Neiji s'était finalement décidé à aller faire un ptit tour au pays de Malt. Un voyage long, éprouvant ... Ou pas ! L'excellente condition physique du shinobi lui avait permis de rallier l'endroit en un temps record. Malgré tout l'impression d'être suivbi l'avait talonné tout le voyage. Impression confirmée rapidement, mais aux vues de l'aura dudit poursuivant, il pouvait le négliger, non pas qu'il n'était que d'une puissance médiocre, mais qu'aucune intention belliqueuse lui provenait.
Une fois être arrivé - et s'être restauré, of course - au pays de la Ghaïka, Neiji partit se poser dans les sous bois pour profiter de leur couverture ombrageuse. Une présence ne tarda pas à se manifester. Elle finit par lui apparaître, c'était ... Un chat !
*Joli matou, mais kékifou ici O__o ... Et comment ça se fait qu'on puisse autant le ressentir, et il me veut quoi au fait.*
Il lanca donc son art au plus puissant qu'il pouvait, et ne tarda pas à détecter un autre présence, à la même saveur que le matou qui venait de s'installer d'office sur ses cuisse - vu qu'il était assis contre un arbre - et commencait à ronronner tranquillement.
L'autre présence se faisait sentir de plus en plus ...
Une rencontre de plus ...
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Tsukiyo, quant à elle, ne s'était pas rendue directement à Malt, mais avait fureté un peu partout entre les pays, évitant soigneusement les escouades ANBU et autres joyeusetés du même genre, étant sans passe...
Puis, de Makyou, à peu de choses près, elle s'était décidée à adopter un rythme plutôt tranquille vu son habitude et de laisser son chat passer devant (il adorait la devancer à la course, mais généralement elle finissait par le dépasser... de vrais gosses).
La présence repérée lui semblait inquisitrice mais pas aggressive à proprement parler, juste un peu sauvage peut-être, bref, rien de bien intéressant même si tomber contre un combattant de bon niveau aurait pu être intéressant... cela ne semblait malheureusement pas être le cas et elle poursuivit sa route.
Le félin par contre, semblait s'attacher à ce qui n'était qu'une aura et força de fait la Junin d'Iwagakure à le suivre, et le shinobi de Yukigakure avec.
Quand, enfin, elle sentit son compagnon se poser comme s'il l'avait fait sous ses yeux, la Nekozaka accéléra sensiblement son rythme, avant de passer à une vitesse vraiment supérieure, en utilisant cependant que ses capacités physiques propres... ni chakra, ni amélioration grâce à celui-ci, juste sa vitesse naturelle.
Sautant d'un arbre elle atterrit sans un bruit - étrange au vu des bottes, à plaques de fer, ainsi que de la " force " de sa propulsion - au pied de l'animal qui tourna vers elle son regard, avant de jeter un oeil à Neiji, vraiment.
C'est tout juste si elle prit la peine d'examiner le jeune homme et son bandeau avant de tendre la main pour que la patte du chat, puis sa tête puissent s'y frotter doucement. Celui-ci miaula et elle commença à lui parler doucement.
" Tu n'as pas tort, Mizu, mais je ne vois pas pourquoi tu t'en fais pour cela. Hmm... " fit la jeune femme avant de reprendre, l'air de réfléchir.
" Moi non plus je ne sais pas pourquoi nous sommes là. Enfin si, pour la trêve et pour représenter le clan, mais j'aurais autant aimé qu'on se balade du côté du Shinobi Kuran histoire de se trouver un déserteur. "
" ... (miouuuu) "
" Roh. Je sais... mais je mérite mon rang non ? Et ça fait déjà un certain temps que je l'occupe, Mizu-chan... " conclut la Jônin en laissant le gros matou grimper sur son bras, tandis qu'elle s'asseyait contre un arbre, afin de le laisser se liver à son aise sur son ventre, la regardant encore, l'air très... humain.
Puis, de Makyou, à peu de choses près, elle s'était décidée à adopter un rythme plutôt tranquille vu son habitude et de laisser son chat passer devant (il adorait la devancer à la course, mais généralement elle finissait par le dépasser... de vrais gosses).
La présence repérée lui semblait inquisitrice mais pas aggressive à proprement parler, juste un peu sauvage peut-être, bref, rien de bien intéressant même si tomber contre un combattant de bon niveau aurait pu être intéressant... cela ne semblait malheureusement pas être le cas et elle poursuivit sa route.
Le félin par contre, semblait s'attacher à ce qui n'était qu'une aura et força de fait la Junin d'Iwagakure à le suivre, et le shinobi de Yukigakure avec.
Quand, enfin, elle sentit son compagnon se poser comme s'il l'avait fait sous ses yeux, la Nekozaka accéléra sensiblement son rythme, avant de passer à une vitesse vraiment supérieure, en utilisant cependant que ses capacités physiques propres... ni chakra, ni amélioration grâce à celui-ci, juste sa vitesse naturelle.
Sautant d'un arbre elle atterrit sans un bruit - étrange au vu des bottes, à plaques de fer, ainsi que de la " force " de sa propulsion - au pied de l'animal qui tourna vers elle son regard, avant de jeter un oeil à Neiji, vraiment.
C'est tout juste si elle prit la peine d'examiner le jeune homme et son bandeau avant de tendre la main pour que la patte du chat, puis sa tête puissent s'y frotter doucement. Celui-ci miaula et elle commença à lui parler doucement.
" Tu n'as pas tort, Mizu, mais je ne vois pas pourquoi tu t'en fais pour cela. Hmm... " fit la jeune femme avant de reprendre, l'air de réfléchir.
" Moi non plus je ne sais pas pourquoi nous sommes là. Enfin si, pour la trêve et pour représenter le clan, mais j'aurais autant aimé qu'on se balade du côté du Shinobi Kuran histoire de se trouver un déserteur. "
" ... (miouuuu) "
" Roh. Je sais... mais je mérite mon rang non ? Et ça fait déjà un certain temps que je l'occupe, Mizu-chan... " conclut la Jônin en laissant le gros matou grimper sur son bras, tandis qu'elle s'asseyait contre un arbre, afin de le laisser se liver à son aise sur son ventre, la regardant encore, l'air très... humain.
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Neiji n'avait pas esquissé un seul geste lorsque la jeune femme avait littéralement jaillit des arbres pour venir récupérer son chat. Ce dernier l'avait laissé faire, bien entendu, sans bouger une oreille.
La jeune femme qui venait de faire intrusion dans son espace vitale était assez élancée, et d'elle jaillissait un air de supériorié acquis, presque de majesté - même avec les bottines soit dit en passant.
*Hmm ... Sympathique, sa nonchalance vient du fait qu'ellle ne me considère aps comme une menace, autant la conforter dans son idée, j'viens de manger, pas envie de me friter. Faudrait pas aller jusqu'à abimer son joli minois.*
Fait assez étrange, elle sembla ressentir ses pensées et releva furtivement la tête lui lancant un regard noir et empreint de lourde maîtrise de soi-même pour ne pas vaporiser la nuisance en face d'elle.
*Genjutsu alors ... Pas bon ça, ce serait ptet un peu chaud à gérer, vais faire gaffe à mes plumes moi.*
Alors qu'elle s'était assise nonchalamment en face de lui, ne lui payant nulle attention, il sortit un senbon et commenca à jouer avec ( hrp : un peu comme on joue avec un crayon ). Mais son jeu principal ne venait pas de là, il essayait de tendre une aura conciliante vers le matou pour si il avait une quelconque réaction ... ou sa maîtresse à défaut.
Le tout en sachant qu'il risquais gros aux vues des qualités de combattante de ladite maîtresse...
Le chat semblait maintenant adopter l'attitude de sa maîtresse, c'est à dire une ignorance des plus totale de la présence du shinobi.
*Comme quoi, masquer son aura ça a du bon desfois, elles/ils doivent me prendre pour une genin ou un chuunin tout juste démoulu, enfin ...*
Malgré tout, avec plus d'insistance de Neiji, qui maintenant étendait son aura autour du matou avec lus de puissance, ce edrnier releva la tête et le fixa de ses yeux verts, enfin verts bleu, enfin couleur de l'onde, un peu comme les siens au final, surtout cette pupille empreinte de sagesse...
La jeune femme qui venait de faire intrusion dans son espace vitale était assez élancée, et d'elle jaillissait un air de supériorié acquis, presque de majesté - même avec les bottines soit dit en passant.
*Hmm ... Sympathique, sa nonchalance vient du fait qu'ellle ne me considère aps comme une menace, autant la conforter dans son idée, j'viens de manger, pas envie de me friter. Faudrait pas aller jusqu'à abimer son joli minois.*
Fait assez étrange, elle sembla ressentir ses pensées et releva furtivement la tête lui lancant un regard noir et empreint de lourde maîtrise de soi-même pour ne pas vaporiser la nuisance en face d'elle.
*Genjutsu alors ... Pas bon ça, ce serait ptet un peu chaud à gérer, vais faire gaffe à mes plumes moi.*
Alors qu'elle s'était assise nonchalamment en face de lui, ne lui payant nulle attention, il sortit un senbon et commenca à jouer avec ( hrp : un peu comme on joue avec un crayon ). Mais son jeu principal ne venait pas de là, il essayait de tendre une aura conciliante vers le matou pour si il avait une quelconque réaction ... ou sa maîtresse à défaut.
Le tout en sachant qu'il risquais gros aux vues des qualités de combattante de ladite maîtresse...
Le chat semblait maintenant adopter l'attitude de sa maîtresse, c'est à dire une ignorance des plus totale de la présence du shinobi.
*Comme quoi, masquer son aura ça a du bon desfois, elles/ils doivent me prendre pour une genin ou un chuunin tout juste démoulu, enfin ...*
Malgré tout, avec plus d'insistance de Neiji, qui maintenant étendait son aura autour du matou avec lus de puissance, ce edrnier releva la tête et le fixa de ses yeux verts, enfin verts bleu, enfin couleur de l'onde, un peu comme les siens au final, surtout cette pupille empreinte de sagesse...
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Dans le même mouvement, Tsukiyo leva les yeux vers Neiji et sembla le regarder, mais ses yeux couraient sur lui en glissant comme de l'eau sur un rocher déjà érodé : peut-être s'en fichait-elle, à moins que ce ne soit un trait de son caractère, en quelque sorte.
L'influence de l'aura du Chûnin, la Nekozaka l'avait sentie mais celle-ci ne semblait pas l'avoir offensée, ou quoi que ce soit de ce genre.
Mizu miaula quelque chose que, bien sûr, Neiji ne put pas comprendre mais qui valut au félin un regard direct, plutôt bref, sans animosité mais ferme.
Quelques paroles franchirent ses lèvres : " Je n'ai aucune envie d'aller jouer les bêtes de foire dans les manifestations officielles, Mizu.
Et toi non plus... cependant, ce que tu me proposes là n'a rien de bien intéressant si on y regarde de plus près. "
Une sorte de dialogue s'entama entre les deux qui s'affrontaient du regard et semblaient se parler sans même avoir besoin d'échanger des paroles.
Ils semblaient avoir complètement oublié Neiji mais brusquement, Tsukiyo se retourna vers lui, se redressa et se présenta devant le shinobi avec un sourire tranquille.
" ... J'aimerais bien savoir qui vous êtes ? " demanda-t-elle sur un ton presque candide, avant d'ajouter, un poil plus sérieuse.
" Nekozaka Tsukiyo, et voici Nekozaka Yamaneko Mizu, mon compagnon de toujours. Il semble apprécier ta présence... " fit la Jûnin avec un regard un peu lointain tandis que son chat, lui, après avoir sauté à bas du corps de la jeune femme quand elle s'était redressée, s'approchait un peu plus du Yukien, allant même jusqu'à humer l'air.
Son attitude avait quelque chose de commun avec celle de Tsukiyo, mais... en quoi ?
L'influence de l'aura du Chûnin, la Nekozaka l'avait sentie mais celle-ci ne semblait pas l'avoir offensée, ou quoi que ce soit de ce genre.
Mizu miaula quelque chose que, bien sûr, Neiji ne put pas comprendre mais qui valut au félin un regard direct, plutôt bref, sans animosité mais ferme.
Quelques paroles franchirent ses lèvres : " Je n'ai aucune envie d'aller jouer les bêtes de foire dans les manifestations officielles, Mizu.
Et toi non plus... cependant, ce que tu me proposes là n'a rien de bien intéressant si on y regarde de plus près. "
Une sorte de dialogue s'entama entre les deux qui s'affrontaient du regard et semblaient se parler sans même avoir besoin d'échanger des paroles.
Ils semblaient avoir complètement oublié Neiji mais brusquement, Tsukiyo se retourna vers lui, se redressa et se présenta devant le shinobi avec un sourire tranquille.
" ... J'aimerais bien savoir qui vous êtes ? " demanda-t-elle sur un ton presque candide, avant d'ajouter, un poil plus sérieuse.
" Nekozaka Tsukiyo, et voici Nekozaka Yamaneko Mizu, mon compagnon de toujours. Il semble apprécier ta présence... " fit la Jûnin avec un regard un peu lointain tandis que son chat, lui, après avoir sauté à bas du corps de la jeune femme quand elle s'était redressée, s'approchait un peu plus du Yukien, allant même jusqu'à humer l'air.
Son attitude avait quelque chose de commun avec celle de Tsukiyo, mais... en quoi ?
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Neiji avait laissé la jeune femme le détailler dans son ensemble, un peu comme il avait fait quelques instants auparavant.
Il ne perdit rien de leur conversation malgré le fait qu'il ne comprennait strictement rien au dialecte ...
*J'ai déjà entendu parler de ça ... Mais où, et quand aussi d'ailleurs...
Le chat a l'air plus qu'intéressant, il a sa propre volonté, sa propre réflexion, sa propre intelligence. Bon la maîtresse n'est pas en reste non plus, elle semble plutot forte.*
Subitement, elle se redressa et se dirigea vers lui :
" ... J'aimerais bien savoir qui vous êtes ?
Nekozaka Tsukiyo, et voici Nekozaka Yamaneko Mizu, mon compagnon de toujours. Il semble apprécier ta présence... "
"Ah une nekozaka, tout s'explique, ne put s'empécher de retenir le shinobi.
Je me prénomme Neiji, et j'ai effectivement cru remarquer que votre chat semblait m'apprécier quelques peu", conclut-il avec un sourire, tout en tendant la main pour que ladite bestiole vienne s'y frotter, ce qu'elle fit de bonne grâce.
Neiji ne s'était pas relevé, mais il continua tout de même d'un ton tranquil :
"C'est bien vous qui me suiviez depuis Yuki, non ?"
En disant cela il avait planté son regard dans celui de la jeune femme.
*C'est bien ce que je pensais, ils ont le même regard tous les deux.*
Il ne perdit rien de leur conversation malgré le fait qu'il ne comprennait strictement rien au dialecte ...
*J'ai déjà entendu parler de ça ... Mais où, et quand aussi d'ailleurs...
Le chat a l'air plus qu'intéressant, il a sa propre volonté, sa propre réflexion, sa propre intelligence. Bon la maîtresse n'est pas en reste non plus, elle semble plutot forte.*
Subitement, elle se redressa et se dirigea vers lui :
" ... J'aimerais bien savoir qui vous êtes ?
Nekozaka Tsukiyo, et voici Nekozaka Yamaneko Mizu, mon compagnon de toujours. Il semble apprécier ta présence... "
"Ah une nekozaka, tout s'explique, ne put s'empécher de retenir le shinobi.
Je me prénomme Neiji, et j'ai effectivement cru remarquer que votre chat semblait m'apprécier quelques peu", conclut-il avec un sourire, tout en tendant la main pour que ladite bestiole vienne s'y frotter, ce qu'elle fit de bonne grâce.
Neiji ne s'était pas relevé, mais il continua tout de même d'un ton tranquil :
"C'est bien vous qui me suiviez depuis Yuki, non ?"
En disant cela il avait planté son regard dans celui de la jeune femme.
*C'est bien ce que je pensais, ils ont le même regard tous les deux.*
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La Jûnin observa le chat qui semblait apprécier les marques d'affection que lui prodiguait le jeune homme en face d'elle - ou presque - et l'on put voir une légère modification de ses traits, comme si elle menait non pas un combat mais un dialogue intérieur. Lorsque Mizu se mit quasiment à ronronner, un soupir franchit ses lèvres pâles et elle sourit tranquillement : les changements de son aura, passée de la réprobation à un amusement blasé, n'échappèrent pas au félin qui se retourna de nouveau vers elle avec un miaulement de protestation.
" Je vois... " fit la Jûnin dans un premier temps, avant de sembler retrouver le fil de ce qu'elle faisait, de la conversation en quelque sorte.
" C'est votre aura, Neiji, qui l'a attiré. Vous connaissez sans doute la croyance populaire qui dit que les chats ont une sorte de sixième sens ?
Il y a quelques liens... et puis, c'est un Nekozaka Yamaneko.
Par contre, ne dites pas " votre chat ", Mizu ne m'appartient pas et je ne lui appartiens pas non plus.
Nos relations sont strictement amicales : c'est un choix que nous avons fait dans notre... relative jeunesse
' " conclut Tsukiyo en souriant franchement au chat qui la regardait toujours et qui se retrouva sans qu'on ne sache comment, à se frotter contre son cou, à demi recroquevillé sur son épaule droite (pour son interlocuteur).
* Il semble lui aussi être rompu aux jeux de l'intimidation par la persuasion et les périmètres de l'aura... c'est intéressant.
Son odeur porte aussi une effluve familière, mais je ne sais pas s'il s'agit de la sienne ou d'une personne que je connais... *
La Jûnin, contre toute attente, s'assit face à Neiji, un air plutôt jovial, bien que mélancolique, sur le visage.
" En fait je suivais Mizu. Qui vous suivait. Je peux vous tutoyer ? "
" Je vois... " fit la Jûnin dans un premier temps, avant de sembler retrouver le fil de ce qu'elle faisait, de la conversation en quelque sorte.
" C'est votre aura, Neiji, qui l'a attiré. Vous connaissez sans doute la croyance populaire qui dit que les chats ont une sorte de sixième sens ?
Il y a quelques liens... et puis, c'est un Nekozaka Yamaneko.
Par contre, ne dites pas " votre chat ", Mizu ne m'appartient pas et je ne lui appartiens pas non plus.
Nos relations sont strictement amicales : c'est un choix que nous avons fait dans notre... relative jeunesse
' " conclut Tsukiyo en souriant franchement au chat qui la regardait toujours et qui se retrouva sans qu'on ne sache comment, à se frotter contre son cou, à demi recroquevillé sur son épaule droite (pour son interlocuteur).* Il semble lui aussi être rompu aux jeux de l'intimidation par la persuasion et les périmètres de l'aura... c'est intéressant.
Son odeur porte aussi une effluve familière, mais je ne sais pas s'il s'agit de la sienne ou d'une personne que je connais... *
La Jûnin, contre toute attente, s'assit face à Neiji, un air plutôt jovial, bien que mélancolique, sur le visage.
" En fait je suivais Mizu. Qui vous suivait. Je peux vous tutoyer ? "
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Anonymous
Le juunin avait laissé le chat faire mumuse avec ses mains, patiemment, pendant que sa "partenaire" entretenait la conversation. Elle décida de s'asseoir en face de lui, et ce, malgré ses réticences premières.
Finalement, le shinobi s'étira voluptueusement avant de commencer :
"Oui je veux bien que vous me tutoyiez, mais à condition que ce soit réciproque."
Il arobrait à présent un sourire espiègle, qui se changea en air pensif, il avait décidé de jouer à celui qui ne savait pas quels étaient les pourquois et les comments...
"Quant à votre histoire d'aura, je veux bien le croire, on m'a toujours dit que j'avais un don avec les animaux, mais de là à attirer un nekozaka ... Là je m'épate tout seul je tavouerais.
Pour ce qui est de votre lien quasi empathique je connais, pas besoin que tu t'étendes là dessus. Malgré tout je conçois parfaitement ça comme un bénédiction de pouvoir avoir un ami constamment en contacte, mais en même temps une malédiction du fait de la puissance empathique de votre lien ... Enfin j'me comprends.
Passons, tu dis que - Mizu, c'est ça ? - me suivait, mais auquel cas je suivais auparavant quelqu'un la route a le mérite d'être fréquentée et fréquentable, surtout si c'est ici notre destination.
Enfin bon, qu'est-ce qui t'amènes ici d'ailleurs, ça fait une trotte de chez toi."
*Autant jouer le jeu du simplet le temps de savoir à quoi m'attendre, pas envie de goûter les arcanes félines, je tiens à mon intégrité physique, et je devrais auquel cas la tuer vite ... Et donc risquer d'y passer ... Non, autant se concentrer sur le fait de passer pour un mid-classe et assurer les risques. Enfin, faisons plus amples connaissances miss matou, qui est d'ailleurs drôlement sensible à l'aura, ce genre de lien empathique doit être sympathique, même si parfois difficile à vivre.*
Finalement, le shinobi s'étira voluptueusement avant de commencer :
"Oui je veux bien que vous me tutoyiez, mais à condition que ce soit réciproque."
Il arobrait à présent un sourire espiègle, qui se changea en air pensif, il avait décidé de jouer à celui qui ne savait pas quels étaient les pourquois et les comments...
"Quant à votre histoire d'aura, je veux bien le croire, on m'a toujours dit que j'avais un don avec les animaux, mais de là à attirer un nekozaka ... Là je m'épate tout seul je tavouerais.
Pour ce qui est de votre lien quasi empathique je connais, pas besoin que tu t'étendes là dessus. Malgré tout je conçois parfaitement ça comme un bénédiction de pouvoir avoir un ami constamment en contacte, mais en même temps une malédiction du fait de la puissance empathique de votre lien ... Enfin j'me comprends.
Passons, tu dis que - Mizu, c'est ça ? - me suivait, mais auquel cas je suivais auparavant quelqu'un la route a le mérite d'être fréquentée et fréquentable, surtout si c'est ici notre destination.
Enfin bon, qu'est-ce qui t'amènes ici d'ailleurs, ça fait une trotte de chez toi
."*Autant jouer le jeu du simplet le temps de savoir à quoi m'attendre, pas envie de goûter les arcanes félines, je tiens à mon intégrité physique, et je devrais auquel cas la tuer vite ... Et donc risquer d'y passer ... Non, autant se concentrer sur le fait de passer pour un mid-classe et assurer les risques. Enfin, faisons plus amples connaissances miss matou, qui est d'ailleurs drôlement sensible à l'aura, ce genre de lien empathique doit être sympathique, même si parfois difficile à vivre.*
Dernière modification par Anonymous le jeu. 25 août 2005, 14:04, modifié 1 fois.
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Anonymous
Tsukiyo avait laissé parler Neiji pour mieux retenir un petit rire quant à ses paroles... Mizu, quant à lui, semblait hésiter sur la marche à suivre - aller vers lui ou rester avec elle ? - tout en " murmurant " quelque chose dans le cou de sa maîtresse, un brin moqueuse tandis qu'elle observait de ses prunelles très légèrement changées le Yukien assis face à elle.
Son attitude avait quelque chose de très félin, mais ce n'était pas cela...
" Allons, Neiji, ne te moque pas de moi... on n'attire par un Yamaneko avec quelques capacités de base, mais passons là-dessus.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui attirait la sympathie comme tu le fais... " les dernières paroles avaient été dites sur un ton un peu plus marquant, comme pour dire au jeune homme qu'elle n'était pas dupe.
* Mon foutu caractère m'attirera donc toujours la méfiance... enfin, je n'ai pas à m'en plaindre, ça m'évite d'avoir trop de boulets dans les pattes au moins.
Il a l'air plutôt sympathique mais un peu faux peut-être : normal dans notre monde sans grande mansuétude... *
" Je voulais dire que Mizu te suivait parce qu'il y avait quelque chose chez toi qui l'attirait suffisamment pour essayer de me planter en arrière, mais que je ne pouvais pas le laisser aller à sa guise justement à cause du but de ma venue ici... "
Elle se tait quelques instants, le temps de suivre un papillon du regard, sur son côté droit.
Mizu, un regard de chasseur, saute de son épaule et atterrit à terre sans un bruit, avec le même style que sa maîtresse quelques instants auparavant, et commence à le suivre, à jouer avec. Qui aurait cru qu'un tel matou serait encore porté sur ces jeux de gosse ?
" Les Nekozaka sont un clan assez important d'Iwakagure no Sato, donc il fallait au moins qu'on voie l'un d'entre nous, ici, à Malt, pour la trêve, je pense que tu comprends cela.
Et bien sûr c'est tombé sur ma pomme, comme si je n'avais pas assez à faire en-dehors de ces considérations politiques^^. "
Elle souriait toujours, ce qui faisait apparaître de petites ridules autour de ses yeux et lui donnait un air assez joyeux... lui aurait donné un air assez joyeux serait plus exact, car une ombre passa devant ses yeux tandis qu'elle songeait à tout ce qui avait été laissé en plan au village avec son départ.
En temps normal, ce n'est pas une chose dont elle se serait souciée, mais sa nomination au Second Siège des Nekozaka avait considérablement alourdi sa charge de responsabilités.
Son attitude avait quelque chose de très félin, mais ce n'était pas cela...
" Allons, Neiji, ne te moque pas de moi... on n'attire par un Yamaneko avec quelques capacités de base, mais passons là-dessus.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui attirait la sympathie comme tu le fais... " les dernières paroles avaient été dites sur un ton un peu plus marquant, comme pour dire au jeune homme qu'elle n'était pas dupe.
* Mon foutu caractère m'attirera donc toujours la méfiance... enfin, je n'ai pas à m'en plaindre, ça m'évite d'avoir trop de boulets dans les pattes au moins.
Il a l'air plutôt sympathique mais un peu faux peut-être : normal dans notre monde sans grande mansuétude... *
" Je voulais dire que Mizu te suivait parce qu'il y avait quelque chose chez toi qui l'attirait suffisamment pour essayer de me planter en arrière
, mais que je ne pouvais pas le laisser aller à sa guise justement à cause du but de ma venue ici... "Elle se tait quelques instants, le temps de suivre un papillon du regard, sur son côté droit.
Mizu, un regard de chasseur, saute de son épaule et atterrit à terre sans un bruit, avec le même style que sa maîtresse quelques instants auparavant, et commence à le suivre, à jouer avec. Qui aurait cru qu'un tel matou serait encore porté sur ces jeux de gosse ?
" Les Nekozaka sont un clan assez important d'Iwakagure no Sato, donc il fallait au moins qu'on voie l'un d'entre nous, ici, à Malt, pour la trêve, je pense que tu comprends cela.
Et bien sûr c'est tombé sur ma pomme, comme si je n'avais pas assez à faire en-dehors de ces considérations politiques^^. "
Elle souriait toujours, ce qui faisait apparaître de petites ridules autour de ses yeux et lui donnait un air assez joyeux... lui aurait donné un air assez joyeux serait plus exact, car une ombre passa devant ses yeux tandis qu'elle songeait à tout ce qui avait été laissé en plan au village avec son départ.
En temps normal, ce n'est pas une chose dont elle se serait souciée, mais sa nomination au Second Siège des Nekozaka avait considérablement alourdi sa charge de responsabilités.
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Anonymous
Neiji attendait toujours, assis contre le tronc de son arbre, un demi sourire aux lèvres, laissant distraitement ses mains se balader quand le chat en approchait.
" Allons, Neiji, ne te moque pas de moi... on n'attire par un Yamaneko avec quelques capacités de base, mais passons là-dessus.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui attirait la sympathie comme tu le fais... "
*Ce serait tellement plus simple si ça l'était ...*
Neiji, ne changea en rien son attitude, son sourir du juste s'élargir impercéptiblement, plus son aura que son visage qui avait dû se modifier, en tous cas si la jeune femme et son matou y étaient si sensibles qu'ils le disaient...
"Effectivement, tu as raison, ce n'est pas avec du vinaigre qu'on attire les abeilles, mais bon ... Je pourrais te montrer quelques tours de passe-passe mais ça ne noous avancerait tous deux à rien. M'enfin, vous m'êtes sympathique toi et ton chat, donc je n'ai aucune envie d'avoir un quelconque conflit avec toi.
Quant à la façon dont tu annonces qu'on a jeté son dévolu sur toi pour représenter Iwa ici, c'est assez ... cocasse. Je vois assez mal un jeune femme comme toi se laisser entrainer dans quelque chose comme ça sans mot dire ... surtout si elle a quelque chose à finir."
Il avait lâché ces derniers mots sur un ton badin mais avait bien noté le changement dans sa percpetion de la jeune femme ... Après un instant d'hébététude une sorte d'amusement était revenu teinter l'aura qu'il avait d'elle, amusementlui même lié à un certain intéret.
Subitement le jeune juunin se leva, lentement et commenca à s'étirer, sous le regard scrutateur de la nekozaka en face de lui. Au moment où il arrivait au point de tension de l'étirement, il relâcha son aura en même temps que son corps, ce qui dû donner un image à peu près semblable à ça dans l'esprit de la jeune femme :
En un instant plusieurs émotions se bousculèrent chez elle, une sorte de peur du prédateur en recontrant un autres, l'amusement qui s'éveillait en même que l'intéret, la curitosité d'un animal face à quelque chose de nouveau, une furieuse envie de se battre, etc ...
En se rasseyant Neiji la vit passa sa langue sur ses lèvres sur lesquelles se dessinaient à présent un sourire carnassier.
*Ça au moins, c'est fait ...*
" Allons, Neiji, ne te moque pas de moi... on n'attire par un Yamaneko avec quelques capacités de base, mais passons là-dessus.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un qui attirait la sympathie comme tu le fais... "
*Ce serait tellement plus simple si ça l'était ...*
Neiji, ne changea en rien son attitude, son sourir du juste s'élargir impercéptiblement, plus son aura que son visage qui avait dû se modifier, en tous cas si la jeune femme et son matou y étaient si sensibles qu'ils le disaient...
"Effectivement, tu as raison, ce n'est pas avec du vinaigre qu'on attire les abeilles, mais bon ... Je pourrais te montrer quelques tours de passe-passe mais ça ne noous avancerait tous deux à rien. M'enfin, vous m'êtes sympathique toi et ton chat, donc je n'ai aucune envie d'avoir un quelconque conflit avec toi.
Quant à la façon dont tu annonces qu'on a jeté son dévolu sur toi pour représenter Iwa ici, c'est assez ... cocasse. Je vois assez mal un jeune femme comme toi se laisser entrainer dans quelque chose comme ça sans mot dire ... surtout si elle a quelque chose à finir."
Il avait lâché ces derniers mots sur un ton badin mais avait bien noté le changement dans sa percpetion de la jeune femme ... Après un instant d'hébététude une sorte d'amusement était revenu teinter l'aura qu'il avait d'elle, amusementlui même lié à un certain intéret.
Subitement le jeune juunin se leva, lentement et commenca à s'étirer, sous le regard scrutateur de la nekozaka en face de lui. Au moment où il arrivait au point de tension de l'étirement, il relâcha son aura en même temps que son corps, ce qui dû donner un image à peu près semblable à ça dans l'esprit de la jeune femme :
En un instant plusieurs émotions se bousculèrent chez elle, une sorte de peur du prédateur en recontrant un autres, l'amusement qui s'éveillait en même que l'intéret, la curitosité d'un animal face à quelque chose de nouveau, une furieuse envie de se battre, etc ...
En se rasseyant Neiji la vit passa sa langue sur ses lèvres sur lesquelles se dessinaient à présent un sourire carnassier.
*Ça au moins, c'est fait ...*
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Anonymous
Les paroles qu'avaient pu prononcer Neiji à son encontre s'étaient effacées pour ne laisser place qu'aux émotions contradictoires, qu'aux sensations qu'elle éprouvait devant une telle vision... il lui plaisait, beaucoup, et venait même de gagner sa considération.
Il avait suffit d'un instant pour ce faire, et Tsukiyo s'en émerveillait autant que de la précision avec laquelle il avait relâché son aura quelques instants auparavant.
Quel adversaire il pouvait faire... un rire franchit ses lèvres pâles pour se perdre tout autour d'eux.
Peut-être Neiji allait-il enfin comprendre qu'il avait réveillé des instincts qui devaient rester enfouis chez la Nekozaka... loin d'être de nature gentille, agréable, calme, elle n'était qu'une boule de nerfs agitées de longs tics, celui de rester immobile des heures durant ou au contraire d'aller tout faire, partout jusqu'à épuisement de ses ressources.
La Jônin n'était que changement : Lunatique, il lui fallait une seconde pour faire basculer la plus cordiale des conversations vers un sordide déballage ou une joûte qu'elle gagnait toujours.
Cependant, il arrivait que la jeune femme ait des éclairs de responsabilité et elle se départit de son amusement de gosse comme à regrets, bien qu'encore légèrement fébrile... plus pour longtemps, la voilà qui se remettait déjà à caresser Mizu, l'air un peu ailleurs, une expression un peu enfantine, mais terriblement sensuelle une fois considérée avec le reste de son corps, flottant toujours vaguement tout autour d'elle.
" Meooow. " fit le chat d'un air réprobateur, comme saisissant des pensées que rien ne transcrivait dans l'attitude de sa maîtresse.
" Pourquoi ? " demanda-elle comme en réponse à cela, mais à l'intention de Neiji.
Il avait suffit d'un instant pour ce faire, et Tsukiyo s'en émerveillait autant que de la précision avec laquelle il avait relâché son aura quelques instants auparavant.
Quel adversaire il pouvait faire... un rire franchit ses lèvres pâles pour se perdre tout autour d'eux.
Peut-être Neiji allait-il enfin comprendre qu'il avait réveillé des instincts qui devaient rester enfouis chez la Nekozaka... loin d'être de nature gentille, agréable, calme, elle n'était qu'une boule de nerfs agitées de longs tics, celui de rester immobile des heures durant ou au contraire d'aller tout faire, partout jusqu'à épuisement de ses ressources.
La Jônin n'était que changement : Lunatique, il lui fallait une seconde pour faire basculer la plus cordiale des conversations vers un sordide déballage ou une joûte qu'elle gagnait toujours.
Cependant, il arrivait que la jeune femme ait des éclairs de responsabilité et elle se départit de son amusement de gosse comme à regrets, bien qu'encore légèrement fébrile... plus pour longtemps, la voilà qui se remettait déjà à caresser Mizu, l'air un peu ailleurs, une expression un peu enfantine, mais terriblement sensuelle une fois considérée avec le reste de son corps, flottant toujours vaguement tout autour d'elle.
" Meooow. " fit le chat d'un air réprobateur, comme saisissant des pensées que rien ne transcrivait dans l'attitude de sa maîtresse.
" Pourquoi ? " demanda-elle comme en réponse à cela, mais à l'intention de Neiji.
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Anonymous
Neiji n'était aucunement surpris par la tournure des événements, les émotions de la jeune femme tendant à présent vers le sentiment brut du combat, de la volonté d'affronter un adversaire à sa taille, ses yeux brillaient d'un éclat sauvage et son visage était fendu d'un sourire qui n'avait rien à leur envier.
Les instincts de la jûnin se livrait maintenant un combat acharné à savoir lequel taperait le premier, le chat, quant à lui, le fixait d'un regard désaprobateur une expression de : tu l'as cherché dans les moustaches.
Neiji se pencha vers lui, frôlant la jeune qui s'électrisa d'une telle proximité, un doux sourire aux lèvres. Neiji aimait jouer avec son aura, et, actuellement, il était l'antithèse parfaite de la jeune Nekozaka, de cette avalanche d'émotions, toutes contradictoires mais axées vers le même but, il pouvait sentir sa rage féline gronder en elle, son envie de planter ses griffes pour le déchirer ou tout du moins essayer, surtout ça, le tester. Elle s'était électrisée du fait de la quiétude imposée de l'aura de Neiji, non qu'il fut plus calme qu'elle - en ce moment peut-être - loin de là même, mais qu'il maniait son aura comme un forgeron sa lame, il était décemment rentré dans le périmètre proche de son aura à elle et l'effet était comme celui d'un baume sur une plaie à vif.
Malgré le fait qu'en apparence elle se fut calmée, la sensualité étant à présent la seule marque la différenciant de son attitude précédente, elle ne pouvait tromper quelqu'un qui ressentait ses émotions aussi bien qu'elle même, parfois mieux car non influencé par celles-ci, le jeu allait soit délicieusement se prolonger, soit s'abréger d'un violent coup de patte.
Tout en continuant à caresser le matou, à qui cette situation convenait parfaitement, il entrouvrit ses lèvres pâle et laissa échapper un souffle léger avant de dire :
"Parce que ... Parce j'avais envie, ma curiosité étant aussi insatiable que la tienne, parce que je voulais savoir ce qu'il allait advenir, même si je savais pertinement qu'en faisant cela je risquais le peu de calme auquel j'aspirais, parce que je pense que malgré tout ça en vaut la peine."
Les instincts de la jûnin se livrait maintenant un combat acharné à savoir lequel taperait le premier, le chat, quant à lui, le fixait d'un regard désaprobateur une expression de : tu l'as cherché dans les moustaches.
Neiji se pencha vers lui, frôlant la jeune qui s'électrisa d'une telle proximité, un doux sourire aux lèvres. Neiji aimait jouer avec son aura, et, actuellement, il était l'antithèse parfaite de la jeune Nekozaka, de cette avalanche d'émotions, toutes contradictoires mais axées vers le même but, il pouvait sentir sa rage féline gronder en elle, son envie de planter ses griffes pour le déchirer ou tout du moins essayer, surtout ça, le tester. Elle s'était électrisée du fait de la quiétude imposée de l'aura de Neiji, non qu'il fut plus calme qu'elle - en ce moment peut-être - loin de là même, mais qu'il maniait son aura comme un forgeron sa lame, il était décemment rentré dans le périmètre proche de son aura à elle et l'effet était comme celui d'un baume sur une plaie à vif.
Malgré le fait qu'en apparence elle se fut calmée, la sensualité étant à présent la seule marque la différenciant de son attitude précédente, elle ne pouvait tromper quelqu'un qui ressentait ses émotions aussi bien qu'elle même, parfois mieux car non influencé par celles-ci, le jeu allait soit délicieusement se prolonger, soit s'abréger d'un violent coup de patte.
Tout en continuant à caresser le matou, à qui cette situation convenait parfaitement, il entrouvrit ses lèvres pâle et laissa échapper un souffle léger avant de dire :
"Parce que ... Parce j'avais envie, ma curiosité étant aussi insatiable que la tienne, parce que je voulais savoir ce qu'il allait advenir, même si je savais pertinement qu'en faisant cela je risquais le peu de calme auquel j'aspirais, parce que je pense que malgré tout ça en vaut la peine."
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Anonymous
Le déchirer aurait pu être amusant, le brusquer, le déstabiliser ou du moins, essayer de le faire et se heurter à un mur aurait pu être tout aussi frustrant que libérateur pour la Nekozaka qui, toujours assise contre son arbre, plia légèrement les genoux pour se relever avec une souplesse insoupçonnée, ne jetant pas même un regard à son chat qu'elle congédia avant de faire un pas vers Neiji, son regard soudain impénétrable et son aura fermée à toute inquisition, comme jamais jusqu'à maintenant elle ne l'avait été.
D'ailleurs, qui l'eût crue possible d'une telle chose ? C'était comme si ses couleurs s'effaçaient au fur et à mesure que le Jônin la regardait - ou pas.
Sa peau légèrement mate pâlissait de seconde en seconde et même ses yeux semblaient perdre de leur éclat originel tandis qu'autre chose se déployait autour d'eux, menaçant, et que les feuilles des arbres claquaient dans le vent.
La jeune femme fit un autre pas vers lui, toujours aussi extérieure, et un instant elle fut à son côté sans avoir pour autant usé de techniques ou autres stratagèmes, ayant simplement elle-même oublié qu'elle était là.
Plus petite que lui, son souffle battait contre le haut de son torse de manière régulière alors que sa main droite courait sur son cou et son épaule, provoquant des sensations physiques alors même qu'elle ne le touchait pas à proprement dire.
L'autre main, quant à elle, se tenait tout près de la hanche gauche du jeune homme - pour Tsukiyo - et remontait vers le torse en usant du même procédé que précédemment.
Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme alors qu'elle appréciait la proximité de leurs deux corps.
Restait à savoir comment son interlocuteur privilégié prendrait ce revirement soudain, et ce d'autant plus qu'en dehors de la sensation délicieuse de picotement créée par le savoir-faire et la langue qui passa doucement sur ses lèvres, son visage légèrement tourné vers le bas demeurait insondable...
D'ailleurs, qui l'eût crue possible d'une telle chose ? C'était comme si ses couleurs s'effaçaient au fur et à mesure que le Jônin la regardait - ou pas.
Sa peau légèrement mate pâlissait de seconde en seconde et même ses yeux semblaient perdre de leur éclat originel tandis qu'autre chose se déployait autour d'eux, menaçant, et que les feuilles des arbres claquaient dans le vent.
La jeune femme fit un autre pas vers lui, toujours aussi extérieure, et un instant elle fut à son côté sans avoir pour autant usé de techniques ou autres stratagèmes, ayant simplement elle-même oublié qu'elle était là.
Plus petite que lui, son souffle battait contre le haut de son torse de manière régulière alors que sa main droite courait sur son cou et son épaule, provoquant des sensations physiques alors même qu'elle ne le touchait pas à proprement dire.
L'autre main, quant à elle, se tenait tout près de la hanche gauche du jeune homme - pour Tsukiyo - et remontait vers le torse en usant du même procédé que précédemment.
Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme alors qu'elle appréciait la proximité de leurs deux corps.
Restait à savoir comment son interlocuteur privilégié prendrait ce revirement soudain, et ce d'autant plus qu'en dehors de la sensation délicieuse de picotement créée par le savoir-faire et la langue qui passa doucement sur ses lèvres, son visage légèrement tourné vers le bas demeurait insondable...
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Hyodo Hyakujuunoou
Hyodo était assis à une terrasse. Une heure avant, il avait quitté un bunker abandonné en laissant lui un tas de gamins gémisseurs, et il s’était aventuré dans le village. N’étant jamais venu ici, et encore un peu fâché de la ruse que Tsukiyo avait utilisé pour le faire venir, il s’était dit que faire un peu de tourisme serait une bonne chose. Après tout c’était elle qui l’avait fait venir, elle n’avait qu’à le chercher maintenant… Le Jounin avait visité les deux temples centraux de la ville, un délice pour les yeux. Lui qui avait longtemps vécu dans la rue ne pouvait s’empêcher de vouer une grande sympathie pour les moines. Combien de fois avait-il été recueilli dans le temple de l’Est d’Iwagakure, d’ailleurs c’était le seul endroit ou les nécessiteux avaient le droit d’entrer, le seul endroit ou les pauvres, comme les riches étaient égaux, aux yeux de Dieu.
Puis il avait erré quelque temps dans la ville avant de finir à cette terrasse, pour siroter un bon thé à la menthe. Il avait croisé un vendeur de sucreries et n’avait pu s’empêcher d’acheter encore un bon paquet de … sucettes à la menthe. Il était entrain de les compter lorsqu’un jeune garçon avait traversé la terrasse, évitant de justesse une serveuse et une table, tout en criant : « Juuuuuuun, viens viiiiite, y’a deux gars tout forts qui s’affronteeeeeent. »
Hyodo sourit intérieurement. Il aimait les combats et regarder un duel était pour lui une grande distraction. * Je crois que j’ai trouvé de quoi m’amuser. Si ils sont vraiment forts peut-être même que je trouverais un adversaire à ma taille. Après tout il y a pas mal de Shinobis des autres villages ici… Quoi qu’il en soit, allons y avant que le duel soit fini.*
Il se leva et paya l’addition, puis il demanda au gamin où le combat avait lieu. Le petit enfant mit quelques secondes à répondre, impressionné comme il l’était par le colosse d’Iwa. « C’est là bas M’sieu, à la fin de la rue… Tiens, y’a une nana qu’a le même bandeau que … » dit-il.
Hyodo n’avait pas attendu la fin de la phrase pour disparaître, et, quelques secondes plus tard, il arrivait sur les lieux du combat. Il décida qu’il fallait mieux rester à distance pour observer le duel. Lorsqu’il fut proche des deux personnes une drôle de sensation l’envahit.
* Cette aura… c’est donc elle. Hum, on va voir comment elle s’en sort. C’est donc un Jounin en face d’elle… Je n’aime pas ça. Le combat j’ai rien contre, mais là, elle va le démolir…* pensa Hyodo en arrivant dans le feuillage d’un arbre environnant. Il avait décidé que ce combat n’avait pas raison d’être, et inconsciemment il ne savait pas pourquoi… La jalousie n’était pas un sentiment qu’il connaissait à vrai dire, et y goûter pour la première fois était quelque chose de nouveau et … désagréable. Il sortir un Kunai, et utilisa un de ses techniques préférées.
« Technique d’Invisibilité des Armes. » dit-il en même temps qu’il tenait d’une main l’arme, et de l’autre il effectuait des demi signes. Après avoir fait disparaître l’objet, il le lança, de toutes ses forces, vers le sol, entre les deux combattants. Si la précision n’était pas son fort, à cette distance il ne pouvait pas rater. Le Projectile fusa entre les jambes des duellistes et fit exploser le sol terreux sous leurs pieds, provoquant une petite onde de choc et un gros nuage de poussière.
« Je crois que vous vous êtes assez amusé, pas vous ? » dit il, toujours assis sur une branche basse de l’arbre un sourire un peu forcé aux lèvres...
Puis il avait erré quelque temps dans la ville avant de finir à cette terrasse, pour siroter un bon thé à la menthe. Il avait croisé un vendeur de sucreries et n’avait pu s’empêcher d’acheter encore un bon paquet de … sucettes à la menthe. Il était entrain de les compter lorsqu’un jeune garçon avait traversé la terrasse, évitant de justesse une serveuse et une table, tout en criant : « Juuuuuuun, viens viiiiite, y’a deux gars tout forts qui s’affronteeeeeent. »
Hyodo sourit intérieurement. Il aimait les combats et regarder un duel était pour lui une grande distraction. * Je crois que j’ai trouvé de quoi m’amuser. Si ils sont vraiment forts peut-être même que je trouverais un adversaire à ma taille. Après tout il y a pas mal de Shinobis des autres villages ici… Quoi qu’il en soit, allons y avant que le duel soit fini.*
Il se leva et paya l’addition, puis il demanda au gamin où le combat avait lieu. Le petit enfant mit quelques secondes à répondre, impressionné comme il l’était par le colosse d’Iwa. « C’est là bas M’sieu, à la fin de la rue… Tiens, y’a une nana qu’a le même bandeau que … » dit-il.
Hyodo n’avait pas attendu la fin de la phrase pour disparaître, et, quelques secondes plus tard, il arrivait sur les lieux du combat. Il décida qu’il fallait mieux rester à distance pour observer le duel. Lorsqu’il fut proche des deux personnes une drôle de sensation l’envahit.
* Cette aura… c’est donc elle. Hum, on va voir comment elle s’en sort. C’est donc un Jounin en face d’elle… Je n’aime pas ça. Le combat j’ai rien contre, mais là, elle va le démolir…* pensa Hyodo en arrivant dans le feuillage d’un arbre environnant. Il avait décidé que ce combat n’avait pas raison d’être, et inconsciemment il ne savait pas pourquoi… La jalousie n’était pas un sentiment qu’il connaissait à vrai dire, et y goûter pour la première fois était quelque chose de nouveau et … désagréable. Il sortir un Kunai, et utilisa un de ses techniques préférées.
« Technique d’Invisibilité des Armes. » dit-il en même temps qu’il tenait d’une main l’arme, et de l’autre il effectuait des demi signes. Après avoir fait disparaître l’objet, il le lança, de toutes ses forces, vers le sol, entre les deux combattants. Si la précision n’était pas son fort, à cette distance il ne pouvait pas rater. Le Projectile fusa entre les jambes des duellistes et fit exploser le sol terreux sous leurs pieds, provoquant une petite onde de choc et un gros nuage de poussière.
« Je crois que vous vous êtes assez amusé, pas vous ? » dit il, toujours assis sur une branche basse de l’arbre un sourire un peu forcé aux lèvres...
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Anonymous
Tsukiyo se hérissa brutalement, que se passait-il... rien, ce n'était sans doute rien, et laissant courir ses pensées à tout autre niveau, la jeune femme releva doucement le isage pour regarder Neiji, se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir y lire... parfois il s'agissait d'adoration, d'autres fois de dégoût, et au fond d'elle-même la Jônin savait qu'elle ne supporterait pas cette dernière éventualité.
Peut-être n'était-elle pas attirée par Neiji à proprement parler, peut-être n'était-ce qu'une sorte de test de ses capacités... de séduction ?
Mais qui irait lui refuser quoi que ce soit... ? A cette... femme... maintes fois pourtant elle s'était retrouvée face à cet épithète : Monstre.
Monstre.
Monstre.
Monstre.
Monstre...
Concentrée sur sa respiration pour faire refluer les souvenirs qui s'imposaient à elle, Tsukiyo fit complètement abstraction de la présence de son collègue, alors même que sa main droite descendait lentement le long du bras du jeune homme de Yukigakure no Sato, tandis que l'autre s'était enfin posée sur sa taille, et qu'elle ne se rendait même pas compte de l'effet que son aura affluante et refluante pouvait faire sur lui...
Le sol sembla s'effondrer sous ses pieds et la jeune femme brusquement se détacha de Neiji, une peur viscérale semblant l'animer l'espace d'un instant, qui provoqua une réaction quasi-instantanée de Mizu qui se tint prêt à se jeter sur celui qui troublait le... recueillement douloureux de sa maîtresse... mais il cessa rapidement de se hérisser pour se tourner vers Tsukiyo qui regardait Hyodo, un air froid sur le visage alors même qu'il la savait ô combien fragile.
Elle fit un pas vers l'endroit où il se tenait. Une chose sembla briller au coin d'un de ses yeux mais une ombre la dissimula et l'instant suivant il n'y avait plus rien.
Un autre pas, plus hésitant. Encore un. Comme s'ils coûtaient... cher à la fière Jônin... comme si elle redoutait plus que tout ce qui allait se passer maintenant.
Sans doute avait-elle trop joué cette fois... Hyodo... ressentait-il de la douleur ? La jeune femme ne parvenait pas à le percevoir, mais ses propres battements de coeur lui étaient douloureux, et le sang qui se répendait dans son corps également.
Un pâle sourire tenta de franchir ses lèvres, mais ces dernières restèrent de marbre. Toujours ce regard, glacial, ne laissant rien filtrer comme son aura. Seuls, ses gestes pouvaient trahir son mal...
" Tu as sans doute raison. "
Sa voix était légèrement rauque. Elle le voulait, maintenant. Près d'elle...
Peut-être n'était-elle pas attirée par Neiji à proprement parler, peut-être n'était-ce qu'une sorte de test de ses capacités... de séduction ?
Mais qui irait lui refuser quoi que ce soit... ? A cette... femme... maintes fois pourtant elle s'était retrouvée face à cet épithète : Monstre.
Monstre.
Monstre.
Monstre.
Monstre...
Concentrée sur sa respiration pour faire refluer les souvenirs qui s'imposaient à elle, Tsukiyo fit complètement abstraction de la présence de son collègue, alors même que sa main droite descendait lentement le long du bras du jeune homme de Yukigakure no Sato, tandis que l'autre s'était enfin posée sur sa taille, et qu'elle ne se rendait même pas compte de l'effet que son aura affluante et refluante pouvait faire sur lui...
Le sol sembla s'effondrer sous ses pieds et la jeune femme brusquement se détacha de Neiji, une peur viscérale semblant l'animer l'espace d'un instant, qui provoqua une réaction quasi-instantanée de Mizu qui se tint prêt à se jeter sur celui qui troublait le... recueillement douloureux de sa maîtresse... mais il cessa rapidement de se hérisser pour se tourner vers Tsukiyo qui regardait Hyodo, un air froid sur le visage alors même qu'il la savait ô combien fragile.
Elle fit un pas vers l'endroit où il se tenait. Une chose sembla briller au coin d'un de ses yeux mais une ombre la dissimula et l'instant suivant il n'y avait plus rien.
Un autre pas, plus hésitant. Encore un. Comme s'ils coûtaient... cher à la fière Jônin... comme si elle redoutait plus que tout ce qui allait se passer maintenant.
Sans doute avait-elle trop joué cette fois... Hyodo... ressentait-il de la douleur ? La jeune femme ne parvenait pas à le percevoir, mais ses propres battements de coeur lui étaient douloureux, et le sang qui se répendait dans son corps également.
Un pâle sourire tenta de franchir ses lèvres, mais ces dernières restèrent de marbre. Toujours ce regard, glacial, ne laissant rien filtrer comme son aura. Seuls, ses gestes pouvaient trahir son mal...
" Tu as sans doute raison. "
Sa voix était légèrement rauque. Elle le voulait, maintenant. Près d'elle...
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Hyodo Hyakujuunoou
Hyodo ferma les yeux pendant un instant. Lorsqu'il les rouvrit elle s'était approchée, et même s'il ne le montra pas, il était satisfait. Il ne savait pas s'il avait fait passer le message, mais il pensait que oui, qu'elle avait compris. Elle savait qu’il avait eu mal, et cette approche en était la preuve. Le Jounin ne savait pas ce qu’il devait faire maintenant. Cette femme n’était que mystère pour elle. A chaque fois qu’il anticipait un acte de sa part, elle faisait le contraire, comme si c’était son plus grand jeu.
Il se demanda s’il avait bien fait mais se ravisa. Il avait bien fait, il en était sur. Ce n’était qu’en lui montrant sa douleur qu’elle pourrait comprendre. Et ce qu’il avait fait là, en faisant exploser le sol sous leurs pieds, était une preuve de son attachement à elle. Il aurait pu se battre contre l’homme, mais à quoi bon lui donner une importance qu’en réalité il n’avait pas ? C’était un simple jouet, dans les mains de Tsu.
* Ne pas lui donner d’importance. Il n’est rien, ni personne. Il est peut-être dangereux mais je ne pense pas qu’il ose s’attaquer à moi. Il est sûrement très fort, mais … je me bat pour quelque chose à laquelle je tiens vraiment… Et comme me le disais mon maître : « Vous battre pour quelqu’un à qui vous tenez est le plus grand des bonus. »*
Hyodo soupira, et se passa une main devant le visage. Il sauta de l’arbre et s’approcha de Tsukiyo, et, lorsqu’il fut à un mètre, il sourit enfin. Non pas un sourire forcé, comme quelques secondes auparavant, ni un sourire hypocrite. Non c’était un vrai sourire, un de ceux qui provenaient du fin fond de son être. Maintenant il s’en voulait…
* J’y suis peut-être allé un peu fort, avec elle mais aussi avec lui. Même si on dirait un bloc de granit, j’oublie qu’elle n’est pas indestructible. Si je veux la préserver, il faudra que je prenne un peu sur moi-même… ou pas.* pensa-t-il en s’approchant d’elle.
Il regarda alors son « rival » d’un regard neutre, par-dessus les épaules de Tsukiyo. Il ne lui en voulait pas. Lui aussi était tombé dans les mailles du filet que Tsu laissait traîner derrière elle. Mais maintenant il devait partir, et Hyodo allait lui faire vite comprendre… Souriant de nouveau, il dit à la Jounin d’Iwa « On y va ? », et, sans attendre de réponse, se doutant qu’elle allait être positive, il fit les deux foulées qu’il restait entre elle et lui à la vitesse de la lumière et la prit par la taille et déposa un baiser sur ses lèvres.
Quelques secondes plus tard, ils marchaient vers le centre ville, laissant derrière eux un homme qui sans doute se demandait qui était ce colosse.
Il se demanda s’il avait bien fait mais se ravisa. Il avait bien fait, il en était sur. Ce n’était qu’en lui montrant sa douleur qu’elle pourrait comprendre. Et ce qu’il avait fait là, en faisant exploser le sol sous leurs pieds, était une preuve de son attachement à elle. Il aurait pu se battre contre l’homme, mais à quoi bon lui donner une importance qu’en réalité il n’avait pas ? C’était un simple jouet, dans les mains de Tsu.
* Ne pas lui donner d’importance. Il n’est rien, ni personne. Il est peut-être dangereux mais je ne pense pas qu’il ose s’attaquer à moi. Il est sûrement très fort, mais … je me bat pour quelque chose à laquelle je tiens vraiment… Et comme me le disais mon maître : « Vous battre pour quelqu’un à qui vous tenez est le plus grand des bonus. »*
Hyodo soupira, et se passa une main devant le visage. Il sauta de l’arbre et s’approcha de Tsukiyo, et, lorsqu’il fut à un mètre, il sourit enfin. Non pas un sourire forcé, comme quelques secondes auparavant, ni un sourire hypocrite. Non c’était un vrai sourire, un de ceux qui provenaient du fin fond de son être. Maintenant il s’en voulait…
* J’y suis peut-être allé un peu fort, avec elle mais aussi avec lui. Même si on dirait un bloc de granit, j’oublie qu’elle n’est pas indestructible. Si je veux la préserver, il faudra que je prenne un peu sur moi-même… ou pas.* pensa-t-il en s’approchant d’elle.
Il regarda alors son « rival » d’un regard neutre, par-dessus les épaules de Tsukiyo. Il ne lui en voulait pas. Lui aussi était tombé dans les mailles du filet que Tsu laissait traîner derrière elle. Mais maintenant il devait partir, et Hyodo allait lui faire vite comprendre… Souriant de nouveau, il dit à la Jounin d’Iwa « On y va ? », et, sans attendre de réponse, se doutant qu’elle allait être positive, il fit les deux foulées qu’il restait entre elle et lui à la vitesse de la lumière et la prit par la taille et déposa un baiser sur ses lèvres.
Quelques secondes plus tard, ils marchaient vers le centre ville, laissant derrière eux un homme qui sans doute se demandait qui était ce colosse.