peur! tu n'as rien? Oh je suis si désolé, ton père avait trop bu et il ne savait pas ce qu'il faisait, il...."

C'est alors qu'il prit sa décision. Comme une révélation, cette dernière lui était parvenue:


"Non, maman. C'est terminé, il savait très bien ce qu'il faisait. Ce n'est pas la première fois de toute façon. Je vais quitter la maison.Je vais quitter Suna"

"Mais mon chéri, non!"

"De toute façon, la vie est trop dure maintenant pour vous deux. N'essayes pas de le démentir, de toute façon je ne t'en veux pas pour ça. Qui voudrait d'un enfant comme moi? Tokitô est devenu violent à cause de moi, ou plutôt du sang qui coule dans mes veines. Quoi que l'on fasse ou que l'on veuille, c'est comme ça. De toute façon, j'ai pris ma décision, elle est irrévocable.. Je vais retourner à Yuki, errer encore et toujours pour trouver ma voie, pour trouver un sens à ma vie. Je trouverai la réponse seul et ne serai plus une peine pour vous. J'ai fait des choses hier que je ne croyais pas être capable de faire... cette envie de tuer..... Qu'importe mon sang, je deviendrai puissant, respecté et respectable, redouté et redoutable. C'est la réponse que j'ai trouvée pour l'instant, et je ne m'en détournerai pas pour un bon moment au moins. Je vais apprendre, encore et encore.."

Tahakita regarda fixement le jeune homme, celui-ci déterminé plus que jamais. Elle se mit à pleurer, et le serra très fort contre elle.

"Pardon... tu es mon fils"

Puis, elle esquissa un sourire emplit de tristesse et quitta la salle.
Jubei regarda dehors le ciel bleu et les oiseaux chanter. Il tendit alors la main vers le soleil puis la referma sur celui-ci.

*C'est sûr j'y arriverai*

Et une larme coula sur sa joue. Il ne sait toujours pas si c'était de bonheur d'avoir commencé une nouvelle vie, ou de tristesse d'en avoir quitté une autre.
Derrière la porte, le Kazekage le regardait avec attention, et se dit en secret.

*oui cet enfant deviendra fort.*

en pensant cela, il ne savait pas si réellement l'enfant avait emprunté le bon chemin...

Lorsqu'il sortit de l'hôpital, il prit ces affaires, sa marionette laissé en héritage part son père qui lui avait sauvé la vie et partit en direction de Yuki, le village de sa vrai mère.
La route était encore longue pour Jubei, et ce dernier le savait. Cependant, il se disait qu'il avancerait toujours comme il se l'était dit, sans jamais se retourner, pour arriver à ce qu'il s'était fixé: trouver un sens à sa vie.

Au bout d'une longue marche, où il avait dut marcher de nuit afin de ne pas se faire reperer, il arriva à Yuki. Devant les portes du village l'attendait Kôrikage

"Nous t'attendions Jubei, le Kazekage ma fait part de ta décision et au nom du village de Yuki, je te souhaite la bienvenu. Nous t'avons aménagé l'ancienne maison de ta mère."

Le Kôrikage mis sa mains sur l'épaule de Jubei et l'invita à entrer dans le village. Mais avant cela, il se retourna et regarda au loin, en direction de Suna comme pour dire au revoir à son passé.

Une nouvelle Histoire commence pour Jubei .... Une nouvelle famille aussi

Nindô : Vivre ensemble ou mourir seul

Caractère : Extremement lunatique, Jubei vit entre le mensonge et la volonté d'être aimé de tous

Qualités : Très sociable, Jubei est capable de s'entendre avec tout le monde. La haine qui était éprouvé contre lui par les gens de Suna la obligé, pour trouvé des "amis" à s'entendre avec des gens qu'il méprisait du plus haut point. la solitude nous force à faire des choses étranges...

Défauts : Menteur et renfermé, il n'aime pas s'étendre sur son passé et prefère mentir que de le raconter. Il garde ainsi ses malheurs pour lui.

Ce qu'il aime : Yojimbo la marionette de son père.Il aime se dire que son père le lui à laissé après sa mort, mais est-ce vrai ?
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Ce qu'il deteste : ... la solitude
Dernière modification par Yagyu Jubei le dim. 11 juin 2006, 13:26, modifié 6 fois.
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Message par Anshu Kipai »

Le village est fermé pour le moment désolé

Il réouvrira après les exams de nous autres pauvres modos.
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Message par Yagyu Jubei »

donc tous les villages sont fermés ? pendant combien de temps ?

on ne peut plus s'inscrire ?

:(
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Anshu Kipai
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Message par Anshu Kipai »

Oui tous les villages sont fermés désolé

Mais vu que ta fiche est vraiment très bien je te valide quand même (ouais c'est du favoritisme et alors ?) Je vais pas te laisser aller dans un autre village quand même.

Bienvenue à Yuki jeune homme et montre toi digne :)
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Message par Yagyu Jubei »

je suis donc accepté a yuki, youpi (désolé c'est la première et la dernière fois que je fais cette blague)

mais si j'ai bien compris je dois attendre la fin de vos exam pour commencer le rp, le forum est donc en stand by en attendant?

bon si c'est le cas j'attendarais !
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Message par Neï Saïdo »

maiheu! tu me pique ma replique (j'aurais du la faire breveter! :? )
sinon bienvenue! ^^ je pense que tu peu commencer à freerp....
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Message par Yagyu Jubei »

freerp ?

tournée en rond dans ma maison je le ferais plus tard lol

je prefere attendre un peu (?) que l'académie ouvre pour vraiment commencer

la patience est une vertue
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Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Bienvenue à Yuki, touss toussa.

Soit prêt à mourir pour Anshu.. Parce qu'il risque de te faire mourir, mais ça, c'est une autre histoire.

( Présentation sympa ;) )
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Yagyu Jubei
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Message par Yagyu Jubei »

je suis pret à mourir pour mon pays (c'est sa qu'il faut dire non?)

en tous cas content que ma bio vous plaises
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Message par Yagyu Jubei »

je suis désolé mais je vais faire une sacrilège : le double post (mais bon c'est pour upp mon post)

j'ai pludieur question donc si quelqu'un pouvait me répondre se serait sympa

- pourquoi je n'ai pas acces à l'académie? mon perso est validé ou pas?

- combien de temps avant que je puisse commencer mon rp (avant qu'un prof s'occupe de mon perso en fait) ?

en fait je suis un peu perdu et vu qu'on ma dit que le forum était en stand by je n'ai pas envie de faire de bétises donc si quelqu'un pouvait un peu me guider afin que je me lance

merci d'avance
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Hyodo Hyakujuunoou
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Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Bah heu... Normalement oui.

Ce bon vieil Anshu t'a pas mit les axx, mais moi je te les met.
J'avais dit que t'étais accepté pourtant -___-
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Anshu Kipai
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Message par Anshu Kipai »

Allez zou si tu es encore vivant t'es accepté :)

Fonce y a un cours qui est en marche ;)
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