Dim 07 Oct 2007 - [Space girl #3] Paiperu Hariwaru

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Hariwaru Paiperu
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Dim 07 Oct 2007 - [Space girl #3] Paiperu Hariwaru

Message par Hariwaru Paiperu »

Nom : Hariwaru

Prénom : Paiperu

Sexe : Féminin

Description physique :

De taille moyenne comme ses soeurs, fine et élancée, elle semble toiser le monde entier avec une certaine agressivité. De très longs cheveux rouge feu lui tombent jusque derrière les genoux , généralement coiffés en deux couettes quand ils ne sont pas lâchés. Une casquette « total-style-space-ultra-classe » (dixit Paiperu) est généralement posée sur sa petite tête. Un pull orange clair presque beige lui couvre le haut du corps par dessus un débardeur blanc à froufrou. Elle porte une mini jupe bleu moulante et par dessus une grosse ceinture en cuir brun foncé fermée par une boucle d'argent. Un collier, cadeau d'une ex petite amie, représentant une petite boule de la même couleur que ses yeux entourée d'un fil d'or et retenu par une longue chaînette également dorée orne son cou gracile.
Des chaussettes rayées vertes et noires (qui sont en fait des collants bricolés) lui montent jusqu'à mi cuisse. Elle porte généralement des bottes de cuir noires foncées à grosse semelles (très pratiques pour frapper efficacement ses adversaires et marcher sur les mains des asticoteurs) qui s'arrêtent au dessous du genoux.
Une écharpe mauve qu'elle revêt généralement comme un châle par dessus ses épaules ainsi qu'un long bracelet du même cuir que sa ceinture qu'elle porte à l'avant bras droit et une poupée, cadeau d'un ex éploré qui voulait la faire revenir sur sa décision de le lâcher viennent compléter sa panoplie habituelle. Parfois, certains la verront avec un long objet caché par un tissu noir accroché dans son dos.

Caractère :

Quelques grammes de râleuse délayées avec plusieurs litres d'extravagances , ajoutez à cela une poignée d'agressivité, une pincée d'explosivité et mettez à chauffer en enfer. Vous obtiendrez à peine un quart du tiers de la moitié de la réalité... miséricorde me direz vous.
Cette jeune fille est une véritable diablesse, jamais fatiguée toujours dans une forme insolente, elle n'a pas la langue dans sa poche et ce n'est pas près d'arriver (au grand dam de son entourage généralement). Bien qu'aimant utiliser sa langue de vipère, elle utilise fréquemment ses poings pour se faire entendre, comprendre et obéir.
Plus qu'attachée à ses soeurs, elle les aide au mieux de ses capacités dés qu'elle en a l'occasion... et le résultat est du genre saignant ascendant terrifiant tendance boucherie. Comprendre par là que le ou les asticoteurs comme elle les appelle et qui lui sont signalés par ses soeurs finissent en mauvais état.
Surnommée Bourre-Pif dans son école à cause de sa fâcheuse tendance à viser cet endroit au premier coup donné, elle est sans conteste la plus bagarreuse et la plus agressive des triplées. Pourtant derrière ces dehors de sale gamine, se cache une jeune fille sensible qui aime bien discuter avec des gens quels qu'ils soient et s'amuser.
Instinctive, elle réagit sur le fait, parfois (toujours ?) sans réfléchir au préalable. La réflexion ce n'est pas vraiment pour elle, elle préfère laisser ça à ses soeurs bien aimées... non elle, ce qui la fait vibrer c'est l'action, bouger, s'éclater.
Elle aime dominer et être obéi par ses camarades, car c'est une preuve de force. Or quand on est fort, on peut protéger ceux qu'on aime et être reconnue.
Cette jeune demoiselle est comparable à un feu d'artifice : explosive et crépitante, lumineuse et rigolote, elle ne se laisse pas faire et encore moins par des garçons.
Paiperu aime se faire remarquer, elle aime bénéficier de l'attention des gens et a donc une fâcheuse tendance à parler fort et en première. Cette jeune fille a le contact facile et de fait, plusieurs de ses camarades se sont rapidement attachés à elle, notamment pour la protection qu'elle était en mesure de leur offrir.
Néanmoins, si il est vrai qu'elle aimait sa bande de suivants, elle passait la majeure partie de son temps en compagnie de ses soeurs.
Non pas que ses camarades étaient déplaisant, mais elle se sentait mieux avec ses frangines. Comme si malgré leurs différences, elle étaient un reflet d'elle même.
Elles étaient un tout, elle étaient trois et ne faisaient qu'un, unies comme les doigts de la main.

Histoire :

Née à Konoha il y a quinze ans d'un couple heureux et non divorcé, fidèle et amoureux (si ça existe... je vous assure !) Paiperu est la dernière née des triplées Hariweru.
Après avoir appris à marcher, faire ses besoins dans le pot puis sur les toilettes, dormir sans sucer son pouce, manger avec des baguettes... toutes ces petites choses à l'apparence anodines mais tellement complexes pour elle à l'époque, Paiperu apprit la musique en compagnie de ses soeurs. Solfège, leçons, apprentissage... elle apprenait vite et bien mais toujours en accompagnant de sa voix aigrelette et pointu les leçons en râlant contre ses fichues notes qui la narguaient sur ses pages. Elle était certaine qu'un si lui tirait la langue quand un do lui faisait un pied de nez et un ré le nez de cochon. Ces notes infernales, elle était bien décidée à les dresser et à s'en faire obéir. Ce n'était quand même pas des petits points noir sur une feuille qui allaient l'arrêter !

Très vite, elle se spécialisa dans la guitare, instrument qui convenait tout à fait à son attitude que l'on pouvait entre autre qualifié de... surexcitée.
En plus d'apprendre les airs demandés par sa mère, mélomane sévère et exigeante, mais gentille, Paiperu inventait toujours une petite chorégraphie où elle tentait d'imiter des stars célèbres de la chanson que ses parents les emmenaient voir à l'occasion. On avait alors droit à un mini show en salle de musique où la jeune fille trépignait, gesticulait en tout sens dans une pantomime pleine d'énergie.
L'adolescente dormait avec ses soeurs, mangeait avec ses soeurs, parlait avec ses soeurs, jouait avec ses soeurs... leur compagnie la ravissait et ensembles elles évoquaient leurs rêves de petite fille.
« Plus tard, j'aimerais bien qu'on soit célèbre... et qu'on fasse sauter aussi plein de gens dans tout les sens lorsqu'on jouera sur la scène. Ils crieront, ils applaudiront, papa et maman seront content, on se sera bien amusées et ça sera géant ! » disait elle souvent, pas toujours avec les mêmes mots, mais le discours y était.

Malheureusement, il y eut un moment où son éducation, comme celle de ses soeurs, devait dépasser la seule musique et les jeux.
L'école l'accueillit entre ses mâchoires de fer noires, l'engloutissant dans une salle de classe éclairée par de jolies lampes entourées d'abat jours de couleurs vives en compagnie de gamins qu'elle rangea pour la plupart dans la catégorie faibles et pleunichards. Heureusement elle était avec ses soeurs.
Paiperu n'aimait pas l'école. La maîtresse n'avait pas prévue qu'elle aurait des triplées et les tables étaient disposées en rangées de deux places. Il y en avait donc forcément une qui se retrouvait un peu plus à l'écart. Rien que pour cela, la petite fille de l'époque n'aima pas la maîtresse. Par ailleurs ses camarades l'agaçaient... surtout ce petit gamin blond et joufflu qui n'arrêtait pas de pleurer en demandant sa maman.
« Ta maman elle est partie crotte de mouette ! Tais toi tu me casse les oreilles ! » finit elle par lui crier au visage après avoir repoussée sa chaise.
Le petit garçon reprit ses pleurnicheries, mais plus fort cette fois.
Alors que la maîtresse arrivait pour s'enquérir de ce qui se passait exactement, Paiperu flanqua un bon coup de son petit poing en plein sur le nez du garçon. Celui-ci bascula en arrière avec un hoquet de surprise qui fit taire ses pleurnicheries.
Les poings sur les hanches, elle le dévisagea de toute la hauteur de ses petites jambes et lui dit d'un air narquois :
« Tu vois que tu peux arrêter de pleurer quand tu veux ! »
La maîtresse ne la mis pas moins au coin, mais Paiperu s'en fichait. Elle avait sauvegardée ses soeurs du danger de ces ondes sonores agaçantes et cela valait bien quelques minutes passées à regarder un mur. Cela lui permit de revoir mentalement ses gammes.

Malgré les punitions et les convocations de parents, Paiperu ne s'arrêta pas de faire ce qui lui plaisait. Quand l'une de ses soeurs avait envie de faire un puzzle, elle allait le chercher jusque sur la table du camarade qui l'avait commencé s'il le fallait. Quand un enfant voulait le même jouet qu'elle au même moment, soit il cédait sous la première menace, soit il cédait de toute façon après un bon coup de poing sur le nez.
Très vite, les grands de la classe au dessus vinrent voir à quoi pouvait bien ressembler la terreur de la classe des petits. Nullement apeurée en voyant l'arrivée de ces perches, Paiperu se contenta de les toiser de son regard de feu, le menton fièrement levé. Un premier garçon s'approcha un peu trop près d'elle en lui demandant narquois pourquoi on la surnommait bourre-pif. La réponse fut rapide et expéditive. Coup de poing en plein pif, le gamin en tomba sur les fesses.
Un deuxième vint prendre sa place et bloqua le coup suivant de la gamine en lui allongeant une taloche en prime.
La tête de Paiperu partit sur le côté. C'était bien la première fois que ça lui arrivait. Elle éclata alors de rire et lui demanda toute feu toute flamme :
« Tu es fort toi ! Tu veux être mon amoureux comme dans les chansons ? »

C'est donc à l'école que la petite fille connut son premier amour. Même si l'on ne pouvait pas vraiment appeler ça de l'amour avec du recul. C'était une amourette de petite fille qui dura une semaine.
Le garçon en question finit par lui révéler qu'il avait juste eu un coup de chance, et un nouveau coup de poing, qui toucha cette fois, vint confirmer ses dire.
Déçue, Paiperu décida sur le champ qu'ils n'étaient plus amoureux, voilà !
Les années passèrent, les triplettes étaient toujours ensemble dans la même classe. Elles progressèrent en musique comme dans les cours et partageaient tout. Paiperu continuait de faire la caïd et ne comptait plus les amoureux. Ils finissaient toujours par vouloir l'obliger à obéir et ça se terminait rarement bien. Mais elle s'en fichait, elle aimait ce style de vie et la façon dont les autres enfants détournaient le regard lorsqu'elle les toisait ou lorsqu'elle faisait passer ses soeurs tout devant dans la file de la cantine sans qu'aucune protestation ne s'élève.
Elle était forte, et elle en était contente.
Dans le cour pendant la récréation elle aimait jouer avec ses soeurs au ninja. Son rôle favori restait quand même le gentil ninja qui protégeait la princesse. Bien qu'elle tentait de ménager ses soeurs notamment en prenant soin de ne pas viser de points sensibles, il lui arrivait de leur faire mal.
Dans ce genre de moment, Paiperu avait l'impression qu'on lui versait un jet de glace sur la tête. Elle voyait des étoiles et bredouillait des excuses d'un air piteux. Heureusement tout était rapidement oublié et le jeu reprenait bien vite.

Bien qu'ayant des notes moyennes, Paiperu se débrouillait toujours pour s'en sortir... quel idée aussi avait eu le directeur de mettre son fils dans l'école où il officiait... et dans la classe des triplées par dessus le marché.
D'un autre côté, la jeune fille ne s'en plaignait pas, bien au contraire.
Quand elle atteignit l'adolescence, bien des changements vinrent bouleverser sa vie. Déjà, elle et ses soeurs eurent chacune droit à une chambre séparée. Paiperu hérita du grenier qui, débarrassé des affaires encombrantes et de quelques passagers clandestins, était tout à fait douillet. Mais les soirées passées à rire avec ses soeurs chacune dans son lit dans la même pièce à papoter lui manquaient affreusement... ça et bien d'autres choses.
C'est ainsi qu'elle adopta très vite un style vestimentaire un peu particulier, très voyant, qui attirait les regards. Elle espérait ainsi que ses soeurs ne l'oublient pas et la remarque le plus possible.
Ses histoires d'amour n'évoluèrent guère... le schéma semblait se répéter à l'infini avec quelques petites variantes de temps à autre. Par exemple, son dernier ex en date lui avait offert une poupée le représentant en train de pleurer lorsqu'elle l'avait lâchée. Après avoir hésité à lui renvoyer la poupée à la figure, elle lui trouva un usage très intéressant. Lorsque l'aînée lui demandait de se calmer, elle obéissait docilement et se défoulait sur la poupée.

C'est à onze ans qu'elle découvrit une nouvelle facette des filles. Certes, elles n'étaient pas fortes... mais au moins elles ne cherchaient pas à engager un bras de fer sur le thème « qui dominera l'autre » avec elle.
L'une d'elles notamment avait une lueur d'admiration dans le regard qui la fit fondre rapidement.
Pendant un mois, Paiperu vécue un amour différent mais pas désagréable comparé à ce qu'elle avait connue jusque là. Néanmoins, elle brisa leur relation en découvrant que les parents de la jeune fille voyaient d'un très mauvais oeil leur relation... et en plus elle manquait de punch cette fille.
Elles se quittèrent pourtant bonnes amies, Paiperu lui offrit un bracelet et la jeune fille lui offrit un collier.
Ce fut sa seule expérience de ce type jusqu'à présent.

Malgré se que l'on peut croire au premier abord, Paiperu passait toujours plus de temps avec ses soeurs qu'avec n'importe qui d'autres. Ensembles, elles finirent par concrétiser leur vieux rêve de former un groupe. La petite caïd en fut réjouie notamment parce que cela compensait un peu leur séparation dans des chambres différentes. Elles appelèrent leur groupe les « Space Girls » car chacune avait son petit caractère bien à soi qui sortait de la norme et des critères classiques.
Leur musique mélangeait les genres et les sons, les paroles et les mots.
Concilier petits copains, devoirs et musique était difficile. C'est dans ce genre de cas qu'être respectée et crainte pouvait servir. Elle ne se gênait pas pour déléguer aux binoclards-intellos-meilleurs-de la classe ses devoirs-maison. C'est vrai après tout... ils n'arrêtent pas de dire qu'ils arrivent à les finir en à peine dix minutes ces devoirs... alors ils n'ont qu'à recopier et prendre cinq minutes supplémentaires sur leur temps de loisir.

Douze ans, premier concert. Une petite centaine de personnes, élèves, professeurs et parents étaient réunis dans le gymnase pour la fête de fin d'année. Une estrade avait été montée, les triplées avaient installées leurs instruments et jouées des airs connus comme des airs de leur composition.
En effet, chacune composait ses chansons et les proposaient aux deux autres. Sur certains thèmes c'était même les trois qui s'alliaient sur une chanson. Le dur entraînement de leur mère avait porté ses fruits.
Les applaudissements avaient longuement crépité aux oreilles de l'adolescente qui était aux anges, avec ses soeurs, sa guitare à la main.
Mais elle en voulait plus... bien plus.
Vers ses treize ans, un peu avant, Paiperu entra dans une phase de sur-agressivité. Il lui arrivait de bourrer de coups de poing son oreiller pendant plusieurs heures sans raisons apparentes.
Quelque chose la préoccupait, Paiju changeait et elle avait peur qu'elle n'aille pas bien. Elle voulait la protéger... mais de qui ? De quoi ? Comment ?
Paiperu n'aimait pas les questions... elle préférait bouger plutôt que parler.
Cela dura un moment, les remarques sur son bulletin se dégradèrent : insultes au professeur, non respect de règlements... j'en passe et des meilleurs.

Un jour pourtant, prise d'une inspiration subite, elle sortit en trombe de sa chambre et appela ses soeurs à grands cris. Paiju sortit presque instantanément, apparemment elle aussi voulait dire quelque chose.
Il se trouvait que la même idée leur avait traversé l'esprit. Leur jeu du ninja se devait d'avoir une chanson à son nom... mais plus encore que la chanson, ce vieux rêve du passé avait ressurgi avec une force bien supérieure à d'autres réminiscences du passé.
Paiperu voulait devenir ninja. Les shinobis étaient fort, filles comme garçons. Par ailleurs... ça serait toujours mieux que des professeurs imbéciles qui ne comprenaient rien aux sentiments qui pouvaient agiter une adolescente en particulier lorsqu'elle s'inquiétait en silence pour ses soeurs.
C'est ainsi que d'un commun accord, les triplées se rendirent à l'académie pour leur inscription.

Aime : Ses soeurs, la musique, la force, être vue, remarquée, admirée, les pâtisseries les petits pains à la viande.

N'aime pas : Les gens qui veulent la dominer, les gens qui sont plus fort qu'elle (quoique c'est un cran plus complexe que le simple « n'aime pas » dans ce cas-ci.), les gens qui embêtent ses soeurs, les faibles.

Nindo : « Salut moi c'est Paiperu, surnommée Bourre-Pif. Touche pas à mes soeurs ou tu comprendras pourquoi on m'appelle comme ça ! »

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Uo Mano
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Message par Uo Mano »

Bienvenue aussi à la seconde soeur Hariwaru :D

J'aime beaucoup. Je n'ai pas vu de fautes, je n'ai pas vu d'incompréhensions, je n'ai pas vu de mauvais enchaînement... la bio se lit facilement, et on arrive à distinguer son caractère simplement en lisant la bio, grâce à l'évolution de la vie.

Donc je n'ai pas grand chose à dire de plus, d'autres vont venir te donner leur avis, et moi, je te souhaite bonne chance ^^


PS: je peux réduire ton image si tu veux, pour que tu puisse la mettre en avatar :wink:
Mano, Juunin-qui-pêche dans la glace
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Hariwaru Paiperu
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Message par Hariwaru Paiperu »

Merci Uo Mano.

Pour l'image une amie s'en occupe, je te remercie de ta proposition. :)
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Haoru Keitjiwa
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Message par Haoru Keitjiwa »

Bienvenue a toi aussi.

Comme pour ta soeur, j'aime bien.

Donc je te mets aussi les ax pour Konoha.

bon jeu. (inscription à l'académie aussi ^^).
Haoru Keitjiwa, jounin de Konoha
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Hariwaru Paiperu
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Message par Hariwaru Paiperu »

Merci Haoru Keitjiwa.

Je vais aller m'inscrire à l'académie ce soir.
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Que de fraicheur ! J'adore ^_^
J'ai hate d'écouter un de vos concerts.
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha
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Urasawa Kenji
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Message par Urasawa Kenji »

Aoki, le Chunin qui aime les cônes à la vanille.
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
(Baudelaire)
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Les Cônes... peut être ... :huh: A la vanille, ça reste à voir.
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha
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Urasawa Kenji
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Message par Urasawa Kenji »

Aoki, le Chunin qui aime flooder...

:huh:

:mrgreen:

Edit Aoki : Et c'est lui qui dit ça... :P
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
(Baudelaire)
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