Dim 14 Juin 2009 - Shimizu Hyûga [Acceptée]

[Shimizu Hyuga]

Nom(s) Hyûga

Prénom(s) Shimizu

Âge 11 ans

Taille 1 m 35

Poids 30 kg

Description Physique Shimizu est une Jeune fille d'assez petite taille pour son âge et plutôt fine ses cheveux châtain sont longs arrivant mi-dos et sont toujours soignés avec le coté gauche tombant souvent en face de son œil gauche. Ses yeux blancs révèlent une attitude tête en l’air et maladroite. Son petit nez presque absent lui donne un petit air charmant mettant en valeur sa petite bouche souvent souriante. La forme de son visage en amande et le discret ruban dans ses cheveux fait paraître une certaine innocence. Elle est souvent habillée en kimono d’apparence et de facture aisées, généralement de couleurs claires et pastel. Plutôt mignonne passant rarement inaperçu.

Caractère Son petit air timide se veut accentuer par de légères maladresses qui la rende attachante, d’où sa naïveté sociale et son manque de confiance en elle. Par contre elle est déterminée à progresser dans ce qu’elle entreprend et à se montrer capable. Elle tend à cacher sa maladresse aux yeux des autres, bien que cela soit difficile, par honte elle deviendra très troublée par celle-ci, rouge comme une tomate. De nature précieuse, elle sera très coquette et toujours bien habillée. C’est une petite fille Joyeuse, toujours prête à se faire des amis, elle joue beaucoup de ses charmes pour atteindre ses fins. Elle est prête à aider une personne dans le besoin dans la limite du raisonnable par de petits gestes pécuniaires. Shimizu aime étudier consciencieusement et n’abandonne pas facilement face à la difficulté. Calme et posée, il est difficile de l’énerver mais se méfier de l’eau qui dort.

Qualités déterminée, attachante, coquette, joyeuse, social, le cœur sur la main, consciencieuse .

Défauts maladroite, timide, naïve socialement, précieuse, à honte facilement, manque de confiance en elle.

Nindô « connaître toutes les techniques possibles et devenir la ninja la plus douée de ma famille»

Ce qu'elle aime s’habiller toujours de façon élégante avec style et approprié aux situations, se faire des amis, apprendre, vivre aisément, coquette, être charitable .

Ce qu'elle déteste que l'on Se moque d’elle lors de ses maladresses, que les garçons trouvent d'autres filles plus belle ou ayant plus de charme qu'elle, le découragement,les œufs de poisson, les personnes négligés alors qu’elle pourrait ne pas l'être.

Histoire

Chapitre 1er : De 0 à 7 Ans, Le rayon de soleil du quartier

Shimizu est né dans une des familles de la branche principale du clan Hyûga, la Sôke, possédant une grande partie des commerces du quartier Hyûga et donc vint au monde pour vivre ses premières années dans le luxe. Petite dernière après deux frères ayant 6 et 7 ans de plus, elle aura toute l’attention de son père à chaque retour de ses missions de ninja. Celui-ci était très content d’avoir une fille bien qu’il ne s’attendait pas à avoir un troisième enfant et bien que Shimizu soit une naissance accidentelle. Elle fut conçut la veille d’une mission où il risquerait grandement sa vie.
Elle n’était pas vraiment attendue, non pas qu’elle ne fût pas désirée mais quand ses parents se sont aperçus de la conception, ils l’ont accueillie avec joie en tout cas pour le père. Son père était un homme grand et fier sachant partager, il était aussi toujours prêt à donner sa vie pour ceux qui l’aime et pour son village. Sa mère, très belle femme, le visage fin avec un grand cœur mais très orgueilleuse était aussi contente de la naissance de Shimizu. Ses deux Frères était tous deux très charismatique mais pas très courageux et se montrais assez doué pour le marchandage. A la grande déception du père qui espérait que l’un des deux deviendrait ninja comme lui. Mais aucun d’eux ne s’y intéressa.
La sœur de son père, Itsuko, ninja elle aussi, fut pris d’affection pour la petite fille assez rapidement, ne manquais pas une occasion de venir visiter sa nièce. Non pas qu’elle ne venait pas voir son frère mais elle en profitait à chaque occasion, plutôt indifférente au reste de la famille. Ses grands-parents étaient responsables de plusieurs magasins dans le quartier.

Le manoir familial était d’assez grande envergure sur trois étages qui dominait le quartier de sa taille imposante.
Au rez-de-chaussée une grande cuisine où s'affairait une troupe de serviteur faisant la cuisine, le service, le ménage, le jardinage et diverses taches. Un Grand hall d'entrée richement décoré de miroir et de meuble de très bonne qualité, où bordait un petite pièce ou le majordome rangeait les manteaux et chapeaux des invités, au fond siégeait un double escalier en marbre datant du premier Hokage, sur les murs des tableaux, représentant les figures majeures de la famille Hyûga. A la suite de celui-ci un petit salon de seulement quatre-vingts mètres carré servait de boudoir pour faire attendre les hôtes ; de grandes portes coulissantes donnait accès au luxurieux jardin. En face, une salle à manger de cent quarante mètres carré où dominait une longue table en bois d'ébène, un desserte en marbre qui servait à poser les multiples plats à chaque repas ainsi que les différents condiments et assaisonnements, un vaisselier en bois précieux rempli de porcelaine de Suna et de baguettes en ivoire sculpté. Une dernière porte donnait sur la cuisine.

Au premier, se trouvais un gigantesque salon de réception d'environ cent soixante mètres carré fournit de grands canapés en cuir noir, une table basse, les murs couverts de livres de différents sujets, deux armures de samurai semblaient garder l'entrée qui donnait vers la terrasse d'où on pouvait admirer le somptueux jardin. De l'autre coté du couloir se trouvait un salon de thé de cent mètres carré, plus coquet et féminin que l'imposant salon. divers coussins recouvert de soies entouraint une longue table basse en bois, un autre vaisselier contenant des services complets de divers natures plus ou moins richement décorés.

Au deuxième étage se trouvait les cinq chambres de la maisonnée avec leur salles de bain. D’un côté se trouvaient Les chambres des deux frères juxtaposées à celle des parents plus grandes que les autres. Un imposant lit pour deux personnes avec des draps de satin entouré d'une moustiquaire en soie finement brodée dominait la pièce. Une coiffeuse et deux grandes armoires se trouvaient le long des murs couverts de tapisserie parlant de moments importants de l'histoire de la famille. De l'autre se trouvaient la chambre des grands parents mais surtout celle de Shimizu, une grande pièce avec en évidence une coiffeuse en bois avec un plateau de marbre rosé, rehaussé d'une grande glace au cadre doré et sculptée où se trouvait plusieurs brosses à cheveux, peignes, rouges à lèvre, maquillages, crèmes, rubans et d'autres parures. Un futon bordé de draps satinés se trouvait près d'une petite porte menant à une salle qui servait de garde robe à son imposante collection de divers kimono, Yukata, Obi, furisode et robes en soie ou satin de toutes les couleurs mais surtout pastel. En bas on pouvait trouver un rang de multiples chaussures, sandales, waraji, Zori et autres geta ainsi que d'autres accessoires tel que chapeau, châle…. Un coffre à jouets posé sur le coté et un miroir à taille humaine était accroché sur un mur où ornait différents posters de stars masculines. Au dessus, Les combles étaient aménagés comme quartier pour les différents serviteurs et la gouvernante de Shimizu.

Enfin pour finir, Un grand jardin d’environ quatre hectares, entouré de hautes haies lui servant de mur. Celui-ci était décoré de statues des différentes personnalités du clan Hyûga au milieu de tapis florales magnifiques de différentes formes et couleurs, divisé en bosquets entourés de haies naines. Des bancs en marbre dans chacun de ses bosquets donnait un petit coté romantique aux lieux. Au fond du jardin, se trouvait un dojo assez discret, noyé par la nature environnante, où les membres de la famille pouvaient s’entraîner. Le dojo n'avait qu'un seul étage en bois lustré. Il surplombé d'un toit typique en tuiles rouges sombres. Des portes coulissantes en toile donnait vers l'intérieur couvert de tatamis avec un petit espace a l'entrée pour laisser ses chaussures. Les murs étaient couverts d'armes ninja, et de quelques rouleaux ouverts faisant la démonstration des techniques de base du poing souple, seul le vent sur la toile des portes pouvait déranger ceux qui s'y entraînaient.

C'est dans ce cadre de vie idyllique que la petite Shimimi, comme on la surnommait étant petite, commença son enfance. Dés son plus jeune âge, Shimizu comprit comment utiliser correctement un serviteur. Encore dans le berceau, elle s'aperçut qu'en lâchant son hochet en dehors de son lit un serviteur accourait pour le ramasser et le lui rendre. Très amusé par ce nouveau jeu, elle s'amusait à le lâcher volontairement affichant une mine surprise et impuissante au servant qui passait pour qu'on s'occupe d'elle. Après plusieurs jours intensifs du même petit cinéma, le serviteur alla se plaindre à sa mère directement, agacé et lassé.

«Madame, ce n'est plus possible ! Votre fille devient insupportable, elle s'amuse à lancer ces jouets en nous regardant de manière suggestive, ceci ne peux plus durer ainsi.»

La mère, surprise et indifférente aux problèmes de son majordome, lui répondit d'un ton sec et énergique.

«Je ne vous paye pas pour entendre vos jérémiades, vous êtes un grand garçon, je pense que vous pouvez vous occuper d'une fillette de sept mois !»

Naoki, le serviteur, fut toujours dans les coups fourrés de Shimizu durant la courte vie qu'elle passa dans la demeure familiale. Quelques années plus tard, ces deux frères, exaspérés par sa coquetterie montante, la taquinaient en lui piquant son ruban préféré qu'elle mettait assez souvent. Ils le roulaient en boule et se le lançaient l'un l'autre pour l'agacer jusqu'à ce qu'elle aille chouiner dans les kimonos de son père, déjà très bonne comédienne. Plus outré par le froissement de son précieux ruban plutôt que par le petit jeu de ses deux frères, Shimizu rapportait systématiquement le ruban à son « fidèle » Naoki pour qu'il le repasse dans la minute, devant lâcher ce qu'il était en train de faire, ce qui n'arrangeait pas sa méprise pour la jeune fille.

un jour, Shimimi qui adorait essayer des centaines de robes pour choisir laquelle irait le mieux avec ses nouvelles chaussures verte plutôt que les anciennes roses ! Appela Naoki avec un sourire malicieux, bien décidé à se venger de la dernière fois, où il avait osé aller se plaindre à sa mère. Ce fut avec un grand sourire angélique et la voix douce qu’elle demanda au majordome de venir pour donner son avis, empilant un tas de robe sur un siège, dans le petit salon deux étages en dessous de sa chambre. A chaque essayage elle laissait les robes dans les bras de Naoki qui s’accumulaient une par une. Celui-ci content et amusé de l’idée aida la petite fille à choisir la tenue le mieux en adéquation avec les fameuses chaussures verte, ne se doutant pas que quelques heures plus tard, Shimizu allait enfin se décider quittant la pièce en courrant toute contente avec la robe de son choix sous le bras en disant.

« Maintenant vous pouvez me ranger tout ça dans ma penderie.»

Le serviteur obéit donc et alla de ce pas remettre à leurs places les habits de la jeune fille en se disant qu’elle l’avait bien eu encore une fois. De peur qu’elle ne dise quoi que se soit, il prit quelques minutes pour comprendre la façon dont elle avait ordonnée ces robes pour faire de même. Le soir quand Shimizu retourna dans sa chambre, voyant la penderie parfaitement rangée, en imaginant le temps que cela avait du prendre à Naoki décida de lui faire un autre coup fourré. Elle déplaça quelques robes stratégiquement pour simuler une négligence du majordome et alla évidement se plaindre immédiatement après à celui-ci en lui disant de façon outrée.

«Les robes sont rangé n’importe comment ! Allez finir votre travail !»

Shimizu aimait bien la compagnie d'autre personnes et toujours bien habillé. Elle se baladait souvent dans le quartier Hyûga, toujours polie disant bonjour à tout le monde, toujours souriante et prête à réconforter ou à faire rire les gens de son entourage. La petite fille n'hésitait jamais à rendre de menus services non intéressé comme ramasser les feuilles dans les jardins des personnes âgées, organiser le sauvetage « héroïque » de Tâo, le petit chat d'un enfant toujours à se percher n'importe où faisant fit de ne pas pouvoir descendre, distribuer les publicités des magasins dont sa famille détenaient une partie, faire des enquêtes de voisinage avec sa petite bande de détective qu'elle dirigeait par ses charmes. Déjà toute petite tous les garçons la suivaient et elle comprit très vite quand les regardant avec de petits yeux pétillants et un grand sourire, elle pouvait leur faire faire tous ses moindres désirs. Shimizu devint ainsi la chef d'une troupe se lançant dans toutes sortes d'aventures, comme la recherche de trésors ou résoudre la fameuse énigme de la disparition de la tarte. Dans son groupe, elle fut toujours attirer par un des premiers jeune garçon qu'elle avait rencontrée, et régulièrement essayait de se retrouver seul avec lui dans le parc du domaine familiale. Un jour après avoir réussi à envoyer le reste de ses hommes à la chasse au dahus durant une après midi, Shimizu entraîna Koshiro dans un des petits bosquets en s'assoyant à ces cotés. Elle commença à le charmer en lui lançant des yeux doux, tout en papillonnant de ses longs cils maquillés, son cœur battant la chamade. L'Hyûga lui dit d'une voix douce et mélodieuse.

«Aimes tu ce petit coin tranquille ? J'ai toujours aimé être ici avec les personnes qui me sont chère et bien sur tu en fais partie. »

Koshiro qui n'avait d'yeux que pour elle avec son petit jeu, sensible à ces charmes dans son corps de petit garçon rougit. il resta muet un court instant et balbutia quelques mots peu assuré d'une voix faible et gêné.

«Je …. je … t'ai … mo... moi aussi … tou … tou...jours trouver …..... très jolie. »

Finissant dans un murmure quasi inaudible, Shimizu, buvant le moindre de ces mots, rougit à ces dires. Ils se rapprochaient de plus en plus au fur et à mesure que le temps passait, Koshiro dit alors un peu plus rassuré ces quelques mots.

«Ce petit coin et ces fleurs m'ont toujours fait pensé à toi à chaque fois que nous jouions ensemble et je n'espérais qu'une chose … me retrouver avec toi ici. »

Il cueillit une fleur et lui donna tout en se rapprochant, penchant sa tête vers elle, tout deux très intimidé, se regardèrent dans les yeux fuyant leurs regards par moment, s'embrassèrent du bout des lèvres puis s'écartèrent à l'opposé au bout du banc tout deux rouges comme des tomates n'osant plus rien dire sans se regarder. Shimizu qui c'était écarté trop sur le banc tomba les quatre fers en l'air sur le coté traversant la haie qui les isolaient pour se retrouver sur un tapis de fleurs. Koshiro éclata de rire en la regardant tomber. La petite fille devint encore plus rouge de honte, elle se redressa rapidement comme si de rien n'était époustant sa robe.

«Le goûter est servit ! Mademoiselle.»

La voix de Naoki retentit tout proche d'eux, avait il tout vue ? Les enfants ne préfèrent pas réfléchir plus à la question. Ce fut une horde de ventre affamés qui attaquèrent le pauvre majordome déjà complètement dépassé, la table de jardin se faisait dévasté sous les yeux du pauvre homme.

*Ma petite Shina était beaucoup plus calme que cette petite garce et sa bande de morfal …*

Il regardait la table d'un air songeur et absent, pensant qu'il devrait bientôt la nettoyer à son grand désespoir. Le soir même, son père rentra de mission, passa quelques temps à sa femme avant d'aller voir Shimizu dans sa chambre qui l'attendait avec impatience s'étant faites toute belle pour lui. La petite fille se jeta dans ces bras et lui demanda avec un air innocent pourquoi il devait s'en aller si longtemps et souvent. Le père la posa gentiment sur son lit et s'assit à coté d'elle. Il lui répondit qu'il était un ninja, chargé de protéger sa chère ville de Konoha pour que sa petite fille puisse toujours vivre en sécurité. Toujours de plus en plus intéressé, Shimizu lui demanda ce qu'était la vie de shinobi et ce qu'il fallait faire pour le devenir. Intrigué en regardant sa fille poser autant de questions, il réfléchit quelques minutes en se demandant s'il devait l'encourager dans cette voie sachant les risques qu'elle encourrait. De l'autre coté ses deux fils semblaient manquer de courage et d'envie de suivre ses pas, Shimizu restait donc la seule possible à s'engager dans cette vie de risques et de souffrance pour protéger son village qu'il chérissait tant. En voyant l'intérêt de sa fille pour son travail, lui expliqua un peu plus sur le rôle du ninja lui comptant des histoires à chaque occasion.

Pendant une nuit, l’enfant qui dormait paisiblement, rêvant des aventures que son père lui avait racontées, se réveilla en sursaut après avoir entendue un bruit devant la porte de sa chambre. Elle eu juste le temps de se cacher derrière la porte de sa penderie quand la porte s’ouvrit, un homme qu’elle ne connaissait pas y avait pénétré sournoisement et commençait à fouiller un peu partout à la recherche d’objet de valeur. La petite fille, terrorisée dans son coin, n’osait pas bouger un cil, puis encore prit dans la bravoure des faits d’armes de son père, elle prit un ruban rose bonbon entre ses mains, le posant sur son front de façon très volontaire et épique, fit un noeud derrière sa tête. elle ne voulu prévenir personne et agir seule.

*Je suis une ninja de Konoha !!!*

Ce fut ainsi qu’elle commença sa première mission ! Tout en Observant et attendant que l’individu sorte de sa chambre bredouille, elle commença à le suivre aussi discrètement que possible jusqu'à l’escalier qu’il emprunta afin de se diriger vers le grand salon, l'étage en dessous. En haut des escaliers, Shimizu, qui rasait les murs, passa trop près d’un vase surélevé sur un présentoir, manqua de le faire tomber mais le rattrapa de justesse. Le mal était fait, sa bourde avait révélé sa présence, en se crispant sur le vase pour le récupérer, elle avait fait grincer le parquet.

« Qu’est ce que c’est que ça ?»

dit le voleur en se retournant, Shimizu qui entendit sa voix, paniqua en sursautant et se dirigea en courant à l’opposé, dans le couloir. L’intrus se disant qu’il valait mieux éviter, s’il avait été repéré par quelqu’un, que l'on puisse l'identifier, se mit à la poursuite de la petite fille en montant les marches quatre à quatre. La voyant courir dans le couloir, il la poursuivit, ne voyant pas que la robe de Shimizu c’était accrochée à une armure lourde de samurai. Alors qu’il allait enfin la rattraper, celle-ci s’écroula sur lui dans un boucan pas possible l’assommant net. La petite fille sentant les grosses mains poilus se mit à crier, paniqué. S’apercevant que l’homme ne bougeait plus, elle se releva vers lui, en réalisant que sans cette maladresse, elle se serait fait attraper. La maison se réveilla brusquement et accouru rapidement vers le bruit. Shimizu posa immédiatement un pied sur l’armure, comme si elle l’avait vaincu exprès, en prenant une pose fière et croisant les bras. Son ruban flottant au vent dont on ne savait d’où il venait.

«Vous avez vue ! Je l’ai attrapé toute seule ! Je suis une grande ninja ! »

«Mais tu es folle ! Ça aurait pu être très dangereux ! Tu as eu de la chance de ne pas te blesser ou pire, petite sotte.»

Lança la mère de Shimizu durement à son visage, la petite fille baissa la tête penaude tandis que son père la félicita sur un air amusé.

«Bravo ma petite, je vois que tu es digne de ton père, je le dirais à l’Hokage.»

Sa femme jeta un regard noir à son chère et tendre, sans rien dire puis alla appeler les autorités. Shimizu se contenta de sourire à son père toute heureuse de la réussite de sa première mission.

Depuis cette fameuse nuit, la jeune fille commença à observer son père et parents venant s'entraîner au dojo et à raconter à sa petite bande, les exploits de son paternel presque plus imaginaire que réel. Lors d'un de ses passages au dojo, après avoir demandé ce qu'était les kata du poing souple, elle voulut les lire avec attention mais sa maladresse légendaire frappa de nouveau, elle fit tomber une arme lourde de son promontoire au sol qui fit un bruit terrible, toutes les personnes présentes se retournèrent vers elle en la fixant des yeux. Shimizu, rouge de honte, ne se retourna même pas, ne pouvant affronter leurs regards lourd. Un léger son, il parait, sortie de sa bouche. Avec difficulté elle tenta de remettre l'arme mais étant trop jeune, n'en avait pas la force. La jeune Hyûga poussait des petits bruits en luttant, il n'y avait aucun bruit, les combattants la regardaient, attendant, jusqu'à qu'à ce que sa tante par pitié ou peut être pressé, vint l'aider à remettre l'arme sans un seul mot. Encore plus rouge de honte, Shimizu préféra fuir le dojo sur ses petites jambes sous les éclats de rire des différentes personnes, sauf sa tante complaisante.

En arrivant près de sa chambre, elle entendit une conversation entre Shina, une jeune servante, fille de Naoki et sa femme, tout deux servant depuis de nombreuses années pour la famille, et une autre servante. Celle-ci houspillait Shina, surprise à jouer avec les poupées en porcelaine de Shimizu, au lieu de finir de ranger la chambre comme on lui avait demandé. La vieille femme lui ordonna de finir son travail et de se dépêcher de servir le thé au maître de maison, qui attendait dans le salon avec quelques invités. Shina rangea rapidement la poupée et le reste dans le coffre, puis sortie de la pièce, croisant Shimizu rouge de colère qui lui cria de ne plus jamais toucher à ses jouets. Rentrant en trombe dans sa chambre, Shimizu vérifia que tous ces jouets était là et en bon état. L'autre servante qui voulait calmer et rassurer la petite fille lui dit de ne pas s'inquieter, que Shina ne s'occuperait plus de sa chambre et que tout était la.

Quelques mois plus tard, le père de Shimizu fut appelé pour une mission de dernière minute en pleine nuit. Toute la maison dormait déjà depuis longtemps, il partit sans même dire au revoir à ces enfants n'ayant pas le temps et ne voulant pas les réveiller, juste un baisé à sa femme. Ce fut la dernière fois qu’on le vit dans la demeure familiale.

Une semaine après cet événement, deux membres des forces spéciales vinrent se présenter à la porte principale. Ils furent reçus par une servante, ils voulaient parler à la mère de Shimizu qui arriva le cœur serré craignant ce qu'elle redoutait le plus après le départ précipité de son mari. Le couperet tombait sous les larmes de la femme et de Shimizu qui intriguée venait juste de l'étage supérieur.

«Madame, nous avons le regret de vous annoncer que votre mari est mort en service pour le village de Konoha...»

Shimizu repartit en larme en courant dans sa chambre, trébucha au passage dans l'escalier, croisant ses frères qui n'osèrent même pas rire de sa maladresse, plutôt intrigué par l'appel insistant de leur mère qui se trouvait à l'entrée. Une fois dans sa chambre, elle se jeta sur son lit mouillant l'oreiller de ses larmes incessantes.

*Pourquoi … pourquoi … tu n'as même pas dit au revoir … ce n'est pas possible … tu ne peux pas me laisser comme ça …. mon papa chéri … qu'est ce que je vais faire sans toi !*

Ce fut le jour de ses sept ans qu'elle apprit la mort de son père. Sa vie pris un nouveau tournant, la poussant vers la voie du ninjutsu, espérant par la rendre son père fière d'elle en poursuivant le chemin qu’il avait commencé à tracer.


Chapitre 2 : De 7 à 11 Ans, Au coucher du soleil, une étoile naquit.


Pendant trois jours, Shimizu resta enfermé dans sa chambre sans dire un mot, versant toutes les larmes de son corps sans voir personne, complètement dépassé par une perte si radicale et brutale de la personne qui allait devenir le modèle de sa vie. Cette petite fille, poussée de force dans ce monde d'adulte, était sans force et abattue dans sa chambre qui lui paraissait encore plus vide. Ce jour qui aurait du être un jour de fête venait de se transformer en cauchemar par un simple mot, le cœur n était plus à la fête, son goûter d'anniversaire fut annulée. Personne ne vint la voir à part quelques servantes venu lui proposé de quoi manger mais ce ne fut que cri et objet lancé pour les congédier. Elle qui était tout le temps coquette et bien habillée, ces quelques jours furent le seul moment de son histoire, où elle se négligea totalement, restant prostrée sur son lit. La mère de Shimizu qui n'avait jamais vraiment eu de relations avec sa fille, ne prit pas la peine de se déplacer, gardant toujours une certaine distance et n'arrivant pas à communiquer avec sa progéniture. Cette femme avait pourtant des sentiments mais elle n'avait jamais réussit à se rapprocher autant de sa fille non désiré que de ces deux autres fils. La jalousie entretenue par la relation privilégiée entre son mari et sa fille n'avait jamais aidé leurs contacts.

Pendant les quelques jours qui suivirent la maison ne désemplissait pas d'amis ou membres de la famille venu soutenir cette famille meurtrit. Quand Itsuko vint, comme les autres, apprenant que sa nièce n'était plus sortit depuis l'annonce de la mort de son frère, décida d'aller lui parler. Après quelques minutes à toquer à sa porte sans réponse, Itsuko commença à lui parler calmement et doucement comme elle en avait l'habitude avec ses élèves à l'académie. Rassurant Shimizu peu à peu du fait que peu de personne lui avait parlé de cette façon et avec autant d’insistante, la petite fille se leva pour lui ouvrir, ses yeux creusés par les larmes, puis retourna sans lancer un seul regard à sa tante sur son lit. Celle ci vint s'asseoir à coté d'elle lui caressant ses cheveux emmêlés, prit une brosse sur sa coiffeuse et lui teint ce langage.

«Je sais que tout ceci doit être très difficile pour toi, mais tu ne dois pas te décourager, tu es une petite fille si mignonne et pleine de vie, que dirait ton père en te voyant ainsi ?»

Finissant sur un ton amusée et encourageant. Itsuko voulait la faire sourire et lui oublier ne serait ce qu'un instant cette souffrance qui la rongeait depuis ces quelques jours. Shimizu resta silencieuse un court instant, se laissant pouponner en regardant sa tante, puis essuya ses larmes et esquissa un petit sourire complice. Les yeux de la petite fille semblaient plus apaisés et remercierait presque si ils pouvaient parler. Voyant cela, sa tante reprit alors la parole toujours d'un ton calme tout en finissant le brossage de ces cheveux.

«Je suis contente de voir que tu reprends un peu de couleur, mais arrangeons encore cela en ajoutant un peu de fond de teint !»

Shimizu lui rendit son sourire amusé par les siens et par ses paroles. Acquiesça d'un petit signe de la tête. Après une petite séance de maquillages mutuels, la petite fille semblait avoir reprit du poil de la bête et elle finirent leur discutions en éclat de rire. La tante regarda sa nièce avec affection en l'habillant d'un de ses plus beau kimono et lui dit.

«Tu sais ton père m'avait parlé de ton intérêt pour notre travail, il m'avait dit qu'il était très fière de sa petite fille chérie si courageuse … Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à venir me voir et je répondrais au mieux. La vie de ninja n'est pas faites que de mort.»

Shimizu sortit avec sa tante, surprenant le reste de la famille réunit dans le petit salon, sa mère lança à Itsuko un regard jaloux et pesant laissant pendant un instant un calme bien désagréable dans la pièce. Celle ci ne voulant pas laisser peser une atmosphère de tension à un moment déjà si tragique, dit sur le ton de l'humour que leurs petite princesse avait daigner enfin sortir de sa suite, ce qui provoqua de grands rires, si précieux en ces temps graves.


Le lendemain, La famille partit tôt pour la cérémonie d'enterrement des cendres du défunt au cimetière réservé au ninja qui se sont sacrifier pour le village, Shimizu avait coiffé ses cheveux châtain en une longue natte. Un grand chapeau noir, une longue robe traditionnelle et des gants noirs la recouvraient totalement. Arrivé la où le cortège funèbre devait commencer, Shimizu fut placé en tête à la droite de sa mère qui ne la regarda même pas et ne lui montra aucune affection. Derrière eux suivaient les deux frères, les grands parents, la tante et son mari suivit du reste de la famille et proche. La petite fille en deuil regardant l'urne qui contenait les cendres de son père repensait à ce que lui avait dit sa tante et à toutes ses discutions avec son père, trébucha complètement ignoré par sa mère et ses frères fut relevés par sa tante qui avait anticipé sa chute. De part sa formation, Elle c'était aperçu du fait que la jeune fille plongée dans ses pensées ne regardait pas où elle marchait. Shimizu rouge de honte remercia discrètement sa tante par un petit mot et retourna à sa place. La procession arriva à l'endroit du dernier repos de ce junin de Konoha sans autre incident. La petite fille, sa mère et ses deux frères furent placé juste devant la tombe, le reste de la famille en arc de cercle derrière eux, tandis que les ninjas proches formaient une allée de chaque coté du trou qui allait être sa dernière demeure.

Lors de l'ode funéraire, Shimizu observait les shinobi, tous la tête basse d'humilité, en se demandant si elle était aussi courageuse que son père pensait et si elle pouvait être ninja en étant si maladroite. Son paternel lui avait fait comprendre dans tous leurs échanges que ce qui le portait toujours durant toutes ces missions était son amour pour son village et les personnes qui l'aimait, que même dans les moments les plus désespérés, il trouvait la force d'accomplir des miracles. Elle savait qu'elle ne serait jamais marchande comme ses frères mais bien une ninja comme son père et sa tante. Elle prit sa décision au moment où l'urne était mise en terre par une pluie battante comme si le ciel pleurait cette disparition. La cérémonie se poursuivit avec le passage de chaque personne qui jetait une poignée de terre symboliquement, disant leur dernier au revoir au défunt. Puis se finit par le passage de Shimizu en dernière, qui en disant adieux à son père lui fit le serment qu'elle prendrait sa suite pour la protection de Konoha, comme lui, qui avait allumé cette petite flamme durant toutes leurs discussions. Toutes les personnes proches de la famille en deuil vinrent leur présenté leurs condoléances. Quand la tante de Shimizu croisa le regard de sa nièce, elle comprit que quelque chose avait changé en elle et que leurs échanges de la veille avait porté leurs fruits. Depuis ce jour, la petite fille ne fut plus la même et commença à se battre contre sa maladresse et sa honte qui en découlait.

Rapidement après ces évènements, la mère de Shimizu engagea une gouvernante pour prendre soin de sa fille dont elle n'avait jamais vraiment su se rapprocher ; au grand bonheur de Naoki qui aurait moins à côtoyer cette petite peste qui lui avait rendue la vie impossible depuis sa plus tendre enfance. Shimizu devenue un peu plus timide après le départ de son père, s'éloigna peu à peu de sa petite bande qui était devenue pour elle beaucoup moins intéressante voir une gêne pour sa futur vie.

A partir de ce moment la petite fille passa pas mal de son temps dans le dojo familial à observer les personnes s'entraîner aux maniement des armes et surtout au Jûken et autres techniques du clan Hyûga. Après un certain temps passé à observer, Shimizu osa poser des questions à sa tante sur la vie de ninja. Elle vint la voir un jour en lui demandant quelles étaient les qualités qu'un ninja devait posséder et comment sa maladresse pouvait ne pas mettre en danger une mission si tout pouvait basculer par l'erreur d'une seule personne. Itsuko expliqua que certes être maladroite pouvait avoir des conséquences graves mais tout ce qui ne se passe pas comme prévu n'est pas forcément irrémédiable. Il faut réagir vite en gardant toujours en tête que même un faux pas peu être tourné en sa faveur.
Ensuite elle lui dit que parmi les compétences les plus importantes, le shinobi devait être toujours conscient de tout ce qui se passe autour de lui et réagir rapidement en fonction de ses observations. Elle lui donna comme exemple sa petite mésaventure lors de la cérémonie d'obsèques de son père.

« Un ninja doit aussi toujours être le plus discret possible, suivre les ordres de la mission au mieux et enfin ne montrer aucun sentiment afin d’éviter que l’adversaire puisse en tirer avantage.»

Dans la onzième année de Shimizu, Johnny, un pyromane notoire, déjà recherché, appartenant à la branche Bunke de la famille Hyûga, alluma le feu dans le petit square en face de chez elle. Dans celui-ci trônait une statue d’un ancêtre Hyûga qui était l’instigateur du principe selon lequel il fallait une famille inférieur et secondaire qui devait se sacrifier pour protéger les secrets du byakugan. Shimizu accoudée à la fenêtre de sa chambre, pensant à Koshiro son premier amour qui était déjà partie à l’académie, ayant un an de plus qu’elle, aperçu l'homme en train de mettre le feu à la statue avec de l’essence, la badigeonnant et y laissant au pied des barils d’essence. La jeune fille réagit immédiatement dévalant les escaliers quatre à quatre pour se ruer dans la rue, Johnny se mit à courir directement après. Shimizu arriva juste à temps pour voir par où s’enfuyait le malfrat qui chantait de joie son acte d’une voix puissante et hargneuse, le poursuivit dans les rues et voyant un passant, lui dit qu’il y avait un feu sur la place de la Soke et de prévenir les autorités.

Le délinquant après s’être assez éloigné du lieu de son crime, ralentit sa course pour ne pas paraître suspect, la futur étudiante ninja se mit à le suivre plus discrètement, elle était cachée, elle pouvait poursuivre. Le voyant se retourner afin de voir s’il n’était pas suivi, elle se cacha immédiatement au coin d’une ruelle par réflexe. Ne voyant personne, il reprit son chemin vers chez lui d’un pas lent et calme comme si de rien n'était. Shimizu contente de ne pas s’être fait voir, continua sa filature en essayant d’être toujours aussi discrète et attentive aux moindres détails. Arrivé à la maison de Johnny, celui-ci passa d’un pas rapide traversa son jardin pour rentrer par une fenêtre, jetant au passage dans un buisson, un chiffon imprégné d’essence et de quoi allumer un feu. Shimizu remarqua, par la fenêtre, la présence d’une dizaine de personne à l’intérieur et le pyromane rejoignant ses invités pour la petite réception. Attendant quelques instants afin de s’assurer qu’il ne ressortirait pas, la jeune fille se dépêcha d’aller prévenir les autorités toute proches. Leur expliquant rapidement la situation, Elle les emmena directement chez Johnny, leur montra le buisson gardien des preuves puis alla toquer à la porte qui s’ouvrit devant une des invités présente. Celle-ci surprise de la présence des deux ninjas derrière la jeune fille, interpella Johnny qui lisait une pochette de disque avec une belle paire de lunette signée « Optik 2K » sur le côté d’une branche.

«C’est lui qui a allumé le feu ! Tel un diable ou un dieu avec des barils d’essence. Je l’ai suivi jusqu’ici où il est rentrée par la petite fenêtre.»

«C’est ridicule ! J’étais aux toilettes … bloqué si vous voyez ce que je veux dire, je n’ai pas bougé d’ici, mes invités peuvent en témoigner !»

Les invités acquiescèrent tous en même temps d’un signe de la tête, tous les regards se tournèrent vers Shimizu se demandant si elle n’avait mentit ou inventé toute cette histoire.

«Alors comment expliquez vous la présence d’un chiffon sentant encore l’essence et d’un briquet caché dans un buisson de votre jardin ! haha ! »

dit elle d’un ton assuré et sournois pointant les preuves dans les mains des deux ninjas qui l’accompagnaient. Soudain Johnny dit d’une voix chevrotante afin de se défendre.

«A … que … cou … qu’ouie-je les dires de cette petite gamine qui ose venir nous déranger par ses affabulations !»

Les autorités ignorèrent les protestations de l’homme et l’arrêtèrent, sous les yeux ébahis des invitées. Shimizu afficha un petit sourire de contentement, bien heureuse de la réussite de sa deuxième mission. La future étudiante se rappela l’évènement du voleur, il fut quelques années et se dit.

*J’ai fait beaucoup de progrès ces dernières années, je pense maintenant pouvoir être capable de suivre les pas de mon défunt père dans le ninjutsu et lui faire honneur.*

Le soir même, elle alla voir sa mère d’un pas décidé pour lui faire part de sa décision de s’inscrire à l’académie. Devant la porte de la chambre maternelle, Shimizu mit la main sur la poignée sans la tourner, tremblante d’appréhension, hésitante à encore entrer, se demandant si c’était véritablement une bonne idée. Après un court instant de réflexion elle se dit que de toute façon sa décision était prise, elle voulait suivre son père et avec un nœud à l’estomac, elle chassa toutes ses craintes, se disant que sa mère ne c’était jamais vraiment occupé d’elle préférant utiliser une gouvernante. Shimizu entra donc en trombe dans la chambre, où sa mère était assise, à sa coiffeuse, en train de prendre soin de sa petite personne. La jeune fille s’exclama avec un ton décidé et autoritaire.

«Mère ! J’ai pris ma décision, je vais suivre les pas de père dans la protection de Konoha que vous soyez d’accord ou non ! Cela ne changera rien, j’exige que vous me donniez les papiers nécessaires à mon inscription.»

La mère, une brosse encore dans son chignon, sous le coup de l’émotion s’arracha une poignée de cheveux saccageant une heure de travail laborieux. Après un court blanc qui sembla durer une éternité, montrant la surprise et le choc vis-à-vis de la décision de sa fille, prit un temps de réflexion avant de répondre sur le même ton imprégné de sa colère et se retourna tout en se levant pour regarder Shimizu de haut, droit dans les yeux.

«Crois tu vraiment que cela soit une bonne idée, qui t’a mit cette folle idée dans la tête ? Si c’est cette Itsuko … irresponsable et orgueilleuse … qui a toujours voulut me voler ma fille et l’envoyer à une mort certaine comme son père !»

Itsuko n’avait rien à voir avec tout ça, se fut la seule réponse que rétorqua Shimizu restée de marbre, ne laissant qu’un silence qui en disait long. Sa mère compris alors que rien n’allait la faire changer d’avis, se résigna à lui fournir ce qu’elle voulait. Ne pouvant s’empêcher de faire une dernière crasse, sentant perdre le contrôle de sa fille, lui dit d’un ton uniquement sec.

«Si c’est comme ça et que tu penses pouvoir choisir la suite de ta vie, voila les papiers, va donc t’inscrire et quand tu reviendras tu pourras prendre tes affaires et aller dans l’appartement que je te louerais. Ne compte sur aucune autre aide de ma part, c’est ton choix pas le mien.»

Shimizu encaissa le coup en prenant les papiers ne montrant aucune réaction à sa mère, mais au fond d’elle-même elle ressentait une peine, une trahison, ne s’attendant pas du tout à ce que les choses prennent une telle ampleur, sortit de la chambre ne regrettant rien à sa décision. Elle se dirigea vers l’académie.

[Hyodo Hyakujuunoou]

J'aime beaucoup (malgré quelques fautes d'accord :p )

[Ryugi Ida]

pababam ! je passe donc et vois une jolie fiche à l'apparence attirante (je ne lis pas les BG en générale, par manque de temps mais aussi pour la surprise en jeux)

mais ce que j'ai lue (description aime, aime pas ect) ma bien plue !

Bref bievenus à KONOHA !!! en espérant te croiser en jeux !

[Hakeno Genoka]

Oooh une enquêteuse oeil-blanc

Euh ... j'ai bien aimé la description et l'avatar. Mais 11 ans par rapport à l'image, ça me parait un peu ... jeune.

Sinon, je serais ravi de son admission

[Shimone Ayanami]

Ah te voila enfin . Bienvenu sur NNS, dans le plus vert des villages.

Au niveau de la fiches, il y a effectivement quelques erreurs et enchaînements parfois un peu maladroits mais comme Hyodo, j'aime beaucoup .
Néanmoins si tu pouvais ajouter une petite ligne pour décrire la corpulence de Shimizu, donc petite, grande, mince, pas mince, etc... dans la description physique, ce serait génial, histoire qu'on puisse se la représenter un peu mieux . Les chiffres correspondants, ou une approximation peuvent également faire l'affaire .
A part ça je crois qu'il y a une petite erreur sur les balises de couleur avec la phrase « Un ninja doit aussi toujours être le plus discret possible, suivre les ordres de la mission au mieux et enfin ne montrer aucun sentiment afin d’éviter que l’adversaire puisse en tirer avantage.»
Et enfin si tu pouvais jeter un coup d'oeil à la partie "ce qu'elle déteste", c'est formulé un peu bizarrement sur certains points. Après ça, ce sera bon pour ton acceptation .

On va également s'occuper de ton pseudo pour que le nom de famille corresponde .


Hakeno, c'est vrai qu'elle a de sacrées formes pour une gamine de onze ans . Aha Shimuzu, t'as demandé une opération pour ça à ton anniv ?


Shina, allons-y pour le petit quizz :
- Johnny > Johnny Hallyday
- un pyromane notoire, déjà recherché, appartenant à la branche Bunke de la famille Hyûga, alluma le feu dans le petit square en face de chez elle > Allumer Le Feu, une chanson du père Hallyday
- Optik 2K > Optique 2000, une marque dont il fait la promo (qui ? z'avez rien suivi ou quoi )
- Tel un diable ou un dieu avec des barils d’essence > fait référence à "Et faire danser les diables et les dieux" dans la chanson Allumer Le Feu

[Anshu Kipai]

T'as un gros pixel dans l'oeil

...


Bienvenue sur NNS

[Shimizu Hyuga]

oui oui me voila enfin et content d'être ici.
Je fait les quelques corrections nécessaire tout de suite ainsi que l'addition à la description.

Ha oui au fait, bravo Shimone pour le quiz, tu a pratiquement tout bon il reste une allusion mais qui n'a rien a voir avec johnny Halliday

[Hyodo Hyakujuunoou]

Sinon Hyuga ou Uchiha ? x)

[shina itatsu]

bonjour tout le monde, alors pour la petite info Shimizu est un copain RL que j'ai un peu guidé pour le back, ensuite Shimone je suis tres impressioné quand meme ! il ne manque que deux clins d'oeil à trouver dans le passage avec johnny qui est tres difficile et bien caché ! Bon courrage à tous pour le jeux

ps : celui qui trouve gagne un rendez vous avec Shina au resto dans le jeux bien sur

sinon, hyuga pour répondre, il a changé d'avis depuis la création du compte qui date

pour le pixel dans l'oeil c'est moi qui est modif au point par point l'image donc oui peut etre pas tout a fait parfais

ps 2 : hey elle vient de famille de riche ! alors l'opération hein ! facile pour eux !

[Shimizu Hyuga]

Oki j'y ai fait les corrections nécessaire, enfin j'espere que ça suffiera

C'est long de relire 12 pages pour les corriger

Au fait, il manque aussi un autre allusion à johnny lisez bien celle-ci est un peu plus dur à trouver

Oui, oui, je confirme que mon nom de famille est bien Hyûga ... A la création du compte, je pensais faire un Huchiha mais j'ai préfèré changé

[Ryugi Ida]

un petit changement dans le panneau de l'utilisateur et paf il n'y paraitra plus

N'empèche trés jolie travail sur les yeux shina, ce n'est qu'en regardant bien que j'ai vraiment vue les légères imperfections.

Mais pour le rendez-vous, Shinji ne risque pas d'être jaloux ?

(et magnifique les allusion xD vivement qu'on se croise en jeux !)

[Musashi Akaito]

ton nom est changé désormais

[Hakeno Genoka]

Autre allusion : "A que ... qu'oui-je ?" (le célèbre "A que" de Johny Halliday !)

Sinon, une allusion à autre chose que Johnny-le-Belge ? Je vois pas ...

[Yukio Eiji]

Yeah une autre étudiante avec nous =D Bienvenue, bien que je sois aussi nouveau '

[Shimone Ayanami]

La dernière référence est peut-être : «C’est ridicule ! J’étais aux toilettes … bloqué si vous voyez ce que je veux dire, je n’ai pas bougé d’ici, mes invités peuvent en témoigner !»

Sinon, les modifications demandées ont été apportées donc c'est tout bon, les portes du village vont s'ouvrir pour toi.
Lorsque tu auras les accès au village, tu le verras facilement ton pseudo sera vert à ce moment là, tu pourras t'inscrire à l'académie et nous rejoindre pour le cours (topic "L'incinérateur").
Fais honneur à ton clan .