Aux confins des forêts de Makyou no Kuni.

Le pays lui-même... C'est là que seront réalisées une partie des missions.

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Kiriyama Shuya
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Message par Kiriyama Shuya »

L'homme fut incapable de réprimer son rire, qui s'éleva, franc et léger, presque cristallin, et remplit la pièce de sa présence quelques instants.
Puis il posa sa cigarette sur le rebord de la table et passa une main sur son visage, le temps de se reprendre et de rassembler ses esprits, avant de se tourner vers son nouveau compagnon de route, Yavin.
Shuya en était au point de sa réflexion (Nd Hana : Si tant est qu'un tel mollusque soit en mesure de réfléchir, hum) où il se serait bien mis des baffes pour ce petit éclat qui vexerait certainement le gamin, et pour cause...
... Il n'avait pas demandé à être le fils d'un campagnard même pas foutu de lui apprendre les rudiments de l'histoire de son pays, sans oublier l'éducation civique et le toutim.
Quelque chose frappa notre déserteur, qui lui fit, avant même de s'excuser, poser cette question :

« Dis-moi, ton inconscient de père t'a appris à lire, écrire, et compter ? J'le ferai sinon, m'enfin... » ajouta-t-il avec un regard compréhensif pour l'estomac de celui qui avait signé un arrêt de mort en bonne et due forme en acceptant de se joindre à Shuya sans en saisir tous les tenants et aboutissants.

Ce qui était, d'ailleurs, plutôt la faute de notre homme qui était passé au vif (à l'important) du sujet seulement après lui avoir donné l'espoir et pris l'engagement (tacite) de l'emmener avec lui, de lui apprendre des trucs et des machins, en bref de lui offrir une éducation éminemment plus poussée (et spécialisée, en gros « Comment survivre en étant un boulet intersidéral et interdimensionnel pour les Nuls avec un grand N »), blablabla.
Lui qui avait piqué sa curiosité, s'était montré sympathique et avenant, presque gentil (hum).
On aurait été dans un mauvais manga, on aurait pu voir Shuya commencer à marmonner tout seul, un rictus d'extrême terreur face à l'horreur de son acte sur le visage et plein de codes visuels que je ne détaillerai pas par pure flemme destinés à accentuer l'intensité dramatique de la scène.

Ce moment d'hystérie intérieure passée, notre déserteur se décida enfin à répondre à la question postée un peu plus tôt par son pote de galère (hé hé) :

« Bah, Ame est un petit village, et quand j'suis parti les effectifs donnaient quelque chose comme 20 ANBU, 90 Jounin, 250 Chuunins et 60 Genins (les aspirants, là), qui ont tous mon visage bien en tête et ordre de me ramener mort ou vif s'ils me croisent, envers et contre tout blablabla pour restaurer l'honneur bafoué du village blablabla.

Sinon j'm'entends pas trop mal avec les autres puissances cachées, mais là c'est pareil, faut que je sois discret, parce qu'ils seront forcés de me livrer si Ame leur fait un esclandre diplomatique.

Ame, ou un de ses puissants alliés, d'ailleurs. Bref, c'est compliqué tout ça...
» fit-il tout en tirant sur sa cigarette avec un air nonchalant, à demi-affalé, une fois de plus, sur la banquette en face du jeune homme, le regard un peu perdu et lointain, mais pas trop (capacités de réflexion limitées toussa... ND Shuya : Hana, je sais que tu es derrière tout ça. ND Hana : Huhuhu.)

«Je suis pas intelligent des fois. Si tu me demandes combien de gars sont sensés me coller au train, c'est bien que tu sais compter... » fit notre homme, avec une désolée pour sa propre inattention -hum- et un air limite désespéré, avant de se reprendre.

T___T

«Après tout le chemin que j'ai fait j'te cache pas que j'ai hâte de prendre un bain chaud et d'aller me pieuter, tu m'accompagnes ? :p» demanda notre mystery pervert (il viiiiiiit \o/ j'me comprends) à fortes tendances pédophiles avec un sourire sinistre, qui mua en quelque chose de beaucoup plus avenant quelques secondes plus tard, le temps d'apprécier la tête de Yavin, quoi.

(Second éclat de rire... décidément.)

(Comme quoi tout n'est pas perdu...)

(ND Shuya : HANA nidijdu !)

(ND Hana : -D)


HRP/

Deux pages en presque trois mois, tu crois qu'on tient un record ? x)
/HRP
Kiriyama Shuya, Missing-Nin de rang A d'Amegakure no Sato.

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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

Hrp : Un record ptet pas, mais j’pense qu’on peut tenter le championnat d’Europe. x)


Une véritable vague, que dis-je, un tsunami de mauvais souvenirs vint s’échouer sur le visage du jeune garçon. Ses yeux s’ouvrirent d’un coup (tel un hibou qui scrute l’horizon) et sa bouche s’entrouvrit (tel l’idiot du village à qui on raconte une blague de Toto à l’école des shinobis.). Une chance pour lui, ses lunettes et son écharpe cachait tout ou presque de cette horreur visuelle … Oui enfin, peut-être pas non plus, mais disons qu’il ne souhaiterait pas qu’on l’expose en publique avec cette tête là (Grand timide va).

La lecture et l’écriture … La seule chose décente que son père lui ai jamais enseigné. Non parce qu’il faut dire qu’entre le « J’t’apprends à chasser, mais faut pas que tu tues hein », le « Bon tu m’fais 100 pompes, mais tu t’arrêtes dès que t’as la moindre goutte de sueur hein », ou encore le très célèbre « Allez, tu me tues ta mère, et après on va s’flageller en famille », le pauvre Yavin n’avait pas été très gâté. Au moins un point positif me direz vous. Et bah naaaaaaaaaaaaan ! Un véritable traumatisme, le genre de choses qui vous font envoyer chez un psychanalyste pour vos 45 ans. Des mois et des mois entier à essayer de comprendre ce charabia imbuvable, avec des traits partout, des formes qui ressemblent à rien, et surtout de l’encre qui ne résiste pas très bien aux températures hivernales. Et comble de la chose, déjà qu’il avait du mal à l’origine, on lui refourguait son père, modèle de patience, en guise de professeur (« Blablabla … incapable … facile pourtant ! »). En même temps, il n’avait pas franchement le choix. Bizarrement, il n’avait eu besoin d’aucun apprentissage au calcul. Sans lui parler de racines carrés ou autres intégrales, notre petit Yavin était relativement doué en calcul, au moins une chose qu’il semblait tenir de son père.

Shuya reprit la parole, ce qui sortit Yavin de sa petite torpeur. Pas besoin d’être un génie pour comprendre que l’homme citait des rangs sociaux par ordre d’importance, même si le garçon ne savait en rien à quoi ceux-ci correspondaient en termes de fonctions et de responsabilités. Encore qu’heureusement que Shuya précisa que les genins ne sont que des postulants, il aurait été capable de les considérer plus importants que les jounins. Quoi qu’il en soit, cela faisait une sacrée troupe aux trousses de son nouvel ami le magicien. Mais quitte à mourir, autant que ce soit d’un meurtre que d’un défaut de nourriture, le jeune garçon se sentait bien peu enclin à se débrouiller tout seul, pour le moment du moins. Et puis qu’importent les embûches, Shuya lui avait dit que par delà les forêts existaient d’autres paysages, il ne tenait vraiment pas à manquer une chance de les voir un jour. Quoi que s’il mourrait assassiné au bout de deux jours, il ne les verrait jamais. Mais s’il ne l’accompagnait pas, là non plus il n’aurait pas de chance de les admirer.

Je l’accompagne ? Ou je l’accompagne pas ? Ou alors je l’accompagne ? …

Yavin resta quelques instants dans cette spirale infernale de réflexion intense, pleine de philosophie, pour finalement être interrompu par Shuya sur un « Je l’accompagne ». Le hasard semblait être favorable à une petite excursion à deux.

« Un bain … chaud ? »

Quelle bizarrerie ! Lui qui n’avait pris jusqu’à maintenant que des bains façon Groenland ne comprenait pas bien que l’on puisse tremper dans de l’eau chaude, traitement qui, selon lui, est réservé aux aliments que l’on fait bouillir pour ensuite les …

Un horrible bruit s’extirpa du ventre de Yavin.

« J’crois que j’ai les crocs. » (Whaou, quelle perspicacité.)

Evidement, à force de refuser de manger … Shuya pouvait prendre très mal cette dernière phrase, du genre « Tu t’fous pas un peu de ma gueule, juste par hasard ? Non j’demande hein ! », mais ça ne lui avait même pas traversé l’esprit. Ses yeux tombaient de sommeil, mais non, il fallait qu’il mange, fût-il obligé de chasser son propre gibier (Qui lui au moins serait froid =p).
Takimura Yavin, déserteur.

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Kiriyama Shuya
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Message par Kiriyama Shuya »

[HRP]
Dont acte. :P
[HRP]


Shuya, malgré sa tendance à la boulettitude aiguë, comprit qu'il avait touché un point sensible quand il vit Yavin prêt à auditionner pour les Minikeums, yeux grands ouverts et bouche avec vue sur la glotte, bien qu'en partie dissimulée par l'écharpe noire super stylée (et lourde de flotte - neige fondue) qui lui couvrait une partie du visage.
Notre déserteur réprima un grmbl en se disant que son don pour taper là où ça fait mal ne l'avait pas quitté.
Un truc bien utile, au détail près qu'il l'utilisait généralement sans le vouloir, et que ça lui valait immanquablement des emmerdements plus gros que lui (pas bien dur cela dit... un puits sans fond ce type... et y prend pas un gramme... c'est pas justeuh).

" Ben oui, chaud... tu crois pas qu'on s'est assez gelé les miches pour aujourd'hui ? " fit-il, en ne comprenant manifestement pas d'où venait le trouble de son futur escl équiper (hum).

... un long silence accueillit le cri de rébellion en direct de l'estomac de Yavyav.
Shuya fixa longuement son ventre, avant de remonter sur les pectoraux certainement quasi-inexistants, de détailler le cou, et d'arriver enfin jusqu'aux yeux sombres de la nouvelle coqueluche du FBI, la Fédération des Blaireaux Indépendants dont son prof' était président honoraire depuis sa naissance, ou pas loin.

« Tu t’fous pas un peu de ma gueule, juste par hasard ? Non mais j’demande hein ! »

Preuve que notre cher PJ a tout à fait saisi le genre du personnage en face, l'air de rien... (ça promet du joli quand il lui prendra l'envie de me faire tourner en bourrique, mais faut pas qu'il oublie que je faisais déjà les 400 coups alors qu'il tourmentait encore sa mère le môme !) (ND Hana : On sait que t'es vieux... ND Shuya : =____= ND Hana : ... et que ça ne te rend pas plus respectable pour autant... ND Shuya : File de mon post, vilaine ;_; !).
Notre homme, après cette tirade digne des meilleurs films wesh wesh (la classe en plus avec son blouson de cuir, naméoh), se leva donc, passa une main dans ses cheveux en bataille, avant d'hésiter quelques instants et de se diriger vers la cuisine, une fois de plus.

" Bon... " fit-il après avoir jeté un coup d'oeil au frigo trop dépourvu de yaourts à son goût,

" Ah ouais ! " s'exclama notre homme après avoir jeté un oeil à la partie congélo, qu'il avait jusque-là complètement zappée, et contenait pas mal de provisions.
Son regard s'était illuminé d'une étincelle connue : Celle du fanatique prêt à tout, de l'homme sûr de sa foi, de celui qui vient d'assister à un mirAaaAaacle \o/

(On note, au passage, que l'espèce homo shuyaïtus bouletus communique principalement par onomatopées... ND Shuya : HANA ! ND Hana : x))

Ni une ni deux, notre boulet international sortit une assiette, vida le contenu du plastique dedans et le fourra dans le micro-onde, avant de se tourner une fois de plus vers l'appareil tant aimé et d'en sortir un pot assez imposant (450g environ), illustré d'un écureuil, une tartine et un verre de lait rassemblé autour d'une table où il était écrit en gros et rouge : NUTELLA.
C'est seulement après avoir reniflé l'objet du délit et maugréé comme quoi il était honteux de mettre un tel nectar au frigo, et qu'Hana serait mise au courant screugneugneu, oui, c'est seulement après qu'il se rendit compte qu'il avait un peu oublié de mettre le micro-onde en route (ce qu'il rectifia dans sa foulée de sortage de couuuuiyères, deux p'tites et une plus grande).
Après quoi il sortit enfin de sa transe culinaire et retourna s'installer près de Yavin. Pas en face. Mais à côté, en le poussant un poil au passage (c'est pas une brute non plus... enfin... pas toujours :P), avant d'ouvrir le pot, retirer l'opercule et plonger sans vergogne un des ustensiles (orné de lapins roses) dedans, de cravacher un peu pour en ressortir une dose honnête (deux fois la longueur du creux de la cuillère en hauteur...), puis de se retourner vers le gosse.
Et vas-y que je te la fourre dans la bouche sans autre forme de procès.

" T'vas voir, chais chuper chbon cha. Chochochat. "
baragouina-t-il, sa propre dosette ayant fait le trajet pot-bouche en un temps record (Yavin ne perçut même pas le mouvement).

" Chapprécie, churtout. Chu chonnaissais chécha ? "

Là, il faut imaginer un homme d'une trentaine d'années, carrément beau gosse, qui enlève son tee-shirt blanc tout en bataillant pour garder sa cuillère en bouche, dévoilant ainsi de superbes (et impressionnants) pectoraux.
Ne me dites pas que vous n'avez pas saisi l'allusion, je n'y croirais pas une seconde, hein (ND Shuya : Che che chais ! ND Hana : Chais choi chaussi che che chaime chon chuchucre.).

" Chalors ? " fit-il tout en se levant pour aller sortir les mini tranches de pain de l'appareil qui venait d'le bipper.

* bruit de succion de cuillère *

" Tu trouves cha bon ? " demanda encore l'homme, tout en se dirigeant vers la table en jonglant avec l'assiette brûlante et son contenu histoire d'éviter que le tout se casse la gueule... (en ayant au préalable prélevé une dîme honorable de tranchettes en les enfournant du même coup).
(Bah forcément quand on prend pas de gants... hein...
ND Shuya : Ouais bon ça va hein, comment j'étais sensé savoir que ce serait chaud ?
ND Hana : =___=
ND Shuya : Non mais je blaguais ^^'
ND Hana : Mais bien sûr... Et la marmotte...)



Yavin passera-il l'épreuve du chocolat ?
La suite dans son post ! x)
Kiriyama Shuya, Missing-Nin de rang A d'Amegakure no Sato.

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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

Hrp : Désolé de l'attente et de la qualité bofement narrative du post, mais je l'devais. x)

Boum boum … Boum boum … boum boum …

« -Tour de contrôle à abdomen, tour de contrôle à abdomen. Irrégularité du rythme cardiaque ?
- Ici abdomen. Non, ce n’est pas le cœur qui palpite. C’est … autre chose.
- Mais qu’est-ce que cela est-il ?
- Zone du langage à tour de contrôle, correctif : C’est quoi ?
- Ouais oh hein, c’est bon.
- Mâchoire à tour de contrôle, afflux sanguin important vers Zone buccale.
- Qu’on me mette en relatation avec.
- C’est encore la Zone du langage, correctif : En relation.
- Ta gueule hein ! Y’en a qui bosse là ! Bon elle vient cette com’ ?
- M’sieur, ça répond pas m’sieur. Toute communication nerveuse est impossible.
- Rapport des joues ?
- Confirmation de la présence d’un corps étranger, m’sieur. Attendez, je reçois une communication du nez. ODEUR … INCONNUE … STOP … FUMET … PRESENT … STOP.
- Putain de dieu …
- Vous savez ce qu’il se passe, m’sieur ?
- Coupez toutes les vannes d’accès au subconscient, immédiatement !
- En cours, m’sieur ! »


Bruit d’une baisse de tension. Plus de lumière. Un silence, suivi d’un bruit d’alarme, accompagné d'une voix robotique.

«Attention, attention. Niveau de sécurité maximal, je répète, niveau de sécurité maximal. Ceci n’est pas un exercice. Toutes les cellules à leur poste.

- IL … est réveillé … *raclement de gorge*
- Mais mais mais … mais qui ça, m’sieur ? »


Le bruit d’un micro qu’on enclenche retenti, une myriade de systèmes audio, disséminés un peu partout, rendent publique un toussotement.

« Mesdames, Messieurs... nous sommes devant la plus grande menace à laquelle nous ayons jamais fait face jusqu'alors. Je ne sais pas si nous nous en sortirons. Oui ! Oui, je suis honnête, j'ignore ce que nous allons devenir ; Tout ce que je sais, c'est que si nous n'unissons pas nos forces en ces jours sombres pour l'humanité, nous serons impitoyablement détruits. Une telle chose, est inacceptable ! Alors je vous demande, à tous, de … » [tm]

La voix s’efface, et laisse place à un son d’enfoncement de porte, suivi d’un hurlement pour le moins glauque. Des cris, puis plus rien pendant quelques interminables pico-secondes, jusqu’à ce que …

« Waaaaaaah »

Au même instant, dans l'un des nombreux bars du foie …

« -Hey Jack, c’est quoi ce putain de bordel ?!
- Il est là … Il a prit le contrôle, et il a faim …
- Mais, qui ?
- L’instinct animal, Bob.
- Who putain … »


Il y eut comme un flash dans les yeux de Yavin, sans pour autant qu’il les ait fermés. Il regardait Shuya, intensément, trop peut-être. Ses babines se relevèrent, laissant apparaître sa dentition, ainsi que sa langue tant souillée que brûlée, qu’il tendait nerveusement. Il fronça les yeux, tût sa respiration. L’instant d’après, il sautait vers Shuya, la bouche grande ouverte prête à la mordre, les mains en avant, prêtes à saisir cet individu qui l’avait violé, si l’on peut dire.
Takimura Yavin, déserteur.

« Le fort protège le faible, c’est dans l’ordre des choses. »
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Kiriyama Shuya
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Message par Kiriyama Shuya »

Troch chochupech à chavoucher che chocochat, Shuya che che chendit cha chompchte che c'heffet chochtbenu chur chon cheune che chou chouvel chachrrenti.
Chen fait, che qui chinquiétait le plus à che momench chécis, chétait chustement che che cheune chomme chen chechistion ne chéagichait cha chom chprévu chau chaichement chuchellaesque, che chnon !


* SBAF *

ND Shuya : OK OK, je reprends normalement rabat-joie <<
* Hana se frotte les mains
* Shuya a des larmes qui perlent au coin des yeux T___T


Nous (je) disions (disais) donc : Trop occupé à engloutir une bonne part des réserves chocolatées d'Emma (qui ne manquerait pas de lui caresser la tête en disant " Bon Shuya " pour l'avoir débarrassée du pot en question, lequel a glissé derrière un meuble et y est resté plusieurs mois, jusqu'au moment où notre Yukienne a ENFIN compris ce qui clochait dans la troisème étagère de son frigo... bref)...
... Shuya était (donc) à mille lieux de remarquer quelle tronche bien bizarre le jeune Yavin tirait en cet instant.
Loin des préoccupations des mortels du commun, il nageait en plein délice et laissait couler l'ambroisie nutellaesque dans son oesophage, touchant du doigt l'orgasme qu'il ne s'était pas accordé depuis près d'une semaine avec une jeune femme fort bien pourvue en bas des hanches d'un bar transformiste de Suna.

Les petits nuages au lait se dissipèrent aussi brusquement que le son des cuillères divines alors que Shuya avait l'impression de se noyer alors que sa tête filait (et heurtait) durement le sol, bientôt suivie du reste de son corps, alors que le jeune Yavyav cherchait (manifestement) à remercier en nature son bienfaiteur (y'en a qui ne doutent de rien).

Ô Gloire, Ô Allégresse \o/

(En clair et décodé). Un jeune homme tout mignon (bien qu'encore à moitié trempé... ah non... c'est bien ça en fait oô) serpentait sur lui et cherchait à la mordre !

Yatta Yatta Yatta \o/

Bien décidé à profiter de l'aubaine, Shû-sensi glissa ses mains (brûlantes à n'en pas douter) sous le tee-shirt du p'tit déserteur en proie à la panique (euh, plutôt à l'instinct bestial, hein, c'est pas pour dire... oui bon ça va toi !) culinaire virginale qui suivait (parfois) la découverte du nectar !

Ô Chocolat \o/

Avant de se faire mordre. Pour de vrai. Et de réaliser que cet instinct bestial siiiiiiiii... * censuré * n'était pas celui qu'il espérait (AIIIEUUUUUUH BORDEL DE MERDE).
C'est donc en deux-temps trois mouvements que le jeune Yavin se retrouva allongé, assommé et ligoté à la façon saucisson-père-dodu (parce que ça fait ressortir la graisse) pendant que notre boulet in-ter-na-tio-nal se retrouvait, lui, recroquevillé sur le bord de la banquette en se tenant l'énorme bosse qui venait de pointer à l'arrière de son crâne, une petite larme ' Looser Special ' au coin de l'oeil.

Snif.

(La régie parie qu'aucun des deux ne parlera JAMAIS de ce qui vient de se passer, pas même au FBI[sup]1[/sup].)



[sup]1[/sup] : Qui est, comme je vous le rappelle, la Fédération des Blaireaux Indépendants dont Shuya est président depuis... sa naissance (quand il a jailli comme un boulet du ventre de sa maman pour aller percuter la sage-femme et lui casser trois côtes. Hum.)


(ND Hana, parce que ça manquerait sinon : MwahahHahahahaOuhHAHAHAHAHA XD)
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