Hakeno Genoka [Accepté]

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Hakeno Genoka
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Hakeno Genoka [Accepté]

Message par Hakeno Genoka »

Nom(s) : Genoka

Prénom(s) Hakeno

Âge : pas loin de 16 ans.

Sexe : Masculin

Description physique : Mesure un bon mètre quatre-vingt. Peau légèrement pâle, menton pointu, la colonne souvent légèrement penchée. Poids classique, environ 64 kilogrammes, peu de formes. Cheveux noirs, plutôt courts, presque rasés. Sourit souvent, non pas d'un sourire ... bienveillant, mais d'une sorte de rictus qu'il affiche souvent. Prétend que c'est à cause d'une hyperactivité qu'il entrechoque souvent ses dents et fait craquer les jointures de ses doigts dans des gestes mécaniques. En fait un banal tic nerveux. Il aime les habits amples en cuir tanné.

A première vue, on dirait un mendiant qui a voulu se tailler une défroque dans du cuir de vieille vache ; ce n'est pas totalement faux. Mais, si on l'observe mieux, on peut remarquer de la limaille collée à ses bottes, une poche déformée par un tube rouillé, ou encore un léger sillage de rognures à la brillance terne semé derrière lui. Enfin, son casque, ses breloques métalliques et les sangles de cuir qui serrent ses épaules permettent de deviner aisèment la vocation de ce gosse : le métal.


Caractère : n'aime pas beaucoup être sérieux, sans pour autant respirer la joie de vivre. Quand il sent qu'il a le dessus (ce qui, étant donné ses moeurs légèrement ... mégalomanes), il tranche son visage avec son sourire, et son corps est légèrement secoué par des rires intérieurs. Pour lui, les autres personnes sont soit supérieures à lui, soit inférieures. Il a beaucoup de respect pour ses supérieurs hiérarchiques et les gens plus agês que lui, mais n'apprécie pas la plupart des autres étudiants.

Reste souvent de longues heures seul, à observer un oiseau qui picore la tête d'un vieillard, ou à tenter de tracer des plans de mécaniques plus ou moins complexes.

Histoire : A sa naissance, la première chose que Genoka vit, ce fut le ciel. La seconde chose que Genoka vit, ce fut le visage décomposé de sa mère effarée. Et la troisième chose que Genoka vit, après plusieurs heures dans le noir, fût le fond d'une fosse à purin.

Son père était ... un serviteur, un cuisinier, quelque chose du genre. Sa mère était l'épouse d'un nobliau de la côte du pays du feu, qui était parti en guerre depuis deux ans. Son mari n'étant pas du genre à promouvoir la vie de couple avec trois partenaires, et de tempérament sanguin, elle préfèra faire jeter l'enfant aux ordures.

Un fouilleur de détritus fut attiré par les cris de l'enfant. Il s'empara de lui, mit son sac noir sur ses épaules, et reprit la route vers sa demeure, espérant apitoyer les foules avec un mendiant en bas âge. Sur son chemin, il rencontra une femme d'âge mur, de condition modeste comme lui, et qui venait de subir sa troisième fausse couche. Connaissant les ambitions de cet homme, la femme échangea le bébé contre un panier de choux, et, lui donnant le sein, l'appella du nom de Genoka Hakeno, instinctivement.

Elle apprit tôt à son fils adoptif les rudiments de sa condition, à savoir quel air prendre pour arracher une pièce à un quidam généreux, dans quels recoins fouiller pour trouver des restes de nourriture abandonnés, et enfin, quels détritus il fallait ramasser pour les revendre au ferailleur du quartier.

Genoka se trouva bien vite doué pour le dernier point. A l'age de cinq ans, il passait toutes ses journées le dos plié, la face contre terre, à tenter d'apercevoir parmi les amoncellements des sorties d'égout un éclair brillant, furtif, terne, métallique. Après avoir rempli tout un bol éméché de rognures diverses, il courait à la maison, versait le tout dans un trou recouvert d'un sac. Et chaque semaine, sa bonne mère venait rendre le sac dans la masure du ferailleur, et avec l'argent gagné rachetait des légumes.

Au fur et à mesure des mois, Genoka grandissait, et l'argent s'accumulait. Un jour, Genoka voulut gagner plus, sa mère étant souffrante. Il commença donc à trier des déchets, gardait une vieille roue, modelait avec une pierre une carcasse d'acier, la garnissait de pointes de kunaïs, et se construisit ainsi un piège à rats. L'enfant l'arma d'un morceau de boeuf bouilli, puis repartit à la recherche de matériaux. Le bol n'étant plus assez grand, il s'était procuré une musette à moitié déchirée. Genoka avait commencé à comparer les prix dans les quartiers, et gardait des shurikens pour le forgeron, de gros morceaux de bois pour les ébenistes. Il agrandissait en fait son monopole, en diversifiant ses clients. Pourquoi se contenter de feraille, quand un semblant d'arme vaut trois fois plus cher ? Le soir, un rat au crâne perforé l'attendait dans le piège.

*Mouaif ... si je refile ça aux commerçants, c'est un coup à me faire courser par tout le quartier pour avoir rendu une fillette malade. ça arrive toujours ... Par contre, ça ne gênera pas tellement les mendiants ... hé hé ... *

Il n'en gagnait que 80 ryos, mais c'était plus que suffisant pour lui.

Chaque journée lui rapportait son comptant d'argent. Il amassa bientôt plusieurs centaines de ryos, et les revenus croissaient. Genoka devint presque arrogant de constater qu'un enfant de dix ans avait gagné à lui seul plus que la moitié de ses ... collègues en un mois. Il travaillait tant qu'il sacrifia tout son temps libre pour amasser de l'argent. Ainsi, il ne put s'apercevoir que la maladie de sa mère empirait, malgré les décoctions médicamenteuses qu'il lui procurait.

Quand il revint en courant à la maison, pour montrer à sa mère la dizaine de rats qu'il avait capturé dans les tas d'ordures, Genoka la trouva soufflant difficilement, allongée sur un vieux matelas. Il déposa ses prises, se précipita à l'extérieur, l'air apeuré, l'oeil palpitant, et fonça chercher un guérisseur. Quand celui-ci parvint, la pauvresse pouvait à peine tenir les yeux ouverts. Dans un ultime sursaut, qui consuma ses dernières forces, elle prit dans ses bras son fils adoptif, puis expira dans un râle. Il avait maintenant onze ans.

Genoka fut marqué par cette mort. Bien qu'il était apte à vivre totalement seul, la seule personne qu'il ait vraiment aimé venait de mourir à cause de son inattention pour elle. Il aurait pu se décider à désormais prendre soin de son entourage, pour éviter que la plupart de ses amis meurent ! Mais il ne voyait pas l'interêt de se trouver des amis, si c'était pour devenir triste à leur mort, et regretter leur présence toute sa vie.

*Quand je serais plus agé, j'aiderais les gens. Ceux qui vont mourir, je les aiderais à survivre. Mais pas la peine de les aimer : l'attachement ne m'apporte rien de bon. Ce sera un jeu; si les personnes meurent, j'aurais perdu. Si elles survivent, j'aurais gagné. Ouais, un bon jeu ...*

Désormais, Genoka n'était plus lié à cette décharge. Il était néanmoins tombé amoureux du métal. Il ramassa donc ses provisions, fit un tas de chiffons sur le cadavre de sa mère, la traîna à l'extérieur, et y mis le feu. Pas la peinede récupérer les cendres. Aucune utilité. Puis il essuya une larme, se frappa le visage pour s'encourager, et partit. Il entra chez un forgeron, qui était un de ses bons clients dans la revente d'armes.

"Ah, salut gamin ! Tu as encore des shuriken pour moi ?"

"Pas cette fois. Je me suis ... séparé de ma mère, et j'ai pas envie de retourner à la décharge. Vous cherchez un apprenti ?"

"Hé hé ... J'ai bien un poste qui te conviendrait. T'es un garçon débrouillard, et tu r'ssembles pas au ramassis de clodos qui croupit dans l'coin. J'tembauche ! T'as le droit de coucher dans la forge, jt'e paye 20 ryos du jour, mais tu t'débrouilleras pour manger !"

Genoka claqua des dents avec fébrilité.

"Merci. Vraiment. Qu'est-ce que je dois faire ?"

"Oh, les p'tits machins habituels d'une forge ! Actionner le soufflet, passer un coup d'balai, livrer mes commandes ... Pour l'instant, j'te laisse pas toucher à l'enclume et au marteau ! T'es trop jeune, et ton bras trop maigre ! "

Ainsi débuta la nouvelle vie de Genoka. A vrai dire, il aimait beaucoup la forge. Quand son maître forgeait un nouveau katana ou des maillons de nunchaku, il recueillait toutes les brisures scintillantes de métal qui giclaient de l'enclume. Il s'en fit un tas de plus en plus conséquent, avec l'intention de le fondre et de le revendre plus cher. Il apprit aussi l nom des métaux, leurs alliages et leurs caractéristiques.

Le forgeron reçut une commande importante : une armure complète de samouraï, avec un masque de bronze. La réussir lui assurerait une bonne renomée chez les puissants, et un bon millier de ryos. L'élaboration dura plusieurs mois. Achevée, il se mit à forger quelques kunaïs, en attendant le retour de son apprenti pour avertir le commanditaire. Malheureusement, tout songeur qu'il était aux armes qu'il pourrait forger avec mille ryos de matériel, il frappa trop vite, trop fort, et le marteau s'abattit sur son pouce. Il jura, et plongea sa main dans l'eau froide, avant de la bander de lin. Genoka, à son retour, le retrouva assis sur le bord de sa forge, l'air renfrogné.

"Ah, t'es de retour, gamin ? Jm'e suis un peu cogné les doigts ... Tiens, ça doit faire un an qu't es apprenti, on va voir si t'as appris quelques trucs. Essaie d'me finir ce kunaï."

Le gamin attrapa la masse, la soupesa. Trop lourde. Beaucoup trop. Elle lui glissait des mains.

"Maître, je ne pense pas que je puisse ..."

"Quoi ? Trop lourde ? Atta' voir ..."

Le forgeron détacha le gantelet de l'armure du samouraï, et l'enfila d'une main sur celle de Genoka.

"Essaie comm'ça ! On verra bien ..."

Genoka repris la masse. Peut être était-ce à cause du poids du gant lui-même, mais en effet, il la trouvait moins lourde.

*Une armure qui sert aussi à fortifier, mais pas seulement à défendre ... hm ...*

Il se mit à marteler le kunaï. Il ne parvint, avec un air dépité, qu'à en tirer une forme grossière.

"Mouais ! Pas assez bon pour faire des armes ! Les armures d'vraient te convenir. Pas d'pointes, c'est du tout lisse. Bon, va prév'nir le gros bonnet qu'jai fini son armure, qu'il vienne la chercher."

Genoka défila le gantelet, le posa sur la forge, puis s'engouffra à l'extérieur.

Tout en cheminant à travers les rues, il se plut à penser.

*Le gantelet. Il m'a rendu plus fort. Mais j'ai eu plus de mal à bouger la main, après. Plus fort, mais plus lent ? Nan. La lenteur sert à rien, alors pas la peine. Un équipement qui rend plus fort, mais plus rapide. ça, ça serait bien. Mais comment ... une armure qui bouge toute seule ? Faudrait qu'elle vive. Une armure qui vit ...*

Au détour d'une ruelle, il recontra Nez-de-Singe, un poivrot habitué à mendier pour son saké. Le clochard lui adressa la phrase habituelle :

"Hey, M'sieur ! A vot' bon coeur ! Une 'tite pièce !"

Ce à quoi Genoka répondait la réplique habituelle :

"T'as qu'à bosser !"

Et il le dépassa en vitesse. Mais, quelques pas plus loin, il entendit un débat animé.

"Hey, M'sieur ! T'as l'air généreux, toi ! Allez, un ryo, pour toi, c'est rien !"

"Fout le camp, sac à vin !"

"Allez, t'as pas un ryo, passe l'argent ! Passe, jt'e dis !"

"Tu veux une claque ?"

"Hey, allez ! Un pt'it * OUff ..."

Genoka se retourna. Il aperçut un ninja, visiblement tout colère, tenir par derrière Nez-de-Singe, tandis qu'un ... clone du ninja lui apprenait physiquement les bonnes manières.

*Les ninjas peuvent se cloner ? ça doit être avec leur chakra bizarre. Bizarre tout de même, un clone qui frappe qui vient du néant. De la création de matière ? Nan, de la copie de vie. De la vie ... pour mettre de la vie dans une armure ... suffirait de se cloner dedans ? Nan, pas se cloner, cloner sa vie ... sa force ... hé hé ... j'crois que j'ai trouvé un bon moyen d'aider les gens avec du métal ...*

Le soir même, il annonça à son maître son départ pour l'académie des ninjas, à Konoha. Il partit le lendemain, après avoir rassemblé ses frusques, avec une caravane de marchandises. Après 3 jours, il fut enfin en vue de la cité, se dégotta une masure crasseuse, et partit voir les modalités de l'examen ninja.

Nindô :L'inutile encombre. Si quelque chose ne te sers pas chez toi, débarasses t'en. A force, tu devrais finir par exploiter toutes tes possibilités.

Qualités :Très habile de ses mains, ingénieux, secourable, très travailleur.

Défauts :Désir de sociabilité et d'amour quasi nul, peu de sens de l'empathie, force physique plutôt faible, tendances misanthropes.

Ce qu'il aime :Chaque jour tenter de s'ôter tout ce qui est inutile chez lui. Voudrait s'arracher les yeux et s'amputer des quatre membres pour les remplacer par des prothèses mécaniques, plus efficaces. Mais pas pour l'instant : encore quelques centimètres de croissance à parcourir.
L'observation de la nature, le feu.
Le métal et les mécanismes.
L'argent, aussi. Très pratique, l'argent.

Ce qu'il déteste :Les mendiants,
perdre le contrôle de son corps à cause de la colère ou la tristesse,
tout ceux qui font preuve d'une trop grande sympathie envers lui : il n'a pas envie d'être triste à leur mort, si il commence à les aimer aussi.

Voilà voilà. J'espère que j'entrerais bientôt dans la prestigieuse académie :D

Edit : Ptite rectification au niveau du nom/prénom.
Dernière modification par Hakeno Genoka le sam. 17 janv. 2009, 12:23, modifié 4 fois.
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Hyodo Hyakujuunoou
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Re: Hakeno Genoka

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Pour moi c'est oui.

Mais c'est parce que je suis gentil.

Et même s'il veut pas venir à Iwawa. :''(.
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Hakeno Genoka
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Re: Hakeno Genoka

Message par Hakeno Genoka »

hé hé ... A vrai dire, peu m'importent les interêts ou l'honneur d'un pays ! Si je suis allé à Konoha, c'était juste ... pour ne pas trop me fatiguer à voyager ^^

Mais si l'on me refuse ici ... il pourrait bien y avoir d'autres pays qui accepteraient gracieusement mes plans et mes mécaniques ... d'autant que j'ai certains projets ... pouvant s'avérer TRES utiles pour un guérisseur ... ^^
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Shimone Ayanami
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Re: Hakeno Genoka

Message par Shimone Ayanami »

Bonjour et bienvenu,

les critères d’acceptation sont à peu de choses prêt les mêmes partout mais c’est bien d’essayer de se vendre :P.

La fiche me convient, l’histoire se lit bien et reflète bien ton personnage. J’ai bien aimé le "déteste : tous ceux qui font preuve d'une grande sympathie envers lui". Déteste, t’y vas fort :lol:, ou bien ?
Maintenant il y a quelques petites choses qui peuvent être améliorées, il reste quelques petites fautes, principalement d’inattention (rien de choquant ;)) et le caractère m’interpelle un peu, quand Genoka se sent inférieur, ça doit quand même arriver, comment se comporte-t-il ? Et le fait qu’il claque des dents et fait craquer ses jointures, c’est lié au caractère ?
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Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Hakeno Genoka
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Re: Hakeno Genoka

Message par Hakeno Genoka »

Disons que claquer ses dents et craquer ses doigts sont ... des signes révélateurs de nervosité. Ce serait un peu comme des tics, en fait, sauf qu'ils n'arrivent pas à n'importe quelle occasion.

Eh bien, quand Genoka se sent supérieur, il sourit. Et quand il se sent inférieur ... il prend un air attentif et ne sourit plus (on va pas sourire devant un ninja de deux mètres de haut lardé de cicatrices, hein ^^ ). Il se sent inférieur devant un supérieur hiérarchique, et les personnes traditionnellement dignes de respect (les agés, les moines, toussa ...). En fait, il n'a pas tendance à considérer un individu comme étant son égal. Soit plus mauvais, soit meilleur.

Il n'aime pas ceux qui l'aiment ... car il a surtout peur de perdre le contrôle de lui même. Donc n'aime pas être triste, car ça réduit la perception, pas être en colère, car les actes deviennent irréfléchis, pas être bourré, car ce sont les gestes qui deviennent aléatoires ...

Enfin, ça va pas jusqu'à vouloir tuer ceux qui font preuve de sympathie envers lui, hein. Plutôt répondre mollement en attendant que la personne s'en aille. ^^

Bon, j'espère que j'ai un peu clarifié lbazar.
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Shimone Ayanami
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Re: Hakeno Genoka

Message par Shimone Ayanami »

Ca clarifie effectivement le schmilblick, mais précise le dans la fiche (en même temps que tu chasseras un peu la faute, cette espère en voie de disparition :P), ce sera plus simple pour s'y retrouver plus tard ;).
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Hakeno Genoka
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Re: Hakeno Genoka

Message par Hakeno Genoka »

Et voilaaa. Si il reste encore des fautes sont rudement bien cachées, ou du moins pas gênantes. J'espère que ça ira à présent pour le sens ^^
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Shimone Ayanami
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Re: Hakeno Genoka

Message par Shimone Ayanami »

Tiens, tu as viré le passage où tu disais que même s'il n'aimait pas trop la compagnie des autres il était du genre à aider la communauté ? Sinon pour moi c'est bon, je valide :).

Par contre pour tes futurs rp, les paroles, quel que soit le personnage, sont à mettre entre guillemets, et les pensés entre astérisques (c'est pas interdit de le corriger d'ailleurs :P).

Hyodo étant d'accord pour valider, j'ai plus qu'à te souhaiter de bien t'amuser et lorsqu'un admin se sera occupé de te mettre les accès au village, tu pourras commencer à jouer en t'inscrivant à l'académie ^^.
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Re: Hakeno Genoka

Message par Hakeno Genoka »

Correction achevée ^^

Yahou ! Accepté ! Merci ^^
Hakeno Genoka , étudiant de Konoha
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Ryugi Ida
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Re: Hakeno Genoka

Message par Ryugi Ida »

ha ouais pas mal le style de ton perso ^^ Un bon petit nouveau, ça fait plaisire ! En espérant te croiser rp BIENVENU !!!
Ryugi Ida Konoha no Sato
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Furansu Jin
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Re: Hakeno Genoka

Message par Furansu Jin »

J'ai lu \o/

J'approuve ! \o/
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Urasawa Kenji
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Re: Hakeno Genoka

Message par Urasawa Kenji »

Omagad que se passe-t-il...

Axx mis, bienvenue sur NNS :).

Et bonne année RP :P !
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

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Misashi Katzumoto
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Re: Hakeno Genoka

Message par Misashi Katzumoto »

Bonne année et bienvenu à Konoha l'ami !

A bientot en RP
Misashi Kaztumoto, Genin "j'oublie de plus en plus de choses" de Konoha

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