Sam 03 Jan 2009 - Akeru Inuzuka

Pour les présentations des gens portés disparus :x.

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Akeru Inuzuka
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Sam 03 Jan 2009 - Akeru Inuzuka

Message par Akeru Inuzuka »

Nom : Inuzuka

Prénom : Akeru

Age : 12 ans à son entrée à l'Académie, 14 depuis Novembre dernier.

Sexe : Féminin

Description physique : Akeru ne mesure au jour d'aujourd'hui qu'un petit mètre cinquante-cinq, pour un nombre de kilos proportionnellement raisonnable -ou raisonnablement proportionnel, c'est à vous de voir ; elle conserve ainsi son statut de petit gabarit, silhouette menue aidant, celle-là même flirtant avec une certaine androgynité infantile, toujours présente. La pratique des exercices shinobi, principalement Inuzuka, l'a un peu remplumée musculairement parlant, lui offrant des épaules apparemment plus solides ; elle n'a de ce fait plus l'air aussi frêle qu'auparavant, au grand bonheur de Fubuki.
La première chose que l'on remarque chez elle ? Les deux triangles renversés, tatoués sur les deux joues, marquant son appartenance au clan. Son teint verse dans le hâle permanent, héritage génétique délivré par le paternel, et va de pair avec deux grands yeux noisette, d'une impassibilité devenue plus relative ; elle est plus sujette aux émotions, et particulièrement plus réceptive à la colère, depuis son séjour chez les Inuzuka. Aussi, il n'est maintenant plus rare de la voir froncer les sourcils, ou jeter des regards meurtriers à qui mieux-mieux. Ses cheveux châtains, voire auburn, lui glissent dans la nuque, pour aller s’échouer sur ses omoplates, et sont de moins en moins retenus par les serres-tête dont Akeru commence à se lasser. Quant à son style vestimentaire, il reste sobre puisque donne dans les classiques yukata, jupes, débardeurs, pas très colorés en soi, et qui laissent généralement place à un short et un T-Shirt noirs lorsqu'elle remplit son rôle de ninja.

Enfin, la jeune fille est, comme tout Inuzuka qui se respecte, perpétuellement accompagnée de son compagnon canin, qui s'avère être ici une compagne. Hara a un pelage intégralement noir, prunelles y compris, et peut toujours être considéré comme un chiot, de par sa taille et son poids, bien que ces derniers n'aient considérablement augmentés ces deux dernières années.

Histoire :

I- Un + un =… Trois ?

Akeru fut ce qu’on peut appeler un ‘accident’, conséquence de la fougue et de la jeunesse de Kirô et Fubuki Inuzuka. Jeunes, ils l’étaient ; dix-sept ans pour lui, vingt pour elle. Fubuki pouvait dire momentanément adieu à la carrière de Chûnin qui venait juste de lui ouvrir ses portes, et se tourner vers une occupation plus traditionaliste, plus ‘féminine’ ; l’état de mère. Heureusement pour elle, Kirô avait décidé de prendre ses responsabilités –et ce en dépit de son caractère peu enclin aux projets familiaux- et, dans les mois qui suivirent la naissance de la petite fille, ils étaient mariés. Drôle de couple, étrange famille. Fubuki, avec son naturel brute et peu patient, tentant désespérément d’élever sa fille convenablement, aboyant des ordres au passage, à l’intention du père, soupirant sans cesse, deux chiens dans les pattes, l’œil mollasson, usé par ses missions Chûnin, ne possédant qu’une envie, celle de dormir. « Si tu n’avais pas fait l’imbécile, tu pourrais encore profiter librement de ta jeunesse … », lui rappelait de temps à autre Kôsai, son chien de toujours. Le pire, c’est qu’il avait entièrement raison, et Kirô en avait parfaitement conscience.

Fubuki n’était pas le grand amour de Kirô, pas plus que Kirô n’était celui de Fubuki. Ils s’étaient rencontrés par l’intermédiaire de l’examen Chûnin, avaient senti un petit quelque chose, venant probablement de leur sang commun, et s’étaient dit « Pourquoi pas ? ». Inconscients, ils l’étaient, mais n’avaient pas imaginé une seule seconde qu’une telle chose arriverait. Et, la tradition les avaient forcés à recourir à une union d’urgence. Sinon, c’était la disgrâce au sein du clan, la déchéance. Triste sort ? Ils l’avaient mérité, et devaient maintenant s’y faire.

Ou non.

II- Trois ÷ Deux = …

Akeru grandissait, lentement, découvrant un monde où tout n’était pas rose, et qui pourtant ne se limitait qu’au cercle familial. Plus le temps passait, plus les petits conflits opposant le père à la mère prenaient de l’importance ; elle lui reprochant son inutilité et sa flemmardise, lui son autorité et sa tyrannie démesurées. Chaque petite chose devenait prétexte à la discorde, et très vite, une guerre ouverte se déclara, allant jusqu’à contaminer l’unité canine. Au milieu, Akeru. Se l’approprier, c’était leur but ultime. A chaque étape de son évolution, il fallait être le premier à la voir, le premier à la féliciter ; comme deux enfants bêtes et méchants, Kirô et Fubuki se disputaient un joujou unique, pourtant fruit de leur passion éphémère. N’échappant pas à la règle, le premier mot de l’enfant fut « Papa », défaite cuisante pour le côté maternel. Mais celle-ci la vit marcher seule pour la première fois, et la réceptionna après son premier pas. Ex-aequo.

« Qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grande, Ake-chan ? », lui demanda sa mère, alors qu’elle n’avait que trois ans et demi.

Shinobi, et c’était elle qui gagnait, cette fois encore. Shinobi, c’était sa vocation, même si son mari l’exerçait également. Shinobi, elle voulait absolument que sa fille le devienne, encore plus que Kirô, encore plus que n’importe qui.

« … Riche ! »

Eclat de rire de la part de Kirô, amère déception pour la Chûnin, qui tenta de calmer le tout par un « Mais, Ake-chan, ça n’existe pas, le métier de riche… ».

« Si ! Et c’est c’que j’veux faire ! »

« Mais pourquoi ? Tu sais, ninja, c’est très bien aussi… »

Pourquoi ? Tous les gens qu’elle avait pu voir avec de beaux habits, de belles maisons, et surtout, de beaux jouets, se faisaient appeler ‘riches’. Bien entendu, la notion monétaire était loin d’être acquise pour Akeru, et à vrai dire, elle ignorait l’existence d’un lien entre l’argent et le richesse, mais elle était parvenue à faire le rapport entre la fortune, et avoir tout ce que l’on désirait. Depuis, c’était son rêve, et elle se sentait prête à tout pour faire ‘le plus beau des métiers’.

« Je veux pas faire ninja. Je veux faire riche. »

Kirô n’en pouvait plus ; exagérant sa crise de fou rire, il se tenait le ventre avec douleur, faisant dangereusement bouillonner sa chère et tendre épouse. Jun, la chienne de cette dernière, vint poser sa tête contre ses jambes, réclamant une caresse, qui apaisa sa propriétaire. Pour un temps.

« Fu-chan… Je crois qu’il faudrait qu’on se sépare. Ca devient ridicule... »

« …Hors de question. Tu t’es engagé, et tu dois m’aider pour… »

« Fu-chan… Sois pas bête. »

« … »

Ce soir-là eut lieu l’une des plus longues discussions de leur vie. Pour finalement aboutir sur un point : le choix du divorce.

---

Étonnamment, cette affaire fut traitée à la pacifique, l’orage étant passé durant leur quelques années de mariage. L’on décida de faire voyager Akeru chaque semaine, de la maison de son père à celle de sa mère, et vice-versa, par souci d’équité. Ce fut Fubuki, qui déménagea, pour aller s’installer dans un appartement plus petit de Konoha, Jun sur les talons. Un soulagement pour les deux partis, qui se sentirent libérés d’un poids, bien qu’un nuage d’amertume, lié au fait de quitter leur train-train quotidien, ne leur étreignit doucement le cœur. Allaient-ils réussir à élever leur fille, chacun de leur côté ? La solitude, ils ne l’avaient jamais réellement subie, particulièrement pour Kirô, passé directement de la maison parentale à conjugale. La peur d’échouer, ils la connaissaient maintenant. Il était clair que le clan ne voyait cette séparation que d’un mauvais œil, mais il était préférable pour les deux jeunes gens d’en finir par la justice, maintenant, plutôt que par le meurtre, plus tard. Car leur petit jeu était si prenant, qu’ils en seraient tôt ou tard arrivés à des méthodes radicales.

III- Un + un + un…

« Elle s’appellera… Hara. »

Akeru caressa pensivement la tête de l’animal qu’on venait de lui remettre, et qui s’empressa aussitôt de lui lécher la figure. Elle allait vivre avec ça, toute sa vie ?

« Hara ? »

Kirô ramassa la cigarette qu’il avait laissée tomber quelques secondes auparavant, sous le choc. Il avait commencé à fumer le lendemain de sa séparation avec sa concubine, et n’avait pas arrêté depuis. « Ca veut rien dire… » ajouta-t-il, blasé. Regard impassible de la jeune enfant, atteignant tout juste ses sept années.

« C’est ça ou Pochi. »

« … Oh, regarde, elle a l’air de réagir, quand tu l’appelles Hara… »

Le chiot remua gaiement la queue, alla gambader près de Kôsai, dont il mordilla l’oreille, avant que sa nouvelle maîtresse ne vienne le prendre dans ses bras, et enfouir son nez dans son pelage soyeux. « Hara… »… Oui, ce nom lui plaisait définitivement, bien qu’il ait été trouvé sur un coup de tête, un peu au hasard. Mais qu’allait dire sa mère, la semaine suivante ? Elle ne serait sûrement pas d’accord. …Tant mieux ; elle n’aurait pas le choix, même si Fubuki la punissait pour cette simple décision. D’ailleurs, c’était quasi-sûr : Akeru allait avoir droit à une correction. Pourquoi ? Sûrement parce qu’elle n’avait pas pris assez de temps pour réfléchir à la dite imbécillité de ce patronyme, ou tout simplement parce que la petite fille n’avait pas pris l’un des surnoms que sa génitrice lui avait proposé. Sévère ? La jeune Inuzuka avait l’impression d’être à l’armée. Mais, chez son père… Elle leva les yeux vers lui et l’observa un instant, appuyé contre la fenêtre, fumant doucement. Quand elle serait grande, elle se marierait avec lui.

« Quoi ? »

« Je vais jouer dehors avec Hara. Tu me regardes, d’accord ? »

Un hochement de tête plus tard, Akeru gambadait à l’air libre avec sa compagne de jeu, sous l’œil amusé de Kirô. Le début d’une entente parfaite ? Comme tout Inuzuka qui se respecte. En effet, durant les mois qui suivirent, sous la tutelle tantôt austère de Fubuki tantôt décontractée de Kirô, la cohabitation entre la future shinobi et sa terreur s’installa difficilement, à la fois doucement et brutalement. Hara se révéla turbulente, beaucoup plus que sa propriétaire, et passa d’abord son temps à mordiller la petite humaine, dans l’espoir que celle-ci ne vienne courir dans les rues du village avec elle. Les premières semaines furent tendues ; Akeru avait du mal à supporter l’hyperactivité de l’animal, et l’envoyait souvent balader, énervée. Avoir quelque chose dans les pattes pendant toute la journée –même pendant la nuit- exaspérait l’enfant, peu habituée à la sociabilité. Mais vite –très vite-, des compromis s’installèrent, et ce des deux côtés : Hara se calma, apprit que sa camarade était peu encline à ce genre d’activités physiques, pourtant de son âge, et se cantonna à faire la sieste sur son ventre pendant qu’elle lisait, ou à se faire couvrir de baisers et caresses pendant des heures. Silencieusement, des liens se tissèrent, la fillette commença à la trouver attachante, l’emmenait se promener dans la forêt, plusieurs fois par semaine, et de plus en plus souvent, bien que la marche et la course ne fût pas son fort. Parallèlement, chez Fubuki, un nouvel entraînement avait débuté, favorisant la symbiose entre le maître et son chien. Des exercices de base, à faire à elles deux, leur étaient donnés pendant environ une heure chaque semaine, puis chaque jour ; selon le côté maternel, la relation Inuzuka/Inu était la base de tout. Et si sa fille voulait devenir un jour ninja, elle devrait s’en accommoder.

Un an plus tard, Akeru et Hara filaient le parfait amour.

« Aiken* ! »

« Quoi ? »

« Viens voir par ici ! »

« Mais Papa ! Hara me disait un truc ! »

« Viens je te dis ! Il faut que je te présente quelqu’un ! »

« Ca peut pas attendre ? »

« Akeru… »

Soupirant, après avoir ramassé sa chienne, Akeru se dirigea vers la terrasse, où l’attendait son père… Ainsi qu’une autre personne, un peu en retrait, grand sourire aux lèvres. Tout de suite, un horrible, un énorme pressentiment. Précisons que la personne en question n’est autre qu’une jeune femme d’environ la vingtaine, l’air avenant, à la peau de pêche.

« Akeru, voilà Momoko. Momoko, je te présente Akeru. »

« Tu peux m’appeler Momo-chan. »

Regard scrutateur, en plein jugement, de la part de l’enfant. Hara se mit à aboyer ; sa maîtresse la fit taire d’un baiser sur la truffe, sans quitter ‘Momo-chan’ des yeux.

« Tu vas te marier avec mon papa ? »

« Que … ? ! Aiken ! »

Un rire pur, cristallin, s’éleva doucement dans les airs, résonnant agréablement dans les tympans d’Akeru, la blessant encore plus.

« Laisse, Kirô-chan… »

*Kirô… Chan ?*

C’est ainsi qu’entra dans sa vie Momoko Hayabusa, pour ensuite ne plus en sortir. Pour Akeru, c’était la catastrophe : tous les projets d’avenir qu’elle avait fait avec son père, notamment leur mariage, tombait méchamment à l’eau, par la bête arrivée d’une simple femme. Même si cette simple femme avait le rire le plus beau qu’elle ait jamais entendu.

Avant, la jeune Inuzuka ne souffrait qu’une semaine sur deux, chez Fubuki, à suivre un entraînement intensif, rempli de corvées et autres exercices de coordination avec Hara. Dorénavant, elle devait subir une douleur psychologique, tellement plus abstraite, mais tellement plus douloureuse, avec la semi-présence de Momoko, qui n’habitait –heureusement- pas chez son nouveau petit ami. Pourquoi le monde était-il si injuste ? Elle passait beaucoup plus de temps seule avec Hara, s’exilait toujours un peu plus loin, revenait toujours un peu plus tard ; le simple fait de voir le sourire de son paternel lui rappelait son autre moitié. Ou plutôt, tiers, si l’on comptait Kôsai.

Un an. Puis deux. Puis trois. Momoko s’installa chez Kirô. Nouvelle qui ne fit, à vrai dire, ni chaud ni froid à Akeru. Bien entendu, sa rancœur était toujours présente, et le fait d’avoir ‘Momo-chan’ à ses côtés la moitié de l’année lui fit plus de mal qu’elle ne voulut se l’avouer ; mais avec le temps, sa douleur s’était comme anesthésiée. Et puis, ‘l’intruse’ n’était pas si méchante que ça, au contraire. Elle traitait la petite fille avec amour, lui proposant souvent des jeux, des activités à faire, bien qu’elle ne se heurte à un « Non. » sonore à chacune de ses tentatives. Akeru ne la voyait pas comme un membre de sa famille, et elle ne la verrait jamais en tant que telle. Pour elle, l’adulte lui volait son père adoré, et ça, elle ne pourrait le lui pardonner. Avec qui allait-elle se marier, quand elle serait plus grande ?

Quatrième année, celle de ses douze ans. Le temps était venu à l’Académie de faire son entrée.

« Ake-chan ! Où es-tu ? »

Penchée sur sa poupée de paille, assise dans un coin de sa chambre, Hara sur les jambes, la jeune adolescente ne prit même pas la peine de lever la tête de son ouvrage, et renvoya un sobre « Ici. » à sa mère. La dernière aiguille… Elle observa le corps criblé d’épingle de la marionnette, et acheva finalement son œuvre en lui plantant dans le front. « Viens dans la cuisine ! Et dépêche-toi ! » « Oui oui… » Réponse automatique. Elle l’avait dit sans y penser. Aller voir Fubuki ? Pourquoi ? Elle était très bien, ici. S’étirant un instant, elle attrapa un livre, et laissa mollement tomber la réplique de Momoko sur le sol, s’absorbant en un temps record dans une lecture qu’elle jugeait passionnante. Une demi-heure plus tard, un grincement se fit entendre, et une femme à l’expression passablement mécontente fit son apparition dans l’encadrement de la porte.

« Ake-chan… », déclara-t-elle sur un ton menaçant. Un « Quoi ? » insolent lui répondit, suivi d’un couinement sonore ; Hara sentait la tempête arriver. « Dans la cuisine… Tout de suite. » « Pourquoi ? » Ca, c’était le mot en trop. Fubuki s’approcha rapidement de sa fille, lui attrapa le bras sans ménagement, faisant tomber son livre au passage, et l’emmena brutalement jusque dans la cuisine, où elle la jeta sur une chaise.

« Akeru… Dès demain, tu deviendras ninja. »

Hara fit hâtivement son entrée dans la pièce, et sa maîtresse la prit dans ses bras, les yeux plantés dans ceux de la kunoichi. Cette réplique, elle l’attendait depuis longtemps déjà, et, à vrai dire, cette voie lui allait à peu près, ayant été conditionnée depuis toute petite. Mais, intérieurement, et même si elle avait réalisé quelques années plus tôt –plutôt violemment- que ce métier n’existait pas franchement, et que cela ne resterait qu’une chimère idiote, elle pensait encore avoir un espoir de faire ‘riche’. « Hors de question. » « Ake-chan… Réfléchis un peu. Je sais très bien que tu es loin d’aimer l’effort physique, et je ne vais pas te dire qu’il n’y en aura pas. Mais tu fais partie des Inuzuka, et Hara est avant tout une arme de guerre. Et puis, à l’Académie, il y a énormément de cours théorique, ce qui implique la présence de livres, et d’étude sur du papier… » Akeru, d’abord indignée par ce qui avait été dit de sa chienne, se ravisa, et se contenta d’observer sa mère, qui se retourna, comme pour se préparer à partir. « Et puis, tu sais, Hara a besoin de se dépenser. Et il lui faut plus que de simples balades dans la forêt. » Regard d’Akeru vers sa compagne. *C’est vrai ?* « Waf ! » Soupir. Réponse affirmative.

Pour cette fois, et par amour pour son animal, la jeune fille allait mettre son entêtement de côté, et se plier aux ordres de sa mère.

…Peut-être, plus tard, elle pourrait se reconvertir en ‘riche’, quand sa génitrice ne regarderait pas.


*Surnom donné par son père, signifiant ‘Chienchien / Chien affectueux’.


Nindô : « Qui m'aime, aime mon chien. »

Caractère : Un caractère assez particulier –au premier abord- pour une Inuzuka ; discrète, silencieuse, Akeru renvoie l’image d’une jeune fille sage, réfléchie, et sait parfaitement se faire oublier, à son grand bonheur.
Enfin, ça, c'était avant.
Elle a abandonné en partie ses livres, ne rechigne plus autant à faire un exercice physique, puisque s'est surprise à aimer la voie du shinobi. Mais ça, elle ne l'avouera jamais, surtout devant sa mère ; en effet, mademoiselle possède une fierté non négligeable, ainsi qu'un sale caractère qui tend de plus en plus à se développer. Les quelques colères qu'elle a récemment piquées en sont la preuve. Akeru possède ainsi un fort esprit de contradiction, ainsi qu’une impulsivité prouvée, ne cherchant pas à faire de détour, plus en accord avec l’esprit du clan. Par simple entêtement, elle aura tendance à faire le contraire de ce qui doit être fait, à dire autre chose que ce qu’on lui a demandé. Les autres, elle ne s'en fout plus tellement ; ils l'insupportent vite, de plus en plus vite. Ce changement, on le doit en partie à son séjour chez les Inuzuka. Elle en est revenue plus maussade, encore plus renfermée qu'auparavant.

Ce qu’elle aime :
  • Hara, bien évidemment
  • Le rire de Momo-chan
  • L'écharpe de Nemuri-san. Puis Nemuri-san aussi un peu. ( Voire beaucoup, mais chut. )
  • Ryugi, puis Toki. D'anciens amis, d'après elle.
  • … Et d’autres choses qui ne vous regardent pas
Ce qu’elle déteste :
  • Les ordres de sa mère
  • Momo-chan
  • Les râmen
  • Les hyperactifs, ceux qui hurlent ou font trop de bruit sans raison
  • … Et d’autres choses dont vous entendrez sûrement parler
Dernière modification par Akeru Inuzuka le lun. 22 déc. 2008, 14:13, modifié 4 fois.
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Honoo Itchibaru
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Message par Honoo Itchibaru »

Bon, j'ai pas lu ta BG pas le temps(la flème), je le ferai peut être plus tard. Mais bon ca m'a l'air pas mal, mais peut être que le côté frèle me dérange un peut. Sinon ben j'éspère que tu sera acceptée.
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Message par Soi Fon »

Pour ma part, j'avais pas la flemme et après lecture, j'ai beaucoup aimé. L'histoire, ainsi que le reste de la fiche, est bien sympathique.
Par contre, j'ai une question, y a-t-il un rapport entre Momoko Hayabusa et le pnj Hayabusa Keitou?
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Bonne. Mauvaise. Je suis la fille avec l'hiroi ken.
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Message par Akeru Inuzuka »

Ah, merde, j'avais pas vu O_O Ben non, y a pas de rapport... Mais si ça gêne, j'peux toujours changer =x

En tout cas merci bien x)
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Message par Nahako Filyu »

Bienfenue dans notre jolie village Jeune Fille!

Que dire? Que dire? :?

J'ai beaucoup aimé l'histoire, malgré qu'elle ne soit pas trés longue pour un clan, elle est tellement bien rédigé que je ne vois pas d'inconvénients sur la longueur. Je n'ai pas vu d'incohérences ( Même les titres peuvent être interprété selon la façon qu'on veut ), les fautes d'orthographes, il y en a trés peu voire pas du tout.

Honnêtement, et ca faisait longtemps que ca n'était pas arrivé...
C'est un OUI pour moi! :)

Le Background est trés bon, tu respectes tout ce qu'on vous demande, je n'ai rien a te demander de plus.

Attends l'avis d'un second modo.

A bientot Jeune Fille! :)
Dernière modification par Nahako Filyu le ven. 17 nov. 2006, 20:46, modifié 1 fois.
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Message par Wei-chi Komoku »

Pour un clan, c'est très court si on enlève les dialogues... et les interlignes sautés... trop d'aération tue l'aération.
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Message par Honoo Itchibaru »

Malgré le fait que ce soit cour, moi je trouve que comme l'a dit Nahako Filyu c'est très bien écrit. Et oui j'ai enfin lu le Bg, et j'ai beaucoup aprécié. J'espère que tu nous rejoindra bientôt. :wink:
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Message par Saya Minatsuki »

j'aime! :) mais c'est court pour un clan!

un peu de ralonge et ca sera bon pour moi ;)
-tu appartiens a un clan donc bah euh... :p
-tu n'as pas trouvé ca bizarre d'exister à deux, le deux c'est le chien nan?... bizarre ou pas, pourquoi ? :p etc...
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Message par Akeru Inuzuka »

Ajout de quelques lignes dans la BG, histoire de dire x)

Aaaaah ! Arigatô Nahako ! \o/ Enfin, Filyu... Enfin, le Chûnin qui fait peur là x) Ca fait plaisir o/ Même très plaisir \o Wei-chi, pas de problème, je rajouterai deux-trois trucs en plus dans pas longtemps x) Merci bien Honoo, moi aussi, j'espère te voir bientôt !

Et à Saya, qui a posté entre temps xD --> Oui Chef ! Je m'y mets x) Et merci xD

Edit --> Rajout de plusieurs lignes pour le début de vie commune entre Akeru et Hara... Mieux ?
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Trés bonne BG ! Mais je ne sais pas, il manque peut être un petit quelque chose. Un truc qui surprend. Qui justifie cette sorte de qualité digne d'un clan.

J'adore l'avatar. J'adore l'histoire. Manque une petite touche. Genre la touche ultime. Ca lui fait quoi de devenir ninja? Pourquoi a t-elle dit "riche" ? Le truc "riche" m'a surprit, mais pas assez. Tu peux peut etre preciser ce point. Le rendre plus profond. Merde, c'est son premier reve quoi. Pourquoi? Comment? A t-il une incidence ?

Elle a l'air d'etre un princesse, tu dis qu'elle a un coté Peste mais il n'est pas assez exprimé dans l'histoire. Je veux le voir !
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Message par Akeru Inuzuka »

Rajout de quelques lignes là où on apprend qu'elle veut devenir riche, ainsi que d'un paragraphe touuut à la fin.

J'espère que j'ai répondu à vos attentes ( Et surtout à celle d'Aoki x) ). Sinon ben... C'est pas grave, je modifierai en conséquence ! \o/
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Message par Nemuri Aoki »

Un Gros Oui ! ^_^

Mon appétit ayant été parfaitement contenté. Ce dernier paragraphe est très intéressant. Il croise les grandes lignes du caractère d’Akeru, je trouve. On y retrouve l’amour de l’animal, le coté rebelle (voir sadique, avec sa poupée. Mais tout les enfants le fond, et ça souligne le fait qu’Akeru reste une enfant.), et le forcing épuisant de la mère.
Ca condense ce que je voulais. Merciii

Donc le Oui du dénouement. Manque plus que les accès. Chiotte !
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Message par Akeru Inuzuka »

Mais de rien mon cher Aoki ! \o/ C'est plutôt moi qui devrais te remercier x) Alors merci ! :D ( Pour la peine j'utilise un smiley tiens... Première et dernière fois >< )

Contente là... Acceptée chez les Inuzuka. Mon rêve. o/ Arigatô ! Et maintenant, j'attends les aXx en silence. Meurci encore ! \o
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Message par Leolio Mimura »

Je errais sur ce forum quand aoki appella à l'aide.
N'écoutant que ma bravoure je lui demandais ce qui pouvait bien le tracasser comme cela.
Il me répondit, sans se démonter, qu'il fallait que je mette les accès à une étudiante de Konoha.

Franchement emmerdé un sunasien pour une fille de Konoha , c'est le grain de sable qui va envahir l'herbe.

Enfin bref, comme je suis plutôt sympa je t'ai mis les accès.
[ça fera 50000 ryos aoki ^^]
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Nemuri Aoki
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Message par Nemuri Aoki »

Aie... Moi qui voulait me payer une baby sister... Sont chères les sunasiens! Tu fais crédit ?? :huh:
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha
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