Sam 06 Oct 2007 - [Space Girl #2] Paiju Hariwaru

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

Modérateurs : Noriko Asahina, Shimone Ayanami, Haoru Keitjiwa

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Hariwaru Paiju
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Sam 06 Oct 2007 - [Space Girl #2] Paiju Hariwaru

Message par Hariwaru Paiju »

Nom : Hariwaru
Prénom : Paiju

Age : Quinze ans
Sexe : Féminin.

Description physique : De plaire plus aux jeunes filles qu’aux beaux éphèbes adolescents, Paiju a choisi de l’assumer en adoptant un style neutre. Des cheveux courts qui la font passer autant pour une fille que pour un garçon, un regard aguicheur et des vêtements masculins classieux, le doute est présent jusqu’à ce qu’on se décide à faire plus que de simplement l’observer. Ses cheveux roux vénitien sont toutefois assez longs pour lui venir dans les yeux et la jeune fille s’amuse parfois à ajouter à sa tenue vestimentaire une paire de lunettes pour accroître les doutes au sujet de son sexe véritable. Une androgynie accentuée par une taille moyenne, juste comme il faut. De plus, à son âge le corps féminin n’est pas encore réellement formé et si ses hanches se dessinent lentement, elle prend un malin plaisir à les dissimuler sous d’amples chemises, accordées à des pantalons tout aussi larges – qui n’en sont pas moins élégants. Elle n’a pas encore à se soucier de sa poitrine dont le bonnet n’atteint même pas le A. Il lui arrive parfois, notamment lors de prestations avec son groupe (dont nous parlerons plus tard) de se féminiser un peu. Quelques barrettes colorées, un peu de gloss et de fard à paupières doublé d’eye-liner et de mascara, une minijupe et des chaussettes hautes à rayures, une mèche sur les yeux l’autre derrière l’oreille, quelques faux piercings ça et là : de petits rien qui la transforment totalement. On peut alors la trouver jolie, elle qui n’était jusqu’à présent qu’un visage quelconque sans sexe défini mais rendu agréable à regarder par une ambiguïté intrigante.
Toujours présente au milieu de la foule, elle ne participe cependant pas de manière très active aux conversations. Aussi paraît-elle parfois timide. Une impression à laquelle il vaut mieux ne pas se fier. On la voit souvent sourire, notamment lorsqu’elle est en compagnie de ses deux sœurs à qui elle ressemble plus ou moins. Comme toute Space Girl qui se respecte, elle ne manque pas la moindre occasion de s’afficher. Aussi la verrez-vous à toute fête autorisée aux jeunes filles de quinze ans… si Maman est d’accord, bien sûr. Mais maman, elle est trop cool. Vous avez qu’à demander aux autres si vous me croyez pas.

Caractère : De nature calme et rêveuse, elle n’en est pas moins expressive. Elle pèse ses mots pour les rendre plus percutants et a l’habitude d’étaler ses projets au grand jour. Tempérée mais pas timide. Elle aime séduire, autant les garçons qu’elle admire que les filles qui la prennent pour l’un d’entre eux – et quel homme, mes amis ! Evidemment, lorsqu'il s'agit d'aller parler à ceux de qui elle est amoureuse, c'est une toute autre histoire et son côté timide ressurgit alors. Au début frustrée d’être moins « féminine » que ses deux sœurs, elle a fini par s’habituer à l’ambiguïté de son physique et l’assume aujourd’hui pleinement.
Il est difficile de cerner totalement Paiju. Autant ses sœurs peuvent y voir une jeune fille attentionnée, joviale, dragueuse invétérée (quand elle n'est pas amoureuse), aimant faire la fête et se montrer, autant de par son recul par rapport aux situations on peut, lorsqu’on ne la connaît pas, la juger solitaire ou timide. Elle aime, tout comme ses sœurs, la musique, et son rêve serait de percer dans ce domaine. Du moins, l’un de ses rêves, car mademoiselle en a deux. Devenir kage à la place du kage, ou quelque chose dans ce genre là, est son second. Après, si l’une de ses sœurs prend cette place à sa place (‘suivez toujours ?) elle ne dira pas non, et restera...à sa place. Mais le pouvoir n’est pas sa motivation première. Le goût de l’aventure prévaut loin devant.
Elle aime les garçons, mais aime plaire aux filles. Elle aime frustrer, et être admirée. Surtout être admirée : ça l’aide à décomplexer et à mieux s’assumer. Elle partage avec ses deux sœurs une relation fusionnelle, et ne serait rien sans l’une ou l’autre. Les trois ne font qu’un. Un trio infernal qui porte bien son nom : Space Girls.
Elle apprécie tout ce qui sort de l’ordinaire et n’hésite pas à s’engager pour aider au développement de l’excentrique, par exemple en utilisant son argent de poche pour s’acheter ses tenues de scène. Différentes de celles de ses autres sœurs. Des vêtements simples mais sophistiqués, souvent, en fait,se résumant à un pantalon coincé dans des bottes de cuir remontant jusqu’au genou, une chemise agrémentée d’un col à froufrou, et une veste de tailleur. Parfois, lorsqu’il fait froid une veste longue de faux cuir (parce que le vrai, c’est cher.) vient s’ajouter au reste.

Histoire :

« Ces mots sont pour toi,
Accompagne-moi,
Et demain comme autrefois…
»
Consternée, la jeune fille regardait la feuille qu’elle venait de gâcher. Comment diable pouvait-elle coucher sur le papier un tel tissu d’inepties ? Non seulement cela ne voulait rien dire, mais en plus les rimes étaient mauvaises et les syllabes pas en nombre égal. Le tout était d’une niaiserie sans nom. Une succession de mots, voilà tout. Décidément, elle manquait d’inspiration. Elle choisit donc de se mettre à autre chose, car s’acharner ainsi n’apporterait rien de bon. Malgré ce que semblait croire sa sœur, une vraie entêtée.
Parce que, Paiju n’est pas vraiment fille unique. Des comme elle dans la famille Hariwaru, il y en a trois. Toutes du même âge à quelques minutes près, pour la plus grande joie de leurs parents qui ne les espéraient plus. Quelque chose du genre. Elle vit le monde en deuxième. Les trois jeunes filles aujourd'hui adolescentes forment une unité parfaite et harmonieuse, autant que leurs morceaux. Du moins de leur point de vue : tous les goûts sont dans la nature et on ne peut pas plaire à tout le monde. Les Space Girls, voilà le nom qu’elles se sont données et qui leur va plutôt bien.

Paiju, Puruu et Paiperu ont donc quinze ans mais ce n’a pas toujours été le cas. Paiju a, comme la plupart des gens, eu une enfance. Je vous passerai les détails sur ses premières expérimentations de la gravité terrestre, du goût des objets sur la langue et de ses déboires en couche-culotte. Détails certes forts amusants mais qui malheureusement n’ont pas grand-chose à voir avec les raisons qui ont poussé la jeune fille à finalement opter pour la voie de shinobi alors que tout la poussait à la chanson. Sa mère était musicienne de talent et plutôt que l’envoyer elle et ses sœurs au jardin d’enfant, préféra leur inculquer les bases du solfège. Toutes trois se prirent de passion pour la musique et encouragées par les posters de leurs idoles sur les murs de leur chambre décidèrent que, *Quand on sera grandes, on sera chanteuses ! Et les autres filles auront aussi des posters de nous !* Et c’était des rêves plein la tête que la jeune Paiju s’endormait tous les soirs, en fredonnant ses mélodies favorites. Elle ne les comprenait pas toujours mais ne se privait pas pour autant de murmurer que sans contrefaçons, elle était un garçon.

Malheureusement, toute chose a une fin et vint le moment où le seul enseignement de la musique devint insuffisant. Il fallut alors pénétrer en un monde jusque là inconnu, rejoindre un lieu redouté de tous : l’ECOLE. Heureusement, les frangines étaient toujours avec elle. C’était une petite école où il n’y avait pas beaucoup de classes différentes. Tant mieux. Sauf que les places étaient par deux. Alors elles décidèrent d’échanger chaque jour, pour que ce ne soit jamais la même qui se retrouve seule, et la maîtresse qui s'entêtait à placer tout le monde par ordre alphabétique finit par les laisser faire. Les bavardages aidèrent à combler la solitude de celle qui était de « corvée de derrière. »

Leurs caractères différaient toutefois : si Paiperu était du genre explosive, à rivaliser de force avec les garçons ou à jouer des muscles pour avoir ce qu’elle voulait et Puruu la plus sage, Paiju préférait rester de côté à observer, analyser les situations. Elle ne s’ennuyait jamais et pendant les récréations les paroles de chansons ou des partitions de piano venaient remplacer dans sa tête les tables de multiplication. Sauf les fois où elles jouaient au ninja. C’était un chouette jeu, jouer au ninja. Il y avait le méchant ninja – Paiju aimait bien ce rôle les fois où elle l’avait – le gentil ninja qui était souvent Paiperu, et la jolie fille qui se faisait enlever et qu’il fallait sauver. Paiju évitait ce dernier rôle comme elle le pouvait : elle ne se sentait pas très à l’aise dans la peau d’une princesse. Elle préférait être le méchant ninja calculateur ou le gentil ninja stratège. Evidemment, il était hors de question de se faire mal pour du vrai ! Même si parfois il arrivait que la virulente Paiperu oublie de retenir ses coups. Là, ça faisait mal.

Et puis le temps passa, des alphabets on passa à la lecture de livres et de la lecture de livres au commentaire de texte. Des combats de chiffres on passa aux tables de multiplications et des tables de multiplications au théorème de Pitagoru. Une histoire de triangle que Paiju ne comprenait pas trop : pourquoi calculer lorsqu’une règle suffisait pour mesurer la diagonale d’une vitre à changer ? C’était plus rapide que mesurer les deux autres côtés pour ensuite trouver x (qui se retrouvait souvent entouré et annoté d'un "<====il est là " et qui finissait souvent accompagné d'un zéro pointé.)

Les jeunes filles grandissaient. Leurs problèmes aussi. Rassurez-vous, rien de grave. Le premier problème fut un problème de taille : la petite chambre qu’elles partageaient toutes les trois semblait rapetisser à mesure que leurs jambes s’allongeaient. Arriva alors quelque chose que Paiju vécut plutôt mal : la séparation. Les parents lui avaient aménagé l’ancienne buanderie. Elle avait là toute la place désirée et cela lui semblait un peu trop grand. Vide et effrayant. Elle n’avait jusqu’alors jamais passé un moment sans ses sœurs hormis pour se rendre aux sanitaires ou sous la douche et bien que se trouvant juste dans la pièce d’à côté, elles lui manquaient déjà.

Son intimité se développa en même temps que son autonomie. L’habitude prit la place de la crainte et à défaut de pouvoir se confier à ses semblables le soir sur l’oreiller, elle commença à coucher ses pensées, ses états d’âme, ses rêves, tout ce qui lui passait par la tête, sur le papier dans un petit journal aux pages parfumées à la vanille. Elle aimait la vanille, mais préférait le citron. Seulement, des journaux au citron il n’y en avait pas. Un garçon lui plaisait dans la classe voisine à la sienne, mais elle n’osait aller lui parler. Timide, pas trop, mais un peu quand même, devant quelqu’un qu’elle ne connaissait pas – et surtout, quelqu’un à qui elle avait quelque chose à dire. Elle consignait également quelques paroles de chanson qui lui trottaient en tête, y écrivait quelques lignes.

Une peur ne cessait cependant pas de la hanter : et si la séparation spatiale finissait par amener une séparation relationnelle ? Elle ne voulait pas changer ses rapports avec ses deux sœurs qui étaient bien plus que ça. Pour elle, ses sœurs représentaient des facettes cachées de sa personne comme si à elles trois elles ne faisaient qu’une. Peut-être que ces dernières partageaient les mêmes rêves, peut-être que non. Toutefois, parce que mieux valait prévenir que guérir elles décidèrent de consolider leurs relations en concrétisant l’un de leurs rêves de petite fille : former un groupe de musique.

Elles l’appelèrent Space Girls, parce qu’elles étaient, au fond, toutes les trois un peu space. Elles sortaient des clichés imposés, se fichaient du regard des autres et leur ouverture d’esprit leur permettait de voir le monde d’un autre œil que la plupart des gens. Elles osaient et en étaient fières. Et parce qu’elles étaient fières d’oser elle le montraient. Dans ce groupe point de leader : toutes étaient sur un pied d’égalité. Toutes écrivaient, toutes composaient, toutes chantaient, toutes jouaient. Paiju préférait le piano et la flûte, ses sœurs complétaient ses goûts par d’autres instruments. Leur mère les aida et les conseilla et bien vite elles se firent une réputation au collège, après y avoir joué pour la fête de fin d’année. Douze ans, première heure de gloire.

Et les demoiselles ne comptaient pas s’arrêter là.

Cependant, l’intimité de Paiju le soir lui laissa du temps pour réfléchir, seule. Elle ne se sentait pas à l’aise. Les garçons la regardaient moins que ses sœurs et lorsqu’elle se regarda un soir dans le miroir elle comprit pourquoi : elle n’était pas jolie. Elle ne ressemblait à rien. Elle n’aimait pas ses cheveux. Pourquoi n’étaient-ils pas aussi roux que ceux de ses sœurs ? Pourquoi n’étaient-ils pas éclatants ? Ils tombaient bêtement quand ceux de ses sœurs se coiffaient aisément. Elle échappa cependant aux crises d’acné : c’est peut-être ce qui sauva son moral. Sa poitrine ne grandissait pas et avait tendance à la démoraliser un peu quand certaines du même âge avoisinaient déjà le bonnet B. Beaucoup avaient déjà leur premier petit copain voire même leur deuxième ou troisième. Mais pas elle. Elle, personne ne la regardait. Quand Paiperu râlait, on écoutait Paiperu ou bien on se faisait taper dessus. Quand Puruu raisonnait, on la regardait en la trouvant jolie et on l’écoutait. Elle, elle ne trouvait jamais rien de bien intéressant à dire et se taisait alors on ne l’écoutait pas. On ne la regardait pas non plus.

Un jour elle en eut assez et décida de mettre fin à tout ceci. La veille de ses treize ans elle se dirigea vers la salle de bains et ouvrit un tiroir. Dans ce tiroir était rangée une belle paire de ciseaux, qui coupaient tout ce qui était coupable. Parfait. La jeune fille s’en empara et après un regard décidé sur le miroir, attaqua ces cheveux ingrats qui ne se mettaient jamais en place comme elle le voulait. Le résultat fut un désastre. Fort heureusement, sa mère fut là pour rattraper le coup. Mais c’était court, bien court. Si court que lorsqu’elle osa enfin se déclarer au bogosse qu’elle avait repéré, il lui répondit que uh, il croyait qu’elle était un garçon.

Paiju fut d’abord choquée par cette déclaration, surtout lorsqu’elle constata qu’il avait raison : lorsqu’elle mettait ses vêtements préférés, chemise et pantalon large, elle n’avait plus grand-chose de féminin, hormis peut-être ses yeux, et encore. Et puis peu à peu, elle se complut là-dedans. Jouer les garçons, c’était marrant. Evidemment elle restait la sœur de ses sœurs, mais au collège elle devenait leur frère. Juste en apparence, du moins, car elle restait souvent silencieuse, sauf lorsqu’elle avait quelque chose à dire comme par exemple la réponse de l’exercice de géométrie quand elle était la seule à la connaître.

Le temps passa encore (décidément celui-là, rien ne l’arrête !) et ses cheveux repoussèrent un peu, mais Paiju décida de ne pas les laisser plus longs qu’une quinzaine de centimètres. Elle se plaisait dans son nouveau style et s’amusait à se vêtir et se comporter comme le garçon de ses rêves. Si elle ne pouvait trouver le garçon parfait qui voulait bien d’elle et bien elle le deviendrait et elle aimerait son miroir. Et ses sœurs, évidemment. Les répétitions empiétaient fréquemment sur le temps consacré aux devoirs. Elles ne faisaient plus que ça, en fait. Et lorsqu’elles ne faisaient pas ça, Paiju écrivait dans sa chambre des paroles. Elles chantaient sur tout et n’importe quoi (souvent n’importe quoi ), dans plusieurs styles. Styles autant audio que visuels.

Et puis un jour, alors que Paiju cherchait désespérément un moyen de cacher son bulletin médiocre à ses parents, une inspiration soudaine lui vint. Un vieux rêve qui ressurgissait, comme une échappatoire possible. Elle prit un papier et un stylo, et écrivit.

"Quand j’étais petit, j’étais un ninja…" la suite, vous la connaissez, c’est devenu un succès interplanétaire. Elle en a parlé à ses sœurs. Elles en parlèrent toutes les trois en même temps. D’autrefois, de quand elles jouaient au ninja. Jouer au ninja, c’était bien. Depuis, elles ont appris que cette voie n’est pas facile, mais Paiju est toujours titillée par ce rêve. Ce sera toujours mieux que de longues études. Et puis, chez les shinobis, il y a tant de beaux mâles musclés et célibataires, parfois un réel plaisir pour les yeux, de ce qu’elle avait pu constater.

Shinobi le jour, artiste la nuit, les deux rêves se rejoignirent en un. Un rêve pour un groupe. Ce fut donc accompagnée de ses sœurs, chacune avec ses raisons, qu’elle prit le chemin de l’académie pour aller s’inscrire…

Aime : Ses sœurs, plaire, écouter et observer, la musique, le chant, les concerts, se montrer, rêver, écrire, lire, plein de choses.
N’aime pas : Se prendre les coups qui ont échappé à bourre-pif (sa chère paiperu), se faire oublier, rester dans l’ombre, ne ressembler à rien, et d’autres choses.

Nindô : « Mon chien, quand on l’a reçu, il s’est mis à courir dans la maison et il s’est pris un mur. Alors on l’a appelé Paf. Parce que, Paf le chien. Un peu comme Paf dans ta gueule si tu contraries ma sœur. Alors t’as intérêt à me laisser tranquille, fils de mouette. J’ai un rêve et je reculerai pas. Sauf si t’es beau, ça peut s’arranger^^.»
Dernière modification par Hariwaru Paiju le dim. 23 sept. 2007, 11:25, modifié 3 fois.
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Ryo Hazuki
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Message par Ryo Hazuki »

OOOh, les Spice Girls sont de retour!! Même sur les forums rp^^ :wink: :lol:
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Ryo Anbu :
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Uo Mano
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Message par Uo Mano »

Bienvenue sur NNS :)

J'arrivais pas à trouver ce que c'était que ce Hariwaru ^^ Je comprends mieux en lisant ta bio. (en diagonale, j'avoue...)

J'essaierai de lire ça quand j'aurais moins mal à la tête, et je donnerai mon avis :P

Bonne chance !
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Hariwaru Paiju
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Message par Hariwaru Paiju »

Non non non, les SpAce girls, pas les spIce girls. C'est tout à fait différent.

Bon rétablissement Uo Mano!
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Message par Uo Mano »

Après lecture un peu plus approfondie, je n'ai pas grand chose à dire, mis à part que je ne trouve pas ton style très fluide (mais ça c'est personnel, et ne tiens pas compte de mon avis là-dessus ^^ )

Sinon, dans l'ensemble, c'est bien. L'enchaînement est assez bon, malgré quelques passages flous (ou trop spontanés) mais c'est le style d'écriture qui veut ça, donc ça passe plutôt bien au final, si je fais abstraction du style.

De toutes façons, j'ai pas trouvé de fautes ou d'erreurs graves dans la bio, donc bonne chance, et attends l'avis de quelqu'un d'autre qui aura peut-être plus de choses à dire (ou pas) ^^
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Message par Haoru Keitjiwa »

Bijour all.

Bha moi j'aime donc comme Uo est aussi d'accord, je te mets les axs.

Bon jeu. Et n'oublis pas d'aller t'inscrire à l'académie :wink:
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Hariwaru Paiju
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Message par Hariwaru Paiju »

Merci beaucoup !!

Je vais m'inscrire à l'académie de ce pas :)
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Les Soeurs font un Tabac ! ! Bienvenue à Konoha :D
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Urasawa Kenji
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Message par Urasawa Kenji »

Aoki, le Chunin qui aime la cigarette.
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
(Baudelaire)
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Que la Cigarette ? :0)
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Aoshi Tsukyo
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Re:

Message par Aoshi Tsukyo »

Urasawa Kenji a écrit :Aoki, le Chunin qui aime la cigarette.
>_> Tu peux parler sale toxico...

Bienvenue(s) ! ~Fallait venir à Sunaaaaaa... T_T On est que des gens adorables... :cry: ~
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Re: [Space Girl #2] Paiju Hariwaru

Message par Wei-chi Komoku »

Comment vous floodez :o

(en plus elles en valent pas la peine elles sont pas venues à Yuki, pppppppppppppppppppppppffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff)
Weï-chi Komoku (so-called) chûnin de Yukigakure No Sato

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Haoru Keitjiwa
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Re: Re:

Message par Haoru Keitjiwa »

Aoshi Tsukyo a écrit :
Urasawa Kenji a écrit :Aoki, le Chunin qui aime la cigarette.
>_> Tu peux parler sale toxico...
C'est bien dit ça :lol: :lol:

quoi stop au flood? :o
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