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Hyodo Hyakujuunoou

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Douuuucement.

Bon voila le topic est bien parti, mais évitez de poster 40 trucs sinon ... ca ne servira à rien. En effet, là j'ai pas envie de me tapper trois posts ( surtout que je dois en faire un moi aussi, meurd...) donc si ca continue avant ce soir on en aura ... trop, et le topic tombera dans les abymes de la section Zuimachin no Sato...
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Urusaki Noro
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Message par Urusaki Noro »

Bonjour.

Loin de moi l'idée de vous faire c.... vous embetter, mais je me permet d'intervenir rapidement.

Tout d'abord je vois à peu près ce que voulait dire Haeru (ou Haoru ??? je sais jamais, ils me soulent les deux avec leurs lettre de différence^^) en parlant de jalousie et ce qui va avec, et à mon avis il y a une part de vérité dans ce qu'elle dit. Mais je pense aussi que nous sommes tous assez mature pour pouvoir surmonter cela sans trop de difficultés (là je m'avance beaucoup^^)

Deuxièmement, puisque le topic est lancé, il serait peut-être plus préférable d'arrêter de balancer les textes qui vous plaisent en quote.
Cela pour 3 raisons:
-On ne voit pas les smileys, et on se retrouve avec des :trèsencolère sans trop comprendre...
-On ne voit pas le code des couleurs.
-Ca fait mal aux yeux de lire car c'est plus petit.

Voilà, donc je pense qu'il faudrait tout simplement donné le lien de la page qui vous intéresse, ainsi que le nom et l'emplacement du posteur et du post.
De plus cela empêchera de se trouver sur un topic méga long avec des quote de partout.

Merci de m'avoir écouter, à vous de voir si ce que j'ai dit vaut la peine d'être retenue.

Meilleurs salutations.



edit Haeru : maiiiiiiis, me confondre avec Haoru >___________<.
Déjà, tu regardes les avatars, Haeru c'est un perso féminin et Haoru un perso masculin XD


edit Noro: Ouais maintenant j'ai trouvé un moyen mémorechique.... nérotechnique.... heu momotechnique..... heu un moyen d'y arriver^^
En fait dans dans Haeru y'a un "e" et dans Haoru un "o", et le "e" de Haeru c'est le "e" de féminin, donc on s'y retrouve facilement après.
Miantenant promis je ne me trompe plus 8)
Dernière modification par Urusaki Noro le ven. 26 août 2005, 12:48, modifié 1 fois.
Urusaki Noro, genin à Yuki, du clan Urusaki.

Il est facile de vaincre son ennemi, le vrai triomphe est de devenir son ami.
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Shiori Akiyamazaki
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Message par Shiori Akiyamazaki »

Oui mais certains posts ne sont pas accessibles à tout le monde. Et il est vrai comme dit Hyodo qu'il faut pas mettre juste les posts qui nous plaisent, sinon y en aura des tas... il faut mettre... THE posts vu que c'est ZE very best of:p (bon ceux qui ont été postés là sont djà excellents ya des gens qui rp trop bieeeen :super: )
Shiori-Yakura-Kaori Akiyamazaki, genin d' Iwagakure no sato



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Urusaki Noro
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Message par Urusaki Noro »

Oui mais certains posts ne sont pas accessibles à tout le monde.
Le pire c'est que c'est vrai.

Bon alors oubliez ce que j'ai dit...
Urusaki Noro, genin à Yuki, du clan Urusaki.

Il est facile de vaincre son ennemi, le vrai triomphe est de devenir son ami.
Haeru Mikomi

Message par Haeru Mikomi »

le bouton répondre en citant est votre ami. Vous enlevez les balise de citation et le texte garde sa mise en forme.
Seirô-Mirumoto Akira
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Message par Seirô-Mirumoto Akira »

réponses :
  • le texte de Shaka n'est accessible qu'aux Konohaïens.
    Il me l'a gentiment transmis il y a longtemps. Ce n'est que justice que je le diffuse aujurd'hui.
  • Tu peux désormais relire son texte original (grâce à la tech géniale d'HaEru) avec couleurs et smilaids.
  • La compétition est inévitable... SI VOUS DECIDEZ DE LE VOIR AINSI !
    Lorsque j'écoute un best of de Queen, je me dis pas que leurs autres chansons sont merdiques. Ici, non plus, on ne vote pas, on ne doit pas faire de commentaires (ce que vous faites pourtant depuis le début). On est là pour POSTER et LIRE des morceaux de bravoure. Il y en a que ça gêne ?
    Ils l'ont dit, libre à eux de le voir d'un mauvais oeil et de passer leur chemin,
    puisque pour eux la jalousie leur sera inévitable.
    Dire que je préfère Zola à Balzac ne choque personne, là, il n'est même
    pas question de préférence, simplement de coups de coeur.
A bon entendeur...

Moloch - bookworm
Moloch - Etudiant Yukien
L'ours de Yuki ! (merci Tytö)^^
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Leolio Mimura
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Message par Leolio Mimura »

Moi je trouve l'idée sympatoche et je félicite ceux qui l'ont eu (veux voir un de mes textes publiés :lol: :lol: :lol: :lol: )

Non mais sincèrement c'est une bonne idée parce qu'il est vrai que certain post super bien ou des posts bien fendards mais tous n'y ont pas accès et tout le monde ne lis pas tous les posts dont il a les accès.

Nous, modos, nous voyons au contraire tous les posts, et grace à cela on a pu voir de très très bon posteur, certains netement meilleur que ceux des modos.

edit Hyodo: Parle pour toi, tout le monde sait que c'est moi le meilleur. Sinon je supprime leur compte Mwhahaha

Kyoui pour Hyodo: Et Marlène aussi tant qu'on y est ?!!!

***Edit de Leolio : j'hallucine tu as édité mon post là????? Vous savez pas ce que vous encourez les gars.....au moins 10 ans de malheurs et encore je ne parle même pas des pluies de sauterelles géantes venues de Dieppe pour vous dévorer lol***

Ce topic restera que si les règles sont respectées. Donc on ne met pas un RP mauvais pour se moquer et on ne fait pas de commentaires contre une personne.

Tout ceci doit rester dans une ambiance joviale et apaisante pour nos petites têtes.


Juste pour répondre à Urusaki Noro, fais gaffe parce qu'elle est pas commode la demoiselle Haeru et la confondre avec l'autre baka voilà l'affront..... d'ailleurs confondre n'importe qui avec Haoru sur ce site c'est la pire insulte qui soit.
:lol: :lol:


C'était un communiqué du service des administrateurs de NNS
(Leolio dans l'attente d'être publié :lol: :lol: )
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Message par Leolio Mimura »

Bon on va continuer de mettre des posts sympas.

Voilà un texte de Grata, un ancien de Suna, à l'hôpital de Suna. Ce texte bien qu'étant relativement court m'a fait rire. Ou comment un jeune garçon est proche de la déprime et finit par en chuter.
Un RP très marrant, dommage qu'il n'est pas continué car ses RP me faisaient rire (je suis peut être le seul à trouver ça drôle vous me direz).....

Comme quoi un texte court peut être très bien.......




Grata arriva enfin à l'hôpital après moult pérégrination en ville. Il gardait la main sur sa hanche blessée, et la tête basse. Il se déplaça lentement jusqu'a l'accueil.

* . . . j'en ai marre de ces gamins, de ce prof . . . de ces gens dans la rue. Ils bouffent tout l'air. Ils s'installent et prennent le plus de place possible. J'en ai marre . . .*

L'hôtesse salut Grata.

"Tien, vous revoilà vous. Ca fait longtemps qu'on ne vous avez pas vue. Vous pouvez me redonner votre nom? Vous étiez venu pour quoi déjà . . ."

L'hôtesse reprenait d'anciens dossiers et elle les inspectait un à un.

"C'était pour un entorse non? Ou autre chose à la cheville . . ."

Grata restait devant l'hôtesse.

* . . . et ce gros tas qui ne bougeait pas son chariot, il déchargeait ses cagots de fruits abîmés par la chaleur . . . l'odeur était insupportable, lui même puait plus que ces fruit pourris. Et il gênait, au milieu, comme tous les autres . . . *

L'hôtesse remarqua le pansement sur l'oreille.

"Voilà, j'y suis! Vous étiez venus pour cette vilaine blessure . . ."

Il rabattu les dossiers et en sortie un du lot, puis elle l'ouvrit.

"Mhm . . . Grata. Voila, vous étiez venu suite à une blessure de kunai. Le docteur vous avez demandé de repasser le lendemain et . . . et je ne vois nul part la trace de votre visite. Vous avez revu le docteur ?"

*. . . mais ils puent tous autant qu'ils sont. Ils s'amassent comme des mouches et ils restent dans leur puanteur. Ils suffoquent, ils étouffent . . . pourriture.*

"Jeune homme?! Vous m'écoutez? Le docteur, quand l'avez vous vu ?"

Grata releva la tête. Il visita l'hôpital du regard puis il se retourna vers l'hôtesse.

" . . .

J'ai pas vu de docteur."


"Hoo . . .mais ce n'est pas du tout sérieux ça. La plaie s'est peut être infecté. J'espère que vous vous en étiez occupé, il fallait la nettoyer tous les jours pour éviter les risques d'infections. Mais vu la couleur du pansement, j'ai un gros doute quand à la saineté de votre oreille. Vous allez monter directement voir le docteur. je vais l'appeler, il va vous recevoir de suite.
Dirigez vous vers la droite et prenez le second escalier. A l'étage, ce sera la première porte sur votre gauche. Vous verrez un panneau devant l'entrée. Ne tardez pas, allez y de suite!"


D’autres personnes se présentaient à l'accueil. Grata se dirigeât donc vers les escaliers.

*Même ce bâtiment, lieu de repos, est animé par ces mêmes personnes qui prennent la place. Ils sont rangés dans des chambres, ils sont numérotés . . . pour pisser, ils appuis sur un bouton. Ils polluent le calme. Ils s'installent partout. Partout où ils trouvent de la place, partout où ils vont, ils s'installent et . . .

Grata était presque au sommet de l'escalier. Lorsqu'il posât son pied sur la marche, celui ci glissa, comme si le sol se dérobait sous ses pieds.
Il roula sur le coté, et en tentant de se rattraper il passât par dessus la rampe. La chute fut violente.

[HRP: non, il n'est pas mort :D ]
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
Seirô-Mirumoto Akira
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Message par Seirô-Mirumoto Akira »

...
Bon Léolio, est-ce vraiment ce texte qui t'as fait rire ?
... on a dit sans commentaires, donc je ne dis rien.

Nous n'avons pas accès a ses Rps, seulement à sa bio. Myaka.
Faites-vous votre propre opinion :
Myaka Hakitchi a écrit :Nom: Hakitchi

Prénom:Myaka

Age: 15 ans

Physique: Image

Myaka est une jeune fille frêle et maigre, pas très grande elle a des yeux d'un gris très clair presque blanc. Et des cheveux d’une couleur assez spéciale, qui est entre le brun et le violet. Elle est la parfaite incarnation de la fragilité au premier abord. Elle paraît avoir une constitution fragile, mais elle peut se révéler très forte. Mais on ne sait pas trop si cette force est vraiment sienne.

Caractère:
Myaka est une fille très changeante, elle rit, elle pleure, elle crie. Myaka est folle, atteinte de schizophrénie et souffrante d’hallucinations c’est une fille dangereuse. Elle abrite en elle plusieurs facettes. Une Myaka gentille souriante et qui rit de bon cœur, celle de son enfance. Une autre, qui pleure qui se coupe du monde et qui évite le contact à tout prix. Et une dernière des plus mystérieuse qu’elle-même ne saurait dire si elle lui appartient vraiment ou non. Une guerrière avide de sang, prête à tout pour tuer, qui crie et qui réclame sans cesse le sang.

Nindo:
Mourir ne veut rien dire, il suffit de vivre au travers de quelqu'un

Histoire:
Myaka Hakitchi dans son enfance était une fille joyeuse qui aimait la vie et voyait le monde en couleurs avant que tout bascule dans sa vie.

Sa mère, Tsukena, travaillait comme vendeuse dans une petite quincaillerie dans le centre de Konoha. Les revenus de Tsukena leur permettaient de vivre correctement à elle deux dans leur petit appartement aux abords de la ville et ses horaires étaient idéals puisque la petite fille était à l’école quand sa mère travaillait.

Myaka ne connaissait pas son père, sa mère avait toujours refusé d’aborder le sujet avec elle. En lui débitant les habituelles excuses si simples qu’ont les grandes personnes.

« Mya, je t’expliquerais quand tu seras plus grande. Tu ne pas comprendre.»

Mais Tsukena était une mère aimante et attentionnée, et cet amour comblait parfaitement l’absence du père. Ce qui n’empêchait pourtant pas la petite fille de harceler sa mère de questions, qui refusait toujours d’y répondre.

Myaka avait une amie nommé Aika. Toutes deux passaient leurs journée ensembles sur les bancs de la petite école, puis le soir, elles jouaient jusqu’au couché du soleil ou elle se quittaient pour rentrer chacune de leur côté, ou parfois l’une venait passer la nuit chez l’autre. La vie passait tranquillement pour les deux petites filles qui ne se quittaient pas, et s’aimaient sincèrement. Chacune, fille unique, voyait l’autre comme la sœur qu’elles n’avaient pas eu -ou presque, puisqu’elles s’étaient trouvées. Doucement leurs années d’enfances s’écoulèrent à Konoha. Vivants dans leur monde bien à elles, coupé du monde réel, elles grandissaient protégé de tout par leur innocence et l’amour qu’elles se vouaient l’une à l’autre.

Les mères des petites s’entendaient elles aussi. Les parents d’Aika tenaient une échoppe en fasse de la quincaillerie ou travaillait Tsukena .Les deux femmes s’attendrissaient devant les petites filles. Elles souriaient en les emmenant au parc quand elles se tenaient la main.

A l’age de 8 ans, réfugiées dans leur cachette – une vielle battisse à quelques minutes de leur école- les deux petites filles passaient leur soirées dans cette maison complètement délabré, au toit brûlé et aux vitres cassées. Un soir d’été Myaka et Aika se lièrent. Toutes les deux s’entaillèrent la main et répétèrent ceci en liant leur sang :

« Par ce sang échangé, à jamais nous auront lié nos deux existences,
Par ce sang échangé, à jamais Myaka et Aika seront ensembles.
Si un jour nous devrions nous séparer alors que chacune ne vive plus que l’ombre de sa vie
Car l’une sans l’autre nous ne pouvons vivre une vie à part entière »


A l’age de neuf ans, les deux petites filles furent inscrites à l’école ninja sur une volonté commune. Elles passèrent donc une année à l’académie de Konoha. Où elles se moquaient d’un garçon nommé Faru, un type bizarre qui était sans cesse à les épier. Elle couraient dans les rues en riant et essayaient de lui échapper. Mais toujours à un moment ou à un autre il était là à regarder dans leur direction. Souvent elle l’avait vu se battre à l’académie, ce garçon était très effrayant, Myaka en avait un peu peur mais Aika qui était la plus courageuse elle ne s’en souciait guère. Et elle avait confiance en Aika alors elle l’écoutait et continuait toutes les deux de rigoler du jeune garçon bizarre, qu’elles prenaient pour un pervers.

Les deux petites faisaient tout ensemble et ne se quittaient plus, le temps passait ainsi mais quelque chose vint troubler cette si douce harmonie.

Aika disparue dans sa dixième année. Myaka privée de son amie qu’elle prenait pour une sœur, sombra dans la dépression ; refusant de sortir de chez elle en s’enfermant dans un profond mutisme. Tsukena essayât en vain de la consoler, de lui parler, de lui changer les idées. Elle essayât tous les moyens, elle allât voir des médecins, mais rien n’y fît. Elle lui achetât même un chat en pensant que l’animal remonterait le moral de sa fille quand elle était seule. La mère pensait-elle aussi en faisant cela essayer de faire oublier son absence quand elle devait aller travailler ? Oui, car Tsukena s’en voulait de laisser sa fille ainsi pour aller travailler mais il fallait bien vivre. Myaka perdait du poids, et avait une allure squelettique -qu’elle garde encore aujourd’hui d’ailleurs- dans les meilleurs jours elle pouvait avaler la moitié d’un bol de ramens.
Des jours passèrent ainsi, elle se nourrissait à peine passant des heures dans le coin le plus sombre de sa chambre rose aux volets fermés, avec dans ses bras le chat que sa mère lui avait offert. Le chat ne portait bien sûr pas de nom – comment aurait-elle pus lui donner un nom ? Le chat se révélât être un compagnon fidèle, ne la laissant seule que quelques heures la nuit pour sortir. Blottit dans le coin de la chambre elle caressait ce chat en regardant le vide de ses yeux devenu terne et sans vie. Elle se mourait à petit feu.

Quelques semaines plus tard Aika fût retrouvée morte : assassinée. Un meurtre d’une sauvagerie indescriptible, et le coupable ne fût pas retrouvé. Aika fût assassiné par un véritable boucher, elle fût éventrée, les entailles de la lame étaient présentes partout sur son petit corps. Son visage seul fût épargné par ce boucher sanguinaire.

Myaka qui refusait de croire à la mort de son amie, tombât un jour sur des photos parues dans un journal alors qu’elle cherchait une gamelle de lait pour son chat sans nom. Bouleversée par l’atrocité de la scène. Elle ne supportât pas la vue de son amie ainsi lacérée ou seul son visage blanc était épargné, ses yeux étaient révulsés. Elle fût prise d’un malaise et sa mère la conduisit à l’hôpital. Mais son état empirait, contrairement à ce que l’on pouvait croire.
Elle avait retrouvé sa voix. Les médecins disaient que le choc de la disparition de Aika l'avait rendu muette, se sentant trop seule et délaissé pour parler, et que la vue des photos du corps de son amie avait provoqué un deuxième choc, qui lui avait rendu la voix. Un psychologue avança une théorie selon laquelle, la subite disparition de Aika qui était un déchirement pour Myaka n'était pas accépté par la jeune fille, et que attendant le retour de son amie avait fait un blocage- de sa voix en l’occurrence. Qu'elle avait mit sa vie en suspend en attendant le retour d'Aika. Et la photo de la morte fût en quelque sorte son réveil et elle pouvait maintenant reprendre sa vie et entamer un deuil.

Pourtant les médecins s’étaient trompés. Les yeux vidés de Myaka ne s’étaient pas remplis à nouveau de couleurs. Sa mère trop heureuse d’entendre sa fille à nouveau parler lui accordait tout. Elle ne s’inquiétait pas qu'elle se mette à parler toute seule, en se disant que c’était bien normal après toutes ces semaines sans rien dire. Elle ne disait rien non plus quand elle disparaissait toute la nuit en pensant qu’après tout ce temps enfermé c’était normal qu’elle veuille prendre l’air. La pseudo guérison de sa fille la réjouissait trop pour qu’elle se rendre compte de ce qui se passait vraiment.

Mya avait perdue la raison, elle parlait seule, parfois à des choses qu’elle seule pouvait percevoir. Le jour elle se portait plutôt bien, mais la nuit était parfois atroce. Elle partait, guidée par on ne sait qu’elle voix, et revenait le lendemain griffée, écorchée, les mains ensanglantées, tremblante de tout son être, et pleurant. Les larmes lavaient son visage couvert de terre. Jamais elle ne révélait ce qu’elle avait fait, en répétant simplement qu’elle ne se souvenait plus et que Aika lui avait demandé de le faire.

Elle passait d’un état à un autre. Un jour elle riait à n’en plus pouvoir, le lendemain elle pleurait toutes les larmes que son frêle corps pouvait contenir. Elle avait des crises de démences qui la rendait aussi dangereuse pour elle que pour les autres : elle pouvait attaquer quelqu’un comme se trancher les veines. Le résultat était là : « … l’ombre de sa vie. » Elle n’était plus en effet qu’une ombre errante. Une enfant aux allures squelettiques qui marchait sans but dans les rues.

C’est ainsi que se déroulèrent les années suivantes, Tsukena s’étant rendue compte de l’état déplorable de sa fille l’emmena voir encore quelques spécialistes qui souhaitaient tous l’enfermer. Mais la mère refusait de laisser son enfant seule dans une chambre d’hôpital. Elle la gardait donc à la quincaillerie la journée, pour ne pas la laisser seule dans l’appartement lorsque Myaka n’avait pas cours. Assise sur un tabouret près du comptoir elle regardait les clients passer, l’air morne, et quand la mère de Aika passait par là elle se montrait agressive ou allait se cacher dans le fond de la remise agitée de spasmes incontrôlables. Tsukena ne comprenait pas le comportement de sa fille essayât de parler avec elle de nombreuses fois mais jamais elle ne révélait quelque chose.

Les journées à l’académie n’étaient elles non plus pas tranquilles, elle ne voulait pas approcher les autres élèves, les professeurs ne faisaient pas attention à elle tant qu’elle ne dérangeait pas. Myaka se devait d’aller à l’académie, pour Aika qui l’aurait voulu, alors elle se forçait pour sa sœur de sang. Il fallait apprendre et ses méthodes effrayaient quelques peu les autres élèves. Un moment elle tremblait devant son adversaire, un autre elle se jetait dessus avec des cris à vous en exploser les tympans. Ces changements de comportement la faisaient passer pour un monstre, elle était complètement exclue. Mais cela ne lui déplaisait pas car elle n’avait jamais aimé tous ces petits mioches comme il faut. Elle passait de l’ignare de service à la machine à tuer, froide comme un morceau de glace. Elle développait des styles bien différents, en Taijutsu par exemple elle optait pour une technique assez directe, elle fonçait dans le tas en criant à tout rompre ce qui effrayaient pas mal ses adversaires qui se rendaient compte que ce n’était pas de sa voix qu’elle criait mais d’une autre.

Une nuit, en voulant monter embrasser sa fille, Tsukena l’entendit parler seule.

« Tu ne m’écoutes pas ! Je te dis que c’est sa faute, elle n’avait pas le droit de te laisser, pourquoi n’as t-elle rien fait ? Elle aurait dût de garder à la maison, auprès d’elle !
Aika, si ta mère avait veillé sur toi tu ne serais pas morte … C’est le devoir d’une mère de veiller sur son enfant, non ?»


Tsukena horrifiée par ce monologue reculât pour reprendre son souffle un moment, elle était là, sa fille, dans le coin de sa chambre, celui qu’elle n’avait pas quitté durant des semaines. Tsukena savait qu'elle faisait des crises mais elle ne lui avait jamais entendu ce ton ferme, résolu et autoritaire. Elle avait bien au contraire une petite voix, toute aussi frêle que son corps. La jeune fille de 13 ans maintenant paraissait être l’incarnation de la fragilité. Mais elle était en réalité bien plus complexe que cela.

Petit à petit Tsukena s’habituait aux bizarreries de sa fille, ne faisant plus attention quand elle tirait la langue dans le vide où quand elle fronçait les sourcils vers la porte. Mais les crises de Myaka se faisaient de plus en plus fréquentes.

Un jour, Tsukena allât faire des courses, laissant seule la jeune fille qui fût prise d’une crise de démence encore plus forte que toutes celles qu’elle avait connue. Aika lui demandait de la venger, de tuer la mère indigne qui n’avait pas su la protéger. Elle s’exécutât par amour pour son amie. Arrivant chez les parents de Aika, la mère se trouvait malheureusement être seule. Myaka dans sa folie ne sentait pas ses forces, et l’étranglât en pleurant et à la fois en riant avec une fureur dans les yeux que jamais elle n’avait eu. Ses yeux étaient rouges comme le sang qui bouillonnait sous ses mains dans le corps de la mère de Aika .Elle lui chuchotait:

« C’est pour elle que je le fait pour qu’elle trouve la paix dans ta mort, il faut que je la venge. Il faut que tu payes … »

Et c’est ainsi que Myaka tuât dans une poussée de folie la mère d’Aika à l’age de 15 ans. Elle exécutait l’ordre de Aika, parce que elle l’aimait, et si son amie était en paix alors Myaka serait heureuse aussi. Mais leur pacte ne le voulait pas ainsi, Aika morte était en paix mais sa soeur de sang vivait un enfer, inconsciente de ses faits et gestes. Ne sachant plus discerner le bien du mal, confondant les deux. Ne pouvant plus discerner sa propre personnalité de celle de Aika qui semblait s’encrer en elle, au lieu de disparaître comme elle aurait dût le faire après la mort de sa mère. Myaka voyait Aika, lui parlait mais elle devenait parfois Aika. Il lui était arrivé de vivre la vie d’Aika de revivre des moments qu’elles avaient passé ensemble mais dans le corps et la tête d’Aika. Elle et Aika en échangeant leur sang en répétant un pacte de gamines avait lié leurs vies, même à travers la mort.

Myaka n’avait pas été accusé du meurtre de la mère de Aika, personne n’aurait crue qu’une fille aussi fragile ait pût tuer quelqu’un de ses mains. Et elle continuait à passer ses journées à la quincaillerie sur son tabouret. Dans les périodes de calme, où elle paraissait lucide et normale, elle allait à l’académie se terrant dans le fond de la classe en évitant tout contact avec les autres élèves.

Le meurtre de la mère d’Aika était maintenant du passé et elle était dans une période de lucidité. Cela faisait 3 mois qu’elle n’avait pas fait de crises, il lui arrivait parfois de pleurer mais rien de plus. Mais cela ne pouvait bien entendu pas durer. En lisant tranquillement le journal au petit déjeuné à coté de Tsukena, elle laissa tomber par terre son bol de café. Les yeux écarquillés sur le journal, sa mère s’approchât et lui dit:

« Ce n’est rien mon cœur, je vais nettoyer ne t’affoles pas comme cela. »

Mais Myaka n’entendait rien, sa vue se brouillait à cause des larmes qui lui emplissaient les yeux. Tsukena regardât le journal, une photo, celle d’une jeune fille complètement lacérée -comme Aika l’avait été. Mais Tsukena ne comprenait pas, elle prit sa fille dans ses bras la consolât, du moins elle essayât.
Myaka avait reconnu le tueur de Aika, les coupures, le visage seul resté intact. Tout était pareil, à la seule exception que ce n’était pas le visage d’Aika mais d’une autre fille. Cela allait faire cinq ans que Aika était morte, cinq ans qu'elle avait vue la photo, et malgré tout ce temps elle s’en rappelait chaque détail. Comment ses cheveux étaient disposés en soleil autour de sa tête, ses bars et ses jambes désarticulés, ses yeux … Tout lui revenait et ce n’était pas le visage de la jeune fille inconnue qu’elle voyait mais à nouveau celui d’Aika. Elle repoussât sa mère d’un geste violent,qui manqua de la pojetter à terre, montât dans sa chambre avec un calme incroyable, préparât un sac et partit sans se retourner. Sans répondre aux appels de sa mère, sans même les écouter, ses cris entrecoupé de sanglots. En lui demandant de rester avec elle. En partant, le chat qui avait un nom depuis quelques mois : Ikaa, la suivit -jamais sa mère ne remarqua que Ikaa était une anagramme de Aika.

Elle cherchât jour et nuit cet assassin, ne mangeant presque pas ne dormant qu’une heure ou deux. Animée par cette vengeance et cette fureur froide elle cherchait encore et toujours. En cherchant elle rencontrât Faru. Faru était à l’académie, elle ne le connaissait que très peu. Mais elle l’avait souvent croisé avec Aika, par des hasards qui n’en avaient pas toujours l’air. Tout deux s’unirent pour retrouver l’assassin d’Aika, bien que ne comprenant pas les motivations de Faru, elle acceptait sa présence et lui la sienne.
Peu être connaissait-il la jeune fille qui était morte ? Peu lui importait.
Et Faru montrât une passion pour Ikaa, ce qui les rapprochât puisque Ikaa ne quittait pas Myaka d’une semelle. Myaka n’avait plus peur de Faru comme dans son enfance. Mais peu être était-ce Aika qui n'avait pas peur ? Mais comment les discerner l’une de l’autre ? Cela avait l’air de plaire à Faru, qui la regardait avec des yeux différents, pas comme une folle furieuse. Et cette attention, la rendait heureuse. Il aimait la souffrance et elle était une incarnation de la souffrance. Et elle tombât amoureuse de cet être si étrange, tout aussi étrange qu’elle.

Après des jours de traque incessante, ils découvrirent l’assassin d’Aika dans son repère, une battisse abandonnée, qui ressemblait beaucoup à celle ou Myaka et Aika allaient jouer étant enfants. Les deux jeunes étudiant entrèrent à pas de loup et découvrirent des photos de toutes ces victimes. Elle remarqua que c’étaient les photos des journaux et qu’il envoyait donc lui-même les photos. Elle fît le tour de la maison et tombât sur la photo de Aika .Tous ses souvenirs avec Aika revinrent à sa mémoire . Elle sentait en elle sa sœur de sang, elle sentait son sang dans le sien son sang qui bouillonnait qui lui ordonnait de la venger encore une fois, de lui faire subir encore plus d’atrocité qu’elle avait vécue. Mais les bruits du combat la sortire de sa rêverie et elle vît Faru entrain de batailler difficilement contre le boucher. Elle attrapât la première chose qui lui tombât sous la main et frappât de toutes ses forces sentant le sang de Aika se mélanger au sien. Ses yeux - ou peu être était-ce ceux d’Aika- était à nouveaux rouges sang. Elle avait besoin de faire du mal, elle devait avoir du sang sur les mains. L’homme s’écroulât au sol dans un grand fracas à moitié sonné. Et elle se jetât à ses côtés mais avant de s’acharner sur le boucher elle lui glissât doucement à l’oreille :

« Te souviens-tu de moi ? »

Ce n’était pas la voix de Myaka, pas cette petite voix si douce et fragile c’était celle d’Aika, une voix plus forte et plus grave que celle de Myaka. Elle sortit un kunai et avec Faru ils firent passer une nuit de souffrances à cet homme. En s’arrêtant parfois pour vivre leur amour en s’embrassant, et s’enlassant couvert tout deux de sang.

Elle enfonçait le kunai dans le corps de l’homme avec une facilité déconcertante, elle sentait la peau céder sous la lame. Ses mains étaient emplies du sang chaud de l’homme, le sol en était couvert autour de son corps. Maintenant ses mains glissaient sur le manche du kunai elle n’arrivait plus à le tenir correctement, elle essuyait régulièrement ses mains sur ses vêtements mais il y avait toujours plus de sang -ce qui ne lui déplaisait pas. Elle laissa le kunai et à mains nues entrepris de le dépecer avec ses ongles. Elle criait par moment pour exalter sa joie, et elle le griffait de plus belle. Elle s’attaquait à son visage, il avait laissé intact celui de Aika, mais elle ne laisserait pas le sien. Elle approchait ses mains en sang du visage de l’homme qui criait comme un agneaux qu’on va égorger ses yeux cherchaient un quelconque secours auprès de Faru qui se délectait de ce spectacle. Les mains de Myaka lacéraient le visage elles griffaient, arrachaient la peau qui volait en éclat. L’homme n’avait plus de visage, juste un paquet de chaire rouge qui suintait du sang.

Au début de la nuit le meurtrier pouvait crier mais plus maintenant il allait bientôt mourir et il se contentait de pousser des gémissements en crispant le reste de son visage – si l’on pouvait encor distinguer l’ombre des traits d’un visage. Ce que Myaka et Faru avait fait subir à cet homme était encore bien pire que tous ses meurtres réunis. Au petit matin, il allait mourir, tout son corps était en lambeaux. On ne distinguait même plus de traits humains, seulement un tas de chair, personne n’aurait pus le reconnaître.

Elle était exténuée, cette nuit avait été atroce et palpitante à la fois. Ses doigts lui faisaient mal, il restait encore quelques morceaux de chair sous les ongles. Elle avait aimé ce moment sauvage, le sang, les cris et Faru, tout était si magique si elle n’était pas aussi fatigué et que la milice n’était pas arrivée elle aurait continué des jours durant pour entendre les cris du malheureux. Elle avait presque oublié la raison de ce massacre tant le concert de cris, les siens de joie et ceux de cet homme de peur, lui emplissaient l’esprit. Elle avait pleuré en se rendant compte du massacre, mais elle en avait rit, tellement que son ventre lui en faisait encore mal, et elle avait passer des moments de tendresse avec Faru sur ce corps sanguinolent. Elle ne conservait que certaines bribes de la nuit, oubliant les moments où Faru la regardait comme si il avait vu un revenant et pourtant toujours cette même passion dans les yeux.

Maintenant elle s’enfuyait avec Faru « chez les déserteurs » avait-il dit. Elle ne connaissait pas cet endroit, elle ne connaissait pas grand-chose d’ailleurs de la vie et du monde. Elle était fatiguée, sale, pleine de sang, mais il fallait continuer et échapper à la milice de Konoha qui avait découvert le « corps » du boucher de sa chère Aika. Mais Aika n’était pas vraiment morte, car à jamais elle vivait avec Myaka. Les deux sœurs de sang étaient à jamais liées.

Aime:
Faru
Aika
Ikaa
le noir

Déteste:
la lumière

Objectif:
Trouver un sens à sa vie
Apaiser ses tourments


allez voir celle de son compère, FARU dorsora, d'autant qu'elles sont liés.

***Edit de Leolio : j'ai remis le petit bout à la fin, ça ne servait pas à grand chose le deuxième post.
Pis c'est pas celui là de Grata qui m'a fait le plus rire mais je ne trouvais pas l'autre......et j'avais prévenu que je serai peut être le seul à trouver ça drôle....mais le post est sorti du contexte aussi donc du coup.....***
Dernière modification par Seirô-Mirumoto Akira le ven. 02 sept. 2005, 18:58, modifié 1 fois.
Moloch - Etudiant Yukien
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Makoro Tenro
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Message par Makoro Tenro »

Pour une fois je suis d'accord avec Moloch elle est pas mal elle cette bio elle fout les jetons.Ca donne pas envie de te voir dans le jeu ca
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Shiori Akiyamazaki
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Message par Shiori Akiyamazaki »

Makoro heureusement qu'on a dit pas de commentaires... Bon ben on reste du côté des deserteurs avec une autre suber bio, ca donne envie de les rejoindre franchement >_<:

Donc c'est la bio de Naju Shirasagi, déserteur. J'adore le style^^

Histoire:

Il était là, à l'entrée du village. Il ne savait pas vraiment pourquoi il était venu, toutefois il sentait que quelque chose l'attirait içi. Qui était-il? Parfois lui même se le demandait... De plus qu'est-ce qu'un nom peut bien représenter maintenant. Son histoire? Elle n'avait rien de bien réjouissant mais c'était la sienne, et pour cette raison il en était fier, ... un peu. La fierté? Un sentiment. Une faiblesse. Il n'avait donc pas le droit d'être fier. Parfois il pensait à ce qu'aurait pu être sa vie si il avait voulu faire l'effort d'aller vers les autres... et à cet instant il se rappelait que ça ne servait à rien de penser à ces choses là. Ca n'était arrivé qu'une seule fois, et cela n'arriverait plus jamais.

Il était né quatorze ans auparavant, dans un village plutôt prospère. Il était au bord d'un lac, encastré contre une montagne. C'etait un village magnifique. Mais peu importe, c'était dans une autre vie. C'était un village comme il y en avait des milliers, avec son école, son temple, ses maisons... Dans une de ses maisons il vivait avec sa famille. Celle-ci était composée de son père, un forgeron plutôt renommé, de sa mère, et de ses deux soeurs. Il aimait sa famille, ou du moins, il avait le souvenir d'un sentiment qu'il pouvait considerer comme de l'amour. Il ne voulait que rien leur arrive, les protéger, leur faire plaisir... C'était surement de l'amour... Et ils l'aimaient aussi. Son père ne le montrait que rarement, il est vrai, mais du coté des femmes de la famille, les effusions de ce sentiment oublié étaient soudaines, violentes... Parfois elles réussissaient à le surprendre avec leurs envies de calin. C'était drôle... Il arrivait encore à rire à cette époque. Parfois, il aidait son père à la forge. Il voulait devenir forgeron comme lui. L'odeur de l'acier incandescend, du charbon, le bruit métallique des coups de marteaux... Encore un rêve stupide d'enfant. D'autres fois il accompagnait sa mère au marché. Il n'aimait pas ça. D'ailleurs même maintenant il ne se sentait pas à l'aise dans un marché...

Il était jeune, mais pas bête. La situation plutôt confortable de ses parents lui permirent de s'instruire à l'école. Il appréciait l'école. C'était un lieu où il recontrait ses amis. Ami? Ca veut dire quoi déja? Hatchi était son ami non? Peut être... Il s'y amusait, il y apprenait des choses que tout le monde sauf les professeurs considéraient inutiles. Et puis... il y avait Jade. Jade était magnifique. Elle avait le même âge que lui. Ses cheuveux blonds, ses yeux bleus, son sourire, sa grace, ... Tout était divin en elle. Il suffisait de la voir un instant et sa journée était la plus belle de sa vie. Son amour pour elle était un puis sans fond. Il savait qu'il ne l'aurait jamais, mais ça lui était bien égal, tant qu'elle était heureuse, alors tout allait bien. Bien entendu, elle n'en savait rien, et il se gardait bien de l'aborder. Il n'en était pas digne, et ne le serait surement jamais. Personne n'était digne d'elle. Mis à part Jade, rien n'avait d'importance dans sa vie ... à part peut être Hatchi.

Hatchi était son voisin. Depuis leur enfance, ils formaient un binôme inséparable. Lorsqu'on en cherchait un, on trouvait l'autre à coup sur. Les heures passés ensemble ne se comptaient plus. Il était le fils du tavernier du village. Il avait donc accès à l'un des endroits les plus importants de la vie des jeunes adolescents: la cuisine du restaurant. Manger n'était pas un luxe, loin de là, toutefois, la mère de Hatchi était la plus grande cuisinière qu'il n'ai jamais connu, et qu'il ne connaitrait jamais. Hatchi était grand, beau, fort et musclé. Il avait un sens de la reppartie inimitable, et surtout il était bon. Hatchi était son ami ? Sûrement... Le reste de l'histoire est si classique que ça pourrait être une pièce de théatre ... Un jour, il se confia. Il ne savait pas pourquoi, mais peut-être le saké qu'ils avaient dérobé dans la cuisine lui délia la langue. Peut-être que vivre dans le mensonge était trop difficile? Mais de toutes façons il n'avait pas d'excuse, il fit confiance pour la dernière fois. Il lui dit. Il lui dit son secret. Il lui confia que son amour pour Jade était un amour vrai. et Hatchi l'écouta. Généralement c'était l'inverse, c'était lui qui écoutait les confidences de son ami. Ca aurait du en rester là, mais ça ne se passa pas ainsi.

Il aimait bien Hatchi, et Hatchi l'aimait bien. Ils étaient amis. Alors pourquoi cette trahison? Il n'y avait bien sur pas de réponse mis à part le fait même de l'éxistence de Jade. Tout le monde aimait Jade, cela se voyait. Tout le monde... y compris Hatchi. Face à lui, il ne fit pas le poids. Comment était-ce possible vu qu'elle ne savait même pas qu'il l'aimait. Jade ne pourrait jamais le choisir, lui. Revenons aux faits... Ce jour là il se balladait, à la recherche de son ami, comme il le faisait toujours. Sauf que cette fois ci son ami était parti sans lui. Etrange n'est ce pas? Ca ne devait pas être grave. Hatchi avait surement du oublier. Il avait surement eu un imprévu... Il prit la route de l'école et il les vit, dans l'herbe, s'embrassant. Ils étaient là. Il fut aussitôt anéhanti. Il erra pendant tout la journée à la recherche de réponses. Des réponses qu'il ne voulait pas entendre. La vision était là. Roulés dans l'herbe verte. Encore maintenant il avait horreur de l'herbe... Il décida que la vie ne vallait plus la peine d'être vécue. Il allait tout finir... Cela allait cesser, ce mal dans le crane, cette douleur dans la poitrine, TOUT.

Il alla dans la cabane. Ils l'avaient construit ensemble. A cette idée il eu envie de vomir. Il sortit le couteau de son fourreau. C'était un couteau de chasseur. Son père l'avait utilisé quelque fois, pour dépecer des betes qu'il avait chassé. Il était affuté... Largement suffisant pour couper de la chair... sa chair. Il sortit de la cabane, et regarda l'éclat de la lune sur la lame... Plus que trois secondes et tout finirait... Il frappa et attendit une douleur qui ne vint pas. Hatchi était en face de lui, les yeux étonnement ouverts. Il lui demanda le pourquoi, le comment, les raisons. Il lui dit qu'il y avait d'autres solutions, mais il n'écoutait pas. Il avait détruit sa vie, et par la même occasion il avait détruit sa mort. Il frappa. Sans émotion. Sans envie. Il ne fit que frapper. Avait il vraiment voulu cela? Peut-être mais ce n'est plus la question aujourd'hui... Le couteau s'imissa entre deux cotes et perça le poumon gauche. Hatchi mourru peu après, sans bruit. D'un certaine manière son assassin mourru avec lui. Il ne se sentait pas mieux... A vrai dire il ne se sentait plus... vivant. Avant de fuir il avait une dernière chose à faire. Jade fut retrouvée égorgée le lendemain.

Le reste de l'histoire est peu intéressant. Il sut qu'il ne pouvait plus rester au village, et il savait qu'un avis de recherche serait lancé. On ne laissait pas les assassins vivre impunément. Il devait devenir fort. Non pas plaisir, mais par obligation. Maintenant qu'il était plus ou moins recherché... il n'avait pas beaucoup de solutions. Dans sa jeunesse, son père parlait de son passé de ninja. Il avait tenté d'être ninja, et était passé genin! Son père en parlait comme d'un mérite. Il n'avait pas vraiment fait attention à lui à cet instant, il aurait peut-être du. Les ninjas avaient des pouvoirs effrayants, et ils étaient protégés par les leurs. Mais qui voudrait d'un enfant fugitif, coupable de meurtre comme apprenti. Il cherchai donc une autre solution au moment ou il rencontra un voleur qui lui indica la localisation d'un village pour les gens comme eux... Pour les déterrés. Selon la rumeur, ils cherchaient des jeunes pour creer une armée... de ninjas. C'était peut-être une coïncidence, mais il n'aurait jamais d'autre opportunité. Il la saisit.

Il savait qu'il ne rentrerait plus jamais, qu'il ne verrait plus jamais ses parents, sa famille... Mais qu'elle importance maintenant? Le jeune homme était à l'entrée du village.Le garde l'avait finalement aperçu et venait surement lui demander les raisons de sa présence ici. Son voyage finissait il ? Ou bien ne faisait il que commencer?
***Edit de Leolio : voilà il va prendre la grosse tête :lol: :lol: :lol: ***
Shiori-Yakura-Kaori Akiyamazaki, genin d' Iwagakure no sato



"Rien ne va plus, les jeux sont faits!"
Kakano Usei

Message par Kakano Usei »

Bon rp signifie pas long messages.

Je vois juste que vous regardez pour certains non pas le contenu mais la longueur.

D'accord, plusieurs de ceux-ci ont un bons contenus.

Mais j'ai vu des rp sur divers topics nettement moins imposants aux vues des lignes mais nettement plus complet parfois.

Mais ceci est mon point de vue du rp.

Mon rp est court mais complet comme certains des meilleurs rpistes de ce forum le diront (tel que Hana et Kyo qui me connaisse depuis belle lurette). Mais j'en connais d'autres qui sont de ma classes (vu qu'ils ont commencés plus ou moins en mê,me temps que moi) mais ne venant pas sur ce forum voyant la vision de certains.

Juste à titre d'information vu que je rp plus ici pour ma part.

EDIT : après avoir lu le sujet : je clos

Raison : discrimination. On voit ceux qui vous plaise peut être mais ceci comme dit avant ne veut pas dire que ça plaira à tout le monde et on est pas là pour nommer les meilleurs rpistes mais pour s'amuser surtout non?


edit Haoru : après discution nous reouvrons la zone.
Que cela ne deviennent pas une compétition et la zone restera ouverte ^^.


EDIT d dril : Vive le respect de ceux qui partent...
Dernière modification par Kakano Usei le ven. 02 sept. 2005, 13:58, modifié 1 fois.
Seirô-Mirumoto Akira
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Message par Seirô-Mirumoto Akira »

Sagara, c'est gentil, mais est-ce que tu peux l'enlever ?
Etant co-auteur de ce topic, ca le fait moyen que j'y figure,
d'autant que tu commentes... (même si ce sont des éloges ! :oops: )
On veut à tout prix éviter la "compétition", donc les termes
"meilleurs" et autres sont plutôt à proscrire...


Moloch - qui édite aussi ses messages en ce sens.

Pour Kakano
: Si tu es parti, tu es parti. Tu n'as plus voie au chapitre, tes décisions sont contestables (dans le sens que les modos ont la possibilité de les contester) et tes actions peuvent heureusement être inversées.
Merci tout de même de rester dans l'ombre pour que ce forum continue
à fonctionner. Quelques-uns penseront toi.
See You.
Moloch - Etudiant Yukien
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Sagara Toshiro
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Message par Sagara Toshiro »

Donc nouveau lien pour répondre à la demande de Moloch ^^, il faut lire la partie entre Végétaux et la réception de sa cousine Keiko ^^.


edit Haeru : ouppps j'ai effacé le post désolée O___O comme Moloch avait répondu après je croyais que tu voulais l'effacer mais que tu pouvais pas (et j'allais continuer dans ma lancée XD)...
dsl é___è
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Urasawa Kenji
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Message par Urasawa Kenji »

Hop résurection de topic (le lien d'au dessus faut aller voir la maison de Végétaux Hyuga :roll: ). Voilà, un post sur lequel j'ai bien tripper tout à l'heure. J'espère que cela ne les dérange pas d'être ici ^^.
Toshimitsu Shinju ou le Genin à la coupe bizarre selon Leolio :P a écrit :[HRP]ImageImage

Avec la participation officielle de Kei et du vieux fou complètement sénil...Mdr!Bon délire!![/HRP]

"Tu exiges???? es-tu en droit d'exiger quelque chose?"

Toshimitsu regarda en l'air sifflotant...

*Qu'est-ce que j'ai pas fais...*

Après une petite réflexion de la part du Jounin, il reprit:

"Bon comme je vous aime bien, vous aurez peut être quelque chose en plus, mais seulement si vous réussissez, sinon vous n'aurez que dalle, et en plus je vous enverrai en mission avec Haoru le boulet de Konoha, on est d'accord?"

"On est d'accord!!!!On va l'avoir..."

Kei qui s'apprêtait à réaliser un Henge pour passer outre l'attention des femmes à l'intérieur, stoppa son action en s'écriant:

" Toshi ! J'ai une autre idée. "

Le sourire au coin de ses lèvre laissait parraître un plan diabolique capable de dissiper l'attention de n'importe quel ninja expérimenté...

...Ou tout simplement çelà voulait-il dire qu'il était un peu atteind...Dans tous les cas, il vint lui chuchotter son idée à l'oreille...

" Chuchotement chuchotement ... Alors, qu'est ce que tu en penses ?

*?????C'est vrai!On aurai dû y penser avant!Suis-je bête!Plus simple que ça il n'y a pas!!Maintenant reste à savoir si ca va marcher!*

"Bah oui!!Bien vu!On pourrais tenter seulement si on fait celà on sera remarqué et on ne pourra plus rien tenter par la suite!Mais bon!On peut toujours essayer!"

Kei semblait content de son plan et regarda Léolio avec un sourire narcois

" Hé hé hé "

Le genin se tourna de nouveau vers Toshi et lui fit signe de la tête.

" Allons-y! Nous ne risquons rien. *

Toshimitsu acquiessa d'un signe de la tête et tous deux s'éloignèrent de Léo ainsi que du bassin d'entrainement se précipitant vers l'entrée de la batisse sans même se soucier de ce qui pourrait se passer...Aucune technique n'avait été utilisée, seul les deux cerveaux des jeunes Genins étaient là pour les guider.
Une fois devant, il s'arrêtèrent et mirent chacun une main dans le dos...
Toshimitsu se tourna et cria à Leolio, on va utiliser notre technique surpuissante...

"Prêt?"

"Prêt!!!"

Tous deux s'écrièrent ensemble:

"Shi...Fu...Mi!!!!!!!"

Tous deux montrèrent alors leur main...Les deux formaient le Fu (Feuille)...Sous l'oeil éxaspéré de Leolio, Toshi reprit:

"Arf!!On recommence!"

" C'est partit !!! "


*Je suis sûr qu'il va refaire le Fu ...C'est la logique qui le veux!*

* Arf que va-t-il faire ? Il va surement refaire le Fu. Mais en même temps ilpense peut être la même chose que moi donc dans ce cas il va faire le Mi. Arg ... ! Mais c'est pareil et s'il pensait comme moi, alors il va faire le Shi, pensant que je ferais le Mi. Alors il ne me reste plus qu'à refaire le Fu !

"Shi...Fu...Mi!!!!!!!"

Kei, comme le pensa Toshimitsu, refît le Fu (Feuille) alors qu'en fasse se trouvait le Mi (Ciseaux)...

"Héhéhé!Le Mi coupe le Fu...J'ai gagné...A toi d'y aller!!"

" Mince, j'ai trop réfléchis ! Bien joué Toshi ! Bon j'y vais puisque c'est comme ça. "

Le jeune Kei s'avança donc d'un pas décidé vers le gérant des bains. Derrière un comptoire se trouvait celui-ci.C'était un homme assez vieux, avec des cheveux presques inexistants ainsi qu'un grand bouc gris. Les rides de son visage montraient à quel point il était âgé. Il regardait attentivement un magazine, lequel semblait, au fur et à mesure que Kei s'approchait de lui, parler de filles en bikini.
Kei s'approcha et commença la discution:
Tout ce passage provient d'MSN!J'ai enlevé les fous rires!lol Dans le rôle de Kei Shino: Kei Shino... Dans le rôle du vieil homme complètement sénil: Toshimitsu Shinju a écrit :Kei Shino dit :
Heu bonjour monsieur
Le vieil homme complètement sénil dit :
Ouiiiii?
Kei Shino dit :
Voilà je voudrais vous demander une petite faveur, ou plutôt un service
Le vieil homme complètement sénil dit :
Comment????
Kei Shino dit :
Je voudrais vous demander un service !
Le vieil homme complètement sénil dit :
Du tennis?Ah non mon petit!Je suis occupé là vois tu!Mais c'est gentil de proposer...
Kei Shino dit :
Non ! je ne veux pas faire du tennis je voudrais que vous me rendiez un SERVICE !!!
Le vieil homme complètement sénil dit :
Ahh!J'avais mal compris je suis un peu dur d'oreille...Mais non merci!Je ne veux pas de pastis!A mon age!C'est pas très raisonnable
Kei Shino dit :
Mais non !!! Pas du pastis ! Arf ...


Kei Shino regarda Toshi d'un air dépité tandis que ce dernier se roulait de rire à terre devant ce spectacle plus que déprimant.

Kei Shino dit en montant d'un ton:
Est-ce que vous pouvez me rendre un service !!!!!!!!!!
Le vieil homme complètement sénil dit :
Ahh!Pardon!J'avais mal compris!Je suis un peu dur d'oreille...Oui allez-y!
Kei Shino dit :
Bon ! Voilà, j'ai une amie qui a perdu son pendentif dans le bassin des femmes et elle m'a demandé d'aller le chercher.
Le vieil homme complètement sénil dit :
Oh?Vraiment?
Kei Shino dit :
Oui ! Elle aurait bien voulu venir le chercher elle même, ce qui, au passage, aurait été beaucoup plus simple, mais elle n'a pas pu se libérer.
Le vieil homme complètement sénil dit :
Mais vous ne pensez tout de même pas que je vais vous croîre!Cette histoire plus que fantastique ne peux être vraie...
Le vieil homme complètement sénil dit :
Jamais on a vu de brebie, perdre un additif de bain de flemme dans un cocotier...D'ailleurs il me semble que ça ne veux rien dire!Vous êtes sûr de ne pas avoir besoin d'un médecin?

Kei Shino pense :
Mais il est complètement sourd ma parole

Kei prit son souffle...

Kei Shino dit :
Une amie a perdu son pendentif dans le bassin des femmes !!!!!!!!!
Kei Shino dit :
Est-ce qu'il serait possible de le récupérer ????
Le vieil homme complètement sénil dit :
Ah bonjour jeune homme!!Je peux vous aider?
A ce même moment, une autre personne rejoignit la conversation.C'était un homme assez jeune, d'une vaingtaine d'année, mesurant quelques 2 mètres de haut avec une carrure plutôt imposante qui se présenta:

"C'est vous qui hurlez comme ça??Il y'a du monde ici et vous dérangez ce monde!Donc arrêtez votre vacarme..."

Kei mit sa main derrière la tête et souria tout en s'excusant:

" Veuillez me pardonner monsieur, mais cette personne ne semblait pas m'entendre. Désolé pour se désagrément

" Et bien ! Pourquoi veniez vous ? " dit-il d'un ton ferme.

"Ohh!Ils disent des choses incompréhensibles!Ils parlent de tennis ainsi que de brebie qui..." dit le vieil homme avant de se faire interrompre.

"Je vois!!Désolé!C'est mon père et il n'a plus toute sa tête!!Que désirez-vous?Je suis le gérant de ces bains..."

" Comme je le disais à votre père, une amie a perdu son pendentif dans le bain des femmes et nous aimerions la récupérer s'il vous plait. "

[HRP]Bon ben Leo!!A toi de jouer^^Tu connais ton boulot![/HRP]
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

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Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
(Baudelaire)
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